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hong seo jin + phoenix
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hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 14:40 Citer EditerSupprimer
Hong Seo Jin
Sometimes you have to burn yourself to the ground
before you can rise like a phoenix from the ashes
before you can rise like a phoenix from the ashes
IDENTITY CARD |
Il parait que... il saurait très bien joué de la batterie (vrai ; c'est l'une de ses passions) | Dis nous qui tu es ! Doux – c’est sans doute ce qu’on retient le plus d’une rencontre avec seo jin. il émane de lui une aura chaleureuse et bienveillante. son regard, son sourire, ses gestes même sont éprits d’une tendresse infinie, comme si vous étiez à ses yeux ce qu’il y a de plus précieux. vous ne le verrez jamais hausser le ton, il est tel un grand sage, à apaiser les conflits ou les pleurs par une présence et des mots finement choisis. Ordonné – tout sauf l’une des qualités du garçon. comme il le dit si bien, il vit dans un « bordel organisé ». il a cette fâcheuse tendance à très vite s’étaler, son appartement ne restant pas bien longtemps correctement rangé. cela provoque naturellement des moments où il perd -ou croire perdre- ses affaires. il n’aime pas lorsque tout est soigné dans les moindres millimètres, cela le rend anxieux, allez savoir pourquoi. Audacieux – seo jin aime se lancer des défis. il est persuadé qu’avec du travail et de la persévérance, tout est réalisable. qu’il n’y a rien d’impossible dans la vie si on s’en donne les moyens. c’est pourquoi il possède tant de cordes à son arc : la batterie, le chant, l’acting, des connaissances dans pleins de domaines hétéroclites. Manipulateur – à force d’observations et d’expériences personnelles, le coréen a très vite comprit que si l’on veut survivre au 21e siècle, il faut entrer dans des moules relativement semblables. être grand, avoir un minimum de muscle, posséder un visage parfait ou atypique, mais surtout s’enticher d’un corps de mannequin à la taille presque aussi fine qu’une femme. il faut être beau, pour réussir ; voilà la triste réalité de notre époque. alors seo jin offre ce que l’on attend de lui, tout en tirant ses ficelles avec discrétion et finesse. son sourire enjôleur enivre alors que sa mémoire note tout ce qui serait bon à ressortir pour sauver sa cause. Pétillant – ses collègues, ses fans, ses camarades de classe vous le dire : c’est un joyeux luron. il a toujours le mot, la petite phrase pour vous faire rire et illuminer votre journée. il a le sourire facile, quasiment toujours présent au visage, et il tient difficilement en place. Même s’il n’est pas forcément tactile, il est naturellement doté d’aegyo, et ses nombreuses expressions faciales lui ont donné le surnom de « Jin Carrey », jeu de mot entre son prénom et le nom du fameux acteur américain. Rancunier – il n’en est pas très fier mais il ne peut faire autrement. à force d’être déçu par ceux en qui on croit, à force d’être abandonné par simple égoïsme, être victime sans pouvoir rien y faire vous marque. l’injustice, seo jin en a la sainte horreur. alors il peut accorder son pardon et une deuxième chance, mais si cela est justifiable. autrement, compter sur lui pour entretenir cette rancune et cette rancœur jusqu’à la tombe. Ouvert d’esprit – les différences ethniques, religieuses, sexuelles, physiques, qu’importe, seo jin considère cela comme des trésors à chérir. chaque individu est unique, et c’est cela qu’il faut préserver. il accepte quasiment toutes les différences, tous les styles de vie, du moment qu’ils ne nuisent à personne. il est une personne fidèle et à l’écoute, une épaule sur laquelle on peut se reposer sans problème. Sa loyauté vous promettra une assurance pour vos petits secrets. Décomplexé – là n’est absolument pas le mode de vie du chanteur. s’il est bavard par nature, certains sujets le bloquent, notamment le sexe. également, ne comptez pas sur lui pour se mettre torse nu ; de toute façon, il ne sait pas nager, alors même à la mer ou à la piscine, cela n’arrivera pas. il est très pudique, et cela explique entre autre son aversion pour le skinship. Mature – les malheurs, les épreuves de la vie vous font mûrir plus vite qu’une personne normale. le coréen a beau être toujours de bonne humeur et faire rire son entourage, il n’en reste pas moins quelqu’un de très terre à terre. les belles paroles, les beaux discours, il a apprit à y faire attention. il sait prendre le recul sur la vie et les situations pour trouver des solutions. certaines personnes disent même parfois qu’il a une aura de père de famille ; posé, réfléchit. Docile – vous n’arrivez à rien avec seo jin si vous décidez d’être le dominant. il ne se laisse pas marcher sur les pieds, et vit de ses convictions. lui imposer des choses ? haha, vous n’y arriverez jamais. il suit ses propres règles, qu’importe les conséquences et ce qu’on pourra en dire. tentez de l’amadouer ou de le soumettre, et vous allez vous en mordre les doigts. il est têtu oui, mais on n’a qu’une vie, alors il ne souhaite pas la gâcher pour les autres. il est tel un chat sauvage : il se montre doux et affectueux, mais si on décide de le forcer à quoi que ce soit, il sort les griffes. |
RYU. :tentate:
|
It's my life...
Do not go where the path may lead,
go instead where there is no path and leave a trail
go instead where there is no path and leave a trail
Yu Gyeom fut, d’après les dires de ses parents, une « erreur ». Un mot dur pour un jeune homme n’ayant rien demandé. Pour vous aider à comprendre, remettons nous dans le contexte. Un couple amoureux, ne faisant pas d’histoire dans leur quartier. Lui employé de banque, elle professeur de mathématiques au collège. Un fils, très bien élevé, et prometteur à l’école. Yu Cheon, six ans. Une petite famille modèle, souvent sous les éloges de ses voisins et de leur entourage. Un schéma parfait. Pourtant, il ne suffit d’un soir, où faute d’avoir que trop bien fêter le nouvel an chinois, un oubli de préservatif fit tout voler en éclats. Si pendant plusieurs mois, rien ne leur mit la puce à l’oreille quant à un éventuel second enfnat, la raison en était très simple : un déni de grossesse. Madame Cha vit son ventre pousser du jour au lendemain, après six mois bien caché. Ils ne purent faire autrement que d’accepter ce bébé dans leur vie. Ce disant que c’était peut-être un cadeau.
Mais si les toutes premières années de vie de Yu Gyeom se passèrent relativement bien, tout commença à sombrer aux environs de ses quatre ans et de son entrée à l’école. Pourquoi ? Car il était chubby. Évidemment, la grande majorité des enfants, vers cet âge là, gardent leurs bonnes joues rondes. Mais lui, il était rond de partout. Très vite, les autres le mirent le côté, et on le qualifia de grassouillet. Possédant déjà une grande empathie pour son âge, et ne voulant pas créer de problèmes chez lui, ou de déception dans le regard de ses parents, le garçon prit sur lui toute ses années maternelles et le début du primaire. Mais ses parents remarquèrent bien la non perte de poids de leur fils. C’est à cette époque d’ailleurs que Yu Cheon, qui était son modèle, commença à prendre ses distances. Refusant de jouer avec lui en prétendant avec des devoirs, ou des rendez-vous chez ses copains.
Alors Yu Gyeom s’enferma dans un mutisme, où son seul réconfort était la nourriture. Et ainsi, il sombra dans l’obésité, petit à petit. Il passa du jeune garçon rondouillard à celui d’obèse. À l’école, il n’avait pas d’amis, alors il se réfugia dans les livres. Tout d’abord les romans, puis les livres d’histoire, de médecine, d’astronomie, tout ce qui lui tombait sous la main. C’est ainsi que ce développa cette mémoire incroyable et ces connaissances impressionnantes dont il fait aujourd’hui preuve. Mais derrière ce tableau déjà bien noircit, se cachait une autre autre vérité, encore bien plus sombre. Bien plus tragique.
Sa mère ne pouvant supporter le poids des remarques de ses collègues et des parents d’élèves, Yu Cheon ne pouvant supporter les regards de ses camarades sur ce lien fraternel avec un gros, le père prit une décision radicale dans les derniers temps du garçon au collège : déménager. Mais sans lui. Yu Gyeom n’entrait pas dans la norme. Il était un intrus dans cette société désireuse d’être parfaite et sans défaut. Alors ils partirent pour le sud, et plus précisément Daegu, l’abandonnant à l’autre tare de la famille : le grand-père, veuf, et aveugle.
Il passa sa dernière année de collège à s’habituer à cette nouvelle vie, rythmée par les moqueries et autres actes de ses persécuteurs, le stress de l’entrée au lycée et l’assistance au vieil homme handicapé. Mais en lui, il trouva tout ce qu’il avait toujours cherché, et eut besoin : un refuge. Une présence chaleureuse et aimante. Ils étaient semblables : montrés du doigt, haïs pour une différence non désirée, destinés à vivre reclus. Mais contrairement à Yu Gyeom, il avait une passion, qui le maintenait en vie. Le chant. Cependant, faute de ses yeux, et malgré la beauté de sa voix, il ne put jamais en vivre. Et ceci fut une révélation pour le garçon. Le rêve de son grand-père, il allait le réaliser pour lui. Pour eux.
Ainsi, il passa ses années lycées entre la bibliothèque, leur maison, et la salle de sport. Et en moins de temps qu’il ne l’aurait cru, après des efforts acharnés, et une persévérance à toute épreuve, le miracle arriva. Une métamorphose. Les bourrelets s’étaient transformés en muscles. La graisse avait laissé place à des traits fins et masculins. Une renaissance, telle un Phoenix.
Entre temps, il avait posté des audios de sa voix, sur des réseaux sociaux. Sans jamais montré son visage. Ce fut ainsi qu’un producteur le remarqua, dans sa dernière année. Un voyage à Séoul, un rendez-vous, des essais, et il signait un contrat. Pour un rôle dans une comédie musicale. Il allait enfin réalisé le rêve de son grand-père. Et c’est ainsi qu’il emménagea à mi-temps dans la capitale sud-coréenne, pour faire ses premiers pas sur scène. Une star était née. Hong Seo Jin.
Très vite, il changea officiellement son nom, pour prendre celui de son grand-père, après son autorisation puisque le vieil homme était devenu son garant. Et avec ses excellentes notes, il entra tout naturellement à la Yonsei, posant définitivement ses valises dans cette ville pleine de promesses. Son grand-père lui ne désira pas quitter cette petite maison où il vivait depuis maintenant ses année. Alors il lui promit d’aller le voir une fois tous les mois, pour lui faire écouter les DVDs des comédies musicales dans lesquelles il joua.
Seo Jin eut enfin droit a une vie où on ne lui jetait non pas des pierres mais des fleurs, où au lieu des coups les fans lui serraient les mains, où sa voix se faisait enfin entendre. Sa popularité grandit de jour en jour, et très vite les secondes mineurs furent remplacés par des rôles secondaires, pour finir par devenir l’une des têtes d’affiche. Grâce à son talent et ses expressions faciales, il finit même par se faire repérer par le monde du 7eme art il y a peu. Ses pas touchèrent alors les plateaux de tournage, pour un film à gros budget. Tout était parfait. C’était du donnant donnant. Il offrait ce qu’on attendait de lui, et il recevait l’attention qu’il méritait.
Pourtant, en cette troisième année d’université, un démon réapparut dans sa vie. Sous l’apparence d’un tout nouveau professeur d’anglais et d’économie-finances. Cha Yu Cheon. Ce grand-frère qu’il avait tant idolâtré, mais qui l’avait lâchement et violemment rayé de sa vie simplement à cause de son apparence physique. Si lui à conscience de son identité, quand sera-t-il du plus âgé ? La confrontation aura-t-elle lieu ?
Mais si les toutes premières années de vie de Yu Gyeom se passèrent relativement bien, tout commença à sombrer aux environs de ses quatre ans et de son entrée à l’école. Pourquoi ? Car il était chubby. Évidemment, la grande majorité des enfants, vers cet âge là, gardent leurs bonnes joues rondes. Mais lui, il était rond de partout. Très vite, les autres le mirent le côté, et on le qualifia de grassouillet. Possédant déjà une grande empathie pour son âge, et ne voulant pas créer de problèmes chez lui, ou de déception dans le regard de ses parents, le garçon prit sur lui toute ses années maternelles et le début du primaire. Mais ses parents remarquèrent bien la non perte de poids de leur fils. C’est à cette époque d’ailleurs que Yu Cheon, qui était son modèle, commença à prendre ses distances. Refusant de jouer avec lui en prétendant avec des devoirs, ou des rendez-vous chez ses copains.
Alors Yu Gyeom s’enferma dans un mutisme, où son seul réconfort était la nourriture. Et ainsi, il sombra dans l’obésité, petit à petit. Il passa du jeune garçon rondouillard à celui d’obèse. À l’école, il n’avait pas d’amis, alors il se réfugia dans les livres. Tout d’abord les romans, puis les livres d’histoire, de médecine, d’astronomie, tout ce qui lui tombait sous la main. C’est ainsi que ce développa cette mémoire incroyable et ces connaissances impressionnantes dont il fait aujourd’hui preuve. Mais derrière ce tableau déjà bien noircit, se cachait une autre autre vérité, encore bien plus sombre. Bien plus tragique.
Sa mère ne pouvant supporter le poids des remarques de ses collègues et des parents d’élèves, Yu Cheon ne pouvant supporter les regards de ses camarades sur ce lien fraternel avec un gros, le père prit une décision radicale dans les derniers temps du garçon au collège : déménager. Mais sans lui. Yu Gyeom n’entrait pas dans la norme. Il était un intrus dans cette société désireuse d’être parfaite et sans défaut. Alors ils partirent pour le sud, et plus précisément Daegu, l’abandonnant à l’autre tare de la famille : le grand-père, veuf, et aveugle.
Il passa sa dernière année de collège à s’habituer à cette nouvelle vie, rythmée par les moqueries et autres actes de ses persécuteurs, le stress de l’entrée au lycée et l’assistance au vieil homme handicapé. Mais en lui, il trouva tout ce qu’il avait toujours cherché, et eut besoin : un refuge. Une présence chaleureuse et aimante. Ils étaient semblables : montrés du doigt, haïs pour une différence non désirée, destinés à vivre reclus. Mais contrairement à Yu Gyeom, il avait une passion, qui le maintenait en vie. Le chant. Cependant, faute de ses yeux, et malgré la beauté de sa voix, il ne put jamais en vivre. Et ceci fut une révélation pour le garçon. Le rêve de son grand-père, il allait le réaliser pour lui. Pour eux.
Ainsi, il passa ses années lycées entre la bibliothèque, leur maison, et la salle de sport. Et en moins de temps qu’il ne l’aurait cru, après des efforts acharnés, et une persévérance à toute épreuve, le miracle arriva. Une métamorphose. Les bourrelets s’étaient transformés en muscles. La graisse avait laissé place à des traits fins et masculins. Une renaissance, telle un Phoenix.
Entre temps, il avait posté des audios de sa voix, sur des réseaux sociaux. Sans jamais montré son visage. Ce fut ainsi qu’un producteur le remarqua, dans sa dernière année. Un voyage à Séoul, un rendez-vous, des essais, et il signait un contrat. Pour un rôle dans une comédie musicale. Il allait enfin réalisé le rêve de son grand-père. Et c’est ainsi qu’il emménagea à mi-temps dans la capitale sud-coréenne, pour faire ses premiers pas sur scène. Une star était née. Hong Seo Jin.
Très vite, il changea officiellement son nom, pour prendre celui de son grand-père, après son autorisation puisque le vieil homme était devenu son garant. Et avec ses excellentes notes, il entra tout naturellement à la Yonsei, posant définitivement ses valises dans cette ville pleine de promesses. Son grand-père lui ne désira pas quitter cette petite maison où il vivait depuis maintenant ses année. Alors il lui promit d’aller le voir une fois tous les mois, pour lui faire écouter les DVDs des comédies musicales dans lesquelles il joua.
Seo Jin eut enfin droit a une vie où on ne lui jetait non pas des pierres mais des fleurs, où au lieu des coups les fans lui serraient les mains, où sa voix se faisait enfin entendre. Sa popularité grandit de jour en jour, et très vite les secondes mineurs furent remplacés par des rôles secondaires, pour finir par devenir l’une des têtes d’affiche. Grâce à son talent et ses expressions faciales, il finit même par se faire repérer par le monde du 7eme art il y a peu. Ses pas touchèrent alors les plateaux de tournage, pour un film à gros budget. Tout était parfait. C’était du donnant donnant. Il offrait ce qu’on attendait de lui, et il recevait l’attention qu’il méritait.
Pourtant, en cette troisième année d’université, un démon réapparut dans sa vie. Sous l’apparence d’un tout nouveau professeur d’anglais et d’économie-finances. Cha Yu Cheon. Ce grand-frère qu’il avait tant idolâtré, mais qui l’avait lâchement et violemment rayé de sa vie simplement à cause de son apparence physique. Si lui à conscience de son identité, quand sera-t-il du plus âgé ? La confrontation aura-t-elle lieu ?
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 14:48 Citer EditerSupprimer
PREUUUUMZ
BAEEEEEEE T'ES ENFIN LA -comment oses-tu faire attendre ton homme
Je vais devoir te punir pour ca
PREPARE-TOI, je viens faire chavirer ton coeur tout moue
BAEEEEEEE T'ES ENFIN LA -comment oses-tu faire attendre ton homme
Je vais devoir te punir pour ca
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Han Kyung Ho
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 14:52 Citer EditerSupprimer
Ah ouais, tu postes en scred comme ça toi
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:34 Citer EditerSupprimer
sora my love -
kyungho - jvois pas de quoi tu parles
kyungho - jvois pas de quoi tu parles
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:35 Citer EditerSupprimer
j'te bz
rapide comme l'éclair
lol
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:51 Citer EditerSupprimer
non mais, même pas tu m'préviens quoi. j'vois l'genre de nana que t'es.
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:53 Citer EditerSupprimer
nam seon - moi j'dis pas non, faut voir ça avec sora
kyung ho - oui oh ça va hein j'ai posté sur ordi et j'avais skype sur tel alors ct pas pratique
kyung ho - oui oh ça va hein j'ai posté sur ordi et j'avais skype sur tel alors ct pas pratique
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:56 Citer EditerSupprimer
NON CA VA PAS tu me parles de lui depuis un moment, tu me teases, itou itou... POUR FINALEMENT QUOI ? Que je sois même pas prévenu que tu postes ta fiche j'suis outrée.
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Re: hong seo jin + phoenix | Lun 19 Mar 2018 - 15:58 Citer EditerSupprimer
PARDOOOOOOOOON :bago:
j'te préviendrai quand elle sera finit alors, tu seras la 1ere à le savoir
j'te préviendrai quand elle sera finit alors, tu seras la 1ere à le savoir
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