armani rivael ► dj, ease my mind
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armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 0:59 Citer EditerSupprimer
armani rivael
Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening. And green at night.
#EXTRAVERTIE | #FACILE | #ARTISTE | #FAINÉANTE | #PACIFIQUE |
#GÉNÉREUSE | #IMPRUDENTE | #HONNÊTE | #INSTABLE | #LUCIDE |
NOM : Armani, comme Giorgio, le prestige en moins. PRÉNOM : Rivael. Un prénom celte donc. Les parents sont partis loin sur ce coup là ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 21 ans, 1er juillet. ORIGINES : franco-italienne, ça se voit franchement. Faut dire le côté rital, ça éclaire tout de suite, n'est-ce-pas ? NATIONALITÉ : italienne. Paraît que c'est limite un principe chez les enfants armani de refuser la double nationalité, et puis c'est assez cool, de rester une espèce de touriste paumée. En plus, elle ne se sent pas du tout coréenne ; le faciès, sans doute. CLASSE SOCIALE : Tranquille. Avant de se reconvertir en mère Térésa, le padre a bien compris la morale de Picsou. ORIENTATION SEXUELLE : la demoiselle aurait tendance à dire bisexuelle, à en juger par les gens à côté de qui elle se réveille après un lendemain de teuf. En plus 'on ne tombe pas amoureux d'un genre, mais d'une personne", qu'ils disent tous, alors bon. CURSUS UNIVERSITAIRE : arts plastiques, appliqués, design (arts plastiques - bachelor) ; c'est juste histoire de pouvoir se vanter d'être étudiante, et de s'imaginer être la nouvelle Niki de Saint-Phalle. MÉTIER : retraitée, ça consiste à se poser sur un banc et à donner des miettes aux pigeons. accessoirement dealeur aussi, quand il y a besoin d'un coup de main niveau artisanat familial. Code du règlement : done.
TU VEUX T'INVESTIR? : gravement, ça a l'air plutôt rigolo comme petite guerre, et puis il faut bien quelqu'un pour récupérer les brebis égarées et ramener l'amour sur terre
“ Rumour has it :Elle n'est pas la vraie sœur de Reeva (f) + son père était un remake de Michael Corleone (v) + Elle est une espèce de grosse camée qui engloutit les trois quarts de la production familiale (f) + Elle adorerait se lancer dans l'humanitaire (v) + elle est une habituée des raves au milieu des bois (v) + elle a déjà été internée (f) + Elle se fait entretenir par vieux riche exentrique (f) + elle complexe beaucoup de son absences de formes (f) + elle mange comme 10. 25. Comme 72. (v) + si on lui met un flingue dans les mains, elle sait s'en servir (v)
TU VEUX T'INVESTIR? : gravement, ça a l'air plutôt rigolo comme petite guerre, et puis il faut bien quelqu'un pour récupérer les brebis égarées et ramener l'amour sur terre
“ Rumour has it :Elle n'est pas la vraie sœur de Reeva (f) + son père était un remake de Michael Corleone (v) + Elle est une espèce de grosse camée qui engloutit les trois quarts de la production familiale (f) + Elle adorerait se lancer dans l'humanitaire (v) + elle est une habituée des raves au milieu des bois (v) + elle a déjà été internée (f) + Elle se fait entretenir par vieux riche exentrique (f) + elle complexe beaucoup de son absences de formes (f) + elle mange comme 10. 25. Comme 72. (v) + si on lui met un flingue dans les mains, elle sait s'en servir (v)
“ Caractère :
Arc-en-ciel comme l'artiste. C'est de là que tout découle, sans doute. Rivael n'était pourtant pas prédestinée à l'art. Elle ne partageait pas l'idée de la Beauté sacrée des anciens ; de la morale révolutionnaire des nouveaux. Elle n'avait pas de message à faire passer, absolument rien à revendiquer, mais le vulgaire s'obstinait à lui imposer le terme, « t'es une sacrée artiste, toi ». Sans doute à cause du style vestimentaire, de la nonchalance et du détachement permanent. Absinthe comme l'extravertie. C'est en connaissant les gens qu'elle en apprend toutes les nuances. Ils sont essentiels à sa survie, à sa compréhension de son univers. Et elle les aime, ces personnes, à en crever, d'une certaine manière. Chaque rencontre est comme un cadeau, la possibilité de découvrir quelque chose de neuf, d'intact, de beau. Et c'est entourée de toutes ces personnes qu'elle se sent bien, qu'elle respire, et qu'elle sourit toujours plus. Grenat comme la facile. Encore un coup du vulgaire ça. Être femme, célibataire et dans un lit équivaut à « salope » écrit au rouge à lèvre sur le front. Soit. Elle s'en fiche, d'être « facile ». Ca lui plaît même un peu, non pas d'être considérée comme un objet de désir, mais de se retrouver dans les bras d'un illustre inconnu à chaque nouvelle soirée et de partager quelque chose de profondément beau, intense, incommensurable. Salope vous avez dit ? Niaise, glucosée, un peu écœurante dans sa fausse innocence. Pervenche comme la fainéante. Parce que c'est parfois dur, de se lever, de vivre une vie active d'étudiante. Riv se complaît dans sa paresse excessive. C'est ça aussi, de relativiser sur les plus grands sujets de l'existence, on en perd les priorités, et glander se met au même niveau que dieu seul sait quel examen. Tangerine comme la généreuse. Merci papa le sauveur de grand frère bridé. C'est grâce à lui qu'elle préfère utiliser la fortune familiale pour faire plaisir à tout le monde, plutôt que de se noyer dans une baignoire de billets. Voir un ami ou un étranger sourire grâce à elle, rayonner, l'irradier, c'est la meilleure chose qui soit, ce qu'elle aimerait immortaliser partout, tout le temps. Elle trouve ça cool, comme ambition, rendre heureuse chaque personne qui passe devant ses yeux. Héliotrope comme l'honnête. Il n'y a jamais eu de place pour le mensonge chez elle. C'est simple, elle n'a jamais menti, même si parfois la vérité blesse plus que ce qu'elle devrait. C'est une question de logique. Si elle peut tout entendre sans se jeter du haut d'un pont, alors tout le monde peut le faire. Et pas question d'art et de manière. Elle s'en tient aux faits dans leur état le plus brut. Enjoliver, enlaidir, rien de plus qu'un vice malsain, selon elle. Paraît que ça aurait tendance à la faire passer pour une rustre, d'une indélicatesse fulgurante. Il n'y a pourtant là que bon fond. Cramoisi comme l'imprudente. C'est limite une religion, les embrouilles, et c'est absolument indépendant de sa volonté. A force de chercher les plus belles couleurs, on en oublie un peu qui sont les gens qu'elles définissent, qu'il faut regarder aussi devant soi pour ne pas tomber de toute sa hauteur. S'ajoute à ça toujours ce problème de morale, de priorités absentes. Mais promis « cette fois j'y suis vraiment pour rien ». Noir comme l'instable. Il ne faut pas chercher de dépression nerveuse, ou de tendances suicidaires diverses et variées, Rivael en est très loin. Elle est juste atteinte de cette frénésie, de cette peur panique de voir les couleurs se fondre, se mélanger, disparaître et la laisser seule et hagarde. Rien de dramatique, donc. Mais quand la peur monte, que sa vision se trouble, elle abandonne tout, se jette sur ses acryliques comme une démente, s'accroche à ses toiles jusqu'à tomber de fatigue. Or comme la lucide. Ne vous y trompez pas, son monde ne se résume pas à des petits poneys et des papillons. Elle met de la couleur où elle peut pour comprendre, pas par pure stupidité enfantine. Elle est tout à fait consciente des choses qu'il se passe autour d'elle, de sa place à elle, de sa famille. Elle n'est pas si paumée, la petite, elle reste juste d'une neutralité à toute épreuve. Azur comme la pacifique. Parce que la guerre, c'est mal. Ce seul message de paix fait officiellement d'elle une sorte de hippie aux yeux des gentils coréens un poil trop belliqueux à son goût. Quand Riv parle de ramener l'amour sur terre, d'harmonie et de bonheur partagé, elle ne rigole pas. La violence physique lui fait une peur bleue, et elle serait prête à tout pour l'éviter durablement, quitte à se montrer d'une faiblesse affolante.
“ Once upon a time :
Sa vie est un arc-en-ciel. Et elle glisse, elle glisse, elle glisse, sans jamais arriver en-bas. C'est sa façon à elle d'être heureuse, ne jamais toucher la Terre des autres, des abattus, des enragés, des insatisfaits chroniques.
Ca n'a pas toujours été comme ça, bien sûr. Avant elle était normale, la vie ; un peu trop contrastée même, trop jeune pour saisir les petites nuances qui en font quelque chose qui en vaut la peine. C'est ce qui caractérise l'enfance, après tout. Celle de Rivael était très blanche, rythmée par les caprices assouvis de petite fille riche, de l'amour des parents et de la complicité avec la grande sœur. Le bonheur, renforcé par l'arrivée un beau matin d'un enfant perdu. C'était toujours bon à sauver, une nouvelle âme. Elle ne remerciera jamais assez son père de lui avoir montré ce qu'elle avait défini comme la Gentillesse. Elle avait d'ailleurs suivi sa trace, en adoptant ce grand-frère bridé si différent des siciliens.
L'adolescence comme douceur. C'était à peu près ça, une sorte de rose pâle agréable à regarder. Très vite devenu rouge sang. C'est un traumatisme, de perdre sa mère. Comprendre à peu père tout ce qui la conditionne en est un autre. Elle a vu les gens pleurer, se déchirer, crier, prier un peu aussi, peut-être, avec la sensation amère que cela ne s'arrêterait jamais, que maintenant tout serait vécu en fonction de ça. Il paraît que c'était prévisible, un événement comme ça, que ce n'était pas rare dans les familles louches. Elle en était la seule surprise, en somme ; trop idiote pour comprendre qui les Armani étaient, et en quoi ce qu'ils faisaient n'était pas normal. Trop naïve pour comprendre qu'elle était élevée comme les autres dans le but de marcher sur les traces du paternel. Et prendre le risque de voir encore un un cercueil et d'y jeter une rose. Il vient de là, le déclic, le changement soudain, au moment-même où elle a entendu en écho « maman est morte ».
Ca aurait pu se dégrader, déclencher des crises jusque-là insoupçonnées, mais rien, pas même une larme. Au lieu de ça l'incroyable fatalité de l'envers du décor, et l'envie de s'y soustraire, de s'éloigner le plus possible du centre de la douleur, de ne plus se laisser berner par les monochromes. Parce que de toute évidence, c'était cette conception merdique qui l'avait enfermée dans son monde trop-beau-trop-niais. Non, il fallait tout voir, tout sentir, et ne plus jamais taper à côté. Et pour être sûre de réussir, elle n'avait alors gardé qu'un principe, celui de la relativité. Tout pouvait arriver, elle voyait des palettes infinies défiler devant ses yeux, se perdait dans les émotions vives, et ne s'attachait à aucune. En y repensant aujourd'hui, c'était peut-être la cause de la rupture avec Reeva, ce manque de simplicité et de sensations primaires.
Quand elle avait appris que la Sicile appartiendrait bientôt au passé, elle s'était juste promenée une dernière fois, avait profité de toute les couleurs de sa belle Italie ; le bonheur jaune des enfants, la douceur bleue de leur mère, le vert rieur aux terrasses des cafés, le rose orangé des petites amoureuses qui regardaient leur chevalier sur la place, ballon au pied. Tout était plus intense, plus beau que jamais. Et pour la première fois, elle découvrit le gris. Il n'y avait rien de plus sombre que Séoul et que les personnes qui y vivaient. Il n'y avait plus d'émotion à attraper, et le monochrome était de retour. Même ce demi-frère qu'elle avait pourtant trouvé intéressant était d'un gris maladif, à peine visible. On la privait de ses couleurs, la seule chose qui lui permettait de définir, de s'empêcher de voir d'une seule façon, de s'enfermer encore dans un monde opaque, extrémiste et monocanal. La seule solution, c'était de créer. Sur elle, d'abord, abandonner la banalité de rigueur et porter sur elle la marque de ses convictions, dans l'espoir d'en contaminer d'autres, dans une moindre mesure, de leur imposer les nuances qu'elle connaissait par cœur ; sur les choses ensuite, elle s'entourait perpétuellement de toiles, de feuilles, de marges de cours, de peintures aux éclats vifs, de couleurs précieuses. Bonheur retrouvé, elle se sentait au-dessus de tout, capable de tout affronter avec la même ardeur, sans la crainte excessive de retomber dans une glu monochrome et dénuée de tous les tons qui empêchent de reconstruire.
uc
Ca n'a pas toujours été comme ça, bien sûr. Avant elle était normale, la vie ; un peu trop contrastée même, trop jeune pour saisir les petites nuances qui en font quelque chose qui en vaut la peine. C'est ce qui caractérise l'enfance, après tout. Celle de Rivael était très blanche, rythmée par les caprices assouvis de petite fille riche, de l'amour des parents et de la complicité avec la grande sœur. Le bonheur, renforcé par l'arrivée un beau matin d'un enfant perdu. C'était toujours bon à sauver, une nouvelle âme. Elle ne remerciera jamais assez son père de lui avoir montré ce qu'elle avait défini comme la Gentillesse. Elle avait d'ailleurs suivi sa trace, en adoptant ce grand-frère bridé si différent des siciliens.
L'adolescence comme douceur. C'était à peu près ça, une sorte de rose pâle agréable à regarder. Très vite devenu rouge sang. C'est un traumatisme, de perdre sa mère. Comprendre à peu père tout ce qui la conditionne en est un autre. Elle a vu les gens pleurer, se déchirer, crier, prier un peu aussi, peut-être, avec la sensation amère que cela ne s'arrêterait jamais, que maintenant tout serait vécu en fonction de ça. Il paraît que c'était prévisible, un événement comme ça, que ce n'était pas rare dans les familles louches. Elle en était la seule surprise, en somme ; trop idiote pour comprendre qui les Armani étaient, et en quoi ce qu'ils faisaient n'était pas normal. Trop naïve pour comprendre qu'elle était élevée comme les autres dans le but de marcher sur les traces du paternel. Et prendre le risque de voir encore un un cercueil et d'y jeter une rose. Il vient de là, le déclic, le changement soudain, au moment-même où elle a entendu en écho « maman est morte ».
Ca aurait pu se dégrader, déclencher des crises jusque-là insoupçonnées, mais rien, pas même une larme. Au lieu de ça l'incroyable fatalité de l'envers du décor, et l'envie de s'y soustraire, de s'éloigner le plus possible du centre de la douleur, de ne plus se laisser berner par les monochromes. Parce que de toute évidence, c'était cette conception merdique qui l'avait enfermée dans son monde trop-beau-trop-niais. Non, il fallait tout voir, tout sentir, et ne plus jamais taper à côté. Et pour être sûre de réussir, elle n'avait alors gardé qu'un principe, celui de la relativité. Tout pouvait arriver, elle voyait des palettes infinies défiler devant ses yeux, se perdait dans les émotions vives, et ne s'attachait à aucune. En y repensant aujourd'hui, c'était peut-être la cause de la rupture avec Reeva, ce manque de simplicité et de sensations primaires.
Quand elle avait appris que la Sicile appartiendrait bientôt au passé, elle s'était juste promenée une dernière fois, avait profité de toute les couleurs de sa belle Italie ; le bonheur jaune des enfants, la douceur bleue de leur mère, le vert rieur aux terrasses des cafés, le rose orangé des petites amoureuses qui regardaient leur chevalier sur la place, ballon au pied. Tout était plus intense, plus beau que jamais. Et pour la première fois, elle découvrit le gris. Il n'y avait rien de plus sombre que Séoul et que les personnes qui y vivaient. Il n'y avait plus d'émotion à attraper, et le monochrome était de retour. Même ce demi-frère qu'elle avait pourtant trouvé intéressant était d'un gris maladif, à peine visible. On la privait de ses couleurs, la seule chose qui lui permettait de définir, de s'empêcher de voir d'une seule façon, de s'enfermer encore dans un monde opaque, extrémiste et monocanal. La seule solution, c'était de créer. Sur elle, d'abord, abandonner la banalité de rigueur et porter sur elle la marque de ses convictions, dans l'espoir d'en contaminer d'autres, dans une moindre mesure, de leur imposer les nuances qu'elle connaissait par cœur ; sur les choses ensuite, elle s'entourait perpétuellement de toiles, de feuilles, de marges de cours, de peintures aux éclats vifs, de couleurs précieuses. Bonheur retrouvé, elle se sentait au-dessus de tout, capable de tout affronter avec la même ardeur, sans la crainte excessive de retomber dans une glu monochrome et dénuée de tous les tons qui empêchent de reconstruire.
uc
Blue.D
ouais demain <3
Beujuuur j'ai été traînée là de force par les deux autres armani, ils savent être persuasifs vous savez, surtout qu'avant-hier j'en étais encore à me dire que non, pas possible et puis... on m'a vaguement décrit l'ambiance bien kewl, le forum avait une belle gueule, l'avatar de ma vie s'est présenté à moi d'un coup bref, coucou
Plus sérieusement, mon retour sur un grand test (un vrai gros saut dans le vide), pour voir si j'arrive à gérer correctement entre les cours et le forum Du coup niveau disponibilité.. au moins mercredi et week-end, l'idéal étant d'arriver à un peu tous les jours
& vous n'imaginez même pas à quel point je vous aime déjà
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼NORGAARD CHLOE ✎ Armani Rivael
Plus sérieusement, mon retour sur un grand test (un vrai gros saut dans le vide), pour voir si j'arrive à gérer correctement entre les cours et le forum Du coup niveau disponibilité.. au moins mercredi et week-end, l'idéal étant d'arriver à un peu tous les jours
& vous n'imaginez même pas à quel point je vous aime déjà
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:00 Citer EditerSupprimer
en fait vous faites trop peur les gars ee
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:01 Citer EditerSupprimer
wsdfgdsfbg
LA MEUF QUI EDITAIT TROIS SIECLES APRES LMAO
ALORS, franchement je ne sais pas si tu vas aller chez les bleus, si ça va être une de tes options ou quoi mais je m'en tape ça change pas à quel point je t'aime je t'aime je t'aiiiime, j'aime touuute la famille Armani omg. Je viens de lire ton début de fiche et rien que les # m'inspirent, j'aime vraiment ton personnage. J'le trouve assez libre, innocent mais en même temps déglingué, c'est trop bizarre. Mais je le surkiff. j'aime tellement aussi ce côté famille de mafieux, je trouve ça trop palpitant. Enfin bref, je t'aime, et le point : CHLOE. stp réserve moi ta prochaine ovulation. -weirdo-
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:02 Citer EditerSupprimer
mdr c'est fou comme on a tous des messages trop constructifs pour résa nos places
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:12 Citer EditerSupprimer
mdrrr vous êtes extraordinaires, définitivement <3
J'ai hâte de voir vos édits à tous les trois, je vais m'amuser
J'ai hâte de voir vos édits à tous les trois, je vais m'amuser
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:28 Citer EditerSupprimer
je me suis absenté trop longtemps pour comprendre pourquoi on a trois armani du coup, je vais aller me mettre à la page. surtout avec un minki dans le tas.
bienvenue à toi ma jolie, j'ai hâte de lire ta fiche parce que vous m'intriguez maintenant!
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 1:48 Citer EditerSupprimer
moi je suis de près tout les armani et je vous adore, mais toi particulièrement. norgaard quoi c'est un superbe choix, et honnêtement, faut que je te mp parce que j'ai une putain d'idée de lien pour faire avancer mon personnage (je sais, y'as rien encore dans ta fiche mais rien que les # m'inspirent)
bon courage pour ta fiche; je te love
bon courage pour ta fiche; je te love
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Re: armani rivael ► dj, ease my mind | Jeu 18 Déc - 6:49 Citer EditerSupprimer
Ok alors là c'est le pompon Chloe Norgaard quoi, cette fille est juste ultra bonne maggle
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