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I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Lun 20 Aoû - 20:17 Citer EditerSupprimer
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ft. DaChan
Bom chan retrouve une certaine liberté d’esprit quand il est avec elle. Il oublie tout le reste, comme si sa vie ne se résumait qu’à ce flirt présent. Il oubliait à quel point il se sentait impuissant face à la détresse de rei. Il oubliait sa vengeance, celle qui le rongeait à petit feu et qui le rendait fou, il oubliait à quel point il n’aimait pas son boulot de prof, et oubliait surtout que sa vie se retrouvait soudainement embourbé dans une routine destructrice. Bom chan avait l’âme d’un guerrier et ne restait jamais réellement en place. Il avait besoin de changer autant de femmes, que de lieux, et de métier. Il ne supportait pas l’idée de s’enfermer dans une vie bien rangée ou l’ennuie le guetterait dès qu’il ouvrirait les yeux. Pourtant, chaque matin quand il se levait, il réalisait à quel point ses gestes étaient similaires à ceux de la veille, et ça le tuait, de voir à quel point sa vie était devenue si plate. Où était ce gosse remplie de rage qui voulait conquérir le monde et venger sa mère ? L’avait-il oublié, elle ? Sa mort, ses souffrances. Que faisait-il a ainsi jouer les professeurs parfaits ? A regarder Rei se détruire sans rien faire … Bom chan avait fini par oublier qui il l’était parce qu’il avait laissé une femme et son frère jouer avec lui. Il avait cru pendant un instant avoir le dessus, mais ils s’étaient très largement moqués de lui. Il avait perdu et s’était perdu en même temps. Alors quand Da Nah était entrée dans sa vie la donne avait changé. Il s’était à nouveau avec un but, une envie. Ses jours étaient rythmés par les visites de la jeune femme et il se refusait de l’avouer mais il attendait leur rencontre comme on attendrait un ange salvateur. Impatient et le cœur remplie d’envie. Alors chaque fois qu’il voyait ce regard de chat félin, cette bouche pleine et ce visage rond, il ne pouvait s’empêcher de sourire. Dieu qu’il avait envie d’elle. De cette envie sauvage et animal, pourtant quand il posait ses mains sur elle c’était toujours avec respect et une certaine tendresse. Il n’avait dès lors, jamais ne réaliser à quel point la jeune femme pouvait être importante. Il avait longuement joué avec elle, depuis des mois mêmes, sans jamais lui accorder réellement de l’importance. Il avait même pu la posséder mais l’avais laissé en plan pour un coup de fil qu’il aurait mieux fait de manquer. Il se souvient encore des promesses qu’il faisait à Lin en lui assurant qu’il ne couchait avec personnes d’autres et pourtant il y avait eu Da Nah. Il y avait toujours eu Da Nah. D’aussi loin qu’il se souvienne. Depuis leur rencontre la jeune femme n’avait jamais quitté sa vie. Il réalise ce soir à quel point il avait dû lui faire du mal. Il ne sait pas comment il réagirait si elle le quittait là, ce soir, pour rejoindre un autre homme. Bom chan a toujours été un homme égoïste, qui se moquait bien du mal qu’il pouvait faire, ce n’est pas tant qu’il était sans cœur, mais il avait tellement souffert qu’il se disait que pour une fois ça pouvait au tour des autres un peu. Il avait si tort. Il étouffe un rire en entendant le gardien et de voir la jeune femme aussi paniquée. Lui pouvait très bien se promener dans les couloirs à sa guise, mais elle … c’était une autre histoire, et ça, ça l’amusait fortement. Il recule dans la remise étroite et bien trop petite pour accueillir deux corps et tout le matériel de ménage. Il ferme les yeux un instant à son souffle goût cerise qu’il meurt d’envie de dévorer. Il se retient, comme l’homme galant qu’il tentait d’être. « Effectivement, on ne pouvait pas. » il vient glisser ses mains sur ses hanches, bon sang que c’était dur de lui résister. Elle avait cette innocence et ce regard qui le rendait fou. Il avait d’elle et pas seulement que sur le plan physique. Il avait envie de le sentir contre lui, de ne faire qu’un avec elle … aussi sûr qu’il avait besoin d’air pour respirer. Il l’attrape soudainement par la taille et la soulève pour l’asseoir sur le rebord du chariot qui craque légèrement sous son poids. Il vient caresser sa peau délicate sous son haut, se contentant de rester sagement sur sa hanche et peut-être même de remonter le long de ses côtes. La pénombre des lieux ne lui permet que de distinguer le brillant de ses yeux. Sa main libre agrippe doucement sa nuque alors qu’il vient frôler ses lèvres de son pouce. « As-tu la moindre idée de ce que tu me fais Da Nah ? » murmure-t-il même s’il savait qu’elle ne comprendrait sûrement pas. La pulpe de ses doigts vient frôler le bas de son soutient gorge en tissu de dentelle peut-il deviner. Il mordille sa propre lèvre alors que le souffle de la jeune femme s’écrase sur sa bouche délicieusement. « Le gardien … » lui rappelle-t-il pour l’empêcher de faire du bruit … il vient glisser ses doigts sur la petite perle au centre de son soutient gorge, un ornement qui vise certainement à rentre l’ensemble plus attrayant, et glisse son index du tissu jusqu’à son nombril, sentant chacun des souffles, des creux, et des spasmes qui agitent le ventre de la plus jeune … il retire sa main sagement et vient frôler ses lèvres des siennes. Il s’était glissée entre ses cuisses et repose à présent ses deux paumes chaudes sur ces dernières qu’il caresse machinalement avec une tendresse que seul un dominant peut offrir à l’objet de ses désirs. « J’aime vraiment beaucoup la façon que tu as de respirer Da Nah » dit-il d’un ton calme comme si tout ça ne l’excitait pas, et seule la bosse de son pantalon le trahi. Il écrase délicatement son pouce sur sa lèvre inférieure pour dévoiler une ranger de dents blanches. Lèvre qu’il attrape d’ailleurs sans permission entre ses propres dents et qu’il tire taquin pour la laisser retrouver sa place d’un léger rebond. « Cerise. » conclut-il comme si tout ce qu’il avait fait jusqu’ici n’avait pour but que de deviner le goût de son gloss. Après quelques secondes ils peuvent entendre les pas du gardien s’éloigner pourtant Bom Chan ne bouge pas, calant son souffle sur celui de la jeune femme. Il n’a pas oublié ce gémissement qu’elle a lâché au contact de ses lèvres sur sa peau, et dieu qu’il rêverait la voir recommencer … rien qu’un peu …
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Dim 26 Aoû - 9:14 Citer EditerSupprimer
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ft. DaChan
Elle ne comprend pas et pour tout dire elle ne désire pas réellement comprendre. soulevée et déposée sur le chariot, elle a du mal à calmer sa respiration chaude et saccadée par la nervosité qui s'empare d'elle. le craquement du chariot sous son poids la fait rougir de gêne et elle ne peut s'empêcher de soupirer de soulagement à l'idée qu'il ne puisse percevoir l'embarras qui se dessine sur son visage juvénile. elle aurait aimé oublié la finesse de ses doigts qui caressait délicatement chacune des parcelles de son corps, la sensation de son souffle chaud et brûlant s'écrasant contre son visage, ses lèvres, son coup, sa poitrine. elle aurait aimé ne plus se souvenir du goût de ses lèvres et de la saveur de sa langue contre la sienne. mais c'est mains qui se promenaient à nouveau sur sa peau nue réveillait subitement les souvenirs d'une passion embrassée si précipitamment. une passion non consommé, tout au plus frôlé. suffisamment pour qu'elle n'en soit restée frustrée de long mois et ce, encore aujourd'hui. et il se jouait d'elle, lui demandant si elle avait conscience de ce qu'elle lui infligeait, mais lui était-il conscient de ce qu'il lui avait fait subir et lui faisait encore subir. réalisait-il à quel point la jeune femme se détestait d'être aussi indécise, partagé entre vengeance et fascination. il se glisse entre ses cuisses, frôle ses lèvres avec insolence, son souffle se mêlant au sien alors qu'elle peine à rester silencieuse. elle aimerait pouvoir se faire violence, ignorer cette sensation de brûlure qui emplit son bas ventre, désireuse de tellement plus. elle se sent fiévreuse, fébrile et impatiente. elle se mord l'intérieure de la joue, retenant un gémissement de supplice lorsqu'elle sent l'érection de son enseignant contre l'intérieur de ses cuisses. si il avait, ne serait qu'une idée, de ce qu'elle serait prête à faire pour pouvoir le sentir en elle, ne serait-ce qu'une fois. quel paradoxe lorsqu'on savait de la jeune femme qu'elle était encore vierge. mais son inexpérience ne signifiait guère qu'elle n'était pas capable de désirer son aîné et qui plus est de vouloir s'offrir pleinement à cet homme qui l'avait pourtant rejeté par le passé. qu'est-ce qui ne clochait guère chez la jeune femme, pourquoi n'était-elle donc pas capable de le repousser, de lui rendre la monnaie de sa pièce ? ses dents s'emparant de sa lèvre son l'élément de trop, alors que la jeune femme grogne légèrement, protestant face à cette nouvelle agression. ses cuisses se refermant autour des hanches du jeune homme, elle l'attire contre elle, soufflant chaudement alors que son érection vient se plaquer contre son bas ventre. elle aurait le temps de regretter demain; et les jours qui suivraient. mais à l'instant présent elle n'était guère prête à regretter de ne pas avoir succombé. " cesse de te jouer de moi bomchan; je n'ai rien d'une de tes élèves. " elle voulait se persuader qu'elle était différente, qu'elle était confiante et qu'à aucun moment elle ne deviendrait soumise au point de n'oublier qui elle était. et pourtant. pourtant la voici qui venait embrasser avec avidité les lèvres du plus vieux, la frustration se mêlant à la tendresse alors qu'elle gémit d'hors et déjà contre les lèvres charnues de bomchan. foutus principes. sa poitrine se pressant contre le torse de l'objet de ses fantasmes, elle vient poser sa main derrière la nuque du jeune homme, entrouvrant délicatement ses petites lèvres pulpeuses alors qu'elle plonge son regard dans le sien, le souffle court. " regarde ce que tu me fais faire. " et cela n'était qu'un faible pourcentage de ce qu'elle désirait réellement lui infliger. était-ce honteux d'être autant excitée lorsque l'on ne connaissait rien du sexe ? son front se posant sur le sien, elle presse de nouveau ses lèvres contre les siennes, sa petite langue lapant celle-ci timidement comme si elle attendait un signe du jeune homme l'invitant à approfondir ce baiser dont elle se refusait à mettre fin. Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber.
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Lun 27 Aoû - 7:30 Citer EditerSupprimer
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ft. DaChan
Comment avait-il pu passer à côté d’elle ? Il l’avait pourtant désiré si ardemment cette nuit-là … il l’avait délaissé pour un appel qu’il avait cru important mais qui avec du recul n’était que ridicule et stupide. Il avait été le pire des idiots de la laisser planter là, à moitié nue. Aujourd’hui il semblait avoir une chance de se rattraper. La jeune femme semblait vouloir fait payer son audace, elle l’avait si longtemps repoussé, encore aujourd’hui elle ne se laissait que rarement approché, et c’était un jeu d’échec constant. Bom Chan calculait naturellement ses coups d’avances, il supportait difficilement la surprise et les mauvais coups mais il fallait avouer qu’avec la jeune femme s’était différent. Elle lui assénait des échecs sans jamais attendre le mat mais avec suffisamment d’ardeur que Bom Chan vacillait. Il pensait à elle souvent, se maudissait de laisser une femme entrer dans sa vie maintenant, comme ça. Il aurait dû se concentrer sur Rei, pour le sauver, le sauver d’une destruction certaine … Il s’en voulait terriblement parce que dans le fond Bom Chan était dépassé, démunie face à la situation et qu’il ne savait plus quoi faire pour aider son meilleur ami. Alors quand la jeune fille était là, à jouer avec lui, ses nerfs, quand elle le provoquait et qu’elle lui lançait ces regards qu’il adorait tant … Bom Chan oubliait tout … il se sentait plus léger, l’esprit apaisé et le rire facile. Parce que Da Nah avait cette faculté déconcertante à le dérider et le faire rire, là où d’autres échouaient, elle … Dieu qu’elle arrivait si bien à lui changer les idées … Il était devenu accroc à elle sans même s’en rendre compte et la façon qu’il avait de toucher son corps n’avait rien de sexuel … bien au contraire. Il voulait prendre son temps. Redécouvrir cette peau et ce corps … l’obscurité des lieux décuplait doucement mais sûrement ses autres sens. Sa peau lui paraissait si douce et son souffle si chaud … la tension entre eux était électrique et c’était le genre de situation dans laquelle Bom Chan se plaisait. Parce que pardessus tout il adorait cette impression d’être le chasseur … et il avait trouvé sa proie, la dernière. Il inspire son parfum comme un drogué se prendrait une dose, appréciait ces effluves devenues familières. Da Nah est l’étincelle qui le fera craquer. Tout s’embrase quelques secondes et quand elle prend les devants Bom Chan ne peut que céder. La façon qu’elle a de serrer ses cuisses, et plus encore, de le plaquer contre elle lui fait perdre pied. Il laisse échapper un grognement contre cette bouche cerise et insolente qu’il vient dévorer avec envie. Bon sang qu’il l’avait attendu ce baiser et l’intensité de leur échange n’a d’égal que leur frustration de ne pouvoir tout avoir d’un coup. Bom Chan voudrait déjà pouvoir lui faire l’amour, jouir et recommencer une seconde fois dans la foulée. Il voudrait tout avoir d’un coup, sous l’empressement … il savoure pourtant ses lèvres, se retenant de la prendre vulgairement sur ce chariot parce qu’elle méritait mieux que ça. Et depuis quand s’en inquiétait-il ? Elle rompt le baiser, sans jamais s’éloigner, colle son front au sien en une supplique accusatrice que Bom Chan cueille avec plaisir. Il sourit, aimerait pouvoir lui dire tu n’as pas la moindre idée d’à quel point tu me rends dingue mais Bom Chan est pour la première fois muet devant une femme, alors qu’il lui caresse la joue et que son bassin se colle au sien avec l’indécence qui n’est admis qu’entre deux amants, il revient l’embrasser avec passion, jouant de sa langue contre celle de la jeune femme. Sans plus aucune pudeur, ni retenue. Il l’embrasse, gémit contre sa bouche et passe son bras libre dans le creux de ses reines pour mieux la serrer contre lui. IL vient chercher ses lèvres avec tant de férocité qu’il la bascule en arrière, sa main quitte la joue de la jeune femme pour s’appuyer contre le mur derrière eux et leur donner une prise stable pour ne pas avoir à rompre le baiser. Il ne quitte ses lèvres que dans l’optique de pouvoir goûter à son cou. Il le dévore avec la passion d’un amant refoulé bien trop de fois. « Oh Da Nah … » gémit-il comme un reproche, celui de l’avoir trop longtemps privée d’elle. Il avait payé le prix de son affront, aujourd’hui il venait d’avoir, en partie parce qu’il se savait encore vaincu, les grâces de sa belle et c’était là, la meilleure nouvelle qu’il n’ait eut ces derniers mois … Il remonte ses lèvres humides à cette bouche rougie et l’embrasse à nouveau faisant tomber dans son élan le bidon de javel qui éclabousse le sol le faisant redescendre sur terre brusquement. Comment ? Lui qui il n’y a pas encore quelques secondes déposait des baisers sur la gorge de la belle. Laissant un collier de baisers sur cette peau grisante. Il avait lapé, comme un enfant désobéissant, ces clavicules et cette peau douce. Il jure en reculant pour éviter à la javel de ne détruire ses chaussures. « Bouge pas. » souffle-t-il pour s’assurer qu’elle ne se salisse pas. IL ramasse le bidon et jette au sol quelques serpillières pour qu’elle puisse poser ses pieds dessus. « On va sortir d’ici avant qu’il ne revienne. » souffle-t-il, glissant sa main dans la sienne après l’avoir descendu de son perchoir avec délicatesse. Comment faisait-il pour être aussi maître de lui alors que son jean est littéralement trop étroit pour lui ? Des années d’expériences. Il zieute vers Da Nah pour s’assurer qu’elle aille bien avant d’ouvrir doucement la porte et de sortir dans les couloirs, sans jamais lâcher cette main puis se met à courir discrètement jusqu’au labo photo dans lequel il les enferme rapidement. Il laisse échapper un rire, avec l’impression de redevenir un gosse adolescent se cachant avec son crush pour s’adonner à quelques bêtises interdites. Il se tourne vers elle et dégage ses cheveux de son épaules avant de glisse sa paume chaude dans le creux de son cou en caressant sa mâchoire doucement « Tu te sens comment … ? » murmure-t-il prenant conscience que e bien être de la jeune femme lui importait vraiment.
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Mar 25 Sep - 18:05 Citer EditerSupprimer
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ft. DaChan
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. souffle chaud saveur cerise, elle se délecte du parfum gourmand qu’appose sensuellement sa langue contre la sienne. ses jambes croisés autour de la taille du jeune homme, elle reste plaqué contre lui reniant l’idée même qu’il puisse se désister. danah n’avait rien d’une jeune enfant aux désirs purs et naïfs, elle n’avait pas besoin de mots pour la rassurer, de promesses muettes, ni même d’un quelconque engagement de la part de son aîné. la déception n’existait guère sans l’espérance qui l’accompagnait au préalable. elle voulait jouir du présent, pourvus que le présent lui offre des jouissances. elle n’avait que faire que de réfléchir au lendemain et ressasser des questions qui n’auraient pour unique but de limiter un désir bien trop longtemps dissimulé. quelque soit le dénouement de ses actes, il y avait de fortes chances pour qu’elle ne finisse par le regretter, alors, quitte à regretter, elle préférait la mélancolie d’une nuit entre ses bras que celle d’une chance évanouie. emplie de contradictions c’est contre ses lèvres qu’elle s’oubliait, des baisers hardis portant le feu dans ses veines. elle aimait l’indécence dont il faisait preuve, et ce, sans jamais franchir les limites de l’effronterie. douce tentation de ses lèvres si rose, baisers mouillés d’envie elle y déposait. ses mains enlaçant le corps viril de son aîné, elle gémissait contre ses lèvres à l’entente de son prénom. dieu, ce qu’elle donnerait pour l’entendre, à maintes reprises, souffler de plaisir son prénom. et qu’importe si elle s’était interdite de lui laisser percevoir ses gémissements. Chose prohibée, et d'autant plus désirée. son coeur extasié n’avait aucune honte à le laisser percevoir le bien être que sa bouche sur sa peau lui procurait et cela aurait mentir que de dire qu’elle n’aurait guère souhaitait bien plus que de simples baisers. l’érection de son enseignant plaqué contre son bas ventre réveillant en elle une multitude d’idées plus inconvenantes les unes que les autres. comment aurait-elle pu rester insensible à bomchan, lorsque tout son être la suppliait de se soumettre à cet homme.
elle lâche une légère protestation lorsqu’il finit par se détacher d’elle, lèvres entrouvertes à la recherche de cette effervescence estompée. pourtant elle n’en fait rien, elle l’écoute, obéissante au coeur encore assommé par leur échange. entre deux bouches fraîches et souriantes, elle s’extirpe de son perchoir, glissant délicatement contre lui alors que ses doigts s’entrelacent aux siens, quittant leur scène de crime pour s’engouffrer quelques minutes plus tard dans le labo photo, leur destination initiale. s’humectant les lèvres d’un coup de langue, elle savoure le temps d’une fraction de seconde les souvenirs de leurs échanges. et ce n’est que lorsqu’il dépose la paume chaude de sa main dans le creux de son cou qu’elle s’arrache aux souvenirs pour ancrer son regard farouche dans le sien. « chaudement. » souffle t-elle délicatement alors qu’elle relève ses cheveux qu’elle attache en queue de cheval à l’aide du chouchou qui trône autour de son poignet. « je me sens comme une lycéenne ayant enfreint les règles de son établissement. » lâche t-elle tout en riant, un rire cristallin des plus naturel qu’elle ai eut à lui offrir. « et toi comment tu te sens ? » lâche t’elle tout en passant son pouce sur les lèvres encore humides de son aîné, son regard quand à lui scrutant amusé, le pantalon encore trop étroit de son amant. surement aurait-elle du se sentir gêné, embarrassé voir honteuse. bomchan aurait pu ou plutôt aurait du être son enseignant, si danah avait eu les moyens de s’inscrire à la yonsei deux ans auparavant. alors qu’en aurait-il été ? aurait-elle rejoint ce groupe de jeunes étudiantes victimes de l’attirance éprouvée à l’égard de leur enseignant ? fantasme de jeunes gamines à la découverte de leur corps. « alors c’est ici que tu prends en photo tes étudiantes ? » lâche t-elle taquine, appuyant bien sur le fait qu’elle ne doutait guère un seul instant ne pas être la première à tomber dans ses filets. s’éloignant du jeune homme, elle fait le tourne du labo, observant les appareils, les accessoires et la disposition de la salle. alors c’était ce à quoi ressemblait un atelier de photographie. elle qui ne connaissait que l’odeur de friture des cuisines et celle des pots d’échappement des voitures de course, se révélait en pleine admiration face à un environnement si éloignait de sa propre réalité. « tu me montres? » murmure t-elle, curieuse d’en apprendre plus sur bomchan, par sur l’enseignant mais bien sur sa personne.
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elle lâche une légère protestation lorsqu’il finit par se détacher d’elle, lèvres entrouvertes à la recherche de cette effervescence estompée. pourtant elle n’en fait rien, elle l’écoute, obéissante au coeur encore assommé par leur échange. entre deux bouches fraîches et souriantes, elle s’extirpe de son perchoir, glissant délicatement contre lui alors que ses doigts s’entrelacent aux siens, quittant leur scène de crime pour s’engouffrer quelques minutes plus tard dans le labo photo, leur destination initiale. s’humectant les lèvres d’un coup de langue, elle savoure le temps d’une fraction de seconde les souvenirs de leurs échanges. et ce n’est que lorsqu’il dépose la paume chaude de sa main dans le creux de son cou qu’elle s’arrache aux souvenirs pour ancrer son regard farouche dans le sien. « chaudement. » souffle t-elle délicatement alors qu’elle relève ses cheveux qu’elle attache en queue de cheval à l’aide du chouchou qui trône autour de son poignet. « je me sens comme une lycéenne ayant enfreint les règles de son établissement. » lâche t-elle tout en riant, un rire cristallin des plus naturel qu’elle ai eut à lui offrir. « et toi comment tu te sens ? » lâche t’elle tout en passant son pouce sur les lèvres encore humides de son aîné, son regard quand à lui scrutant amusé, le pantalon encore trop étroit de son amant. surement aurait-elle du se sentir gêné, embarrassé voir honteuse. bomchan aurait pu ou plutôt aurait du être son enseignant, si danah avait eu les moyens de s’inscrire à la yonsei deux ans auparavant. alors qu’en aurait-il été ? aurait-elle rejoint ce groupe de jeunes étudiantes victimes de l’attirance éprouvée à l’égard de leur enseignant ? fantasme de jeunes gamines à la découverte de leur corps. « alors c’est ici que tu prends en photo tes étudiantes ? » lâche t-elle taquine, appuyant bien sur le fait qu’elle ne doutait guère un seul instant ne pas être la première à tomber dans ses filets. s’éloignant du jeune homme, elle fait le tourne du labo, observant les appareils, les accessoires et la disposition de la salle. alors c’était ce à quoi ressemblait un atelier de photographie. elle qui ne connaissait que l’odeur de friture des cuisines et celle des pots d’échappement des voitures de course, se révélait en pleine admiration face à un environnement si éloignait de sa propre réalité. « tu me montres? » murmure t-elle, curieuse d’en apprendre plus sur bomchan, par sur l’enseignant mais bien sur sa personne.
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Ven 28 Sep - 1:12 Citer EditerSupprimer
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Elle lui paraissait aussi féline qu’innocente. Da Nah avait ce savant mélange oscillant entre l’assurance et le besoin d’être protégée. Bom Chan adorait pouvoir lire ces failles dans son regard, pas pour s’y engouffrer et jouer avec elle comme il l’aurait sûrement fait avec d’autres, mais parce qu’il aimait savoir que derrière cette carapace qu’elle s’était forgée et qu’elle affichait pleine d’assurance, se trouvait une jeune femme qui aurait pu avoir besoin de lui. Qui pourrait avoir besoin de lui. C’était finalement cet écho qui lui donnait l’impression d’être proche d’elle. Elle succombait à ses charmes il pouvait bien le voir, mais il n’était pas certains qu’elle soit là demain, qu’elle reste qu’elle s’accroche pour lui … Et Bom Chan réalisait qu’en se posant ce genre de question maintenant, avec elle, c’était parce qu’il commençait à se laisser. Ça lui faisait peur, mais jamais quand elle était là. C’était comme si il oubliait tout. Ses craintes, ses questionnements, ses peurs. Il souriait quand elle était là, il en oubliait sa dépression et ses temps durs. Il profitait d’elle sans jamais jouer avec elle … Bom Chan pouvait devenir un homme nouveau ? Il n’en était pas certain d’en être arrivé à ce stade, ni même de pouvoir se projeter jusqu’à cette idée. Non à vrai dire tout ce qu’il voulait voir, savoir, ce soir c’était si elle allait bien, et si elle comptait jouer de son pouce sur ses lèvres encore longtemps avant qu’il ne la dévore tout cru. Ça avait toujours été plus facile à travers le sexe pour lui. Comme si sans la parole il pouvait faire passer autre chose et se libérer ce tout ce blabla avec lequel il n’était jamais à l’aise … il sourit à sa remarque et la laisse s’éloigner de lui sans réellement répondre, avait-il besoin de poser des mots sur cette question rhétorique, elle le voyait par elle-même de l’effet qu’elle lui faisait.
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Il observe son corps, ses courbes, la façon dont bouge sa queue de cheval en oscillant à droite à gauche. Il s’approche d’elle à nouveau, comme si la distance lui paraissait bien intolérable. Il glisse ses mains sur ses hanches, comme si, maintenant qu’ils avaient brisé la glace avec ce baiser ardant, il pouvait tout se permettre. Il resterait de toute évidence décent et courtois. Ses lèvres se perdent dans la nuque de la jeune femme en soufflant « je vais te montrer … » comme lui demander d’attendre encore un peu qu’il puisse prendre une dose de sa drogue. Il respire son parfum en inspirant profondément sans même se cacher de ce qu’il faisait. Il sourit dépose à nouveau des baisers sur sa peau fine alors que son regard se porte devant lui. il attrape l’appareil photo et en vérifie les réglages. Il le porte au visage de la jeune femme et souffle « ajuste l’objectif en tournant ici et rend l’image nette. » murmure-t-il contre sa peau fine. Il mordille son lobe pour la taquine et l’empêcher de se concentrer. Il sourit amusé et finit par la tourner vers elle. Il lui pique l’appareil et le braque sur son visage de poupée magnifique et ajuste les réglages avant de prendre une photo. « Le plus important dans une photo c’est le cadrage et la lumière. L’appareil se chargera de rendre la photo le plus net possible donc t’en fais pas ... » Il lui réajuste une mèche de cheveux et ajoute en lui rendant l’appareil photo. « Je n’ai pas pour habitude de prendre mes élèves en photo, encore moins celles qui pourraient terminer dans mon lit. » il se détourne pour traverser le petit studio et tire un drap suspendu à des crochets qui séparait un coin de la pièce du reste de la salle. Des photos sont alors accrochées à un fil afin de sécher. Les clichés sont tous ceux à quoi on pouvait s’attendre de lui.
Il y a un peu de tout mais ce sont principalement des clichés prit dans la rue, sur le vif, des gens, qui l’entourent. Une foule, un bus, un enfant qui joue … c’est des scènes de la vie dont il se saisit avec émotion à travers ses clichés. Il ne se considère pas avec un talent fou, mais il sait que ses photos peuvent plaire. Pourtant il ne les expose pas. Sûrement trop pudique pour montrer son art et le jeter en pâture aux avis des autres … A vrai dire à part Rei et quelques rares personnes (parfois malgré lui) peu de personnes ont pu voir son vrai travail, Da Nah était la première à qui il le montrait sciemment. « Je préfère prendre la vie sur le vif, par surprise … elle a plus de chose à offrir que quelques choses de factices et réfléchies. » ce qui résumait au final plutôt bien ses relations … Il croise les bras et s’adosse au mur en posant un regard pensif sur ses clichés. Il ne lui demandera pas ce qu’elle en pense, n’en ressent même pas le besoin. Il est juste satisfait de lui montrer une autre facette de sa personnalité, une vraie, pas de celles qu’il expose aux yeux des autres pour qu’on le laisse tranquille. C’était plus facile e se faire insulter et juger sur ce qu’on n’est pas plutôt que se montrer vraiment aux autres et de ne pas plaire. « Soit pas surprise » rit-il doucement pour la taquiner en levant son regard vers elle et sa bouche pulpeuse légèrement entrouverte qu’il aimerait déjà embrasser à nouveau. Pourtant il n’en fait rien, se contentant de la regarder, se frustrant d’avantage pour retrouver le plaisir du gout de ses lèvres.
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Re: I DID NOT KNOW WHERE TO FIND YOU fr DANAHBAE ♥ | Mar 2 Oct - 18:14 Citer EditerSupprimer
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ft. DaChan
L'homme aspire vers l'infini, l'éternel, l'immaculé, et comme, de sa nature, il est fini, mortel, vicieux, il passe sa vie dans des contradictions douloureuses, qui de chute en chute, de déboire en déboire, le conduisent jusqu'à la mort, dont il a horreur parce qu'il ne la comprend pas. Derrière son petit air présomptueux et téméraire, se cachait en réalité une demoiselle qui n’avait de cesse d’essayer de se convaincre qu’elle n’était guère effrayé à l’idée même que tout cela ne soit qu’énième illusion. elle craignait de ne finir éprise de ses caresses et de ses baisers qui, quand bien même désirait-elle qu’ils ne soient destinés qu’à elle, ne l’était éventuellement pas. elle se mentait à elle, se persuadant que seul l’instant présent lui importait. parce que cela n’était pas totalement faux, elle savait d’hors et déjà qu’elle ne regretterait jamais de s’être damnée sous ses baisers, ses coups de langues et ses caresses. tout ce que pourrait se reprocher la jeune femme, se serait, accessoirement, de n’avoir été qu’une femme de plus, de n’avoir guère su sortir du lot. faire de ce semblant de relation, quelque chose de bien plus profond et signifiant. elle n’avait pas l’audace d’espérer que cela devienne quelque chose de sérieux, elle ne l’envisageait guère avec la conviction que cela lui permettrait de diminuer toute déception, une fois l’euphorie de leur attirance estompée. elle s’enivre de la moindre seconde qui s’écoule à ses côtés, de la moindre attention et du moindre sourire. partagée entre curiosité et désir, elle oscille sous les baisers tendres qu’il appose dans son cou, était-ce bien raisonnable de faire preuve d’autant de délicatesse ? son regard dans l’objectif de l’appareil, elle tente de l’écouter attentivement, s’évertuant de ne pas flancher sous ce souffle suave qui n’avait de cesse de venir caresser chaudement l’échine de sa peau. elle couine légèrement lorsqu’il vient lui mordre le lobe de son oreille se retournant pour se retrouver face au jeune homme et à l’appareil qu’il manipule avec professionnalisme. « comment veux-tu que je me concentre ? » lâche t-elle dans une légère plainte alors qu’elle entend le léger cliquetis de l’appareil la notifiant qu’il venait de la prendre en photo. les lèvres entrouvertes, elle le laisse replacer une mèche sur son visage tout en réceptionnant l’appareil entre ses mains, quelque peu confuse par ses propos. elle n’était pas bien sur de comprendre le sens de ses mots et n’avait clairement pas la prétention de se prétendre différente de ses étudiantes. peut-être n’avait-il jamais eu l’intention de guider danah dans les draps de son lit ou bien ne la considérait-il pas comme l’une de ses étudiantes. après tout, la jeune livreuse n’était ni une étudiante de la yonsei ni même l’une de ses étudiantes.
« ne me considères-tu pas comme l’une de tes élèves bomchan ? » lâche t-elle délibérément, en observant la photo qu’il vient de prendre d’elle, sur l’écran de l’appareil. même ainsi elle apparaissait enfantine et joufflue, une image d’elle qui lui rappelait presque trop brutalement la différence d’âge entre elle et le jeune enseignant. aurait-elle oublié cette femme pulpeuse qu’elle avait, contre son grès, aperçus à son bras? passant une main dans sa chevelure, elle chasse tout de même les pensées déplaisantes, se rapprochant de son aîné, l’appareil en main et le regard rivé sur la multitude de photographies qui se présente à elle. elle en oublierait presque la raison de sa venue, ses yeux balayant les fragments de souvenirs du jeune homme, une multitude de parcelles de sa vie, délicatement exposés sous les yeux d’une jeune femme ébahie par ce qu’elle découvrait. des clichés qui représentaient la vie telle quelle, dans son habit le plus naturel, sans contrefaçon ni superficialité. des émotions plus prenantes les unes que les autres, sincères, pures et innocentes. levant sa main vers l’une des photos, elle s’abstient de la toucher, se contentant de caresser celle-ci à distance, comme si elle voulait capturer cet instant dans sa mémoire. un sans abris, comme l’on pouvait en croiser de nombreux dans les rues de Séoul, si souvent ignoré par les passants voir humilié. dans son sourire, elle revoyait celui d’un ami perdu de vue depuis une poignée d’années, elle ressentait le bonheur de sentiments dénués d’intérêts, de conversations emplies de partage et de compréhension. elle regrettait de l’avoir abandonné, de ne pas avoir su se battre comme lui avait réussis à le faire. mais lorsqu’elle avait récupéré de sa tentative de suicide, il avait disparus ne lui laissant aucune chance de se rattraper ni même de le remercier. elle soupire délicatement, tout en se tournant vers l’enseignant, un regard nouveau posé sur lui. un regard tendre et émerveillé. « j’aime l’artiste qui se cache derrière ses clichés, j’aime ce qu’il fait ressortir et l’émotion qui en dégage. » elle se rapproche de celui-ci, prenant soin de déposer l’appareil photo sur une table. elle aurait aimé qu’il soit détestable, qu’il ne lui donne nullement envie de le connaître et que seul son physique soit à l’origine de cette sensation qui n’avait de cesse de croître en sa poitrine. mais bien loin d’être naïve, danah était incapable de se mentir. déposant ses mains autour du cou du jeune homme, elle remontait délicatement sur la pointe de ses pieds, plongeant son regard dans le sien alors qu’elle l’observait, un sourire cristallin emplissant ses lèvres. « vous avez bien plus à offrir que ce que vous ne laissez entrevoir professeur. » elle meurt d’envie de l’embrasser, de gouter une énième fois à ses lèvres mais plus encore elle se damnerait d’en apprendre plus sur lui, par sur l’enseignant aux airs prétentieux et frivoles qu’il laissait paraître mais bel et bien l’artiste captivant que cachait ces clichés. « j’aime beaucoup ça. » finit-elle par souffler, succombant à son désir alors qu’elle embrasse de ses lèvres charnues cette bouche autrefois si insolente mais soudainement si délicate.
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« ne me considères-tu pas comme l’une de tes élèves bomchan ? » lâche t-elle délibérément, en observant la photo qu’il vient de prendre d’elle, sur l’écran de l’appareil. même ainsi elle apparaissait enfantine et joufflue, une image d’elle qui lui rappelait presque trop brutalement la différence d’âge entre elle et le jeune enseignant. aurait-elle oublié cette femme pulpeuse qu’elle avait, contre son grès, aperçus à son bras? passant une main dans sa chevelure, elle chasse tout de même les pensées déplaisantes, se rapprochant de son aîné, l’appareil en main et le regard rivé sur la multitude de photographies qui se présente à elle. elle en oublierait presque la raison de sa venue, ses yeux balayant les fragments de souvenirs du jeune homme, une multitude de parcelles de sa vie, délicatement exposés sous les yeux d’une jeune femme ébahie par ce qu’elle découvrait. des clichés qui représentaient la vie telle quelle, dans son habit le plus naturel, sans contrefaçon ni superficialité. des émotions plus prenantes les unes que les autres, sincères, pures et innocentes. levant sa main vers l’une des photos, elle s’abstient de la toucher, se contentant de caresser celle-ci à distance, comme si elle voulait capturer cet instant dans sa mémoire. un sans abris, comme l’on pouvait en croiser de nombreux dans les rues de Séoul, si souvent ignoré par les passants voir humilié. dans son sourire, elle revoyait celui d’un ami perdu de vue depuis une poignée d’années, elle ressentait le bonheur de sentiments dénués d’intérêts, de conversations emplies de partage et de compréhension. elle regrettait de l’avoir abandonné, de ne pas avoir su se battre comme lui avait réussis à le faire. mais lorsqu’elle avait récupéré de sa tentative de suicide, il avait disparus ne lui laissant aucune chance de se rattraper ni même de le remercier. elle soupire délicatement, tout en se tournant vers l’enseignant, un regard nouveau posé sur lui. un regard tendre et émerveillé. « j’aime l’artiste qui se cache derrière ses clichés, j’aime ce qu’il fait ressortir et l’émotion qui en dégage. » elle se rapproche de celui-ci, prenant soin de déposer l’appareil photo sur une table. elle aurait aimé qu’il soit détestable, qu’il ne lui donne nullement envie de le connaître et que seul son physique soit à l’origine de cette sensation qui n’avait de cesse de croître en sa poitrine. mais bien loin d’être naïve, danah était incapable de se mentir. déposant ses mains autour du cou du jeune homme, elle remontait délicatement sur la pointe de ses pieds, plongeant son regard dans le sien alors qu’elle l’observait, un sourire cristallin emplissant ses lèvres. « vous avez bien plus à offrir que ce que vous ne laissez entrevoir professeur. » elle meurt d’envie de l’embrasser, de gouter une énième fois à ses lèvres mais plus encore elle se damnerait d’en apprendre plus sur lui, par sur l’enseignant aux airs prétentieux et frivoles qu’il laissait paraître mais bel et bien l’artiste captivant que cachait ces clichés. « j’aime beaucoup ça. » finit-elle par souffler, succombant à son désir alors qu’elle embrasse de ses lèvres charnues cette bouche autrefois si insolente mais soudainement si délicate.
CODES LITTLE WOLF.
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