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Yiseul ☂ let us be drenched in happiness.
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Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 15:51 Citer EditerSupprimer
Bai Yiseul
Better late than never.
IDENTITY CARD |
Il parait que... Il parait qu’elle aurait eu recours à la chirurgie esthétique pour perdre du poids et qu’elle en aurait profité pour se refaire le visage (faux, elle a perdu du poids en grandissant et en arrêtant de manger comme s’il n’y avait pas de lendemain) ; Il parait qu’elle a arrêté les cours car comme sa mère, elle est tombée enceinte (faux, elle a interrompu ses études pour travailler et pouvoir subvenir aux frais médicaux de sa grand-mère) ; Il parait qu’elle paie des personnes pour prendre les cours à sa place, voire même assister aux travaux dirigés (faux, elle se débrouille pour assister aux amphi mais si elle se permet d'avoir des petits jobs à côté, c’est parce qu’elle sait qu’elle peut apprendre en peu de temps et seulement si elle est bien concentrée) ; Il parait qu’elle se rend à des soirées mondaines pour approcher les personnes qui ont de l’argent, et qu’elle n’hésite pas à user de son charme pour parvenir à ses fins (faux, même si la famille de son père adoptif refuse de s’occuper d’elle, ils ont néanmoins pas admis publiquement l’avoir renié, elle se retrouve parfois obligée à s’y rendre, pour la forme) ; Il parait qu’elle parle plusieurs langues (vrai, elle parle notamment chinois ainsi que le dialecte teochew, l’anglais et elle a des bases d’allemand) ; | Dis nous qui tu es ! ✎ Jusqu’au collège, voire le lycée, on l’a souvent prise pour un garçon par son attitude que son physique, et elle n’a jamais nié le contraire. Ce n’est que depuis son retour à Séoul qu’elle a commencé à laisser pousser ses cheveux et échanger ses jeans contre des jupes. ✎ En sautant sur une flaque d’eau qu’elle ne pensait pas aussi profonde, elle s’est foulée la cheville. Depuis, elle les évite et est capable de changer de trottoir s’il le faut. Même si ça date de l’école primaire, elle a développé une sorte de phobie sans que cela n’en soit réellement une. ✎Si elle a hérité de sa mère sa passion pour le violoncelle et le piano, elle aime énormément la photographie. Elle a participé à quelques concours de photographie et a reçu des récompenses. ✎ Depuis petite, elle pensait devenir violoncelliste et s’était même engagée dans un cursus de musique pour devenir professionnelle. Mais si aujourd’hui elle envisage de rejoindre les forces de l’ordre, c’est parce qu’elle souhaite devenir à son tour, un petit héros du quotidien, comme l’officier de police qui lui est venu en aide alors qu’elle faisait face à des difficultés qu’elle pensait insurmontables. ✎ Elle a fait une pause dans ses études pendant deux ans, après sa deuxième année en art du spectacle, afin de subvenir aux frais médicaux de sa grand-mère. Bien qu'elle ait des dettes, elle a décidé de reprendre les études et changer de cursus puisque son ambition a changé. ✎ Fan de volley ball, mais la technique n’a pas dépassé l’amour qu’elle porte pour ce sport puisqu’elle est juste nulle à chier. C’est un trou noir, un cas désespéré, essayer de sauver sa cause est perte de temps. ✎ Si elle est nulle aux jeux impliquant un ballon (volley, foot où sa meilleure position serait dans la défense pour shooter dans les mollets des joueurs adverses au lieu de la balle, ping-pong ou les balles crevées) sauf pour la balle aux prisonniers, elle est en revanche douée pour les sports du type judo, taekwondo, ou encore le tir. Depuis toute petite, elle est inscrite au club de Taekwondo et d'Aikido, et ce n'est qu'à partir du collège qu'elle a commencé en club l'escrime. ✎ Si elle déteste parier, elle aime en revanche relever des défis. Compétitive et parfois mauvaise perdante, elle joue qu’importe si le défi est débile. Tant qu’il semble drôle et pas casse-tête, c’est le plus important. ✎ Elle est insensible aux films d’horreur, elle trouve ça limite amusant. En revanche, c’est une autre histoire devant les films émouvants puisqu’elle pleure comme une madeleine, et souvent, pour rien. L’idée de séparation déclenche en elle un torrent de larme. ✎ Depuis qu’elle a le permis, elle n’a jamais perdu un seul point lorsqu’elle passe son temps à dépasser la vitesse autorisée. Le secret ? C’est que son petit-boulot de livreur lui a permis de repérer toutes les caméras et connaître tous les petits chemins, du coup, pour rouler vite et livrer à temps, elle les évite. ✎ Dans une autre vie, elle a certainement été le cerveau de IKEA puisqu’elle monte les meubles à vitesse grand V, et ce, en ayant lu qu’une seule fois les instructions. Elle est douée pour le travail manuel, on la surnomme « Monsieur Bricolage ». Par contre, pour démonte, elle est experte en démolition plutôt. ✎ Peu soucieuse de son apparence jusqu’au collège, garçonne et rondouillette, jusqu’au jour où son crush lui a foutu un râteau et comme si cela ne suffisait pas, il a fallu qu’il l’humilie et se moque d’elle avec ses amis. « Bouboule », si auparavant le surnom la rendait indifférente, quand elle l’entend, elle voit rouge. Depuis, elle s’est jurée que si jamais elle croisait à nouveau sa route, elle lui ferait la misère. ✎ Bonne cuisinière ou plutôt exactement bonne pâtissière car elle ne sait et ne peut cuisiner que sucrée. Ses plats salés ont la fâcheuse tendance à être légèrement sucré et très pimenté. ✎ Famille, le mot lui arrache souvent un sourire amer. Parce qu’elle refusait d’avorter sous la pression de sa famille et de son petit-ami, sa mère s’est faite reniée et elle a pris la décision d’élever seule l’enfant qu’elle portait. Du moins, jusqu’à ce que son ami d’enfance la demande en mariage et accepte d’être le père de l’enfant. Famille, cela se résumait à trois : sa mère, son père et elle. Le bonheur fut de courte durée puisqu’un accident survint et Yiseul se retrouva seule. Seule face à des adultes qui se rejetaient la responsabilité : la famille de son père adoptif refusait de prendre un enfant qui n’avait pas une goutte de leur sang, et sa famille maternelle maintenait la politique du silence radio. Il fallut que sa grand-mère paternelle vienne la chercher et l’éloigne de Séoul. Depuis, elle s’est occupée de Yiseul. |
SPRING.REBOOT
|
It's my life...
et là une petite citation...
La nature était bruyante, tout comme ce petit village reculé et cachée derrière les montagnes, mais cette Hanok était aussi silencieuse que cette vieille femme. Avec un grand parapluie blanc, elle est venue à moi en me disant de ses mains, ces trois mots que les adultes refusaient de me faire entendre, « viens avec moi ». Elle m’a prise dans ses bras, et de la même façon qu’elle était arrivée, nous avions disparu silencieusement sans laisser de trace. Je l’ai suivi sans savoir qui elle était, mais c’est en arrivant dans ce qui allait être mon nouveau chez-moi que j’ai compris qui elle était : ma grand-mère. La mère de cet homme que je n’ai rencontré que dans les rares photographies que ma mère avait. J’avais un père, mais ce n’était pas lui, la seule chose qui nous reliait était le sang. Je ne lui en voulais pas, car ma mère ne me l’avait pas appris, elle parlait de lui en souriant doucement. Et même si en arrivant dans cette maison, je ne l’ai jamais rencontré, je ne lui en voulais pas. Dans son absence, j’ai rencontré d’autres personnes que je pouvais définir comme « ma famille ». Il m’avait abandonné, mais je n’étais pas malheureuse.
Petit à petit, j’ai appris le langage des signes pour pouvoir lui parler. Sourde et muette, mais elle semblait lire dans mes pensées et anticipait à chaque fois mes questions. De la même façon qu’elle m’apprenait à m’exprimer avec des gestes, je lui apprenais à lire et écrire. Si ma voix et mes rires semblaient être les seuls à résonner dans cette grande maison vétuste, son silence n’était pas signe de solitude, bien au contraire, j’y ai trouvé du réconfort et d’une certaine façon, du bonheur.
Même si elle ne pouvait pas entendre le son de mon violoncelle, elle les percevait par la vibration des notes et m’écoutait ainsi jouer. Je pouvais jouer pendant des heures, mais elle restait là, les yeux fermés, un sourire léger aux lèvres. Elle, puis les voisins, puis tout le village.
Parce qu’elle aimait m’entendre jouer, tout comme mes parents, je voulais m’inscrire à l’université pour devenir violoncelliste, mais une chose me retenait, et c’était elle. Je ne voulais pas la laisser mais elle ne pouvait pas me suivre. Son bonheur à elle était ici, dans cette hanok, dans ce village, alors que mon bonheur, c’était elle. Partagée, je pensais renoncer, mais un jour, une lettre d’acceptation à l’Université nationale des arts de Séoul est arrivée. Elle m’y avait inscrite, envoyée les vidéos qu’elle avait prise de moi en train de jouer, et écrite une lettre à l’intention du directeur.
Alors je suis partie. Chaque soir je lui écrivais des sms et chaque week-end, je lui envoyais des lettres accompagnées de photos que je prenais de ma nouvelle vie à Séoul. Une année s’est écoulée, puis une nouvelle, jusqu’au jour où un médecin m’appelle et m’annonce qu’elle avait été retrouvé inconsciente.
Il m’a fallu deux ans pour retrouver un semblant d’équilibre, j’ai arrêté mes études pour pouvoir travailler et payer les frais d’hospitalisation, mais également ceux de l’opération. Mais ces deux années ont suffi à me changer. En reprenant les études, j’ai abandonné le violoncelle pour me tourner vers les forces de l’ordre. Un nouveau départ ? Pas vraiment, le passé garde son ombre.
Petit à petit, j’ai appris le langage des signes pour pouvoir lui parler. Sourde et muette, mais elle semblait lire dans mes pensées et anticipait à chaque fois mes questions. De la même façon qu’elle m’apprenait à m’exprimer avec des gestes, je lui apprenais à lire et écrire. Si ma voix et mes rires semblaient être les seuls à résonner dans cette grande maison vétuste, son silence n’était pas signe de solitude, bien au contraire, j’y ai trouvé du réconfort et d’une certaine façon, du bonheur.
Même si elle ne pouvait pas entendre le son de mon violoncelle, elle les percevait par la vibration des notes et m’écoutait ainsi jouer. Je pouvais jouer pendant des heures, mais elle restait là, les yeux fermés, un sourire léger aux lèvres. Elle, puis les voisins, puis tout le village.
Parce qu’elle aimait m’entendre jouer, tout comme mes parents, je voulais m’inscrire à l’université pour devenir violoncelliste, mais une chose me retenait, et c’était elle. Je ne voulais pas la laisser mais elle ne pouvait pas me suivre. Son bonheur à elle était ici, dans cette hanok, dans ce village, alors que mon bonheur, c’était elle. Partagée, je pensais renoncer, mais un jour, une lettre d’acceptation à l’Université nationale des arts de Séoul est arrivée. Elle m’y avait inscrite, envoyée les vidéos qu’elle avait prise de moi en train de jouer, et écrite une lettre à l’intention du directeur.
Alors je suis partie. Chaque soir je lui écrivais des sms et chaque week-end, je lui envoyais des lettres accompagnées de photos que je prenais de ma nouvelle vie à Séoul. Une année s’est écoulée, puis une nouvelle, jusqu’au jour où un médecin m’appelle et m’annonce qu’elle avait été retrouvé inconsciente.
Il m’a fallu deux ans pour retrouver un semblant d’équilibre, j’ai arrêté mes études pour pouvoir travailler et payer les frais d’hospitalisation, mais également ceux de l’opération. Mais ces deux années ont suffi à me changer. En reprenant les études, j’ai abandonné le violoncelle pour me tourner vers les forces de l’ordre. Un nouveau départ ? Pas vraiment, le passé garde son ombre.
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 15:51 Citer EditerSupprimer
ALORS J'EDITE QUAND JE SERAIS CHEZ MOI ET JE TE COUVRIRAI D'AMOUR OKK ? time for jaeseul, même si jae a toujours été seul, lol
edit : tu es enfin là.
admire
TU SAIS J'AI ÉTÉ HORRIBLE MAIS MAINTENANT, TU PEUX PRENDRE TA REVANCHE
tu vas me maltraiter mais je t'aime quand même :'(
:blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :wii: :wii: :wii: :wii: :wii: :pinpou: :pinpou: :pinpou: :pinpou: :pinpou:
KEUR KEUR, sois un peu clémente quand même stp :bago:
p.s. :
pick me plz.
edit : tu es enfin là.
TU SAIS J'AI ÉTÉ HORRIBLE MAIS MAINTENANT, TU PEUX PRENDRE TA REVANCHE
tu vas me maltraiter mais je t'aime quand même :'(
:blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :bisoute: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :wii: :wii: :wii: :wii: :wii: :pinpou: :pinpou: :pinpou: :pinpou: :pinpou:
KEUR KEUR, sois un peu clémente quand même stp :bago:
p.s. :
pick me plz.
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 15:55 Citer EditerSupprimer
bon je vais essayer de prendre toutes les places même avec ma co de caca
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 15:56 Citer EditerSupprimer
bonjour par ici
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 15:57 Citer EditerSupprimer
ET VOILAAA J'AI PRIS LES 5 PREMIERES PLACES KK
p.s. : allez finis vite cette fiche qu'on en parle plus
p.s. : allez finis vite cette fiche qu'on en parle plus
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 16:27 Citer EditerSupprimer
COPINE DE MOOOOOOIIII
#JAESEUL
COPINE DE MOOOOOOIIII
#JAESEUL
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
Célébrité : Lee Ju Yeon (THE BOYZ)
Messages : 26401
Âge : 26
Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 18:31 Citer EditerSupprimer
♡♡♡♡♡♡
Jsp si tu les mérites enfaîte
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Jsp si tu les mérites enfaîte
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: Yiseul ☂ let us be drenched in happiness. | Sam 2 Juin 2018 - 18:39 Citer EditerSupprimer
bjr madame
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