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Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18]
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Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 5 Juil - 1:29 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
Wooooooow. Oh putain j’avais abusé. J’avais infiniment TROP BU. Une soirée et j’avais balancé tous mes beaux principes. moi qui m’étais toujours promis de ne pas perdre mes moyens à cause de la boisson. Moi qui m’étais juré de ne pas faire ça parce que je ne voulais pas ressembler à la génitrice. Mais il avait fallu de quelques paroles de mon meilleur ami Et LE PIRE, c’était que je n’arrivais même pas à le regretter. Il n’avait voulu boire seul et moi comme un con, je l’avais accompagné. Et petit à petit je m’étais enfoncé dans l’ivresse mais surtout dans le déni complet de mon état d'ébriété avancée. J’étais pire que saoul, j’étais complètement arraché. Et que je le voyais pas. J’arrivais encore à me convaincre que je gérais et que je n’avais que quelques petits vertiges et que je riais un peu trop…. non mais j’étais joyeux. J’étais toujours joyeux. J’étais un vrai mood maker c’était connu. Oh putain le sol il tangue ! J’avais entendu un gars gueuler derrière nous, mais je n’avais pas vraiment compris ce qu’il avait pu dire en fait. J’avais juste entendu des personnes gueuler des toutes leurs forces, puis on nous a poussé Nao et moi hors du bar et puis maintenant il faisait froid. Je crois qu’on nous avait foutu dehors. Yaaaa, on s’est fait viré. Can you believe it Nao ? Je me retournais vers lui et je me mis à rigoler pour aucune raison apparente, un fou rire inexpliqué qui pris au moins trente seconde à se calmer. I don’t understand…. je ne suis pas… drunk du tout ! Comme pour appuyer mes propos je me mis à sauter sur une jambe…. sauf que voilà, je ne gérais pas du tout en vrai. Il me fallut quelques secondes pour trébucher avec la grâce d’un bébé girafe de perdre l’équilibre pendant plusieurs mètres et de finir les jambes écartées pour me rattraper genre grand écart d’une personne qui n’avait PAS LA MOINDRE SOUPLESSE. C’était prévu ! Je me redressais tant bien que mal avant de revenir vers mon meilleur ami en sautillant comme si rien ne s’était passé. Mais entre nous… TOUT LE MONDE avait vu à quel point j’étais défoncé. La seule personne qui était ce même état c’était Nao. Dès que je fus vers lui, je passais mon bras autour de ses épaules comme d’habitude et je me collais contre lui en riant. So now what do we do ? Plaçant mon menton entre mon pouce et mon index je fis mine d’être dans une profonde réflexion. Should we flirt with girls…. Je levais les sourcils et je rajoutais précipitamment. ... or boys ! En ajoutant cela je me tournais vers Nao. Il était proche…. comme d’habitude. Il n’était pourtant pas rare que je me tienne comme ça avec lui mais…. j’avais chaud. Je ne sentais plus que ça d’ailleurs, la chaleur au niveau de mes joues. Et cette seule pensée que j’avais: Putain il est beau quand même. Alors sans m’en rendre compte mon regard avait commencé à détailler son visage. Chaque parcelle et inexorablement se stoppa sur ses lèvres. Et je ne m’en rendais pas compte, cela se faisait naturellement, mon corps agissait seul. Putain il était beau. je déglutis difficilement. So… what do we do my love ? Je finis par rire encore un fois, parce que les rire d’alcoolo, il ne restais plus que ça pour sauver les apparences !
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 5 Juil - 3:58 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
ah mais ça, c'était clairement prévisible. t'es même plus foutu de marcher droit, tu rigoles, tu ne sais même plus pourquoi. est-ce que tu aurais entendu une blague ? non, enfin... oui et non, disons que tout est drôle pour toi quand t'es bourré. t'as ce sourire béat sur les lèvres, tu te marres à la moindre occasion. oh non, t'es pas chiant quand t'es saoul mais qu'est-ce que tu peux être... heureux. le pire ? ton meilleur ami qui se trouve dans le même état que toi. vous rigolez tous les deux, peut-être même pour des raisons différentes, ça, t'en sais rien, finalement, vous finissez dehors, poussés par certaines personnes qui criaient derrière vous. tu te retournes alors vers eux, ton sourire ne te quitte pas, tu manques même d'éclater de rire. « eh! you're not funny... » râles-tu faussement, te tournant finalement vers kwan, sa réflexion te fait secouer doucement la tête. can you believe it ? no way. mais en fait... qu'est-ce que vous aviez fait de mal au juste? es-tu bourré au point de ne plus t'en souvenir ? ou alors, tes souvenirs sont plus drôles dans ta tête, ouais... ça se peut, enfin, t'en sais rien. bref, on s'en fout non ? vous passez une bonne soirée, même si là, vous vous apprêtez à cailler vos miches dehors. roh, et alors? c'est pas si grave. toujours cet immense sourire sur les lèvres, tu hausses les sourcils aux paroles de kwan sun qui vient seulement de calmer un de ses fous rires. affirmant qu'il n'est, tu cites: « pas drunk du tout. » évidemment, tu ne peux t'empêcher de rire à sa remarque. il est complètement bourré, oui ! m'enfin, qui tu es pour le juger ? t'es totalement dans le même état que lui. ta voix flanche, imageant ton état un peu.. pitoyable, mais c'est l'intention qui compte. « what are you talking about... you're saoul ! » yaaaah ! t'as bien retenu la leçon, pas vrai ? il t'avait appris ce mot, plus tôt dans la soirée... bon par contre, l'inclure dans une phrase en anglais, c'est pas top. pourtant, tu savais le dire en coréen, bordel, t'es vraiment bourré... tu te mets à rire, voyant son état mais surtout, lorsqu'il tente de te prouver le contraire, il se met à sautiller, t'as même du mal à le suivre du regard, sans doute à cause de l'alcool qui rend ta vision un peu trop floue par moment, et ton cerveau qui est complètement à la ramasse. tellement à la ramasse que tu ne réagis pas tout de suite lorsqu'il perd l'équilibre, quelques secondes passent avant que tu lèves les bras, comprenant enfin ce qu'il se passe. « yah!!! kwan. » tu t'avances vers lui dans le but de l'aider, tu ne sais pas comment tu aurais pu d'ailleurs, tu n'as pas plus d'équilibre que lui mais c'est un réflexe. « you okay? » pouffes-tu, laissant échapper un léger rire bien sûr lorsque tu remarques qu'il n'a rien de cassé, et qu'il rigole même. tu fronces les sourcils, tentant de comprendre ses paroles. prévu.. prévu... dans le doute, tu te mets à pouffer de rire, ou alors tu te moques de toi même, parce que tu n'est pas sûr de comprendre et encore moins avec tout cet alcool dans le sang. rapidement, kwan profite de cette proximité pour déposer son bras sur tes épaules, tu gardes toujours ce sourire sur les lèvres. t'es bien là, tu te sens bien, tu as passé une bonne soirée, tu n'as plus aucune pensée négative, et tu profites avec lui. il se colle même à toi, te demandant ce que vous allez faire maintenant, pour être honnête, tu n'as même pas le temps de répondre, ni même de réfléchir que sa proposition te faut hausser les sourcils. enfin.. surtout la fin de sa phrase. « boys? » tu n'as jamais vraiment caché ta bisexualité à kwan. pourtant, beaucoup sont assez fermés d'esprit pour te juger, et t'en as conscience, mais tu savais bien kwan n'était pas ce genre de garçons. peut-être qu'il parle pour toi, après tout, mais l'alcool te claque un doute... non... s'il était bisexuel, il t'en aurait parlé, right ? tu es pratiquement certain de son orientation, vous en avez déjà discuté, seulement, bourré comme tu es, tu n'es plus certain.. de la certitude. il reprend la parole, lâchant un rire, mais tu ne peux t'empêcher d'ajouter: « have you ever kissed a guy ? » comme quoi, ta curiosité se fait toujours aussi présente même dans un état lamentable. non vraiment... ça t'intéresse de savoir, là, tout de suite. sans doute parce que tu as remarqué ses regards qui scrutaient ton visage, et que tu as fini par faire la même chose sans t'en rendre compte. kwan sun est très beau, beaucoup trop beau mais tu t'étais déjà faite cette réflexion. d'accord, c'est ton meilleur ami... mais avant qu'il le devienne, tu n'avais pas le même regard sur lui. il aurait pu se passer quelque chose, s'il y avait une possibilité, du moins, tu n'étais clairement pas contre. cela dit, cette option ne t'a jamais traversé l'esprit, du moins, sérieusement. votre relation s'était construite autrement finalement, mais ça ne retire en rien ce début d'attirance que tu as pu ressentir envers lui lorsque tu avais posé tes yeux sur le jeune coréen la première fois. « wanna.. try? » lui demandes-tu, alors que ton sourire commence à s'élargir. s'il n'a jamais tenté et que l'idée le branche... tu ne serais vraiment pas contre, tu serais même totalement ravi de lui faire découvrir ces nouvelles sensations. après tout, il peut toujours essayer, si sa curiosité le pousse à vouloir franchir le cap. et puis avec toi, c'est encore mieux non ? bon, vous êtes meilleurs amis.. d'accord mais justement, vous vous connaissez, pas vrai ? ton regard trouve alors le chemin de ses lèvres avant de planter à nouveau tes yeux dans les siens, un regard curieux, en attente d'une réponse.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 5 Juil - 4:53 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
JE ME SENTAIS BIZARRE PUTAIN ! On j’étais saoul? Oui, ça ne m’étais jamais arrivé d’être dans un tel état second. Mais surtout, PUTAIN COMMENT JE POUVAIS AVOIR CHAUD ! ET POURQUOI LUI ME DONNAIT CHAUD ? Le pire était que ce n’était pas désagréable j’adorais ça. Je me sentais invincible et prêt à affronter le monde. J’étais bien….. mais loin de me rendre compte dans l’état lamentable dans lequel j’étais vraiment. J’essayais de me convaincre du contraire, mais tout le monde avait remarqué le contraire. IMPOSSIBLE JE N'ÉTAIS PAS SAOUL. JE N'ÉTAIS PAS DRUNK. J’en profitais pour faire le con et montrer que si je gérais…. et puis après tout ma perte d’équilibre, je l’avais fait exprès…. parce que c’était UN TEST ! Et c’était pour voir si vous suiviez …. et vous aviez TOUS lamentablement échoué, déso pas déso ! Suite à cette démonstration d’équilibrisme parfaitement controlé, Nao et fini mes bras dessus bras dessous comme nous avions l’habitude de le faire…. mais là, ben c’était différent. Comme si ce contact aurait pu signifier…. autre chose ? Non, c’était probablement des sueurs liées à l’alcool hein. Après tout, c’était pas impossible. En tout cas on était beaux, deux gars dans la rue comme des âmes seules. Ma solution ? Aller draguer de la minette, y’avait que ça de vrai. Puis en plus on était habillés pour attirer hein, on était sexy ! Mais rapidement je précisais qu’on pouvait aussi aller draguer les garçons. Non parce que Nao était bi et du coup il aurait peut-être voulu draguer des minots. Mais visiblement ce petit détail le fait réagir. J’ai dit quelque chose de mal ? Peut-être était tous ces regards que je lui avais lancé, ces gestes dont je n’étais même pas conscient…. j'espérais juste ne rien avoir fait de mal. Mince ça c’était vu que j’avais pensé qu’il était putain de beau ? Ca c’était vu qu’à cet instant mon meilleur ami me donnait particulièrement chaud ? Je l’avais vexé ?
Et PAF la question tombait. Je me figeais quelques instants. Déjà embrasser un garçon. Toujours le bras sur ses épaules, je bougeais doucement pour me mettre face à lui, mais surtout le visage vers le bas pour cacher que j’étais….. rouge comme une pivoine. La chaleur était montée comme jamais au niveau de mes joues après cette question à un million. Mais surtout le fait qu’à cet instant, je sentais que mon regard n’arriverait pas à quitter les lèvres de Nao. Putain comment il pouvait avoir une bouche…..si sexy. Mon truc c’était les femmes. J’aimais les femmes. J’aimais un gars m’avait attiré. Doucement je relevais les yeux un peu perdu et la tête qui tourne. Ma belle confiance c’était enveloppé depuis quelques minutes déjà. Cela me pris un effort immense pour garder mes yeux ancrés dans ceux de mon meilleur ami. Je voulus répondre, ma bouche s’ouvrit…. et j'eus cette sensation que ma gorge était aussi sèche que de le Sahara. Je déglutis difficilement une nouvelle fois avant d’humecter mes lèvres sans m’en rendre compte. Je secouais la tête pour lui répondre. Il fallait croire que Nao avait réussi l’exploit que me faire taire…. assez improbable. J’avais toujours gardé une main sur l’épaule de mon meilleur ami. Je sentais que mon coeur commençait à s’agiter. Mon regard avait encore une fois dévié vers ses lèvres…. ses lèvres si tentatrices, pulpeuses. Quelles goûts avaient-elles ? Non, comment je pouvais penser ça…. c’était mon meilleur ami. J’étais pas censé être… attiré par lui et par un homme un plus. Et pourtant à cet instant, je ne résistais juste pas. La résistance n’était même pas envisageable. j’étais beaucoup trop désinhibé pour ça. Et là, la seconde question à un million tomba. Essayer ? Il est sérieux là ? Le sourire qu’il aborde est une réponse à lui seul. Il était tout ce qu’il y avait de plus sérieux. C’était pas trop bizarre comme situation. Mais le sourire qu’il m’avait lancé et qu’il me lançait toujours, provoqua un frisson qui remonta le long de ma colonne vertébrale. Ma main se resserra sur le tissu blanc de son haut. J’étais perdu, mes joues allaient probablement impliquées d’être aussi rouge, mais je savais une chose. I guess I have to try to know if I like men…. J’avais dit ça en le fixant, on j’étais sûr de ça. Puis au pire, c’était une expérience sociale à vivre. Ce n’était qu’un bisou, un baiser…. banal. Puis la bouche d’un homme et d’une femme c’était pareil non ? Une langue, des lèvres…. VOILÀ QUOI ! Naturellement, je m’étais rapproché de lui , assez pour que je puisse sentir mon trose rencontré le sien qui était partiellement dévoilé par son haut… putain qu’il était sexy. Je plantais mon regard dans le sien et dis avec un ton entre l’assurance et la timidité absolue S’il te plait, viens m’embrasser...hyung. Oui j’avais dit hyung, je ne l’avais jamais utilisé avec lui, mais en soit il était plus âgé que moi. Encore une fois j’eus ce réflexe stupide de m’humecter les lèvres. Je le regardais et mon coeur n’allait pas tarder à s’arrêter. Comment Naoya pouvait me faire cet effet…. comment c’était possible putain ? Oui, j’avais envie… de mon meilleur ami.
Et PAF la question tombait. Je me figeais quelques instants. Déjà embrasser un garçon. Toujours le bras sur ses épaules, je bougeais doucement pour me mettre face à lui, mais surtout le visage vers le bas pour cacher que j’étais….. rouge comme une pivoine. La chaleur était montée comme jamais au niveau de mes joues après cette question à un million. Mais surtout le fait qu’à cet instant, je sentais que mon regard n’arriverait pas à quitter les lèvres de Nao. Putain comment il pouvait avoir une bouche…..si sexy. Mon truc c’était les femmes. J’aimais les femmes. J’aimais un gars m’avait attiré. Doucement je relevais les yeux un peu perdu et la tête qui tourne. Ma belle confiance c’était enveloppé depuis quelques minutes déjà. Cela me pris un effort immense pour garder mes yeux ancrés dans ceux de mon meilleur ami. Je voulus répondre, ma bouche s’ouvrit…. et j'eus cette sensation que ma gorge était aussi sèche que de le Sahara. Je déglutis difficilement une nouvelle fois avant d’humecter mes lèvres sans m’en rendre compte. Je secouais la tête pour lui répondre. Il fallait croire que Nao avait réussi l’exploit que me faire taire…. assez improbable. J’avais toujours gardé une main sur l’épaule de mon meilleur ami. Je sentais que mon coeur commençait à s’agiter. Mon regard avait encore une fois dévié vers ses lèvres…. ses lèvres si tentatrices, pulpeuses. Quelles goûts avaient-elles ? Non, comment je pouvais penser ça…. c’était mon meilleur ami. J’étais pas censé être… attiré par lui et par un homme un plus. Et pourtant à cet instant, je ne résistais juste pas. La résistance n’était même pas envisageable. j’étais beaucoup trop désinhibé pour ça. Et là, la seconde question à un million tomba. Essayer ? Il est sérieux là ? Le sourire qu’il aborde est une réponse à lui seul. Il était tout ce qu’il y avait de plus sérieux. C’était pas trop bizarre comme situation. Mais le sourire qu’il m’avait lancé et qu’il me lançait toujours, provoqua un frisson qui remonta le long de ma colonne vertébrale. Ma main se resserra sur le tissu blanc de son haut. J’étais perdu, mes joues allaient probablement impliquées d’être aussi rouge, mais je savais une chose. I guess I have to try to know if I like men…. J’avais dit ça en le fixant, on j’étais sûr de ça. Puis au pire, c’était une expérience sociale à vivre. Ce n’était qu’un bisou, un baiser…. banal. Puis la bouche d’un homme et d’une femme c’était pareil non ? Une langue, des lèvres…. VOILÀ QUOI ! Naturellement, je m’étais rapproché de lui , assez pour que je puisse sentir mon trose rencontré le sien qui était partiellement dévoilé par son haut… putain qu’il était sexy. Je plantais mon regard dans le sien et dis avec un ton entre l’assurance et la timidité absolue S’il te plait, viens m’embrasser...hyung. Oui j’avais dit hyung, je ne l’avais jamais utilisé avec lui, mais en soit il était plus âgé que moi. Encore une fois j’eus ce réflexe stupide de m’humecter les lèvres. Je le regardais et mon coeur n’allait pas tarder à s’arrêter. Comment Naoya pouvait me faire cet effet…. comment c’était possible putain ? Oui, j’avais envie… de mon meilleur ami.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 5 Juil - 20:16 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
tu te sens bien, super bien, même un peu trop bien. comme à chaque fois que t'as beaucoup trop d'alcool dans le sang. en même temps, plus rien ne compte, seulement les choses positives. tes soucis, tes tracas, toutes ces choses négatives qui t'entourent n'existent plus ou alors, tu le prends d'une toute autre manière. et là, il faut être honnête, tu en tiens une belle. tu souris sans cesse, tu rigoles toutes les deux minutes, cela dit, kwan sun n'est pas dans un meilleur état que le tien. au moins, vous passez un bon moment. tellement que l'alcool te pousse à réagir à sa remarque, lui posant cette question: est-ce qu'il veut essayer ? ton ton est confiant, sérieux, mais tu lui demandes sincèrement. tu ne prendrais pas mal un refus de sa part, c'est simplement une proposition. certains hétéros peuvent s'avérer curieux, et puis même, beaucoup ont déjà embrassé une personne du même sexe qu'eux sans pour autant que ça aille plus loin. en tout cas, tu veux bien l'aider à éclairer sa lanterne. justement, parce que t'es son meilleur ami, ça pourrait paraître louche, complètement bizarre mais vous vous connaissez. physiquement, autre le fait qu'il soit devenu ton meilleur ami, kwan sun est très beau... et puis encore une fois, l'alcool ne te permet pas de réfléchir correctement, en te disant que peut-être, tu le mettrais mal à l'aise avec cette question, pourtant, son air change aussitôt, et même s'il baisse le visage, tu peux le voir rougir un peu d'une manière vraiment trop adorable. tu n'aurais pas dû demander ? il faudrait peut-être que tu précises qu'il pourrait refuser, tu as peut-être été trop loin. seulement, tu n'y voyais pas le mal, au contraire. ta mine se fait plus sérieuse, tu ne peux effacer ce sourire qui devient discret certes, mais qui est toujours présent. mais quand ce silence s'installe, tu ne peux t'empêcher de souffler quelques mots, dans le but de le rassurer: « you can say no.. » pendant un court instant, ton sourire s'élargit, comme pour appuyer tes propos. tu ne serais absolument pas vexé, peut-être un peu déçu au fond, mais pas vexé. tu n'as pas envie de le mettre mal à l'aise ni quoi que ce soit, tu voulais simplement lui proposer, si l'idée d'essayer lui traversait l'esprit. tu sens qu'il resserre son emprise sur ton tissu blanc, cela dit, ce geste ne te pousse pas à détourner son regard de lui. tu viens même retrouver le chemin de ses lèvres brièvement. décidément, tu ne réponds plus de rien à cause de tout cet alcool, et même si tu étais à jeun, ça ne t'aurait absolument pas dérangé, tu doutes que tu lui aurais proposé si... brusquement ? sa réponse te fait tendrement sourire. il n'a pas tort après tout, il peut toujours essayer pas vrai? et puis, c'est une manière comme une autre d'accepter. pourtant, lorsqu'il se rapproche de toi, tu as ce réflexe de bizarre de baisser la tête vers vos torses qui se collent aussitôt. alors... tu n'aurais jamais pensé que ce contact te fasse autant d'effet, que tu aies d'un coup, encore plus envie de l'embrasser et de céder à la tentation. mais comme d'habitude lorsque tu te trouves dans cet état, plus rien n'a d'importance, il n'existe plus de conséquences, et tout te paraît être une bonne idée. oui, pour toi, ça en est une. tu ne vois vraiment pas le mal... est-ce que c'est mal? pourtant, même avec tout cet alcool dans le sang, tu comprends que ce n'est pas normal. que tu as beaucoup trop envie de le faire, beaucoup plus que tu ne le devrais, cette sensation de chaleur envahissant tout ton être, tu parviens à la ressentir malgré tout. son attitude sérieuse et rassurante te perturbe. dans le bon sens du terme bien évidemment, tu ne t'attendais pas à ce que l'idée l'emballe autant.. pour ton plus grand plaisir, on ne va pas se mentir. ses paroles font leur petits effets sur toi. c'est la première fois qu'il te surnomme ainsi, qu'il te parle comme ça, te demandant quelque chose d'un air assuré. lorsqu'il vient s’humecter, tu baisses une nouvelle fois les yeux. pendant un instant, tu retrouves quelque peu les pieds sur terre: est-ce que vous allez vraiment faire ça ? vous ne vous rendez plus compte des choses, mais qu'est-ce que ça peut bien faire ? t'en as envie, et apparemment, lui aussi. doucement, tes mains viennent attraper sa veste, à sa taille, le gardant près de toi. ton regard planté dans le sien, tu retrouves ton fin sourire adorable. « okay... » souffles-tu, sentant cette chaleur te monter aux joues. il veut essayer, tu es là pour lui faire découvrir. mais si ça ne devait être que son seul et unique baiser, tu veux qu'il soit mémorable. quitte à embrasser un garçon qu'une seule fois dans sa vie, autant le faire correctement. ton regard se baisse sur ses lèvres, elles t'appellent, et tu ne tarderas pas à céder à leur appel. « close your eyes. » lâches-tu à mi-voix. encore une fois, si ça devait être son seul baiser, tu veux qu'il soit parfait. tu resserres ton emprise sur sa veste le rapprochant encore plus de toi, ton souffle se coupe pendant un court instant, désormais hypnotisé par ses lèvres avant de laisser tes paupières se fermer. l'envie grimpe de plus en plus alors que tu approches finalement tes lèvres des siennes. doucement, avant de le déposer contre. un baiser qui peut s'avérer assez timide dans un premier temps, tu n'as pas envie de le brusquer même s'il ne devrait pas être dépaysé, on sait jamais. il a conscience d'embrasser une personne du même sexe que lui, il pourrait changer d'avis d'une seconde à l'autre alors dans un premier temps, tu es prêt à couper tout contact s'il n'est plus si sûr de lui, mais t'en as pas l'impression. alors ton baiser se fait plus appuyer. ta main droite vient même quitter sa veste pour venir se loger dans sa nuque, gardant son visage près du tien, accentuant le baiser par la même occasion. ces sensations te paralysent, tu ne pensais pas que ça pourrait être.. à ce point. tellement que tu te laisses bercer par votre acte. ton cœur tambourine dans ta poitrine, ton corps a chaud, ça te pousse à ne pas briser cet acte qu'il n'a pas l'air de briser non plus. tellement que ta seconde main glisse alors sur le côté de sa mâchoire, tandis que ta main droite imite sa jumelle de l'autre côté. tu maintiens son doux visage entre tes mains, laissant tes lèvres bouger contre les siennes et puis, ton instinct agit. tendrement, ta langue tente de se frayer un chemin pour y trouver la sienne. s'il veut arrêter là, il pourra toujours te repousser, mais ton envie agit à ta place. peut-être même un peu trop, mais l'alcool te permet de brouiller ton bon sens, tu n'es pas le plus raisonnable, mais tu t'en moques. t'en as envie, encore une fois, tu ne parviens pas à y voir le mal... alors pourquoi s'arrêter ? vous ne faites rien de mal, rien du tout.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Ven 6 Juil - 0:44 Citer EditerSupprimer
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#Kwanaya
Tout ça. Tout d’un coup. C’était…. un raz de marré de claques dans ma gueule. J’étais submergé par tout ce qui était en train de se passer et je ne comprenais que dalle au final. Mais je savais une chose, c’était que je m'étais laissé entrainé par le flot de mes émotions. Et ce torrent m'amenait toujours à Nao à cet instant précis. Mais pourquoi ? Pourquoi maintenant à cet instant précis, je finissais inexorablement à le voir différemment de ces derniers mois. Je ne m’étais jamais vraiment posé la question. Moi, j’étais un dragueur, mon truc c’était les femmes et non jamais je n’avais jamais fantasmé sur un homme. Naoya était mon meilleur ami, celui avec qui j’avais passé un temps incalculable. Alors pourquoi là, à cet instant, il m’avait semblé si…. désirable. Pourquoi je le voyais autrement. Pourquoi j’avais…. autant envie de lui. J’avais beau me dire que ce n’était pas normal. Que ce n’était pas bien. Je savais aussi très bien que j’étais en train me mentir à moi-même. Et maintenant que j’étais complètement désinhibé et arraché comme jamais je n’ais pu l’être dans toute ma vie. Mes pensées s’étaient fait la malle et là, il ne restait plus que mon corps qui était dirigé par des sensations et les hormones… et bon sang il y en avait une sacré dose d’hormones. Tout cela parce qu’il m’avait demandé qui j’avais envie d'essayer de l’embrasser. Juste assez pour faire tout valdinguer. Et putain oui je voulais qu’il m’embrasse. Je voulais que mon meilleur ami m’embrasse…. et bon sang il faisait chaud… si chaud. Dans quoi je m’étais embarqué putain. Je devais être fou…. non juste bourré. Je finis par lui demander de m’embrasser. c’était vraiment moi qui l’avait dit. C’était vraiment moi putain. Mon iris plantées dans les siennes, je ne savais plus quoi faire. Pourtant je savais embrassé. Mais, là j’avais l’impression que je ne savais plus faire. Comme si j’avais tout oublié. Mince et s’il trouvait que j'embrassais mal. Nani ? Quand je sentis les mains de mon meilleur ami m’agripper la taille, mon coeur ne manqua pas de faire un bon dans ma poitrine. J’avais l’impression d’être…. comme dans un rêve. Un rêve sacrément érotique. Et très réel. Est-ce que je réalisais ? Oui et non. Je n’aurais su dire. Je planais complètement, mais à la fois le contact de son corps contre le mien me ramenait à une réalité si tentatrice et délicieuse. Au final, j’appréciais cette situation. Beaucoup trop. Je le fixais comme si j’attendais qu’il me guide. Fermer les yeux. Okay. Doucement mes paupières se fermaient. Je ne sentais plus que le corps de Nao contre le mien. M’attirer un peu plus contre lui. Naturellement ma seconde main s’était posée contre sa deuxième épaule. Il ne fallut que très peu de temps avant que je sente doucement ses lèvres se poser contre les miennes. Ce mot qui sembla se dérouler au ralenti dans ma tête. Au point que j’avais pu entendre mon coeur résonner dans mon tout mon coeur. Et rater un battement au moment de ce contact. Un contact simple. Chaste. Pourtant humide, frais et qui portait la saveur de tout l’alcool ingurgité… Encore, encore. J’en voulais encore. Mais assez rapidement, les lèvres de Nao s’appuyèrent un peu plus contre les miennes. Sans m’en rendre compte, mes deux mains avaient dérivé jusque dans le dos du japonais et avaient agrippé ses omoplates. J’avais soif, soif de plus de contact. Mais surtout de le savoir contre moi. J’eus un frisson incontrôlé quand je sentais sa pau frôler la mienne. Sa main dans ma nuque. Le petit baiser du début n’était plus du présent. il était à présent affirmé… et j’adorais ça. Je suivais naturellement ce que mon corps me disait de faire, je me laissais entraîner par lui. Le pire était probablement que tout ça semblait si naturel. Comme si mon propre corps avait attendu ça depuis que j’avais rencontré Nao. J’étais hypnotisé par cet homme, complètement drogué à la saveur de ses lèvre doucement alcoolisées et si fraîches en même temps. Un vrai délice. Eh…. oh. Sa… sa langue ? J’étais enivré et là, la seule que voulais, c’était plus. Je ne pensais plus qu’à ça. Je me foutais complètement du reste. j’avais oublié les gens dans la rue. Le bar duquel ont s’était viré. Il n’y avait plus que Naoya. Moi. Et cette chaleur qui ne faisait que grandir. Je voulais plus de lui. Toujours plus. Doucement j’ouvris ma bouche et me laissai happer par la douce caresse de sa langue contre la mienne. Wow. C’était… wow. Une de mes mains remonta doucement dans le dos de mon… meilleur ami ? Mon quoi au juste ? Mon Nao on va dire. Elle finit sa course dans sa chevelure. Ce baiser dura combien de temps ? Ca je l’ignorais, j’étais beaucoup trop sur mon nuage pour y penser de toute façon. Pourtant après quelques instants, je me reculais d’un coup rompant alors le baiser entre le nippon et moi. Mais je veillais à rester dans la même position, tout contre son corps. Wait, please wait, dis-je complètement essoufflé.I lost my breathe, avais-je précisé rapidement pour ne pas qu’il pense que je voulais que ça s’arrête. Parce que c’était loin d’être le contraire. je pris quelques secondes avant que ma respiration reprenne son cours normal. Je fixais mon aîné et me mordis la lèvre inférieure. Oui j’avais aimé. Maintenant je savais. Plus de question. Plus de rien du tout. Je savais à quel point je le voulais. Okay, you’re… a good kisser Nao. Puis pris dans un élan, je finis par ajouter mutin. How dare you being so sexy Naoya, it’s unfair. J’eus un sourire en coin, doucement je m’approchais de son visage et pris le soin d’arrêter ma bouche à quelques centimètres de la sienne. And now I want to kiss you more. Je souris contre ses lèvres…. plus question de revenir en arrière maintenant. Ca tombait bien, je n’en avais pas envie. Je voulais juste continuer. M’enfoncer dans ces pulsions et ne plus penser à rien. juste à Nao et moi.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Ven 6 Juil - 23:48 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
tu ne t'attendais pas à ce qu'il accepte ta proposition. tu n'as pas vraiment réfléchi au fait que ça pourrait le mettre mal à l'aise, tu es tellement habitué à embrasser des personnes peu importe le sexe ou le genre, tu ne t'arrêtes vraiment pas à ça. tu te définis bisexuel, mais tu pourrais sans doute être pansexuel. en fait, ce n'est pas une question qui doit recevoir une réponse. encore une fois, tu t'en fiches pas mal. ce qui compte, c'est le feeling, la personne, rien ne t'arrête réellement... ni même le fait que tu proposes ça à ton meilleur ami. s'il souhaite essayer, tu te dévoues avec grand plaisir. alors tu t'approches de lui, déposant tes lèvres contre les siennes, un doux baiser qui prend de l'ampleur au fil des secondes. tu n'as pas envie de le brusquer, lui laissant une chance de se retirer s'il se désiste ou si ça ne lui plaît pas. tu fais les choses bien, encore une fois, si ça devait être son seul et unique baiser avec un homme, tu souhaites qu'il soit mémorable. seulement, tu ne pensais pas devenir si accroc à ses lèvres, parce que non, le baiser ne te laisse clairement pas indifférent. tu pourrais t'arrêter, peut-être même que tu devrais le faire mais il n'a pas l'air de vouloir mettre fin à votre échange, pour ton plus grand plaisir. alors doucement, tes mains viennent se poser de part et d'autre de son visage, le baiser prend un tout autre sens, c'en est peut-être même inquiétant mais t'apprécies, ça te fait quelque chose, et c'est tout ce qui compte à l'heure actuelle. en sentant ses mains sur tes omoplates, et sans que tu t'en rendes réellement compte, ton baiser prend en intensité. ses mains posées sur toi te donne un effet magique, comme si tu en réclamais encore et toujours plus. tellement plus que ta langue tente de se frayer un chemin, gourmande de la sienne. tente oui, parce qu'encore une fois, tu n'es pas franc. non pas par manque d'avis, tu attends seulement des réactions et tu n'es pas déçu. lorsque ta langue vient caresser la sienne, un doux frisson paralyse ton corps qui devient de plus en plus chaud. baiser désormais langoureux, soif d'en avoir plus. il y a plus de franchise dans ton baiser, plus d'intensité encore, plus d'envie. tu ne cherches pas à arrêter le contact, tu laisses tes envies et ton corps te guider, et là, tout te pousse à continuer. c'est pour cette raison qu'il dure quelques minutes de plus, absorbé par l'instant présent, oubliant tout. pourtant, kwan sun se recule brusquement, te faisant descendre de ton petit nuage, tu rouvres subitement les yeux, tu as même ce réflexe d'écarter tes mains de son visage. quoi ? ça ne va pas ? est-ce qu'il regrette ? dans le doute, tu préfères couper tout contact, ne le quittant pas du regard alors qu'il te demande d'attendre. qu'est-ce qu'il se passe ? apparemment, il avait besoin de reprendre sa respiration. à ces mots, tu souris doucement. pourtant, tu ne parviens pas à le quitter du regard, ton regard vient même retrouver le chemin de ses lèvres un court instant, comme si... ouais, elles te manquent déjà. ce baiser, c'était quelque chose. tu n'aurais jamais pensé que ça pouvait te faire autant d'effet. c'est ton meilleur ami après tout... mais avouons-le, tu ne lui es clairement plus indifférent maintenant. déjà que tu ne l'étais pas totalement. la chaleur s'empare de ton corps, te monte aux joues, sa remarque élargit ton sourire. « you too... » il embrasse bien, même très bien. tu ne peux pas le nier, tu as été hypnotisé par ses lèvres, ce contact t'a permis de t'évader pendant un court instant, tu ne pensais pas pouvoir te sentir encore mieux et pourtant là... tu te sens cruellement bien. tes yeux brillent, ton souffle se coupe à certains instants, ses paroles te font doucement hausser les sourcils pendant un bref instant. t'aimes ça. t'aimes le fait qu'il te trouve sexy. t'aimes l'admirer après cet échange. t'aimes qu'il soit si près de toi. tu le ressens, ton corps te le crie. « you find me sexy.. ? really ? » répètes-tu, d'une voix alourdie par cette chaleur corporelle et aussi, sur un ton légèrement provocateur. parce que sans t'en rendre compte, tu testes ses réactions. au fond, tu n'aurais jamais pensé entendre ces paroles de kwan sun à ton égard. et pourtant, ça te fait de l'effet, peut-être même un peu trop. ses paroles te touchent et tu ne cherches pas à le cacher, bien au contraire. à nouveau, ton souffle se coupe en sentant son visage si près du tien. ses lèvres manquant de caresser les tiennes, tu baisses le regard vers elles, gourmand d'y goûter une seconde fois. et à sa voix, tu relèves les yeux, les plantant dans les siens. un tendre sourire étirant tes lèvres. un sourire sincère, mais chaud, réclamant à lui seul ses lèvres si douces. tu sens qu'il te sourit, tes lèvres le sentent. « then do it.. » souffles-tu à nouveau. t'en veux plus, tu ne le caches pas. et lui non plus. plus rien n'a d'importance pas vrai ? les conséquences de vos actes, vous n'y pensez même plus. alors doucement, tu approches tes lèvres des siennes, mais avant qu'elles puissent goûter une nouvelle fois à ces lèvres que tu désires tant, une porte se claque non loin de vous. tu as tout juste le temps de te reculer, titubant légèrement avant de lancer un regard vers le bruit: des personnes qui sortent du bar dans lequel vous étiez il y a quelques minutes de cela. tu redescends un peu sur terre, tout ça ne fait que te rappeler que vous n'êtes pas seuls et pourtant, pour toi, vous l'étiez. coupés dans un monde que tu ne souhaitais quitter. la frustration collée aux tripes ne t'empêche pas de sourire, amusé, tu lui lances un regard, laissant échapper un léger rire. il va falloir que vous vous trouviez un coin plus.. tranquille. « you're definitely not straight at all, yu kwan sun. » et bordel, c'est une bonne nouvelle. tu ajoutes même une remarque bourrée de sous entendu. « i like it. » cela dit, être si loin de lui à cause du retour à la réalité te frustre encore, ouais, cette frustration ne va pas te quitter. malgré tout cet alcool dans le sang, l'air frais de cette soirée caresse ton visage. tu pousses un léger soupir, comme si ce geste pouvait te permettre de faire descendre toute cette.. excitation. « god, i'm horny now. » est-ce que tu viens réellement de dire ça à voix haute? t'en lâches un léger rire. à moitié nerveux, à moitié frustré. merci l'alcool, tu n'as vraiment plus conscience de rien... mais malgré tout, tu arrives à ressentir toutes ces émotions par lesquelles tu viens de passer, toute cette envie, toute cette chaleur. ce baiser t'a donné chaud, c'est un fait. il t'a même donné l'envie d'aller plus loin encore. « i think... we must leave this place. » s'il veut t'embrasser une nouvelle fois, tu n'as pas envie d'être dérangé cette fois..
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Lun 9 Juil - 23:38 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
Je ne m’étais pas attendu à ça. Je n’avais pas prévu de m’impliquer dans un baiser. Et surtout que cela me plaisait… à ce point. Les lèvres de Naoya contre les miennes. Ce doux mélange d’alcool et de fraîcheur. Je n’aurai su le décrire. Tout avait un goût surréaliste et à la fois trop réel. C’était improbable et délicieux à la fois. Dans le fond c’était parfaitement indescriptible…. et je n’avais pas vraiment envie de le décrire vraiment, aussi parce je n’en avais pas vraiment les capacités mentales. Le fait était que ça m’avait beaucoup trop plu. Le fait était qu’un baiser ne m’avait jamais fait autant d’effet par le passé. Mon corps avait réagi seul, poussé par les pulsions de désirs qui grandissaient en moi. Plus de doute, plus de question. je savais ce que je voulais. je savais QUI je voulais et c’était Naoya. Oui, mon meilleur ami. C’était chelou…. non ce n’était pas chelou, justement - et c’était ça qui était chelou. Tout me semblait… normal. Toutes ces réactions, toute cette chaleur, c’était normal Et plus j’y goûtais, plus je désirai en avoir encore. C’était la seule chose que mon corps me hurlait à cette instant. Plus de contact, plus de désir, plus baisers, plus de Naoya. Ce simple baiser qui au départ était timide devint tellement plus. Comme si nous avions découvert une intimité toute nouvelle entre nous. N’importe qui qui serait passé dans la rue nous aurait pris pour un couple…. ce qui n’était pas le cas. Mais là le regard des autres je m’en foutais. Ils étaient gênés ? Rien à foutre ? En vrai, le monde avait cessé de tourner pour moi et il n’y avait plus personne. Naoya et moi. MON Naoya. Pourtant je fus le premier à mettre fin à ce contact qui était pourtant si grisant, faute de souffle. Il fallait croire que cet afflux d’hormones m’avaient littéralement coupé le rythme de ma respiration. Il embrassait bien le diable. Il embrassait particulièrement bien même. Maintenant la seule chose dont j’avais envie, c’était de recommencer encore une fois. Je voulais encore que mes lèvres touchent les siennes, sentir cette proximité si intense que j’aurais pu me fondre en lui. J’en voulais encore. C’était pour ça que mon corps continuait de chercher désespérément le contact du sien. Sexy ? Oui il était sexy. Il avait toujours été un homme très beau, je l’avais toujours pensé. Mais là… je savais que les choses prennaient un autre sens. Je souris à son ton provocateur. Doucement un de mes mains retourna sur son épaule. mon sourire s'agrandit et devint plus.... lubrique. Dans un geste lent et exagéré, mes doigts glissèrent contre la peau du torse de Nao, cette peau dévoilée à cause de son haut. Je me mordis la lèvre inférieure alors ma main plus taquine se glissa légèrement pour effleurer son pectoral. Yes you are, babe. Oui, moi aussi je pouvais être taquin et chercher la petite bête quand je voulais. Mais dans le fond la seule chose qui hantait mon esprit, c’était de ses lèvres si …. parfaitement désirable. Oui je voulais encore l’embrasser. Et nos lèvres étaient déjà si proches. Dot it qu’il avait dit. JUST DO IT ! Il en voulait encore lui aussi, moi aussi. Mais qui allait nous arrêter ? La réponse fut: la porte du bar. Elle claqua si fortement que je sursautai et laissa échapper un petit cri qui était parfaitement viril. Juste après l’avoir fait je me passais une main derrière le crâne. Je me tournais avec mon japonais et rit légèrement avec lui. On était beau à voir l’air de rien. Quand il me dit alors que je n’étais pas hétéro, mon rire s’accentua. Yep that’s what I am… not straight. Doucement je revins vers mon Nao jusqu’à entendre cette phrase. Et là elle me laissa sur le cul. Horny ? Ah ouais carrément. j’avouais que ces mots ne me laissèrent pas de marbre. J’avouais que moi aussi j’avais un sacré coup de chaud là. Vraiment un coup de chaud bien trop fort. Alors je m’approchais encore de mon compère. Ma main alla naturellement chercher la sienne, mes doigts se nouèrent entre les siens. Mes lèvres allèrent juste à côté de son oreille. Je pris le temps de lui susurrer tendrement. So you’re horny babe... Je laissais échapper un petit ricanement avant de nicher mes lèvres dans son cou. Je déposais une petite bise. Puis une autre. Et une autre. Jusqu’à attraper la peau de son cou pour la suçoter amoureusement, juste assez pour le taquiner. Je m’éloignais alors après quelques secondes, non sans avoir un petit sourire, fier mon coup. Je regardais mon compagnon et dit avec un petit ton de provocation. I think I’m… Naoya-sexual. Toujours ma main dans la sienne, et l’entrainait dans une rue et puis une autre, cherchant un endroit calme. Nous marchions tous les deux pas vraiment droit et en plus mon coeur battait la chamade. Alors qu’on nous enfoncions dans les rues de plus en plus désertes, je finis par m’arrêter. Je me retournais vers Nao, légèrement essouflé. Je glissais ma main libre sur sa joue. Now it’s only you and me, my horny babe, avais-je dit sur le ton de la taquinerie.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 12 Juil - 16:32 Citer EditerSupprimer
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#Kwanaya
vous êtes beaux tous les deux, à ne pas tenir debout, à rire pour rien. cela dit, vous ne faites pas de mal, pas vrai ? seulement... vous êtes dans un sacré état. arf, t'en avais bien besoin. au moins, tu ne penses plus à rien, ce mirage, cette impression que tout va bien dans le meilleur des mondes alors qu'on t'a peut-être menti toute ta vie. quoi qu'il en soit, ce soir, tu ne réfléchis plus, tu ne penses plus. la preuve en est, kwan sun et toi êtes totalement en train de déraper. est-ce que c'est important ? non, parce que pour toi, il n'y aura pas de conséquence à tout ça. tu te trompes sûrement, mais l'alcool que tu as ingurgité te pousse à être positif, à profiter de l'instant présent sans te prendre la tête. tu n'es pas du genre à être insouciant pourtant, mais n'oublions pas que l'alcool te rend un peu trop joyeux... pour absolument tout. et là, tu te sens bien. est-ce que tu t'attendais à ce que les choses prennent cette tournure ? pas du tout, ça échappe totalement au peu de contrôle que tu avais. il te trouve réellement sexy ? oh, ça te flatte. peut-être même un peu trop. s'il cherche à te faire de l'effet, ça fonctionne. alors même si vous êtes brutalement coupé, te laissant plus frustré que jamais, plus affamé, tu ne peux t'empêcher de rire comme si tu venais d'entendre la blague du siècle, lui affirmant qu'il est tout sauf hétéro... du moins, de ce que tu peux remarquer. s'il se considère hétéro, libre à lui. mais il est loin de l'être. tu secoues doucement la tête, profitant de l'air frais, espérant qu'il t'aide à te calmer un minimum. parce que soyons honnête, ta chaleur corporelle a grimpé bien trop vite. et l'alcool que tu as dans le sang te pousse à le dire à voix haute. mais ça, tu t'en fiches pas mal, tu gardes ce même sourire, prêt à rire à tout moment alors que kwan sun s'approche de toi. tu le laisses faire, laissant sa main se glisser dans la tienne. il est si proche de toi, tu ne peux t'empêcher de baisser le regard vers vos mains liées, suivi de ses lèvres, ton sourire s'élargissant. tu ne casses le contact à aucun instant, pour une raison simple : tu n'as pas envie de faire ça. cela dit, tout ça ne te calme pas vraiment. il vient te susurrer quelques mots à l'oreille, utilisant ce surnom. tu comprends bien ce qu'il essaye de faire. pourtant, tu ne peux t'empêcher de marmonner, difficilement, entre deux rire discrets: « what are you doin'... » tu sens ses lèvres se déposer contre la peau de ton cou. instinctivement, tu viens fermer tes paupières comme pour mieux te concentrer sur les sensations que ça te procure. il te cherche, il te taquine, tu le comprends bien, surtout au moment où il vient suçoter ta peau. ta main vient se déposer sur son épaule alors qu'il s'écarte de toi, tu rouvres les yeux, observant son sourire des plus taquins. il continue dans la provocation avec sa remarque. naoyasexuel ? si autant tu pouvais croire que l'alcool agissait sur ses actes, là, tu commences à en douter. pourtant, et encore une fois, ton état te pousse à envoyer chier tes principes. ton raisonnement. tu lui souris doucement, sentant ta chaleur te monter une nouvelle fois aux joues. cette chaleur qui t'empêche de reprendre rapidement la parole, puisqu'il t'embarque très vite. tu tentes de le suivre, titubant, t'espères ne pas tomber parce que là, t'es même pas certain de pouvoir voir des obstacles s'il y en a. tu as seulement conscience de la fraîcheur de cette soirée. tu n'es même pas fichu de comprendre où est-ce qu'il t'emmène, aux dortoirs ? aucune idée. pourtant, tu retrouves un minimum de lucidité. « my car... » pouffes-tu, elle est restée dans le parking ! ou... ou alors vous êtes venus à pieds ? ça y est, tu doutes. t'as beau essayé de fouiner dans tes souvenirs, tu n'arrives pas à y trouver une réponse. arf, tant pis. tu abandonnes au moment où il vous arrête brusquement, t'es un peu essoufflé, ne tenant pas vraiment debout. il te regarde et toi, tu as toujours ce sourire sur les lèvres, comme si tu étais prêt à exploser de rire à tout moment. signe que tu passes une très bonne soirée. bourré comme jamais, certes, mais une bonne soirée tout de même. sa main glisse sur ta joue. ton regard est brillant, incapable de quitter le sien, incapable d'arrêter de sourire, encore moins après ses paroles. « do you wanna know a secret? » souffles-tu. un secret, si on peut dire ça. tu trouves que c'est une bonne idée de lui dire, pourquoi maintenant ? sûrement parce que t'es totalement bourré. tu te rapproches de lui, tes lèvres frôlant son oreille. tu baisses d'un ton, chuchotant presque d'une manière inaudible. « when i saw you.. for the first time... i found you so sexy. » tu t'écartes doucement, peut-être même un peu trop brutalement pour ton état puisque tu titubes. fort heureusement, ton dos se cogne contre ce mur derrière toi. tu le regardes à nouveau, te mordant la lèvre inférieure. « yeah i had a crush on you. » continues-tu, dans un doux rire. tu ne dis que la vérité, la première fois que tu as vu kwan sun, tu le voulais autrement. ç'a fini par te passer, tu as fini par t'y faire mais tu ne lui as jamais dit. tu aurais pu, tu connais assez kwan sun pour savoir que ça n'aurait rien changé mais à quoi bon ? tu places ton index devant tes lèvres pulpeuses. « shhh, don't tell anyone.. » lâches-tu, d'un ton plus amusé, montrant bien qu'au final, ça n'a pas d'importance. s'il y a une personne qui ne devait pas savoir, c'était lui. les effets de l'alcool... rapidement, tu viens te saisir de son poignet, le tirant vers toi alors que ton dos est toujours collé contre ce mur. tu passes tes bras sur ses épaules, plantant ton regard dans le sien. impossible de te calmer, encore moins après... tout ça. impossible de retrouver un seul court moment de lucidité. dans un souffle qui se veut provocateur, tu reprends: « so.. you wanna kiss me more? » tu souris, adorablement, lançant un regard vers ses lèvres avant de replonger ton regard dans le sien. « your horny babe is waiting. »
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Ven 13 Juil - 17:00 Citer EditerSupprimer
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Horny ? Lui horny ? Oui, okay je restais sur le cul après qu’il m’ait dit ça. C’était moi qu’il lui faisait cet effet là ? Genre sérieusement ? Le simple fait d’avoir entendu cette phrase sortir de ses lèvres m’avait fait un effet de dingue. Beaucoup plus que prévu. Comment une simple phrase pouvait m’électriser à un tel point ? Il fallait dire que tout ce que j’avais bu de m’aidait pas vraiment à garder les idées claires…. ou à l’inverse à les avoir beaucoup trop lucides, justement. A cet instant je savais justement que je le voulais lui. C’était comme si l’alcool était venu me foutre une grosse claque à l’arrière du crâne pour me gueuler “Wow regarde il te plait ce gars ! Arrête d’être con !” Doucement je retournais auprès de Nao, liant nos mains l’une à l’autre je ne pus m’empêcher de lui glisser à l’oreille que j’avais largement entendu cette fameuse phrase. Il avait des envie perverses ? Je comptais bien les exploiter. J’avais glissé mes lèvres au de son cou. Je cherchais à le provoquer encore plus. Encore plus je lui lançai ses signes que dans le fond, j’étais tout aussi horny que lui. J’avais chaud, j’étais clairement en train de me faire dominer par les pulsions et mes hormones, mais ça faisait un petit moment que je n’en avais plus rien à faire. Je savais ce que je voulais. Qui je voulais. Et même complètement arraché, j’étais toujours aussi têtu qu’un mulet. J’avais envie de passer à l’étape supérieure avec Nao…. et j’allais tout faire pour finir dans le même pieu avec lui, et ce qu’importe les conséquences. Il n’y avait pas de conséquences, il n’y en avait plus. Il n’y avait que ce présent dans lequel je voulais croquer à pleine dents. Le reste, on verrai demain après tout.
J’avais fini par nous entraîner dans les rues de la ville. Si je savais où qu’on allait…. oui bien sûr… oui et non. J’en savais trop rien en fait, j’avouais que je suivais surtout mon instinct qu’autre chose. Au fur et à mesure les rues devenaient plus en plus petites et de moine en moins fréquentées. Jusqu’à être désertes. Juste assez pour que nous puissions être seuls. Juste lui et moi et personne d’autres. Légèrement essoufflé, ma paume frôla sa joue. Bon sang comment on pouvait être aussi mignon et sexy comme lui. Et dire que je l’avais pour moi tout seul. A cet instant, Nao n’était qu’à et rien qu’à moi. Okay, cette pensée me donnait vraiment beaucoup trop chaud dans tout le corps. Mais putain c’était tellement grisant et excitant de l’imaginer. Je souris légèrement alors qu’il me proposa de me confier un secret. Tell me babe, avais-je dit avec une petit sourire en coin. Il avait capté ma curiosité…. bon il captait déjà toute mon attention mais soit. Alors je l’observais s'approcher doucement de moi. J’avouais que par quelque fois mes iris étaient venues loucher sur ses lèvres si pulpeuses. Difficile de se concentrer dans de telles conditions et l’alcool d’aidait pas avec tout ça. Lorsque je sens son souffle lécher mon oreille, je mordis la lèvre inférieure par réflexe. Alors il m’avouais qu’il m’avait trouvé sexy la première fois que nous nous étions rencontrés. Wow. Gros boost de confiance en moi pour le coup. Alors que Nao s’écarta de moi, je restai comme un con un petit sourire aux lèvres. Mes yeux remontèrent doucement jusqu’à son visage. Il me fallut quelques secondes avant que mon sourire devient bien plus taquin. I think you still have a crush on me Naoya, répondis-je avec un rire léger. I won’t tell you secret, it’s between us, only us. Double-sens ? Je n’en savais trop rien. Je n’avais pas vraiment calculé pour mon coup en fait. En vrai ça faisait un moment que mon esprit avait décroché.
Quelques secondes suffirent pour faire basculer la situation…. dans le bon sens du terme. Nao avait attrapé mon poignet pour m’attirer vers lui. Pendant quelques secondes ce geste me fit perdre l’équilibre et j’eus le réflexe plaquer une de mes mains sur le mur qui soutenait mon japonais préféré, juste à côté de son visage, ce qui ressemble terriblement à une scène clichée sortie d’un drama. Je sentais déjà son corps contre le mien et ça me rendait complètement fou. Ses bras noués autour de mes épaules. Je ne cherchais même plus à cacher le fait que j’avais fixer cette délicieuse bouche tout le long que mon Nao avait parlé. Mais ça dernière phrase suffit à me faire devenir complètement pervers. Je levais les sourcils. Je levais les yeux en l’air. Hmmm, I don’t know. Je restai pourtant collé à lui. I think could make you hornier, ajoutai-je en baissant mes yeux sur lui avec un sourire qui pouvait en dire long sur mes intentions. Une de mes main se glissa au niveau de ses reins. Discrètement je m’étais replacé pour placer une de mes jambes entre les siennes. Il n’avait vraiment aucunes idées de ce qu’il venait de déclencher là. Vraiment aucunes et clairement rien ne pourrais plus m’arrêter. J’étais en train de devenir parfaitement incontrôlable. Ma main fit pression sur ses reins, juste assez que son entrejambe glisse sur ma cuisse. Je répétais quelques fois l’opérations avant de rapprocher mon visage dangereusement du sien. I didn’t know you were so much needy Nao. Mon sourire carnassier ne quittait pas mes lèvres. N’hésitant pas à faire une pression plus appuyée au niveau de son entrejambe pour appuyer mes paroles. Are you horny enough to moan in this street babe ? Sans lui laisser le temps de répondre je posais mes lèvres sur les siennes. J’en avais trop envie et je venais de craquer. J’en avais trop BESOIN. Cette fois pas d’étape timide. Nos corps étaient collés l’un à l’autre cherchant à se fondre dans celui de l’autre. J’avais trop attendu et je voulais plus de Nao, je le voulais tout entier.
J’avais fini par nous entraîner dans les rues de la ville. Si je savais où qu’on allait…. oui bien sûr… oui et non. J’en savais trop rien en fait, j’avouais que je suivais surtout mon instinct qu’autre chose. Au fur et à mesure les rues devenaient plus en plus petites et de moine en moins fréquentées. Jusqu’à être désertes. Juste assez pour que nous puissions être seuls. Juste lui et moi et personne d’autres. Légèrement essoufflé, ma paume frôla sa joue. Bon sang comment on pouvait être aussi mignon et sexy comme lui. Et dire que je l’avais pour moi tout seul. A cet instant, Nao n’était qu’à et rien qu’à moi. Okay, cette pensée me donnait vraiment beaucoup trop chaud dans tout le corps. Mais putain c’était tellement grisant et excitant de l’imaginer. Je souris légèrement alors qu’il me proposa de me confier un secret. Tell me babe, avais-je dit avec une petit sourire en coin. Il avait capté ma curiosité…. bon il captait déjà toute mon attention mais soit. Alors je l’observais s'approcher doucement de moi. J’avouais que par quelque fois mes iris étaient venues loucher sur ses lèvres si pulpeuses. Difficile de se concentrer dans de telles conditions et l’alcool d’aidait pas avec tout ça. Lorsque je sens son souffle lécher mon oreille, je mordis la lèvre inférieure par réflexe. Alors il m’avouais qu’il m’avait trouvé sexy la première fois que nous nous étions rencontrés. Wow. Gros boost de confiance en moi pour le coup. Alors que Nao s’écarta de moi, je restai comme un con un petit sourire aux lèvres. Mes yeux remontèrent doucement jusqu’à son visage. Il me fallut quelques secondes avant que mon sourire devient bien plus taquin. I think you still have a crush on me Naoya, répondis-je avec un rire léger. I won’t tell you secret, it’s between us, only us. Double-sens ? Je n’en savais trop rien. Je n’avais pas vraiment calculé pour mon coup en fait. En vrai ça faisait un moment que mon esprit avait décroché.
Quelques secondes suffirent pour faire basculer la situation…. dans le bon sens du terme. Nao avait attrapé mon poignet pour m’attirer vers lui. Pendant quelques secondes ce geste me fit perdre l’équilibre et j’eus le réflexe plaquer une de mes mains sur le mur qui soutenait mon japonais préféré, juste à côté de son visage, ce qui ressemble terriblement à une scène clichée sortie d’un drama. Je sentais déjà son corps contre le mien et ça me rendait complètement fou. Ses bras noués autour de mes épaules. Je ne cherchais même plus à cacher le fait que j’avais fixer cette délicieuse bouche tout le long que mon Nao avait parlé. Mais ça dernière phrase suffit à me faire devenir complètement pervers. Je levais les sourcils. Je levais les yeux en l’air. Hmmm, I don’t know. Je restai pourtant collé à lui. I think could make you hornier, ajoutai-je en baissant mes yeux sur lui avec un sourire qui pouvait en dire long sur mes intentions. Une de mes main se glissa au niveau de ses reins. Discrètement je m’étais replacé pour placer une de mes jambes entre les siennes. Il n’avait vraiment aucunes idées de ce qu’il venait de déclencher là. Vraiment aucunes et clairement rien ne pourrais plus m’arrêter. J’étais en train de devenir parfaitement incontrôlable. Ma main fit pression sur ses reins, juste assez que son entrejambe glisse sur ma cuisse. Je répétais quelques fois l’opérations avant de rapprocher mon visage dangereusement du sien. I didn’t know you were so much needy Nao. Mon sourire carnassier ne quittait pas mes lèvres. N’hésitant pas à faire une pression plus appuyée au niveau de son entrejambe pour appuyer mes paroles. Are you horny enough to moan in this street babe ? Sans lui laisser le temps de répondre je posais mes lèvres sur les siennes. J’en avais trop envie et je venais de craquer. J’en avais trop BESOIN. Cette fois pas d’étape timide. Nos corps étaient collés l’un à l’autre cherchant à se fondre dans celui de l’autre. J’avais trop attendu et je voulais plus de Nao, je le voulais tout entier.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Dim 15 Juil - 16:22 Citer EditerSupprimer
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#Kwanaya
l'alcool te rend plus joueur encore. tu le testes un peu, soyons honnête, ça ne peut que faire grimper davantage la température. après tout, tu ne sais pas jusqu'où ce jeu peut aller. vous laissez parler vos envies, votre chaleur, et sûrement l'alcool aussi... mais est-ce que vous allez savoir vous arrêter ? ça, t'en sais rien, et tu ne cherches pas à le savoir. tu savoures chaque instant. alors tu te laisses transporter, tu n'as aucune idée d'où est-ce que kwan sun peut t'emmener, en fait, tu n'es même pas certain qu'il le sache lui-même mais encore une fois, tu ne te poses aucune question. tu le suis. difficilement certes, tu titubes même mais il finit par s'arrêter dans une ruelle déserte. personne, tu n'entends même pas le bruit d'une seule voiture, ou alors, l'alcool commence à isoler ton ouïe... mais alors que tu sens sa main caresser ta joue, une idée te vient. sûrement pas la meilleure du monde mais ouais, t'as envie de le lui dire. lui dire quoi ? que tu aurais eu des vues sur lui, au début. t'es enjoué, tu lui annonces sans te poser la moindre question, lui demandant même de ne rien dire, en plaisantant. il affiche ce sourire taquin, t'affirmant que c'est toujours le cas. ton sourire s'agrandit alors que tu entends son rire, puis il t'avoue qu'il ne dira rien. mais en vérité ça, ça n'a aucune importance. « you're right. » souffles-tu, alors que tes yeux papillonnent entre son regard et ses lèvres. si tu l'as trouvé sexy la première fois que tu l'as vu, tu n'as pas changé de point de vue. tu as simplement endossé ce rôle de meilleur ami, sans t'imaginer autre chose mais apparemment, ce soir, la donne change.
ouais, tu changes la donne, puisque tu le rapproches aussitôt de toi, passant aux choses un peu plus sérieuses sans pour autant y aller totalement. encore une fois, tu le cherches un peu, au fond, tu veux savoir jusqu'où il irait. ce dont il a vraiment envie et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es à milles lieu d'imaginer ce qu'il est capable de faire. évidemment que tu le connais par cœur, mais pas de cette façon là. comment tu pourrais connaître celle facette de kwan sun ? pour être honnête, t'as hâte de la découvrir. ton corps collé contre le sien, tes bras entourant ses épaules, sa main soutenant ce mur derrière toi, ce sourire qui en dit long ne te quitte pas. un sourire qui devient même de plus en plus curieux, mais ce n'est rien comparé au moment où il reprend la parole. il ne sait pas ? tu as ce haussement de sourcil, le questionnant du regard, avant qu'il t'avoue quelque chose qui te donne plus chaud encore. c'est automatique. he wants to make you hornier ? il pique ta curiosité déjà bien développée. mais tu restes silencieux, sentant sa main se déposer au creux de tes reins te poussant, doucement, à glisser sur sa cuisse alors qu'il venait de placer sa jambe entre les tiennes. un soupir s'échappe d'entre tes lèvres. un soupir de surprise mais aussi de frustration, ta chaleur corporelle grimpe d'un nouveau cran, tu commences même à sentir ton cœur s'emballer et c'est ce qui te fait sourire, affamé cette fois. tu ne le quittes plus du regard, c'est fini. ton regard se plante dans le sien, comme paralysé et sa réflexion ne t'aide en rien. mais tu restes toujours aussi silencieux, comme si tu demandais à en voir encore plus. le moins que l'on puisse dire, c'est que tu n'es absolument pas déçu. tout se passe très vite, sa main fait pression sur tes reins, te forçant à glisser le long de sa cuisse de manière plus appuyée, sa question te fait aussitôt réagir ou du moins, réveille à nouveau tes sens. est-ce que tu as bien entendu ? évidemment, ce n'est pas l'alcool qui te fait délirer. mais tu n'as même pas le temps de lui répondre qu'il s'empare à nouveau de tes lèvres. lèvres qui commencent à se fondre contre les siennes, étouffant cette inspiration de surprise, mêlé à du désir. un désir qui grimpe que trop vite, un désir que tu ne contrôles même plus. et là, contre ses lèvres, s'écrase un gémissement presque inaudible mais surtout incontrôlé. tout ça ne fait qu'éveiller une bonne fois pour toute ton désir pour lui. alors tu mets plus d'intensités dans ce baiser, plus d'envie, lui faisant ainsi comprendre que tu as envie de lui. envie de plus. tes lèvres pulpeuses et brûlantes de passion, dévorant presque les siennes, ne sont que le résultat de ce qu'il sème. et doucement, tu lui souffles entre deux baisers, vos lèvres toujours scellées. « continue.. » qu'un soupir presque inaudible, sur le chemin du supplice. lancé dans ta langue maternelle sans même que tu t'en rendes compte. ça te plaît, et tu veux lui faire comprendre. d'ailleurs, tu suis doucement ses mouvements, continuant de glisser sur sa cuisse tout en reprenant possession de ses lèvres pendant de longues secondes. ton bras gauche resserre son emprise sur ses épaules, le rapprochant davantage de toi, tandis que ta main droite glisse le long de son torse, là où elle arrête sa course. tes lèvres quittent doucement les siennes, sans pour autant s'éloigner, vos souffles se mélangent encore. tu rouvres les yeux, les plongeant dans les siens, retrouvant ton sourire taquin et affamé. « now you wanna try something else. » ce n'est pas une question, mais une affirmation. c'est ce qu'il t'a fait comprendre, non ? tes reins continuent de se mouver doucement alors que tu viens lui mordiller le lobe d'oreille, avant de lui souffler, de la manière la plus sensuelle qui soit: « and you wanna do dirty things to me... » encore une fois, tu le cherches. tu veux que sa température corporelle atteigne ses limites, et continue d'exploser. tu es certain qu'il pourra entendre ton sourire. et tu as ce geste, qui accompagne tes paroles. ta main précédemment posée sur son torse descend encore, dangereusement, juste assez pour lui laisser le temps de comprendre où est-ce qu'elle compte s'arrêter et de terminer ta phrase. « moi aussi. » en japonais cette fois. tu n'es même pas certain qu'il puisse te comprendre mais de toute façon, votre état ne vous permet plus grand chose. tu recules légèrement ton visage, assez pour te retrouver à nouveau face au sien, tes lèvres à seulement quelques millimètres des siennes. ta main glisse finalement entre ses cuisses, par dessus son pantalon, tu parviens à sentir aisément son excitation et disons-le, ça n'aide clairement pas la tienne à se calmer. et puis, tu commences certaines caresses, sensuellement, voire même frustrant à cause de ce vêtement qui sépare ta main de ce que tu désires à cet instant précis. et sans que tu t'en rendes réellement compte, tu viens te pincer la lèvre inférieure. il fait... vraiment très chaud.
ouais, tu changes la donne, puisque tu le rapproches aussitôt de toi, passant aux choses un peu plus sérieuses sans pour autant y aller totalement. encore une fois, tu le cherches un peu, au fond, tu veux savoir jusqu'où il irait. ce dont il a vraiment envie et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es à milles lieu d'imaginer ce qu'il est capable de faire. évidemment que tu le connais par cœur, mais pas de cette façon là. comment tu pourrais connaître celle facette de kwan sun ? pour être honnête, t'as hâte de la découvrir. ton corps collé contre le sien, tes bras entourant ses épaules, sa main soutenant ce mur derrière toi, ce sourire qui en dit long ne te quitte pas. un sourire qui devient même de plus en plus curieux, mais ce n'est rien comparé au moment où il reprend la parole. il ne sait pas ? tu as ce haussement de sourcil, le questionnant du regard, avant qu'il t'avoue quelque chose qui te donne plus chaud encore. c'est automatique. he wants to make you hornier ? il pique ta curiosité déjà bien développée. mais tu restes silencieux, sentant sa main se déposer au creux de tes reins te poussant, doucement, à glisser sur sa cuisse alors qu'il venait de placer sa jambe entre les tiennes. un soupir s'échappe d'entre tes lèvres. un soupir de surprise mais aussi de frustration, ta chaleur corporelle grimpe d'un nouveau cran, tu commences même à sentir ton cœur s'emballer et c'est ce qui te fait sourire, affamé cette fois. tu ne le quittes plus du regard, c'est fini. ton regard se plante dans le sien, comme paralysé et sa réflexion ne t'aide en rien. mais tu restes toujours aussi silencieux, comme si tu demandais à en voir encore plus. le moins que l'on puisse dire, c'est que tu n'es absolument pas déçu. tout se passe très vite, sa main fait pression sur tes reins, te forçant à glisser le long de sa cuisse de manière plus appuyée, sa question te fait aussitôt réagir ou du moins, réveille à nouveau tes sens. est-ce que tu as bien entendu ? évidemment, ce n'est pas l'alcool qui te fait délirer. mais tu n'as même pas le temps de lui répondre qu'il s'empare à nouveau de tes lèvres. lèvres qui commencent à se fondre contre les siennes, étouffant cette inspiration de surprise, mêlé à du désir. un désir qui grimpe que trop vite, un désir que tu ne contrôles même plus. et là, contre ses lèvres, s'écrase un gémissement presque inaudible mais surtout incontrôlé. tout ça ne fait qu'éveiller une bonne fois pour toute ton désir pour lui. alors tu mets plus d'intensités dans ce baiser, plus d'envie, lui faisant ainsi comprendre que tu as envie de lui. envie de plus. tes lèvres pulpeuses et brûlantes de passion, dévorant presque les siennes, ne sont que le résultat de ce qu'il sème. et doucement, tu lui souffles entre deux baisers, vos lèvres toujours scellées. « continue.. » qu'un soupir presque inaudible, sur le chemin du supplice. lancé dans ta langue maternelle sans même que tu t'en rendes compte. ça te plaît, et tu veux lui faire comprendre. d'ailleurs, tu suis doucement ses mouvements, continuant de glisser sur sa cuisse tout en reprenant possession de ses lèvres pendant de longues secondes. ton bras gauche resserre son emprise sur ses épaules, le rapprochant davantage de toi, tandis que ta main droite glisse le long de son torse, là où elle arrête sa course. tes lèvres quittent doucement les siennes, sans pour autant s'éloigner, vos souffles se mélangent encore. tu rouvres les yeux, les plongeant dans les siens, retrouvant ton sourire taquin et affamé. « now you wanna try something else. » ce n'est pas une question, mais une affirmation. c'est ce qu'il t'a fait comprendre, non ? tes reins continuent de se mouver doucement alors que tu viens lui mordiller le lobe d'oreille, avant de lui souffler, de la manière la plus sensuelle qui soit: « and you wanna do dirty things to me... » encore une fois, tu le cherches. tu veux que sa température corporelle atteigne ses limites, et continue d'exploser. tu es certain qu'il pourra entendre ton sourire. et tu as ce geste, qui accompagne tes paroles. ta main précédemment posée sur son torse descend encore, dangereusement, juste assez pour lui laisser le temps de comprendre où est-ce qu'elle compte s'arrêter et de terminer ta phrase. « moi aussi. » en japonais cette fois. tu n'es même pas certain qu'il puisse te comprendre mais de toute façon, votre état ne vous permet plus grand chose. tu recules légèrement ton visage, assez pour te retrouver à nouveau face au sien, tes lèvres à seulement quelques millimètres des siennes. ta main glisse finalement entre ses cuisses, par dessus son pantalon, tu parviens à sentir aisément son excitation et disons-le, ça n'aide clairement pas la tienne à se calmer. et puis, tu commences certaines caresses, sensuellement, voire même frustrant à cause de ce vêtement qui sépare ta main de ce que tu désires à cet instant précis. et sans que tu t'en rendes réellement compte, tu viens te pincer la lèvre inférieure. il fait... vraiment très chaud.
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