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Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18]
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Dim 15 Juil - 23:18 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
Est-ce que nous étions en train de dépasser la limite à ne pas dépasser ? Oh bon sang, clairement qu’on était en train de dépasser. Plutôt deux fois qu’une et avec un sacré entrain même. On se foutait complètement des conséquences de nos actes, parce que pour nous à cet instant ces conséquences avaient complètement cesser d’exister. Il n’y avait pas le moindre futur, seulement ce présent bien tangible qu’on embrassait à pleine bouche. Et clairement, à cet instant, j’étais complètement fou. Fou de Naoya. J’étais raide dingue de mon meilleur ami. Et tout ce qu’il faisait de faisait que m’enfoncer un peu plus dans cette fantaisie si délicieuse. La seule chose dont j'avais vraiment envie c’était de sentir un peu le corps de Nao, toujours un peu plus. je savais que cette envie n’allait pas s’arrêter. je savais que je m’étais engagé sur un chemin qui n’avait pas de retour. Je l’avais finir par l’avoir pour moi et rien que pour moi. Ce sentiment était si fort, si grisant. Il était horny, ça tombait bien moi aussi. Mais je comptais bien pousser les envies de mon partenaire un peu plus loin, je comptais lui arracher quelques gémissement dans cette ruelle. Pas témoins, pas de dérangement intempestif, juste lui, moi et nos envies lubriques. Ces trois éléments avaient suffit à faire monter la température très rapidement, trop rapidement. Assez rapidement pour perdre complètement pied. Mais c’était tellement bon, cette proximité. C’était encore meilleur que l’alcool - même si clairement l’alcool y était pour beaucoup dans cette situation - et si ça continuait comme ça, j’allais finir par devenir alcoolique…. j’étais déjà alcoolique en fait.
Ma main au creu de ses reins, je le forçais à danser sur ma cuisse. Je voulais le voir onduler sur moi, se frotter, je voulais le voir se perdre lui aussi dans ses désirs, autant que moi j’étais en train de me perdre. Car si je sautais, je comptais bien l’entraîner avec moi, nous ferions cette chute à deux. Je ne lui laissai par le temps de penser et vins capturer à nouveau ses lèvres. Cela faisait trop longtemps que je n’y avais goûté, beaucoup trop longtemps. Beaucoup trop pour soulager ma nouvelle addiction. Lèvres contre lèvres, nos haleines mélangées. C’était comme si tout était naturel. Comme si nous l’avions fait depuis toujours. Tous ces gestes emplis d’un désir profond, je me forçais pas, c’était mon corps qui agissait tout seul. C’était s’il savait ce qu’il avait à faire. Il savait comment s’y prendre avec Naoya. Cette embrassade était fougueuse, fiévreuse mais surtout affamée. Je l’entendais doucement gémir contre mes lèvres, soupirer. Doux son qui avait le don de me donner encore plus chaud, d’attiser encore plus mon désir. Je voulais l’entendre encore s’abandonner ces faibles éclat de voix. Je voulais le faire encore plus gémir. Le malmener au point de lui faire arraché un cri d’extase. Cette idée me plaisait trop, beaucoup trop pour mon propre bien et surtout celui de Naoya, bien loin de savoir à quel point mon esprit était perverti à cet instant très précis.. Entre deux baisers, il parla, mais lorsque je le sentis mouvoir son bassin contre ma cuisse, tout ce qu’il avait pu dire venait de disparaître. Non parce que mon cerveau venait de prendre une grosse claque. Putain, cet homme cherchait sa perte, c’était évident, et il cherchait la mienne aussi. Son emprise s’était resserrée sur moi, cherchant un contact corporel encore plus intense. Sauf qu’il y avait encore cette maudite barrière vestimentaire qui nous freinait. Alors que sa main glissait sur mon torse, celle au niveau de ses reins se fit plus pressante encore. Sans vraiment m’en rendre compte, mon autre quitta la surface bétonnée du mur et se nicha dans les cheveux du japonais. Mais les lèvres de ce dernier quittèrent les miennes, sans pour autant s’éloigner de trop, juste assez pour que son haleine continuer à me lécher la bouche. Son regard était direct, provocateur, et moi je ne pouvais les quitter à un seul moment. C’était impossible. Essayer quelque chose d’autre ? Oh, il venait de capter toute mon attention. Surtout que son petit sourire en disait long sur son attention. Je restais silencieux, beaucoup trop hypnotisé par ce qu’il disait et par son regard…. et aussi par qu’il continuait d’onduler son bassin de manière si séduisante. Il se pencha et tel un petit animal taquin il s’en prend à mon lobe d’oreille. Putain,avais-je articulé en coréen à voix basse. Comment osait-il me faire autant d’effet. Mais le pire fut ce qu’il ajouta. Je me figeais, j’avais bien entendu. Il était tout aussi pervers que moi à l'instant. Sa main commença alors à descendre. Descendre. Descendre. Et …. non ? Si ? Holy guacamole ! Là clairement j’avais compris sa phrase en japonais. Et quand bien même le geste avait su se montrer très imagé. Je sentis ses doigts délicats sur une zone qui n’avait jamais été touchée par un homme. Ce geste fut amplifié par le fait que j’étais dans un été d’excitation assez avancé, un détail assez important pour qu’il ne puisse pas être dissimulé. Mes doigts dans ses cheveux se resserrent légèrement alors je soufflais dans une parole incontrôlée Putain Naoya. Oui j’allais sacrément jurer ce soir. Mais la soirée était irréelle. Comment j’aurais pu prévoir que j’allais finir dans un coin de rue avec la main de mon meilleur ami sur mon entrejambe ? Je fermais les yeux quelques instants, me concentrant sur la sensation ses doigts qui me frôlaient si intimement. Comment rester calme dans cette situation ? Je ne pouvais pas. Ses doigts agiles ne faisaient qu’attiser un brasier brutal en moi. Chaque frôlement était un pas de plus vers une abysse fond. Mes paupière se réouvrirent doucement et quel spectacle me fut offert. Naoya adossé contre ce mur, se mordant la lèvre inférieure. Damn babe, you’re so hot, avais-je balancé avec une sincérité à toute épreuve. Oui, il était désirable, très désirable. Ma main sur ses reins descendit sans la moindre gêne, découvrant alors la surface rebondie de son arrière-train. Mais je continuais toujours à faire pression pour qu’il ne cesse le mouvement de son bassin. Ma bouche affamée vint se poser la ligne de sa mâchoire. Sans déposer le moindre baisé, mes lèvres caressèrent cette ligne si parfaitement dessinée. Elles coururent jusque dans son cou. Bloquées sur cette zone, je laissais un léger soupire d’aise franchir la barrière de ma bouche. Naoya… I want to you so bad. Toujours niché dans son cou, je commençai doucement à mordiller sa peau. J’avais faim. J’avais chaud. Mais surtout je voulais bouffer Naoya tout cru. Je le désirais plus que je n’avais jamais désiré une femme.
Ma main au creu de ses reins, je le forçais à danser sur ma cuisse. Je voulais le voir onduler sur moi, se frotter, je voulais le voir se perdre lui aussi dans ses désirs, autant que moi j’étais en train de me perdre. Car si je sautais, je comptais bien l’entraîner avec moi, nous ferions cette chute à deux. Je ne lui laissai par le temps de penser et vins capturer à nouveau ses lèvres. Cela faisait trop longtemps que je n’y avais goûté, beaucoup trop longtemps. Beaucoup trop pour soulager ma nouvelle addiction. Lèvres contre lèvres, nos haleines mélangées. C’était comme si tout était naturel. Comme si nous l’avions fait depuis toujours. Tous ces gestes emplis d’un désir profond, je me forçais pas, c’était mon corps qui agissait tout seul. C’était s’il savait ce qu’il avait à faire. Il savait comment s’y prendre avec Naoya. Cette embrassade était fougueuse, fiévreuse mais surtout affamée. Je l’entendais doucement gémir contre mes lèvres, soupirer. Doux son qui avait le don de me donner encore plus chaud, d’attiser encore plus mon désir. Je voulais l’entendre encore s’abandonner ces faibles éclat de voix. Je voulais le faire encore plus gémir. Le malmener au point de lui faire arraché un cri d’extase. Cette idée me plaisait trop, beaucoup trop pour mon propre bien et surtout celui de Naoya, bien loin de savoir à quel point mon esprit était perverti à cet instant très précis.. Entre deux baisers, il parla, mais lorsque je le sentis mouvoir son bassin contre ma cuisse, tout ce qu’il avait pu dire venait de disparaître. Non parce que mon cerveau venait de prendre une grosse claque. Putain, cet homme cherchait sa perte, c’était évident, et il cherchait la mienne aussi. Son emprise s’était resserrée sur moi, cherchant un contact corporel encore plus intense. Sauf qu’il y avait encore cette maudite barrière vestimentaire qui nous freinait. Alors que sa main glissait sur mon torse, celle au niveau de ses reins se fit plus pressante encore. Sans vraiment m’en rendre compte, mon autre quitta la surface bétonnée du mur et se nicha dans les cheveux du japonais. Mais les lèvres de ce dernier quittèrent les miennes, sans pour autant s’éloigner de trop, juste assez pour que son haleine continuer à me lécher la bouche. Son regard était direct, provocateur, et moi je ne pouvais les quitter à un seul moment. C’était impossible. Essayer quelque chose d’autre ? Oh, il venait de capter toute mon attention. Surtout que son petit sourire en disait long sur son attention. Je restais silencieux, beaucoup trop hypnotisé par ce qu’il disait et par son regard…. et aussi par qu’il continuait d’onduler son bassin de manière si séduisante. Il se pencha et tel un petit animal taquin il s’en prend à mon lobe d’oreille. Putain,avais-je articulé en coréen à voix basse. Comment osait-il me faire autant d’effet. Mais le pire fut ce qu’il ajouta. Je me figeais, j’avais bien entendu. Il était tout aussi pervers que moi à l'instant. Sa main commença alors à descendre. Descendre. Descendre. Et …. non ? Si ? Holy guacamole ! Là clairement j’avais compris sa phrase en japonais. Et quand bien même le geste avait su se montrer très imagé. Je sentis ses doigts délicats sur une zone qui n’avait jamais été touchée par un homme. Ce geste fut amplifié par le fait que j’étais dans un été d’excitation assez avancé, un détail assez important pour qu’il ne puisse pas être dissimulé. Mes doigts dans ses cheveux se resserrent légèrement alors je soufflais dans une parole incontrôlée Putain Naoya. Oui j’allais sacrément jurer ce soir. Mais la soirée était irréelle. Comment j’aurais pu prévoir que j’allais finir dans un coin de rue avec la main de mon meilleur ami sur mon entrejambe ? Je fermais les yeux quelques instants, me concentrant sur la sensation ses doigts qui me frôlaient si intimement. Comment rester calme dans cette situation ? Je ne pouvais pas. Ses doigts agiles ne faisaient qu’attiser un brasier brutal en moi. Chaque frôlement était un pas de plus vers une abysse fond. Mes paupière se réouvrirent doucement et quel spectacle me fut offert. Naoya adossé contre ce mur, se mordant la lèvre inférieure. Damn babe, you’re so hot, avais-je balancé avec une sincérité à toute épreuve. Oui, il était désirable, très désirable. Ma main sur ses reins descendit sans la moindre gêne, découvrant alors la surface rebondie de son arrière-train. Mais je continuais toujours à faire pression pour qu’il ne cesse le mouvement de son bassin. Ma bouche affamée vint se poser la ligne de sa mâchoire. Sans déposer le moindre baisé, mes lèvres caressèrent cette ligne si parfaitement dessinée. Elles coururent jusque dans son cou. Bloquées sur cette zone, je laissais un léger soupire d’aise franchir la barrière de ma bouche. Naoya… I want to you so bad. Toujours niché dans son cou, je commençai doucement à mordiller sa peau. J’avais faim. J’avais chaud. Mais surtout je voulais bouffer Naoya tout cru. Je le désirais plus que je n’avais jamais désiré une femme.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Mer 18 Juil - 15:21 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
ces papillons dans ton ventre s'agitent sans que tu aies un quelconque contrôle là-dessus. et puis même si tu en avais, tu les laisserais faire. tu te sens si bien, si... horny. tu désires, et tu te sens désiré en retour. si tu pensais qu'un jour ton meilleur ami pouvait te faire ressentir ça ? jamais de la vie, votre relation n'était que platonique malgré cette attirance que tu as pu avoir à son égard les premiers temps. n'était oui, car ce n'est plus le cas, vous êtes en train de tout bousculer, plus rien ne sera jamais comme avant après ça. tu ne sais pas si tu en as réellement conscience, ou si tu t'en fiches juste parce qu'au final, le désir prend le dessus sur absolument tout. le pire dans cette histoire ? ou plutôt le meilleur, de ton point de vue, c'est que kwan sun est dans le même état que toi. tu le vois, tu le sens, tu le sais. et ce désir partagé le rend encore plus intense. non, tu n'es pas dans ton état normal mais pourtant, ces sensations sont assez fortes pour te rendre compte de certaines choses : de ce désir que tu ressens envers kwan sun, de cette envie de passer à l'action, cette envie de jouer avec lui, jouer avec toi. tes envies, ses envies, les vôtres. tu ne vas pas le nier, ça te plaît de le voir dans cet état. tu es surpris de le découvrir sous cet angle, agréablement surpris oui. ça te donne envie d'en savoir encore plus, de ne pas arrêter ce jeu qui vous plait que trop. ça te plait de le voir prendre les devants. tu n'es même plus sûr d'avoir un quelconque contrôle sur ce que vous faites, tu glisses doucement sur sa cuisse. sensuellement, comme pour faire grimper la température qui est déjà prête à exploser, comme pour vous donner encore plus envie. vous faire du mal d'envie, pour mieux vous faire du bien ensuite. il ne te laisse même pas le temps de réfléchir qu'il s'accapare à nouveau de tes lèvres fiévreuses. tu fermes les yeux, comme si ce geste pouvait te permettre d'apprécier davantage cet échange, comme si... comme si tu pouvais t'imprégner de cet instant à tout jamais. ton cœur s'emballe, ton désir commence peu à peu à te consumer mais toi, tu en réclames encore. c'est peut-être le but de tes fins gémissements rapidement écrasés contre ses lèvres, gémissements qui ne sont que le résultat de ces émotions qui commencent à contrôler ton corps. ton emprise sur lui se resserre, ton bras le rapproche de toi, encore plus, toujours plus. sa main vient même se nicher dans tes cheveux et toi, tu en souris tout contre ses lèvres. lui aussi, il en veut plus, et poussé par ce désir dévastateur, tes lèvres quittent les siennes pour venir se loger près de son oreille. lui chuchotant quelques mots avant de venir la mordiller. tu l'entends bien son juron, sorti si naturellement, dans sa langue maternelle. oui, tu continues de le chercher, puisque ta main se faufile près de son entre-jambe. en pensant à ce que tu comptes faire, tu en souris chaudement. des caresses d'abord douces, ayant pour but de faire grimper sa chaleur corporelle. ses doigts se resserrent dans tes cheveux alors qu'il lâche un nouveau juron, en entendant ton prénom, ton sourire devient rapidement plus joueur pendant un bref instant. un sourire joueur mais aussi, satisfait. alors tu tentes de savourer le spectacle, replaçant ton visage devant lui, tu ne peux t'empêcher de te mordre la lèvre tant cette frustration commence à se faire ressentir pour vous deux. et sa réflexion ne t'aide en rien à te calmer, bien au contraire, ses paroles ont leurs petits effets sur toi. tellement que tes caresses deviennent plus appuyés pendant quelques secondes, toujours gênées par son vêtement, attisant cette frustration. et là, tu sens sa main descendre sur tes fesses, dans un élan d'excitation, lui montrant bien que cette situation commence à te plaire un peu trop, tu glisses de nouveau sur sa cuisse. de manière plus appuyée cette fois. plus appuyée que les fois précédentes. tellement, que ça t'en décroche un fin gémissement incontrôlé. un gémissement que tu coupes très vite, levant légèrement le menton vers le ciel quand tu sens ses lèvres se déposer sur ta mâchoire. il ne t'embrasse pas non, ces lèvres te frôlent, augmente cette frustration qui commence à être beaucoup trop élevée. et qui s'élève encore lorsque ses lèvres se mettent à se balader dans ton cou, tes yeux se ferment à nouveau et lorsqu'il reprend la parole, tu retrouves ce sourire. il te veut ? ça tombe bien, toi aussi. seulement, votre petit jeu commence à te faire perdre pieds. un peu trop d'ailleurs, lorsqu'on voit où vous vous trouvez. vous n'allez pas continuer comme ça longtemps, c'est insoutenable. ses soupirs d'aises s'écrasent sur la peau de ton cou ne t'aide en rien. « you.. » souffles-tu, rapidement coupé par kwan sun qui se met à mordiller la peau de ton cou. tu en lâches un soupir de désir, qui te coupe dans ta phrase, mais tu tentes de reprendre un minimum le contrôle. ta voix est fiévreuse. « you told me earlier... that.... you want me to choose a place. » tu rouvres difficilement les yeux, un sourire joueur sur les lèvres, sourire qu'il ne pourra pas voir mais qui ne peux te quitter. tu penches légèrement la tête, de manière à lui laisser libre accès à ton cou. « find us a hotel. » lâches-tu, d'un ton presque autoritaire. c'est ce que tu veux, et c'est ce qu'il voudra aussi. tu n'es plus vraiment patient et tu doutes qu'il puisse l'être encore longtemps. malheureusement, tu n'as encore jamais été dans un hôtel ici, tu n'en connais pas. pour ça, t'as besoin de lui. tu recules légèrement ton visage, assez pour retrouver le chemin de ses yeux. tu plantes ton regard dans le sien, gardant cette proximité frustrante. ta respiration commence à devenir haletante et tout aussi chaude que le reste de ton corps. « and that will be our place for the rest of the night. » souffles-tu, tout contre ses lèvres. l'envie d'y reprendre possession est présente mais de nouveau, tu préfères opter pour ce mal d'envie.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Jeu 19 Juil - 20:40 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
Les choses allaient vite. Beaucoup trop vite. Dire qu’il y avait peu de temps Naoya me proposait juste d’essayer d’embrasser un garçon pour la première fois. Juste pour tenter l’expérience. Et puis il s’était porté volontaire - généreux comme il était - entre meilleurs amis c’était normal de se rendre service hein. Je n’avais pas vraiment prévu que tout le reste allait se passer cette manière. Je n’avais pas vraiment prévu que ce contact allait autant me plaire et finirait par devenir aussi intime. Je n’avais pas prévu beaucoup de choses. On était quand même passé de mon premier baiser avec un gars à allons joyeusement jouer à s’allumer dans une ruelle. On passait quand d’un extrême à l’autre en très peu de temps. Et le pire, c’était que ça ne m’avait dérangé à un seul moment. Je n’avais pas cherché à lutter contre ce désir qui grandissait en moi, plus il s’imposait et plus je le laissais faire. Plus il me consumait et plus je me laissais entraîner par ce flux - ce torrent même - émotionnel. Et Naoya … j’étais presque certains qu’il était dans le même état que moi. Non je pouvais même affirmé qu’il était aussi excité que moi, vu à quel point il mettait du coeur à onduler aussi sensuellement sur ma cuisse. Il me fixait, tentateur, érotique, ses lèvres pulpeuses qui ne demandaient qu’à être embrassée, son sourire lubrique qui en disait long sur ses pensées profondes. J’avais toujours vu Naoya comme mon meilleur ami, discret, curieux, marrant…. Naoya avait toujours été un tas de choses pour moi… mais pervers et débauché à ce point-là ? Non je l’ignorais complètement. Et bon sang comme c’était un trait de sa personnalité qui me séduisait à l’instant T. Je le voyais complètement différemment. C’était une nouvelle facette de lui qu’il me montrait. Le visage de mon Nao, qui se perdait dans les mimiques de plaisir, entre plaisir et soupirs… et bon sang, il était si beau même comme ça. Doucement, je pouvais m’imaginer à quel point il pouvait être beau quand il allait crier mon nom tout étant pris d’un spasme de plaisir. Putain. Mon esprit divaguait beaucoup trop. J’avais tellement envie de faire craquer Nao, jouer avec ses nerfs. Le découvrir un peu plus dans cet aspect de lui donc j’ignorais tout. Oui mon esprit devenait sévèrement pervers, mais est-ce que j’en avais quelque chose à faire ? Non je m’en foutais royalement. Il n’y avait plus que lui, moi et toutes ses envies plus salaces les unes que les autres. Le visage enfouit dans sa nuque, je ne pouvais m’empêcher de sourire les légèrement. Quel bien beau spectacle. Mais de mon côté je pouvais contenir quelques soupirs d’aise qui vinrent se heurter à sa peau. Ma respiration elle seule peut témoigner de mon état, lourde, rapide, chaude. Pourtant je pris le temps de mordiller sa peau si douce, juste histoire de continuer à faire grimper la température. Cet acte qui eu pour effet de lui couper la parole. Est-ce que j’étais content d’empêcher Nao de parler à cause de ses propres soupirs ? Bon sang que oui et putain ça ne m’aidait pas à me calmer…. enfin ce n’était pas comme si on avait prévu de se calmer, loin de là. Je continuais alors de m’occuper de la peau de son cou à divers endroits. Clairement il allait avoir le coup marquer de mon passage. Alors qu’il me reparlait de l’idée que j’avais eu plus tôt dans la soirée - trouver un endroit qu’il voulait visiter - je meurtrissait son cou de petites rougeurs, puis il m’avait clairement laissé l’accès en penchant sa tête sur le côté. Mais ce qu’il finit par me lancer me figea complètement. Un hotel. UN HOTEL. Genre sérieusement ? J’étais tellement sur le cul que je stoppais complètement de torturer la peau de mon aîné. Clairement, le message était évident. Ce n’allait pas être pour dormir. Ces quelques paroles eurent sur moi un effet de dingue. Relevant mon visage, nos regards finirent par se croiser à nouveau. Nos lèvres toujours si proches, se frôlant, sans jamais se toucher. La frustration devait si présente qu’elle aurait pu devenir tangible. Les images se multipliaient dans ma tête, c’était foutu pour moi maintenant. Je retirai ma cuisse de son entrejambe, ma seconde main alla sans la moindre honte se glisser sous la fesse de Nao. Sous l’excitation et l’impulsion, je le soulevais pour le plaquer un peu plus contre le mur, pas de main, pas de cuisse, simple mon bassin contre le sien. Nos bouches toujours aussi proche l’une de l’autre, je souris doucement avant de sussurer. You know that I won’t let you rest of the night Horny Babe. Je ris une demie-seconde avant de préciser. This night, I’ll make you mine, avais-je précisé en collant un peu plus mon bassin au sien et je pouvais confirmer, Naoya était dans le même état que moi. Clairement, mon hétérosexualité était morte et enterrée. Paix à son âme, de toute façon on ne l’aimait pas trop. Après cette torture de courte durée, je laissais mon homme retoucher le pied au sol. Naturellement ma main retrouva la sienne et on était à nouveau parti dans les rue de Gangnam. Le but, trouver le plus rapidement un hotel, je me foutais de l’endroit ou de combien j’allais claquer pour une chambre pour passer le reste de ma nuit dans le même lit que Nao. Cependant pendant que je cherchais un endroit, je ne pouvais m’empêcher des fois de m’arrêter pour voler un baiser à mon meilleur ami ou simplement pour le bonheur de lui toucher les fesses. Nous étions frustrés, plein de désirs et clairement, tout ça n’allait pas tarder à éclater. Rapidement je repérais un hotel, probablement un lovehotel vu les lumières rouges qui y clignotaient. Sans vraiment penser plus, je rentrai alors que j’avais fini par passer mon bras autour de la taille du japonais. Accueil directement trouvé, je passais la réservation tout gardant Nao contre moi. D’ailleurs je n’accordai pas un seul regard à la personne à qui je parlais - comble l’impolitesse - tant j’étais absorbé par le visage de celui que je m’apprêtais à dévorer. Hypnotisé, assoiffé de lui et ses lèvres, le reste ne comptait plus. Une chambre pour la nuit, toute la nuit. En disant cela je souris légèrement avant de préciser. La plus grande que vous avez de disponible, j’avais terminé en posant ma carte sur le comptoir nonchalamment. Je me penchais légèrement pour effleurer les lèvres de Nao. I’m gonna take care of you my babe. Je souris contre ses lèvres avant de récupérer ma carte, la clé de la chambre. Je suis presque sûr d’avoir entendu la personne nous demander si on avait besoin d’aide pour trouver la chambre mais elle se prit le plus gros vent de sa vie. Je ne pensais plus qu’à une chose, cette nuit qui s'annonçait…. mouvementée.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Ven 20 Juil - 23:47 Citer EditerSupprimer
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#Kwanaya
votre petit jeu devenait clairement dangereux. dangereux parce que tu doutes pouvoir t'arrêter, en fait, c'est en train de dépasser toutes les limites. si tu en as quelque chose à faire ? bien-sûr que non. il en a envie, tu en as envie, où est le mal ? mais quand même, votre relation est sur le point de changer, du tout au tout. il était ton meilleur ami, et le restera toujours, seulement... tu ne pourras plus le voir comme avant, alors oui, tu lui fais part de ton idée, t'as envie de lui, de te retrouver à l'hôtel avec lui et clairement, ce n'est pas pour dormir mais ça, il le comprendra très bien. pas avec ce que vous êtes en train de faire. ses soupirs de désir te rendait fou, clairement. toi aussi tu soupirais, la chaleur commençait à s'accaparer de toi un peu trop rapidement et intensément. tu ne cherchais pas le contrôle, tu ne l'avais clairement plus. vos souffles se mélangent, ton envie de lui grimpe de plus en plus alors que tu reprends la parole. et là, il s'arrête. te laissant un peu sur ta faim, t'en voulais plus, tu voulais continuer de sentir ses baisers contre ta peau, tu ne voulais pas casser votre étreinte. il relève son regard, le plantant à nouveau dans le tien. ton regard se scotche au sien, ton sourire ne te quitte pas un seul instant, tes joues deviennent rouges tant la chaleur t'envahit. il retire rapidement sa cuisse de ton entre-jambe, geste qui te fait lâcher un léger soupir. tu deviens plus frustré encore mais rapidement, sa seconde main vient rejoindre sa jumelle, se trouvant désormais sur tes fesses. pourtant, tu étouffes un léger bruit de surprise lorsqu'il te soulève pour te plaquer contre le mur, se tenant tout contre toi. son bassin collé au tien alors que vos lèvres se frôlent encore, son souffle caressant ton doux sourire. tes mains sur ses épaules viennent s'y agripper, peut-être qu'au fond, tu essayes d'y faire passer ta frustration. parce que là, tu deviens réellement frustré. sa remarque élargit ton sourire, il te donne encore plus l'eau à la bouche. après tout, il aurait pu se réveiller de votre petit rêve. aurait-il été jusque là ? il aurait pu faire demi-tour, t'en sais rien, ton état ne te permettait pas d'y songer en réalité mais il a l'air de le vouloir autant que toi, tu sens sa détermination se mêler à la tienne. il te laisse alors retomber sur le sol avant de se saisir de ta main, tu te laisses guider, tentant de marcher un minimum droit. ouais, t'as encore beaucoup d'alcool dans le sang, alcool qui ne te permet pas d'avoir le meilleur des équilibres mais malgré ça, tu sentais bien ses mains se glisser sur tes fesses ou qu'il se collait quelque peu à toi pour te voler un baiser, baiser que tu lui rendais à chaque fois. la frustration de ne pas encore être seuls se faisait de plus en plus ressentir, la chaleur ne quittait pas ton corps. tu as ce sourire béat sur les lèvres, comme si tu vivais un conte de fée, comme à chaque fois que tu es totalement jeté cela dit, mais là, tu as atteint un autre level. il faut dire que tu as hâte de te retrouver seuls avec lui, par chance, vous tombez rapidement sur un hôtel. du moins, c'est kwan sun qui le repère puisque, à nouveau, tu te laisses entraîner vers cet endroit. vous vous dirigez aussitôt vers l'accueil, tu t'empresses de déposer tes coudes sur le comptoir comme si ce geste pouvait te permettre d'y retrouver un peu d'équilibre. ton sourire ne te quitte pas, il peut même paraître débile à certains instants. le sourire d'un type totalement pété, émerveillé et excité pour absolument tout ? c'est ça. t'es heureux de vivre, et ça se voit. mais là, t'en as rien à foutre, en croisant le regard de kwan sun, t'es à nouveau hypnotisé, il te prend par la taille alors que ses lèvres frôlent les tiennes, l'envie d'y reprendre possession te ronge mais tu te montre patient. tu continues de sourire, laissant tes yeux observer ces lèvres qui te manquent déjà un peu trop. vous allez.. vraiment faire ça ? à croire que oui. vous foncez dans la gueule du loup sans vous poser de questions, vous vous en foutez clairement. tu l'entends parler en coréen, t'es pas sûr de tout comprendre mais tu ne cherches pas à y parvenir, t'en as rien à faire, tu veux juste une chambre pour vous deux au plus vite. ton sourire s'élargit lorsqu'il approche davantage son visage du tien, tu fonds à ses paroles. tes yeux deviennent brillants alors que tu te pinces la lèvre inférieure, tu relèves ton regard vers le sien, soufflant chaudement un: « i can't wait. » montrant clairement ton impatience. il te cherche encore, vous êtes si près du but mais il parvient encore à faire grimper ta chaleur corporelle, fort heureusement, il récupère rapidement sa carte. alors tu le suis à nouveau, te dirigeant vers les chambres. la personne à l'accueil vous adresse quelques mots, en fait, tu n'es pas sûr d'avoir compris... ou alors tu n'as pas écouté ? ouais, un peu des deux en fait. vous grimpez quelques marches alors que tu ricanes à certains moments, te manquant presque de te casser la figure, mais tu te reprends très vite en accélérant le pas vers les chambres. tu tentes de regarder les numéros inscrits avant de t'arrêter vers la votre, kwan sun devant toi, tu profites des quelques secondes où il ouvre la porte pour te coller à lui, dans son dos, passant tes mains sur ton ventre, tu te serres davantage contre lui. ton menton lui, vient se déposer sur son épaule. tu souris, même s'il ne peut pas te voir, soufflant à nouveau quelques mots, en japonais. « dépêche toi, kwan... » tu sais qu'il agit le plus rapidement possible mais tu ne peux t'empêcher de lui montrer ton impatience une nouvelle fois. une fois la porte ouverte, tu t'empresses d'entrer après lui, claquant la porte derrière toi. ok, ta curiosité te pousse à scruter l'endroit pendant quelques secondes, ton regard se pose un peu partout. c'est grand, très grand, vous allez passer une... très bonne nuit. d'ailleurs, tu te tournes rapidement vers kwan sun, un tout autre sourire sur les lèvres, un sourire plus affamé et moins patient, d'un coup. tu t'approches de lui, reprenant possession de ses lèvres dans un baiser plus enflammé, plus ardent, tu ne retiens même plus tes soupirs de plaisir. t'as faim de lui, et tu veux lui montrer. tu viens lui ôter sa veste que tu laisses tomber au sol, tu fais même quelques pas en avant, le forçant à se reculer vers le lit et une fois assez près, tu le pousses légèrement pour le laisser tomber sur le matelas. ton sourire devient alors plus malicieux, tu déposes tes genoux de chaque côté de son bassin, te penchant vers ses lèvres sans y prendre possession, et pourtant, dieu sait que tu en as envie. non, à la place, tu viens lui mordiller la lèvre inférieure, la tirant quelque peu vers toi avant de la relâcher. encore une fois, tu le cherches un peu, mais là, tu as beaucoup trop chaud. « so... you won't let me rest? » un moyen comme un autre de lui faire comprendre que c'était le moment de te le montrer. t'as plus vraiment de temps à perdre, vous en avez déjà assez perdu pas vrai ? la température est rapidement monté entre vous dans cette ruelle, tellement qu'attendre quelques minutes de plus était clairement un supplice. tes mains viennent déboutonner son pantalon mais ton regard, lui, reste planté dans le sien. vous partagez le même souffle, tu as envie de reprendre possession de ses lèvres mais tu n'en fais rien, tu les laisses simplement se frôler, laissant vos souffles haletants chanter ensemble. « then do it, take care of me. » il avait su te mettre l'eau à la bouche et maintenant, tu ne demandais qu'à assouvir ce désir qui grandissait en toi. doucement, tu viens lui embrasser la mâchoire, lui déposant quelques baisers torrides sur cette dernière avant de descendre dans son cou, le mitraillant de baisers à son tour.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Mar 24 Juil - 23:52 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
#Kwanaya
N’empêche, pauvre type à l'accueil. Enfin vu l’endroit, et l’heure, il devait probablement voir plus de deux gars soulés dans la soirée, sinon il ne nous aurait pas proposés de nous accompagnés dans notre chambre… le seul soucis, c’était que la présence de ce pauvre garçon venait de passer complètement à la trappe. En fait il n’avait même pas existé une seconde à mes yeux. Il avait fallu que mes yeux retombent sur Nao pour j’ai juste envie de l'embrasser à nouveau. Je ne me privais d’ailleurs à aucun moment pour attirer mon meilleur ami contre moi pour laisser mes lèvres frôler les siennes. Je passais rapidement la réservation tout en laissant un sourire taquin se former sur mes lèvres. Il ne pouvait pas attendre ? Ca tombait bien parce que moi aussi je n’avais pas envie d’attendre. Cart plus le temps s’écoulait et plus nous nous rapprochions du moment fatidique d’arriver dans cette chambre. juste lui et moi. Personne d’autre. Ce moment où toute cette frustration allait pouvoir trouver satisfaction. Mais on était vraiment en train de le faire là ? J’avais l’impression qu’à tout moment j’allais me réveiller en sueur dans notre dortoir et seul dans mon lit. Mais clairement, ce n’était pas un rêve. Le souffle de Nao contre mes lèvres et si réel. Beaucoup trop pour que cela soit un simple égarement érotique de mon esprit tordu et confu. Tout ça, c’était réel. Je venais de louer une chambre dans un hotel avec mon meilleur ami…. et ce n’était pas pour dormir, ça semblait évident. Personne n’avait prévu de dormir ou d’enfiler des perles. Je récupérais rapidement mes affaires pour filer dans la chambre le plus rapidement possible. Enfin rapidement avec mon alcool dans le sang bien sûr. Donc pas très droit, quelques pertes d’équilibres aussi. J’étais aussi presque certains d’avoir entendu le type de l'accueil parle - probablement pour nous accompagner dans la chambre et éviter qu’on se perde en route - mais je n’avais rien entendu, mes pensée étant devant complètement centrées sur Nao et tout ce que j’allais pouvoir lui faire subir dans cette grande chambre que j’avais réservé. Oh oui, la nuit allait longue, agitée, mais surtout passionnante et passionnée. Enfin si on arrivait à trouver cette chambre sans se gameler dans les escaliers entre temps. Mais visiblement, nous arrivâmes à trouver sans se perdre un nombre incalculable de fois en route. Miracle ? Ou juste le fait que nous étions complètement affamés ? Ouais, plus la deuxième option clairement. Une fois devant la porte je sortis la carte pour accéder à la chambre. Sauf que la première fois je ratai la fente pour l’insérer. La seconde je m’étais trompé de côté. Dans ma précipitation j’avouais que je faisais un peu n’importe quoi. Puis alors que j’allais passer la carte comme il fallait, je sentis le corps de Nao se coller tout contre mon dos, je ne pus m’empêcher d’avoir un frisson qui parcourut lentement tout le long de ma colonne vertébrale. Frisson qui ne s’arrangea pas quand je sentis ses main glisser sur mon ventre et son menton se nicher sur mon épaule. Il me vins pendant quelques secondes la sublime envie de plaquer contre cette porte pour continuer ce que nous avions laissé dans la ruelle. Il me fallut une force terrible pour résister, surtout quand il me susurra quelques mots en japonais que j’avais cru comprendre. Je souris alors que je passai la carte et ouvris la porte rapidement. Porte qui ne tarda pa à claquer aussi rapidement que nous étions entrés dans la chambre. Naturellement je regardais la chambre, okay, clairement Gangnam ne faisait pas les choses à moitié, même avec un love hotel. Mais à cet instant je me foutais royalement de la chambre ou encore de sa taille. J’étais la pour une chose enfin une personne même. Noaya. Mon Naoya. Mon regard revint se poser sur lui, regardé affamé, assoiffé, juste désireux de recoller mon corps au sien. Je ne me cachais pas d’ailleurs pour le regarder de la tête aux pieds, qu’il était sexy. Comme il devait encore plus sexy sans fringues. A cette pensée je me mordillais la lèvre inférieure. Alors quand Nao se tourna vers moi, je vis dans son regard qu’il était aussi désireux que moi. Il avait besoin de ce contact charnel, sans barrières. Nous avions commencé à goûter à l’autre d’une manière toute nouvelle et maintenant, on était complètement incapable de s’en passer. J’étais en train de devenir complètement accro à mon meilleur ami. Et j’avais bien l’impression que réciproque était vraie. Il ne que quelques secondes avant que Nao revienne à la charge, pendant ses quelques secondes je laissais littéralement tomber tout ce que j’avais dans les mains pour poser mes mains sur son corps et l’attirer tout contre moi. L’un allant dans sa nuque et la seconde sur ses fesses sans la moindre gêne. Ce baiser était nettement plus brûlant et plus désinhibé. Plus de retenue, plus de gêne, plus d’hésitation. La simple confirmation et la confrontation de nos désirs qui nous consumait aussi violemment que doucement. Alors que je sentis les main de Nao se glisser sous ma veste je décrochai mes main de ses attaches pour l’aider à faire glisser ce vêtement au sol. Juste avant de les reposer sur le japonais. Je le laissais gentiment s’avancer, ça me plaisait que pendant quelques secondes il montre une telle audace. Je me laissais pousser sur le lit, observant naoya avec une attention particulière. Hypnotisé par chacun de ses mouvements. Charmé par le sourire qu’il abordait alors qu’il était encore debout et mon assis sur le bord du lit, mes mains laissées au niveau de ses hanches. Bon sang, qu’il était désirable. Mon sourire s'agrandit alors qu’il vint s’installer à califourchon sur moi. Mes doigts toujours au niveau de ses hanches commencèrent doucement à remonter le long de celles-ci, se glissant insidieusement sous son haut. Son visage si proche du bien, sa respiration léchant la mienne. J’allais exploser. Comment pouvait-il me faire autant d’effet ? Ca en devenait inhumain à force. Plus je le touchais, plus il me taquinait et plus ma température grimpait de plus en plus. Alors que Nao commença me torturer en me mordillant tel le petit chaton qu’il était, je ne cherchais plus à me retenir glissant mes main sous haut pour caresser directement la peau de mon aîné. Elle me semblait aussi bouillante que la mienne. I won’t let you rest babe, avais-je répété tout bas hypnotisé par ses lèvres. Je le voulais, je le voulais comme un fou. Putain je n’avais jamais autant désiré quelqu’un. je n’avais jamais été aussi proche d’exploser de désir à un tel point. Et dire que c’était un gars qui me faisait ça.Alors que sa main vint libérer une grosse pression que j’avais au niveau de mon jean, un soupir s’échappa de mes lèvres. les message semblait clair net et précis. Son regard planté dans le mien, cherchant le défi, la provocation. Naoya savait ce qu’il voulait. Et il le voulait maintenant. Naturellement quand ses baisers virent me titiller la mâchoire, je fermais quelques instants les yeux, savourant la sensation fraîche sur ma peau. Les lèvres de Nao sur ma peau. J’avais penché ma tête sur le côté pour offrir mon coup en pâture à cet homme affamé. En réponse doucement mais fermement, mes mains firent pression sur les hanches de celui qui allait devenir mon amant, jusqu’à sentir son bassin reposer sur le mien. je voulus sourire quelques instants, mais impossible, la torture qu’il m’infligeait était beaucoup trop douce et délicieuse pour que je reste silencieux. Loin de là j’avais même tendance à être expressif. Mais je comptais bien me venger. Sous lui, je laissais doucement mon bassin onduler contre le sien. Dansant sensuellement contre le sien, bientôt se serait Nao qui serait mal à l’aise dans son pantalon, à cette image, je me mordis la lèvre inférieure, quel doux fantasme. Fantasme si proche de la réalité. Non je ne pouvais plus tenir. J’en voulais plus. Je fis remonter d’un coup mes mains le long du torse du japonais, lui retirant son haut par la même occasion. Dévoilant ainsi son torse finement musclé. Je ne cherchais plus à faire dans la dentelle. Je le voulais là maintenant. Dans un mouvement rapide, je posais ma main entre ses deux omoplates et le fis basculer pour inverser les positions. Naoya, dos contre le matelas, les jambes écartées, le torse nu. Okay, plus érotique, tu crevais. Mes jambes calés entre les siennes, je pris le temps de savourer cette vision. I take care of you Nao babe, avais-je dit avant un sourire affamé. You’re so pretty. Je l’avais dit sans vraiment m’en rendre compte, pourtant je continuais en ajoutant. I think you are prettier naked, je me pincais doucement la lèvre inférieure. Tout en le disant j’avais pris à malin plaisir à retirer mon propre tee-shirt pour le balancer plus loin dans la pièce. Je l’avais fixé, car moi aussi je savais joue dans le registre de la provoque. Doucement, je posais mes mains de chaque côté du visage de Nao, je me penchai et m'attaquai directement à la peau a niveau de ses clavicules apparentes. J’y laissai un sillon de baisers et des petites morsures. Petites traces qui suivirent le torse finement dessiné du japonais. Tortures, moi aussi je savais le faire. Moi aussi je connaissaient ces points plus sensibles que les autres. Ma bouche descendit, encore et encore, lentement, veillant à découvrir chaque centimètre de peau. Tout ça serait bientôt à moi et rien qu’à moi. Je levais mes yeux vers Naoya, scrutant ses réactions. Accro à ses doux gémissements, bientôt il finirait à crier. Et ça serait mon nom qu’il crierait.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Sam 28 Juil - 23:32 Citer EditerSupprimer
Drunk in an odd mood, I can let it go
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la soirée est en train de prendre une tournure inattendue, pour ton plus grand plaisir. si on t'avait dit que tu finirais dans un hôtel en bonne compagnie, tu n'y aurais sûrement pas cru, mais encore moins avec celui qui est censé être ton meilleur ami. évidemment que kwan sun te plaît, il est beau garçon, il t'attire mais entre vous, ce n'était que platonique. ce n'était oui, parce que ça ne l'est clairement plus. tu fonds contre ses lèvres, tu as chaud naoya, beaucoup trop chaud. et puis, depuis que tu es dans ce pays, ce n'est pas comme si tu enchaînais les conquêtes... il a d'abord fallu que tu te remettes de ta séparation avec ton ex petite-amie pour ça, et puis, tu n'es pas un coureur de jupon. cela dit, avec tout ce que kwan sun parvient à te faire ressentir, tu te rends compte que oui, le sexe te manque. et tu aimerais assouvir ce manque avec lui, maintenant, tu n'as plus envie d'attendre, c'est pour cette raison que tu l'obliges à reculer vers le lit, retirant sa veste que tu laisses tomber au sol sans la moindre attention. tu as tellement hâte de goûter à son corps, de le voir dans sa tenue d'adam. alors à peine l'as-tu poussé sur le lit que tu t'installes sur lui sans la moindre patience, tu veux sentir son corps collé contre le tien, frissonnant lorsque tu sens ses mains se glisser sous ton haut. ses doigts au contact de ta peau chaude, alourdie par la chaleur qu'il te procure. lorsqu'il te chuchote ces quelques mots, te répétant qu'il ne te laissera pas dormir, tu souris tout contre ses lèvres. il parvient à te donner encore plus chaud. ta main, un peu trop gourmande, vient déboutonner son jeans discrètement. ses soupirs de désir te rendent dingue, te donnent la force de le faire patienter encore un petit peu mais à la fois, commence à titiller un peu trop ta propre impatience. alors c'est tout naturellement que tu commences à embrasser sa mâchoire, titillant un peu sa peau, tu viens même la lui mordiller doucement à certains instants. kwan sun penche même légèrement son visage de manière à t'offrir un meilleur accès et tu mords à l’hameçon, dévorant son cou avec plus d'envie encore, laissant échapper un soupir lorsque ses mains viennent agripper tes hanches pour les rapprocher de son bassin. et puis d'autres lorsqu'il commence à mouver sensuellement son bassin. ton envie de lui ne cesse de grandir, c'en est presque une torture ce que vous vous infligez, mais ça ne sera que meilleur ensuite, pas vrai ? en tout cas toi, ça te plaît. cependant, tu es coupé dans tes chauds baisers par kwan sun qui remonte rapidement ton haut. tu lèves les bras de manière à retirer totalement ce vêtement qui, de toute façon, n'était pas bien utile et ne le sera pas pour la suite des événements. tu as à peine le temps de reposer ton regard sur lui, dans le but de lui lancer un regard provocateur mais aussi, pour voir si la vue lui plaît, qu'il réagit aussitôt. dans un mouvement rapide, kwan sun inverse vos positions. très rapidement, tu te retrouves allongé dans ce lit. si ça te dérange ? pas le moins du monde. sexuellement, tu n'es pas bien difficile, le plus important pour toi, c'est les sensations que tout ça te procure. dominé ou être dominé, tu t'en fiches, peu importe. et là, tu ressens beaucoup trop de choses pour en avoir quelque chose à faire, tout te plait, tu en perds pieds. pendant un court instant, tu te redresses sur tes coudes, comme pour être un peu plus proche de lui. un sourire sur les lèvres, sourire qui s'élargit lorsque kwan sun reprend la parole. ses petites surnoms qu'il te donne commencent à te faire un peu trop d'effet, tellement que tu viens t'en mordre discrètement la lèvre inférieure. il te trouve beau? ça tombe bien, toi aussi tu le trouves incroyablement sexy mais lorsqu'il reprend en disant que tu dois l'être encore plus totalement nu, tu ne peux t'empêcher de soupirer un « see it for yourself » plus chaud que jamais. cela dit, tu es rapidement déconcentré par le spectacle qu'il t'offre, puisqu'au moment où il retire son haut, ton regard se rive aussitôt sur sa peau. tu le dévores du regard sans réellement t'en rendre compte, la vue te plaît et ça se voit. lorsqu'il se rapproche de toi, tu lâches l'appui que tu avais sur tes coudes, étant totalement allongé sur le matelas, tu fermes les yeux en sentant ses baisers se déposer sur ta peau. un moyen comme un autre de te concentrer uniquement sur les sensations qu'il parvient à te faire ressentir. sensations tellement fortes que tu ne peux t'empêcher de soupirer chaudement. ton excitation commence à devenir incontrôlable et toi, ça te rend dingue. bon sang, que tu aimes ressentir ça. alors tu restes les yeux clos, sentant ses baisers descendre de plus en plus bas, t'offrant à chaque fois des sensations plus fortes. sensations qui te font décrocher certains gémissements. pendant un court instant, tu viens passer tes doigts dans ses cheveux, te courbant légèrement tant tu commences à perdre le contrôle de cette délicieuse torture. tes soupirs sont bouillants, réclamant toujours plus. doucement, tes mains viennent chercher les siennes, liant tes doigts dans les siens, tu fais pression sur ces dernières pour le remonter vers toi. son visage face au tien, tu viens aussitôt t'accaparer de ses lèvres dans un baiser plus torride que les précédents. un baiser plus affamé, comme si quitter ses lèvres serait un supplice pour toi. quelque chose d'impossible. tes mains viennent se déposer de chaque côté de son visage comme pour le garder près de toi, intensifiant votre baiser, baiser qui étouffe certains de tes gémissements de désir. sans même que tu t'en rendes compte, et sous l'excitation, ton bassin vient se mouver doucement contre le sien alors que tes mains descendent le long de son torse. tu caresses sa peau avec envie, avec érotisme, la frôlant parfois. tu continues de lui dévorer les lèvres avec envie, ayant encore plus chaud en pensant à ce que tu comptes faire, parce que tes mains n'arrêtent pas leur course, ta main gauche finie même par se faufiler sous ses vêtements. tu ralentis tes gestes, juste le temps pour lui qu'il comprenne où est-ce que tu veux en venir, et toi tu en souris chaudement tout contre ses lèvres, rouvrant les yeux. tu es prêt à admirer la moindre de ses réactions au moment où tu laisseras ton envie de lui faire plaisir exploser. mais t'es plus patient, nao, alors ta main ne tarde pas à trouver le chemin de sa virilité. tu en laisses échapper un soupir de désir, gardant ce même sourire sur les lèvres alors que tu commences quelques vas-et-vient lents et érotiques.
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Lun 30 Juil - 1:41 Citer EditerSupprimer
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Mar 7 Aoû - 1:34 Citer EditerSupprimer
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Mer 8 Aoû - 16:32 Citer EditerSupprimer
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Re: Drunk in an odd mood, I can let it go [Alternative End Kwanaya] [+18] | Mer 15 Aoû - 11:39 Citer EditerSupprimer
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