Page 1 sur 2 • 1, 2 
[fb] leave a light on / ft. tooraya
Invité
Invité
[fb] leave a light on / ft. tooraya | Jeu 26 Juil - 17:18
flashback || t'as douze ans aujourd'hui. douze ans. et tu vis ton premier anniversaire merdique. non pas que ce jour doit être spécial... mais peut-être un petit peu, pour tous les enfants, non ? tu fêtais toujours ton anniversaire avec ta famille. une fête riche en bonheur, tu étais entouré de ta famille et pour toi, c'était le plus beau cadeau. mais là, c'est ton premier anniversaire sans eux. ton premier anniversaire sans tes parents. tu crèches chez ton oncle avec ton frère aîné mais c'est bien différent, t'as jamais été réellement proche de lui... mais tu espérais qu'il ne l'oublie pas. qu'akiya pense à toi... mais même pas. il a totalement oublié. est-ce que tu lui en veux pour ça ? pas vraiment, du haut de tes douze ans, tu ne parviens pas à avoir cette attitude. mais ça te blesse, tu n'as déjà plus tes parents avec toi, akiya est bien tout ce qu'il te reste, et il ne t'a même pas calculé de la journée, pas un seul regard. il donnait cette impression d'en avoir rien à foutre, ça t'en a collé des frissons. il se rend pas compte d'à quel point tu as besoin de lui, t'es orphelin maintenant, tu as besoin que vous soyez soudés. mais il change, akiya, mais c'est bien la première fois qu'il te snobe de la sorte. le jour de ton anniversaire en plus, alors tu as décidé de passer le reste de ta journée dehors. l'environnement est humide, il s'est arrêté de pleuvoir il y a quelques heures à peine, le vent est frais, mais ça te fait du bien. ton cœur est lourd, t'as besoin de t'aérer l'esprit. et puis, ici ou ailleurs... tu seras seul. alors tu marches, pendant plusieurs minutes. tu ne sais pas depuis combien de temps exactement mais tu te laisses guider par tes pas. ta capuche sur la tête, les mains enfouies dans ta veste, tu te poses sur un banc. tu as quand même pris soin de bien te couvrir, de ce temps là, tu pourrais attraper n'importe quoi. ta santé est quand même assez fragile, tu ne veux pas tenter le diable. rapidement, tu amènes tes deux jambes contre ton torse, passant tes bras autour de ces dernières. recroquevillé sur toi-même, tu restes tête baissée pendant un court instant. plongé dans tes pensées assez douloureuses. c'est donc ça maintenant ? tu es condamné à rester seul ? à affronter la solitude parce que la vie a décidé que tu ne serais plus entouré ? ils te manquent tes parents, ta famille unie, tout te manque. et depuis leur décès, tu as l'impression d'emprunter un autre chemin, un chemin différent de celui de ton frère. il est bizarre, il fréquente des personnes qu'il ne faudrait pas, et tu as beau le dire, parce que c'est plus fort que toi, il en a rien à foutre de ce que tu lui dis. il ne se rend vraiment pas compte. vous devriez vous serrer les coudes et lui, il fait n'importe quoi. il t'oublie même le jour de ton anniversaire. sûrement le jour où tu as le plus besoin de lui. doucement, tu relèves la tête, prenant une bouffée d'air frais, le vent monte un peu mais la pluie n'a pas l'air de repointer le bout de son nez. tu soupires, expirant tout l'air de tes poumons. aujourd'hui, tu as douze ans, aujourd'hui, tu ne souris pas. t'as même pas envie d'aller t'amuser avec tes copains même si t'as pas envie de fêter cette journée seul. t'as pas envie de t'en souvenir non plus... alors tu restes seul, définitivement, parce que tu n'as pas le choix. tout ce que tu voulais, c'était être entouré. juste.. ne pas être seul. c'était tout ce que tu demandais, à croire que tu demandais la lune. mais c'est pas grave, tu ne vas pas en vouloir à ton frère malgré que tu sois blessé. t'as beaucoup trop besoin de lui pour ça, seulement, il n'est jamais là quand il faut... pire, il n'est plus là depuis longtemps.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || t'as douze ans aujourd'hui. douze ans. et tu vis ton premier anniversaire merdique. non pas que ce jour doit être spécial... mais peut-être un petit peu, pour tous les enfants, non ? tu fêtais toujours ton anniversaire avec ta famille. une fête riche en bonheur, tu étais entouré de ta famille et pour toi, c'était le plus beau cadeau. mais là, c'est ton premier anniversaire sans eux. ton premier anniversaire sans tes parents. tu crèches chez ton oncle avec ton frère aîné mais c'est bien différent, t'as jamais été réellement proche de lui... mais tu espérais qu'il ne l'oublie pas. qu'akiya pense à toi... mais même pas. il a totalement oublié. est-ce que tu lui en veux pour ça ? pas vraiment, du haut de tes douze ans, tu ne parviens pas à avoir cette attitude. mais ça te blesse, tu n'as déjà plus tes parents avec toi, akiya est bien tout ce qu'il te reste, et il ne t'a même pas calculé de la journée, pas un seul regard. il donnait cette impression d'en avoir rien à foutre, ça t'en a collé des frissons. il se rend pas compte d'à quel point tu as besoin de lui, t'es orphelin maintenant, tu as besoin que vous soyez soudés. mais il change, akiya, mais c'est bien la première fois qu'il te snobe de la sorte. le jour de ton anniversaire en plus, alors tu as décidé de passer le reste de ta journée dehors. l'environnement est humide, il s'est arrêté de pleuvoir il y a quelques heures à peine, le vent est frais, mais ça te fait du bien. ton cœur est lourd, t'as besoin de t'aérer l'esprit. et puis, ici ou ailleurs... tu seras seul. alors tu marches, pendant plusieurs minutes. tu ne sais pas depuis combien de temps exactement mais tu te laisses guider par tes pas. ta capuche sur la tête, les mains enfouies dans ta veste, tu te poses sur un banc. tu as quand même pris soin de bien te couvrir, de ce temps là, tu pourrais attraper n'importe quoi. ta santé est quand même assez fragile, tu ne veux pas tenter le diable. rapidement, tu amènes tes deux jambes contre ton torse, passant tes bras autour de ces dernières. recroquevillé sur toi-même, tu restes tête baissée pendant un court instant. plongé dans tes pensées assez douloureuses. c'est donc ça maintenant ? tu es condamné à rester seul ? à affronter la solitude parce que la vie a décidé que tu ne serais plus entouré ? ils te manquent tes parents, ta famille unie, tout te manque. et depuis leur décès, tu as l'impression d'emprunter un autre chemin, un chemin différent de celui de ton frère. il est bizarre, il fréquente des personnes qu'il ne faudrait pas, et tu as beau le dire, parce que c'est plus fort que toi, il en a rien à foutre de ce que tu lui dis. il ne se rend vraiment pas compte. vous devriez vous serrer les coudes et lui, il fait n'importe quoi. il t'oublie même le jour de ton anniversaire. sûrement le jour où tu as le plus besoin de lui. doucement, tu relèves la tête, prenant une bouffée d'air frais, le vent monte un peu mais la pluie n'a pas l'air de repointer le bout de son nez. tu soupires, expirant tout l'air de tes poumons. aujourd'hui, tu as douze ans, aujourd'hui, tu ne souris pas. t'as même pas envie d'aller t'amuser avec tes copains même si t'as pas envie de fêter cette journée seul. t'as pas envie de t'en souvenir non plus... alors tu restes seul, définitivement, parce que tu n'as pas le choix. tout ce que tu voulais, c'était être entouré. juste.. ne pas être seul. c'était tout ce que tu demandais, à croire que tu demandais la lune. mais c'est pas grave, tu ne vas pas en vouloir à ton frère malgré que tu sois blessé. t'as beaucoup trop besoin de lui pour ça, seulement, il n'est jamais là quand il faut... pire, il n'est plus là depuis longtemps.(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Jeu 26 Juil - 17:21
flashback || Mes affaires étaient posaient devant moi. Mes yeux glissaient sur chacune d’entre elle, faisant une liste mentale de tout ce que je devais avoir. Je devais être sûr de rien avoir oublié. Parce que si j’oubliais quelque chose, autant dire que le plan allait être tout nul kapout zéro. Après une dernière vérification, tout y était. Je pris une très grande inspiration avant de tout ranger dans mon petit sac à dos tout noir. Tout était prêt maintenant il ne restait plus qu’à aller le voir. Je me relevai rapidement et j’enfilai un manteau et mon sac par la suite. Je sortis de ma chambre dans une démarche joyeuse et très excitée. Aujourd’hui c’était un grand jour et je ne pensais qu’à ça. Aujourd’hui était un jour très spécial et je voulais faire les choses bien. Aujourd’hui, c’était l'anniversaire de Naoya, c’était mon ami et j’en avais pas beaucoup beaucoup des amis, surtout au Japon. Alors je voulais lui célébrer son anniversaire, ce jour si spécial. J’allais voir ma maman qui était dans la cuisine, probablement en train de préparer un encas ou le repas du soir, mais ce n’était pas vraiment important en fait. Avec mon sac remonté sur mon dos et ma bonne volonté débordante, j’attrapais la manche de ma maman et la secouais doucement. Elle finit par se retrouver et se pencha vers moi. Eh bien, on dirait que tu pars pour une aventure mon ange, je secouais vivement la tête pour acquiescer. Du haut de mes huit années, j’étais assez grand pour partir à l’aventure, j’étais déjà presque un adulte. Je vais voir Naoya pour son anniversaire, par chance, le jeune garçon n’habitait pas très loin de ma maison et le trajet n’était pas très long. Ma mère me regarda quelque instants avant de rajouter. Tu sais que tu dois être gentil à ton copain, tu sais que ce n’est pas très facile pour lui en ce moment. Je tripotais doucement mes petits doigts entre eux. Oui, je savais que Naoya vivait une période pas évidente. Ma maman m’avait expliqué que ses parents étaient monté au ciel et qu’il ne pourrait plus les voir. Oui maman, j’ai même prié très fort pour que Dieu prenne bien soin de Naoya et de ses parents au ciel. Je levais mon minois vers ma mère avec un sourire auquel il manquait une dent. Il me regarda quelques seconde avec un sourire amusé avant de passer sa main dans mes cheveux bruns. Tu es un petit ange mon fils, continue de prier pour ton ami, j’acquiesçai enjoué. Depuis que je savais pour Nao et ce drame, tous les soirs, avant de me coucher, je priais pour lui. Je voulais que Dieu le protège et je voulais qu’il puisse à nouveau sourire comme avant. Mais en attendant je ne comptais pas rester les bras croisés, moi aussi je comptais bien l’aider activement à sourire un peu plus chaque jour. Allez file, je passerai chez la tante de ton ami d’accord ? Et prend ça. Elle fourra quelque chose dans mon sac. Je ne pris même pas le temps de répondre que j’avais filé en courant. Je m’étais engagé dans la rue qui conduisait vers chez Nao, un pâté de maison, c’était tout ce qu’il y avait à faire comme chemin. Puis alors que je m’approchais, il m’avait semblé apercevoir mon ami japonais au loin. Par réflexe j’avais agité le bras en l’air pour lui faire coucou, mais il ne me remarqua pas. Mais ! Pire il s'éloignait ! Paniqué, je remontais mon petit sac à dos sur mes épaules et commença à courir dans sa direction. Mais mes jambes étaient petites et je n’arrivais pas à m’approcher de lui. Je finis par alterner marche et course pressée, des fois en trébuchant ou en perdant l’équilibre, mais je tachais de ne surtout pas le perdre de vue. Mais il allait où comme ça au juste. Olalala, mais c’était long comme marche. J’espère qu’on allait pas se perdre. On allait pas arriver dans un endroit effrayant quand même ? Non ! Et quand bien même si c’était un endroit effrayant, je ne pouvais pas laisser Naoya tout seul. Je ne pouvais pas abandonner mon ami. Rempli à nouveau de courage, j’accélérai le pas. Je finis alors par distinguer sa silhouette assise sur un banc. Enfin ! Après quelques minutes de marche, j’étais enfin à côté de lui. Alors que mes yeux se posaient sur lui et son mince corps emmitouflé de partout, recroquevillé sur lui. Pourquoi il avait l’air… si triste ? Et pourquoi il était tout seul ? Mon petit coeur se serra très fort dans ma poitrine. Naoya ? Avais-je dit doucement pour signaler ma présence sans qu’il n’ait peur. Je souris doucement alors que je finis par croiser son regard, j’agitais doucement la main pour lui dire bonjour. Ben qu’est-ce que tu fais là, je t’ai cherché longtemps Nao-nao. Je grimpais sur le banc juste à côté de lui, l’espace de quelques secondes je secouai mes jambes dans le vide. Ma tête se tourna vers lui alors que je lui dis innocemment. C’est ton anniversaire et je suis venu pour toi. Nerveusement je tripotais mes doigts, un peu stressé. Parce que secrètement je lui avais préparé une surprise. Une grosse surprise. J’avais apporté plein de trucs. Je t’ai même fait un cadeau, avais-je dit à voix basse, les joues les légèrement rougissantes. Naoya était mon ami et il méritait le meilleur… et plus de tout, il méritait de retrouver le sourire.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || Mes affaires étaient posaient devant moi. Mes yeux glissaient sur chacune d’entre elle, faisant une liste mentale de tout ce que je devais avoir. Je devais être sûr de rien avoir oublié. Parce que si j’oubliais quelque chose, autant dire que le plan allait être tout nul kapout zéro. Après une dernière vérification, tout y était. Je pris une très grande inspiration avant de tout ranger dans mon petit sac à dos tout noir. Tout était prêt maintenant il ne restait plus qu’à aller le voir. Je me relevai rapidement et j’enfilai un manteau et mon sac par la suite. Je sortis de ma chambre dans une démarche joyeuse et très excitée. Aujourd’hui c’était un grand jour et je ne pensais qu’à ça. Aujourd’hui était un jour très spécial et je voulais faire les choses bien. Aujourd’hui, c’était l'anniversaire de Naoya, c’était mon ami et j’en avais pas beaucoup beaucoup des amis, surtout au Japon. Alors je voulais lui célébrer son anniversaire, ce jour si spécial. J’allais voir ma maman qui était dans la cuisine, probablement en train de préparer un encas ou le repas du soir, mais ce n’était pas vraiment important en fait. Avec mon sac remonté sur mon dos et ma bonne volonté débordante, j’attrapais la manche de ma maman et la secouais doucement. Elle finit par se retrouver et se pencha vers moi. Eh bien, on dirait que tu pars pour une aventure mon ange, je secouais vivement la tête pour acquiescer. Du haut de mes huit années, j’étais assez grand pour partir à l’aventure, j’étais déjà presque un adulte. Je vais voir Naoya pour son anniversaire, par chance, le jeune garçon n’habitait pas très loin de ma maison et le trajet n’était pas très long. Ma mère me regarda quelque instants avant de rajouter. Tu sais que tu dois être gentil à ton copain, tu sais que ce n’est pas très facile pour lui en ce moment. Je tripotais doucement mes petits doigts entre eux. Oui, je savais que Naoya vivait une période pas évidente. Ma maman m’avait expliqué que ses parents étaient monté au ciel et qu’il ne pourrait plus les voir. Oui maman, j’ai même prié très fort pour que Dieu prenne bien soin de Naoya et de ses parents au ciel. Je levais mon minois vers ma mère avec un sourire auquel il manquait une dent. Il me regarda quelques seconde avec un sourire amusé avant de passer sa main dans mes cheveux bruns. Tu es un petit ange mon fils, continue de prier pour ton ami, j’acquiesçai enjoué. Depuis que je savais pour Nao et ce drame, tous les soirs, avant de me coucher, je priais pour lui. Je voulais que Dieu le protège et je voulais qu’il puisse à nouveau sourire comme avant. Mais en attendant je ne comptais pas rester les bras croisés, moi aussi je comptais bien l’aider activement à sourire un peu plus chaque jour. Allez file, je passerai chez la tante de ton ami d’accord ? Et prend ça. Elle fourra quelque chose dans mon sac. Je ne pris même pas le temps de répondre que j’avais filé en courant. Je m’étais engagé dans la rue qui conduisait vers chez Nao, un pâté de maison, c’était tout ce qu’il y avait à faire comme chemin. Puis alors que je m’approchais, il m’avait semblé apercevoir mon ami japonais au loin. Par réflexe j’avais agité le bras en l’air pour lui faire coucou, mais il ne me remarqua pas. Mais ! Pire il s'éloignait ! Paniqué, je remontais mon petit sac à dos sur mes épaules et commença à courir dans sa direction. Mais mes jambes étaient petites et je n’arrivais pas à m’approcher de lui. Je finis par alterner marche et course pressée, des fois en trébuchant ou en perdant l’équilibre, mais je tachais de ne surtout pas le perdre de vue. Mais il allait où comme ça au juste. Olalala, mais c’était long comme marche. J’espère qu’on allait pas se perdre. On allait pas arriver dans un endroit effrayant quand même ? Non ! Et quand bien même si c’était un endroit effrayant, je ne pouvais pas laisser Naoya tout seul. Je ne pouvais pas abandonner mon ami. Rempli à nouveau de courage, j’accélérai le pas. Je finis alors par distinguer sa silhouette assise sur un banc. Enfin ! Après quelques minutes de marche, j’étais enfin à côté de lui. Alors que mes yeux se posaient sur lui et son mince corps emmitouflé de partout, recroquevillé sur lui. Pourquoi il avait l’air… si triste ? Et pourquoi il était tout seul ? Mon petit coeur se serra très fort dans ma poitrine. Naoya ? Avais-je dit doucement pour signaler ma présence sans qu’il n’ait peur. Je souris doucement alors que je finis par croiser son regard, j’agitais doucement la main pour lui dire bonjour. Ben qu’est-ce que tu fais là, je t’ai cherché longtemps Nao-nao. Je grimpais sur le banc juste à côté de lui, l’espace de quelques secondes je secouai mes jambes dans le vide. Ma tête se tourna vers lui alors que je lui dis innocemment. C’est ton anniversaire et je suis venu pour toi. Nerveusement je tripotais mes doigts, un peu stressé. Parce que secrètement je lui avais préparé une surprise. Une grosse surprise. J’avais apporté plein de trucs. Je t’ai même fait un cadeau, avais-je dit à voix basse, les joues les légèrement rougissantes. Naoya était mon ami et il méritait le meilleur… et plus de tout, il méritait de retrouver le sourire.(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Sam 28 Juil - 1:32
flashback || t'es pas chiant comme gosse mais quand même, tu aurais aimé qu'on pense à toi. tu en aurais eu besoin. parfois, tu n'as plus l'impression d'exister aux yeux de ton frère, et là, il ne fait que confirmer tes craintes, il ne t'a pas adressé un seul regard. rien du tout, c'est ton anniversaire aujourd'hui... il aurait au moins pu faire un effort. pourquoi tu commences à ne plus le reconnaître ? tu devrais t'inquiéter ? sans doute, oui. mais tu n'as pas la force de te battre aujourd'hui, tu baisses les bras avant d'essayer quoi que ce soit. t'es qu'un gamin, tu voulais juste qu'on pense à toi. tu t'en fiches des fêtes d'anniversaires, des cadeaux, tu avais seulement besoin d'exister. alors oui, tu préfères sortir seul. tes amis ne sont pas là, et de toute façon, tu ne risques pas de les croiser dehors d'un temps pareil. il fait quand même assez froid. de toute façon, peu importe, tu n'as plus réellement d'espoir. comme pour réchauffer un peu plus ton corps, tu viens coller tes jambes contre ton torse. le vent souffle encore un petit peu, mais la pluie n'est plus là. de toute façon, étant allergique au soleil, lorsque tu sors quand ce dernier pointe le bout de son nez, c'est un vrai calvaire. entre les médicaments que tu dois prendre et tes crèmes. au moins, là, tu n'as pas peur de faire une quelconque réaction. et puis même si c'était le cas, cette journée n'est clairement pas bonne, alors ça de plus ou ça de moins... une larme s'échappe, roulant le long de ta joue. larme que tu essuies bien vite d'un revers de la main. tu ne devrais peut-être pas pleurer, mais si tes parents étaient encore en vie, rien de tout ça n'arriverait. c'est débile, mais tu ne veux pas être seul. t'as besoin de ton frère, t'as besoin de tes parents, mais t'as personne avec toi et t'as du mal à l'accepter. mais alors que tu te penses seul dans ta petite bulle, une voix timide vient te sortir de tes pensées. tu relèves aussitôt le visage vers la personne, reconnaissant rapidement tooru. t'es assez surpris de le voir là, mais ça gonfle ton cœur. y aurait-il un espoir pour que tu ne sois pas seul aujourd'hui ? il agite doucement sa main pour te dire bonjour, ce geste te fait tendrement sourire alors que tu lui renvoies, avant de baisser le visage comme pour cacher ta mine maquillée de cette douloureuse peine. au moins, il a réussi à te faire décrocher un sourire, mais avant que tu aies le temps de dire quoi que ce soit, tooru reprend la parole pour te demander ce que tu fais ici mais aussi, pour t'avertir qu'il te cherchait depuis un certain temps. « tu me cherchais? » reprends-tu comme pour y avoir une confirmation. comme si cela pouvait paraître peu réel, mais il faut te comprendre, personne a pensé à toi aujourd'hui. tu te sens si invisible, coupé du monde. que ça t'étonne presque qu'on puisse penser à toi. il s'installe à côté de toi alors que tu serres un peu plus tes jambes contre toi, tournant ton visage dans sa direction. tu hausses les sourcils. il n'a pas oublié ton anniversaire ? ça t'en décroche un fin sourire. effaçant pendant un court instant, cette mine décomposée que tu abordais. un.. un cadeau? il avait repris la parole d'une voix basse, mais t'as bien entendu. « tu.. tu m'as fait un cadeau? » demandes-tu timidement, un peu gêné aussi. on t'oublie, et voilà que le ciel t'envoie tooru pour réparer tes maux ? tooru, un ami à toi que tu apprécies beaucoup. il est si mignon, il arrive à te faire sourire même lorsque tu ne t'y attends pas. tu baisses le regard, comme perdu à nouveau dans tes pensées, tu reprends dans un souffle terne: « t'as pas oublié.. » on peut entendre le bonheur que ça te procure de voir qu'il a pensé à toi, mais en même temps,voir à quel point ça te transperce le cœur de savoir qu'il sera sûrement le seul. tu baisses alors le regard vers tes mains qui jouent nerveusement entre elles. « t'es le seul à y avoir pensé. » tu clignes plusieurs fois des yeux, comme pour y retenir de futures larmes, faut pas pleurer. maman et papa n'aimeraient pas savoir que tu pleures le jour de ton anniversaire, pas vrai ? très vite, tu retrouves le chemin de son regard. un sourire plus franc sur les lèvres. « t'étais pas obligé de venir avec un cadeau tu sais... » d'une voix doucereuse, non, personne à penser à toi. t'es encore plus gêné de voir que tooru soit venu avec un cadeau pour toi. alors t'es pas si invisible que ça ? il a pensé à toi...
leave a light on
tooraya ♡
flashback || t'es pas chiant comme gosse mais quand même, tu aurais aimé qu'on pense à toi. tu en aurais eu besoin. parfois, tu n'as plus l'impression d'exister aux yeux de ton frère, et là, il ne fait que confirmer tes craintes, il ne t'a pas adressé un seul regard. rien du tout, c'est ton anniversaire aujourd'hui... il aurait au moins pu faire un effort. pourquoi tu commences à ne plus le reconnaître ? tu devrais t'inquiéter ? sans doute, oui. mais tu n'as pas la force de te battre aujourd'hui, tu baisses les bras avant d'essayer quoi que ce soit. t'es qu'un gamin, tu voulais juste qu'on pense à toi. tu t'en fiches des fêtes d'anniversaires, des cadeaux, tu avais seulement besoin d'exister. alors oui, tu préfères sortir seul. tes amis ne sont pas là, et de toute façon, tu ne risques pas de les croiser dehors d'un temps pareil. il fait quand même assez froid. de toute façon, peu importe, tu n'as plus réellement d'espoir. comme pour réchauffer un peu plus ton corps, tu viens coller tes jambes contre ton torse. le vent souffle encore un petit peu, mais la pluie n'est plus là. de toute façon, étant allergique au soleil, lorsque tu sors quand ce dernier pointe le bout de son nez, c'est un vrai calvaire. entre les médicaments que tu dois prendre et tes crèmes. au moins, là, tu n'as pas peur de faire une quelconque réaction. et puis même si c'était le cas, cette journée n'est clairement pas bonne, alors ça de plus ou ça de moins... une larme s'échappe, roulant le long de ta joue. larme que tu essuies bien vite d'un revers de la main. tu ne devrais peut-être pas pleurer, mais si tes parents étaient encore en vie, rien de tout ça n'arriverait. c'est débile, mais tu ne veux pas être seul. t'as besoin de ton frère, t'as besoin de tes parents, mais t'as personne avec toi et t'as du mal à l'accepter. mais alors que tu te penses seul dans ta petite bulle, une voix timide vient te sortir de tes pensées. tu relèves aussitôt le visage vers la personne, reconnaissant rapidement tooru. t'es assez surpris de le voir là, mais ça gonfle ton cœur. y aurait-il un espoir pour que tu ne sois pas seul aujourd'hui ? il agite doucement sa main pour te dire bonjour, ce geste te fait tendrement sourire alors que tu lui renvoies, avant de baisser le visage comme pour cacher ta mine maquillée de cette douloureuse peine. au moins, il a réussi à te faire décrocher un sourire, mais avant que tu aies le temps de dire quoi que ce soit, tooru reprend la parole pour te demander ce que tu fais ici mais aussi, pour t'avertir qu'il te cherchait depuis un certain temps. « tu me cherchais? » reprends-tu comme pour y avoir une confirmation. comme si cela pouvait paraître peu réel, mais il faut te comprendre, personne a pensé à toi aujourd'hui. tu te sens si invisible, coupé du monde. que ça t'étonne presque qu'on puisse penser à toi. il s'installe à côté de toi alors que tu serres un peu plus tes jambes contre toi, tournant ton visage dans sa direction. tu hausses les sourcils. il n'a pas oublié ton anniversaire ? ça t'en décroche un fin sourire. effaçant pendant un court instant, cette mine décomposée que tu abordais. un.. un cadeau? il avait repris la parole d'une voix basse, mais t'as bien entendu. « tu.. tu m'as fait un cadeau? » demandes-tu timidement, un peu gêné aussi. on t'oublie, et voilà que le ciel t'envoie tooru pour réparer tes maux ? tooru, un ami à toi que tu apprécies beaucoup. il est si mignon, il arrive à te faire sourire même lorsque tu ne t'y attends pas. tu baisses le regard, comme perdu à nouveau dans tes pensées, tu reprends dans un souffle terne: « t'as pas oublié.. » on peut entendre le bonheur que ça te procure de voir qu'il a pensé à toi, mais en même temps,voir à quel point ça te transperce le cœur de savoir qu'il sera sûrement le seul. tu baisses alors le regard vers tes mains qui jouent nerveusement entre elles. « t'es le seul à y avoir pensé. » tu clignes plusieurs fois des yeux, comme pour y retenir de futures larmes, faut pas pleurer. maman et papa n'aimeraient pas savoir que tu pleures le jour de ton anniversaire, pas vrai ? très vite, tu retrouves le chemin de son regard. un sourire plus franc sur les lèvres. « t'étais pas obligé de venir avec un cadeau tu sais... » d'une voix doucereuse, non, personne à penser à toi. t'es encore plus gêné de voir que tooru soit venu avec un cadeau pour toi. alors t'es pas si invisible que ça ? il a pensé à toi... (c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Sam 28 Juil - 2:29
flashback || Non mais quand même, pourquoi il avait marché autant Naonao ? Moi j’allais pas aussi vite que lui hein ? Moi mes jambes elles étaient encore toutes petites, j’avais pas commencé à grandir comme lui. c’était quand même injuste. Il fallait que je presse le pas pour ne pas le perdre vue. Parce que j'avais pas très envie de me perdre au milieu de nulle part. Puis aussi j’avais très envie de lui donner son cadeau et lui souhaiter son anniversaire moi. Après tout c’était mon ami et je voulais lui dire à quel point il était important pour moi. Puis je savais qu’il allait probablement avoir besoin de soutien, je devais être très gentil avec lui, c’était ma maman qui me l’avait dit. Puis le seigneur il avait dit que je devais aimer mon prochain, alors je ne savais pas qui était mon “prochain” mais je savais que je devais donner mon amour et mon soutien à mon ami japonais.Parce que les amis c’était fait pour ça en plus ! Je finis par enfin arriver à sa hauteur, je signalais doucement ma présence alors qu’il avait l’air perdu dans son monde. Alors qu’il avait l’air tout triste. Pourquoi il était tout triste alors que c’était son anniversaire. Les anniversaires, c’était censé être des moments heureux ? Mais des moment pour être tout tristounet. Alors je lui signalais que je l’avais cherché pendant un petit moment. Il avait l’air étonné. Il répéta même mes dernière paroles. Ben ouais, je te cherchais Nao-nao, avais-je dit en mettant mes poings sur ma taille, une pose typique que ma mère prenait. C’était son anniversaire après tout et ça je ne pouvais pas le manquer. Pour rien au monde même ! Parce que j’étais venu pour lui pour personne d’autre. Je finis par m’assoir à coté de lui…. même si encore une fois mes toutes petites jambes faisaient que je touchais pas le sol. Je finis par ajouter timidement que je lui avais fait un cadeau pour cette occasion. Je rougissais légèrement parce que si maman savait, elle allait me disputer très fort. J’avais trouvé quelque chose à lui donner quelque chose à moi. Ce n’était pas grand chose, mais je voulais lui offrir. Mais j’étais sûr que maman n’aurait pas été très d’accord pour que je donne mes affaires comme ça, mais je m’en fichais, c’était pour Naoya, mon ami, pour ne pas dire le seul. Alors il méritait que je lui offre un cadeau personnel… non ? Encore une fois il répéta ce que je venais de lui dire. Je le fixai quelque seconde avant de dire. C’est ce que j’ai dit, t’es sûr que ça va Nao ? Tout en disant cela je m’étais penché pour mettre ma petite main sur son front. A force de répéter tout ce que je disais je me demandais s’il avait pas pris froid. Et peut-être qu’il avait de la fièvre. Mais visiblement ce n’était pas le cas. Je retournais à ma place, puis arrive à le voir sourire. Naturellement mon sourire s'était agrandi. J’aimais voir Nao sourire. J’aimais quand mon ami était heureux, même si ce n’était pas facile vu les circonstances. Comment j’aurais pu t’oublier, t’es mon meilleur ami Nao ! Je m’étais exclamé en levant les bras en l’air dans une réaction qui était presque trop démesurée. Mais rapidement je me figeai quand il avoua que j’étais le seul à y avoir pensé. Oh non. C’était tellement triste. Comment les gens avaient pu l’oublier ? Comment on avait pu laisser Nao de côté ? C’était tellement injuste. Je me retournai à nouveau vers lui. Alors qu’il jouait avec ses mains, j’y posais les miennes par dessus.. Moi je ne t’oublierai jamais. Je te le promets. Son sourire sembla cependant revenir avant qu’il me parle du cadeau. Je souris alors je retirais le sac de mon pour le mettre sur mes genoux, je me tournais complètement mon petit corps et m’assis en tailleur le banc, mon sac calé entre mes jambes. Et j’ai plein de surprises marrantes aussi. Parce qu’aujourd’hui c’est ta journée Nao-nao. Je levais mon visage vers lui avec un grand sourire solaire. C’était sa journée à lui et moi j’allais me consacrer uniquement mon temps à le faire sourire et lui faire oublier tous ses tracas. J’ouvris mon sac avant de me souvenir que ma maman m’avait ajouté quelque chose dedans. Je vis alors un petit sac en tissu vert clair. Il sentait trop bon même, un douce odeur de haricots rouges. Haaaaaaaaan, avais-je dit en mettant mes main sur chacune de mes joues. Ma maman nous a cuisiné des mochis je crois ! Sans plus attendre j’ouvris le petit sachet et j’en fourrais un dans ma bouche. Hmmmm trop bon ! Alors que je machai je tendis le petit sac à mon aîné tout en ayant mon mochi dans ma bouche. Tenveux chest crobon, avais-je dit avec la bouche encore pleine. Tout en mangeant je sortis de mon autre main le fameux cadeau que j’avais fait. Un petit bracelet blanc sur lequel il y avait des têtes de pandas en relief. Moi je ne le mettais pas et je savais que Nao adorais ça les pandas. Alors j’espérais que ça allait lui plaire. J’avalais difficilement le mochi avant de tendre ce petit paquet emballé grossièrement dans une page de journal. Je souris avant de dire avec mon plus grand sourire auquel il manquait toujours une dent: Joyeux anniversaire Nao-nao.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || Non mais quand même, pourquoi il avait marché autant Naonao ? Moi j’allais pas aussi vite que lui hein ? Moi mes jambes elles étaient encore toutes petites, j’avais pas commencé à grandir comme lui. c’était quand même injuste. Il fallait que je presse le pas pour ne pas le perdre vue. Parce que j'avais pas très envie de me perdre au milieu de nulle part. Puis aussi j’avais très envie de lui donner son cadeau et lui souhaiter son anniversaire moi. Après tout c’était mon ami et je voulais lui dire à quel point il était important pour moi. Puis je savais qu’il allait probablement avoir besoin de soutien, je devais être très gentil avec lui, c’était ma maman qui me l’avait dit. Puis le seigneur il avait dit que je devais aimer mon prochain, alors je ne savais pas qui était mon “prochain” mais je savais que je devais donner mon amour et mon soutien à mon ami japonais.Parce que les amis c’était fait pour ça en plus ! Je finis par enfin arriver à sa hauteur, je signalais doucement ma présence alors qu’il avait l’air perdu dans son monde. Alors qu’il avait l’air tout triste. Pourquoi il était tout triste alors que c’était son anniversaire. Les anniversaires, c’était censé être des moments heureux ? Mais des moment pour être tout tristounet. Alors je lui signalais que je l’avais cherché pendant un petit moment. Il avait l’air étonné. Il répéta même mes dernière paroles. Ben ouais, je te cherchais Nao-nao, avais-je dit en mettant mes poings sur ma taille, une pose typique que ma mère prenait. C’était son anniversaire après tout et ça je ne pouvais pas le manquer. Pour rien au monde même ! Parce que j’étais venu pour lui pour personne d’autre. Je finis par m’assoir à coté de lui…. même si encore une fois mes toutes petites jambes faisaient que je touchais pas le sol. Je finis par ajouter timidement que je lui avais fait un cadeau pour cette occasion. Je rougissais légèrement parce que si maman savait, elle allait me disputer très fort. J’avais trouvé quelque chose à lui donner quelque chose à moi. Ce n’était pas grand chose, mais je voulais lui offrir. Mais j’étais sûr que maman n’aurait pas été très d’accord pour que je donne mes affaires comme ça, mais je m’en fichais, c’était pour Naoya, mon ami, pour ne pas dire le seul. Alors il méritait que je lui offre un cadeau personnel… non ? Encore une fois il répéta ce que je venais de lui dire. Je le fixai quelque seconde avant de dire. C’est ce que j’ai dit, t’es sûr que ça va Nao ? Tout en disant cela je m’étais penché pour mettre ma petite main sur son front. A force de répéter tout ce que je disais je me demandais s’il avait pas pris froid. Et peut-être qu’il avait de la fièvre. Mais visiblement ce n’était pas le cas. Je retournais à ma place, puis arrive à le voir sourire. Naturellement mon sourire s'était agrandi. J’aimais voir Nao sourire. J’aimais quand mon ami était heureux, même si ce n’était pas facile vu les circonstances. Comment j’aurais pu t’oublier, t’es mon meilleur ami Nao ! Je m’étais exclamé en levant les bras en l’air dans une réaction qui était presque trop démesurée. Mais rapidement je me figeai quand il avoua que j’étais le seul à y avoir pensé. Oh non. C’était tellement triste. Comment les gens avaient pu l’oublier ? Comment on avait pu laisser Nao de côté ? C’était tellement injuste. Je me retournai à nouveau vers lui. Alors qu’il jouait avec ses mains, j’y posais les miennes par dessus.. Moi je ne t’oublierai jamais. Je te le promets. Son sourire sembla cependant revenir avant qu’il me parle du cadeau. Je souris alors je retirais le sac de mon pour le mettre sur mes genoux, je me tournais complètement mon petit corps et m’assis en tailleur le banc, mon sac calé entre mes jambes. Et j’ai plein de surprises marrantes aussi. Parce qu’aujourd’hui c’est ta journée Nao-nao. Je levais mon visage vers lui avec un grand sourire solaire. C’était sa journée à lui et moi j’allais me consacrer uniquement mon temps à le faire sourire et lui faire oublier tous ses tracas. J’ouvris mon sac avant de me souvenir que ma maman m’avait ajouté quelque chose dedans. Je vis alors un petit sac en tissu vert clair. Il sentait trop bon même, un douce odeur de haricots rouges. Haaaaaaaaan, avais-je dit en mettant mes main sur chacune de mes joues. Ma maman nous a cuisiné des mochis je crois ! Sans plus attendre j’ouvris le petit sachet et j’en fourrais un dans ma bouche. Hmmmm trop bon ! Alors que je machai je tendis le petit sac à mon aîné tout en ayant mon mochi dans ma bouche. Tenveux chest crobon, avais-je dit avec la bouche encore pleine. Tout en mangeant je sortis de mon autre main le fameux cadeau que j’avais fait. Un petit bracelet blanc sur lequel il y avait des têtes de pandas en relief. Moi je ne le mettais pas et je savais que Nao adorais ça les pandas. Alors j’espérais que ça allait lui plaire. J’avalais difficilement le mochi avant de tendre ce petit paquet emballé grossièrement dans une page de journal. Je souris avant de dire avec mon plus grand sourire auquel il manquait toujours une dent: Joyeux anniversaire Nao-nao.(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Lun 30 Juil - 23:48
flashback || il te demande si ça va, déposant sa petite main sur ton front. et toi, tu baisses les yeux un court instant, comme un enfant qu'on aurait engueulé. oui oui, ça va, c'est débile. pourquoi tu le fais répéter ? parce que c'est si peu croyable pour toi que ton ami tooru ait fait tout ça pour toi. ça peut paraître peu aux yeux de certains personnes mais c'est beaucoup pour toi, surtout aujourd'hui où finalement, tu ne te demandais pas grand chose. pourtant, tes parents avaient pour habitude de te prévoir de grandes fêtes, d'inviter tous tes copains et puis, tu avais des cadeaux aussi ! mais là.. rien, toi, tout ce que tu demandais, c'est l'attention de ton grand frère. parce que c'est ta seule famille, il est tout ce qu'il te reste, mais apparemment, tu demandais un peu trop. alors voir qu'une autre personne pense à toi te faire du bien, mais oui, ça te paraît trop beau pour être vrai. alors tu souris tendrement, mais surtout, sincèrement. sourire qui s'élargit aux paroles de tooru. « toi aussi t'es mon meilleur ami tooru. » annonces-tu comme si c'était important, mais clairement, ça l'est. c'est le meilleur tooru, et il t'a pas oublié au moins, lui. ça prouve bien que c'est le meilleur, de toute façon. après ça, tooru t'affirme qu'il ne t'oubliera jamais. ça gonfle ton cœur, au moins, tu as tooru. il est gentil avec toi, même totalement aorable. tu aurais pu passer un bout de la journée tout seul mais non, il est avec toi. il a même apporté un cadeau avec lui. un cadeau ? tu n'en demandais pas tant. et.. qu'est-ce qu'il dit ? des surprises marrantes ? tu hausses les sourcils, ton regard devient plus interrogateur. oui, c'est vrai, c'est ta journée aujourd'hui... et on dirait que tooru fera son maximum pour te le prouver. ça te rassure, ça te touche grandement aussi. mais lorsqu'il ouvre son sac, tooru semble surpris. tes yeux grossissent alors, tu te penches quelque peu comme pour voir ce qui a pu le rendre dans cet état. « qu'est-ce qu'il y a?? » apparemment, sa maman vous aurez cuisiné des mochis. il finit même par en engloutir un alors qu'il te tend le paquet dans ta direction. ça sent trop bon ! ohlala... t'en as l'eau à la bouche. « han, ouiiii. » tu t'empresses alors t'en attraper un, le fourrant dans ta bouche. ça fait du bien à ton bidou. et puis au moins, mine de rien, tu commences à penser à autre chose qu'à cette journée ratée... elle ne le sera pas totalement au moins. tooru commence à rattraper tout ça. et puis, ton ami te tend un cadeau. ou du moins un papier journal, où un cadeau se trouve certainement à l'intérieur. tu remontes ton regard vers tooru qui te souhaite un joyeux anniversaire alors qu'un sourire attendri se dessine sur tes lèvres. timidement, tu viens attraper le petit paquet. « merci tooru... » un sourire plus franc sur les lèvres, tu déposes le paquet sur tes cuisses avant de l'ouvrir. qu'est-ce que ça peut bien être ? lorsque tu ouvres enfin le paquet, tu y découvres un bracelet, tu hausses les sourcils dans un premier temps avant de t'en saisir pour mieux voir, et là, tu y découvres un panda en relief. « anh... » un panda ! tu aimes beaucoup trop ces animaux toi ! tes yeux se mettent alors à briller, tu lances un regard à ton ami. « il est trop beau... ! » rapidement, tu viens entourer tes bras autour de son cou, lui offrant un câlin gros comme ça parce que clairement il est génial son cadeau ! il est trop beau en plus, y'a un panda ! ahhh, t'as un bracelet panda. « je l'aime trop! merci tooru. » reprends-tu d'une voix beaucoup trop adorable pour ce monde, tu finis par t'écarter, reposant ton regard sur ce cadeau. tes yeux brillent toujours de bonheur. comme quoi, tu demandais pas grand chose. ton sourire ne te quitte même plus. tu étales le bijou sur une de tes cuisses, déposant ton poignet, tu essayes de l'attacher autour du tien mais en vain, faut dire, c'est débile ces trucs làààà ! faut les deux mains pour pouvoir l'attacher correctement. « tu peux m'aider s'te plaaaît ? » demandes-tu, te tournant vers lui.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || il te demande si ça va, déposant sa petite main sur ton front. et toi, tu baisses les yeux un court instant, comme un enfant qu'on aurait engueulé. oui oui, ça va, c'est débile. pourquoi tu le fais répéter ? parce que c'est si peu croyable pour toi que ton ami tooru ait fait tout ça pour toi. ça peut paraître peu aux yeux de certains personnes mais c'est beaucoup pour toi, surtout aujourd'hui où finalement, tu ne te demandais pas grand chose. pourtant, tes parents avaient pour habitude de te prévoir de grandes fêtes, d'inviter tous tes copains et puis, tu avais des cadeaux aussi ! mais là.. rien, toi, tout ce que tu demandais, c'est l'attention de ton grand frère. parce que c'est ta seule famille, il est tout ce qu'il te reste, mais apparemment, tu demandais un peu trop. alors voir qu'une autre personne pense à toi te faire du bien, mais oui, ça te paraît trop beau pour être vrai. alors tu souris tendrement, mais surtout, sincèrement. sourire qui s'élargit aux paroles de tooru. « toi aussi t'es mon meilleur ami tooru. » annonces-tu comme si c'était important, mais clairement, ça l'est. c'est le meilleur tooru, et il t'a pas oublié au moins, lui. ça prouve bien que c'est le meilleur, de toute façon. après ça, tooru t'affirme qu'il ne t'oubliera jamais. ça gonfle ton cœur, au moins, tu as tooru. il est gentil avec toi, même totalement aorable. tu aurais pu passer un bout de la journée tout seul mais non, il est avec toi. il a même apporté un cadeau avec lui. un cadeau ? tu n'en demandais pas tant. et.. qu'est-ce qu'il dit ? des surprises marrantes ? tu hausses les sourcils, ton regard devient plus interrogateur. oui, c'est vrai, c'est ta journée aujourd'hui... et on dirait que tooru fera son maximum pour te le prouver. ça te rassure, ça te touche grandement aussi. mais lorsqu'il ouvre son sac, tooru semble surpris. tes yeux grossissent alors, tu te penches quelque peu comme pour voir ce qui a pu le rendre dans cet état. « qu'est-ce qu'il y a?? » apparemment, sa maman vous aurez cuisiné des mochis. il finit même par en engloutir un alors qu'il te tend le paquet dans ta direction. ça sent trop bon ! ohlala... t'en as l'eau à la bouche. « han, ouiiii. » tu t'empresses alors t'en attraper un, le fourrant dans ta bouche. ça fait du bien à ton bidou. et puis au moins, mine de rien, tu commences à penser à autre chose qu'à cette journée ratée... elle ne le sera pas totalement au moins. tooru commence à rattraper tout ça. et puis, ton ami te tend un cadeau. ou du moins un papier journal, où un cadeau se trouve certainement à l'intérieur. tu remontes ton regard vers tooru qui te souhaite un joyeux anniversaire alors qu'un sourire attendri se dessine sur tes lèvres. timidement, tu viens attraper le petit paquet. « merci tooru... » un sourire plus franc sur les lèvres, tu déposes le paquet sur tes cuisses avant de l'ouvrir. qu'est-ce que ça peut bien être ? lorsque tu ouvres enfin le paquet, tu y découvres un bracelet, tu hausses les sourcils dans un premier temps avant de t'en saisir pour mieux voir, et là, tu y découvres un panda en relief. « anh... » un panda ! tu aimes beaucoup trop ces animaux toi ! tes yeux se mettent alors à briller, tu lances un regard à ton ami. « il est trop beau... ! » rapidement, tu viens entourer tes bras autour de son cou, lui offrant un câlin gros comme ça parce que clairement il est génial son cadeau ! il est trop beau en plus, y'a un panda ! ahhh, t'as un bracelet panda. « je l'aime trop! merci tooru. » reprends-tu d'une voix beaucoup trop adorable pour ce monde, tu finis par t'écarter, reposant ton regard sur ce cadeau. tes yeux brillent toujours de bonheur. comme quoi, tu demandais pas grand chose. ton sourire ne te quitte même plus. tu étales le bijou sur une de tes cuisses, déposant ton poignet, tu essayes de l'attacher autour du tien mais en vain, faut dire, c'est débile ces trucs làààà ! faut les deux mains pour pouvoir l'attacher correctement. « tu peux m'aider s'te plaaaît ? » demandes-tu, te tournant vers lui. (c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Mar 31 Juil - 22:41
flashback || Ben, bien sûr qu’il était mon meilleur ami… bon probablement le seul, ce qui en faisait le meilleur par défaut non ? Puis Nao-nao je l’aimais beaucoup moi. J’adorais passer du temps avec lui pour m’amuser et je voulais toujours tout faire pour qu’il sourit. Alors forcément, quand j’avais appris pour ses parents. J’avais su que je devais être présent pour lui. Je savais que c’était mon rôle de le soutenir, de l’aider à retrouver le sourire malgré tout et de prier très fort pour lui. D’ailleurs depuis ce moment je n’avais eu de cesse de demander à Dieu qu’il aide Naoya. Et j’osais espérer qu’il l’aiderait, moi je n’en avais pas besoin, Nao en revanche… Oui, je voulais vraiment l’aider. Parce que Naonao était très important pour moi. Et quand bien même les gens avaient oubliés son anniversaire, je m’en fichais, parce que moi je ne comptais pas l’oublier. Je comptais bien ne jamais l’oublier. Je comptais bien être toujours là pour lui dès que je serai au Japon. Mais je savais que j’allais finir par retourner en Corée du Sud, loin de lui, loin de mon meilleur ami. Mais on allait se retrouver, pas vrai ? je reviendrai au Japon et je retrouverai mon ami. Mais je voulais surtout penser à ce que j’allais lui apporter maintenant, parce qu’il n’y avait que mon aîné qui était important en ce jour. C’était sa journée après tout, un anniversaire il n’y en avait qu’une seule fois par an et c’était super méga important. Donc j’avais fait les choses en grand…. bon, grand vu par taille de gamin, mais en grand quand même. Alors que j’attrapai mon sac pour commencer à farfouiller et sortir ton mon attirail d’anniversaire surprise, je remarquai le petit paquet. Je me rappelais alors que ma maman avait ajouté quelque chose dans mon sac…. je compris rapidement à la bonne odeur que c’était des mochis. Mais c’était crooooo bien ça. Déjà parce que ma maman avait cuisiné et que c’était la meilleur et que ses mochis, ben c’était le plus mieux bons. Tout en dénouant le tissu vert, je découvris les pâtisseries avec un plaisir infini. Je ne me privais pas pour en fourrer dans la bouche avec gourmandise. Ce fut d’ailleurs la bouche pleine que je proposais à mon ami nippon de piocher dans cette délicieuse nourriture. Je souris légèrement alors qu’il s’empressa lui aussi de se délecter de ce plaisir sucré. Décidément la nourriture ça mettait tout le monde d’accord. Puis je finis par sortir le fameux cadeau d’anniversaire que j’avais emballé moi-même - bon clairement ça se voyait vu que le paquet était quand même emballé dans un papier journal - avec mes petits doigts. Quand il le déballa, je ne pu m’empêcher de passer ma main derrière la tête pour me gratter l’arrière du crâne. J'espérais qu’il allait l’aimer quand même. Tout en me frottant les cheveux je regardais mon ami déballer, presque un peu stressé. Et quand le regard de Naonao se mit à briller, mes joues rougir d’un coup d’un seul. Je me frottais frottais un peu plus la tête quand il annonça qu'il trouvait mon cadeau très beau. Je..hmm... En fait je n’eus pas le temps de parler qu’il s’était jeté à mon cou pour me serrer dans ses bras. Je restais figé quelques secondes avant de laisser mes bras entourer ses épaules. J’étais heux oui, j’étais très heureux. Je souris doucement doucement avant d’ajouter. C’est pas grand chose, je sais que tu adores ça les pandas, avais-je dit avec une voix toute timide, les joues toujours écarlates. Parce que clairement, j’étais très content de le voir sourire aussi sincèrement. Juste le voir sourire me donnait du baume au coeur. Je voulais juste que ce sourire ne s’en aille jamais. Je l’observais quelques instants, juste heureux de ce moment et souhaitant qu’il ne s’arrête jamais. Je clignais quelques instants des yeux quand Nao me demanda l’aide pour l’attacher. Je baissais les yeux sur le poignet de mon meilleur ami et m’approchai de lui jusqu’à pouvoir atteindre le bracelet de mes petites mimines. Du coup je me penchai carrément sur le lui, mettant le visage à quelques dizaines de centimètres de son poignet, juste pour être sûr de bien voir. J’étais ultra concentré sur ma tâche, ne surtout pas pincer la peau. Et voilà, avais-je dit tout fier de moi. Je m’éloignai mais je gardais ma main nichée dans celle de mon meilleur ami, allant jusqu’à lier mes doigts au sien avec un grand sourire. Je suis content de t’avoir trouvé Nao-nao, je baissais quelques instants les yeux, pensant à mon retour en Corée. Je voulais rester ici moi, c’était trop injuste quand même. Je finis par relever les yeux sur Nao. Tu veux voir la suite ? avais-je dis avec un sourire fin avant de fourrer un autre mochi dans ma mochi. Ne pense qu’à maintenant et à rendre Nao-nao heureux.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || Ben, bien sûr qu’il était mon meilleur ami… bon probablement le seul, ce qui en faisait le meilleur par défaut non ? Puis Nao-nao je l’aimais beaucoup moi. J’adorais passer du temps avec lui pour m’amuser et je voulais toujours tout faire pour qu’il sourit. Alors forcément, quand j’avais appris pour ses parents. J’avais su que je devais être présent pour lui. Je savais que c’était mon rôle de le soutenir, de l’aider à retrouver le sourire malgré tout et de prier très fort pour lui. D’ailleurs depuis ce moment je n’avais eu de cesse de demander à Dieu qu’il aide Naoya. Et j’osais espérer qu’il l’aiderait, moi je n’en avais pas besoin, Nao en revanche… Oui, je voulais vraiment l’aider. Parce que Naonao était très important pour moi. Et quand bien même les gens avaient oubliés son anniversaire, je m’en fichais, parce que moi je ne comptais pas l’oublier. Je comptais bien ne jamais l’oublier. Je comptais bien être toujours là pour lui dès que je serai au Japon. Mais je savais que j’allais finir par retourner en Corée du Sud, loin de lui, loin de mon meilleur ami. Mais on allait se retrouver, pas vrai ? je reviendrai au Japon et je retrouverai mon ami. Mais je voulais surtout penser à ce que j’allais lui apporter maintenant, parce qu’il n’y avait que mon aîné qui était important en ce jour. C’était sa journée après tout, un anniversaire il n’y en avait qu’une seule fois par an et c’était super méga important. Donc j’avais fait les choses en grand…. bon, grand vu par taille de gamin, mais en grand quand même. Alors que j’attrapai mon sac pour commencer à farfouiller et sortir ton mon attirail d’anniversaire surprise, je remarquai le petit paquet. Je me rappelais alors que ma maman avait ajouté quelque chose dans mon sac…. je compris rapidement à la bonne odeur que c’était des mochis. Mais c’était crooooo bien ça. Déjà parce que ma maman avait cuisiné et que c’était la meilleur et que ses mochis, ben c’était le plus mieux bons. Tout en dénouant le tissu vert, je découvris les pâtisseries avec un plaisir infini. Je ne me privais pas pour en fourrer dans la bouche avec gourmandise. Ce fut d’ailleurs la bouche pleine que je proposais à mon ami nippon de piocher dans cette délicieuse nourriture. Je souris légèrement alors qu’il s’empressa lui aussi de se délecter de ce plaisir sucré. Décidément la nourriture ça mettait tout le monde d’accord. Puis je finis par sortir le fameux cadeau d’anniversaire que j’avais emballé moi-même - bon clairement ça se voyait vu que le paquet était quand même emballé dans un papier journal - avec mes petits doigts. Quand il le déballa, je ne pu m’empêcher de passer ma main derrière la tête pour me gratter l’arrière du crâne. J'espérais qu’il allait l’aimer quand même. Tout en me frottant les cheveux je regardais mon ami déballer, presque un peu stressé. Et quand le regard de Naonao se mit à briller, mes joues rougir d’un coup d’un seul. Je me frottais frottais un peu plus la tête quand il annonça qu'il trouvait mon cadeau très beau. Je..hmm... En fait je n’eus pas le temps de parler qu’il s’était jeté à mon cou pour me serrer dans ses bras. Je restais figé quelques secondes avant de laisser mes bras entourer ses épaules. J’étais heux oui, j’étais très heureux. Je souris doucement doucement avant d’ajouter. C’est pas grand chose, je sais que tu adores ça les pandas, avais-je dit avec une voix toute timide, les joues toujours écarlates. Parce que clairement, j’étais très content de le voir sourire aussi sincèrement. Juste le voir sourire me donnait du baume au coeur. Je voulais juste que ce sourire ne s’en aille jamais. Je l’observais quelques instants, juste heureux de ce moment et souhaitant qu’il ne s’arrête jamais. Je clignais quelques instants des yeux quand Nao me demanda l’aide pour l’attacher. Je baissais les yeux sur le poignet de mon meilleur ami et m’approchai de lui jusqu’à pouvoir atteindre le bracelet de mes petites mimines. Du coup je me penchai carrément sur le lui, mettant le visage à quelques dizaines de centimètres de son poignet, juste pour être sûr de bien voir. J’étais ultra concentré sur ma tâche, ne surtout pas pincer la peau. Et voilà, avais-je dit tout fier de moi. Je m’éloignai mais je gardais ma main nichée dans celle de mon meilleur ami, allant jusqu’à lier mes doigts au sien avec un grand sourire. Je suis content de t’avoir trouvé Nao-nao, je baissais quelques instants les yeux, pensant à mon retour en Corée. Je voulais rester ici moi, c’était trop injuste quand même. Je finis par relever les yeux sur Nao. Tu veux voir la suite ? avais-je dis avec un sourire fin avant de fourrer un autre mochi dans ma mochi. Ne pense qu’à maintenant et à rendre Nao-nao heureux. (c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Sam 4 Aoû - 2:44
flashback || t'es vraiment pas du genre à t'apitoyer sur ton sort. pourtant, c'est ce que les jeunes de ton âge font, pas vrai ? c'est même plutôt normal, t'es jeune, c'est ton anniversaire et t'es tout seul. on ne devrait pas être tout seul le jour de son anniversaire, hein ? mais toi, tout le monde t'a oublié. t'as préféré partir, rester un peu seul parce que t'en avais besoin, et puis de toute façon, akiya est parti lui aussi. tu sais qu'il a oublié, qu'il s'en rappellera demain, et te le souhaiteras en retard comme si ça ne t'avait pas touché et qu'au final, ça n'avait pas vraiment d'importance, comme si ça ne t'avait pas blessé... qu'est-ce qu'il en sait lui, hein ? tu l'as jamais vu blessé, faut avoir un cœur pour ça. tu sais que ton frère est renfermé, qu'il est froid et ne montre que jamais ses sentiments, t'y es habitué, tu lui en voudras sûrement pas mais que tu le veuilles ou non, ça t'a blessé. alors oui, voir que tooru était là près de toi, qu'il ne t'avait pas oublié, qu'il avait même pensé à te ramener un petit cadeau, ça te met du baume au cœur, ça te touche plus que ça ne le devrait mais tu avais grandement besoin de ça. a t-il conscience qu'il vient réellement de te sauver la journée ? d'ailleurs, en découvrant son petit cadeau, tes yeux se mettent à briller. un bracelet avec un panda... une petite attention qui te touche encore une fois, tellement que tu ne peux t'empêcher de le prendre dans tes bras et de le serrer fort contre toi. un moyen comme un autre d'exprimer ta joie et de le remercier à ta manière, tenant dans tes bras le meilleur des amis qui puisse exister. tooru ajoute rapidement que ce n'est pas grand chose. pas grand chose ? tu ne vois clairement pas les choses de la même manière, en tout cas, pour toi, c'est loin d'être une petite attention sans importance. c'est tout de même sûrement la seule que tu auras aujourd'hui, et au final, celle qui compte le plus. tu te décolles doucement de lui, gardant ce même sourire sincère et heureux sur les lèvres, tu remarques ses joues écarlates et cette vision ne peut aider ton sourire à s'effacer, tu observes donc de nouveau le bracelet. tu tentes même de le mettre mais tu n'y arrives pas, alors tu demandes un petit coup de main à tooru, service qu'il te rend aussitôt en se penchant vers ton poignet pour lier les deux extrémités. une fois chose faite, tu amènes ton poignet face à toi, souriant de nouveau. « merci tooru ! » il est tellement beau le bracelet... et les pandas dessus sont tellement mignons ! mais tu n'as pas le temps de l'admirer une seule seconde de plus que la main de tooru vient se glisser dans la tienne. si au début tu étais un peu surpris, tu te laisses cependant faire, retrouvant ton sourire adorable en apercevant le sien. ses doigts dans les tiens, tu resserres quelque peu votre étreinte. « moi aussi j'suis content... » annonces-tu le plus sincèrement du monde. « t'façon t'es le meilleur, j'le dis à tous mes copains. » c'est vrai ! tu leurs parles souvent de tooru, et c'est toujours la même chose, tooru c'est le meilleur, tooru c'est un ami parfait... et t'en passes. tu regrettes tellement de ne pas l'avoir près de toi tout au long de l'année... tu sais qu'il rentrera bientôt en corée, et cette pensée te tord le cœur. t'aimes bien quand tooru est près de toi... « j'ai pas envie que tu partes... » avoues-tu, le cœur noué d'émotion et de tristesse. t'avais juste besoin de lui dire, encore une fois, tooru te prouve bien qu'il est le meilleur ami du monde. mais avant que tu laisses ces pensées envahir ton esprit, tooru reprend la parole pour te demander si tu veux voir la suite. « ouiii je veux voir ! » lui réponds-tu, à nouveau, tentant de regarder dans son sac par curiosité, mais t'as pas le temps de voir grand chose.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || t'es vraiment pas du genre à t'apitoyer sur ton sort. pourtant, c'est ce que les jeunes de ton âge font, pas vrai ? c'est même plutôt normal, t'es jeune, c'est ton anniversaire et t'es tout seul. on ne devrait pas être tout seul le jour de son anniversaire, hein ? mais toi, tout le monde t'a oublié. t'as préféré partir, rester un peu seul parce que t'en avais besoin, et puis de toute façon, akiya est parti lui aussi. tu sais qu'il a oublié, qu'il s'en rappellera demain, et te le souhaiteras en retard comme si ça ne t'avait pas touché et qu'au final, ça n'avait pas vraiment d'importance, comme si ça ne t'avait pas blessé... qu'est-ce qu'il en sait lui, hein ? tu l'as jamais vu blessé, faut avoir un cœur pour ça. tu sais que ton frère est renfermé, qu'il est froid et ne montre que jamais ses sentiments, t'y es habitué, tu lui en voudras sûrement pas mais que tu le veuilles ou non, ça t'a blessé. alors oui, voir que tooru était là près de toi, qu'il ne t'avait pas oublié, qu'il avait même pensé à te ramener un petit cadeau, ça te met du baume au cœur, ça te touche plus que ça ne le devrait mais tu avais grandement besoin de ça. a t-il conscience qu'il vient réellement de te sauver la journée ? d'ailleurs, en découvrant son petit cadeau, tes yeux se mettent à briller. un bracelet avec un panda... une petite attention qui te touche encore une fois, tellement que tu ne peux t'empêcher de le prendre dans tes bras et de le serrer fort contre toi. un moyen comme un autre d'exprimer ta joie et de le remercier à ta manière, tenant dans tes bras le meilleur des amis qui puisse exister. tooru ajoute rapidement que ce n'est pas grand chose. pas grand chose ? tu ne vois clairement pas les choses de la même manière, en tout cas, pour toi, c'est loin d'être une petite attention sans importance. c'est tout de même sûrement la seule que tu auras aujourd'hui, et au final, celle qui compte le plus. tu te décolles doucement de lui, gardant ce même sourire sincère et heureux sur les lèvres, tu remarques ses joues écarlates et cette vision ne peut aider ton sourire à s'effacer, tu observes donc de nouveau le bracelet. tu tentes même de le mettre mais tu n'y arrives pas, alors tu demandes un petit coup de main à tooru, service qu'il te rend aussitôt en se penchant vers ton poignet pour lier les deux extrémités. une fois chose faite, tu amènes ton poignet face à toi, souriant de nouveau. « merci tooru ! » il est tellement beau le bracelet... et les pandas dessus sont tellement mignons ! mais tu n'as pas le temps de l'admirer une seule seconde de plus que la main de tooru vient se glisser dans la tienne. si au début tu étais un peu surpris, tu te laisses cependant faire, retrouvant ton sourire adorable en apercevant le sien. ses doigts dans les tiens, tu resserres quelque peu votre étreinte. « moi aussi j'suis content... » annonces-tu le plus sincèrement du monde. « t'façon t'es le meilleur, j'le dis à tous mes copains. » c'est vrai ! tu leurs parles souvent de tooru, et c'est toujours la même chose, tooru c'est le meilleur, tooru c'est un ami parfait... et t'en passes. tu regrettes tellement de ne pas l'avoir près de toi tout au long de l'année... tu sais qu'il rentrera bientôt en corée, et cette pensée te tord le cœur. t'aimes bien quand tooru est près de toi... « j'ai pas envie que tu partes... » avoues-tu, le cœur noué d'émotion et de tristesse. t'avais juste besoin de lui dire, encore une fois, tooru te prouve bien qu'il est le meilleur ami du monde. mais avant que tu laisses ces pensées envahir ton esprit, tooru reprend la parole pour te demander si tu veux voir la suite. « ouiii je veux voir ! » lui réponds-tu, à nouveau, tentant de regarder dans son sac par curiosité, mais t'as pas le temps de voir grand chose. (c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Dim 5 Aoû - 21:33
flashback || Ce cadeau ce n’était pas grand chose en soi, ce n’était même rien. je n’avais pas dépensé d’argent pour l’acheter… enfin d’un côté ce n’était comme si j’avais de l’argent - parce selon mes parents il nous fallait vivre une vie pieuse et sans excès de richesse, ça poussait au vice - donc c’était un bracelet qui m’appartenait. Je n’avais pas beaucoup de choses, mais je savais que ce petit bracelet plairait beaucoup à mon meilleur ami… puis moi je ne le mettais pas… alors autant lui donner non ? Puis il adorait ça les pandas, alors je savais que ça allait lui faire plaisir moi. Du coup secrètement j’avais pris le bracelet et je l’avais emballé moi-même… sauf que je n’avais trouvé de joli papier cadeau et que forcément je ne savais pas emballer les cadeau. Alors ça avait fini par être un truc tout moche dans du papier journal… Mais on se fichait de l’emballage ? Non ? le plus important c’était que le cadeau lui fasse plaisir ? Et quand son sourire naquit sur ses lèvres, mon petit coeur se serra très fort dans ma poitrine. Mais ce n’était pas désagréable, loin de là. C’était même très agréable. Une sensation de douce chaleur qui me prenait le torse. Chaleur qui ne manqua pas de monter jusqu’à mon visage et à rendre mes joues toutes chaudes. C’était très agréable. Son bonheur suffisait à me rendre heureux. Alors qu’il m’avait pris dans ses bras je posais les miens sur ses épaules pour les rendre son étreinte agréable. Juste après Nao-Nao était tellement content qu’il essaya de mettre son tout nouveau bracelet au plus vite. Vraiment qu’il devait vraiment l’adorer. Quand il me demanda de l’aide, naturellement, j’étais venu lui prêter assistance tout en me penchant pour me concentrer sur ma tâche. Tout en m'éloignant de lui, je glissais ma main dans la sienne en souriant. J’étais content d'être à cet instant avec lui. J’étais content de l’avoir suivi jusque là pour lui redonner le sourire alors que tout semblait parti pour que mon meilleur ami passe une mauvaise journée. J’étais content d’arriver à le faire sourire sincèrement dans ce moment pas faciles pour lui. Mais j’étais aussi content de l’avoir rencontré et que je sois devenu son ami. C’était une vraie bénédiction. Mes doigts entre les siens je le regardais et ne manquais de rougir encore plus quand il me dit que j’étais le meilleur et qu’il en parlait à tous ces copains. Non, c’est toi le plus mieux, avais-je dit tout en continuant de montrer mon sourire troué. Mais je me souvenais que rester auprès de lui ne durerait pas pour toujours. Je savais que je devrais rentrer en Corée du Sud, parce que ma vie était là-bas, et pas au Japon malheureusement. Les yeux baissés, je me disais que c’était franchement du juste qu’on soit séparés. Je m'entendais si bien avec lui, et c'était mon meilleur ami. Lui, aussi ne voulait pas, il l'avait dit. J'étais triste à l'idée de partir. Partir loin de lui et me retrouver à nouveau seul. Non je ne devais pas penser à moi, je n'étais pas là pour ne penser qu'à ma pomme. L'égoïsme c'était pas bien, pas beau. Et je ne voulais pas que Nao-nao soit à nouveau tout triste… et pire à cause de moi. Je veux pas non plus. Mais on se reverra Nao-nao… tu m'oublieras pas hein ? Je souris doucement en penchant ma tête sur le côté comme un chaton. Quand je serai grand, j'irai vivre au Japon comme ça on ne se quittera plus jamais. Promis ? Je lui tendis le petit doigt comme pour faire une promesse. Vivre au Japon ? Oui j'en rêvais et je me sentais bien ici. Et je me voyais bien habiter ici, juste à côté de chez Nao, grandir avec lui, devenir un grand garçon avec lui. Oui c'était quelque chose qui me plaisait. Et je préférais avoir ce point de vue plutôt qu’un qui était tout triste. Je voulais à nos retrouvailles plus qu’à nos séparations. Après tout je venais souvent au Japon, que ma maman était japonaise… et que moi j’étais à moitié japonais… donc c’était logique. Donc pas le temps de morfondre, c’était le moment pour nous de penser à des choses heureuses et pleines bonheur. Alors que je lui proposais de voir la suite tout en fourrant un mochi dans ma bouche, idée qu’il acquiesça avec un entrain non négligeable. Je commençai à fouiller dans mon sac, je pus voir du coin de l’oeil que Nao essayait de voir le contenu de mon sac. Je relevai la tête et ajoutai sur un ton plaisantin. Toujours aussi curieux Nao-nao, je finis par tirer la langue amusé par le comportement de mon meilleur ami. pour sûr Nao était très curieux. Il se posait toujours tout plein de questions sur tout et tout ce qui l’entourait. Je ris légèrement avant de sortir un serre-tête avec des petites oreilles de nounours… parce qu’on en avait pas de panda à la maison ! Je les mis sur la tête de mon meilleur ami avec un soin tout particulier. Je souris en disant. Ca te va bien ! Je sortis un autre accessoire, avec des oreilles de chat et je lui mis sur ma propre tête. Sauf que j’avais pas dû les mettre très droites. Puis je finis par sortir le “clou” du spectacle, des cierges magiques. Tadaaaaa ! J’étais content du petit effet, mais rapide je rajoutais en regardant Nao et je finis par ajouter en rougissant. Mais je sais pas les allumer, parce que j’ai pas le droit de toucher aux briquets… mais j’en ai un. je baissais les yeux presque un peu honteux de mon aveux, j’en oubliais presque je n’avais que huit et qu’on ne jouait pas avec un briquet à mon âge. Tu sais faire toi ? Demandais-je toujours rouge alors que je sortais le briquet de mon sac. Si maman savait que je l’avais pris elle avait probablement me gronder, ça c’était sûr. Mais c’était pas une bêtise… si elle ne savait pas, non ?
leave a light on
tooraya ♡
flashback || Ce cadeau ce n’était pas grand chose en soi, ce n’était même rien. je n’avais pas dépensé d’argent pour l’acheter… enfin d’un côté ce n’était comme si j’avais de l’argent - parce selon mes parents il nous fallait vivre une vie pieuse et sans excès de richesse, ça poussait au vice - donc c’était un bracelet qui m’appartenait. Je n’avais pas beaucoup de choses, mais je savais que ce petit bracelet plairait beaucoup à mon meilleur ami… puis moi je ne le mettais pas… alors autant lui donner non ? Puis il adorait ça les pandas, alors je savais que ça allait lui faire plaisir moi. Du coup secrètement j’avais pris le bracelet et je l’avais emballé moi-même… sauf que je n’avais trouvé de joli papier cadeau et que forcément je ne savais pas emballer les cadeau. Alors ça avait fini par être un truc tout moche dans du papier journal… Mais on se fichait de l’emballage ? Non ? le plus important c’était que le cadeau lui fasse plaisir ? Et quand son sourire naquit sur ses lèvres, mon petit coeur se serra très fort dans ma poitrine. Mais ce n’était pas désagréable, loin de là. C’était même très agréable. Une sensation de douce chaleur qui me prenait le torse. Chaleur qui ne manqua pas de monter jusqu’à mon visage et à rendre mes joues toutes chaudes. C’était très agréable. Son bonheur suffisait à me rendre heureux. Alors qu’il m’avait pris dans ses bras je posais les miens sur ses épaules pour les rendre son étreinte agréable. Juste après Nao-Nao était tellement content qu’il essaya de mettre son tout nouveau bracelet au plus vite. Vraiment qu’il devait vraiment l’adorer. Quand il me demanda de l’aide, naturellement, j’étais venu lui prêter assistance tout en me penchant pour me concentrer sur ma tâche. Tout en m'éloignant de lui, je glissais ma main dans la sienne en souriant. J’étais content d'être à cet instant avec lui. J’étais content de l’avoir suivi jusque là pour lui redonner le sourire alors que tout semblait parti pour que mon meilleur ami passe une mauvaise journée. J’étais content d’arriver à le faire sourire sincèrement dans ce moment pas faciles pour lui. Mais j’étais aussi content de l’avoir rencontré et que je sois devenu son ami. C’était une vraie bénédiction. Mes doigts entre les siens je le regardais et ne manquais de rougir encore plus quand il me dit que j’étais le meilleur et qu’il en parlait à tous ces copains. Non, c’est toi le plus mieux, avais-je dit tout en continuant de montrer mon sourire troué. Mais je me souvenais que rester auprès de lui ne durerait pas pour toujours. Je savais que je devrais rentrer en Corée du Sud, parce que ma vie était là-bas, et pas au Japon malheureusement. Les yeux baissés, je me disais que c’était franchement du juste qu’on soit séparés. Je m'entendais si bien avec lui, et c'était mon meilleur ami. Lui, aussi ne voulait pas, il l'avait dit. J'étais triste à l'idée de partir. Partir loin de lui et me retrouver à nouveau seul. Non je ne devais pas penser à moi, je n'étais pas là pour ne penser qu'à ma pomme. L'égoïsme c'était pas bien, pas beau. Et je ne voulais pas que Nao-nao soit à nouveau tout triste… et pire à cause de moi. Je veux pas non plus. Mais on se reverra Nao-nao… tu m'oublieras pas hein ? Je souris doucement en penchant ma tête sur le côté comme un chaton. Quand je serai grand, j'irai vivre au Japon comme ça on ne se quittera plus jamais. Promis ? Je lui tendis le petit doigt comme pour faire une promesse. Vivre au Japon ? Oui j'en rêvais et je me sentais bien ici. Et je me voyais bien habiter ici, juste à côté de chez Nao, grandir avec lui, devenir un grand garçon avec lui. Oui c'était quelque chose qui me plaisait. Et je préférais avoir ce point de vue plutôt qu’un qui était tout triste. Je voulais à nos retrouvailles plus qu’à nos séparations. Après tout je venais souvent au Japon, que ma maman était japonaise… et que moi j’étais à moitié japonais… donc c’était logique. Donc pas le temps de morfondre, c’était le moment pour nous de penser à des choses heureuses et pleines bonheur. Alors que je lui proposais de voir la suite tout en fourrant un mochi dans ma bouche, idée qu’il acquiesça avec un entrain non négligeable. Je commençai à fouiller dans mon sac, je pus voir du coin de l’oeil que Nao essayait de voir le contenu de mon sac. Je relevai la tête et ajoutai sur un ton plaisantin. Toujours aussi curieux Nao-nao, je finis par tirer la langue amusé par le comportement de mon meilleur ami. pour sûr Nao était très curieux. Il se posait toujours tout plein de questions sur tout et tout ce qui l’entourait. Je ris légèrement avant de sortir un serre-tête avec des petites oreilles de nounours… parce qu’on en avait pas de panda à la maison ! Je les mis sur la tête de mon meilleur ami avec un soin tout particulier. Je souris en disant. Ca te va bien ! Je sortis un autre accessoire, avec des oreilles de chat et je lui mis sur ma propre tête. Sauf que j’avais pas dû les mettre très droites. Puis je finis par sortir le “clou” du spectacle, des cierges magiques. Tadaaaaa ! J’étais content du petit effet, mais rapide je rajoutais en regardant Nao et je finis par ajouter en rougissant. Mais je sais pas les allumer, parce que j’ai pas le droit de toucher aux briquets… mais j’en ai un. je baissais les yeux presque un peu honteux de mon aveux, j’en oubliais presque je n’avais que huit et qu’on ne jouait pas avec un briquet à mon âge. Tu sais faire toi ? Demandais-je toujours rouge alors que je sortais le briquet de mon sac. Si maman savait que je l’avais pris elle avait probablement me gronder, ça c’était sûr. Mais c’était pas une bêtise… si elle ne savait pas, non ?(c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Mar 7 Aoû - 22:39
flashback || t'es pas le genre de gamins à vouloir le beurre et l'argent du beurre. pourtant, à ton âge, beaucoup voudraient des cadeaux, une super grande fête d'anniversaire avec tous les copains... mais toi non, tu veux seulement ne pas passer la journée seul, ou qu'on pense à toi. ce n'est pas grand chose pas vrai ? tu ne demandes pas la lune... à croire que non, puisque tooru est avec toi maintenant. et c'était tout ce dont tu avais besoin, même pas d'un cadeau, pourtant, il n'est pas venu les mains vides. il t'a offert un super beau bracelet avec des pandas ! il est trop magnifique, tu l'adores. pour une personne qui n'attend rien et qui est heureux simplement par sa présence, on peut dire que ce n'est pas rien ce qu'il t'offre là. alors tu t'empresses de le prendre dans tes bras, le serrant fort contre toi. après ça, tu lui demandes de t'aider pour le bracelet parce que t'es même pas patient, tu veux le porter de suite de suite! alors il t'aide aussitôt, et toi, tu admires ton nouveau bracelet beaucoup trop beau. mais très vite, tooru vient se saisir de ta main pour lier ses doigts dans les tiens, et tu en souris doucement. surtout lorsqu'il t'affirme que c'est toi le plus mieux. « naan, arrête c'est pas vrai ! » lâches-tu tout en gardant ta main dans la sienne, avant de reprendre. « ma tati elle me disait que quand on mentait, on devait nettoyer sa bouche au savon après... j'ai pas envie que tu nettoies ta bouche au savon. » lui confies-tu, te pinçant l'intérieur de la joue. tu l'aimes tellement tooru... heureusement qu'il est avec toi ! autant aujourd'hui que dans ta vie, c'est ton meilleur ami, tu l'aimes tellement que tu parles de lui à tous tes copains, seulement, il ne peut pas toujours être près de toi, il n'habite pas ici. alors tu lui avoues que tu n'as pas envie qu'il parte, le cœur serré et la gorge alourdie. tooru doit voir que ça te fait quelque chose puisqu'il essaye aussitôt de te remonter le moral, tu remontes ton regard dans le sien, secouant négativement la tête. « mais comment je pourrais t'oublier tooru... » jamais de la vie ! c'est impossible. tu serres davantage tes doigts dans les siens, secouant de nouveau la tête. « même quand t'es pas au japon avec moi, t'es là. » avoues-tu de la manière la plus adorable qui soit, déposant ta main libre sur ton cœur. alors clairement, ce n'est pas la distance qui va effacer tooru de ton esprit ! mais tu retrouves à nouveau ce sourire, le voyant pencher la tête comme un adorable chaton. et ses paroles aussi te font du bien. « c'est vrai? tu veux venir vivre ici? » tu baisses le regard sur son petit doigt, amenant le tien vers ce dernier. tu attrapes son petit doigt du tien. « promis tooru. » et une promesse est une promesse, on ne brise jamais une promesse, pas vrai ? sauf si on a une très bonne raison. enfin bref, revenons à nos moutons. tooru te dit rapidement qu'il a d'autres petites surprises. ta curiosité te pousse à te pencher sur ses affaires mais tu vois rien, et ça ne manque pas à l’œil de tooru qui te fait une remarque. aussitôt, tu te replaces correctement, te pinçant les lèvres comme si tu venais de faire une bêtise. non mais oui.. t'es trop curieux, faut que t'arrêtes hein ! ça va finir par soûler les gens. pas tooru hein ! heureusement il te le confirme assez vite en rigolant, et puis, il sort des serre-têtes de son sac, tes yeux s'écarquillent aussitôt. alors que ton meilleur ami s'empresse de le mettre sur ta tête, t'annonçant que ça t'allait bien. tu souris alors, passant tes mains sur le serre-tête. ohlala, t'aimerais voir à quoi tu ressembles. « anhhhhh, j'aime trop! » et puis, il en met un lui aussi. avec des oreilles de chats, beaucoup trop adorable pour ce monde ce petit tooru ! il n'a pas mis son serre-tête droit. tu te mets à ricaner quelque peu avant de t'approcher de lui. « attends tooru, » tu lui mets un peu plus correctement avant de retirer tes mains, satisfait. « voilà! t'es trop mignon. » non vraiment, on dirait un petit chat. tu craques ! et puis, voilà qu'il se met à sortir des cierges magiques... omg ! un fin sourire se dessine sur tes lèvres qu'il te confie ne pas savoir les allumer, qu'il ne sait pas utiliser un briquet mais qu'il en a un. il en sort d'ailleurs un de son sac, à sa question, tu lui prends doucement le briquet des mains. « oui je sais faire! » annonces-tu presque un peu trop fièrement. tu essayes de l'allumer mais pour le moment, c'est un échec. tu essayes même avec les deux mains mais c'est pas évident, faut dire y'a une sacrée sécurité sur ces trucs... au bout d'une dizaine de tentatives, tu parviens finalement à faire apparaître une flamme. « ah, voilà! je savais bien que je savais faire. » reprends-tu, avec ce petit sourire. sourire qui s'efface bien vite au moment où une pensée te traverse l'esprit. tu plisses les lèvres avant de lui demander, plus timidement. « on va se faire gronder tu penses? » bon toi, t'es pas sûr. faut dire que personne te surveille, tu n'as malheureusement plus tes parents derrière toi, simplement ton frère et ce n'est pas lui qui va te surveiller... en tout cas, il ne le fait plus. « faut pas le dire hein... » ça reste entre vous, un petit secret ! vous n'allez pas vous faire gronder comme ça.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || t'es pas le genre de gamins à vouloir le beurre et l'argent du beurre. pourtant, à ton âge, beaucoup voudraient des cadeaux, une super grande fête d'anniversaire avec tous les copains... mais toi non, tu veux seulement ne pas passer la journée seul, ou qu'on pense à toi. ce n'est pas grand chose pas vrai ? tu ne demandes pas la lune... à croire que non, puisque tooru est avec toi maintenant. et c'était tout ce dont tu avais besoin, même pas d'un cadeau, pourtant, il n'est pas venu les mains vides. il t'a offert un super beau bracelet avec des pandas ! il est trop magnifique, tu l'adores. pour une personne qui n'attend rien et qui est heureux simplement par sa présence, on peut dire que ce n'est pas rien ce qu'il t'offre là. alors tu t'empresses de le prendre dans tes bras, le serrant fort contre toi. après ça, tu lui demandes de t'aider pour le bracelet parce que t'es même pas patient, tu veux le porter de suite de suite! alors il t'aide aussitôt, et toi, tu admires ton nouveau bracelet beaucoup trop beau. mais très vite, tooru vient se saisir de ta main pour lier ses doigts dans les tiens, et tu en souris doucement. surtout lorsqu'il t'affirme que c'est toi le plus mieux. « naan, arrête c'est pas vrai ! » lâches-tu tout en gardant ta main dans la sienne, avant de reprendre. « ma tati elle me disait que quand on mentait, on devait nettoyer sa bouche au savon après... j'ai pas envie que tu nettoies ta bouche au savon. » lui confies-tu, te pinçant l'intérieur de la joue. tu l'aimes tellement tooru... heureusement qu'il est avec toi ! autant aujourd'hui que dans ta vie, c'est ton meilleur ami, tu l'aimes tellement que tu parles de lui à tous tes copains, seulement, il ne peut pas toujours être près de toi, il n'habite pas ici. alors tu lui avoues que tu n'as pas envie qu'il parte, le cœur serré et la gorge alourdie. tooru doit voir que ça te fait quelque chose puisqu'il essaye aussitôt de te remonter le moral, tu remontes ton regard dans le sien, secouant négativement la tête. « mais comment je pourrais t'oublier tooru... » jamais de la vie ! c'est impossible. tu serres davantage tes doigts dans les siens, secouant de nouveau la tête. « même quand t'es pas au japon avec moi, t'es là. » avoues-tu de la manière la plus adorable qui soit, déposant ta main libre sur ton cœur. alors clairement, ce n'est pas la distance qui va effacer tooru de ton esprit ! mais tu retrouves à nouveau ce sourire, le voyant pencher la tête comme un adorable chaton. et ses paroles aussi te font du bien. « c'est vrai? tu veux venir vivre ici? » tu baisses le regard sur son petit doigt, amenant le tien vers ce dernier. tu attrapes son petit doigt du tien. « promis tooru. » et une promesse est une promesse, on ne brise jamais une promesse, pas vrai ? sauf si on a une très bonne raison. enfin bref, revenons à nos moutons. tooru te dit rapidement qu'il a d'autres petites surprises. ta curiosité te pousse à te pencher sur ses affaires mais tu vois rien, et ça ne manque pas à l’œil de tooru qui te fait une remarque. aussitôt, tu te replaces correctement, te pinçant les lèvres comme si tu venais de faire une bêtise. non mais oui.. t'es trop curieux, faut que t'arrêtes hein ! ça va finir par soûler les gens. pas tooru hein ! heureusement il te le confirme assez vite en rigolant, et puis, il sort des serre-têtes de son sac, tes yeux s'écarquillent aussitôt. alors que ton meilleur ami s'empresse de le mettre sur ta tête, t'annonçant que ça t'allait bien. tu souris alors, passant tes mains sur le serre-tête. ohlala, t'aimerais voir à quoi tu ressembles. « anhhhhh, j'aime trop! » et puis, il en met un lui aussi. avec des oreilles de chats, beaucoup trop adorable pour ce monde ce petit tooru ! il n'a pas mis son serre-tête droit. tu te mets à ricaner quelque peu avant de t'approcher de lui. « attends tooru, » tu lui mets un peu plus correctement avant de retirer tes mains, satisfait. « voilà! t'es trop mignon. » non vraiment, on dirait un petit chat. tu craques ! et puis, voilà qu'il se met à sortir des cierges magiques... omg ! un fin sourire se dessine sur tes lèvres qu'il te confie ne pas savoir les allumer, qu'il ne sait pas utiliser un briquet mais qu'il en a un. il en sort d'ailleurs un de son sac, à sa question, tu lui prends doucement le briquet des mains. « oui je sais faire! » annonces-tu presque un peu trop fièrement. tu essayes de l'allumer mais pour le moment, c'est un échec. tu essayes même avec les deux mains mais c'est pas évident, faut dire y'a une sacrée sécurité sur ces trucs... au bout d'une dizaine de tentatives, tu parviens finalement à faire apparaître une flamme. « ah, voilà! je savais bien que je savais faire. » reprends-tu, avec ce petit sourire. sourire qui s'efface bien vite au moment où une pensée te traverse l'esprit. tu plisses les lèvres avant de lui demander, plus timidement. « on va se faire gronder tu penses? » bon toi, t'es pas sûr. faut dire que personne te surveille, tu n'as malheureusement plus tes parents derrière toi, simplement ton frère et ce n'est pas lui qui va te surveiller... en tout cas, il ne le fait plus. « faut pas le dire hein... » ça reste entre vous, un petit secret ! vous n'allez pas vous faire gronder comme ça. (c) DΛNDELION
Invité
Invité
Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Mer 8 Aoû - 23:55
flashback || Mais si c’est vrai je te dis, avais-je dit en souriant doucement tout en regardant nos deux mains liées étroitement. Doigts entremêlés que rien ne semblait pouvoir séparer. Ben j’aurais pas besoin de me laver la bouche avec du savon, parce que Dieu il nous a que mentir ben c’était pas bien, je hochai la tête tout en disant ça. Ben ouais, j’avais travaillé très fort pour faire comme mes parents et mes parents avaient dit que mentir c’était pas bien du tout et que les menteurs ben ils allaient en Enfer. Alors il fallait faire ce que Dieu nous avait appris. Mais rapidement le sujet devint plus triste. Nao-Nao aborda mon départ. Oui, bien sûr que je ne voulais pas partir. Je n’avais que lui. Mais je ne voulais pas rendre Nao plus triste. Je voulais qu’il positive. Je voulais qu’il pense au moment où je reviendrai le voir. Les moments heureux, pas les moments tout tristes. Il ne comptait pas m’oublier et je ne comptais pas l’oublier non plus. Je sentis se resserrer sur la mienne. Je ne manquais pas de rougir légèrement quand il me dit qu’il me gardait toujours dans son coeur, même quand j’étais pas là. Tu es toujours dans mon coeur aussi Nao-Nao. Tu y auras toujours ta place, avais-je dit avec un sourire radieux. Je vins même de lui parler de mon projet de venir au Japon. J’envisageais déjà ça de haut de mes huits. C’était déjà tout très clair dans ma p'tite tête. Devenir un adulte, déménager au Japon, puis habiter à côté de chez mon meilleur ami… non habiter avec mon meilleur ami même ! je secouai très fort la tête pour acquiescer à sa question. Ouiii je veux venir vivre avec toi, comme ça on sera ensemble pour toujours ! Je souris toujours en lui tendant mon petit doigt pour sceller notre promesse. Il tarda pas à lien son petit doigt au mien. Promis Nao-Nao, avais-je dit le plus sérieusement du monde. Parce que attention les promesses c’était du super sérieux. ca ne se brisait pas. Et moi je tenais toujours les miennes. Je t’aime Nao-Nao, avais-je dit innocemment. mais il fallait bien continuer notre petite fête. Parce qu’après tout, c’était la journée de Nao et pas la mienne ! Fallait pas être trop égoïste et attirer toute l’attention non plus. J’étais donc parti en expédition dans mon sac, non sans taquiner mon meilleur ami pour sa curiosité. je fini par sortir deux serres-tête avec des petites oreilles d’animaux, c’était trop mignon. je fis très attention en ettant les oreilles d’ourson sur la tête de Nao, alors que je mettais les miennes à l’arrache. Je souris parce que ça rendait Naoya super mignon. Je me tournais alors que Nao avait commencé à rigoler. Visiblement j’avais vraiment mis mes oreilles complètement de travers. Je ne pus m’empêcher de rire à l’unisson avec lui, il fallait dire que mon meilleur ami avait un rire communicatif. J’attendis comme il m’avait demandé pendant qu’il remettait mes oreilles d’aplomb. C’est vrai je suis mignon ? Meooooow, je fis semblant de miauler avant de me frotter le visage avec une main comme un chat l’aurait pu faire, avant de recommencer à rire de plus belle. Mais ce n’était pas encore fini ! Je sortis alors le clou du spectacle. Les cierges magiques. J’avais peiné pour en avoir mais j’avais quand même réussi. Je voulais faire un feu d’artifice pour Naoya, mais on m’avait fait vite comprendre que c’était pas vraiment possible. Mais c’était une petite version ça non ? mais le soucis c’était que je ne savais pas allumer le briquet, mes doigts étaient trop petits, pis en plus mes parents avaient dit que j’avais pas le droit de jouer avec le feu. mais Nao il était plus grand, peut-être qu’il savait faire… enfin s’il ne savait pas faire, ma surprise tombait à l’eau… enfin on allait devoir trouver des adultes. Mais tout fier il annonce qu’il savait faire, je le regardais avec des grands yeux impressionnés et admiratifs. Woooow, t’es trop cool Nao-Nao, j’ouvris grand la bouche et mes yeux brillaient. Y’avait pas à dire c’était vraiment un grand garçon lui. Alors quand il commença à essayer je le regardais faire tout en essayant d’apprendre comment faire en observant. Puis finalement après quelques tentatives il finit par avoir une flamme. je restai bouche béante pendant plusieurs secondes observant le feu qu’avait créé mon meilleur ami. Mais c’était un adulte Nao ! C’est toi le plus fort ! Je souris légèrement avant de dire. Si personne ne le sait, c’est pas une bêtise…. puis c’est pour la bonne cause. Un anniversaire c’est qu’une fois par an ! Et si mes parents ne savaient pas c’était pas une bêtise… et c’était pas comme si j’avais menti dans le fond…. donc c’était pas quelque chose de mal. Puis ce n'était pas pour moi, c’était pour aider Nao à se sentir mieux ! Je pris quatre cierges, deux dans chacune de mes mains et rapidement je les approchais de la flamme du briquet tour à tour. rapidement les étincelles apparurent. Je ne pus contenir un petit cri d’excitation en voyant ce spectacle. Regarde Nao, REGARDE ! Je tendis deux petits bâtons à mon meilleur ami afin que lui aussi profite. Puis en plus ça faisait des étincelles vachement super longtemps. Je mis les étincelles vers le bas pour pas que ça me tombe sur les mains, mais c’était trop beau. T’as vu on dirait une pluie d’étoiles Nao-Nao, c’est magique ! Je ne pouvais plus arrêté de sourire, surexcité et heureux de passer ce moment si simple rien qu’entre nous deux. c’était un moment à nous et rien qu’à nous. J'échangai un regard complice avec mon meilleur ami, je savais que je c’était les meilleurs moment de ma petite vie.
leave a light on
tooraya ♡
flashback || Mais si c’est vrai je te dis, avais-je dit en souriant doucement tout en regardant nos deux mains liées étroitement. Doigts entremêlés que rien ne semblait pouvoir séparer. Ben j’aurais pas besoin de me laver la bouche avec du savon, parce que Dieu il nous a que mentir ben c’était pas bien, je hochai la tête tout en disant ça. Ben ouais, j’avais travaillé très fort pour faire comme mes parents et mes parents avaient dit que mentir c’était pas bien du tout et que les menteurs ben ils allaient en Enfer. Alors il fallait faire ce que Dieu nous avait appris. Mais rapidement le sujet devint plus triste. Nao-Nao aborda mon départ. Oui, bien sûr que je ne voulais pas partir. Je n’avais que lui. Mais je ne voulais pas rendre Nao plus triste. Je voulais qu’il positive. Je voulais qu’il pense au moment où je reviendrai le voir. Les moments heureux, pas les moments tout tristes. Il ne comptait pas m’oublier et je ne comptais pas l’oublier non plus. Je sentis se resserrer sur la mienne. Je ne manquais pas de rougir légèrement quand il me dit qu’il me gardait toujours dans son coeur, même quand j’étais pas là. Tu es toujours dans mon coeur aussi Nao-Nao. Tu y auras toujours ta place, avais-je dit avec un sourire radieux. Je vins même de lui parler de mon projet de venir au Japon. J’envisageais déjà ça de haut de mes huits. C’était déjà tout très clair dans ma p'tite tête. Devenir un adulte, déménager au Japon, puis habiter à côté de chez mon meilleur ami… non habiter avec mon meilleur ami même ! je secouai très fort la tête pour acquiescer à sa question. Ouiii je veux venir vivre avec toi, comme ça on sera ensemble pour toujours ! Je souris toujours en lui tendant mon petit doigt pour sceller notre promesse. Il tarda pas à lien son petit doigt au mien. Promis Nao-Nao, avais-je dit le plus sérieusement du monde. Parce que attention les promesses c’était du super sérieux. ca ne se brisait pas. Et moi je tenais toujours les miennes. Je t’aime Nao-Nao, avais-je dit innocemment. mais il fallait bien continuer notre petite fête. Parce qu’après tout, c’était la journée de Nao et pas la mienne ! Fallait pas être trop égoïste et attirer toute l’attention non plus. J’étais donc parti en expédition dans mon sac, non sans taquiner mon meilleur ami pour sa curiosité. je fini par sortir deux serres-tête avec des petites oreilles d’animaux, c’était trop mignon. je fis très attention en ettant les oreilles d’ourson sur la tête de Nao, alors que je mettais les miennes à l’arrache. Je souris parce que ça rendait Naoya super mignon. Je me tournais alors que Nao avait commencé à rigoler. Visiblement j’avais vraiment mis mes oreilles complètement de travers. Je ne pus m’empêcher de rire à l’unisson avec lui, il fallait dire que mon meilleur ami avait un rire communicatif. J’attendis comme il m’avait demandé pendant qu’il remettait mes oreilles d’aplomb. C’est vrai je suis mignon ? Meooooow, je fis semblant de miauler avant de me frotter le visage avec une main comme un chat l’aurait pu faire, avant de recommencer à rire de plus belle. Mais ce n’était pas encore fini ! Je sortis alors le clou du spectacle. Les cierges magiques. J’avais peiné pour en avoir mais j’avais quand même réussi. Je voulais faire un feu d’artifice pour Naoya, mais on m’avait fait vite comprendre que c’était pas vraiment possible. Mais c’était une petite version ça non ? mais le soucis c’était que je ne savais pas allumer le briquet, mes doigts étaient trop petits, pis en plus mes parents avaient dit que j’avais pas le droit de jouer avec le feu. mais Nao il était plus grand, peut-être qu’il savait faire… enfin s’il ne savait pas faire, ma surprise tombait à l’eau… enfin on allait devoir trouver des adultes. Mais tout fier il annonce qu’il savait faire, je le regardais avec des grands yeux impressionnés et admiratifs. Woooow, t’es trop cool Nao-Nao, j’ouvris grand la bouche et mes yeux brillaient. Y’avait pas à dire c’était vraiment un grand garçon lui. Alors quand il commença à essayer je le regardais faire tout en essayant d’apprendre comment faire en observant. Puis finalement après quelques tentatives il finit par avoir une flamme. je restai bouche béante pendant plusieurs secondes observant le feu qu’avait créé mon meilleur ami. Mais c’était un adulte Nao ! C’est toi le plus fort ! Je souris légèrement avant de dire. Si personne ne le sait, c’est pas une bêtise…. puis c’est pour la bonne cause. Un anniversaire c’est qu’une fois par an ! Et si mes parents ne savaient pas c’était pas une bêtise… et c’était pas comme si j’avais menti dans le fond…. donc c’était pas quelque chose de mal. Puis ce n'était pas pour moi, c’était pour aider Nao à se sentir mieux ! Je pris quatre cierges, deux dans chacune de mes mains et rapidement je les approchais de la flamme du briquet tour à tour. rapidement les étincelles apparurent. Je ne pus contenir un petit cri d’excitation en voyant ce spectacle. Regarde Nao, REGARDE ! Je tendis deux petits bâtons à mon meilleur ami afin que lui aussi profite. Puis en plus ça faisait des étincelles vachement super longtemps. Je mis les étincelles vers le bas pour pas que ça me tombe sur les mains, mais c’était trop beau. T’as vu on dirait une pluie d’étoiles Nao-Nao, c’est magique ! Je ne pouvais plus arrêté de sourire, surexcité et heureux de passer ce moment si simple rien qu’entre nous deux. c’était un moment à nous et rien qu’à nous. J'échangai un regard complice avec mon meilleur ami, je savais que je c’était les meilleurs moment de ma petite vie. (c) DΛNDELION
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2