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[fb] leave a light on / ft. tooraya
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Lun 13 Aoû - 14:05 Citer EditerSupprimer
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flashback || tooru, tu ne l’oublieras jamais. c’est ton meilleur ami, il sera toujours dans ton coeur et tu t’empresses de lui dire, indiquant ta poitrine d’un geste du doigt. alors quand il te répond que c’est réciproque, tu souris doucement, quelque peu gêné, tu sens tes joues devenir un peu plus rouges. t’aimerais beaucoup qu’il vienne vivre ici… parce que tu sais déjà que tu auras du mal à supporter son départ, comme à chaque fois. il continue en te disant qu’il voulait vivre avec toi plus tard, tu souris plus franchement en y pensant. « anh oui ! on pourrait vivre tous les deux, on aurait une grande maison. » tu écartes les bras comme si ce simple geste pouvait l’aider à imaginer la grandeur de votre future maison. « et puis on pourra adopter un panda ! voire même deux… faudrait que je réfléchisse à des prénoms... » vous vous faites des projets comme ça mais clairement, tu veux que ça se produise. ça serait tellement parfait ! « t’imagines, on aurait même plus besoin de se quitter.. » il va falloir que vous preniez votre mal en patience maintenant, pas vrai ? et pour sceller tout ça, vous ne tardez pas à vous le promettre par le pouvoir des petits doigts. c’est aussi pour ça que tu retrouves une attitude plus sérieuse, parce que c’est très très sérieux ! on ne blague pas avec les promesses, jamais jamais jamais. tu serres très fort sa main dans la tienne. « moi aussi je t’aime. » c’est vraiment le meilleur tooru… non seulement il ne t’oublie pas mais en plus, il ne t’abandonnera jamais. tu le sais, il a promis et puis… tu peux compter sur lui, tu ne seras jamais réellement seul. mais très vite, vous revenez à vos occupations. il veut continuer la petite fête et toi aussi, vous n’êtes que deux mais ça te convient parfaitement ! c’est le meilleur anniversaire que tu as passé depuis que maman et papa sont plus avec toi… ton amour de meilleur ami commence par sortir d’autres petites choses, tes yeux se posent sur des oreilles trop mignonnes qu’il dépose rapidement sur ta tête. quand il fait de même pour lui avec son serre-tête chaton, tu ne peux t’empêcher de pouffer légèrement quand tu remarques qu’elles sont de travers. tu t’empresses même de les remettre correctement, et quand il imite le chat, ton sourire amusé s’agrandit. « t’es même le plus mignon des chats ! » et c’est rien de le dire ! après ça, tooru se met à sortir des cierges magiques, ouiiii des cierges magiques ! tes yeux s’écarquillent alors que tu tentes d’allumer le briquet, c’est pas très facile pour des petits doigts mais t’y arrives quand même. tu souris amusé lorsqu’il s’exclame que tu es trop cool, c’est lui le plus cool ! il a ramené tout ça rien que pour vous. cela dit… vous allez peut-être faire une bêtise non? tu tentes de te rassurer, en disant que c’est pas totalement une bêtise si ça reste entre vous, et tooru te rassure même en te disant que vous fêtez juste l’évènement.. c’est vrai quoi ! c’est ton anniversaire… « t’as raison ! faut fêter tout ça. » encore une fois, ce n’est pas tous les jours ton anniversaire quand même ! et très vite, tooru approche un des cierges de la flamme, tes yeux s’écarquillent de nouveau en voyant toutes ces étincelles. naaaaaan ! c’est trop trop bien ! « anh ! c’est trop bien tooru ! » et rapidement, tu te saisies des deux bâtons qu’il tend dans ta direction. à la réflexion de tooru, tu hoches vivement la tête. « mais oui ! juste dans nos mains, puis ça dure longtemps, c’est trop bien ! » répètes-tu. c’est vrai qu’il t’en faut peu, mais tu étais censé passer ton anniversaire seul, sans aucune joie et là… là tooru est avec toi, et puis vous avez des cierges magiques ! vous vous émerveillez devant pas grand chose, mais vous n’êtes encore que des enfants. tu attrapes les deux cierges dans ta main gauche avant de te lever du banc, admirant de nouveau toutes ces étincelles. tu es même attentif au bruit que ça produit. « dommage j’ai pas apporté mes gâteaux, on aurait pu les mettre dessus tu sais comme les gâteau d’anniversaire. » t’es tellement concentré à l’idée de les placer quelque part qu’un bâtonnet s’échappe de ta main. tenant la seconde dans ta deuxième main tu t’empresses de t’abaisser pour le ramasser, peut-être même un peu trop rapidement, parce qu'en te baissant maladroitement, le second vient se plaquer près de ton ventre. tu pousses un cri de douleur, ayant quand même le réflexe de tout lâcher avant de tapoter ton haut. « tooru ! » cries-tu presque alors que les deux cierges désormais au sol s’éteignent, tu continues de tapoter ton haut alors que les larmes te montent aux yeux. « j’-.. j’me suis fait mal. » ça pique trop ! tellement qu’une larme s’échappe de ton oeil. pourquoi la douleur s’arrête pas ? de nouveau, tu te frottes comme si ce geste pouvait faire passer la douleur. tu finis par baisser le regard vers ton vêtement. il est tout abîmé à certains endroits quand on tend l’œil.. mais c’est pas le plus important, t’as vraiment mal là... ça pique.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Mar 14 Aoû - 16:39 Citer EditerSupprimer
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flashback || OWI DEUX PANDAS ! M’étais-je exclamé tout excité à cette idée merveilleuse qu’il venait d’avoir. Mais voilà quoi, deux panda, c’était vraiment trop mignon ! Je veux qu’on en appelle un Tsuki, comme la lune. Et puis l’autre on pourrait l’appeler …. Hoshi ? Comme une étoile ? je le regardais, j’étais enjoué. J’avais complètement oublié tout le reste. A cet instant il n’y avait que Nao et moi. Et notre monde rempli de projets merveilleux et de promesses sincères. Plus je le regardais et plus je me sentais heureux. Je ne pensais plus à mon départ, à cette séparation déchirante et qui m’éloignerait loin de lui, encore une fois. Je pensais à tous projets qu’on avait ensemble. Tout ce que nous voulions accomplir tous les deux, ensembles. Et tout ce qu’on pourrait faire qu’on serait réunis pour toujours. J'acquiesçai doucement, j’imaginais très bien ce qu’il se passerait quand n’aurait plus jamais besoin de se quitter et cela me donnait un sourire jusqu’aux oreilles. On sera ensemble pour toujours Nao-Nao. C’est une promesse d’enfants, mais pour moi c’était sérieux. C’était ce que je voulais. Je voulais faire tout ce qui était en mon pouvoir pour rester aux côtés de Naoya. Puis, il fallait dire que pour moi c’était très sérieux. Parce qu’il était mon meilleur ami et probablement la personne la plus importante de mon petit monde. Alors quand sa main sert plus la mienne et qu’il me dit m’aimer aussi, le rouge ne tarda pas à monter à mes joues alors que mon coeur se serra fort dans ma poitrine. J’étais heureux. oui, j’étais très heureux à cette instant, je me sentais euphorique. Et je sentais que Nao aussi était très content. Il passait un bon moment ? C’était ça le but cherché après tout. Le voir si heureux dans des moments si difficiles pour lui, ça remplissait mon coeur de joie. Il était quand même très costaud Nao. Alors nous continuâmes notre petite “fête” rien que tous les deux. J’avouais que les oreilles d’animaux c’était une bonne idée. Nao était trop chou avec ses oreilles nounours. Et visiblement moi aussi, même si j’avais mis mes oreilles de chaton de travers. Et arriva le moment des cierges magiques. J’en avais pris discrètement et j’avais même pris un briquet. Mais en théorie, moi je n’avais pas vraiment le droit d’y toucher et…. de toutes façon je ne savais pas y faire donc voilà ! Mais Nao étant plus grand peut-être que lui pourrait. Et d’ailleurs il y était arrivé, et j’avouais que que l’avoir vu faire ça m’avait carrément impressionné. Certes, c’était probablement une bêtise. Mais il fallait bien fêter son anniversaire. Ce n’était qu’une seule fois par an après tout. Les cierges finalement allumés, nous pouvions enfin profiter du spectacle. C’était vraiment magique. Comme pleins d’étoiles qui tombaient de nos petites mains. Ca aurait fait des gâteaux aux étoiles, avais-je répondu avec un grand sourire niais. Tiens ça avait quel goût d’ailleurs une étoile ? Je me demandais bien. J’allais me retourner pour poser cette question vitale à mon meilleur ami quand je le vis se pencher.`Seulement il avait encore un cierge dans la main. J’ouvris grand la bouche. Mon sang ne fit qu’un tour dans ma tête. Je lâchai les deux bâtonnets par pur réflexe et sautai sur mes pieds, je voulais lui dire de faire attention, mais je n’eus même pas le temps de parler que c’était déjà fait. Quand il cria de douleur, c’est comme si tout s’était arrêté de tourner autour de moi. Je m’approchai rapidement de Nao. Et …. zut ! Il tapotait son haut fébrilement et moi j’étais en train de paniquer juste à côté. Il fallait appeler l’hôpital ? Les pompiers ? Mais on avait pas de téléphone ? Un pigeon voyageur ? Quelle idée stupide ! Je commençai à me sentir coupable d’avoir eu cette idée. C’était tout de ma faute. Mal. il s’était fait mal. Je me figeai alors que je cru apercevoir une larme au niveau de son oeil. Ce qui me brisa le coeur. Et toute ma panique fut balayée d’un coup pour être remplacée par une vague de culpabilité écrasante. Mes petites mains se posèrent de chaque côté du visage de mon meilleur ami, j’approchai mon visage. Respire Nao-Nao, respire, ma voix tremblante trahissait cependant largement mon inquiétude et le fait que moi même je risquais de me mettre à éclater en sanglots à tout instant. Je m’approchai et posai rapidement mes lèvres contre les siennes. C’est ce que ma maman fait quand j’ai bobo, je me consolai en l’embrassant encore une fois, je tentai de cacher ma panique, mais ça se voyait. Je finis me pencher et je regardais les vêtements de mon meilleur ami qui étaient visiblement abimés par ce qu’il venait de se passer. Doucement je vins soulever ces couches de vêtements pour voir son ventre. Et la vis. Cette petite plaie toute ronde vers son pantalon. Tu as une … marque toute rouge, j’étais presque sûr qu’un bisou magique n’aiderait pas pour le coup. Je me redrassais et vint attraper les mains du japonais. Je suis désolé Nao-Nao… c’est tout de ma faute, avais-je commencé les yeux plein de larmes que je n’arrivais plus à retenir. Il faut qu’on le dise aux adultes pas vrai ? J’allais le dire à mes parents aussi… et j’allais me faire disputer très fort et probablement pire encore. mais je m’en fichais, je ne voulais pas que Nao se fasse disputer lui. Mais je te défendrai Nao-Nao, je te le promets. Mes se ressérrèrent sur les siennes. Il fallait voir un adulte, parce que nous… on ne pouvait rien faire. Et le cacher impossible ? Nao avait trop mal pour ça. J’étais vraiment un meilleur ami tout pourri et c’était à cause de moi s’il avait mal.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Ven 17 Aoû - 19:15 Citer EditerSupprimer
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flashback || tu écarquilles les yeux quand il te propose deux prénoms. anh… mais c’est trop beau ! « ces prénoms sont parfaits ! » lâches-tu, enjoué comme jamais. après tout, t’es encore qu’un enfant, tu ne te rends pas forcément compte que tes projets seront peut-être difficile à réaliser. quand on est enfant, tout paraît tellement simple, tellement possible.. on a pas vraiment l’impression que la réalité peut nous rattraper un peu trop vite. regardez vous, vous avez le sourire jusqu’aux oreilles, les yeux qui pétillent d'impatience. il a raison, vous serez ensemble pour toujours, tu peux tout de même attendre quelques années pour pouvoir vivre cette vie qui fait gonfler ton coeur de bonheur, pas vrai ? pour preuve, tu viens même serrer davantage ta main dans la sienne, parce qu’au fond, tu aimerais que tout ça se réalise tout de suite, ça sera déchirant de le voir quitter ton pays, encore une fois. t’as pas envie qu’il te quitte, tooru, tu l’aimes beaucoup trop pour ça. mais bon.. ce n’est sans doute pas le moment pour penser à tout ça, c’est ton anniversaire, tooru y a pensé et il est venu vers toi pour t’offrir un bon anniversaire. vous n’avez pas fait grand chose et pourtant, tu te sens étrangement bien, sans doute parce qu’il est avec toi. mais pour fêter un peu plus tout ça, tooru sort des cierges magiques ainsi qu’un briquet, après plusieurs essais, tu parviens enfin à les allumer, tout fier de toi. c’est trop beau ! ça fait une pluie d’étoiles, vous êtes comme deux petits fous. émerveillés pour rien ? peut-être, mais tu t’en fiches. c’est trop bien ! t’es tellement content qu’il ait apporté ça. tout se passe que trop bien aujourd’hui pour toi, et c’est grâce à tooru tout ça… enfin, ça, c’est avant que ta maladresse frappe de nouveau. après avoir fait tomber l’un des deux cierges, tu t’abaisses pour le récupérer en vitesse -merci ton impatience, sans avoir conscience que le second que tu tiens toujours en main peut te blesser, parce qu’en t’abaissant, il est tout près de tout ventre. en sentant cette douleur, tu lâches tout, lâchant même un cri de douleur. tu as même ce réflexe d’appeler tooru. pourquoi ce réflexe ? tu n’en sais rien, sûrement parce qu’il est toujours là quand tu as bobo quelque part, après tout, tu avais bobo au coeur aujourd’hui, et il est venu pour toi. tu frottes ton ventre, comme si ce geste pouvait faire passer la douleur, les larmes te montent aux yeux mais la douleur se fait toujours présente. très vite, les mains de tooru viennent se poser de part et d’autre de ton visage, une expression déchirée sur le visage, tes yeux mouillés se plantant dans les siens, tu renifles même. t’as envie de chouiner, la honte, akiya il t’a dit qu’il fallait pas pleurer parce que c’était pour ça qu’on te frappait à l’école. tu peux pas chouiner, akiya va pas être fier de toi. mais avant que tu comprennes quoi que ce soit, tooru vient déposer un bisou sur tes lèvres. pendant un instant, une expression intrigué vient se mêler à ta tristesse. il en dépose même un deuxième alors que toi, tu es paralysé. il vient de te faire un bisou ? c’est pas les amoureux qui font ça normalement ? tooru pourrait être ton amoureux ça veut dire ? c’est peut-être pour ça que tu l’aimes beaucoup… mais ton frère te répète que c’est pas bien. c’est bizarre, vous êtes deux garçons, ça se fait pas.. c’est ce qu’il t’a dit. tu ne comprends pas pourquoi toi, pourquoi une fille aurait le droit d’aimer un garçon et un garçon aurait pas le droit d’aimer un garçon ? akiya n’a pas sû te donner une réponse qui tenait la route. mais c’est.. étrange, pourtant, pendant quelques secondes, ça te calme. ça t’empêche de verser quelques larmes. et puis, tooru vient soulever tes quelques couches de vêtements là où le vilain cierge magique t’avait fait du mal. dans un réflexe, tu baisses le visage mais tes vêtements t’empêchent de voir. il t’annonce alors que tu as une marque toute rouge, ça y est, tu paniques, tes yeux s’écarquillent de nouveau alors que tu soulèves davantage ton haut pour voir les dégats et… effectivement, t’es tout marqué. « anh.. mais... » tu ne retiens même plus tes larmes, elles coulent le long de tes joues parce que t’as vraiment très mal. ça pique, pour preuve, tu viens de nouveau poser ta main sur ta blessure. quand tooru prend la responsabilité de tout ça, voyant ses yeux pleins de larmes, tu secoues la tête. « non c’est moi… j’fais des bêtises… mon frère va pas être content... » tu t'assoie de nouveau sur le banc, la douleur ne passe pas, et tes larmes ne cessent de couler, pourtant, tooru vient attraper tes mains. « non faut pas dire ! » t’exclames-tu entre deux sanglots, non non non, tu sais que tooru va se faire engueuler et non ! c’est ta faute, t’as pas fait attention. « j’vais dire à mon frère, c’est tout. » tu baisses une nouvelle fois le regard avant de regarder de nouveau ton meilleur ami. « tu vas t’faire crier dessus sinon… j’veux pas.. mon frère il dira rien, s’il sait pas que j’ai pleuré. » tu viens essuyer les larmes sur tes joues d’un geste du poignet sans même détacher tes mains des siennes. ouais, tu sais que ton frère t’insultera s’il apprenait que tu as osé pleuré devant quelqu’un. parce qu’il veut que tu sois comme lui. « dis pas à ta maman, j’vais le dire à akiya, il va pas répéter. » t’as mal, t’as trop mal. alors dans un réflexe tu utilises votre étreinte pour l’approcher de toi. tu passes tes bras autour de sa taille, collant ton oreille contre son ventre dans un doux câlin. t’as besoin d’un câlin, t’as mal, tu veux pas avoir mal comme ça. « j’ai tout gâché la fête que t’as fait pour moi.. pardon.. pardon.. » t’es vraiment un boulet ! tout aurait pu bien se passer si t’avais fait attention.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Sam 18 Aoû - 19:45 Citer EditerSupprimer
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flashback || Nao-Nao venait de se brûler et la seule chose que je pensais c’était que tout était de ma faute. Et quoi qu’il en dise, j'avais cette idée en tête et rien me l'enlève. Parce que c’était moi qui avais voulu amener ses trucs avec lesquels je n’étais pas censé joué avec sans adultes. Si je n’avais pas fait cette bêtise à la base, ben rien ne serait arrivé à mon meilleur ami. Et ça je ne me le pardonnerai jamais. Je me sentais coupable. Il était devenu très dur pour moi de dissimuler le fait que mes yeux étaient en train de se remplir de larme. Surtout quand Nao-Nao finit par craquer et commença à pleurer à chaude larmes. Il pleurait et c’était ma faute. C’était moi qui l’avait fait pleurer. C’était tout de ma faute. Je n’étais pas un bon meilleur ami. Les mains les siennes, Nao continuait de m’affirmer que c’était de sa faute. Mais je savais dans le fond que c’était de la mienne. Et le voir pleurer, ça me crevait littéralement le coeur. Je sentais très bien dans mon mon petit torse que mon petit petit palpitant se serrait très fort. Il se tirait, se tordait et se déchirait en plusieurs morceaux même. Nao finit par s’asseoir sur le banc tout en parlant de son frère et qu’il serait pas content. Ce qui me fit lâcher une légère grimace. Il fallait quand même qu’on parle aux adultes non ? Parce que Nao c’était fait beaucoup bobo et qu’on était censé en parler aux adultes quand ça se passait comme ça non ? Les adultes ils allaient pouvoir réparer Nao-Nao, non ? Donc il fallait leur en parler ? Sinon, c’était mentir et c’était pas bien ? Puis je voulais qu’on répare Nao. Mais la réaction de mon meilleur ami fut très claire et très précise. Il s’exclama entre ses pleurs. Ce qui manqua pas de me faire sursauter. Il ne le fallait pas. Mais comment on va te réparer si on le dit pas aux adultes Nao ? Mais ça semblait évident pour Naoya, seul son grand frère Akiya devait savoir. Il devait être le seul à être au courant pour cette histoire. Akiya et seulement Akiya. Mais, on ne préparerait pas Nao ? Il allait garder cette marque… à vie ? A cette idée, mes larmes commencèrent à rouler le long de mes joues. Parce que c’était ma faute encore une fois. Mais... avais-je gémis tout base en tentant de cacher mes larmes en tournant mon visage. Dans le fond, il ne voulait pas que ma maman me crie dessus. Mais dans le fond elle aurait eu raison de le faire, parce que j’avais fait une grosse bêtise et que j’avais blessé mon meilleur ami. mais je me fichais d’être disputé, ou même de recevoir des coups, je voulais juste…. réparer Nao-Nao et le protéger. Moi je n’étais pas si important que ça. Mais il recommença à dire que son frère allait nous défendre. Et je n'aimais pas ça. je n’aimais pas l’idée de tout remettre à Akiya. Parce que… non je n’aimais pas Akiya. Je l’avais vu plusieurs fois agir. Akiya je ne l’aimais pas. Il était violent, il frappait gratuitement les gens les plus faibles. Je n’aimais vraiment pas le grand frère de Nao. Mais c’était son grand frère… enfin il n’avait même pas pensé à l'anniversaire de son petit frère aussi. Non Akiya n’était pas une bonne personne, alors ça ne me plaisait pas de lui dire tout ce qu’il s’était passé. On lui dira rien Nao-Nao. Alors je me contentais d’accepter la décision de mon meilleur ami. J’allais devoir faire confiance à Akiya, parce de Nao-Nao lui faisait confiance. Et que Nao-Nao était plus important que tout. Il essuya rapidement ses larmes rapidement alors que je le regardais, sans sangloter mais il était évident que mes larmes coulaient toujours sur mes joues, elles étaient juste silencieuse. Maintenant j’étais triste. Triste et frustré de cette situation, obligé de demander de l’aide à une mauvaise personne. Je ne le dirai pas, avais-je dit. Mais sans prévenir, il m’approcha de lui et passa ses bras autour de ma taille. Je restais figé une courte seconde avant de poser mes mains sur ses épaules et de baisser les yeux sur lui. Tu n’as rien gâché voyons. On a passé un super moment. On a bien mangé. On avait des oreilles de nanimaux, en disant cela j’avais remis ses oreilles de nounours en place. Puis on a promis d’habiter ensemble et d’adopter des pandas. C’est pas trop bien tout ça ? je souris innocemment. avant de glisser mes doigts dans sa chevelure brune, caressant doucement sa tête pour le rassurer. Puis tant que tu es avec moi, je suis heureux Nao. Mes larmes avaient finies par s’arrêter toutes seules sans vraiment que je ne m’en rendent compte. Peut-être était-ce parce que j’aimais bien sentir les bras de mon meilleur ami autour de moi. J’étais… plus apaisé. Tu veux que je te dise un secret Nao-Nao ? Je baissais les yeux vers le visage de mon meilleur ami, cherchant pendant quelques secondes à capter son regard. Je lui lançai un sourire tendre avant de dire. Tu vois ma maman elle m’a dit que c’était pas bien d’aimer un garçon si on était un garçon. Mais je trouve ça un peu bêta parce que Dieu il a dit d’aimer son prochain. Je hochai d’un air entendu. Je finis par ajouter rapidement avec un sourire tout heureux. Mais moi, je veux me marier avec toi plus tard. Parce que tu as une place comme ça dans mon cœur, avais-je dit en étira mes bras pour imager le propos. Après avoir dit ça, je reregardais Nao avec un sourire gêné et les joues légèrement rougies. Tu veux bien être mon n’amoureux Nao ?
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Dim 19 Aoû - 20:33 Citer EditerSupprimer
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flashback || non mais quel boulet ! tu pouvais pas faire attention un petit peu ? là, tu viens de te faire très mal. pourtant, t’es pas un bébé qui pleure pour rien, le docteur la dernière fois il t’a dit que t’étais même très courageux, parfois, tu ne ressens pas vraiment la douleur ou du moins, pas au même point que les autres. mais là, tu la sens beaucoup trop. cela dit, les paroles de ton meilleur ami te font rapidement réagir malgré ces larmes qui coulaient et cette douleur intense : il ne faut rien dire. tu n’as pas envie qu’il se fasse gronder, et ça sera forcément le cas ! non non non, et puis en plus c’est de ta faute. comment on va te réparer si on ne dit rien aux adultes ? tu baisses la tête, tes yeux mouillés, tu viens les essuyer d’un geste du poignet. « ça fait longtemps que je me répare tout seul tooru... » c’est triste mais c’est vrai, parce que des fois quand tu le dis à ton grand frère il crie, alors.. tu préfères rien dire. mais là, il va falloir que tu lui dises, parce que t’as beaucoup trop mal, faut juste pas qu’il sache que tu as pleuré, parce qu’il va encore plus crier. alors quand tooru t’annonce que vous n’allez rien dire, tu hoches la tête, gardant tes mains dans les siennes, tu viens même t’asseoir sur le banc derrière toi. et puis, tu viens te serrer contre lui, parce que t’as besoin de réconfort mais aussi parce qu’il pleure, et t’aimes pas toi quand tooru pleure. « pleure pas.. » t’as pas envie qu’il pleure… t’as vraiment tout gâché, tout ce qu’il avait fait pour toi, et tu lui confies, t’excusant à plusieurs reprises. ce à quoi ton ami réagit très vite, te reparlant de ces oreilles d’animaux, tu décolles quelque peu ton visage de son corps pour le regarder. oreilles qui doivent être totalement de travers mais tooru s’occupe de les remettre correctement. quand il se met à sourire, tu souris doucement. tes joues toujours mouillées, mais tes larmes ont cessé de couler. tu hoches même positivement la tête. « oui.. c’est vrai.. » il a raison tooru… tu n’as pas totalement gâché cette journée, vous vous êtes fait pas mal de promesses qui te tiennent à coeur. il vient alors passer ses doigts dans tes cheveux, geste qui te rassure davantage alors que tu acquiesces de nouveau d’un geste de la tête. « moi aussi j’suis heureux quand t’es là... » lui avoues-tu, le plus sincèrement du monde. s’il savait à quel point.. c’est peut-être même parfois trop, mais tu t’en moques. tu gardes tes bras autour de sa taille alors qu’il te dit vouloir te confier un secret, tu l’écoutes alors, trouvant le chemin de son regard. oui.. ton frère dit la même chose, il dit que c’est pas bien d’aimer un garçon quand on est un garçon. tu ne comprends toujours pas pourquoi, et apparemment, tooru non plus. pourquoi les adultes disent tous ça ? c’est des adultes, il faut les écouter. mais qu’est-ce qu’il y a de mal à ça ? quand tooru t’avoue vouloir se marier avec toi, tes yeux s’écarquillent. il.. il veut se marier avec toi ? comme de vrais amoureux ? il t’image même l’intensité de son amour avec ses bras, geste qui te fait sourire plus franchement, parce que ton petit coeur de gamin se gonfle aussitôt. et quand il te pose la fameuse question, tu sens tes joues rougir. il veut vraiment que tu sois son amoureux ? genre, vrai de vrai ? « tu.. tu veux que je sois ton amoureux ? » demandes-tu comme si tu avais besoin d’une confirmation alors que ton sourire s’élargit. « moi aussi j’veux me marier avec toi plus tard... » avoues-tu, sans doute maladroitement, tu sens de nouveau tes joues rougir. tes bras desserrent un peu leur emprise sans pour autant le lâcher, tu plantes ton regard dans le sien. « mais.. si on est des amoureux, ça veut dire je peux te refaire un bisou ? » parce que ça t’a plu. ton coeur s’est gonflé et pendant de longues secondes, tu avais moins mal. c’est bizarre, mais tu veux lui faire pleins de bisous toi, à tooru. timidement, tu te lèves, baissant le regard vers ton bobo. ça te lance, ça te pique encore, mais c’est étrange à avouer… tu te sens tout de même en sécurité. tu relèves le regard vers tooru avant d’approcher ton visage du sien. tu lui voles un baiser timide avant de baisser à nouveau les yeux, gêné. « mon frère m’a aussi dit que c’était pas bien.. mais il m’a pas dit pourquoi.. juste.. ça ne se faisait pas » mais pourquoi? tu viens attraper de nouveau une de ses mains, la serrant dans la tienne. « mais moi je m’en fiche tu sais, je veux juste être avec toi.. et qu’on ait notre famille, avec nos pandas. »
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Lun 20 Aoû - 15:22 Citer EditerSupprimer
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flashback || Ne pas pleurer ? C’était plus facile à dire qu’à faire. C’était plus fort que moi. Je savais que dans le fond si Nao avait bobo c’était uniquement de ma faute. Je savais que tout ce qui était arrivé c’était uniquement parce que je n’avais pas écouté à la base. Et Nao n’aurait pas eu à souffrir autant si j’avais été sage. C’était moi qui l’avait fait pleuré. C’était moi qui lui avait fait mal et ça. J’étais incapable de me le pardonner. Alors oui je pleurais. Silencieusement, sans sanglot. Mes larmes roulaient sur mes joues parce que je m’en voulais. Parce que je voulais réparer ce bobo que Nao-Nao avait, mais que ce n’était pas possible. Et qu’il allait peut-être gardé ce bobo à vie à cause de moi. Mais pourtant je ne voulais pas qu’il pense que c’était lui avait gâché la fête. Ce n’était en rien sa faute. Alors dans ses bras je commençai doucement à prouver que nous avions fait des trucs super aussi aujourd’hui. Que des choses positives qui étaient géniales aussi. Je me rendais compte aussi qu’à être dans ses bras, je me sentais bien. Je me sentais plus apaisé. Plus calme aussi. Mes larmes avaient fini de couler. Probablement à cause de cette étreinte qu’il me donnait. Probablement parce que j’aimais que Nao me câline. Probablement parce que je me rendais compte que malgré ma culpabilité, j’avais passé des moments extra avec nao et que sa simple présence suffisait pour me rendre heureux. Et lui aussi était heureux avec moi. Et ça compensait mon erreur, non ? Alors je décidais de lui dire un secret. Un secret très personnel. Parce que Nao-Nao était mon meilleur ami. Qu’il avait une place très important dans mon coeur et dans ma vie. Je voulais être toujours avec lui. Je voulais vivre avec lui et même qu’on allait adopter des panda, c’était lui qui l’avait dit. Mais je voulais aussi me marier avec lui pour qu’on soit vraiment ensemble pour toujours. Parce que ma maman et mon papa, ben ils avaient dit que quand on se mariait ben on devait passer toute sa vie la son épouse. mais ça ne marchait pas entre deux garçon parce que c’était pas bien. Mais moi, je voulais me marier avec Naoya. Parce que je vous passer toute ma vie avec lui et avoir des enfants avec lui. Alors avec les joues rouges, je lui posais la question. je lui demandais s’il voulait bien être mon amoureux à moi. Oui je veux que tu sois mon amoureux Nao-Nao, avais-je répété toujours en souriant innocemment. Alors qu’il me dit que lui aussi voulait se marier avec moi plus tard je ne pu m’empêcher de rougir encore plus. Ca voulait dire qu’on allait vraiment se marier tout les deux ? Alors que mes parents disaient que le mariage c’était que pour un monsieur et une mademoiselle ? Visiblement oui. Parce que cette loi était ridicule et que l’amour, ça restait de l’amour. Et que Nao je l’aimais vraiment beaucoup beaucoup beaucoup. A sa remarque, je souris et rajouta enjoué. Tu peux même me refaire tout plein de bisous sur la bouche. Alors qu’il se relevait, il me regarda et vint poser tout timidement un bisous sur mes lèvres. Ce qui était tellement craquant. Je rougis encore d’un cran, tellement qu’on aurait pu croire que j’avais pris un jour de soleil. Ben c’était notre premier bisous en temps que namoureux après tout. Et cette idée gonflait mon coeur, parce que j’étais trop content que Nao-Nao soit mon meilleur ami ET EN PLUS mon amoureux. Il était vraiment la personne la plus important de mon monde. Mais rapidement il ajouta que Akiya aussi avait dit que deux garçon amoureux c’était pas bien. Qu’il était bête Akiya quand même ! Alors… on a qu’à garder ça secret Nao-Nao. on a qu’à être des namoureux secrets. Et quand on sera grands, ben ils auront plus rien à nous dire et pi vala. Sa main vient à nouveau attraper la mienne. Je souris. Oui j’étais sur un petit nuage. Prêt à ne pas écouter tout ce que mes parents m’avaient dit, juste pour Naoya. Prêt à fuir loin de nos familles respectives pour vivre d’amour et d’eau fraîche. Moi aussi je veux juste être toi... Doucement je m’approchai de lui jusqu’à poser mon front contre le sien en souriant toujours doucement. Oui notre famille. Et puis on aura des enfants. Je veux avoir des enfants avec toi et puis des pandas, des chats et des chiens. Mais je veux surtout que tu sois heureux, avais-je dit avant de reposer ma bouche contre la sienne. Je m’éloignai doucement avant d’afficher mon plus grand sourire et de dire. Je te donnerai un bague Nao-Nao… comme ça on sera vraiment des namoureux en vrai. Je réfléchis quelques instants avant d’étouffer un petit cri après avoir eu une idée. Je me penchai et vin attraper un ruban qui était dans mon vêtement et le retirai d’un coup. Je me redressai et attrapai la main de Nao. Consciencieusement - et avec la langue tirée - j’enroulai le petit ruban bouge autour de son doigt sans trop le serrer avant de faire un noeud. Voilà une bague pour toi Nao-Nao ! je me penchai à nouveau et triai un autre ruban de mon pantalon. Je le tendis doucement vers mon amoureux, les joues toujours aussi rouge.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Mer 22 Aoû - 18:01 Citer EditerSupprimer
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flashback || tu es surpris, tu ne t’attendais pas à ce que tooru te propose d’être son amoureux. toi aussi tu l’aimes beaucoup beaucoup, beaucoup trop même, mais tu n’as encore jamais vu un de tes copains avoir un amoureux garçon. si ça te dérange ? pas le moins du monde, et pourtant, on arrête pas de te répéter que c’est mal. simplement.. tu ne comprends pas pourquoi. pourquoi tu pourrais avoir une amoureuse et pas un amoureux ? qu’est-ce qui change ? le principal dans tout ça, ce n’est pas l’amour ? évidemment que si, quand les gens sont amoureux c'est parce qu'ils s'aiment très fort, et toi tooru, tu l’aimes beaucoup fort, alors voilà, on s’en fiche du reste, pas vrai ? tu lui avoues même vouloir toi aussi te marier avec lui plus tard, cette pensée gonfle ton coeur, tellement que la douleur sur ton bas ventre en devient presque supportable. alors timidement, tu viens lui déposer un nouveau bisou sur les lèvres, parce que comme il vient de le dire, tu peux lui faire tout plein de bisous sur la bouche maintenant. vue que tooru est ton amoureux. quand il t’annonce que vous allez garder ça secret, tu hoches positivement la tête. votre secret d’amoureux, puisque les autres risquent de ne pas aimer, chose que tu ne comprends toujours pas mais tu t’en moques, t’as ton amoureux avec toi maintenant. pour preuve, tu viens même attraper sa main, lui avouant que tu voulais seulement être avec lui, et rien d’autre. le reste n’a pas d’importance, du moment que tooru est avec toi, alors tu souris tendrement lorsqu’il te répond qu’il souhaite lui aussi n’être qu’avec toi, tu sens même tes joues rougir un peu plus. tu baisses un court instant le regard alors qu’il approche son front du tien, ton sourire ne te quitte pas, et ses paroles ne t’aident en rien. des chats ? des chiens ? des.. enfants ? remarque qui te fait aussitôt réagir. « tu veux des enfants, c’est vrai ? » ton regard devient brillant alors que tu lui avoues: « moi j’en veux deux… parce que si on en a qu’un, il va s’ennuyer tout seul. » tu te souviens de l’époque où tu répétais à ta mère en vouloir onze, elle riait tendrement, te répétant que ça allait être compliqué. tu as bien fini par le remarquer en grandissant, un enfant ça doit être beaucoup de travail et de responsabilités quand même ! non deux, c’est bien. ou alors trois. il te vole un second baiser avant de te dire qu’il te donnera une bague. ah mais oui.. il vous faut une bague ! mais tu n’as pas le temps de lui répondre qu’il s’en occupe aussitôt, passant un ruban qui était sur son vêtement, autour de ton doigt, il est concentré sur sa tâche et toi, ça te fait sourire. vous avez carrément une bague d’amoureux ! quand il récupère un second ruban, tes yeux s’écarquillent. « oh attend ! je sais comment faire, j’ai vu dans les films. » à ces mots, tu retires ta veste -t’en oublie la froideur de cette journée, pour le coup, les frissons sur ton corps te la rappelle- tu viens la déposer au sol parce que voilà, tu veux pas te salir, maman elle te disait de pas le faire avant, et une fois chose faite tu viens te mettre à genoux sur ton vêtement au sol, retenant une légère grimace lorsque cette douleur à ton bas ventre resurgit. tu sais pas ce qu’ils disent vraiment les gens dans les films mais bon.. tu vas essayer de t’en sortir. tu tiens alors la main de tooru, affichant un tendre sourire. « est-ce que... tu veux te marier à moi plus tard ? et qu’on ait notre famille à nous ? » lui demandes-tu, un brin timide parce que tu ne sais pas si tu fais correctement les choses ou pas. mais tu finis par attacher le ruban autour du doigt de tooru, un tendre sourire sur les lèvres avant de reprendre dans un chuchotement « là faut m'faire un bisou j'crois. » c'est ce qu'ils font dans les films ! ça manque jamais.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Jeu 23 Aoû - 21:43 Citer EditerSupprimer
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flashback || Front conte front, je ne pouvais m’empêcher d’être vraiment trop heureux. Parce Nao-Nao a dit qu’on allait se marier ensemble plus tard. Parce que mêm qu’il avait accepté d’être mon amoureux en plus. Mais on allait garder ça pour nous, rien que nous. Même si tout le monde disait qu’être amoureux d’un garçon quand on était c’était pas bien du tout. Moi je me fichais de ce que les gens disaient, parce que Nao il me rendait tout heureux. Nao je voulais avaint tout qu’il puisse sourire tous les jours et ne jamais être triste, pleurer ou avoir bobo. Je voulais que personne ne lui fasse de mal. Je voulais juste le protéger de tout ça. Et le simple fait de le voir heureux suffisait pour que je sente que mon coeur soit tout gros dans ma poitrine. Il était la personne la plus importante de mon monde, mon seul et unique ami, le meilleur de tous les amis qui existait. Alors forcément quand il avait accepté, je m’étais senti si joyeux, je prévoyais déjà tout ce que nous allions faire. Tout ce que nous pourrions avoir dans notre belle maison. Plein d’animaux, nos pandas bien sûr et surtout des enfants, plein d’enfants. J’eus un grand sourire rayonnant quand il posa la question. Oui je veux des enfants, surtout avec toi. Je sais comment on fait des enfants, mais ma maman m’a dit qu’il fallait beaucoup d’amour. Et moi je t’aime vraiment beaucoup ! Mes yeux s'écarquillèrent alors que Nao-Nao avoua qu’il voulait en avoir deux enfants pour ne pas que le premier s’ennuie. On aura des jumeaux alors, avais-je conclu en lui posant un baiser sur le lèvres. Mais c’était qu’il fallait encore une bague dans tout ça. Puis je réalisais que je pouvais la fabriquer moi-même. Je vins retirer un ruban sur mon pantalon. Avec un soin énorme je vins enrouler le petit bout de tissus rouge autour du doigt avant de terminer par un noeud et voilà, ça c’était une vraie bague de n’amoureux ! Je vins attrapé le second ruban de mon pantalon avant de lui tendre timidement. Hein comment ça comme dans les films ? Alors qu’il retirait sa veste, je commençais doucement à paniquer. M-m-m-mais Nao-Nao attrape pas froid, avais-je répondu précipitamment. Quand il la posa sur le sol je me figeai, le regardant faire ce qu’il avait en tête. Alors qu’il pose son genou par terre, j’eus un hoquet de surprise et vint rapidement cacher mon visage dans ma main. Non parce que là, je rougissais vraiment beaucoup, j’avais toujours eu tendance à rougir très facilement de toute façon. Mon autre main dans la sienne, je baissais mon regard vers lui. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire tant il était mignon. Sa demande le fut encore plus. Oui Nao-Nao. Oui ! Avais-je dit en tentant de contenir tout mon émoi, mais clairement alors qu’il attachait le ruban autour de mon doigt je piétainais tout excité. C’était le plus beau jour de ma vie, j’en étais trop sûr. Je souris en regardant mon amoureux. C’était clairement lui le plus mieux bien. Mais quand il repris la parole, je réalisais que oui il fallait se faire un bisou pour ça soit genre super officiel ! Sans plus attendre je me laissais tomber sur mes genoux sur le sol. Je passai rapidement mes bras autour de Nao-Nao et je vins poser mes lèvres sur les siennes, beaucoup trop heureux. Je vins poser un second bisou et même un troisième. Je t’aime mon n’amoureux, avais-je dit tout bas en le serrant fort dans mes bras. Mais quelque secondes après je perdais légèrement l’équilibre, basculant sur le coté tout en entraînant Nao avec moi, terminant tous les deux sur le coté. je me mis à rire légèrement, parce que nous allions être tout sales en plus de ça. Je m’en fichais. La seule chose que je voyais c’était le visage de Nao-Nao. Je souris tendrement avant de dire d’un coup. Tu es le plus beau Nao-Nao. Je voulais rester allongé ici pour toujours à côté de lui, mais je savais bien que ça n’était pas possible, mes parents allaient s’inquiéter à force. Il va falloir rentrer hein ? Mais je veux pas rentrer, je veux reste avec toi moi, avais-je soufflé tout bas. Puis ça voulait dire que j’allais rentrer dans ma maison. Ou je ne serai pas avec lui ? Et puis moi je voulais dormir avec mon amoureux en plus ! Mais il fallait rien dire… quand même ça allait être très dur.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Lun 3 Sep - 23:46 Citer EditerSupprimer
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flashback || ton tendre sourire s’élargit face à la confirmation de tooru. il veut des enfants avec toi.. vrai de vrai ! c’est incroyable quand même… t’es assez jeune pour penser à tout ça, et tu n’y penses pas sérieusement encore mais une chose est sûre : tu veux des enfants plus tard, avec une belle maison, des pandas, et tooru avec toi, comme ça, il ne te quittera plus jamais. tes yeux brillent de bonheur à cette pensée, ton regard planté dans le sien. tu nages en plein bonheur, des rêves de gosses ? sûrement, mais ça fait frétiller ton petit coeur. tu étouffes un rire discret face à sa réflexion, acquiesçant d’un geste de la tête. « oui.. il faut beaucoup d’amour. » commences-tu, avant de reprendre: « moi je sais comment on fait les bébés, mais je suis pas sûr que deux hommes puissent.. il faut une femme, mais après, y’a toujours des autres méthodes ! je suis pas sûr de les connaître.. mais y’en a. et moi aussi je t’aime vraiment beaucoup… alors tout ira très bien. » dis-tu, alors que tes joues se mettent doucement à rougir. oui, toi tu sais comment on fait les bébés, et tu sais aussi que deux personnes du même sexe, c’est compliqué. compliqué oui, mais pas impossible. il conclut ce projet en te disant que vous auriez des jumeaux, déposant un baiser sur tes lèvres. tu souris à nouveau, hochant la tête. des jumeaux ! et puis deux pandas… c’est vraiment l’idéal. mais quand il commence à fabriquer des petites bagues fait maison, tu retires ta veste, tu veux faire ça bien et tu fais comme dans les films ! mais bon tu veux pas salir ton jeans… alors tu t’agenouilles devant lui, lui demandant sa main, t’essayes de faire ça correctement même si t’es pas sûr de toi, et que tooru s’inquiète et ne souhaite pas que tu prennes froid. un genou à terre.. le deuxième, faut mettre les deux ou pas ? bon t’en sais rien, dans le doute, tu préfères mettre les deux parce que voilà. tu viens te saisir de sa petite main alors qu’il dépose sa seconde sur son visage. geste qui te fait tendrement sourire. et quand il accepte enfin, tu viens faire un petit noeud autour de son doigt avant qu’il se laisse tomber à genoux devant toi, se trouvant désormais à ta hauteur. il passe ses bras autour de ton cou, ses paroles réchauffent ton coeur. tu viens même le serrer tout contre toi après le bisou qu’il vient de te donner. « moi aussi je t’aime ! et je veux que tu t’en rappelles à chaaaaque fois que tu regarderas ta bague. » bague qui n’en est pas vraiment une mais qu’importe ! ce n’est vraiment pas ça le plus important. mais après ça, tooru perd un peu son équilibre, t’entraînant dans sa petite chute, tu lâches même un léger rire parce que quand même, vous devez être bien ridicule là ! à rire comme deux petits enfants heureux. mais encore une fois, n’est-ce pas ça le plus important ? vous êtes bien là.. heureux, vous avez désormais des petits projets en plus ! non vraiment, tu peux pas rêver mieux. tu tournes ton visage pour regarder tooru, toujours ce même tendre sourire sur les lèvres alors qu’il reprend la parole, quelque chose qui te fait rougir et baisser le regard quelques secondes. « non c’est toi le plus beau... » chuchotes-tu. c’est vrai en plus.. c’est lui le plus beau ! pourtant, quand il reprend la parole, ton coeur se serre dans ta poitrine. tu sais qu’il a raison mais.. toi tu veux pas rentrer, tu veux rester ici, et ne plus jamais partir. « moi non plus je veux pas rentrer… et revoir akiya. » tu l’avoues même si c’est triste et horrible à dire, il t’a oublié, ça te fera mal au coeur de le voir agir comme si de rien était, jusqu’à ce qu’il s’en souvienne demain et te le rappelle comme si ce n’était pas important. « j’veux rester avec toi... » tu baisses le regard vers ton bas ventre, remontant quelque peu ton vêtement. tu as la peau si rouge, et si marqué.. la douleur est encore présente mais tu parviens à la balayer. c’est la douleur de ton petit coeur qui est plus importante, là. tu baisses le vêtement, recouvrant de nouveau ton corps avant de regarder tooru et de retrouver ton léger sourire. « merci tooru... » souffles-tu. « j’ai passé un bon anniversaire, grâce à toi. » comme quoi, tu n’avais besoin que de lui.
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Re: [fb] leave a light on / ft. tooraya | Jeu 6 Sep - 23:59 Citer EditerSupprimer
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flashback || Je le regardais avec des grands yeux. Wooow il était quand même trop cool Nao, il était assez grand pour savoir comment on faisait des bébés et comment ça fonctionnait. Moi ma maman elle a dit que j’étais pas assez grand pour savoir et elle a dit que j’avais le droit d’en savoir plus. Et que de toute façon c’était pas bien que Dieu serait pas content de moi si je cherchais à savoir le moment, que c’était des trucs de grandes personnes. Mais j’avais bien compris que c’était un truc dans le ventre, j’avais vu des photos de ma maman avec un ventre tout rond avant que je naisse. Peut-être que c’était une histoire d’avaler une pastèque entière… c’était quand même dur. Et si j’essayais d'avaler une pastèque j’aurais un bébé avec Nao-Nao ? Mais j’étais pas censé en avaler deux pour avoir des jumeaux ? Waaa, mais c’était compliqué quand même. J’eus pendant un instant envie de demander à Nao-Nao de lui demander de me dire comment ça marchait vraiment et si mon idée de pastèque était la bonne, mais je me rappelais que Dieu me surveillais alors je devais être sage.Mais visiblement c’était compliqué pour deux hommes d’avoir un bébé, c’était ce qu’il m’avait expliqué. je ne pu m’empêcher de rougir à mon tour quand il me dit que lui aussi m’aimait vraiment beaucoup et que tout irait bien. Et je faisais confiance à Nao-Nao. S’il me disait que tout irait bien alors, c’était comme ça que ça se passerait. Puis on avait promis d’être toujours ensemble, alors je savais que si j’étais avec Nao-Nao, alors je savais que je n’avais pas de soucis à me faire. je savais que ma vie à ses côtés serait la plus belle et la plus heureuse qui soit. Il nous fallait juste attendre, devenir adulte et partir tous les deux pour s’aimer et se donner l’un à l’autre cette vie qui faisait briller des étoiles dans les yeux. C’était si sérieux que mon amoureux avait même fait sa demande comme dans les films de n’amoureux…. et ça, ça voulait qu’on était des vrais n’amoureux maintenant. Forcément j’avais accepté avec un très grand sourire, je n’étais que joie et amour, tellement que je me laissais tomber sur mes genoux, le prenant dans mes bras, l’embrassant, lui déclarant une nouvelle fois mon amour pour lui, parce que je comptais bien lui répéter autant de fois qu’il le faudrait. Il me serra dans ses bras et à ses mots mon regard se porta sur le petit ruban rouge que j’avais à mon doigt. Je la garderai toujours avec moi alors, comme ça je la regarderai touuuuuuut le temps. Mais dans cet exercice je perdis mon équilibre et bascula sur le côté en entraînant mon meilleur ami qui était toujours dans mes bras. Même par terre je me mis à rire. j’aurais pu pleurer parce que j’allais être tout sale, mais le fait était que même la terre sur ma joue n’aurait pu briser ma bonne humeur. J’étais simplement heureux d’être avec mon amoureux, celui qui était le plus important de mon petit monde, celui à qui je voulais donner ma vie et être son mari plus tard. Pourtant à cet instant, la seule chose que je pouvais soir, c’était son visage. Qu’il était beau mon amoureux. C’était le plus dans mon coeur et aussi le plus beau du monde, surtout quand ses petites joues étaient toutes rouges. Mais lui affirmait que c’était moi le plus beau, ce qui me fit rougir à mon tour comme une tomate alors que mis mon visage entre mes mains, personne ne m’avait jamais dit ça. J’étais gentil, doux, mais pas le plus beau. Je finis quand même pas dégager mon visage pour à nouveau regarder Nao-Nao toujours en souriant. J’aimais juste beaucoup trop être là, avec lui. C’était comme ça d’être vraiment amoureux ? Quand on sentait son petit coeur tout léger quand on faisait des choses aussi simples avec son amoureux ? je n’y connaissais pas grand chose à l’amour, mais je savais que ce n’était pas le même amour que j’avais pour mes parents… ou pour Dieu. Nao, c’était différent. Plus fort ? Je n’aurais su le dire. mais c’était différent. Cet amour qui me rendait euphorique. pourtant malgré tout mon bonheur, la réalité revenait toujours. Et je savais que si je ne rentrais pas et si ma maman ne me trouvait pas chez la tata de Nao-Nao, elle me disputerait très fort et que je serai même peut-être puni pour avoir suivi Nao-Nao dans la nature parce que c’était dangereux. Pourtant aucun de nous deux ne semblait vraiment prêt à rentrer, ne voulant pas couper le moment. Mon regard se baissa automatiquement quand Nao regarda la rougeur qu’il avait à son ventre, je ressentais toujours cette culpabilité. Mais je la cachais au fond de moi, très profond dans mon coeur en me promettant à moi-même qu’un jour j’arriverai à réparer cette marque que Nao-Nao allait garder toute sa vie, que je trouverai un moyen. Je me jurais que réparer le mal que j’avais fait à mon amoureux. Silencieusement je souris quand il me remercia. Ses mots suffirent à me rendre heureux. Si tu es heureux, alors je le suis aussi. C’était toujours ce que j’avais voulu, le bonheur de mon amoureux, mon meilleur ami, mon futur mari, le voir sourire suffisait à mon simple bonheur, le reste m’importait peu. Le monde pouvait arrêter de tourner que je l’aurai oublié en un sourire de mon Nao-Nao. Doucement je vins me redresser, restant quand même assis, avant de regarder avant de dire simplement. Rentrons. Je glissais doucement ma main dans les cheveux bruns de mon amoureux pour lui caresser la tête. On rentre chez ta tata, on va dans ta chambre pour manger les mochis qu’il reste en se faisant encore plus de câlins, je souris innocemment. Je ne voulais pas parler d’Akiya, je ne voulais pas penser à son existence. Je voulais juste penser qu’il n’y aurait que Nao-Nao et moi et que lui ne viendrait pas. De toute façon, je reste avec toi… je resterai toujours avec toi Nao-Nao. Et je te protégerai de tout. Je lui tendis la main pour l’inviter à se redresser à son tour. Oui, je comptais bien le défendre, je l’avais défendu des autres enfants et je le défendrai même contre Akiya le vilain pas beau qu’il le fallait. Parce que personne n’avait le droit de blesser mon amoureux et de le rendre tout triste. C’était la seconde promesse que je me faisais: rendre Nao-Nao heureux pour toujours.
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