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The universe has moved for us [Tooraya]
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Dim 12 Aoû - 1:14 Citer EditerSupprimer
Que je lui rappelle un ami ? Bien sûr que c’était flatteur. En tout cas, je supposais que c’était un compliment. En tout cas dans ses yeux. Parce qu’il était sûr que dans cette situation Naoya ne voyait pas mes mauvais côtés, et bon sang ce que j’en avais. Juste mon instabilité émotionnelle était un véritable calvaire à vivre et ça avait tendance à faire fuir les gens. Bien qu’avec le temps, elle soit devenu carrément moins ingérable qu’à l’époque où je vivais dans la rue. A cette époque ça avait été vraiment pire que tout. Enfin pour autant je restais quand même pas du tout stable et clairement, ça m’attirait beaucoup d’emmerdes, et les moments où Bae-Bae et Junhee devaient me ramasser à la petite cuillère, on avait arrêté de les compter en fait, tant ils étaient nombreux. Et j’étais presque sûr que l’ami de Naoya, il était pas du tout comme. Et j’étais même sûr que si Nao voyait cette partie de moi, il finirait par fuir. Parce que c’était toujours ce que les gens faisaient quand il voyait cette partie de moi, non ? Pourtant j’étais curieux de savoir ce que ce fameux enfant avait de “commun” avec moi, pourquoi je lui faisais tant penser à son ami. Alors qu’il parlait je levais de temps en temps le regard vers lui, comme pour essayer de capter ses émotions, mais c’était peine perdu. Mais ce qu’il racontait…. oh il me trouvait doux ? Je baissais la tête à ce moment là, parce que je sentais que j’allais à nouveau rougir. Je rougissais trop facilement bon sang de bonsoir ! Je prends ça pour un compliment,a vais-je dit en continuant de m’affairer sur la peau de Naoya. Naturellement je lui demandais s’il avait encore contact avec cet ami d’enfance. Oh. Des années qu’il ne la pas vu. Je me souvenais alors de cet ami j’avais eu moi-même quand j’étais plus jeune. Au Japon aussi, mais je n’avais plus le moindre souvenir de lui, en tout cas pas des souvenirs clairs. Alors je n’avais jamais jamais souffert de cette absence. Pourtant je me sentais désolé pour Naoya. Pourquoi tu doutes ? Peut-être que tu le reverras. Tu sais la vie est parfois épatante, avais-je dit un sourire léger. Oui comme le fait que la vie m’avait toujours ramené Junhee vers moi. Trois ans loin de lui et pourtant la vie avait fait en sorte qu’il revienne dans mon quotidienne, pour le meilleur et le pire. Alors pourquoi pas avec Nao. Puis s’il est coréen, si ça se trouve tu l’as déjà croisé, sans t’en rendre compte ? Mais s’il est si important pour toi, cet ami, je pense que tu le retrouveras. Il y a certains liens qu’on ne peut pas briser avec le temps, alors que j’avais dit ça, j’avais senti le rouge me monter au niveau des joues et mon coeur se serrer dans ma cage thoracique. Peut-être parce que secrètement j’espérais encore retrouvé mon ami, mon seul ami dont je ne me souvenais plus. J’avais continué la conversation, parlant généralement de la mémoire, chose qui me faisait cruellement défaut. Mais visiblement, Nao disait que sa mémoire avait été affectée par cet incident. Dans le fond on se ressemblait un peu alors. Enfin en quelques sortes, vu que lui avait une très bonne mémoire, ce qui était loin d’être mon cas, vu que j’avais cette tendance à oublier tout ce que je faisais dans la minute qui suivait. Naturellement je lui dit que personnellement j’avais très peu souvenirs de mon enfance. Ouais… vraiment, avais-je dit avec un sourire presque triste. J’aurais aimé me rappeler des bonnes choses. Parce que j’avais des sensation agréables pendant mon enfance, surtout avec cet ami. J’aurais vraiment m’en souvenir, mais ça ne servait à rien de forcer, ça ne faisait que m’énerver. Mais… juste ça me rendait un peu triste dans le fond. Je voulais répondre mais je n’eus pas le temps de terminer qu’il se crispa légèrement. J’avais déjà retiré l’aiguille alors que j’avais perçu le début du spasme musculaire. Je relevai les yeux un peu paniqué. Ca va aller ? Avaoas-je dit avec une inquiétude qui devait un peu trop s’entendre dans ma voix. J’espérais que je lui avais pas fait mal s’en m’en rendre compte. Par réflexe, je m’étais arrêté un instant histoire qu’il puisse avoir un peu de répit. je revins sur le sujet. Ouais, je sais bien que… c’est bizarre, mais…. Je ne terminais pas vraiment ma phrase. J’avais ses quelques flashback des fois, une phrase, une voix, mais tout était incomplet. Et c’était probablement pire parce que j’étais encore plus égaré après ça. Je finis par sourire tristement en ajoutant. Je suppose que je suis un peu bizarre. Je souriais tristement tout en passant encore un peu de vaseline sur le tatouage. Je l’observais. C’est bientôt fini. On avait encore le temps, alors je décidai de ralentir encore un peu. J’avais envie de profiter un peu de sa présence. Je me redressai un peu, je reposais ma machine sur mon guéridon et m’étirais doucement la colonne vertébrale. Il fallait dire qu’être penché sur un bas ventre ça faisait mal au dos et surtout….. surtout quand c’était le bas ventre de Naoya, ça devenait dur de se concentrer, ÉTRANGEMENT. Au fait, la dernière fois tu m’as dit que tu étais au pays depuis peu, mais t’y es depuis combien de temps ? Tu es là pour le travail ? Je vins reprendre la machine pour continuer doucement mes traits.
The universe has moved for us.
#tooraya
Que je lui rappelle un ami ? Bien sûr que c’était flatteur. En tout cas, je supposais que c’était un compliment. En tout cas dans ses yeux. Parce qu’il était sûr que dans cette situation Naoya ne voyait pas mes mauvais côtés, et bon sang ce que j’en avais. Juste mon instabilité émotionnelle était un véritable calvaire à vivre et ça avait tendance à faire fuir les gens. Bien qu’avec le temps, elle soit devenu carrément moins ingérable qu’à l’époque où je vivais dans la rue. A cette époque ça avait été vraiment pire que tout. Enfin pour autant je restais quand même pas du tout stable et clairement, ça m’attirait beaucoup d’emmerdes, et les moments où Bae-Bae et Junhee devaient me ramasser à la petite cuillère, on avait arrêté de les compter en fait, tant ils étaient nombreux. Et j’étais presque sûr que l’ami de Naoya, il était pas du tout comme. Et j’étais même sûr que si Nao voyait cette partie de moi, il finirait par fuir. Parce que c’était toujours ce que les gens faisaient quand il voyait cette partie de moi, non ? Pourtant j’étais curieux de savoir ce que ce fameux enfant avait de “commun” avec moi, pourquoi je lui faisais tant penser à son ami. Alors qu’il parlait je levais de temps en temps le regard vers lui, comme pour essayer de capter ses émotions, mais c’était peine perdu. Mais ce qu’il racontait…. oh il me trouvait doux ? Je baissais la tête à ce moment là, parce que je sentais que j’allais à nouveau rougir. Je rougissais trop facilement bon sang de bonsoir ! Je prends ça pour un compliment,a vais-je dit en continuant de m’affairer sur la peau de Naoya. Naturellement je lui demandais s’il avait encore contact avec cet ami d’enfance. Oh. Des années qu’il ne la pas vu. Je me souvenais alors de cet ami j’avais eu moi-même quand j’étais plus jeune. Au Japon aussi, mais je n’avais plus le moindre souvenir de lui, en tout cas pas des souvenirs clairs. Alors je n’avais jamais jamais souffert de cette absence. Pourtant je me sentais désolé pour Naoya. Pourquoi tu doutes ? Peut-être que tu le reverras. Tu sais la vie est parfois épatante, avais-je dit un sourire léger. Oui comme le fait que la vie m’avait toujours ramené Junhee vers moi. Trois ans loin de lui et pourtant la vie avait fait en sorte qu’il revienne dans mon quotidienne, pour le meilleur et le pire. Alors pourquoi pas avec Nao. Puis s’il est coréen, si ça se trouve tu l’as déjà croisé, sans t’en rendre compte ? Mais s’il est si important pour toi, cet ami, je pense que tu le retrouveras. Il y a certains liens qu’on ne peut pas briser avec le temps, alors que j’avais dit ça, j’avais senti le rouge me monter au niveau des joues et mon coeur se serrer dans ma cage thoracique. Peut-être parce que secrètement j’espérais encore retrouvé mon ami, mon seul ami dont je ne me souvenais plus. J’avais continué la conversation, parlant généralement de la mémoire, chose qui me faisait cruellement défaut. Mais visiblement, Nao disait que sa mémoire avait été affectée par cet incident. Dans le fond on se ressemblait un peu alors. Enfin en quelques sortes, vu que lui avait une très bonne mémoire, ce qui était loin d’être mon cas, vu que j’avais cette tendance à oublier tout ce que je faisais dans la minute qui suivait. Naturellement je lui dit que personnellement j’avais très peu souvenirs de mon enfance. Ouais… vraiment, avais-je dit avec un sourire presque triste. J’aurais aimé me rappeler des bonnes choses. Parce que j’avais des sensation agréables pendant mon enfance, surtout avec cet ami. J’aurais vraiment m’en souvenir, mais ça ne servait à rien de forcer, ça ne faisait que m’énerver. Mais… juste ça me rendait un peu triste dans le fond. Je voulais répondre mais je n’eus pas le temps de terminer qu’il se crispa légèrement. J’avais déjà retiré l’aiguille alors que j’avais perçu le début du spasme musculaire. Je relevai les yeux un peu paniqué. Ca va aller ? Avaoas-je dit avec une inquiétude qui devait un peu trop s’entendre dans ma voix. J’espérais que je lui avais pas fait mal s’en m’en rendre compte. Par réflexe, je m’étais arrêté un instant histoire qu’il puisse avoir un peu de répit. je revins sur le sujet. Ouais, je sais bien que… c’est bizarre, mais…. Je ne terminais pas vraiment ma phrase. J’avais ses quelques flashback des fois, une phrase, une voix, mais tout était incomplet. Et c’était probablement pire parce que j’étais encore plus égaré après ça. Je finis par sourire tristement en ajoutant. Je suppose que je suis un peu bizarre. Je souriais tristement tout en passant encore un peu de vaseline sur le tatouage. Je l’observais. C’est bientôt fini. On avait encore le temps, alors je décidai de ralentir encore un peu. J’avais envie de profiter un peu de sa présence. Je me redressai un peu, je reposais ma machine sur mon guéridon et m’étirais doucement la colonne vertébrale. Il fallait dire qu’être penché sur un bas ventre ça faisait mal au dos et surtout….. surtout quand c’était le bas ventre de Naoya, ça devenait dur de se concentrer, ÉTRANGEMENT. Au fait, la dernière fois tu m’as dit que tu étais au pays depuis peu, mais t’y es depuis combien de temps ? Tu es là pour le travail ? Je vins reprendre la machine pour continuer doucement mes traits.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Mar 14 Aoû - 17:54 Citer EditerSupprimer
il te manque tooru. c’est étrange de t’imaginer à quel point il te manque alors que la moitié de tes souvenirs avec lui sont flous à cause de ce léger traumatisme. tu te souviens parfaitement de lui, de la personne qu’il était, son visage aussi… d’à quel point tu tenais à lui. une personne qui t’a cruellement marqué, au point que même ce traumatisme crânien n’a pu l’effacer de ta mémoire. tu ne vas pas te plaindre, tu aurais pu oublier ton propre prénom lors de ton accident mais ça n’a pas été le cas, cela dit, que tes souvenirs soient parfois si flous t’embête un peu. et pourtant, oui, tsuki te fait penser à lui pour beaucoup de choses. c’est étrange comme sensation, mais ça explique aussi et surtout pourquoi tu te sens si à l’aise avec lui. alors quand il te dit prendre ça comme un compliment, tu hoches doucement la tête. « c’en est un. » dis-tu, le plus sincèrement du monde. parce que tu n’as pas tout oublié non plus, et tu te souviens qu’à l’époque, tu n’avais que son nom à la bouche. tu parlais de lui à tout le monde, à tous tes copains de l’époque. ouais, il t’a profondément marqué… d’ailleurs, la question te tsuki te serre le coeur. peux-tu réellement le revoir un jour ? tu en doutes, et tu en fais part à tsuki qui réagit aussitôt en t’apportant un peu de positivité, et toi, tu souris tendrement. ça te fait.. bizarre, habituellement, c’est toujours toi le plus positif, toi qui ne baisse jamais les bras et garde toujours espoir, et voilà qu’au moment où tu flanches, tsuki te remet sur le droit chemin. « t’as raison… ne jamais dire jamais. » tu marques une légère pause avant de reprendre « des fois je me demande s’il se souvient encore de moi.. je sais que j’ai une mémoire en béton, et que je suis sensible au moindre souvenir, ce n’est peut-être pas le cas de tout le monde... ou de lui. » tu baisses de nouveau les yeux vers tsuki lorsqu’il reprend la parole. hm.. ça se tient, c’est vrai que tu es dans le même pays que lui maintenant, mais est-ce que tu l’aurais reconnu si tu l’avais croisé dans la rue ? tout dépend s’il a vraiment changé ou non. après ça, le tatoueur t’avoue même ne pas avoir de réels souvenirs de son enfance, ça t’étonne un peu même si encore une fois, tu connais ta mémoire presque infaillible (merci ton traumatisme crânien qui t’empêche de te souvenir de certaines choses s’étant déroulées à cette époque de ta vie), tu sais que ce n’est pas le cas de tout le monde. et ça te fascine de voir cette différence chez les gens. pour preuve : tsuki. lui qui ne se souvient apparemment de pas grand chose. tu n’as même pas le temps de reprendre la parole que ton corps agit à ta place, se crispant, te coupant aussi dans votre conversation. avec tout ça, tu en avais presque oublié la douleur… mais ton corps vient de te le rappeler, à la question du tatoueur, tu hoches positivement la tête. « oui ça va aller, t’en fais pas. » la douleur est vraiment supportable.. peut-être même un peu trop ? tu te connais pas très sensible à la douleur, mais tu sais aussi que tsuki fait son maximum pour ne pas te faire du mal et tu penses qu’il en est pour beaucoup. après ça, il prend une petite pause, reprenant la conversation. tu fronces quelque peu les sourcils en entendant ses paroles avant d’afficher une mine presque triste en voyant ce sourire qu’il aborde. tu peux imaginer à quel point c’est triste de ne pas se souvenir de son enfance… déjà que tu as de la peine d’avoir oublié certaines petites choses, alors toute son enfance, ça doit réellement faire quelque chose. « mais non, tu n’es pas bizarre. ça arrive, tu sais. » tu hausses doucement les épaules, plantant ton regard dans le sien. tu souris doucement, dans l’espoir de lui transmettre ton sourire. « certaines personnes se rappellent de tout dans les moindres détails… et d’autres, de rien du tout. on est tous différents, ça ne fait pas de toi quelqu’un de bizarre. » tu n’as pas envie qu’il pense comme ça… lorsqu’il t’annonce que c’est bientôt fini, tu baisses légèrement les yeux vers ses mains et ce qu’il est en train de faire. déjà.. ? mais après s’être étiré, tsuki te pose une seconde question. c’est vrai.. vous avez parlé de pas mal de choses, mais pas de ça. « j’suis ici depuis sept.. huit mois, je dirais. » commences-tu avant de reprendre. « j’ai suivi mon frère ici, il voulait venir vivre en corée avec sa copine depuis pas mal de temps. » c’est étrange dit comme ça, t’as quand même vingt-cinq ans, t’es pas obligé de suivre ton frère partout, mais c’était bien plus fort que toi. « je n’ai plus que lui, il est ma seule famille… j’me voyais pas dans un autre pays que le sien. » et ça te tord le coeur de l’avouer, parce que vous êtes en froid, votre relation se casse la gueule et tu doutes qu’elle puisse réellement être réparer. tu l’aimes autant que tu le détestes, mais depuis des années, tu restes accroché à lui. c’était vous deux contre le monde, et depuis la mort de tes parents, tu as cette douloureuse impression de devoir te battre contre lui. « et puis j’avais besoin de changement je suppose… j’ai pas mal d’amis qui habitent ici. » tous tes amis d’enfance, narae, et évidemment tooru même si tu n’as plus aucun contact avec lui. et puis de toute façon, tu n’avais plus vraiment d’amis au japon, tu n’étais que le frère de akiya le grand méchant loup, alors ça t’importait peu. « mon instinct m’a dit de le suivre, alors je l’ai écouté. » tu lui en dis un peu plus sur toi, en lui avouant que tu suis toujours ton instinct. jusqu’à preuve du contraire, il ne t’a jamais trahi. ta mère te disait souvent que tu avais un don, ou tu ne sais quoi.. tu n’irais pas jusque là, mais il est vrai que tu écoutes souvent tes ressentis et pressentiments. et bizarrement, cette rencontre avec ton double te pousse à croire que tu es venu ici pour une raison, mais ça, tu n’y penses pas. tu remues beaucoup trop cette histoire dans ton crâne en ce moment, tu n’as pas envie de te refaire du souci.. ne serait-ce qu’aujourd’hui. demain est un autre jour.
The universe has moved for us.
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il te manque tooru. c’est étrange de t’imaginer à quel point il te manque alors que la moitié de tes souvenirs avec lui sont flous à cause de ce léger traumatisme. tu te souviens parfaitement de lui, de la personne qu’il était, son visage aussi… d’à quel point tu tenais à lui. une personne qui t’a cruellement marqué, au point que même ce traumatisme crânien n’a pu l’effacer de ta mémoire. tu ne vas pas te plaindre, tu aurais pu oublier ton propre prénom lors de ton accident mais ça n’a pas été le cas, cela dit, que tes souvenirs soient parfois si flous t’embête un peu. et pourtant, oui, tsuki te fait penser à lui pour beaucoup de choses. c’est étrange comme sensation, mais ça explique aussi et surtout pourquoi tu te sens si à l’aise avec lui. alors quand il te dit prendre ça comme un compliment, tu hoches doucement la tête. « c’en est un. » dis-tu, le plus sincèrement du monde. parce que tu n’as pas tout oublié non plus, et tu te souviens qu’à l’époque, tu n’avais que son nom à la bouche. tu parlais de lui à tout le monde, à tous tes copains de l’époque. ouais, il t’a profondément marqué… d’ailleurs, la question te tsuki te serre le coeur. peux-tu réellement le revoir un jour ? tu en doutes, et tu en fais part à tsuki qui réagit aussitôt en t’apportant un peu de positivité, et toi, tu souris tendrement. ça te fait.. bizarre, habituellement, c’est toujours toi le plus positif, toi qui ne baisse jamais les bras et garde toujours espoir, et voilà qu’au moment où tu flanches, tsuki te remet sur le droit chemin. « t’as raison… ne jamais dire jamais. » tu marques une légère pause avant de reprendre « des fois je me demande s’il se souvient encore de moi.. je sais que j’ai une mémoire en béton, et que je suis sensible au moindre souvenir, ce n’est peut-être pas le cas de tout le monde... ou de lui. » tu baisses de nouveau les yeux vers tsuki lorsqu’il reprend la parole. hm.. ça se tient, c’est vrai que tu es dans le même pays que lui maintenant, mais est-ce que tu l’aurais reconnu si tu l’avais croisé dans la rue ? tout dépend s’il a vraiment changé ou non. après ça, le tatoueur t’avoue même ne pas avoir de réels souvenirs de son enfance, ça t’étonne un peu même si encore une fois, tu connais ta mémoire presque infaillible (merci ton traumatisme crânien qui t’empêche de te souvenir de certaines choses s’étant déroulées à cette époque de ta vie), tu sais que ce n’est pas le cas de tout le monde. et ça te fascine de voir cette différence chez les gens. pour preuve : tsuki. lui qui ne se souvient apparemment de pas grand chose. tu n’as même pas le temps de reprendre la parole que ton corps agit à ta place, se crispant, te coupant aussi dans votre conversation. avec tout ça, tu en avais presque oublié la douleur… mais ton corps vient de te le rappeler, à la question du tatoueur, tu hoches positivement la tête. « oui ça va aller, t’en fais pas. » la douleur est vraiment supportable.. peut-être même un peu trop ? tu te connais pas très sensible à la douleur, mais tu sais aussi que tsuki fait son maximum pour ne pas te faire du mal et tu penses qu’il en est pour beaucoup. après ça, il prend une petite pause, reprenant la conversation. tu fronces quelque peu les sourcils en entendant ses paroles avant d’afficher une mine presque triste en voyant ce sourire qu’il aborde. tu peux imaginer à quel point c’est triste de ne pas se souvenir de son enfance… déjà que tu as de la peine d’avoir oublié certaines petites choses, alors toute son enfance, ça doit réellement faire quelque chose. « mais non, tu n’es pas bizarre. ça arrive, tu sais. » tu hausses doucement les épaules, plantant ton regard dans le sien. tu souris doucement, dans l’espoir de lui transmettre ton sourire. « certaines personnes se rappellent de tout dans les moindres détails… et d’autres, de rien du tout. on est tous différents, ça ne fait pas de toi quelqu’un de bizarre. » tu n’as pas envie qu’il pense comme ça… lorsqu’il t’annonce que c’est bientôt fini, tu baisses légèrement les yeux vers ses mains et ce qu’il est en train de faire. déjà.. ? mais après s’être étiré, tsuki te pose une seconde question. c’est vrai.. vous avez parlé de pas mal de choses, mais pas de ça. « j’suis ici depuis sept.. huit mois, je dirais. » commences-tu avant de reprendre. « j’ai suivi mon frère ici, il voulait venir vivre en corée avec sa copine depuis pas mal de temps. » c’est étrange dit comme ça, t’as quand même vingt-cinq ans, t’es pas obligé de suivre ton frère partout, mais c’était bien plus fort que toi. « je n’ai plus que lui, il est ma seule famille… j’me voyais pas dans un autre pays que le sien. » et ça te tord le coeur de l’avouer, parce que vous êtes en froid, votre relation se casse la gueule et tu doutes qu’elle puisse réellement être réparer. tu l’aimes autant que tu le détestes, mais depuis des années, tu restes accroché à lui. c’était vous deux contre le monde, et depuis la mort de tes parents, tu as cette douloureuse impression de devoir te battre contre lui. « et puis j’avais besoin de changement je suppose… j’ai pas mal d’amis qui habitent ici. » tous tes amis d’enfance, narae, et évidemment tooru même si tu n’as plus aucun contact avec lui. et puis de toute façon, tu n’avais plus vraiment d’amis au japon, tu n’étais que le frère de akiya le grand méchant loup, alors ça t’importait peu. « mon instinct m’a dit de le suivre, alors je l’ai écouté. » tu lui en dis un peu plus sur toi, en lui avouant que tu suis toujours ton instinct. jusqu’à preuve du contraire, il ne t’a jamais trahi. ta mère te disait souvent que tu avais un don, ou tu ne sais quoi.. tu n’irais pas jusque là, mais il est vrai que tu écoutes souvent tes ressentis et pressentiments. et bizarrement, cette rencontre avec ton double te pousse à croire que tu es venu ici pour une raison, mais ça, tu n’y penses pas. tu remues beaucoup trop cette histoire dans ton crâne en ce moment, tu n’as pas envie de te refaire du souci.. ne serait-ce qu’aujourd’hui. demain est un autre jour.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Mar 14 Aoû - 22:07 Citer EditerSupprimer
En tout cas ce petit garçon avait vraiment l’air très important pour Naoya. Il est clair qu’il tenait beaucoup à lui. Je voulais qu’il ait un peu d’espoir. Moi-même je savais que certains liens étaient plus fort que tout et ne pouvaient être brisés et ce même avec le temps et la distance. J’en avais fait l’expérimentation avec Junhee, deux fois même. Car c’était deux fois que la vie nous avait séparées et deux fois fois qu’elle nous avait ramené ensemble. Il fallait croire que tout me ramenait toujours à cette tête de mule. Et bien sûr quand Nao parlait de son ami, je ne pouvais m’empêcher de penser à cet ami que j’avais eu moi-même en étant plus jeune. Dans le fond j’aurais aimé le revoir, me rappeler de lui. Ne serait-ce qu’avoir une vague idée de son visage ou juste me souvenir de son prénom. Pourtant rien. Que ces impressions, ces quelques flashback qui réapparaissaient de manière erratique. J’aurais aimé être aussi positif avec moi-même en me disant que la roue pouvait tourner, mais entre ma mémoire et le fait qu'il devait probablement avoir fait sa vie au Japon… Non rien ne jouait en ma faveur. j’aurais pu appeler mes parents, mais je n’avais pas envie…. et mieux encore j’étais presque sûr qu’ils allaient probablement me raccrochés en au nez. Après tout j’avais cessé d'exister pour eux. Mais alors je me contentais d’encourager Nao, pour que lui ne perde pas espoir. C’était quand même un discussion bien nostalgique, bien qu’elle fut coupée par le sursaut de douleur du japonais. Inquiet je lui demandais si ça allait aller. J’en profitais pour poser ma machine à tatouage tout en continuant à discutant. même s’il me disais que ça irait, je préférais faire une micropause, comme ça j’en profitais pour masser plus longuement la peau de mon ainé … et surtout ça me permettait de parler un peu plus avec lui. Tout bénéf non ? J’étais revenu sur mon propre cas, sans pour autant m’empêcher dessus, je ne voulais pas trop en dire sur moi et ma vie toute déglinguée. J’étais juste bizarre et dans ce genre de situation, ça me rendait triste, nostalgique. Car je savais que cette période de ma vie était agréable. Je le sentais dans mon coeur. Je le savais que c’était important. Tu crois que je ne suis pas trop bizarre ? Je croisais son regard alors que je vis son sourire, sans vraiment savoir l'interpréter. Mais ce qu’il me dit juste après me rassura grandement. Je souriais doucement à sa phrase sans pour autant y répondre. C’était quand même un gars bien Nao. J’avais l’impression qu’il voulait me rassurer… enfin c’était ce que je pensais. Je profitais de cette pause afin d’étirer un peu mon dos. Il fallait dire que la position que j’avais pris n’était pas super confort pour ma colonne, mais le plus important c’était que le client soit à l’aise avant tout. Je repris naturellement la conversation, posant d’autres questions avant de reprendre mon oeuvre, notamment son arrivée en Corée. Vu qu’il m’avait être pas ici depuis longtemps quand on s’était rencontré pour la première fois. Alors qu’il me confia qu’il avait surtout suivi son frère, j'acquiesçai en écoutant. Ca peut se comprendre, la famille c’est important. c’était moi qui disait ça alors que mes parents m’avaient foutu à la rue ? Oui, bien sûr je ne pensais pas vraiment à eux à cet instant, mais à cette famille que j’avais trouvé bien après cet événement, notamment par avec Bae, aujourd’hui je la considérais comme ma seule et unique famille. Cart Junhee… je ne pouvais pas vraiment le considérer comme tel. Alors oui, je savais que la famille était important. Quand il ajoutait qu’il avait écouté son instinct je levais les yeux vers lui. Ton instinct ? Avais-je répété en croisant son regardant quelques instants. Peut-être que les gens devraient faire plus comme toi et faire confiance à leurs tripes. Je l’avais affirmé en acquiesçant, probablement moi le premier. Parce que souvent ce que je trouvais, c’était les emmerdes à la pelle. Alors si je faisais plus comme est-ce que j’aurais pu éviter un peu plus les emmerdes. Je n’en savais trop rien, mais ça valait le coup d’essayer, non ? Et c’est ton instinct qui t’a conduit jusqu’ici ? Avais-je dit avec un petit sourire en coin. J’arrêtais la machine, je passais un comme de papier absorbant avant de regarder le résultat. Je pense qu’on en a terminé Nao. Tu veux voir le résultat ? Avais-je dit avec un sourire pas peu fier de moi. Ce n’était pas ma pièce la plus impressionnante, mais je l’aimais beaucoup ce petit panda.
The universe has moved for us.
#tooraya
En tout cas ce petit garçon avait vraiment l’air très important pour Naoya. Il est clair qu’il tenait beaucoup à lui. Je voulais qu’il ait un peu d’espoir. Moi-même je savais que certains liens étaient plus fort que tout et ne pouvaient être brisés et ce même avec le temps et la distance. J’en avais fait l’expérimentation avec Junhee, deux fois même. Car c’était deux fois que la vie nous avait séparées et deux fois fois qu’elle nous avait ramené ensemble. Il fallait croire que tout me ramenait toujours à cette tête de mule. Et bien sûr quand Nao parlait de son ami, je ne pouvais m’empêcher de penser à cet ami que j’avais eu moi-même en étant plus jeune. Dans le fond j’aurais aimé le revoir, me rappeler de lui. Ne serait-ce qu’avoir une vague idée de son visage ou juste me souvenir de son prénom. Pourtant rien. Que ces impressions, ces quelques flashback qui réapparaissaient de manière erratique. J’aurais aimé être aussi positif avec moi-même en me disant que la roue pouvait tourner, mais entre ma mémoire et le fait qu'il devait probablement avoir fait sa vie au Japon… Non rien ne jouait en ma faveur. j’aurais pu appeler mes parents, mais je n’avais pas envie…. et mieux encore j’étais presque sûr qu’ils allaient probablement me raccrochés en au nez. Après tout j’avais cessé d'exister pour eux. Mais alors je me contentais d’encourager Nao, pour que lui ne perde pas espoir. C’était quand même un discussion bien nostalgique, bien qu’elle fut coupée par le sursaut de douleur du japonais. Inquiet je lui demandais si ça allait aller. J’en profitais pour poser ma machine à tatouage tout en continuant à discutant. même s’il me disais que ça irait, je préférais faire une micropause, comme ça j’en profitais pour masser plus longuement la peau de mon ainé … et surtout ça me permettait de parler un peu plus avec lui. Tout bénéf non ? J’étais revenu sur mon propre cas, sans pour autant m’empêcher dessus, je ne voulais pas trop en dire sur moi et ma vie toute déglinguée. J’étais juste bizarre et dans ce genre de situation, ça me rendait triste, nostalgique. Car je savais que cette période de ma vie était agréable. Je le sentais dans mon coeur. Je le savais que c’était important. Tu crois que je ne suis pas trop bizarre ? Je croisais son regard alors que je vis son sourire, sans vraiment savoir l'interpréter. Mais ce qu’il me dit juste après me rassura grandement. Je souriais doucement à sa phrase sans pour autant y répondre. C’était quand même un gars bien Nao. J’avais l’impression qu’il voulait me rassurer… enfin c’était ce que je pensais. Je profitais de cette pause afin d’étirer un peu mon dos. Il fallait dire que la position que j’avais pris n’était pas super confort pour ma colonne, mais le plus important c’était que le client soit à l’aise avant tout. Je repris naturellement la conversation, posant d’autres questions avant de reprendre mon oeuvre, notamment son arrivée en Corée. Vu qu’il m’avait être pas ici depuis longtemps quand on s’était rencontré pour la première fois. Alors qu’il me confia qu’il avait surtout suivi son frère, j'acquiesçai en écoutant. Ca peut se comprendre, la famille c’est important. c’était moi qui disait ça alors que mes parents m’avaient foutu à la rue ? Oui, bien sûr je ne pensais pas vraiment à eux à cet instant, mais à cette famille que j’avais trouvé bien après cet événement, notamment par avec Bae, aujourd’hui je la considérais comme ma seule et unique famille. Cart Junhee… je ne pouvais pas vraiment le considérer comme tel. Alors oui, je savais que la famille était important. Quand il ajoutait qu’il avait écouté son instinct je levais les yeux vers lui. Ton instinct ? Avais-je répété en croisant son regardant quelques instants. Peut-être que les gens devraient faire plus comme toi et faire confiance à leurs tripes. Je l’avais affirmé en acquiesçant, probablement moi le premier. Parce que souvent ce que je trouvais, c’était les emmerdes à la pelle. Alors si je faisais plus comme est-ce que j’aurais pu éviter un peu plus les emmerdes. Je n’en savais trop rien, mais ça valait le coup d’essayer, non ? Et c’est ton instinct qui t’a conduit jusqu’ici ? Avais-je dit avec un petit sourire en coin. J’arrêtais la machine, je passais un comme de papier absorbant avant de regarder le résultat. Je pense qu’on en a terminé Nao. Tu veux voir le résultat ? Avais-je dit avec un sourire pas peu fier de moi. Ce n’était pas ma pièce la plus impressionnante, mais je l’aimais beaucoup ce petit panda.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Mer 15 Aoû - 11:59 Citer EditerSupprimer
tu hoches négativement la tête. « bien-sûr que non. » tu ne le trouves pas bizarre. ça arrive de ne pas avoir une très bonne mémoire… tu es mal placé en tant qu’exemple mais tu sais que tu as une bonne mémoire, meilleure que la majorité des personnes, comme ton qi. c’est peut-être pour cette raison que, parfois, c’est sans doute à toi de te sentir bizarre… ou différent. et tu veux simplement le rassurer, tu n’as pas envie qu’il se mette ce genre de choses en tête, surtout après avoir vu ce sourire triste qu’il aborde. ça te fend le coeur, cette vision. mais après ça, le sujet de conversation dérive sur ton arrivée ici. tu n’es là que depuis quelques mois, et tu lui expliques, lui racontant que tu as simplement suivi ton frère ici, tu hoches la tête lorsqu’il te dit que la famille c’est important. oui, c’est important à tes yeux, même si ça ne se passe pas comme on le souhaiterait parfois. pour preuve, tu t’accroches à la seule famille qu’il te reste. tu lui expliques même que tu avais sans doute besoin de changement même si la décision n’a pas été facile à prendre. certes, tu n’avais plus beaucoup d’amis là-bas et pour ça, tu n’y perdais rien, votre réputation en ayant pris un sacré coup, mais tu avais une petite amie. et tu l’aimais, tu étais attachée à elle et tu penses qu’elle l’était aussi. alors non, cette décision n’a clairement pas été facile à prendre. cette sensation de devoir choisir entre ton frère ou ton ex-petite amie n’existait pas. tu n’avais pas cette impression, tu avais seulement l’impression de devoir choisir entre elle ou ton instinct, parce que oui, ton instinct te poussait à venir ici pour une raison qui t’échappait. sauf que, malheureusement pour ton couple, ton instinct est passé avant. tu n’as jamais été contre ce que tes tripes te disaient de faire, parce que les seules fois où tu l’as fait, tu l’as grandement regretté. alors oui, ç’a été déchirant de devoir quitter ta petite-amie de l’époque malgré que vous n’étiez ensemble que depuis peu de temps, mais tu as tout de même su prendre cette décision. tu te demandes si elle t’en veut encore ou pas, en fait, t’en sais trop rien.. tout ce que tu sais, c’est qu’il fallait que tu tournes rapidement la page. après tout, si ton instinct te disait de venir en corée, c’était sans doute parce que vous n’étiez pas fait l’un pour l’autre. tu pensais que ton instinct te poussait à suivre ton frère parce que les choses étaient destinées à s’arranger, mais plus le temps passe, plus tu doutes. tu es ici pour une autre raison, voilà ce que tu ressens. peut-être retrouver des personnes que tu as perdu ? l’apparition d’un certain jumeau te pousse à le croire, mais ce n’est pas le moment de penser à tout ça. « et toi, ça va aller? » demandes-tu, en le voyant s’étirer. parce que ça ne devait pas être évident de rester penché autant de temps et d’être concentré sur le tatouage. surtout qu’il ne te fait pas si mal que ça, il prend soin de toi, tu le vois et tu le sens bien, puisqu’il vient même te masser la peau à certains moments. mais lorsqu’il te parle de ton instinct, te disant que les gens devraient sans doute faire comme toi et suivre plus souvent le leur, tu ne peux t’empêcher de sourire légèrement. « j’ai.. toujours fait confiance à mon instinct. » lui avoues-tu. « ma mère disait que j’avais une sorte de don. » dis-tu, d’un air plus amusé que précédemment. elle te le répétait sans cesse, même. « parfois, elle se fiait même à moi et mes décisions… mais j’me suis jamais trompé jusqu’à présent. » alors, c’est qui le plus bizarre des deux cette fois ? il te prendra sûrement pour un fou, tu sais que beaucoup ne croient pas au destin ou à l’instinct même, mais encore une fois, pour ça, toi, t’es différent. mais lorsqu’il te demande si c’était lui qui t’avait conduit jusqu’ici, te transmettant son sourire amusé, ne devant sûrement pas penser que c’était bel et bien le cas, tu hoches doucement la tête. « oui... » tu marques une légère pause avant de reprendre. « ça faisait plusieurs fois que je passais devant la boutique.. et j’sais pas, j’ai senti que je devais y entrer. alors j’suis venu. » étrange n’est-ce pas ? mais jusqu’à preuve du contraire, ton instinct ne t’a toujours pas trahi. bien au contraire, puisque tu es allongé sur cette table, te faisant finalement tatouer et puis, il y a tsuki, et au plus tu discutes avec lui, au plus tu te rends compte qu’il te plaît. ça n’aboutira sans doute à rien, tu n’es même pas sûr de lui dire un jour, mais c’est le cas. et puis c’est étrange, mais cette sensation d’y retrouver tooru, quelque part, doit y être pour beaucoup. et puis, tsuki t’annonce qu’il a terminé. dans un réflexe, tu baisses les yeux. vraiment.. le temps est passé trop vite, et au final, tu n’as pas vraiment eu mal. « déjà? » lui demandes-tu, surpris, avant de te redresser plus correctement. « j’n’ai pas eu si mal que ça... » lui avoues-tu même un doux sourire sur les lèvres, sachant qu’il y était grandement pour quelque chose. il avait été doux avec toi, tu l’avais bien remarqué. décidément, il est bien trop adorable. tu t'assoies sur la table lorsqu’il te propose de voir le résultat, lançant un regard vers ce miroir au fond de la pièce, tu te lèves doucement pour admirer ce tatouage. ce nouveau dessin qui te collera désormais à vie sur ta peau, un tendre sourire se dessine sur tes lèvres alors que tu gardes deux de tes doigts dans ton pantalon, pour le garder assez baissé et qu’il ne puisse pas te déranger lors de ton observation. « c’est vraiment.. magnifique. » magnifique ? le mot est faible, ça te plaît beaucoup trop, tu tournes le visage vers tsuki, te coupant dans ton admiration. le sourire que tu as sur les lèvres répondra lui aussi à sa question. « je sais que j’vais me répéter mais t’es vraiment doué. » sans lui, tu doutes que tu aurais passé le cap pour de bon, et puis surtout, c’est lui qui a su te dessiner ce que tu imaginais et croyez-le, ce n’était pas chose facile. de nouveau, tu regardes ton reflet dans le miroir, observant le tatouage. « merci beaucoup tsuki... » dis-tu, le plus sincèrement du monde. « je l’adore. » encore une fois, tu as bien fait de suivre ton instinct. le résultat est présent. « j’espère que tu n’as pas laissé ton dos dans cette bataille. » reprends-tu, un sourire à moitié amusé, à moitié inquiet au moment où tu te tournes de nouveau vers lui. un moyen pour t’assurer qu’il allait bien ? tout à fait.
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tu hoches négativement la tête. « bien-sûr que non. » tu ne le trouves pas bizarre. ça arrive de ne pas avoir une très bonne mémoire… tu es mal placé en tant qu’exemple mais tu sais que tu as une bonne mémoire, meilleure que la majorité des personnes, comme ton qi. c’est peut-être pour cette raison que, parfois, c’est sans doute à toi de te sentir bizarre… ou différent. et tu veux simplement le rassurer, tu n’as pas envie qu’il se mette ce genre de choses en tête, surtout après avoir vu ce sourire triste qu’il aborde. ça te fend le coeur, cette vision. mais après ça, le sujet de conversation dérive sur ton arrivée ici. tu n’es là que depuis quelques mois, et tu lui expliques, lui racontant que tu as simplement suivi ton frère ici, tu hoches la tête lorsqu’il te dit que la famille c’est important. oui, c’est important à tes yeux, même si ça ne se passe pas comme on le souhaiterait parfois. pour preuve, tu t’accroches à la seule famille qu’il te reste. tu lui expliques même que tu avais sans doute besoin de changement même si la décision n’a pas été facile à prendre. certes, tu n’avais plus beaucoup d’amis là-bas et pour ça, tu n’y perdais rien, votre réputation en ayant pris un sacré coup, mais tu avais une petite amie. et tu l’aimais, tu étais attachée à elle et tu penses qu’elle l’était aussi. alors non, cette décision n’a clairement pas été facile à prendre. cette sensation de devoir choisir entre ton frère ou ton ex-petite amie n’existait pas. tu n’avais pas cette impression, tu avais seulement l’impression de devoir choisir entre elle ou ton instinct, parce que oui, ton instinct te poussait à venir ici pour une raison qui t’échappait. sauf que, malheureusement pour ton couple, ton instinct est passé avant. tu n’as jamais été contre ce que tes tripes te disaient de faire, parce que les seules fois où tu l’as fait, tu l’as grandement regretté. alors oui, ç’a été déchirant de devoir quitter ta petite-amie de l’époque malgré que vous n’étiez ensemble que depuis peu de temps, mais tu as tout de même su prendre cette décision. tu te demandes si elle t’en veut encore ou pas, en fait, t’en sais trop rien.. tout ce que tu sais, c’est qu’il fallait que tu tournes rapidement la page. après tout, si ton instinct te disait de venir en corée, c’était sans doute parce que vous n’étiez pas fait l’un pour l’autre. tu pensais que ton instinct te poussait à suivre ton frère parce que les choses étaient destinées à s’arranger, mais plus le temps passe, plus tu doutes. tu es ici pour une autre raison, voilà ce que tu ressens. peut-être retrouver des personnes que tu as perdu ? l’apparition d’un certain jumeau te pousse à le croire, mais ce n’est pas le moment de penser à tout ça. « et toi, ça va aller? » demandes-tu, en le voyant s’étirer. parce que ça ne devait pas être évident de rester penché autant de temps et d’être concentré sur le tatouage. surtout qu’il ne te fait pas si mal que ça, il prend soin de toi, tu le vois et tu le sens bien, puisqu’il vient même te masser la peau à certains moments. mais lorsqu’il te parle de ton instinct, te disant que les gens devraient sans doute faire comme toi et suivre plus souvent le leur, tu ne peux t’empêcher de sourire légèrement. « j’ai.. toujours fait confiance à mon instinct. » lui avoues-tu. « ma mère disait que j’avais une sorte de don. » dis-tu, d’un air plus amusé que précédemment. elle te le répétait sans cesse, même. « parfois, elle se fiait même à moi et mes décisions… mais j’me suis jamais trompé jusqu’à présent. » alors, c’est qui le plus bizarre des deux cette fois ? il te prendra sûrement pour un fou, tu sais que beaucoup ne croient pas au destin ou à l’instinct même, mais encore une fois, pour ça, toi, t’es différent. mais lorsqu’il te demande si c’était lui qui t’avait conduit jusqu’ici, te transmettant son sourire amusé, ne devant sûrement pas penser que c’était bel et bien le cas, tu hoches doucement la tête. « oui... » tu marques une légère pause avant de reprendre. « ça faisait plusieurs fois que je passais devant la boutique.. et j’sais pas, j’ai senti que je devais y entrer. alors j’suis venu. » étrange n’est-ce pas ? mais jusqu’à preuve du contraire, ton instinct ne t’a toujours pas trahi. bien au contraire, puisque tu es allongé sur cette table, te faisant finalement tatouer et puis, il y a tsuki, et au plus tu discutes avec lui, au plus tu te rends compte qu’il te plaît. ça n’aboutira sans doute à rien, tu n’es même pas sûr de lui dire un jour, mais c’est le cas. et puis c’est étrange, mais cette sensation d’y retrouver tooru, quelque part, doit y être pour beaucoup. et puis, tsuki t’annonce qu’il a terminé. dans un réflexe, tu baisses les yeux. vraiment.. le temps est passé trop vite, et au final, tu n’as pas vraiment eu mal. « déjà? » lui demandes-tu, surpris, avant de te redresser plus correctement. « j’n’ai pas eu si mal que ça... » lui avoues-tu même un doux sourire sur les lèvres, sachant qu’il y était grandement pour quelque chose. il avait été doux avec toi, tu l’avais bien remarqué. décidément, il est bien trop adorable. tu t'assoies sur la table lorsqu’il te propose de voir le résultat, lançant un regard vers ce miroir au fond de la pièce, tu te lèves doucement pour admirer ce tatouage. ce nouveau dessin qui te collera désormais à vie sur ta peau, un tendre sourire se dessine sur tes lèvres alors que tu gardes deux de tes doigts dans ton pantalon, pour le garder assez baissé et qu’il ne puisse pas te déranger lors de ton observation. « c’est vraiment.. magnifique. » magnifique ? le mot est faible, ça te plaît beaucoup trop, tu tournes le visage vers tsuki, te coupant dans ton admiration. le sourire que tu as sur les lèvres répondra lui aussi à sa question. « je sais que j’vais me répéter mais t’es vraiment doué. » sans lui, tu doutes que tu aurais passé le cap pour de bon, et puis surtout, c’est lui qui a su te dessiner ce que tu imaginais et croyez-le, ce n’était pas chose facile. de nouveau, tu regardes ton reflet dans le miroir, observant le tatouage. « merci beaucoup tsuki... » dis-tu, le plus sincèrement du monde. « je l’adore. » encore une fois, tu as bien fait de suivre ton instinct. le résultat est présent. « j’espère que tu n’as pas laissé ton dos dans cette bataille. » reprends-tu, un sourire à moitié amusé, à moitié inquiet au moment où tu te tournes de nouveau vers lui. un moyen pour t’assurer qu’il allait bien ? tout à fait.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Ven 17 Aoû - 22:17 Citer EditerSupprimer
Je souris doucement quand il me demanda pour mon dos. Les clients étaient toujours très sympas dans notre milieu, mais c’était bien la première comme qu’on me demandait pour mon dos. C’était agréable, l’air de rien. Oui oui, t’inquiète pas, j’ai vécu pire. Oui clairement, puis c’était sans compter qu’en temps normal, c’était un tatouage rapide, mais de base j’avais décidé de prendre mon temps pour Nao et c’était sans compter sur le fait que lui avait eu de l’avance. Alors clairement, j’avais fait durer le plaisir. Pour éviter de lui faire mal ? Oui. Et pour profiter de sa présence ? Comment dire que Nao était vraiment…. très charmant. Et même plus loin que le côté physique de la chose, il me donnait ce sentiment de familiarité. Mais ça, je l’avais déjà dit. Je me sentais bien avec lui, nos discussions étaient naturelles, pas forcées, comme deux amis qui se retrouvaient pour parler de tout et de rien. Non, je me sentais bien avec lui. J’avais l’impression qu’il se passait un truc entre nous… enfin c’était mon impression. Si ça se trouve, il pouvait aussi être poli et détester le moment. Mais ce n’était mon ressenti en tout cas. Après il y avait ce soucis. Ce soucis qui faisait que j’étais certains que Nao n’était probablement pas intéressé par les hommes. A mon sens c’était même complètement sûr. Parce que c’était comme ça que marchait le drame de l’hétérosexualité, les beaux mecs étaient toujours inaccessible. Enfin quand bien même, je n’étais même pas vraiment sûr de vouloir être un jour à nouveau en couple. Pas que Junhee m’avait vacciné loin de là. Mais j’estimais être beaucoup trop instable mentalement et émotionnellement pour faire subir ça à quelqu’un, et aller expliquer ça à votre partenaire que vous étiez instable à cause d’un cerveau détruit ? Non sérieux. Puis il fallait dire que depuis qu’on m’avait foutu à la rue je n’avais vraiment couru après la relation de couple hein. Allez vous foutre en couple dans votre activité principale c’était de vendre votre cul, de dormir dans la rue et de voler pour bouffer. Non vraiment pas une priorité. J’avais surtout vécu de coups d’un soir et je n’avais pas voulu plus. Je ne cherchais pas plus. Puis Junhee foutait déjà assez de bordel dans ma vie en plus de ça. Mais Nao… Oui, j’ai le feeling. Sauf ce feeling était débile. Et dans cette même histoire, Nao parla de son instinct. Dans le fond il avait raison peut-être que c’était lui qui avait la bonne façon de faire en fait. Enfin je disais ça, j’écoutais mon instincts j’aurais demandé à Nao de boire un verre, mais je savais que mon instinct à moi était faussé alors je préférais ne pas m’y fier. Ou alors aurais-je dû pour m’éviter des emmerdes ? Je n’en savais rien. Je l’écoutais alors qu’il continuait de me parler de son histoire. Je levais les sourcils, étonné. Enfin clairement, si ton instinct ne s’est jamais trompé, c’est que ça ne doit pas être un hasard. Je vais te demander conseil si c’est comme ça, avais-je dit avec un léger rire. Oui clairement si je pouvais avoir un bon instinct j’aurais pas dit non. mais vu mon cas je savais que c’était foutu d’avance. Alors naturellement, toujours un sourire sur le coin de mes lèvres je lui demandais si c’était son instinct aussi que l'avait poussé au Bl’Ink. J’ouvris légèrement la bouche. Peut-être que le destin voulait qu’on se rencontre, avais-je dit avec un mince sourire. Pourquoi je disais ça au juste ? Comment passer pour un gros dragueur Tsuki. Bravo. Pourtant… j’avais le sentiment que… ce n’était pas une rencontre. Parce que ce sentiment de familiarité. Mais je me gardais bien de le partager, j’aurais pu passer pour un fou. Je me contentais de mettre les dernières touches au au tatouage. Avant de le regarder attentivement et de conclure que j’avais fini. Sa réaction me fit sourire. Et oui déjà, le temps passe vite quand on s’amuse bien hein ? A sa seconde réflexion je ne pu m’empêcher d’avoir un moue légèrement fière sur mon visage. Forcément ça faisait toujours plaisir quand quelqu’un disait que son tatouer ne lui avait pas fait spécialement mal. Je tiens toujours mes promesses avais-dit regardant le japonais. Doucement pour te lever, prévins-je doucement alors que je le voyais commencer à s’asseoir. Je finis par me retourner et enlever les aiguilles de ma machine pour les jeter dans un bac prévu à cet effet et les gants de tardèrent pas à suivre ce chemin aussi.Tout en regardant mon client aller voir le tatouage, j’en profitais pour faire glisser mon bandeau au niveau de mon coup pour libérer mes cheveux et repasser ma main dedans pour les ébouriffer et les recoiffer juste après. Oui, je n’arrivais pas à supprimer ce tic. Je souris à sa réaction, je rougis aussi juste après alors qu’il se tournait vers moi alors que mes doigts étaient toujours dans ma tignasse décolorée. Merci Nao, mais c’est ton idée, je ne lui ai donné qu’une forme, avais-je soufflé en repassant mes doigts dans mes cheveux. Ces dernières paroles finirent de me réchauffer complètement le coeur. Alors j’ai bien fait mon travail Je commençai alors attraper un morceau de film plastique et un rouleau de sparadrap pour complètement terminé mon oeuvre. Je me relevai de mon tabouret et je me tournai vers Nao qui me requestiona sur mon dos. Je lui accordai un sourire rassurant. Tout va bien, je te remercie, décidément, cet homme était si doux. Je m’approchai de Nao et prévins. Je termine juste de le protéger, okay ? Je finis par poser un genou au sol pour me mettre devant la nouvelle marque je venais de lui faire. Je ne savais pas pourquoi, mais en la voyant, j’avais comm un sentiment bizarre. Comme si la boucle était bouclée, étrange, mais je préférais balayer rapidement cette pensée en fixant le film sur la peau de Naoya en expliquant. Parce que la tatouage reste comme une sorte de plaie, ton tatouage va saigner sur les prochaines heures. C’est pour éviter de te salirn avais-je ajouté en me redressant sur mes deux jambes. Tu le retires dans maximum deux heures, tu rinces le sang, tu sèches doucement avec une serviette douce et tu en remets un autre que tu changeras le lendemain. Je m’arrêtais quelques instants. Désolé ça fait pas mal d’informations, mais tout est concilié sur une feuille, je te la donnerai comme ça tu n’oublieras rien. Je penchai la tête en me repassant la main dans mes cheveux, j’espérais de pas l’avoir trop ennuyé. Puis je rajoutais avec un ton plus taquin. Et du coup le virus du tatouage .... ? je souris tendrement. Bon ok, j'essayais vraiment de faire durer le plaisir.
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Je souris doucement quand il me demanda pour mon dos. Les clients étaient toujours très sympas dans notre milieu, mais c’était bien la première comme qu’on me demandait pour mon dos. C’était agréable, l’air de rien. Oui oui, t’inquiète pas, j’ai vécu pire. Oui clairement, puis c’était sans compter qu’en temps normal, c’était un tatouage rapide, mais de base j’avais décidé de prendre mon temps pour Nao et c’était sans compter sur le fait que lui avait eu de l’avance. Alors clairement, j’avais fait durer le plaisir. Pour éviter de lui faire mal ? Oui. Et pour profiter de sa présence ? Comment dire que Nao était vraiment…. très charmant. Et même plus loin que le côté physique de la chose, il me donnait ce sentiment de familiarité. Mais ça, je l’avais déjà dit. Je me sentais bien avec lui, nos discussions étaient naturelles, pas forcées, comme deux amis qui se retrouvaient pour parler de tout et de rien. Non, je me sentais bien avec lui. J’avais l’impression qu’il se passait un truc entre nous… enfin c’était mon impression. Si ça se trouve, il pouvait aussi être poli et détester le moment. Mais ce n’était mon ressenti en tout cas. Après il y avait ce soucis. Ce soucis qui faisait que j’étais certains que Nao n’était probablement pas intéressé par les hommes. A mon sens c’était même complètement sûr. Parce que c’était comme ça que marchait le drame de l’hétérosexualité, les beaux mecs étaient toujours inaccessible. Enfin quand bien même, je n’étais même pas vraiment sûr de vouloir être un jour à nouveau en couple. Pas que Junhee m’avait vacciné loin de là. Mais j’estimais être beaucoup trop instable mentalement et émotionnellement pour faire subir ça à quelqu’un, et aller expliquer ça à votre partenaire que vous étiez instable à cause d’un cerveau détruit ? Non sérieux. Puis il fallait dire que depuis qu’on m’avait foutu à la rue je n’avais vraiment couru après la relation de couple hein. Allez vous foutre en couple dans votre activité principale c’était de vendre votre cul, de dormir dans la rue et de voler pour bouffer. Non vraiment pas une priorité. J’avais surtout vécu de coups d’un soir et je n’avais pas voulu plus. Je ne cherchais pas plus. Puis Junhee foutait déjà assez de bordel dans ma vie en plus de ça. Mais Nao… Oui, j’ai le feeling. Sauf ce feeling était débile. Et dans cette même histoire, Nao parla de son instinct. Dans le fond il avait raison peut-être que c’était lui qui avait la bonne façon de faire en fait. Enfin je disais ça, j’écoutais mon instincts j’aurais demandé à Nao de boire un verre, mais je savais que mon instinct à moi était faussé alors je préférais ne pas m’y fier. Ou alors aurais-je dû pour m’éviter des emmerdes ? Je n’en savais rien. Je l’écoutais alors qu’il continuait de me parler de son histoire. Je levais les sourcils, étonné. Enfin clairement, si ton instinct ne s’est jamais trompé, c’est que ça ne doit pas être un hasard. Je vais te demander conseil si c’est comme ça, avais-je dit avec un léger rire. Oui clairement si je pouvais avoir un bon instinct j’aurais pas dit non. mais vu mon cas je savais que c’était foutu d’avance. Alors naturellement, toujours un sourire sur le coin de mes lèvres je lui demandais si c’était son instinct aussi que l'avait poussé au Bl’Ink. J’ouvris légèrement la bouche. Peut-être que le destin voulait qu’on se rencontre, avais-je dit avec un mince sourire. Pourquoi je disais ça au juste ? Comment passer pour un gros dragueur Tsuki. Bravo. Pourtant… j’avais le sentiment que… ce n’était pas une rencontre. Parce que ce sentiment de familiarité. Mais je me gardais bien de le partager, j’aurais pu passer pour un fou. Je me contentais de mettre les dernières touches au au tatouage. Avant de le regarder attentivement et de conclure que j’avais fini. Sa réaction me fit sourire. Et oui déjà, le temps passe vite quand on s’amuse bien hein ? A sa seconde réflexion je ne pu m’empêcher d’avoir un moue légèrement fière sur mon visage. Forcément ça faisait toujours plaisir quand quelqu’un disait que son tatouer ne lui avait pas fait spécialement mal. Je tiens toujours mes promesses avais-dit regardant le japonais. Doucement pour te lever, prévins-je doucement alors que je le voyais commencer à s’asseoir. Je finis par me retourner et enlever les aiguilles de ma machine pour les jeter dans un bac prévu à cet effet et les gants de tardèrent pas à suivre ce chemin aussi.Tout en regardant mon client aller voir le tatouage, j’en profitais pour faire glisser mon bandeau au niveau de mon coup pour libérer mes cheveux et repasser ma main dedans pour les ébouriffer et les recoiffer juste après. Oui, je n’arrivais pas à supprimer ce tic. Je souris à sa réaction, je rougis aussi juste après alors qu’il se tournait vers moi alors que mes doigts étaient toujours dans ma tignasse décolorée. Merci Nao, mais c’est ton idée, je ne lui ai donné qu’une forme, avais-je soufflé en repassant mes doigts dans mes cheveux. Ces dernières paroles finirent de me réchauffer complètement le coeur. Alors j’ai bien fait mon travail Je commençai alors attraper un morceau de film plastique et un rouleau de sparadrap pour complètement terminé mon oeuvre. Je me relevai de mon tabouret et je me tournai vers Nao qui me requestiona sur mon dos. Je lui accordai un sourire rassurant. Tout va bien, je te remercie, décidément, cet homme était si doux. Je m’approchai de Nao et prévins. Je termine juste de le protéger, okay ? Je finis par poser un genou au sol pour me mettre devant la nouvelle marque je venais de lui faire. Je ne savais pas pourquoi, mais en la voyant, j’avais comm un sentiment bizarre. Comme si la boucle était bouclée, étrange, mais je préférais balayer rapidement cette pensée en fixant le film sur la peau de Naoya en expliquant. Parce que la tatouage reste comme une sorte de plaie, ton tatouage va saigner sur les prochaines heures. C’est pour éviter de te salirn avais-je ajouté en me redressant sur mes deux jambes. Tu le retires dans maximum deux heures, tu rinces le sang, tu sèches doucement avec une serviette douce et tu en remets un autre que tu changeras le lendemain. Je m’arrêtais quelques instants. Désolé ça fait pas mal d’informations, mais tout est concilié sur une feuille, je te la donnerai comme ça tu n’oublieras rien. Je penchai la tête en me repassant la main dans mes cheveux, j’espérais de pas l’avoir trop ennuyé. Puis je rajoutais avec un ton plus taquin. Et du coup le virus du tatouage .... ? je souris tendrement. Bon ok, j'essayais vraiment de faire durer le plaisir.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Dim 19 Aoû - 18:07 Citer EditerSupprimer
tsuki confirme ce que tu as toujours pensé. si ton instinct ne t’a jamais trahi, c’était bien pour une raison. ta mère en était convaincu : tu avais un don. tu.. ne considères pas vraiment ça comme un don, en fait. disons simplement que parfois, quand tes tripes te hurlent de faire quelque chose ou au contraire, de ne pas le faire, tu t'exécutes. pourtant, il arrive parfois que ton instinct soit absent, te laissant seul prendre des décisions. sa remarque te fait sourire, tu aimerais pouvoir le conseiller, mais parfois, tu es obligé de faire avec les moyens du bord, tu ne contrôles pas vraiment cet instinct. sur le même sujet de conversation, le tatoueur finit par te demander si c’était lui qui t’avait conduit jusqu’ici. tu ne vas pas lui mentir, tu étais pourtant prêt à partir et ne jamais rentrer dans cette boutique, mais tu avais fait demi-tour.. parce que ton instinct le voulait. et tu ne parvenais pas à aller contre. « c’est ce que j’pense. » oui, le destin voulait que tu le rencontres et tu es presque certain qu’il y a une raison particulière à ça. tu ignores simplement laquelle, mais le fait qu’il te fasse penser à tooru y est sans doute pour quelque chose… est-ce que cette rencontre te permettra de garder espoir de le revoir un jour ? ou alors.. ou alors peut-être qu’il pourrait se passer quelque chose entre vous ? parce qu’il te plaît, tsuki. si tu t’emballais, peut-être que tu pourrais croire que vous n’allez sans doute pas en rester là, et que l’avenir vous réunira à nouveau. à titre personnel, tu penses plus à la première solution. ce sentiment de familiarité qu’il te procure, tout ça.. ça doit sans doute vouloir dire quelque chose. vouloir que tu gardes espoir ? peut-être qu’un jour tu pourras revoir tooru. pendant longtemps, tu t’es demandé ce qu’il était devenu. est-ce qu’il avait trouvé quelqu’un ? est-ce qu’il était heureux ? qu’est-ce qu’il faisait dans la vie ? quels étaient ses hobbies ? est-ce qu'il se rappelle de toi ? est-ce qu'il pense encore à toi ? tu aimerais savoir tout ça, parfois, ça te tord le coeur de ne pas savoir où il se trouve. « à croire que oui... » lui avoues-tu, alors qu’un sourire tendre se dessine sur tes lèvres. ou alors tout simplement, le destin t’a amené jusqu’ici pour que tu franchisses le pas et que tu te fasses tatouer. personne le sait, finalement. mais très vite, tooru t’annonce qu’il avait fini, déjà ? sa réponse élargit ton sourire, lâchant même un léger ricanement. c’est vrai, vous aviez beaucoup parlé tous les deux.. tant que ça ? tu n’as même pas vu le temps passer, c’est bon signe après tout, ça veut dire qu’il se sent aussi à l’aise que toi lorsque vous êtes tous les deux. du moins, tu l’espères. tu lui avoues même ne pas avoir eu si mal que ça. dire que tu n’avais rien senti serait mentir mais ce n’était pas si.. douloureux ? étrange, et pourtant, t’es persuadé que tsuki y était pour quelque chose. tu te connais insensible à la douleur, il est vrai, mais pas à ce point. de nouveau, tu souris lorsqu’il te répond toujours tenir ses promesses, tu viens même te redresser alors qu’il te dit de faire attention. tu te diriges alors vers ce fameux miroir, à mi-chemin, tu lances même un regard à tsuki qui s’occupe de tout débarrasser. retirant même le bandeau qu’il avait dans les cheveux. tu vas être tout à fait honnête pour le coup: tu profites de son manque d’attention pour le mater quelques courtes minutes. il faut dire que tu avais déjà remarqué pas mal de choses. ce tic qu’il avait de passé sa main dans ses cheveux, les traits de son visage qui, plus tu observais, plus te semblaient familier. et puis encore une fois, c’était un très joli gars. tu tournes finalement le regard vers le miroir, observant le résultat. un sourire satisfait se dessinant sur tes lèvres, tu ne tardes pas à exprimer ton ressenti auprès du professionnel. « tu l’as même très très bien fait. » lui réponds-tu à ses paroles, lançant de nouveau un regard vers ce tatouage, encore bien rouge. « vraiment… j’aime beaucoup. » lorsque le jeune homme s’approche à nouveau de toi, tu reprends la parole pour qu’il te rassure un peu sur l’état de son dos. chose qu’il fait aussitôt avant de t’annoncer qu’il allait protéger le tatouage. tu acquiesces d’un geste de la tête, sans trop savoir à quoi t’attendre -encore une fois, t’es tout nouveau dans ce domaine. il t’explique alors la situation, tu l’écoutes, d’une oreille attentive, t’as pas non plus envie de faire n’importe quoi. tu veux faire ça bien. tu fronces même un peu les sourcils, un réflexe idiot, seulement, ça fait beaucoup d’informations à retenir. il va falloir que tu fasses confiance à ta bonne mémoire pour ça.. quoi que, lorsqu’il te dit que tout sera marqué sur une feuille, tu souris, amusé. « au pire.. j’ai ton numéro. » dis-tu, taquin. est-ce qu’on peut dire que tu commences un peu à tâter le terrain ? oui.. complètement. « quelle erreur de me l’avoir donné, je risque de t’embêter. » cette fois-ci, tu prononces ces mots d’un ton faussement menaçant. t’as pas non plus envie qu’il se mette à penser que tu allais réellement le faire, bien que ce n’était pas l’envie qui manquait. en fait, ça t’embêtait d’en rester là.. mais qu’est-ce que tu pouvais bien faire ? l’inviter à boire un verre ? ouais, ça t’avait traversé l’esprit, seulement, tu ne sais pas si c'est une bonne idée ou non. il doit sûrement être hétéro et ça serait.. étrange, pas vrai ? et comme pour prouver tes précédentes pensées, ton instinct est totalement absent sur ce coup là, t’es voué à toi-même. « je plaisante. » finis-tu par dire, on ne sait jamais… après tout, malgré ce sentiment de familiarité, tsuki ne te connaît pas plus que ça. ton sourire s’élargit de nouveau, tu lâches même un léger rire face à sa question, répondant de manière tout aussi taquine. « c’est trop tôt pour le dire je pense.. mais.. » il y a un mais? c’est foutu. « j’en garde un bon souvenir, j’hésiterai plus la prochaine fois. » tu fronces les sourcils, d’un air amusé, alors que ton sourire ne te quitte pas. « hm.. j’ai dit qu’il y allait avoir une prochaine fois ? oops... » bon en réalité, t’en sais trop rien. ce tatouage te tenait à coeur mais peut-être que tu pourrais avoir une autre idée, qui te tiendrait tout aussi à coeur et dans ce cas là, effectivement, le doute serait moins présent ? qui sait. seul l’avenir te le dira de toute façon. « en tout cas, j’te remercie beaucoup pour.. tout ça. » de t’avoir conseillé, d’avoir su te dessiner ce que tu voulais, de ne pas t’avoir fait mal aussi, et d’encore une fois, t’aider. il est vraiment trop adorable…
The universe has moved for us.
#tooraya
tsuki confirme ce que tu as toujours pensé. si ton instinct ne t’a jamais trahi, c’était bien pour une raison. ta mère en était convaincu : tu avais un don. tu.. ne considères pas vraiment ça comme un don, en fait. disons simplement que parfois, quand tes tripes te hurlent de faire quelque chose ou au contraire, de ne pas le faire, tu t'exécutes. pourtant, il arrive parfois que ton instinct soit absent, te laissant seul prendre des décisions. sa remarque te fait sourire, tu aimerais pouvoir le conseiller, mais parfois, tu es obligé de faire avec les moyens du bord, tu ne contrôles pas vraiment cet instinct. sur le même sujet de conversation, le tatoueur finit par te demander si c’était lui qui t’avait conduit jusqu’ici. tu ne vas pas lui mentir, tu étais pourtant prêt à partir et ne jamais rentrer dans cette boutique, mais tu avais fait demi-tour.. parce que ton instinct le voulait. et tu ne parvenais pas à aller contre. « c’est ce que j’pense. » oui, le destin voulait que tu le rencontres et tu es presque certain qu’il y a une raison particulière à ça. tu ignores simplement laquelle, mais le fait qu’il te fasse penser à tooru y est sans doute pour quelque chose… est-ce que cette rencontre te permettra de garder espoir de le revoir un jour ? ou alors.. ou alors peut-être qu’il pourrait se passer quelque chose entre vous ? parce qu’il te plaît, tsuki. si tu t’emballais, peut-être que tu pourrais croire que vous n’allez sans doute pas en rester là, et que l’avenir vous réunira à nouveau. à titre personnel, tu penses plus à la première solution. ce sentiment de familiarité qu’il te procure, tout ça.. ça doit sans doute vouloir dire quelque chose. vouloir que tu gardes espoir ? peut-être qu’un jour tu pourras revoir tooru. pendant longtemps, tu t’es demandé ce qu’il était devenu. est-ce qu’il avait trouvé quelqu’un ? est-ce qu’il était heureux ? qu’est-ce qu’il faisait dans la vie ? quels étaient ses hobbies ? est-ce qu'il se rappelle de toi ? est-ce qu'il pense encore à toi ? tu aimerais savoir tout ça, parfois, ça te tord le coeur de ne pas savoir où il se trouve. « à croire que oui... » lui avoues-tu, alors qu’un sourire tendre se dessine sur tes lèvres. ou alors tout simplement, le destin t’a amené jusqu’ici pour que tu franchisses le pas et que tu te fasses tatouer. personne le sait, finalement. mais très vite, tooru t’annonce qu’il avait fini, déjà ? sa réponse élargit ton sourire, lâchant même un léger ricanement. c’est vrai, vous aviez beaucoup parlé tous les deux.. tant que ça ? tu n’as même pas vu le temps passer, c’est bon signe après tout, ça veut dire qu’il se sent aussi à l’aise que toi lorsque vous êtes tous les deux. du moins, tu l’espères. tu lui avoues même ne pas avoir eu si mal que ça. dire que tu n’avais rien senti serait mentir mais ce n’était pas si.. douloureux ? étrange, et pourtant, t’es persuadé que tsuki y était pour quelque chose. tu te connais insensible à la douleur, il est vrai, mais pas à ce point. de nouveau, tu souris lorsqu’il te répond toujours tenir ses promesses, tu viens même te redresser alors qu’il te dit de faire attention. tu te diriges alors vers ce fameux miroir, à mi-chemin, tu lances même un regard à tsuki qui s’occupe de tout débarrasser. retirant même le bandeau qu’il avait dans les cheveux. tu vas être tout à fait honnête pour le coup: tu profites de son manque d’attention pour le mater quelques courtes minutes. il faut dire que tu avais déjà remarqué pas mal de choses. ce tic qu’il avait de passé sa main dans ses cheveux, les traits de son visage qui, plus tu observais, plus te semblaient familier. et puis encore une fois, c’était un très joli gars. tu tournes finalement le regard vers le miroir, observant le résultat. un sourire satisfait se dessinant sur tes lèvres, tu ne tardes pas à exprimer ton ressenti auprès du professionnel. « tu l’as même très très bien fait. » lui réponds-tu à ses paroles, lançant de nouveau un regard vers ce tatouage, encore bien rouge. « vraiment… j’aime beaucoup. » lorsque le jeune homme s’approche à nouveau de toi, tu reprends la parole pour qu’il te rassure un peu sur l’état de son dos. chose qu’il fait aussitôt avant de t’annoncer qu’il allait protéger le tatouage. tu acquiesces d’un geste de la tête, sans trop savoir à quoi t’attendre -encore une fois, t’es tout nouveau dans ce domaine. il t’explique alors la situation, tu l’écoutes, d’une oreille attentive, t’as pas non plus envie de faire n’importe quoi. tu veux faire ça bien. tu fronces même un peu les sourcils, un réflexe idiot, seulement, ça fait beaucoup d’informations à retenir. il va falloir que tu fasses confiance à ta bonne mémoire pour ça.. quoi que, lorsqu’il te dit que tout sera marqué sur une feuille, tu souris, amusé. « au pire.. j’ai ton numéro. » dis-tu, taquin. est-ce qu’on peut dire que tu commences un peu à tâter le terrain ? oui.. complètement. « quelle erreur de me l’avoir donné, je risque de t’embêter. » cette fois-ci, tu prononces ces mots d’un ton faussement menaçant. t’as pas non plus envie qu’il se mette à penser que tu allais réellement le faire, bien que ce n’était pas l’envie qui manquait. en fait, ça t’embêtait d’en rester là.. mais qu’est-ce que tu pouvais bien faire ? l’inviter à boire un verre ? ouais, ça t’avait traversé l’esprit, seulement, tu ne sais pas si c'est une bonne idée ou non. il doit sûrement être hétéro et ça serait.. étrange, pas vrai ? et comme pour prouver tes précédentes pensées, ton instinct est totalement absent sur ce coup là, t’es voué à toi-même. « je plaisante. » finis-tu par dire, on ne sait jamais… après tout, malgré ce sentiment de familiarité, tsuki ne te connaît pas plus que ça. ton sourire s’élargit de nouveau, tu lâches même un léger rire face à sa question, répondant de manière tout aussi taquine. « c’est trop tôt pour le dire je pense.. mais.. » il y a un mais? c’est foutu. « j’en garde un bon souvenir, j’hésiterai plus la prochaine fois. » tu fronces les sourcils, d’un air amusé, alors que ton sourire ne te quitte pas. « hm.. j’ai dit qu’il y allait avoir une prochaine fois ? oops... » bon en réalité, t’en sais trop rien. ce tatouage te tenait à coeur mais peut-être que tu pourrais avoir une autre idée, qui te tiendrait tout aussi à coeur et dans ce cas là, effectivement, le doute serait moins présent ? qui sait. seul l’avenir te le dira de toute façon. « en tout cas, j’te remercie beaucoup pour.. tout ça. » de t’avoir conseillé, d’avoir su te dessiner ce que tu voulais, de ne pas t’avoir fait mal aussi, et d’encore une fois, t’aider. il est vraiment trop adorable…
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Lun 20 Aoû - 0:18 Citer EditerSupprimer
Je souris doucement quand il me qu’il avait mon numéro en cas de besoin. Tout à fait et tu n’hésites pas à l’utiliser si tu as la moindre question, il est là pour ça, je hochais la tête assuré. Je lâchai un rire léger alors qu’il me dit que j’avais commis une erreur en me l’ayant donné. Mais clairement, il pouvait m'embêter quand il voulait. Même pour parler autre chose que de tatouage. Vu comme nous avions discuté si facilement, c’était quand il voulait pour m’appeler. J’avouais je n’avais pas vu le temps passer moi non plus, tellement notre échange avait été très agréable. Il fallait dire que la première fois que je l’avais rencontré, il ,m’avait semblé qu’il était un type vraiment très sympathique. Mais après aujourd’hui. Cela confirmait mon impression ? Naoya était vraiment une personne très intéressante. Douce. Gentille et qui avait toujours soif de connaissance. En plus il avait vraiment l’air tolérant. Puis non…. j’avais ce sentiment qu’il avait une personnalité vraiment adorable et…. douce ? C’était c’était mon impression principale. La douceur. Puis ce sentiment. Je ne savais pas pourquoi mais …. je savais tout ce qui se passait maintenant était important. Ma rencontre avec Nao qui m’avait donné ce sentiment…. ce sentiment de familiarité. Comme un vieil ami qu’on retrouvait. Ce sentiment qui me mettait si à l’aise en sa présence. Pour moi il y avait ce feeling qui était présent. Le courant passait. mais encore une fois, je pouvais me tromper. Après tout mon analyse était souvent défaillante. Pour ne pas dire tout le temps. Et cette cicatrice. Cette cicatrice et ces souvenirs qui étaient revenus. Je sentais que cette cicatrice, je la connaissais. Cet ami que j’avais oublié. est-ce que ce fameux ami avait eu une cicatrice similaire ? Je n’en savais rien. mais le fit était. Que j’avais…. je sais pas c’était bizarre. C’était comme si j’avais réparé une erreur. C’était le sentiment que j’avais. mais ça me semblait tellement illogique. Pourtant c’était ça. J’avais le sentiment qu’on retirait de mes épaules le poids de la culpabilité. Mais je réitirais ma pensée. Ce n’était pas logique. Mais j’avais arrêté de comprendre comment je fonctionnais depuis le temps, j’étais tellement déréglé. Mes sentiments étaient souvent illogiques alors je décidais de laisser couler, sans vraiment chercher à comprendre. J’en avais juste marre de mes sentiments chelous. T’inquiète, même si c’était pour plaisanter, tu ne me dérangera jamais Nao, avais-je dit avec un fin sourire. Mais à mon tour je fus curieux et je lui demandais ce qu’il en était sur le fameux virus tatouage. Et sa réponse me fit légèrement sauter de joie. Sauter ? Oui littéralement, j’avais fais un petit bond en joignant mes mains ensemble. Si un jour tu un projet en tête, parle m’en par message, d’accord ? Je souris doucement avant d'ajouter avec un rire léger. Je veux devenir ton tatoueur OFFICIEL. Interdit de voir la concurrence. Mais je finis par ajouter précipitamment. Je rigole bien sûr, tu peux aller chez un autre tatoueur. D’ailleurs j’ai quelques confrères sympa. Mais je suis un peu égoïste, j’ai envie de retravailler avec toi. J’avais fini par l’avouer tout en me passant une main derrière ma tête. C’était une manière de lui dire que je voulais le revoir ? Professionnellement ? Non parce que je voulais aussi le revoir en dehors du salon, mais j’avais peur de me prendre un vent… et puis il y avait cette hétérosexualité qui allait me revenir sur le coin de la tronche. Te fais pas trop d’idées Tsuki. Ca ne serait pas très bon pour ton petit coeur. Ce n’était pas une bonne idée de s’attacher à un hétéro. C’était jamais une bonne idée. Je hochai la tête quand il me remercia. Tout le plaisir était pour moi Nao, avais-je répondu en posant ma main sur son bras. oups un contact que je n’avais su retenir, je devais l’avouer. Puis je me rendis compte que j’avais complètement oublié un truc. Je sortis mon téléphone de la poche de mon jean. Au fait je peux prendre une photo du tatouage ? C’est… pour mon GNS, je l’avais demandé timidement, parce que ça restais un bas ventre quand même. J’attendis sa confirmation avant déverrouiller rapidement mon écran et de prendre plusieurs photo de mon oeuvre. Parce que je tenais à la publier. Une fois chose faite, je me redressais et partie à nouveau dans la réserve pour sortir un petit pot de crème et une autre petite bouteille. Je me tournais vers Nao et tendis les deux vers lui. Tiens, c’est pour entretenir ton tatouage. C’est du savon doux et et de la crème hydratante aux huiles essentielles, elle sent trop bon. Un conseil, met la crème au frais, ça risque de te tirailler sur les prochains jours, donc si elle est fraîche ça te fera beaucoup de bien. Passe t’en trois fois par jour et pareil nettoie le trois fois par jour. Si y’a des croutes qui se forment, interdit d’y gratter, ça doit tomber tout seul. Et reviens me voir dans un mois, pour que je regarde la cicatrisation, ok ? Pas besoin de prendre de rendez-vous pour ça, passes juste à la boutique, ou chez moi en privé aussi, ça marchait. Mais ça c’était mon esprit un peu trop pervers qui l’avait pensé. Bon en temps normal, ces deux trucs étaient payant. Mais ça je me gardais bien de le dire, parce que je voulais lui offrir… par gentillesse, par simple gentillesse désintéressée OKAY ?! Humm je crois que je t’ai tout dit. On peut retourner à l'accueil pour terminer le paiement, et clairement ça m’éccorchait de dire ça. Parce que je voulais qu’il reste ici. je voulais encore discuter, parler de tout et de rien. Et apprendre à le connaître. Je voulais juste rester avec Naoya. Je venais de le rencontrer…. et j’étais déjà accro à lui ? C’était quand même grave… avouons-le.
The universe has moved for us.
#tooraya
Je souris doucement quand il me qu’il avait mon numéro en cas de besoin. Tout à fait et tu n’hésites pas à l’utiliser si tu as la moindre question, il est là pour ça, je hochais la tête assuré. Je lâchai un rire léger alors qu’il me dit que j’avais commis une erreur en me l’ayant donné. Mais clairement, il pouvait m'embêter quand il voulait. Même pour parler autre chose que de tatouage. Vu comme nous avions discuté si facilement, c’était quand il voulait pour m’appeler. J’avouais je n’avais pas vu le temps passer moi non plus, tellement notre échange avait été très agréable. Il fallait dire que la première fois que je l’avais rencontré, il ,m’avait semblé qu’il était un type vraiment très sympathique. Mais après aujourd’hui. Cela confirmait mon impression ? Naoya était vraiment une personne très intéressante. Douce. Gentille et qui avait toujours soif de connaissance. En plus il avait vraiment l’air tolérant. Puis non…. j’avais ce sentiment qu’il avait une personnalité vraiment adorable et…. douce ? C’était c’était mon impression principale. La douceur. Puis ce sentiment. Je ne savais pas pourquoi mais …. je savais tout ce qui se passait maintenant était important. Ma rencontre avec Nao qui m’avait donné ce sentiment…. ce sentiment de familiarité. Comme un vieil ami qu’on retrouvait. Ce sentiment qui me mettait si à l’aise en sa présence. Pour moi il y avait ce feeling qui était présent. Le courant passait. mais encore une fois, je pouvais me tromper. Après tout mon analyse était souvent défaillante. Pour ne pas dire tout le temps. Et cette cicatrice. Cette cicatrice et ces souvenirs qui étaient revenus. Je sentais que cette cicatrice, je la connaissais. Cet ami que j’avais oublié. est-ce que ce fameux ami avait eu une cicatrice similaire ? Je n’en savais rien. mais le fit était. Que j’avais…. je sais pas c’était bizarre. C’était comme si j’avais réparé une erreur. C’était le sentiment que j’avais. mais ça me semblait tellement illogique. Pourtant c’était ça. J’avais le sentiment qu’on retirait de mes épaules le poids de la culpabilité. Mais je réitirais ma pensée. Ce n’était pas logique. Mais j’avais arrêté de comprendre comment je fonctionnais depuis le temps, j’étais tellement déréglé. Mes sentiments étaient souvent illogiques alors je décidais de laisser couler, sans vraiment chercher à comprendre. J’en avais juste marre de mes sentiments chelous. T’inquiète, même si c’était pour plaisanter, tu ne me dérangera jamais Nao, avais-je dit avec un fin sourire. Mais à mon tour je fus curieux et je lui demandais ce qu’il en était sur le fameux virus tatouage. Et sa réponse me fit légèrement sauter de joie. Sauter ? Oui littéralement, j’avais fais un petit bond en joignant mes mains ensemble. Si un jour tu un projet en tête, parle m’en par message, d’accord ? Je souris doucement avant d'ajouter avec un rire léger. Je veux devenir ton tatoueur OFFICIEL. Interdit de voir la concurrence. Mais je finis par ajouter précipitamment. Je rigole bien sûr, tu peux aller chez un autre tatoueur. D’ailleurs j’ai quelques confrères sympa. Mais je suis un peu égoïste, j’ai envie de retravailler avec toi. J’avais fini par l’avouer tout en me passant une main derrière ma tête. C’était une manière de lui dire que je voulais le revoir ? Professionnellement ? Non parce que je voulais aussi le revoir en dehors du salon, mais j’avais peur de me prendre un vent… et puis il y avait cette hétérosexualité qui allait me revenir sur le coin de la tronche. Te fais pas trop d’idées Tsuki. Ca ne serait pas très bon pour ton petit coeur. Ce n’était pas une bonne idée de s’attacher à un hétéro. C’était jamais une bonne idée. Je hochai la tête quand il me remercia. Tout le plaisir était pour moi Nao, avais-je répondu en posant ma main sur son bras. oups un contact que je n’avais su retenir, je devais l’avouer. Puis je me rendis compte que j’avais complètement oublié un truc. Je sortis mon téléphone de la poche de mon jean. Au fait je peux prendre une photo du tatouage ? C’est… pour mon GNS, je l’avais demandé timidement, parce que ça restais un bas ventre quand même. J’attendis sa confirmation avant déverrouiller rapidement mon écran et de prendre plusieurs photo de mon oeuvre. Parce que je tenais à la publier. Une fois chose faite, je me redressais et partie à nouveau dans la réserve pour sortir un petit pot de crème et une autre petite bouteille. Je me tournais vers Nao et tendis les deux vers lui. Tiens, c’est pour entretenir ton tatouage. C’est du savon doux et et de la crème hydratante aux huiles essentielles, elle sent trop bon. Un conseil, met la crème au frais, ça risque de te tirailler sur les prochains jours, donc si elle est fraîche ça te fera beaucoup de bien. Passe t’en trois fois par jour et pareil nettoie le trois fois par jour. Si y’a des croutes qui se forment, interdit d’y gratter, ça doit tomber tout seul. Et reviens me voir dans un mois, pour que je regarde la cicatrisation, ok ? Pas besoin de prendre de rendez-vous pour ça, passes juste à la boutique, ou chez moi en privé aussi, ça marchait. Mais ça c’était mon esprit un peu trop pervers qui l’avait pensé. Bon en temps normal, ces deux trucs étaient payant. Mais ça je me gardais bien de le dire, parce que je voulais lui offrir… par gentillesse, par simple gentillesse désintéressée OKAY ?! Humm je crois que je t’ai tout dit. On peut retourner à l'accueil pour terminer le paiement, et clairement ça m’éccorchait de dire ça. Parce que je voulais qu’il reste ici. je voulais encore discuter, parler de tout et de rien. Et apprendre à le connaître. Je voulais juste rester avec Naoya. Je venais de le rencontrer…. et j’étais déjà accro à lui ? C’était quand même grave… avouons-le.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Ven 24 Aoû - 23:24 Citer EditerSupprimer
évidemment, tu plaisantes. tu ne vas pas abuser de son numéro de téléphone bien que d’un côté, tu es tout de même rassuré de l’avoir. non parce que, soyons honnêtes, tu ne veux clairement pas en rester là.. seulement, c’est assez compliqué. tsuki te plaît, c’est vrai, mais il n’y a déjà que très peu de chance pour qu’il soit lgbt. ton sourire s’élargit quelque peu alors que tu hoches de nouveau la tête, son sourire te fait clairement fondre. ce garçon est non seulement adorable mais en plus, tu le trouves vraiment magnifique. alors quand il te rassure en te disant que tu ne le dérangeras jamais, tu hoches la tête. « ça me rassure... » bien que tu aimerais pouvoir lui parler autre que pour des tatouages, mais ça serait peut-être un peu trop.. étrange de le préciser ? alors quand il se met à te parler de ce fameux virus tatouage, tu en plaisantes également. tu n’as pas encore d’autres projets en tête -c’est beaucoup trop tôt- mais ça ne serait pas impossible après tout. tu sais ce que c’est, et c’était une bonne expérience à vivre. c’est même une sensation assez agréable malgré cette douleur qui survient à certain instant. une sensation.. unique. d’ailleurs, tsuki reprend aussi vite en te demandant de lui en parler si un jour, tu aurais un nouveau projet en tête. son rire te fait sourire, et tu souris d’autant plus franchement à ses paroles qui te touchent beaucoup. « tu plaisantes? » ton sourire s’élargit de nouveau, tu hoches rapidement la tête. « si ça arrive, je te veux toi. et personne d’autre. » et tu es sincère, tu te sens bien avec lui, à l’aise et puis… ce sentiment de familiarité, encore une fois. non vraiment, tu n’as même jamais songé à changer de tatoueur alors que tu as fait sa rencontre il y a peu de temps, c’est étrange.. mais c’est comme ça. et puis ça te fait tellement plaisir de savoir que ça ne le dérangerait pas, mieux, qu’il aimerait retravailler avec toi. en plus, ça serait une occasion de le revoir, pas vrai ? parce que tu aimerais beaucoup... l’idée de l’inviter à boire un verre ne te quitte pas, mais t’es bloqué. tu n’y arrives pas. tu n’as pas envie de l’effrayer ou d’abattre la relation que vous commencez doucement à construire. peut-être qu’il ne se passera jamais rien entre vous, c’est même assez probable, mais t’aimerais au moins garder contact avec lui… tsuki vient sortir son téléphone de sa poche, tu fronces les sourcils dans un premier temps, se demandant ce qu’il compte faire mais il t’explique bien vite ce qu’il se passe en te demandant de prendre une photo de ton tatouage pour son gns. « ah oui, bien-sûr. » tu relèves correctement ton haut de manière à voir ton nouveau tatouage (vraiment beaucoup trop beau, tu as du mal à en revenir). ça ne te dérange pas vraiment, bien qu’une question te reste dans un petit coin de ta tête, question que tu ne garderas pas pour toi. ta curiosité frappe, encore une fois. « tu postes les photos de tes oeuvres ? » ton sourire s’élargit. « j’aimerais beaucoup pouvoir en voir.. tu pourras me le filer ? » non sérieusement, t’es vraiment curieux… mais quand même, tu ne loupes pas l’occasion d’avoir son gns. après qu’il ait pris plusieurs clichés de ton tatouage, tu te rhabilles correctement alors qu’il part en direction de la réserve un court instant. c'est étrange... ça y est, tu es définitivement tatoué, ta cicatrice n'est plus qu'un lointain souvenir, ce n'est pas si compliqué de l'oublier, tu ne sais même pas d'où est-ce qu'elle peut provenir... tsuki revient avec plusieurs petites choses, t’expliquant un peu ce dont il s’agit, et ce que tu dois faire, tu fronces les sourcils, tentant de retenir toutes les informations comme il faut avant qu’il te dise de revenir vers lui dans un mois pour qu’il voit comment se passe la cicatrisation. « je.. dois en mettre tous les jours ou seulement si ça me tiraille ? » question débile ? peut-être, mais tu préfères les poser. on est jamais trop prudent. tu viens te saisir des deux pots, y jetant un oeil par curiosité avant de remonter ton regard vers le tatoueur, un fin sourire sur les lèvres. « dans un mois, ça marche. » sans rendez-vous donc, ça fait quand même pas mal d’informations à retenir mais tu dois bien l’avouer… avoir son numéro de téléphone te rassure, si jamais t’es perdu, tu n’hésiteras pas à lui envoyer un petit message… peut-être même que ça pourrait être une bonne raison pour discuter un peu avec lui ? on ne sait jamais. alors quand il propose de passer à la caisse, tu hoches la tête, prenant la direction de cette dernière. « tu aurais pû prendre ton temps pour mon tatouage tu sais.. j’aime bien discuter avec toi. » lâches-tu d’un air amusé bien que tout ça cache une lourde vérité. tu plaisantes, évidemment, il doit avoir des clients après toi mais c’est un moyen comme un autre de.. tater un peu le terrain ? lui faire comprendre que tu te sens bien en sa compagnie ? oui, tout à fait. une fois à la caisse, tu sors ton porte-feuille de ta poche arrière. « du coup.. combien je te dois pour le tatouage et.. » d’un geste de la main, tu indiques les pots de crèmes posés sur le comptoir avec un fin sourire. « tout ça? »
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#tooraya
évidemment, tu plaisantes. tu ne vas pas abuser de son numéro de téléphone bien que d’un côté, tu es tout de même rassuré de l’avoir. non parce que, soyons honnêtes, tu ne veux clairement pas en rester là.. seulement, c’est assez compliqué. tsuki te plaît, c’est vrai, mais il n’y a déjà que très peu de chance pour qu’il soit lgbt. ton sourire s’élargit quelque peu alors que tu hoches de nouveau la tête, son sourire te fait clairement fondre. ce garçon est non seulement adorable mais en plus, tu le trouves vraiment magnifique. alors quand il te rassure en te disant que tu ne le dérangeras jamais, tu hoches la tête. « ça me rassure... » bien que tu aimerais pouvoir lui parler autre que pour des tatouages, mais ça serait peut-être un peu trop.. étrange de le préciser ? alors quand il se met à te parler de ce fameux virus tatouage, tu en plaisantes également. tu n’as pas encore d’autres projets en tête -c’est beaucoup trop tôt- mais ça ne serait pas impossible après tout. tu sais ce que c’est, et c’était une bonne expérience à vivre. c’est même une sensation assez agréable malgré cette douleur qui survient à certain instant. une sensation.. unique. d’ailleurs, tsuki reprend aussi vite en te demandant de lui en parler si un jour, tu aurais un nouveau projet en tête. son rire te fait sourire, et tu souris d’autant plus franchement à ses paroles qui te touchent beaucoup. « tu plaisantes? » ton sourire s’élargit de nouveau, tu hoches rapidement la tête. « si ça arrive, je te veux toi. et personne d’autre. » et tu es sincère, tu te sens bien avec lui, à l’aise et puis… ce sentiment de familiarité, encore une fois. non vraiment, tu n’as même jamais songé à changer de tatoueur alors que tu as fait sa rencontre il y a peu de temps, c’est étrange.. mais c’est comme ça. et puis ça te fait tellement plaisir de savoir que ça ne le dérangerait pas, mieux, qu’il aimerait retravailler avec toi. en plus, ça serait une occasion de le revoir, pas vrai ? parce que tu aimerais beaucoup... l’idée de l’inviter à boire un verre ne te quitte pas, mais t’es bloqué. tu n’y arrives pas. tu n’as pas envie de l’effrayer ou d’abattre la relation que vous commencez doucement à construire. peut-être qu’il ne se passera jamais rien entre vous, c’est même assez probable, mais t’aimerais au moins garder contact avec lui… tsuki vient sortir son téléphone de sa poche, tu fronces les sourcils dans un premier temps, se demandant ce qu’il compte faire mais il t’explique bien vite ce qu’il se passe en te demandant de prendre une photo de ton tatouage pour son gns. « ah oui, bien-sûr. » tu relèves correctement ton haut de manière à voir ton nouveau tatouage (vraiment beaucoup trop beau, tu as du mal à en revenir). ça ne te dérange pas vraiment, bien qu’une question te reste dans un petit coin de ta tête, question que tu ne garderas pas pour toi. ta curiosité frappe, encore une fois. « tu postes les photos de tes oeuvres ? » ton sourire s’élargit. « j’aimerais beaucoup pouvoir en voir.. tu pourras me le filer ? » non sérieusement, t’es vraiment curieux… mais quand même, tu ne loupes pas l’occasion d’avoir son gns. après qu’il ait pris plusieurs clichés de ton tatouage, tu te rhabilles correctement alors qu’il part en direction de la réserve un court instant. c'est étrange... ça y est, tu es définitivement tatoué, ta cicatrice n'est plus qu'un lointain souvenir, ce n'est pas si compliqué de l'oublier, tu ne sais même pas d'où est-ce qu'elle peut provenir... tsuki revient avec plusieurs petites choses, t’expliquant un peu ce dont il s’agit, et ce que tu dois faire, tu fronces les sourcils, tentant de retenir toutes les informations comme il faut avant qu’il te dise de revenir vers lui dans un mois pour qu’il voit comment se passe la cicatrisation. « je.. dois en mettre tous les jours ou seulement si ça me tiraille ? » question débile ? peut-être, mais tu préfères les poser. on est jamais trop prudent. tu viens te saisir des deux pots, y jetant un oeil par curiosité avant de remonter ton regard vers le tatoueur, un fin sourire sur les lèvres. « dans un mois, ça marche. » sans rendez-vous donc, ça fait quand même pas mal d’informations à retenir mais tu dois bien l’avouer… avoir son numéro de téléphone te rassure, si jamais t’es perdu, tu n’hésiteras pas à lui envoyer un petit message… peut-être même que ça pourrait être une bonne raison pour discuter un peu avec lui ? on ne sait jamais. alors quand il propose de passer à la caisse, tu hoches la tête, prenant la direction de cette dernière. « tu aurais pû prendre ton temps pour mon tatouage tu sais.. j’aime bien discuter avec toi. » lâches-tu d’un air amusé bien que tout ça cache une lourde vérité. tu plaisantes, évidemment, il doit avoir des clients après toi mais c’est un moyen comme un autre de.. tater un peu le terrain ? lui faire comprendre que tu te sens bien en sa compagnie ? oui, tout à fait. une fois à la caisse, tu sors ton porte-feuille de ta poche arrière. « du coup.. combien je te dois pour le tatouage et.. » d’un geste de la main, tu indiques les pots de crèmes posés sur le comptoir avec un fin sourire. « tout ça? »
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Dim 26 Aoû - 2:32 Citer EditerSupprimer
Je ne pus m’empêcher de rougir légèrement quand Nao m’annonça que si jamais il était tenté par un autre tatouage, il viendrait me voir directement. Même qu’il avait dit qu’il me voulait moi et personne d’autre. J’avouais que cette phrase m’avait donné un petit coup de chaud, mais je concentrais pour mon esprit de divague pas trop. Je m’inclinais légèrement avant de dire précipitamment. Tout le plaisir serait pour moi. Dire que je partais d’une petite blague et qu’il m’avait dit quelque chose d’aussi touchant ? Bon après je n’excluais pas qu’il ait pu dire ça par politesse, mais à cet instants je préférais me dire ce commentaire était sincère. Dans tous les cas, ça me touchait directement dans mon petit coeur. parce que oui, je voulais encore travailler avec Naoya. Parce qu’en plus sa présence m’était très agréable et que… je voulais en savoir plus sur lui. `Meême si j’avais ce sentiment de le connaître depuis plus longtemps que ça, il n’en restait pas moins que je l’avais rencontré y’a peu. Et … je voulais le revoir, pour autre chose que le tatouage. Peut-être même amis ? Non parce que faute de pouvoir envisager de coucher avec lui, je pouvais toujours en faire un pote non ? Parce qu’il avait vraiment d’être un type sympa, doux et tolérant…. enfin après peut-être qu’encore une fois j’avais faux sur toute la lignes. Naturellement me rendant compte que j’avais oublié de prendre une photo, je sortis mon téléphone, je lui demandais aussi rapidement s’il me donnait l’autorisation de prendre un cliché de mon travail. Oui parce que le patron m’avait saoulé pour que je publie mon travail sur les réseaux sociaux. Selon lui ça faisait de la pub positive. Même si clairement, ben à la base, j’étais zéro sur les réseaux sociaux. Mon portable me servait à appeler, envoyer des messages et programmer mon réveil c’était déjà fabuleux. Mais le patron m’avait formé sur GNS - oui le trentenaire plus doué que le jeune sur les réseaux sociaux, c’était assez comique - et du coup je gérais pour l’utiliser. Je pris plusieurs clichés afin de trier plus tard et d’utiliser le meilleur. Merci, avais-je répondu en souriant doucement. Oh oui, des dessins et des peintures que je fais aussi. Puis des fois des trucs persos, y’a un peu de tout, avais-je dit en passant ma main dans les cheveux. Bien sûr ! C’est Akatsuki, avais-je dit tout en montrant ma page sur mon propre téléphone. äge sur lequel il y avait beaucoup de tatouages, et parfois des photos de moi et parfois des photo de Junhee. Et toi tu as ... un GNS aussi ? Après tout c’était le moment pour “follow back”, c’est comme que ça se disait non ? Non parce que si je pouvais avoir l’occasion de voir quelques photos de Nao… non parce que clairement Nao… il était quand même beau gosse il ne fallait pas se mentir. Finalement je vins lui apporter les produits pour entretenir son tatouage. Tout en prenant le temps de lui expliquer comment il allait devoir s’en occupé. Bon clairement, je me perdais un peu dans mes explications. Mais je voulais que ça soit clair et qu’il puisse tout comprendre. Et surtout qu’il s’occupe bien de cette nouvelle marques incrustée dans sa peau pour qu’elle ne bouge pas même des années plus tard. Les deux. Tu en mets tous les jours, après l’avoir l’avé c’est encore mieux. Mais tu peux aussi en mettre quand tu sens que ta peau tiraille. Je l’avais dit en hochant la tête, j’espérais juste que j’avais tout bien expliqué. Puis je finis par précisé qu’il fallait qu’il repasse dans un mois pour je puisse regarder la cicatrisation de son tatouage. Un mois, ça allait quand même être long avant de le revoir non ? J’osais juste espéré que je pourrai recroiser Nao avant… boire un café … j’en savais rien comment ça marchait moi ce genre de trucs. PUIS, j'étais censé faire quoi hein ? J’y connaissais rien en drague moi ! Je savais pas faire. Puis mince, pourquoi je voulais le draguer alors que c’était pas possible entre nous. Faut pas se faire d'idée Tsuki bon sang ! Enfin dans tous les cas, on arrivait à la fin du rendez-vous et c’était le moment de se quitter. Même si je n’avais pas du tout envie qu’il parte. Je voulais surtout qu’il reste ici plus longtemps… mais ce n’était pas possible. N’est-ce pas ? Mais sa remarque alors que nous prenions le chemin de la caisse. Je ris légèrement en passant la main dans mes cheveux pour les recoiffer. j’aurais aimé prendre plus de temps aussi. C’était très agréable de parler avec toi Nao. J’espère qu’on pourra se reparler, je l’avais dit timidement tout en passant derrière mon comptoir. Le patron était juste à côté, alors qu’il devait travailler sur un dessin pour un de ses clients. Mais j’avouais que je n’avais pas fait spécialement attention à sa présence, tant mon attention était portée sur Naoya. Quand il posa la question, je souris doucement et en agitant la main. 103500 won et pour les produits, je te les offre, vois ça comme…. un geste commercial pour te fidéliser au salon, je souris doucement. Je tournais mon regard alors que je tombais sur celui du patron qui nous regardait avec un grand sourire…. encore ce grand sourire. Non mais lui, a tous les coups il devait penser “Vas-y invite le à boire un verre ton petit japonais”. Et rien que d’y penser je soupirais longuement. Je me tournais à nouveau vers Naoya, récupérant la somme qu’il m’avait payé. Encore une fois… c’était un plaisir de travailler avec toi...je… tu…. je perdais mes mots alors j’avais contourné le comptoir pour venir vers lui. L'inviter ? Oui j’y pensais, mais je n’osais pas. De peur de me prendre un stop. De peur m’attacher à lui ? Les mots restèrent coincés dans ma gorge. Je relevais les yeux vers lui, préférant me rétracter. J’ai été ravis de te rencontrer. On se dit à dans un mois ? Je venais vraiment de faire ça ? Comme un gros con ? Je venais vraiment de m’auto friendzoner là ? Non répondez pas j’avais déjà la réponse. Mais dans le fond… ne valait-il pas mieux que ça soit comme ça ? Je n’en savais rien… mais dans le fond… je savais que c’était juste repousser l’inévitable. Malgré moi j’étais déjà attaché à Nao.
The universe has moved for us.
#tooraya
Je ne pus m’empêcher de rougir légèrement quand Nao m’annonça que si jamais il était tenté par un autre tatouage, il viendrait me voir directement. Même qu’il avait dit qu’il me voulait moi et personne d’autre. J’avouais que cette phrase m’avait donné un petit coup de chaud, mais je concentrais pour mon esprit de divague pas trop. Je m’inclinais légèrement avant de dire précipitamment. Tout le plaisir serait pour moi. Dire que je partais d’une petite blague et qu’il m’avait dit quelque chose d’aussi touchant ? Bon après je n’excluais pas qu’il ait pu dire ça par politesse, mais à cet instants je préférais me dire ce commentaire était sincère. Dans tous les cas, ça me touchait directement dans mon petit coeur. parce que oui, je voulais encore travailler avec Naoya. Parce qu’en plus sa présence m’était très agréable et que… je voulais en savoir plus sur lui. `Meême si j’avais ce sentiment de le connaître depuis plus longtemps que ça, il n’en restait pas moins que je l’avais rencontré y’a peu. Et … je voulais le revoir, pour autre chose que le tatouage. Peut-être même amis ? Non parce que faute de pouvoir envisager de coucher avec lui, je pouvais toujours en faire un pote non ? Parce qu’il avait vraiment d’être un type sympa, doux et tolérant…. enfin après peut-être qu’encore une fois j’avais faux sur toute la lignes. Naturellement me rendant compte que j’avais oublié de prendre une photo, je sortis mon téléphone, je lui demandais aussi rapidement s’il me donnait l’autorisation de prendre un cliché de mon travail. Oui parce que le patron m’avait saoulé pour que je publie mon travail sur les réseaux sociaux. Selon lui ça faisait de la pub positive. Même si clairement, ben à la base, j’étais zéro sur les réseaux sociaux. Mon portable me servait à appeler, envoyer des messages et programmer mon réveil c’était déjà fabuleux. Mais le patron m’avait formé sur GNS - oui le trentenaire plus doué que le jeune sur les réseaux sociaux, c’était assez comique - et du coup je gérais pour l’utiliser. Je pris plusieurs clichés afin de trier plus tard et d’utiliser le meilleur. Merci, avais-je répondu en souriant doucement. Oh oui, des dessins et des peintures que je fais aussi. Puis des fois des trucs persos, y’a un peu de tout, avais-je dit en passant ma main dans les cheveux. Bien sûr ! C’est Akatsuki, avais-je dit tout en montrant ma page sur mon propre téléphone. äge sur lequel il y avait beaucoup de tatouages, et parfois des photos de moi et parfois des photo de Junhee. Et toi tu as ... un GNS aussi ? Après tout c’était le moment pour “follow back”, c’est comme que ça se disait non ? Non parce que si je pouvais avoir l’occasion de voir quelques photos de Nao… non parce que clairement Nao… il était quand même beau gosse il ne fallait pas se mentir. Finalement je vins lui apporter les produits pour entretenir son tatouage. Tout en prenant le temps de lui expliquer comment il allait devoir s’en occupé. Bon clairement, je me perdais un peu dans mes explications. Mais je voulais que ça soit clair et qu’il puisse tout comprendre. Et surtout qu’il s’occupe bien de cette nouvelle marques incrustée dans sa peau pour qu’elle ne bouge pas même des années plus tard. Les deux. Tu en mets tous les jours, après l’avoir l’avé c’est encore mieux. Mais tu peux aussi en mettre quand tu sens que ta peau tiraille. Je l’avais dit en hochant la tête, j’espérais juste que j’avais tout bien expliqué. Puis je finis par précisé qu’il fallait qu’il repasse dans un mois pour je puisse regarder la cicatrisation de son tatouage. Un mois, ça allait quand même être long avant de le revoir non ? J’osais juste espéré que je pourrai recroiser Nao avant… boire un café … j’en savais rien comment ça marchait moi ce genre de trucs. PUIS, j'étais censé faire quoi hein ? J’y connaissais rien en drague moi ! Je savais pas faire. Puis mince, pourquoi je voulais le draguer alors que c’était pas possible entre nous. Faut pas se faire d'idée Tsuki bon sang ! Enfin dans tous les cas, on arrivait à la fin du rendez-vous et c’était le moment de se quitter. Même si je n’avais pas du tout envie qu’il parte. Je voulais surtout qu’il reste ici plus longtemps… mais ce n’était pas possible. N’est-ce pas ? Mais sa remarque alors que nous prenions le chemin de la caisse. Je ris légèrement en passant la main dans mes cheveux pour les recoiffer. j’aurais aimé prendre plus de temps aussi. C’était très agréable de parler avec toi Nao. J’espère qu’on pourra se reparler, je l’avais dit timidement tout en passant derrière mon comptoir. Le patron était juste à côté, alors qu’il devait travailler sur un dessin pour un de ses clients. Mais j’avouais que je n’avais pas fait spécialement attention à sa présence, tant mon attention était portée sur Naoya. Quand il posa la question, je souris doucement et en agitant la main. 103500 won et pour les produits, je te les offre, vois ça comme…. un geste commercial pour te fidéliser au salon, je souris doucement. Je tournais mon regard alors que je tombais sur celui du patron qui nous regardait avec un grand sourire…. encore ce grand sourire. Non mais lui, a tous les coups il devait penser “Vas-y invite le à boire un verre ton petit japonais”. Et rien que d’y penser je soupirais longuement. Je me tournais à nouveau vers Naoya, récupérant la somme qu’il m’avait payé. Encore une fois… c’était un plaisir de travailler avec toi...je… tu…. je perdais mes mots alors j’avais contourné le comptoir pour venir vers lui. L'inviter ? Oui j’y pensais, mais je n’osais pas. De peur de me prendre un stop. De peur m’attacher à lui ? Les mots restèrent coincés dans ma gorge. Je relevais les yeux vers lui, préférant me rétracter. J’ai été ravis de te rencontrer. On se dit à dans un mois ? Je venais vraiment de faire ça ? Comme un gros con ? Je venais vraiment de m’auto friendzoner là ? Non répondez pas j’avais déjà la réponse. Mais dans le fond… ne valait-il pas mieux que ça soit comme ça ? Je n’en savais rien… mais dans le fond… je savais que c’était juste repousser l’inévitable. Malgré moi j’étais déjà attaché à Nao.
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Re: The universe has moved for us [Tooraya] | Lun 10 Sep - 21:15 Citer EditerSupprimer
c'est vrai que c'est un peu étrange qu'il prenne ton tatouage en photo. un peu.. mais pas tant que ça, il faut bien qu'il ait un souvenir de ses œuvres pas vrai ? non c'est plutôt le fait qu'il veuille le poster sur gns, ça ne te dérange pas, loin de là, mais avec tout ça... tu aimerais bien avoir son gns toi. alors après que tsuki t'ait expliqué qu'il y avait un peu de tout sur sa page internet, il finit par te donner son pseudonyme. tu souris doucement, sortant ton téléphone de ta poche. « akatsuki... » répètes-tu, juste le temps pour toi de chercher dans la barre de recherche jusqu'à finalement tombé sur son gns. quelques selfies te sautent aux yeux, tu aurais bien pris le temps de les admirer mais tu n'as pas vraiment le temps, alors après l'avoir suivi, tu relèves ton regard vers lui, un tendre sourire sur les lèvres, tout en rangeant ton téléphone dans ta poche. « moi c'est pandaya. » c'est vrai que tu ne t'es pas trop foulé sur ton pseudo... tu as pris ton animal préféré, mixé avec ton nom, et hop. d'ailleurs, ton sourire devient très vite amusé alors que tu désignes ton tatouage d'un geste du doigt. bah oui, panda... ça ne l'étonnera pas. c'est cool tout de même, son numéro, son gns... tu ne perds pas trop contact avec lui même si tu le revois dans un mois, non parce que toi, l'idée de l'inviter à boire un verre te reste en travers dans la gorge. tu aurais osé habituellement, sans doute si tu avais la certitude qu'il y avait ne serait-ce qu'une infime chance, ou qu'il n'ait rien contre les lgbt.. et ça malheureusement, tu vis dans un pays où tu n'es à l'abris de rien. alors oui, pendant son absence, la question te reste bloqué dans la gorge. parce qu'en plus, tu sais que tu t'en voudras de ne pas lui avoir proposé mais au moins, tu pourras toujours tenter d'autres petites choses en ayant son numéro et son gns pas vrai ? non vraiment, t'as pas du tout envie d'en rester là... même si ça n'abouti pas dans le sens que tu aimerais à l'heure actuelle, ça t'embêterait beaucoup. tsuki revient avec d'autres produits, t'expliquant plus en détails, ce qui te sort un peu de toutes ces pensées. tu essayes de tout retenir comme il faut, connaissant ta mémoire, ça ne devrait pas être si compliqué mais on ne sait jamais, tu lui poses même quelques questions dans le doute. à sa réponse, tu hoches la tête, ce fin sourire sur les lèvres. ok.. t'as compris, tu n'oublieras pas, du moins, tu penses. et puis même si tu oublies ce n'est pas très grave, tsuki a pris des précautions et puis.. tu as son numéro, pas vrai ? de toute façon, vous n'allez pas tarder à vous quitter, alors te dirigeant vers la caisse, tu ne peux t'empêcher de lui faire une petite remarque, lui faisant comprendre que tu as passé un bon moment en sa compagnie et tu n'aurais pas été contre l'idée de passer plus de temps avec lui.. c'est peut-être un peu trop subtil, mais au moins c'est dit. à sa réponse, tu souris doucement. lui aussi a passé un bon moment, ugh.. l'envie de l'inviter se fait de plus en plus présente, mais quelque chose t'empêche de le faire, pourtant, tu ne peux t'empêcher d'ajouter, ouvrant ton porte monnaie. « on pourrait même se voir.. en dehors, j'ai ton numéro de toute façon. » ton sourire s'élargit bien que tu te coupes dans ton élan, tu ne vas pas en dire plus, tu en as peut-être déjà trop dit ? mais c'est vrai, vous pouvez sortir entre amis, en dehors de cet environnement, enfin.. à voir. tu sors quelques billets que tu déposes sur le comptoir face à lui, sans doute un peu plus que le prix qu'il t'avait annoncé. il est tellement adorable. « c'est gentil, tsuki. » mais au final, avec les quelques billets que tu as glissé en plus, ça doit revenir au même. tu t'en fous, c'est pour lui. pour tout ce qu'il vient de faire pour toi, c'est grâce à lui tout ça, après tout. toujours avec ce même sourire sur les lèvres, ton visage se tourne vers son collègue -et patron certainement?- son regard étant rivé dans votre direction, un regard assez étrange cela dit, qui te fait froncer les sourcils sans pour autant effacer ton sourire. tu penses y décrire quelque chose, mais tu n'y prêtes pas plus attention que ça, non, ton attention, tu la reposes aussitôt sur tsuki qui reprend la parole, avant de se couper, contournant le comptoir. tu devrais l'inviter, c'est le moment, peut-être que tu devrais aller contre tes doutes pour une fois, et tenter ? de manière moins.. subtil ? c'est un risque, cela dit, mais de toute façon, il coupe court à la conversation bien trop vite. tu attrapes les produits se trouvant sur le comptoir, ainsi que la feuille où tout devrait être noté -il a vraiment pensé à tout- avant de te tourner vers lui. « moi aussi, ça m'a fait plaisir.. et encore merci pour tout ça. » ton sourire s'élargit alors que tu commences à te reculer, à contre cœur, tu sais que tu te maudiras de ne pas l'avoir invité mais.. est-ce que tu pouvais réellement ? tu lances un regard à son collègue, le saluant d'un geste de la tête, avant de reposer ton regard sur tsuki. « à bientôt. » un dernier sourire et tu quittes finalement les lieux. un peu trop tôt à ton goût, mais c'est comme ça. tu as passé un bon moment avec lui, tu as enfin franchi le pas pour ton tatouage mais.. punaise, tu voulais l'inviter. tu grimpes rapidement dans ta voiture, passant une main sur ton bas ventre par réflexe, tu finis par déposer toutes ces petites choses sur le siège passager avant de mettre ta ceinture. tu déposes la feuille par dessus, te rappelant qu'il fallait que tu demandes à kwan sun de t'aider si c'était écrit en coréen, on ne sait jamais. ou peut-être en anglais ? ça t'évitera de déranger ton meilleur ami, dans le doute, tu viens te saisir de la feuille que tu ouvres, et là, t'es surpris. une lettre écrite à la main, et dans ta langue natale. tsuki t'avait traduit tout ça en japonais, et sans même que tu t'en rendes compte, ton sourire réapparaît sur ton visage. un doux sourire, ça te réchauffe le cœur, par instinct, tu lances même un regard dans ton rétroviseur, en direction de la boutique. décidément ce garçon est vraiment beaucoup trop adorable...
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c'est vrai que c'est un peu étrange qu'il prenne ton tatouage en photo. un peu.. mais pas tant que ça, il faut bien qu'il ait un souvenir de ses œuvres pas vrai ? non c'est plutôt le fait qu'il veuille le poster sur gns, ça ne te dérange pas, loin de là, mais avec tout ça... tu aimerais bien avoir son gns toi. alors après que tsuki t'ait expliqué qu'il y avait un peu de tout sur sa page internet, il finit par te donner son pseudonyme. tu souris doucement, sortant ton téléphone de ta poche. « akatsuki... » répètes-tu, juste le temps pour toi de chercher dans la barre de recherche jusqu'à finalement tombé sur son gns. quelques selfies te sautent aux yeux, tu aurais bien pris le temps de les admirer mais tu n'as pas vraiment le temps, alors après l'avoir suivi, tu relèves ton regard vers lui, un tendre sourire sur les lèvres, tout en rangeant ton téléphone dans ta poche. « moi c'est pandaya. » c'est vrai que tu ne t'es pas trop foulé sur ton pseudo... tu as pris ton animal préféré, mixé avec ton nom, et hop. d'ailleurs, ton sourire devient très vite amusé alors que tu désignes ton tatouage d'un geste du doigt. bah oui, panda... ça ne l'étonnera pas. c'est cool tout de même, son numéro, son gns... tu ne perds pas trop contact avec lui même si tu le revois dans un mois, non parce que toi, l'idée de l'inviter à boire un verre te reste en travers dans la gorge. tu aurais osé habituellement, sans doute si tu avais la certitude qu'il y avait ne serait-ce qu'une infime chance, ou qu'il n'ait rien contre les lgbt.. et ça malheureusement, tu vis dans un pays où tu n'es à l'abris de rien. alors oui, pendant son absence, la question te reste bloqué dans la gorge. parce qu'en plus, tu sais que tu t'en voudras de ne pas lui avoir proposé mais au moins, tu pourras toujours tenter d'autres petites choses en ayant son numéro et son gns pas vrai ? non vraiment, t'as pas du tout envie d'en rester là... même si ça n'abouti pas dans le sens que tu aimerais à l'heure actuelle, ça t'embêterait beaucoup. tsuki revient avec d'autres produits, t'expliquant plus en détails, ce qui te sort un peu de toutes ces pensées. tu essayes de tout retenir comme il faut, connaissant ta mémoire, ça ne devrait pas être si compliqué mais on ne sait jamais, tu lui poses même quelques questions dans le doute. à sa réponse, tu hoches la tête, ce fin sourire sur les lèvres. ok.. t'as compris, tu n'oublieras pas, du moins, tu penses. et puis même si tu oublies ce n'est pas très grave, tsuki a pris des précautions et puis.. tu as son numéro, pas vrai ? de toute façon, vous n'allez pas tarder à vous quitter, alors te dirigeant vers la caisse, tu ne peux t'empêcher de lui faire une petite remarque, lui faisant comprendre que tu as passé un bon moment en sa compagnie et tu n'aurais pas été contre l'idée de passer plus de temps avec lui.. c'est peut-être un peu trop subtil, mais au moins c'est dit. à sa réponse, tu souris doucement. lui aussi a passé un bon moment, ugh.. l'envie de l'inviter se fait de plus en plus présente, mais quelque chose t'empêche de le faire, pourtant, tu ne peux t'empêcher d'ajouter, ouvrant ton porte monnaie. « on pourrait même se voir.. en dehors, j'ai ton numéro de toute façon. » ton sourire s'élargit bien que tu te coupes dans ton élan, tu ne vas pas en dire plus, tu en as peut-être déjà trop dit ? mais c'est vrai, vous pouvez sortir entre amis, en dehors de cet environnement, enfin.. à voir. tu sors quelques billets que tu déposes sur le comptoir face à lui, sans doute un peu plus que le prix qu'il t'avait annoncé. il est tellement adorable. « c'est gentil, tsuki. » mais au final, avec les quelques billets que tu as glissé en plus, ça doit revenir au même. tu t'en fous, c'est pour lui. pour tout ce qu'il vient de faire pour toi, c'est grâce à lui tout ça, après tout. toujours avec ce même sourire sur les lèvres, ton visage se tourne vers son collègue -et patron certainement?- son regard étant rivé dans votre direction, un regard assez étrange cela dit, qui te fait froncer les sourcils sans pour autant effacer ton sourire. tu penses y décrire quelque chose, mais tu n'y prêtes pas plus attention que ça, non, ton attention, tu la reposes aussitôt sur tsuki qui reprend la parole, avant de se couper, contournant le comptoir. tu devrais l'inviter, c'est le moment, peut-être que tu devrais aller contre tes doutes pour une fois, et tenter ? de manière moins.. subtil ? c'est un risque, cela dit, mais de toute façon, il coupe court à la conversation bien trop vite. tu attrapes les produits se trouvant sur le comptoir, ainsi que la feuille où tout devrait être noté -il a vraiment pensé à tout- avant de te tourner vers lui. « moi aussi, ça m'a fait plaisir.. et encore merci pour tout ça. » ton sourire s'élargit alors que tu commences à te reculer, à contre cœur, tu sais que tu te maudiras de ne pas l'avoir invité mais.. est-ce que tu pouvais réellement ? tu lances un regard à son collègue, le saluant d'un geste de la tête, avant de reposer ton regard sur tsuki. « à bientôt. » un dernier sourire et tu quittes finalement les lieux. un peu trop tôt à ton goût, mais c'est comme ça. tu as passé un bon moment avec lui, tu as enfin franchi le pas pour ton tatouage mais.. punaise, tu voulais l'inviter. tu grimpes rapidement dans ta voiture, passant une main sur ton bas ventre par réflexe, tu finis par déposer toutes ces petites choses sur le siège passager avant de mettre ta ceinture. tu déposes la feuille par dessus, te rappelant qu'il fallait que tu demandes à kwan sun de t'aider si c'était écrit en coréen, on ne sait jamais. ou peut-être en anglais ? ça t'évitera de déranger ton meilleur ami, dans le doute, tu viens te saisir de la feuille que tu ouvres, et là, t'es surpris. une lettre écrite à la main, et dans ta langue natale. tsuki t'avait traduit tout ça en japonais, et sans même que tu t'en rendes compte, ton sourire réapparaît sur ton visage. un doux sourire, ça te réchauffe le cœur, par instinct, tu lances même un regard dans ton rétroviseur, en direction de la boutique. décidément ce garçon est vraiment beaucoup trop adorable...
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