Page 1 sur 2 • 1, 2
A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18]
Invité
Invité
A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Sam 11 Aoû - 20:33 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Il y avait des jours sacrément imprévisibles. Aujourd’hui en faisait clairement. On était en début de soirée. Junhee était venu me chercher au salon de tatouage pour me raccompagner à mon appartement. Je ne savais pas pourquoi, mais depuis qu'il avait appris qu'un type m'avait tabassé dans la rue - d'un côté c'était du ne pas s'en rendre compte vu ma tronche-, il avait décidé de m’attendre jusqu’à ce que je sorte du Bl’Ink, juste pour me conduire où je voulais, que soit chez moi ou ailleurs. Je n’allais pas me plaindre hein, mais encore une fois Junhee était… très présent dans ma vie. Autant dire qu’il ne m’aidait pas vraiment à être vraiment…. clair dans ma situation actuelle. Non parce qu’au dernière nouvelle, je ne sortais plus avec lui. Et clairement, notre couple n’allait jamais vraiment renaître de ses cendres. Pourtant il continuait à être là… de partout dans ma vie. Alors ce n’était pas vraiment différent d’un couple non ? Sauf qu’on n’avait pas l'appellation du couple. Sauf que voilà, il y avait Naoya. Et moi j’étais confus avec tous mes sentiments. Naoya était adorable. Naoya était beau et sexy. Naoya était un peu plus type très intéressant. Mais dans le fond Nao devait aussi être très hétéro. Mais voilà, depuis que j’avais rencontré ce type louche qui avait la même tête que lui… ben c’était bizarre. J’avais préféré de pas lui parler de ça par sms, pour ne pas le mettre mal à l’aise peut-être. Enfin bref.. j’étais très confus. Je ne savais pas quoi penser. Et c’était dans cette atmosphère que j’avais trouvé… un chat. Un putain de chat. Une touffe de poil blanche qui s’était frottée à mes jambes avec amour. Alors que Junhee m’avait dit de continuer ma route, le chat m’avait suivi… et de fil en aiguille je l’avais amené chez moi. Il était beaucoup trop amical pour être sauvage et beaucoup trop entretenu aussi. C’était probablement un chat domestique, non parce que des chats j’en avais croisé des tas pendant que je vivais dans les squat, et ça, c’était pas un putain de chat de gouttière. Peut-être que j’allais passer une annonce pour qu’il retrouve son maître ou sa maîtresse. En tout cas il n’avait pas de médaille pour sûr. J’avais finit par poster plusieurs photos de lui sur gns en attendant de passer une vraie annonce le lendemain. Sauf que voilà, le propriétaire avait reconnu son animal…. Et mon gars. le propriétaire c’était Naoya. LE Naoya. Celui qui peuplait toutes mes pensées. Putain comme quoi le hasard était quand même chelou avec lui. il m’avait envoyé un message, puis un autre et on avait convenu qu’il passe dans la soirée récupéré ce chat qui répondait au nom de Kyle.
Accroupi près du félin je le regardais boire dans le bol d’eau que je lui avais posé. Alors tu t’appelles Kyle toi, avais-je en japonais, parce que je parlais du principe que Nao devait lui parler en japonais aussi, histoire de ne pas trop le dépayser. Quand il reconnu son prénom, il tourna la tête vers moi et vint frotter sa joue contre la mienne. Je retins une grimace de douleur, il était gentil Kyle et très amical, mais putain ça faisait mal quand même. Il fallait dire que le jumeau maléfique de Nao ne m’avait pas raté et le pire était que j’avais oublié une partie de la soirée. Fichu cerveau dysfonctionnel. Enfin je ne pouvais pas en vouloir à Kyle il était adorable, c’était ma faute si je m’étais fait tabasser… j’attirais les emmerdes. T’es gentil bébé Kyle, ton papa ne devrait pas tarder, non ? Je me relevais alors que le félin me fixait avec des grand yeux. Je ne pu m’empêcher de sourire légèrement, il était quand même mignon. Je finis par me retourner et aller attraper un sac d’un légume surgelé dans mon congélateur, juste histoire de le mettre sur la tronche, je n’avais pas vraiment envie de faire peur à mon ami japonais avec mon arcade sourcilière droite ouverte, juste en dessous mon bleu qui se trouvait sur ma pommette et mon menton qui était éraflé. Au moins faute d’y faire disparaître, j’avais faire dégonfler ce bordel. Toujours le sac sur l’oeil, je montais jusqu’à mon espace chambre histoire de changer de tenue….Non ce n’était pas pour plaire à Nao, je vous jure. C’était parce que j’avais un peu froid. J’avais donc retiré mon top pour passer un simple pull kaki qui n'était pas trop chaud, mais je l’aimais bien. Parfait quand il faisait froid, mais pas trop. Puis il fallait dire qu’il suivait légèrement la forme de mon torse, mais pas trop - contraire mes tank top qui était beaucoup trop larges - et les mailles laissaient apparaître ma multitude de tatouages sur mon torse et mes piercings aux tétons, juste en les suggérant, enfin, encore fallait-il se concentrer pour les voir. Je baissais les yeux alors que je vis Kyle qui se frottait encore joyeusement à mes jambes en ronronnant. Il me fichait en l’air mon jean, mais je m’en foutais en fait. De ma main libre je me penchais pour lui caresser affectueusement le dos. Sauf que je finis par entendre la sonnerie. Oh merde ! J’arrive ! Avais-je crié précipitamment. Je descendis les escaliers quatre à quatre, je balançai mon sac gelé dans mon frigo. Je pris le soin de passer une main dans mes cheveux en bataille, encore une fois. J’essuyais rapidement peau encore humide d’un revers de manche. Une grande inspiration, zen Tsuki zen. J’ouvris légèrement la porte de mon chez moi, parce que je ne voulais pas que Kyle nous file entre les doigts, une habitude que j’avais prise en fréquentant le Paw Shop de mon ami Shin. Bonsoir Nao, je lui fis signe de rentrer en vitesse avant de fermer la porte derrière lui. Regarde qui est là Kyle, c’est papa Nao-nao ! avais-je dit joyeusement en me penchant pour le prendre dans mes bras comme un gros bébé. J’affichai un sourire innocent en regardant le félin. Il fallait dire que le courant était passé entre Kyle et moi, je l’aurais bien gardé chez moi mais je n’aurai su prendre soin d’un chat. Puis il était mieux avec Nao…. puis ça me donnait une raison de revoir Nao non ?
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - Il y avait des jours sacrément imprévisibles. Aujourd’hui en faisait clairement. On était en début de soirée. Junhee était venu me chercher au salon de tatouage pour me raccompagner à mon appartement. Je ne savais pas pourquoi, mais depuis qu'il avait appris qu'un type m'avait tabassé dans la rue - d'un côté c'était du ne pas s'en rendre compte vu ma tronche-, il avait décidé de m’attendre jusqu’à ce que je sorte du Bl’Ink, juste pour me conduire où je voulais, que soit chez moi ou ailleurs. Je n’allais pas me plaindre hein, mais encore une fois Junhee était… très présent dans ma vie. Autant dire qu’il ne m’aidait pas vraiment à être vraiment…. clair dans ma situation actuelle. Non parce qu’au dernière nouvelle, je ne sortais plus avec lui. Et clairement, notre couple n’allait jamais vraiment renaître de ses cendres. Pourtant il continuait à être là… de partout dans ma vie. Alors ce n’était pas vraiment différent d’un couple non ? Sauf qu’on n’avait pas l'appellation du couple. Sauf que voilà, il y avait Naoya. Et moi j’étais confus avec tous mes sentiments. Naoya était adorable. Naoya était beau et sexy. Naoya était un peu plus type très intéressant. Mais dans le fond Nao devait aussi être très hétéro. Mais voilà, depuis que j’avais rencontré ce type louche qui avait la même tête que lui… ben c’était bizarre. J’avais préféré de pas lui parler de ça par sms, pour ne pas le mettre mal à l’aise peut-être. Enfin bref.. j’étais très confus. Je ne savais pas quoi penser. Et c’était dans cette atmosphère que j’avais trouvé… un chat. Un putain de chat. Une touffe de poil blanche qui s’était frottée à mes jambes avec amour. Alors que Junhee m’avait dit de continuer ma route, le chat m’avait suivi… et de fil en aiguille je l’avais amené chez moi. Il était beaucoup trop amical pour être sauvage et beaucoup trop entretenu aussi. C’était probablement un chat domestique, non parce que des chats j’en avais croisé des tas pendant que je vivais dans les squat, et ça, c’était pas un putain de chat de gouttière. Peut-être que j’allais passer une annonce pour qu’il retrouve son maître ou sa maîtresse. En tout cas il n’avait pas de médaille pour sûr. J’avais finit par poster plusieurs photos de lui sur gns en attendant de passer une vraie annonce le lendemain. Sauf que voilà, le propriétaire avait reconnu son animal…. Et mon gars. le propriétaire c’était Naoya. LE Naoya. Celui qui peuplait toutes mes pensées. Putain comme quoi le hasard était quand même chelou avec lui. il m’avait envoyé un message, puis un autre et on avait convenu qu’il passe dans la soirée récupéré ce chat qui répondait au nom de Kyle.
Accroupi près du félin je le regardais boire dans le bol d’eau que je lui avais posé. Alors tu t’appelles Kyle toi, avais-je en japonais, parce que je parlais du principe que Nao devait lui parler en japonais aussi, histoire de ne pas trop le dépayser. Quand il reconnu son prénom, il tourna la tête vers moi et vint frotter sa joue contre la mienne. Je retins une grimace de douleur, il était gentil Kyle et très amical, mais putain ça faisait mal quand même. Il fallait dire que le jumeau maléfique de Nao ne m’avait pas raté et le pire était que j’avais oublié une partie de la soirée. Fichu cerveau dysfonctionnel. Enfin je ne pouvais pas en vouloir à Kyle il était adorable, c’était ma faute si je m’étais fait tabasser… j’attirais les emmerdes. T’es gentil bébé Kyle, ton papa ne devrait pas tarder, non ? Je me relevais alors que le félin me fixait avec des grand yeux. Je ne pu m’empêcher de sourire légèrement, il était quand même mignon. Je finis par me retourner et aller attraper un sac d’un légume surgelé dans mon congélateur, juste histoire de le mettre sur la tronche, je n’avais pas vraiment envie de faire peur à mon ami japonais avec mon arcade sourcilière droite ouverte, juste en dessous mon bleu qui se trouvait sur ma pommette et mon menton qui était éraflé. Au moins faute d’y faire disparaître, j’avais faire dégonfler ce bordel. Toujours le sac sur l’oeil, je montais jusqu’à mon espace chambre histoire de changer de tenue….Non ce n’était pas pour plaire à Nao, je vous jure. C’était parce que j’avais un peu froid. J’avais donc retiré mon top pour passer un simple pull kaki qui n'était pas trop chaud, mais je l’aimais bien. Parfait quand il faisait froid, mais pas trop. Puis il fallait dire qu’il suivait légèrement la forme de mon torse, mais pas trop - contraire mes tank top qui était beaucoup trop larges - et les mailles laissaient apparaître ma multitude de tatouages sur mon torse et mes piercings aux tétons, juste en les suggérant, enfin, encore fallait-il se concentrer pour les voir. Je baissais les yeux alors que je vis Kyle qui se frottait encore joyeusement à mes jambes en ronronnant. Il me fichait en l’air mon jean, mais je m’en foutais en fait. De ma main libre je me penchais pour lui caresser affectueusement le dos. Sauf que je finis par entendre la sonnerie. Oh merde ! J’arrive ! Avais-je crié précipitamment. Je descendis les escaliers quatre à quatre, je balançai mon sac gelé dans mon frigo. Je pris le soin de passer une main dans mes cheveux en bataille, encore une fois. J’essuyais rapidement peau encore humide d’un revers de manche. Une grande inspiration, zen Tsuki zen. J’ouvris légèrement la porte de mon chez moi, parce que je ne voulais pas que Kyle nous file entre les doigts, une habitude que j’avais prise en fréquentant le Paw Shop de mon ami Shin. Bonsoir Nao, je lui fis signe de rentrer en vitesse avant de fermer la porte derrière lui. Regarde qui est là Kyle, c’est papa Nao-nao ! avais-je dit joyeusement en me penchant pour le prendre dans mes bras comme un gros bébé. J’affichai un sourire innocent en regardant le félin. Il fallait dire que le courant était passé entre Kyle et moi, je l’aurais bien gardé chez moi mais je n’aurai su prendre soin d’un chat. Puis il était mieux avec Nao…. puis ça me donnait une raison de revoir Nao non ?
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Sam 11 Aoû - 22:47 Citer EditerSupprimer
(outfit) - tu avais bien passé des heures dehors à la recherche de ton chat. akiya avait laissé la porte du balcon ouverte, résultat ? ton chat a encore pris la fuite. ce n’est pas évident de vivre en appartement, il y a moins de chance pour qu'un chat se sauve, oui, mais quand il parvient à se sauver, c’est encore plus compliqué pour lui de rentrer. tu avais une boule au ventre durant tes recherches, kyle, c’est ton petit bébé, tu l’aimes beaucoup trop ton chat, alors l’idée de ne plus le revoir te rendait excessivement mal. décidément, akiya ne faisait rien pour arranger son cas, mais soyons honnête, il n’a déjà aucune pitié pour les humains, alors pour les animaux… ce n’est un secret pour personne, il ne comprend pas comment tu peux autant aimer cette boule de poils. encore une différence marquante entre vous deux, mais là, tu es en colère contre lui. c’est de sa faute, il ne fait pas attention parce qu’il en a rien à faire. il a le droit d’en avoir rien à foutre de kyle, mais ça reste ton chat, il pourrait au moins faire attention pour toi. m’enfin, ça aussi ça serait trop lui demander, pas vrai ? quoi qu’il en soit, tu as fini par abandonner tes recherches. ce n’est pas faute d’avoir persévéré, tu es rentré chez toi le coeur serré, enfermé dans ta chambre parce que soyons honnête : ce n’est pas le moment de croiser le chemin d’akiya. il y a déjà de fortes chances pour que ça parte dans tous les sens en temps normal mais là, tu risquerais de lui ses quatre vérités un peu trop franchement. et en fin d’après-midi, tu étais tombé sur le post gns de tsuki. si tu t’attendais à voir une photo de ton chat ? pas le moins du monde. pourtant c’était bien lui, tsuki a ton chat. tu t’étais empressé de lui envoyer un message pour t’assurer qu’il s’agissait bien du tien, et après quelques échanges, tsuki t’avait proposé de venir le récupérer chez lui. décidément, heureusement qu’il est là tsuki. soyons honnête, ça t’embêtait de ne plus le revoir, mais après t’être fait tatouer… tu ne voyais pas comment tu aurais pu retourner vers lui. pourtant, dieu sait que tu t’étais maudit de ne pas l’avoir invité à boire un verre. il te plaît tsuki, tu te sens bien en sa compagnie… il n’est pas que canon, il est aussi extrêmement doux et gentil, et encore une fois, il te sauve la mise. le feeling est là, c’est certain, mais c’est un garçon. tu ne vis pas dans un pays très ouvert d’esprit à ce sujet là… alors oui, tu as préféré ne rien dire, mais tu l’as longuement regretté. dans un sens, tu es vraiment content de le revoir ce soir, en plus de récupérer ton chat, avec un peu de chance, peut-être que tu pourras passer une petite soirée avec lui ou le revoir par la suite ? tu l’espères, au fond.
après avoir envoyé un dernier sms à tsuki histoire d’être certain de ne pas passer au mauvais moment ou de ne pas le déranger, tu te diriges finalement vers l’adresse qu’il t’a indiqué, vérifiant x fois que tu te trouves bien au bon endroit. arrivé devant la porte, tu sonnes avant d’entendre sa voix à travers cette dernière, comme pour te faire patienter, tu regardes tout autour de toi avant qu’un bruit de porte te fasse tourner la tête, tu y aperçois alors tsuki qui entrouvre la porte, tu retrouves très vite ton doux sourire. « bonsoir, » commences-tu avant d’entrer dans la pièce lorsqu’il te laisse passer avant de refermer la porte derrière toi. tu regardes autour de toi pendant quelques secondes, y découvrant les lieux, mais ton attention est très vite reportée sur tsuki. il adresse quelques mots à kyle, lorsque ton regard se pose sur ton chat, ton sourire devient plus attendri.. plus soulagé aussi. t’es si content de le revoir, il faut dire que pendant plusieurs heures, tu pensais l’avoir perdu pour de bon. alors dans un réflexe, tu t’approches de ton petit bébé, se trouvant dans les bras de tsuki. « bah alors? t’en as tellement marre de moi que tu fuis dans les bras de tsuki, c’est ça? » lâches-tu d’une voix plus douce et aussi amusée. oui, c’est bien à ton chat que tu parles, sans aucune gêne ni honte. ton grand-frère te prend pour un fou à parler aux animaux comme ça, mais tu es comme ça. ta main vient caresser doucement la tête de ton animal avant que tu relèves le regard vers le tatoueur, mais en remarquant son visage, tu fronces les sourcils. tu penses mal voir dans un premier temps, c’est vrai qu’avec ses cheveux devant le visage, tu n’as pas une bonne visibilité. pourtant tu ne rêves pas, c’est bien des coups que tu pense voir sur son visage. aussitôt tes sourcils se froncent d’inquiétude. « mais… tu t’es battu? » lui demandes-tu, d’une voix fébrile d’inquiétude. ça ne te regarde peut-être pas, mais tu n’y penses pas. tu as même ce réflexe d’approcher ta main de son visage pour dégager quelques mèches de ses cheveux. ainsi, tu peux mieux constater les dégâts et remarquer que tu ne rêves pas : son arcade droite ouverte, un bleu sur sa joue et puis, un menton éraflé. ok, tu t’inquiètes là. tu t’inquiètes beaucoup. « qu-.. qu’est-ce que t’as fait? » dire que tu étais heureux de revenir ici, récupérer ton chat mais aussi pour revoir tsuki... tu ne t'attendais pas à le voir dans un tel état, ça t'inquiète réellement.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - tu avais bien passé des heures dehors à la recherche de ton chat. akiya avait laissé la porte du balcon ouverte, résultat ? ton chat a encore pris la fuite. ce n’est pas évident de vivre en appartement, il y a moins de chance pour qu'un chat se sauve, oui, mais quand il parvient à se sauver, c’est encore plus compliqué pour lui de rentrer. tu avais une boule au ventre durant tes recherches, kyle, c’est ton petit bébé, tu l’aimes beaucoup trop ton chat, alors l’idée de ne plus le revoir te rendait excessivement mal. décidément, akiya ne faisait rien pour arranger son cas, mais soyons honnête, il n’a déjà aucune pitié pour les humains, alors pour les animaux… ce n’est un secret pour personne, il ne comprend pas comment tu peux autant aimer cette boule de poils. encore une différence marquante entre vous deux, mais là, tu es en colère contre lui. c’est de sa faute, il ne fait pas attention parce qu’il en a rien à faire. il a le droit d’en avoir rien à foutre de kyle, mais ça reste ton chat, il pourrait au moins faire attention pour toi. m’enfin, ça aussi ça serait trop lui demander, pas vrai ? quoi qu’il en soit, tu as fini par abandonner tes recherches. ce n’est pas faute d’avoir persévéré, tu es rentré chez toi le coeur serré, enfermé dans ta chambre parce que soyons honnête : ce n’est pas le moment de croiser le chemin d’akiya. il y a déjà de fortes chances pour que ça parte dans tous les sens en temps normal mais là, tu risquerais de lui ses quatre vérités un peu trop franchement. et en fin d’après-midi, tu étais tombé sur le post gns de tsuki. si tu t’attendais à voir une photo de ton chat ? pas le moins du monde. pourtant c’était bien lui, tsuki a ton chat. tu t’étais empressé de lui envoyer un message pour t’assurer qu’il s’agissait bien du tien, et après quelques échanges, tsuki t’avait proposé de venir le récupérer chez lui. décidément, heureusement qu’il est là tsuki. soyons honnête, ça t’embêtait de ne plus le revoir, mais après t’être fait tatouer… tu ne voyais pas comment tu aurais pu retourner vers lui. pourtant, dieu sait que tu t’étais maudit de ne pas l’avoir invité à boire un verre. il te plaît tsuki, tu te sens bien en sa compagnie… il n’est pas que canon, il est aussi extrêmement doux et gentil, et encore une fois, il te sauve la mise. le feeling est là, c’est certain, mais c’est un garçon. tu ne vis pas dans un pays très ouvert d’esprit à ce sujet là… alors oui, tu as préféré ne rien dire, mais tu l’as longuement regretté. dans un sens, tu es vraiment content de le revoir ce soir, en plus de récupérer ton chat, avec un peu de chance, peut-être que tu pourras passer une petite soirée avec lui ou le revoir par la suite ? tu l’espères, au fond.
après avoir envoyé un dernier sms à tsuki histoire d’être certain de ne pas passer au mauvais moment ou de ne pas le déranger, tu te diriges finalement vers l’adresse qu’il t’a indiqué, vérifiant x fois que tu te trouves bien au bon endroit. arrivé devant la porte, tu sonnes avant d’entendre sa voix à travers cette dernière, comme pour te faire patienter, tu regardes tout autour de toi avant qu’un bruit de porte te fasse tourner la tête, tu y aperçois alors tsuki qui entrouvre la porte, tu retrouves très vite ton doux sourire. « bonsoir, » commences-tu avant d’entrer dans la pièce lorsqu’il te laisse passer avant de refermer la porte derrière toi. tu regardes autour de toi pendant quelques secondes, y découvrant les lieux, mais ton attention est très vite reportée sur tsuki. il adresse quelques mots à kyle, lorsque ton regard se pose sur ton chat, ton sourire devient plus attendri.. plus soulagé aussi. t’es si content de le revoir, il faut dire que pendant plusieurs heures, tu pensais l’avoir perdu pour de bon. alors dans un réflexe, tu t’approches de ton petit bébé, se trouvant dans les bras de tsuki. « bah alors? t’en as tellement marre de moi que tu fuis dans les bras de tsuki, c’est ça? » lâches-tu d’une voix plus douce et aussi amusée. oui, c’est bien à ton chat que tu parles, sans aucune gêne ni honte. ton grand-frère te prend pour un fou à parler aux animaux comme ça, mais tu es comme ça. ta main vient caresser doucement la tête de ton animal avant que tu relèves le regard vers le tatoueur, mais en remarquant son visage, tu fronces les sourcils. tu penses mal voir dans un premier temps, c’est vrai qu’avec ses cheveux devant le visage, tu n’as pas une bonne visibilité. pourtant tu ne rêves pas, c’est bien des coups que tu pense voir sur son visage. aussitôt tes sourcils se froncent d’inquiétude. « mais… tu t’es battu? » lui demandes-tu, d’une voix fébrile d’inquiétude. ça ne te regarde peut-être pas, mais tu n’y penses pas. tu as même ce réflexe d’approcher ta main de son visage pour dégager quelques mèches de ses cheveux. ainsi, tu peux mieux constater les dégâts et remarquer que tu ne rêves pas : son arcade droite ouverte, un bleu sur sa joue et puis, un menton éraflé. ok, tu t’inquiètes là. tu t’inquiètes beaucoup. « qu-.. qu’est-ce que t’as fait? » dire que tu étais heureux de revenir ici, récupérer ton chat mais aussi pour revoir tsuki... tu ne t'attendais pas à le voir dans un tel état, ça t'inquiète réellement.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Dim 12 Aoû - 21:15 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Il fallait que j’avoue une chose, que le chat de Naoya soit venu à moi et qu’il soit resté chez moi un temps, ça m’avait plus. Ces derniers temps j’avais eu la fâcheuse tendance à découcher de chez moi et à éviter de rentrer dans mon appartement. Parce que je faisais face au fait que j’étais seul et qu’il n’y avait pas la moindre personne qui m’attendait chez moi. Et autant dire que ça me donnait le sentiment d’être… vide ? Alors j’avais souvent fini par sortir, fréquenter encore plus de boîte de nuit, parcourant les rues pour chercher de quoi m’occuper l’esprit. Et c’était comme ça que j’avais croisé cet homme après tout. Et comme ça que j’avais fini par me faire casser la figure par ce dernier. Cet homme qui ressemblait à Naoya Et pour ça qu’aujourd’hui je ne travaillais pas au Bloom. Non parce qu’un tripteaseur avec un cocard, ça faisait mauvais genre, qu’on se le dise. Blink en voyant ma tronche m’avait proposé de m’arrêter une semaine ou deux pour que je puisse m’en remettre, mais il avait été clair que pour moi, rester h24 chez moi, c’était impossible, j’aurais pu encore plus partir en vrille. Alors clairement c’était pas possible. Il avait fini par quand même m’imposer quelques jours de repos en plus, oui imposé. Je n’avais pas vraiment eu le choix, mais il faisait ça pour moi après tout. Il s’était arrangé avec mes rendez-vous et les avait décalé. Mon patron était quand même un amour l’air de rien. Mais le fait était que j’avais encore plus de moments de solitude et quand Kyle était arrivé, ben il avait comblé ces instants où j’étais seul, venant se lover contre moi et ronronnant avec bonheur. J’avouais que je l’avais même dessiné rapidement sur mon carnet de croquis tellement il était adorable. Je savais que je n’étais pas prêt à avoir un chat, pas situation financière n’étant pas stable du tout et surtout que j’avais peur de mal m’en occuper, mais j’aurais adoré en avoir un. Enfin en attendant, je me contentais des pensionnaires du Paw Shop de Shin. Mais ouais j’aurais bien aimé adopter un félin dans cet appartement.
Kyle dans mes bras tel le bébé qu’il était je lui parlais comme si j’avais été une nounou qui avait gardé un enfant dont le parent venait de rentrer du travail. Je ne pus m'empêcher de sourire doucement alors qu’il s’approcha de son chat et commença à lui parler. Visiblement je n’étais pas le seul à parler au chat comme s’il allait me répondre. D’ailleurs j’avouais avoir eu quelques grands conversation avec le félin. Par réflexe je répondis en prenant un voix un peu plus aiguë que la mienne pour faire un semblant de voir de Kyle. Meow, oh non papa je t’aime très fort, mais Tsuki a été très gentil avec moi on a joué comme des fou-fou. Meow. Je ris doucement après avoir fait, ce qui n’était pas une bonne idée vu que ça eu pour effet de réveiller les douleurs j’avais au visage. Je grimaçai très légèrement, faisant de mon mieux que ne pas que Nao le remarque, surtout. Puis quand son regard vint croiser le mien je me figeai légèrement. J’avais tenté tant bien que mal de cacher ma sale gueule mettant mes cheveux devant mon visage, mais il était clair qu’il allait le voir. Et la phrase tomba. Je me mordis la lèvre inférieure, comme un gamin qu’on avait pris la main dans le sac. Et surtout, ça faisait remonter les souvenirs partiels de cette soirée que je ne tenais pas franchement à faire remonter. Et surtout cette rencontre étrange avec cet…. homme qui ressemblait à Naoya. J’eus le réflexe que de regarder rapidement l’arcade sourcilière de Nao. Dans mes souvenirs, l’homme avait un piercing à cet endroit. Mais là non.C’est trois fois rien Nao, je... Je baissais les yeux, cherchant à fuir son regard. J’étais perturbé oui. Et avec juste le souvenir du visage de l’autre Nao. C’était bizarre. Sans compter sur le fait que je ne voulais pas qu’il pense que j’étais… le genre de personne à me battre. Parce que c’était pas moi. Alors oui, c’était trois fois rien. Un trois fois rien qui m’avait fait ramper jusqu’à chez ma soeur de coeur, qui m’avait forcé à rester à l'hôpital en plus. Mais ça je ne lui dirai pas, j’aurais probablement aggravé mon cas. Mais pourtant, toujours avec le regard vers le bas - aussi pour cacher un peu plus mes marques disgracieuses - Nao approcha sa main. J’osais à peine bouger, en redressant mon visage pour le regarder, il dégagea quelques mèche de mes cheveux. Bon sang comme j’avais envie de pencher la tête sur le côté pour poser ma joue contre la paume de sa main. ce que j’avais fait ? J’étais incapable de dire moi-même comment les choses avaient dérapées. J’étais aussi incapable d’assumer le fait que je ne me souvenais pas d’une partie de cette soirée tant mon cerveau n’était qu’une loque. Je finis par lâcher doucement Kyle afin qui se balade librement dans l’appartement. Trois fois rien je te dis… juste une mauvaise rencontre. Trois fois rien de se faire frapper par un double maléfique de celui pour lequel je craquais ? Tellement que mon ex avait décidé de me raccompagner sur chacun de mes trajets maintenant ? Juste pour être sûr que je ne faisais pas de mauvaises rencontres ? Que Bae-Bae m’avait forcer à aller à l’hôpital pour vérifier que je n’avais pas de blessures internes ? Oui je minimisais carrément le truc. Juste que… on m’a agressé il n’y a pas longtemps, j’avais dit ça en croisant les bras sur mon torse comme pour me protéger moi-même. Je cogitais, mon regard se baissa à nouveau. Je voulais lui demander. L’idée m’avait torturé. Je devais lui en parler. Je devais être fixé, avoir le fin mot de l’histoire. J’avais hésité longtemps en regardant mon téléphone, pour lui en parler par message, mais … quelque chose m’en avait empêché. Je pris une longue inspiration avant de redresser mon visage pour croiser le regard du jeune japonais. Ok, je vais dire un truc… bizarre, tu peux me prendre pour un fou si tu veux, mais... Je pris une longue inspiration pour reprendre contenance avant de rajouter ... la personne qui m’a agressé. Elle te ressemblait. Pas juste un peu… c’était toi, c’était exactement toi. Je frissonais avant de rajouter en montrant du doigt mon arcade sourcilière encore ouverte -visiblement pas assez pour être suturée- en ajoutant: Il avait un piercing là. Je rebaissais la main pour la remettre sur mon épaule, toujours dans cette position de repli. Mais c’était pas toi… hein Nao-Nao ? C’était genre… un jumeau maléfique, j’sais pas quoi ? J’avais du mal à cacher que ma voix était tremblante. J’étais perturbé. Et cette idée que Nao puisse me détester. Elle me rendait malade. Je me rendais compte que j’étais plus attaché à cette personne que je venais de rencontrer que je ne voulais bien l’admettre.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - Il fallait que j’avoue une chose, que le chat de Naoya soit venu à moi et qu’il soit resté chez moi un temps, ça m’avait plus. Ces derniers temps j’avais eu la fâcheuse tendance à découcher de chez moi et à éviter de rentrer dans mon appartement. Parce que je faisais face au fait que j’étais seul et qu’il n’y avait pas la moindre personne qui m’attendait chez moi. Et autant dire que ça me donnait le sentiment d’être… vide ? Alors j’avais souvent fini par sortir, fréquenter encore plus de boîte de nuit, parcourant les rues pour chercher de quoi m’occuper l’esprit. Et c’était comme ça que j’avais croisé cet homme après tout. Et comme ça que j’avais fini par me faire casser la figure par ce dernier. Cet homme qui ressemblait à Naoya Et pour ça qu’aujourd’hui je ne travaillais pas au Bloom. Non parce qu’un tripteaseur avec un cocard, ça faisait mauvais genre, qu’on se le dise. Blink en voyant ma tronche m’avait proposé de m’arrêter une semaine ou deux pour que je puisse m’en remettre, mais il avait été clair que pour moi, rester h24 chez moi, c’était impossible, j’aurais pu encore plus partir en vrille. Alors clairement c’était pas possible. Il avait fini par quand même m’imposer quelques jours de repos en plus, oui imposé. Je n’avais pas vraiment eu le choix, mais il faisait ça pour moi après tout. Il s’était arrangé avec mes rendez-vous et les avait décalé. Mon patron était quand même un amour l’air de rien. Mais le fait était que j’avais encore plus de moments de solitude et quand Kyle était arrivé, ben il avait comblé ces instants où j’étais seul, venant se lover contre moi et ronronnant avec bonheur. J’avouais que je l’avais même dessiné rapidement sur mon carnet de croquis tellement il était adorable. Je savais que je n’étais pas prêt à avoir un chat, pas situation financière n’étant pas stable du tout et surtout que j’avais peur de mal m’en occuper, mais j’aurais adoré en avoir un. Enfin en attendant, je me contentais des pensionnaires du Paw Shop de Shin. Mais ouais j’aurais bien aimé adopter un félin dans cet appartement.
Kyle dans mes bras tel le bébé qu’il était je lui parlais comme si j’avais été une nounou qui avait gardé un enfant dont le parent venait de rentrer du travail. Je ne pus m'empêcher de sourire doucement alors qu’il s’approcha de son chat et commença à lui parler. Visiblement je n’étais pas le seul à parler au chat comme s’il allait me répondre. D’ailleurs j’avouais avoir eu quelques grands conversation avec le félin. Par réflexe je répondis en prenant un voix un peu plus aiguë que la mienne pour faire un semblant de voir de Kyle. Meow, oh non papa je t’aime très fort, mais Tsuki a été très gentil avec moi on a joué comme des fou-fou. Meow. Je ris doucement après avoir fait, ce qui n’était pas une bonne idée vu que ça eu pour effet de réveiller les douleurs j’avais au visage. Je grimaçai très légèrement, faisant de mon mieux que ne pas que Nao le remarque, surtout. Puis quand son regard vint croiser le mien je me figeai légèrement. J’avais tenté tant bien que mal de cacher ma sale gueule mettant mes cheveux devant mon visage, mais il était clair qu’il allait le voir. Et la phrase tomba. Je me mordis la lèvre inférieure, comme un gamin qu’on avait pris la main dans le sac. Et surtout, ça faisait remonter les souvenirs partiels de cette soirée que je ne tenais pas franchement à faire remonter. Et surtout cette rencontre étrange avec cet…. homme qui ressemblait à Naoya. J’eus le réflexe que de regarder rapidement l’arcade sourcilière de Nao. Dans mes souvenirs, l’homme avait un piercing à cet endroit. Mais là non.C’est trois fois rien Nao, je... Je baissais les yeux, cherchant à fuir son regard. J’étais perturbé oui. Et avec juste le souvenir du visage de l’autre Nao. C’était bizarre. Sans compter sur le fait que je ne voulais pas qu’il pense que j’étais… le genre de personne à me battre. Parce que c’était pas moi. Alors oui, c’était trois fois rien. Un trois fois rien qui m’avait fait ramper jusqu’à chez ma soeur de coeur, qui m’avait forcé à rester à l'hôpital en plus. Mais ça je ne lui dirai pas, j’aurais probablement aggravé mon cas. Mais pourtant, toujours avec le regard vers le bas - aussi pour cacher un peu plus mes marques disgracieuses - Nao approcha sa main. J’osais à peine bouger, en redressant mon visage pour le regarder, il dégagea quelques mèche de mes cheveux. Bon sang comme j’avais envie de pencher la tête sur le côté pour poser ma joue contre la paume de sa main. ce que j’avais fait ? J’étais incapable de dire moi-même comment les choses avaient dérapées. J’étais aussi incapable d’assumer le fait que je ne me souvenais pas d’une partie de cette soirée tant mon cerveau n’était qu’une loque. Je finis par lâcher doucement Kyle afin qui se balade librement dans l’appartement. Trois fois rien je te dis… juste une mauvaise rencontre. Trois fois rien de se faire frapper par un double maléfique de celui pour lequel je craquais ? Tellement que mon ex avait décidé de me raccompagner sur chacun de mes trajets maintenant ? Juste pour être sûr que je ne faisais pas de mauvaises rencontres ? Que Bae-Bae m’avait forcer à aller à l’hôpital pour vérifier que je n’avais pas de blessures internes ? Oui je minimisais carrément le truc. Juste que… on m’a agressé il n’y a pas longtemps, j’avais dit ça en croisant les bras sur mon torse comme pour me protéger moi-même. Je cogitais, mon regard se baissa à nouveau. Je voulais lui demander. L’idée m’avait torturé. Je devais lui en parler. Je devais être fixé, avoir le fin mot de l’histoire. J’avais hésité longtemps en regardant mon téléphone, pour lui en parler par message, mais … quelque chose m’en avait empêché. Je pris une longue inspiration avant de redresser mon visage pour croiser le regard du jeune japonais. Ok, je vais dire un truc… bizarre, tu peux me prendre pour un fou si tu veux, mais... Je pris une longue inspiration pour reprendre contenance avant de rajouter ... la personne qui m’a agressé. Elle te ressemblait. Pas juste un peu… c’était toi, c’était exactement toi. Je frissonais avant de rajouter en montrant du doigt mon arcade sourcilière encore ouverte -visiblement pas assez pour être suturée- en ajoutant: Il avait un piercing là. Je rebaissais la main pour la remettre sur mon épaule, toujours dans cette position de repli. Mais c’était pas toi… hein Nao-Nao ? C’était genre… un jumeau maléfique, j’sais pas quoi ? J’avais du mal à cacher que ma voix était tremblante. J’étais perturbé. Et cette idée que Nao puisse me détester. Elle me rendait malade. Je me rendais compte que j’étais plus attaché à cette personne que je venais de rencontrer que je ne voulais bien l’admettre.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mar 14 Aoû - 19:12 Citer EditerSupprimer
(outfit) - entre nous, combien il y avait-il de chance pour que kyle tombe dans les bras de tsuki ? tu avais eu doublement de la chance sur ce coup-là. non seulement que ton chat décide de se réfugier dans les bras d’une personne que tu connais, mais surtout de celle que tu voulais revoir à tout prix. parce que oui, ça t’embêtait de ne plus le revoir, mais que pouvais-tu faire ? l'inviter à boire un verre… ? il y avait de fortes chances pour qu’il trouve ça étrange, pas vrai ? tu es dans un pays assez fermé d’esprit à ce sujet-là. l’idée qu’il sache qu’il te plaît ne t’effraie pas, bien au contraire. il te plaît tsuki et tu ne serais pas contre lui faire comprendre, seulement, tu n’es pas du genre à aller droit au but, mais plutôt à attendre le bon moment dans ce genre de cas, parce qu'il est probablement hétéro, t'en es persuadé. tu ne veux pas l’effrayer non plus… mais tu as vite compris ce qu’il se passait. il te rappelait tooru, alors le feeling s’est tout de suite créé, tu te sentais tellement à l’aise avec lui, comme si lui aussi, tu le connaissais depuis des années. ce n’est pas le cas, non, mais c’est tout comme. et puis physiquement aussi.. tu le trouves grandement à ton goût, pour ne pas dire totalement à ton goût. pour être honnête, la moindre occasion de le revoir serait bonne à prendre, tu te maudis déjà de ne pas l’avoir invité à boire un verre avec toi, alors bon… et là, t’es doublement rassuré, parce qu’en plus de récupérer ton chat alors que tu pensais ne jamais le revoir, tu revois aussi ton beau tatoueur.
une fois dans son appartement, tu ne prends pas plus de temps que ça à découvrir les lieux. il faut dire que tu as hâte de revoir ton chat, et tsuki… alors lorsqu’il le prend dans ses bras, tu souris doucement, t’adressant à ton animal sans penser une seule seconde que ça pourrait paraître bizarre. tu sais que beaucoup ne parlent pas aux animaux, répétant que de toute façon, ils ne comprennent pas ce qu’on leur dit. toi, t’es pas du tout de cet avis. alors quand tsuki reprend la parole, se faisant faussement passer pour ton chat, tu ne peux t’empêcher de relever le regard vers lui, ton sourire amusé laissant échapper ce léger rire, malheureusement de courte durée au moment où tu remarques cette grimace qu’il affiche, l'idée qu'il se passe quelque chose te traverse l'esprit. dans un premier temps, tu n’es pas sûr de tout comprendre mais tu n’as même pas besoin de lui poser une quelconque question que tu remarques, derrières ses mèches de cheveux, un visage bien trop abîmé. ta mine se décompose, tes sourcils se froncent d’inquiétude. tu ne peux t’empêcher de lui demander ce qu’il a fait, même si ce ne sont pas tes affaires, pour le coup, tu t’en fiches un peu. ça t’inquiète, et tu veux savoir ce qu’il lui est arrivé. il te répond que c’est trois fois rien ? trois fois rien, c’est faux. s’il est blessé, ce n’est pas pour rien et puis, il te fuit du regard, tu comprends bien vite qu’il se passe quelque chose, et ça ne t’aide en rien à calmer ton inquiétude. tu as même ce réflexe que tu ne devrais peut-être pas avoir, mais tu approches tes doigts de ses mèches de cheveux pour les dégager un peu, de manière à rendre son visage plus visible, et les dégâts que tu y découvres te serre le coeur. quand tu lui reposes la question, il t’en dit un peu plus. une mauvaise rencontre ? tu fronces de nouveau les sourcils. pourtant, il ne tarde pas à te dire qu’il s’est fait agresser il n’y a pas très longtemps. agressé ? ton visage se décompose à nouveau alors qu’il vient croiser ses bras contre son torse. tes yeux se baissent, tu analyses son comportement et ton coeur se resserre davantage dans ta poitrine. tu as juste envie de lui prendre la main, lui couper toute angoisse et toute inquiétude mais tu te retiens, t’as pas envie de le mettre mal à l’aise, au contraire tu veux simplement le rassurer, même si pour le coup, toi, t’es tout sauf rassuré. « pourquoi.. pourquoi on t’a agressé ? » on aurait essayé de le voler ou quelque chose comme ça ? tu tentes de comprendre mais ce n’est qu’une question de temps pour toi, tu sens bien qu’il a un comportement bizarre, tu ne comprends juste pas encore pourquoi. alors quand il t’annonce qu’il va te dire quelque chose au risque que tu le prennes pour un fou, ton inquiétude s'amplifie. c’est quoi ce délire ? pourquoi tu le prendrais pour un fou ? mais avant de reprendre la parole, tu le laisses continuer. tu sais qu’il t’expliquera, et t’as bien besoin de ça, t’as horreur de ne pas comprendre les choses… mais tu les comprends enfin. une personne qui te ressemble l’aurait agressé. pas qu’un peu, exactement toi, il t’indique même qu’il possédait un piercing. tu remontes ton regard dans le sien, tes yeux s’écarquillent alors que ton coeur tambourine fort dans ta poitrine. ce tourbillon de sentiments te rend silencieux sur le moment, ça t’en coupe le souffle. entre l’inquiétude, l’incompréhension.. mais aussi le fait que tu n’es pas totalement fou. t’es pas idiot, deux solutions s’offraient à toi : soit tu avais réellement un jumeau caché dans ce pays, soit tu étais devenu fou ce soir là. et là, tsuki t’annonce que cette personne l’a agressé. « oh.. non. » t’es bouleversé, à la fois rassuré de ne pas avoir halluciné, à la fois inquiet pour les mêmes raisons. qu’est-ce que ça veut dire alors ? cette histoire qui te trotte depuis des semaines maintenant, et voilà que tu y es confronté dans d’horribles circonstances, parce que c’est tsuki que tu vois dans un état pitoyable, et ça te chamboule totalement. t’as aucune envie de le voir dans cet état. ta main se dépose sur ton ventre, un réflexe idiot mais ça t’en colle une boule au ventre. dire que tu détestes ne pas comprendre les choses et tu te retrouves dans cette situation, où tu ne comprends rien, où t’es pas foutu de comprendre, où personne comprend finalement. ni même ce jumeau, ni tsuki, ni personne. pourtant, la voix de tsuki te sort de tes pensées. si tu pensais calmer ce tourbillon d’émotions, c’est loupé. puisqu’au moment où il te surnomme nao-nao, c’est cette image de tooru qui te revient aussitôt en tête. non, c’est pas le moment. tu secoues le visage comme pour chasser tout ça de ton esprit, fermant même les yeux un court instant. « non tsuki.. c’était pas moi. » le rassures-tu aussitôt, tu.. tu n’as pas envie qu’il pense ça. tu ne sais même pas comment il parvient à te regarder droit dans les yeux après ce qu’il s’est passé. vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eau, vous n'avez pas le même style mais vous vous ressemblez, c’est déroutant. ce type.. c’est toi, mais ce n’est pas toi. « j’suis désolé qu’il t’ait fait ça. » reprends-tu aussitôt, toujours cette boule collé au ventre. tu t’en veux, tu ne sais pas pourquoi mais tu t’en veux comme si t’y étais pour quelque chose. et là, tu craques, tu ne peux pas t’en empêcher, tu viens déposer ta main sur son bras. tu ne lui ferais jamais ça, tu veux qu’il le comprenne. tu ne lui en voudrais pas qu’il le pense, après tout, toi et.. ce type, vous vous ressemblez beaucoup trop, mais ça te peine. « écoute je.. je sais pas qui c’est, ce gars. » c’est lui qui va te prendre pour un fou à cette allure là, mais tu ne peux même pas lui expliquer. tu te recules légèrement, avant de reprendre. « j’suis tombé sur lui il y a quelques semaines... » en évoquant ce souvenir, tu as ce réflexe de déposer ta main sur ta joue, tu as eu un sacré coup dans la tronche, toi aussi. « mais j’le connais pas, j’ai un jumeau.. ici.. que je ne connais pas. » répètes-tu d’un ton presque insensé, plus à toi-même qu’autre chose puisque ton regard se perd quelques secondes dans le vide. ça te tue ça, qu’est-ce que ça veut dire ? tes parents t’auraient menti et auraient abandonné leur propre fils ? ou alors… ou alors ce ne sont pas tes vrais parents ? non, impossible. de nouveau, tout ça te déroute. « il a l’air… sauvage, j’ai essayé de lui parler mais il m’en a collé une à moi aussi. » tu secoues la tête, tu ne comprends pas son comportement, pourquoi il est comme ça mais apparement, ce n’est pas qu’avec toi, puisque tsuki en a aussi fait les frais. c’est.. effrayant quand on y pense. mais bordel, tu peux enfin en parler à quelqu’un, tu peux enfin t’assurer que tu n’es pas fou, et ça, ça fait du bien. ton regard se pose à nouveau sur sa joue, ta gorge se serre. « il faut que tu mettes de la glace... » il semble avoir encore mal, ça pourrait apaiser un peu la douleur. et puis, pour le moment, c’est le plus important : son état. instinctivement, tu fais un pas dans la pièce, cherchant le frigo du regard. « tu en as? » tu ne vas tout de même pas le laisser comme ça. « ça te- » ton regard se bloque sur un point particulier de sa décoration. ce drapeau accroché au mur, le drapeau.. de la pansexualité. ton regard est bloqué dessus comme si ton cerveau bugait totalement. mais non, tu le reconnais. tsuki serait pansexuel ? ok, c’est pas le moment, et clairement, ton cerveau subit déjà beaucoup trop depuis que tu es rentré ici, c’est peut-être aussi pour ça que tu bloques sur cette vision de ce drapeau. mais tu te reprends vite, te tournant vers tsuki comme si de rien était, tu reprends là où tu en étais « ça te soulagerait. » alors là.. attendez, pause. ça fait beaucoup d’informations à assimiler d’un coup.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - entre nous, combien il y avait-il de chance pour que kyle tombe dans les bras de tsuki ? tu avais eu doublement de la chance sur ce coup-là. non seulement que ton chat décide de se réfugier dans les bras d’une personne que tu connais, mais surtout de celle que tu voulais revoir à tout prix. parce que oui, ça t’embêtait de ne plus le revoir, mais que pouvais-tu faire ? l'inviter à boire un verre… ? il y avait de fortes chances pour qu’il trouve ça étrange, pas vrai ? tu es dans un pays assez fermé d’esprit à ce sujet-là. l’idée qu’il sache qu’il te plaît ne t’effraie pas, bien au contraire. il te plaît tsuki et tu ne serais pas contre lui faire comprendre, seulement, tu n’es pas du genre à aller droit au but, mais plutôt à attendre le bon moment dans ce genre de cas, parce qu'il est probablement hétéro, t'en es persuadé. tu ne veux pas l’effrayer non plus… mais tu as vite compris ce qu’il se passait. il te rappelait tooru, alors le feeling s’est tout de suite créé, tu te sentais tellement à l’aise avec lui, comme si lui aussi, tu le connaissais depuis des années. ce n’est pas le cas, non, mais c’est tout comme. et puis physiquement aussi.. tu le trouves grandement à ton goût, pour ne pas dire totalement à ton goût. pour être honnête, la moindre occasion de le revoir serait bonne à prendre, tu te maudis déjà de ne pas l’avoir invité à boire un verre avec toi, alors bon… et là, t’es doublement rassuré, parce qu’en plus de récupérer ton chat alors que tu pensais ne jamais le revoir, tu revois aussi ton beau tatoueur.
une fois dans son appartement, tu ne prends pas plus de temps que ça à découvrir les lieux. il faut dire que tu as hâte de revoir ton chat, et tsuki… alors lorsqu’il le prend dans ses bras, tu souris doucement, t’adressant à ton animal sans penser une seule seconde que ça pourrait paraître bizarre. tu sais que beaucoup ne parlent pas aux animaux, répétant que de toute façon, ils ne comprennent pas ce qu’on leur dit. toi, t’es pas du tout de cet avis. alors quand tsuki reprend la parole, se faisant faussement passer pour ton chat, tu ne peux t’empêcher de relever le regard vers lui, ton sourire amusé laissant échapper ce léger rire, malheureusement de courte durée au moment où tu remarques cette grimace qu’il affiche, l'idée qu'il se passe quelque chose te traverse l'esprit. dans un premier temps, tu n’es pas sûr de tout comprendre mais tu n’as même pas besoin de lui poser une quelconque question que tu remarques, derrières ses mèches de cheveux, un visage bien trop abîmé. ta mine se décompose, tes sourcils se froncent d’inquiétude. tu ne peux t’empêcher de lui demander ce qu’il a fait, même si ce ne sont pas tes affaires, pour le coup, tu t’en fiches un peu. ça t’inquiète, et tu veux savoir ce qu’il lui est arrivé. il te répond que c’est trois fois rien ? trois fois rien, c’est faux. s’il est blessé, ce n’est pas pour rien et puis, il te fuit du regard, tu comprends bien vite qu’il se passe quelque chose, et ça ne t’aide en rien à calmer ton inquiétude. tu as même ce réflexe que tu ne devrais peut-être pas avoir, mais tu approches tes doigts de ses mèches de cheveux pour les dégager un peu, de manière à rendre son visage plus visible, et les dégâts que tu y découvres te serre le coeur. quand tu lui reposes la question, il t’en dit un peu plus. une mauvaise rencontre ? tu fronces de nouveau les sourcils. pourtant, il ne tarde pas à te dire qu’il s’est fait agresser il n’y a pas très longtemps. agressé ? ton visage se décompose à nouveau alors qu’il vient croiser ses bras contre son torse. tes yeux se baissent, tu analyses son comportement et ton coeur se resserre davantage dans ta poitrine. tu as juste envie de lui prendre la main, lui couper toute angoisse et toute inquiétude mais tu te retiens, t’as pas envie de le mettre mal à l’aise, au contraire tu veux simplement le rassurer, même si pour le coup, toi, t’es tout sauf rassuré. « pourquoi.. pourquoi on t’a agressé ? » on aurait essayé de le voler ou quelque chose comme ça ? tu tentes de comprendre mais ce n’est qu’une question de temps pour toi, tu sens bien qu’il a un comportement bizarre, tu ne comprends juste pas encore pourquoi. alors quand il t’annonce qu’il va te dire quelque chose au risque que tu le prennes pour un fou, ton inquiétude s'amplifie. c’est quoi ce délire ? pourquoi tu le prendrais pour un fou ? mais avant de reprendre la parole, tu le laisses continuer. tu sais qu’il t’expliquera, et t’as bien besoin de ça, t’as horreur de ne pas comprendre les choses… mais tu les comprends enfin. une personne qui te ressemble l’aurait agressé. pas qu’un peu, exactement toi, il t’indique même qu’il possédait un piercing. tu remontes ton regard dans le sien, tes yeux s’écarquillent alors que ton coeur tambourine fort dans ta poitrine. ce tourbillon de sentiments te rend silencieux sur le moment, ça t’en coupe le souffle. entre l’inquiétude, l’incompréhension.. mais aussi le fait que tu n’es pas totalement fou. t’es pas idiot, deux solutions s’offraient à toi : soit tu avais réellement un jumeau caché dans ce pays, soit tu étais devenu fou ce soir là. et là, tsuki t’annonce que cette personne l’a agressé. « oh.. non. » t’es bouleversé, à la fois rassuré de ne pas avoir halluciné, à la fois inquiet pour les mêmes raisons. qu’est-ce que ça veut dire alors ? cette histoire qui te trotte depuis des semaines maintenant, et voilà que tu y es confronté dans d’horribles circonstances, parce que c’est tsuki que tu vois dans un état pitoyable, et ça te chamboule totalement. t’as aucune envie de le voir dans cet état. ta main se dépose sur ton ventre, un réflexe idiot mais ça t’en colle une boule au ventre. dire que tu détestes ne pas comprendre les choses et tu te retrouves dans cette situation, où tu ne comprends rien, où t’es pas foutu de comprendre, où personne comprend finalement. ni même ce jumeau, ni tsuki, ni personne. pourtant, la voix de tsuki te sort de tes pensées. si tu pensais calmer ce tourbillon d’émotions, c’est loupé. puisqu’au moment où il te surnomme nao-nao, c’est cette image de tooru qui te revient aussitôt en tête. non, c’est pas le moment. tu secoues le visage comme pour chasser tout ça de ton esprit, fermant même les yeux un court instant. « non tsuki.. c’était pas moi. » le rassures-tu aussitôt, tu.. tu n’as pas envie qu’il pense ça. tu ne sais même pas comment il parvient à te regarder droit dans les yeux après ce qu’il s’est passé. vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eau, vous n'avez pas le même style mais vous vous ressemblez, c’est déroutant. ce type.. c’est toi, mais ce n’est pas toi. « j’suis désolé qu’il t’ait fait ça. » reprends-tu aussitôt, toujours cette boule collé au ventre. tu t’en veux, tu ne sais pas pourquoi mais tu t’en veux comme si t’y étais pour quelque chose. et là, tu craques, tu ne peux pas t’en empêcher, tu viens déposer ta main sur son bras. tu ne lui ferais jamais ça, tu veux qu’il le comprenne. tu ne lui en voudrais pas qu’il le pense, après tout, toi et.. ce type, vous vous ressemblez beaucoup trop, mais ça te peine. « écoute je.. je sais pas qui c’est, ce gars. » c’est lui qui va te prendre pour un fou à cette allure là, mais tu ne peux même pas lui expliquer. tu te recules légèrement, avant de reprendre. « j’suis tombé sur lui il y a quelques semaines... » en évoquant ce souvenir, tu as ce réflexe de déposer ta main sur ta joue, tu as eu un sacré coup dans la tronche, toi aussi. « mais j’le connais pas, j’ai un jumeau.. ici.. que je ne connais pas. » répètes-tu d’un ton presque insensé, plus à toi-même qu’autre chose puisque ton regard se perd quelques secondes dans le vide. ça te tue ça, qu’est-ce que ça veut dire ? tes parents t’auraient menti et auraient abandonné leur propre fils ? ou alors… ou alors ce ne sont pas tes vrais parents ? non, impossible. de nouveau, tout ça te déroute. « il a l’air… sauvage, j’ai essayé de lui parler mais il m’en a collé une à moi aussi. » tu secoues la tête, tu ne comprends pas son comportement, pourquoi il est comme ça mais apparement, ce n’est pas qu’avec toi, puisque tsuki en a aussi fait les frais. c’est.. effrayant quand on y pense. mais bordel, tu peux enfin en parler à quelqu’un, tu peux enfin t’assurer que tu n’es pas fou, et ça, ça fait du bien. ton regard se pose à nouveau sur sa joue, ta gorge se serre. « il faut que tu mettes de la glace... » il semble avoir encore mal, ça pourrait apaiser un peu la douleur. et puis, pour le moment, c’est le plus important : son état. instinctivement, tu fais un pas dans la pièce, cherchant le frigo du regard. « tu en as? » tu ne vas tout de même pas le laisser comme ça. « ça te- » ton regard se bloque sur un point particulier de sa décoration. ce drapeau accroché au mur, le drapeau.. de la pansexualité. ton regard est bloqué dessus comme si ton cerveau bugait totalement. mais non, tu le reconnais. tsuki serait pansexuel ? ok, c’est pas le moment, et clairement, ton cerveau subit déjà beaucoup trop depuis que tu es rentré ici, c’est peut-être aussi pour ça que tu bloques sur cette vision de ce drapeau. mais tu te reprends vite, te tournant vers tsuki comme si de rien était, tu reprends là où tu en étais « ça te soulagerait. » alors là.. attendez, pause. ça fait beaucoup d’informations à assimiler d’un coup.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mer 15 Aoû - 0:32 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Si j’étais perdu. Bien sûr que j’étais complètement égaré. Je ne savais pas ce que j’étais censé confier à Naoya. Depuis que j’avais fait la rencontre de cet homme, j’avais hésité à lui envoyer un message pour lui demander des explications. Mais … à chaque fois je m’étais retrouvé figé devant mon portable, sans savoir quoi faire. Et le final était toujours le même, je ne lui envoyait rien. Pourtant comme cette situation avait pu me torturer. J’avais beau lui dire que c’était que trois fois rien, ça n’avait pas été trois fois rien. J’avais quand même fini à l’hôpital, enfin Bae m’avait emmené à l’hôpital après que j’ai rampé dans les rues de Digital City pour la retrouver au Kurss. Et clairement j’en avais eu besoin parce que justement ça n’avait pas juste été un simple cocard à l’oeil, mais je ne voulais pas qu’il se fasse du soucis. Alors oui, je minimisais clairement les choses. Mais au final je commençais à lui expliquer le pourquoi du comment. Il pouvait me prendre pour un fou, mais je voulais savoir. Je voulais tirer la situation au clair et avoir cette foutue réponse. Car je savais bien une chose, si je continuais à rester dans le flou, cela ne ferait qu’empirer mon instabilité et surtout mes angoisses. Je voulais comprendre, quitte à ce qu’il me balance que c’était lui, je m’en foutais. Je voulais ma réponse. Alors je lui parlais de l’agression et surtout de cet homme. Cet homme qui ressemblait comme deux gouttes à Naoya. Des parfaits sosies. Et ce dans les moindre détails. Si ce n’était ce piercing à son sourcil. Et le fait que lui parlait parfaitement coréen. C’était ce jumeau maléfique qui s’en était pris à moi. Ma voix était tellement tremblante, je voulais vraiment savoir. J’avais tellement peur qu’il me déteste, qu’il me voit pour un fou et qu’il me rejette. J’avais tellement peur de perdre Naoya. C’était stupide. Je venais le rencontrer. Je ne devais pas m’attacher aux gens si vite ? Alors pourquoi en le voyant, j’avais ce sentiment ? Ce sentiment familier. Ce sentiment qu’il était bien plus et que j’avais besoin de lui. C’était dans mes tripes. L’instinct comme disait Nao. Quand il m’affirma le contraire, je laissais échapper un gros: Oh putain, avant de me rendre compte de ce que j’avais dit et de mettre la main devant la bouche précipitamment. Désolé…. Je savais que c’était pas toi. Avais-je dit pour moi-même sans vraiment m’en rendre compte. il fallait que bien souvent j’avais foutu des gros vents à des gens que je venais de rencontrer parce que je n’avais pas retenu leur visage…. alors dans ce cas avec un double de visage, c’était carrément le bordel ! C’était comme si d’un coup on m’avait retiré un poids énorme sur les épaules. Soulagement infini. Mais il s’excusa. Je fronçai naturellement les sourcils. Nao, t’excuse pas, c’est pas de ta faute ce qu’il m’ait arrivé. Alors qu’il posa sa main sur mon bras, j’eus le réflexe de poser ma main par dessus la sienne pour chercher son contact. Il me parla alors de cet homme, du moins le peu qu’il en savait. Il ne le connaissait pas, j’ouvris grand les yeux et clignai des paupières. C’était quand même dingue cette histoire. Il l’avait rencontré il y avait quelques semaines. Un jumeau… en Corée… mais t’as grandi au Japon ? Comment ça serait possible que lui ait grandi ici et toi au Japon ? Avais-je demandé en prenant mon menton les doigts de main main qui n’était pas sur celle de Nao… avant de me rappelé que j’avais mal ici aussi et de sursauter légèrement. Et personne ne t’a jamais parlé de ce jumeau ? C’est fou quand même, c’est… fou. Puis lui devait être aussi complètement perdu quand j’y pensais. Alors j’imaginais ce que j’aurais pu faire si j’avais appris que j’avais un jumeau. J’aurais probablement pété un câble sans m’en rendre compte. Si jamais tu veux m’en parler Nao-Nao… je suis là tu sais, têtre qu’on pourrait … je sais pas, essayer d’en savoir plus sur cette histoire ? Et le jumeau lui ? A vrai dire lui je m’en étais foutu à partir du moment où me dit que ce jumeau l’avait frappé. Alors qu’il soit sauvage je m’en foutais. Comment ça il t’a frappé ?! C’était parti tout seul, ça m’a énervé d’un coup d’un seul. Je m’en voulais presque de ne pas lui avoir mis plus la misère moi aussi. Bon clairement c’était une blague, parce que clairement j’avais reçu tarif. Mais ça me rendait malade de savoir que ce jumeau ait pu frappé Nao… mon ange. Mon regard à nouveau sur le sien. Quand il me conseilla de mettre de la glace, j’eus ce sentiment….. il s'inquiétait n’est-ce pas ? Je le fixais…. son visage, je ne comprenais pas mais il m’avait semblé avoir entendu cette inquiétude dans sa voix. cette intonation qu’avait pris Bae quand elle m’avait repêché après ma bagarre avec ce double. Je le regardais parler. Alors que je le voyais inquiet, ma colère s’était rapidement évanouie. Je me sentais plus que … triste ? Rassuré ? Je ne savais pas moi-même en fait. Tu es…. j'entrecoupais ma phrase d’un court silence avant de reprendre pour moi. ... inquiet pour moi Nao-Nao ? Tout en disant cela, je m’étais approché de lui, tout en le fixant. Et je ne m’arrêtais pas. Bientôt mon buste rencontra le sien et ma tête vint se nicher sur son épaule. Oh Nao, j’ai tellement eu peur en le voyant. J’ai cru que tu me détestais, tout en disant cela j’avais posé mes mains sur ses omoplates pour le serrer dans mes bras. Étreinte qui ne durant qu’une courte minute, mais qui me sembla durer une éternité. je finis par m’éloigner, laissant un fin sourire se dessiner sur mes lèvres. Et, on m’a donné des cachets pour la douleur, quand je suis allé aux urgences, merde je venais vraiment de lui dire ça. je me mordis la lèvre inférieure, oups. Je me dirigeais vers mon frigo pour sortir le sac de petit pois surgelés que je m’étais mis sur le visage avant que Nao arrive. Je sortis aussi une bouteille d’eau pour prendre mes cachets d’ailleurs. Au fait tu veux boire quelque chose ? Manger ? J’ai des kimbaps si tu veux, mais je te préviens, je ne mange pas de viande. Je venais vraiment de passer sur des banalités après avoir pris le type pour lequel je craquais dans mes bras pour ensuite lui avouer que j’étais allé à l'hosto a cause de son jumeau ? Oui. j’étais vraiment irrécupérable.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - Si j’étais perdu. Bien sûr que j’étais complètement égaré. Je ne savais pas ce que j’étais censé confier à Naoya. Depuis que j’avais fait la rencontre de cet homme, j’avais hésité à lui envoyer un message pour lui demander des explications. Mais … à chaque fois je m’étais retrouvé figé devant mon portable, sans savoir quoi faire. Et le final était toujours le même, je ne lui envoyait rien. Pourtant comme cette situation avait pu me torturer. J’avais beau lui dire que c’était que trois fois rien, ça n’avait pas été trois fois rien. J’avais quand même fini à l’hôpital, enfin Bae m’avait emmené à l’hôpital après que j’ai rampé dans les rues de Digital City pour la retrouver au Kurss. Et clairement j’en avais eu besoin parce que justement ça n’avait pas juste été un simple cocard à l’oeil, mais je ne voulais pas qu’il se fasse du soucis. Alors oui, je minimisais clairement les choses. Mais au final je commençais à lui expliquer le pourquoi du comment. Il pouvait me prendre pour un fou, mais je voulais savoir. Je voulais tirer la situation au clair et avoir cette foutue réponse. Car je savais bien une chose, si je continuais à rester dans le flou, cela ne ferait qu’empirer mon instabilité et surtout mes angoisses. Je voulais comprendre, quitte à ce qu’il me balance que c’était lui, je m’en foutais. Je voulais ma réponse. Alors je lui parlais de l’agression et surtout de cet homme. Cet homme qui ressemblait comme deux gouttes à Naoya. Des parfaits sosies. Et ce dans les moindre détails. Si ce n’était ce piercing à son sourcil. Et le fait que lui parlait parfaitement coréen. C’était ce jumeau maléfique qui s’en était pris à moi. Ma voix était tellement tremblante, je voulais vraiment savoir. J’avais tellement peur qu’il me déteste, qu’il me voit pour un fou et qu’il me rejette. J’avais tellement peur de perdre Naoya. C’était stupide. Je venais le rencontrer. Je ne devais pas m’attacher aux gens si vite ? Alors pourquoi en le voyant, j’avais ce sentiment ? Ce sentiment familier. Ce sentiment qu’il était bien plus et que j’avais besoin de lui. C’était dans mes tripes. L’instinct comme disait Nao. Quand il m’affirma le contraire, je laissais échapper un gros: Oh putain, avant de me rendre compte de ce que j’avais dit et de mettre la main devant la bouche précipitamment. Désolé…. Je savais que c’était pas toi. Avais-je dit pour moi-même sans vraiment m’en rendre compte. il fallait que bien souvent j’avais foutu des gros vents à des gens que je venais de rencontrer parce que je n’avais pas retenu leur visage…. alors dans ce cas avec un double de visage, c’était carrément le bordel ! C’était comme si d’un coup on m’avait retiré un poids énorme sur les épaules. Soulagement infini. Mais il s’excusa. Je fronçai naturellement les sourcils. Nao, t’excuse pas, c’est pas de ta faute ce qu’il m’ait arrivé. Alors qu’il posa sa main sur mon bras, j’eus le réflexe de poser ma main par dessus la sienne pour chercher son contact. Il me parla alors de cet homme, du moins le peu qu’il en savait. Il ne le connaissait pas, j’ouvris grand les yeux et clignai des paupières. C’était quand même dingue cette histoire. Il l’avait rencontré il y avait quelques semaines. Un jumeau… en Corée… mais t’as grandi au Japon ? Comment ça serait possible que lui ait grandi ici et toi au Japon ? Avais-je demandé en prenant mon menton les doigts de main main qui n’était pas sur celle de Nao… avant de me rappelé que j’avais mal ici aussi et de sursauter légèrement. Et personne ne t’a jamais parlé de ce jumeau ? C’est fou quand même, c’est… fou. Puis lui devait être aussi complètement perdu quand j’y pensais. Alors j’imaginais ce que j’aurais pu faire si j’avais appris que j’avais un jumeau. J’aurais probablement pété un câble sans m’en rendre compte. Si jamais tu veux m’en parler Nao-Nao… je suis là tu sais, têtre qu’on pourrait … je sais pas, essayer d’en savoir plus sur cette histoire ? Et le jumeau lui ? A vrai dire lui je m’en étais foutu à partir du moment où me dit que ce jumeau l’avait frappé. Alors qu’il soit sauvage je m’en foutais. Comment ça il t’a frappé ?! C’était parti tout seul, ça m’a énervé d’un coup d’un seul. Je m’en voulais presque de ne pas lui avoir mis plus la misère moi aussi. Bon clairement c’était une blague, parce que clairement j’avais reçu tarif. Mais ça me rendait malade de savoir que ce jumeau ait pu frappé Nao… mon ange. Mon regard à nouveau sur le sien. Quand il me conseilla de mettre de la glace, j’eus ce sentiment….. il s'inquiétait n’est-ce pas ? Je le fixais…. son visage, je ne comprenais pas mais il m’avait semblé avoir entendu cette inquiétude dans sa voix. cette intonation qu’avait pris Bae quand elle m’avait repêché après ma bagarre avec ce double. Je le regardais parler. Alors que je le voyais inquiet, ma colère s’était rapidement évanouie. Je me sentais plus que … triste ? Rassuré ? Je ne savais pas moi-même en fait. Tu es…. j'entrecoupais ma phrase d’un court silence avant de reprendre pour moi. ... inquiet pour moi Nao-Nao ? Tout en disant cela, je m’étais approché de lui, tout en le fixant. Et je ne m’arrêtais pas. Bientôt mon buste rencontra le sien et ma tête vint se nicher sur son épaule. Oh Nao, j’ai tellement eu peur en le voyant. J’ai cru que tu me détestais, tout en disant cela j’avais posé mes mains sur ses omoplates pour le serrer dans mes bras. Étreinte qui ne durant qu’une courte minute, mais qui me sembla durer une éternité. je finis par m’éloigner, laissant un fin sourire se dessiner sur mes lèvres. Et, on m’a donné des cachets pour la douleur, quand je suis allé aux urgences, merde je venais vraiment de lui dire ça. je me mordis la lèvre inférieure, oups. Je me dirigeais vers mon frigo pour sortir le sac de petit pois surgelés que je m’étais mis sur le visage avant que Nao arrive. Je sortis aussi une bouteille d’eau pour prendre mes cachets d’ailleurs. Au fait tu veux boire quelque chose ? Manger ? J’ai des kimbaps si tu veux, mais je te préviens, je ne mange pas de viande. Je venais vraiment de passer sur des banalités après avoir pris le type pour lequel je craquais dans mes bras pour ensuite lui avouer que j’étais allé à l'hosto a cause de son jumeau ? Oui. j’étais vraiment irrécupérable.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Sam 18 Aoû - 15:09 Citer EditerSupprimer
(outfit) - c’était le bordel, le gros bordel. tu n’avais toujours pas trouvé de réponse à tes questions, alors oui, tu finissais par désespérer et par conséquent, te demander si tu n’avais pas halluciné. tu sais au fond de toi que tu n’as pas halluciné mais tout paraît si peu réel.. si surprenant, et tu restes comme ça, dans l’incohérence la plus totale. alors oui, tu es quelque part soulagé que tsuki ait fait sa rencontre, ça te console dans l’idée que non, tu n’es pas fou, tu as bien un jumeau qui existe quelque part, en corée. mais t’es inquiet, et l’inquiétude prend le dessus, parce que leur rencontre ne s’est pas déroulé d’une bonne manière. tu es même peut-être un peu trop inquiet mais ça, tu n’en as pas conscience. il faut dire qu’en retrouvant tooru en lui, quelque part, tu as l’impression de parfois lui faire face. et puis, tsuki a l’air d’être aussi surpris que toi quand tu lui en dis un peu plus, s’excusant, et t’annonçant qu’il savait que ce n’était pas toi. ton coeur se serre tout de même. il aurait pu le croire et cette idée te déchire, tu ne ferais pas de mal à une mouche mais à tsuki ? encore moins, il a dû tout de même y songer, et ça te déroute. alors tu t’excuses à ton tour, parce que quelque part, tu te sens coupable. t’as rien fait, c’est vrai, mais tu te sens coupable et tu ne saurais comment expliquer tout ça, même si tsuki te rassure en te disant que ce n’est pas de ta faute, tu ne peux t’empêcher de laisser cette culpabilité te ronger, mais en silence cette fois. alors tu viens déposer ta main sur son bras, cherchant son contact, contact auquel il répond aussitôt en déposant ta main sur la sienne. à quoi tu joues nao? ta vie en ce moment est déjà un sacré bordel.. et il faut que tu tombes sur une personne qui te plaît, une personne que tu n’auras sans doute jamais, une personne qui te rappelle tooru et que tu le veuilles ou non, parfois, c’est difficile à supporter. parce qu’il te manque. et ce manque, tu le ressens lorsque tu te trouves loin de tsuki. mine de rien, ce gros détail ne fait que t’attacher davantage à lui. à la question de ce dernier, tu hoches positivement la tête. oui, t’as grandi au japon et lui, il a l’air parfaitement coréen. « je sais... » tu souffles du nez, plus embêté que jamais d’être dans l'ignorance parce que mine de rien, en parler ne fait que te rappeler qu’il n’y a aucune explication. « personne m’a parlé de lui tsuki.. personne. il avait l’air aussi étonné que moi, j’ai essayé de demander à mon grand-frère mais il ne m’dit rien. il me fait passer pour un fou.. pourtant je sais qu’il sait quelque chose. j’le sais. » tu te fermes aussitôt en y pensant, tu serres même les dents ainsi que tes paupières, secouant brièvement la tête. « c’est mon instinct qui me le dit. » quelque chose que tu aurais habituellement gardé pour toi, mais tsuki sait que tu te fies beaucoup à ton instinct, et que tu te trompes jamais. tu prends une profonde inspiration, comme pour te donner du courage mais cette situation te rend fou quoi que tu fasses. ça te trotte toujours dans un coin de la tête. tu retrouves alors le chemin de son regard, quelque part, il parvient à te rassurer par sa présence. tu sais que ce n’est pas tooru, mais il te fait beaucoup trop penser à lui.. surtout lorsqu’il reprend la parole, te donnant ce surnom que tooru te donnait toujours, essayant même de te rassurer et te disant qu’il est là. tu acquiesces d’un geste de la tête, ton coeur se gonfle par sa présence. « merci tsuki... » pourquoi il fait ça ? non, la question c’est.. pourquoi il s’embête encore avec toi, alors que ton jumeau lui a sauté à la gorge ? ta culpabilité ne s’efface pas, impossible. « tu penses qu’on pourrait? » comment en savoir plus ? akiya doit être la seule personne au courant de tout, s’il ne te dit rien… tu ne pourras jamais rien savoir. pourtant, tu finis par lui avouer que tu as aussi fait les frais de cette colère que ton jumeau contient. tu ne t’en ai pas rendu compte, alors quand il relève ce détail, tu reprends rapidement. « oui.. mais c’est d’ma faute, j’l’ai pas abordé de la meilleure manière qui soit.. il m’a hurlé dessus, mais je l’ai vu dans ses yeux, il avait peur de moi. comme si.. comme si j’attendais quelque chose de lui. il se défendait, alors que j’lui voulais aucun mal. » oui, il avait peur de toi. c’est sans doute pour ça qu’il t’en a collé une, toi aussi, t’as flippé, mais lui.. c’était différent. t’avais l’impression de ne pas être réel à ses yeux. mais pourquoi a t-il infligé le même sort à tsuki ? il faut vraiment que tu le retrouves, que tu essayes de lui parler. tu ne lâcheras rien naoya, quitte à te faire cogner une bonne dizaine de fois encore. « mais.. mais j’vais le retrouver, il faut que je réussisse à lui parler. » c’est clair et net. mais très vite, tu lui fais comprendre qu’il faut qu’il mette de la glace. inquiet ? oui, totalement. ç’a beau être le bordel dans ta tête, l’état de tsuki reste bizarrement la priorité, alors tu lui tournes le dos, cherchant le frigo du regard. tu pensais que c’était le bordel dans ton esprit, pas vrai naoya? et maintenant que tes yeux se figent sur ce drapeau de la pansexualité, qu’est-ce que t’en penses? tes yeux s’écarquillent un court instant, pendant un moment, tu ne réponds plus de rien. non mais.. tu hallucines forcément. tout se passe que trop vite, ça fait beaucoup à assimiler. tellement que tu te reprends vite, te tournant vers lui. vous avez cet échange de regard assez lourd de sens, t’es peut-être perdu avec tout ça, mais une chose est sûre : t’es inquiet pour lui. et c’est étrange mais, plus les secondes passent, plus le regard que tu as pour lui change. comme si, l’idée qu’il soit bel et bien pan pouvait te donner un peu d’espoir. de l’espoir pour quoi ? pour qu’il se passe quelque chose. tu la sentis ce feeling, tu ne sais pas si lui aussi le sent de son côté mais il est là. et il te plaît, tsuki. en plus de ça, il sait se montrer présent avec toi, et rassurant. lorsqu’il reprend la parole, tu sens ton coeur s’emballer dans ta poitrine. « bien-sûr que oui je suis inquiet. » tu ne devrais pas ? c’est trop te demander, ça. mais sa tête vient rapidement se nicher sur ton épaule. si tu t’attendais à ça ? pas du tout. en fait, pendant une courte seconde, tu restes paralysé. il.. il vient vraiment de faire ça ? doucement, tu passes tes bras autour de sa taille, le serrant davantage contre toi. tu fermes même les yeux un court instant alors que ses paroles resserrent ton coeur. est-ce que vous vous rendez compte de cette ambiguïté qui commence doucement à s’installer entre vous deux ? à croire que non. « j’te déteste pas tsuki… j’ai pas envie que tu penses ça. » c’est même tout le contraire. et comme pour appuyer tes mots, tu viens le serrer davantage contre toi. cette étreinte te fait plus de bien que tu ne l’aurais cru, en le voyant comme ça, tu avais cette envie de le prendre dans tes bras, mais ça aurait peut-être été trop bizarre pour lui. alors tu en profites quelques secondes avant qu’il s’écarte, tu souris doucement en voyant ce sourire sur son visage, un sourire qui s’efface que trop vite quand il reprend la parole. de nouveau tes yeux s’écarquillent. « q-.. quoi? » et il part en direction de son frigo, te laissant comme ça. tu hausses les sourcils, le suivant au pas. mais avant que tu puisses reprendre la parole, il s’en charge. tu as du mal à l’écouter sur ce coup là, ton inquiétude prend beaucoup trop le dessus, tellement que ta réponse n’est sans doute pas celle à quoi il s’attendait. « t’as été à l'hôpital ? mais.. » ok, ça n’aide pas ta culpabilité, ni ce sentiment de te sentir inutile face à un tsuki presque tout cassé. mais dans quel état il a dû finir au juste ? tu prends une profonde et discrète inspiration. « ok je.. je dois m’asseoir. » non parce qu’avec toutes ces informations, tu commences à perdre le fil. tsuki qui rencontre ce fameux double, l’homme qui te plaît grandement et que tu retrouves dans un sale état, qui vient aussi de t’offrir un contact qui t’a clairement pas laissé indifférent. doucement, tu tires l’une des chaises pour y prendre place. ce à quoi kyle réagit très vite en sautant sur tes genoux. il se met à ronronner alors que tu déposes tes doigts sur ses poils, commençant de légères caresses. c’est apaisant un chat, ses ronronnements t’aident beaucoup. c’est idiot, mais kyle a toujours été près de toi quand tu te sentais pas bien, ce n’est peut-être qu’un animal, mais t’as parfois cette impression qu’il parvient à absorber tes maux. et là, en l'occurrence, toutes ces choses que tu dois avaler et qui te font perdre les pédales. tu restes silencieux un court instant, ramenant kyle tout contre toi, l’enlaçant de tes bras. dans ta tête, tout se bouscule, tes pensées fusent mais pourtant, tu restes bloqué sur ces sensations que tu as pu ressentir lorsque tsuki était venu se loger dans tes bras. ce qui ne t’aide pas à y mettre de l’ordre, ça c’est clair. pourtant, plusieurs questions te traversent l’esprit. une d’entre elle concernant ce drapeau, que tu gardes pour toi pour le moment. ce n’est pas le moment de lui poser la question, mais le seconde, tu ne peux la contenir. « pourquoi tu ne m’as rien dit ? » tu relèves le regard vers lui. c’est vrai ça.. si tu ne l’avais pas revu, tu n’aurais sans doute jamais vu dans quel état il se trouvait. peut-être qu’il y a une raison derrière tout ça, ou peut-être pas. « tu aurais dû m’en parler.. je serais venu plus tôt.. »
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - c’était le bordel, le gros bordel. tu n’avais toujours pas trouvé de réponse à tes questions, alors oui, tu finissais par désespérer et par conséquent, te demander si tu n’avais pas halluciné. tu sais au fond de toi que tu n’as pas halluciné mais tout paraît si peu réel.. si surprenant, et tu restes comme ça, dans l’incohérence la plus totale. alors oui, tu es quelque part soulagé que tsuki ait fait sa rencontre, ça te console dans l’idée que non, tu n’es pas fou, tu as bien un jumeau qui existe quelque part, en corée. mais t’es inquiet, et l’inquiétude prend le dessus, parce que leur rencontre ne s’est pas déroulé d’une bonne manière. tu es même peut-être un peu trop inquiet mais ça, tu n’en as pas conscience. il faut dire qu’en retrouvant tooru en lui, quelque part, tu as l’impression de parfois lui faire face. et puis, tsuki a l’air d’être aussi surpris que toi quand tu lui en dis un peu plus, s’excusant, et t’annonçant qu’il savait que ce n’était pas toi. ton coeur se serre tout de même. il aurait pu le croire et cette idée te déchire, tu ne ferais pas de mal à une mouche mais à tsuki ? encore moins, il a dû tout de même y songer, et ça te déroute. alors tu t’excuses à ton tour, parce que quelque part, tu te sens coupable. t’as rien fait, c’est vrai, mais tu te sens coupable et tu ne saurais comment expliquer tout ça, même si tsuki te rassure en te disant que ce n’est pas de ta faute, tu ne peux t’empêcher de laisser cette culpabilité te ronger, mais en silence cette fois. alors tu viens déposer ta main sur son bras, cherchant son contact, contact auquel il répond aussitôt en déposant ta main sur la sienne. à quoi tu joues nao? ta vie en ce moment est déjà un sacré bordel.. et il faut que tu tombes sur une personne qui te plaît, une personne que tu n’auras sans doute jamais, une personne qui te rappelle tooru et que tu le veuilles ou non, parfois, c’est difficile à supporter. parce qu’il te manque. et ce manque, tu le ressens lorsque tu te trouves loin de tsuki. mine de rien, ce gros détail ne fait que t’attacher davantage à lui. à la question de ce dernier, tu hoches positivement la tête. oui, t’as grandi au japon et lui, il a l’air parfaitement coréen. « je sais... » tu souffles du nez, plus embêté que jamais d’être dans l'ignorance parce que mine de rien, en parler ne fait que te rappeler qu’il n’y a aucune explication. « personne m’a parlé de lui tsuki.. personne. il avait l’air aussi étonné que moi, j’ai essayé de demander à mon grand-frère mais il ne m’dit rien. il me fait passer pour un fou.. pourtant je sais qu’il sait quelque chose. j’le sais. » tu te fermes aussitôt en y pensant, tu serres même les dents ainsi que tes paupières, secouant brièvement la tête. « c’est mon instinct qui me le dit. » quelque chose que tu aurais habituellement gardé pour toi, mais tsuki sait que tu te fies beaucoup à ton instinct, et que tu te trompes jamais. tu prends une profonde inspiration, comme pour te donner du courage mais cette situation te rend fou quoi que tu fasses. ça te trotte toujours dans un coin de la tête. tu retrouves alors le chemin de son regard, quelque part, il parvient à te rassurer par sa présence. tu sais que ce n’est pas tooru, mais il te fait beaucoup trop penser à lui.. surtout lorsqu’il reprend la parole, te donnant ce surnom que tooru te donnait toujours, essayant même de te rassurer et te disant qu’il est là. tu acquiesces d’un geste de la tête, ton coeur se gonfle par sa présence. « merci tsuki... » pourquoi il fait ça ? non, la question c’est.. pourquoi il s’embête encore avec toi, alors que ton jumeau lui a sauté à la gorge ? ta culpabilité ne s’efface pas, impossible. « tu penses qu’on pourrait? » comment en savoir plus ? akiya doit être la seule personne au courant de tout, s’il ne te dit rien… tu ne pourras jamais rien savoir. pourtant, tu finis par lui avouer que tu as aussi fait les frais de cette colère que ton jumeau contient. tu ne t’en ai pas rendu compte, alors quand il relève ce détail, tu reprends rapidement. « oui.. mais c’est d’ma faute, j’l’ai pas abordé de la meilleure manière qui soit.. il m’a hurlé dessus, mais je l’ai vu dans ses yeux, il avait peur de moi. comme si.. comme si j’attendais quelque chose de lui. il se défendait, alors que j’lui voulais aucun mal. » oui, il avait peur de toi. c’est sans doute pour ça qu’il t’en a collé une, toi aussi, t’as flippé, mais lui.. c’était différent. t’avais l’impression de ne pas être réel à ses yeux. mais pourquoi a t-il infligé le même sort à tsuki ? il faut vraiment que tu le retrouves, que tu essayes de lui parler. tu ne lâcheras rien naoya, quitte à te faire cogner une bonne dizaine de fois encore. « mais.. mais j’vais le retrouver, il faut que je réussisse à lui parler. » c’est clair et net. mais très vite, tu lui fais comprendre qu’il faut qu’il mette de la glace. inquiet ? oui, totalement. ç’a beau être le bordel dans ta tête, l’état de tsuki reste bizarrement la priorité, alors tu lui tournes le dos, cherchant le frigo du regard. tu pensais que c’était le bordel dans ton esprit, pas vrai naoya? et maintenant que tes yeux se figent sur ce drapeau de la pansexualité, qu’est-ce que t’en penses? tes yeux s’écarquillent un court instant, pendant un moment, tu ne réponds plus de rien. non mais.. tu hallucines forcément. tout se passe que trop vite, ça fait beaucoup à assimiler. tellement que tu te reprends vite, te tournant vers lui. vous avez cet échange de regard assez lourd de sens, t’es peut-être perdu avec tout ça, mais une chose est sûre : t’es inquiet pour lui. et c’est étrange mais, plus les secondes passent, plus le regard que tu as pour lui change. comme si, l’idée qu’il soit bel et bien pan pouvait te donner un peu d’espoir. de l’espoir pour quoi ? pour qu’il se passe quelque chose. tu la sentis ce feeling, tu ne sais pas si lui aussi le sent de son côté mais il est là. et il te plaît, tsuki. en plus de ça, il sait se montrer présent avec toi, et rassurant. lorsqu’il reprend la parole, tu sens ton coeur s’emballer dans ta poitrine. « bien-sûr que oui je suis inquiet. » tu ne devrais pas ? c’est trop te demander, ça. mais sa tête vient rapidement se nicher sur ton épaule. si tu t’attendais à ça ? pas du tout. en fait, pendant une courte seconde, tu restes paralysé. il.. il vient vraiment de faire ça ? doucement, tu passes tes bras autour de sa taille, le serrant davantage contre toi. tu fermes même les yeux un court instant alors que ses paroles resserrent ton coeur. est-ce que vous vous rendez compte de cette ambiguïté qui commence doucement à s’installer entre vous deux ? à croire que non. « j’te déteste pas tsuki… j’ai pas envie que tu penses ça. » c’est même tout le contraire. et comme pour appuyer tes mots, tu viens le serrer davantage contre toi. cette étreinte te fait plus de bien que tu ne l’aurais cru, en le voyant comme ça, tu avais cette envie de le prendre dans tes bras, mais ça aurait peut-être été trop bizarre pour lui. alors tu en profites quelques secondes avant qu’il s’écarte, tu souris doucement en voyant ce sourire sur son visage, un sourire qui s’efface que trop vite quand il reprend la parole. de nouveau tes yeux s’écarquillent. « q-.. quoi? » et il part en direction de son frigo, te laissant comme ça. tu hausses les sourcils, le suivant au pas. mais avant que tu puisses reprendre la parole, il s’en charge. tu as du mal à l’écouter sur ce coup là, ton inquiétude prend beaucoup trop le dessus, tellement que ta réponse n’est sans doute pas celle à quoi il s’attendait. « t’as été à l'hôpital ? mais.. » ok, ça n’aide pas ta culpabilité, ni ce sentiment de te sentir inutile face à un tsuki presque tout cassé. mais dans quel état il a dû finir au juste ? tu prends une profonde et discrète inspiration. « ok je.. je dois m’asseoir. » non parce qu’avec toutes ces informations, tu commences à perdre le fil. tsuki qui rencontre ce fameux double, l’homme qui te plaît grandement et que tu retrouves dans un sale état, qui vient aussi de t’offrir un contact qui t’a clairement pas laissé indifférent. doucement, tu tires l’une des chaises pour y prendre place. ce à quoi kyle réagit très vite en sautant sur tes genoux. il se met à ronronner alors que tu déposes tes doigts sur ses poils, commençant de légères caresses. c’est apaisant un chat, ses ronronnements t’aident beaucoup. c’est idiot, mais kyle a toujours été près de toi quand tu te sentais pas bien, ce n’est peut-être qu’un animal, mais t’as parfois cette impression qu’il parvient à absorber tes maux. et là, en l'occurrence, toutes ces choses que tu dois avaler et qui te font perdre les pédales. tu restes silencieux un court instant, ramenant kyle tout contre toi, l’enlaçant de tes bras. dans ta tête, tout se bouscule, tes pensées fusent mais pourtant, tu restes bloqué sur ces sensations que tu as pu ressentir lorsque tsuki était venu se loger dans tes bras. ce qui ne t’aide pas à y mettre de l’ordre, ça c’est clair. pourtant, plusieurs questions te traversent l’esprit. une d’entre elle concernant ce drapeau, que tu gardes pour toi pour le moment. ce n’est pas le moment de lui poser la question, mais le seconde, tu ne peux la contenir. « pourquoi tu ne m’as rien dit ? » tu relèves le regard vers lui. c’est vrai ça.. si tu ne l’avais pas revu, tu n’aurais sans doute jamais vu dans quel état il se trouvait. peut-être qu’il y a une raison derrière tout ça, ou peut-être pas. « tu aurais dû m’en parler.. je serais venu plus tôt.. »
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Dim 19 Aoû - 2:10 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Si c’est ton instinct qui le dit, alors faut que tu l’écoutes Nao, avais-je dit. Visiblement cette histoire était bien plus profonde qu’il ne semblait. Une sombre histoire de jumeau caché ? On pouvait s’imaginer des tas des choses après tout. Mais clairement, il y avait anguille sous roche. Je dirai même plus, cachalot sous gravier à ce stade là. Puis il fallait dire une chose, cette histoire était vraiment TRÈS bizarre. Naturellement je lui avait offert de m’en parler s’il le souhaitait, puis peut-être qu’il y avait moyen d’enquêter dessus, non ? Parce qu’il fallait bien l’aider à comprendre le fin mot de cette histoire. Enfin en tout cas, je voulais l’aider. Pourquoi ? Je l’ignorais moi-même…. parce que ça m’était venu naturellement ? Parce que tout ce qu’il se passait avec Nao était trop… naturel et familier ? Mais je savais au fond de moi que je voulais l’aider. Bien sûr qu’on peut. Je fais confiance à ton instinct, alors je t’aiderai, avais-je dit avec un fin sourire. Je le connaissais depuis peu, mais il m’avait dit lui-même que son instinct ne le trompait jamais. Alors je lui faisais confiance complètement. Il y se passait quelque chose, c’était sûr. Mais rapidement mon sourire s’envola pour laisser place à un ton énervé quand le japonais m’annonça que son double l’avait frappé lui aussi. J’étais même nettement plus en colère qu’après qu’il m’ait frappé moi. Et le pire c’était que Nao se mettait la faute sur les épaules. Ben il a pas intérêt de te faire à nouveau du mal, ou je comptais bien lui faire regretter. Non mais, personne touchait à Nao. Nao c’était mon ange et personne dans ce bas monde n’avait le droit de le blesser. Mais Nao était courageux. Nao voulait à nouveau faire face à son double. Ce jumeau. Il était vraiment incroyable quand même. Tu veux pas que je vienne ? Je veux pas qu’il te fasse du mal Nao-Nao. Oui je m’inquiétais aussi. Mais à cet instant, c’était l’inquiétude de mon aîné qui me frappa. Il était vraiment en train de s’inquiéter pour moi ? Pourquoi il s’inquiétait ? Il me connaissait depuis si peu ? Pourquoi ça m’affectait autant moi ? Alors que je le connaissais depuis si peu. Je ne me l’expliquais pas. Et ce sentiment. Cette familiarité toujours présente. Ce sentiment qui me poussa poussa à venir me blottir contre son corps. J’avais posé ma tête contre son épaule et j’avais glissé mes mains dans son dos pour rester contre lui. Mais. Le pire ? Ce fut qu’il ne me repoussa pas, au contraire. Ses bras se nouèrent au niveau de ma taille et…. je me sentais bien. Je me sentais parfaitement bien. Mais putain. Pourquoi même cette étreinte me semblait si familière. En temps normal. Je ne faisais pas ça. Je n’étais pas aussi…. tactile avec les gens que je venais de rencontrer. Mais là. C’était normal. C’était comme si j’avais déjà été dans ces bras. Alors que clairement…. ben non en fait ! Mais surtout. Il ne me détestait pas. Et ça… c’était tout ce que je voulais entendre. Je sentis ses bras se serrer davantage quand il me dit qu’il ne voulait que je pense au fait qu’il puisse me détester. Mes doigts vinrent doucement caresser ses omoplates, faisant des petits cercles sur son haut noir. Merci, avais-je dit tout bas avant de m’éloigner de lui mais surtout malgré moi je confiais aussi que j’étais allé à l’hôpital à cause de cette histoire. Et sa réaction fut instantanée. Il était allé s’asseoir alors que j’étais parti dans mon frigo ressortir le sac de légumes que je m’étais mis sur le visage plus tôt avant qu’il arrive mais aussi une bouteille d’eau pour que je puisse prendre mes cachets. Je sortis le kimbap un des kimbap que j’avais acheté plus tôt la journée au Lawson qui n’était pas très loin d’ici. Je pris toutes ces petites affaires avec mes cachets en plus avant de m’asseoir en face de Naoya. Mon regard se posa sur lui alors qu’il avait Kyle sur ses genoux, le câlinant, alors que le chat ronronnait. C’était trop chou quand même. Je déballais mon repas pour repas avant d’en fourrer une rondelle dans ma bouche. Ben ouais le médecin m’avait dit de manger avant de prendre mes cachets contre la douleur. Mais rapidement Nao me posa une question me laissa sans voix. Lui dire ? J’avalai difficilement alors que son regard était rivé sur moi. Je... Je baissais le regard comme un gamin qu’on aurait engueulé. Je sais pas… je voulais t’envoyer un message, mais … j’étais perdu ? Je repris une rondelle avant de naturellement pousser la nourriture vers Nao pour qu’il en prenne s’il en voulait. Rapidement je commençai à sortir mes cahcets de leurs emballages. Déjà que … ce soir là, quand je me suis sorti de … tout ça... avais-je dit en agitant ma main libre pour désigner tout ce qu’il s’était passé avec le jumeau de Nao ... je suis allé chez une amie très proche et elle m’a forcé à aller à l’hôpital. Moi je n’y serai pas allé sinon, j’avais agité ma tête avant de mettre mes cachets dans la bouche et de les avaler avec un peu d’eau. Nao je… j’aurais dû t’envoyer un message mais… je te cache pas j’étais en vrac après l’avoir rencontré et… J’inspirai avant de me passer une main sur le front. Je ne savais pas ce qu’il m’arrivait, d’accord ? Nao me rendait confus. Il y avait trop de choses. Je finis par relever mes yeux vers Nao avant de dire. Dans le fond j’avais peur… de te perdre et que tu ne veuilles plus me voir. Je me mordis la lèvre inférieure? Je ne savais plus ce que je ressentais. J’aimais beaucoup Nao. Beaucoup trop. J’en étais certains. Je m’étais trop attaché à lui en un temps reccord. Et ce n’était pas mon genre. Depuis combien de temps que je n’avais pas ressenti un truc pareil ? Depuis Junhee. Pendant longtemps j’avais seulement eu des coups d’un soir. Mais là…. là ? Il y avait quelque chose ? Je n’avais pas rêvé, il y avait quelque chose ? Le feeling que j’avais ressenti la dernière fois en le tatouant …. il était vraiment vrai ? Je n’en savais rien…. j’étais juste perdu. J’avais fini par attrapé le sac gelé pour me le remettre sur la joue. Je ne savais pas ce qu’il se passait. J’étais perdu dans mes propres ressentis sans être sûr que Nao le partageait. Putain Tsuki, c’était vraiment pas le moment là. Puis sérieux, toi ? Sortir avec Nao ? Et puis quoi encore ?! Puis alors du coin de l’oeil, il m’avait semblé le voir fixer un point au niveau de mon mur. Non, je rêvais. Par réflexe j’avais demandé. Tu as vu quelque chose qui te plait sur mon mur ? Naturellement j’avais remonté mon regard jusqu’à tombé sur mon drapeau. Celui que j’avais affiché dès que j’avais eu mon appartement. Oui. Parce que ma pansexualité, sans pour autant la crier, je ne l’a cachais pas non plus. Et mon appartement, c’était un endroit qui me ressemblait alors forcément…. j’avais affiché ces couleurs. Oh… peut-être que Nao était contre ça ? Mince… ah non manquerait plus que ça putain. Pendant un instant mon regard remonta sur lui. Si ça se trouve ça allait le dégoûter ? J’eus un instant de panique, je tentais de comprendre son faciès mais je savais d’avance que c’était foutu… Pourtant, il ne m’avait pas repoussé quand je l’avais enlacé. Je voulais lui demander si ça le dérangeait… mais ma gorge resta nouée, toujours pris dans ma panique. Nao-Nao… je... Non rien à faire, ça ne sortait putain de pas. Quel con Tsuki? Quel con.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - Si c’est ton instinct qui le dit, alors faut que tu l’écoutes Nao, avais-je dit. Visiblement cette histoire était bien plus profonde qu’il ne semblait. Une sombre histoire de jumeau caché ? On pouvait s’imaginer des tas des choses après tout. Mais clairement, il y avait anguille sous roche. Je dirai même plus, cachalot sous gravier à ce stade là. Puis il fallait dire une chose, cette histoire était vraiment TRÈS bizarre. Naturellement je lui avait offert de m’en parler s’il le souhaitait, puis peut-être qu’il y avait moyen d’enquêter dessus, non ? Parce qu’il fallait bien l’aider à comprendre le fin mot de cette histoire. Enfin en tout cas, je voulais l’aider. Pourquoi ? Je l’ignorais moi-même…. parce que ça m’était venu naturellement ? Parce que tout ce qu’il se passait avec Nao était trop… naturel et familier ? Mais je savais au fond de moi que je voulais l’aider. Bien sûr qu’on peut. Je fais confiance à ton instinct, alors je t’aiderai, avais-je dit avec un fin sourire. Je le connaissais depuis peu, mais il m’avait dit lui-même que son instinct ne le trompait jamais. Alors je lui faisais confiance complètement. Il y se passait quelque chose, c’était sûr. Mais rapidement mon sourire s’envola pour laisser place à un ton énervé quand le japonais m’annonça que son double l’avait frappé lui aussi. J’étais même nettement plus en colère qu’après qu’il m’ait frappé moi. Et le pire c’était que Nao se mettait la faute sur les épaules. Ben il a pas intérêt de te faire à nouveau du mal, ou je comptais bien lui faire regretter. Non mais, personne touchait à Nao. Nao c’était mon ange et personne dans ce bas monde n’avait le droit de le blesser. Mais Nao était courageux. Nao voulait à nouveau faire face à son double. Ce jumeau. Il était vraiment incroyable quand même. Tu veux pas que je vienne ? Je veux pas qu’il te fasse du mal Nao-Nao. Oui je m’inquiétais aussi. Mais à cet instant, c’était l’inquiétude de mon aîné qui me frappa. Il était vraiment en train de s’inquiéter pour moi ? Pourquoi il s’inquiétait ? Il me connaissait depuis si peu ? Pourquoi ça m’affectait autant moi ? Alors que je le connaissais depuis si peu. Je ne me l’expliquais pas. Et ce sentiment. Cette familiarité toujours présente. Ce sentiment qui me poussa poussa à venir me blottir contre son corps. J’avais posé ma tête contre son épaule et j’avais glissé mes mains dans son dos pour rester contre lui. Mais. Le pire ? Ce fut qu’il ne me repoussa pas, au contraire. Ses bras se nouèrent au niveau de ma taille et…. je me sentais bien. Je me sentais parfaitement bien. Mais putain. Pourquoi même cette étreinte me semblait si familière. En temps normal. Je ne faisais pas ça. Je n’étais pas aussi…. tactile avec les gens que je venais de rencontrer. Mais là. C’était normal. C’était comme si j’avais déjà été dans ces bras. Alors que clairement…. ben non en fait ! Mais surtout. Il ne me détestait pas. Et ça… c’était tout ce que je voulais entendre. Je sentis ses bras se serrer davantage quand il me dit qu’il ne voulait que je pense au fait qu’il puisse me détester. Mes doigts vinrent doucement caresser ses omoplates, faisant des petits cercles sur son haut noir. Merci, avais-je dit tout bas avant de m’éloigner de lui mais surtout malgré moi je confiais aussi que j’étais allé à l’hôpital à cause de cette histoire. Et sa réaction fut instantanée. Il était allé s’asseoir alors que j’étais parti dans mon frigo ressortir le sac de légumes que je m’étais mis sur le visage plus tôt avant qu’il arrive mais aussi une bouteille d’eau pour que je puisse prendre mes cachets. Je sortis le kimbap un des kimbap que j’avais acheté plus tôt la journée au Lawson qui n’était pas très loin d’ici. Je pris toutes ces petites affaires avec mes cachets en plus avant de m’asseoir en face de Naoya. Mon regard se posa sur lui alors qu’il avait Kyle sur ses genoux, le câlinant, alors que le chat ronronnait. C’était trop chou quand même. Je déballais mon repas pour repas avant d’en fourrer une rondelle dans ma bouche. Ben ouais le médecin m’avait dit de manger avant de prendre mes cachets contre la douleur. Mais rapidement Nao me posa une question me laissa sans voix. Lui dire ? J’avalai difficilement alors que son regard était rivé sur moi. Je... Je baissais le regard comme un gamin qu’on aurait engueulé. Je sais pas… je voulais t’envoyer un message, mais … j’étais perdu ? Je repris une rondelle avant de naturellement pousser la nourriture vers Nao pour qu’il en prenne s’il en voulait. Rapidement je commençai à sortir mes cahcets de leurs emballages. Déjà que … ce soir là, quand je me suis sorti de … tout ça... avais-je dit en agitant ma main libre pour désigner tout ce qu’il s’était passé avec le jumeau de Nao ... je suis allé chez une amie très proche et elle m’a forcé à aller à l’hôpital. Moi je n’y serai pas allé sinon, j’avais agité ma tête avant de mettre mes cachets dans la bouche et de les avaler avec un peu d’eau. Nao je… j’aurais dû t’envoyer un message mais… je te cache pas j’étais en vrac après l’avoir rencontré et… J’inspirai avant de me passer une main sur le front. Je ne savais pas ce qu’il m’arrivait, d’accord ? Nao me rendait confus. Il y avait trop de choses. Je finis par relever mes yeux vers Nao avant de dire. Dans le fond j’avais peur… de te perdre et que tu ne veuilles plus me voir. Je me mordis la lèvre inférieure? Je ne savais plus ce que je ressentais. J’aimais beaucoup Nao. Beaucoup trop. J’en étais certains. Je m’étais trop attaché à lui en un temps reccord. Et ce n’était pas mon genre. Depuis combien de temps que je n’avais pas ressenti un truc pareil ? Depuis Junhee. Pendant longtemps j’avais seulement eu des coups d’un soir. Mais là…. là ? Il y avait quelque chose ? Je n’avais pas rêvé, il y avait quelque chose ? Le feeling que j’avais ressenti la dernière fois en le tatouant …. il était vraiment vrai ? Je n’en savais rien…. j’étais juste perdu. J’avais fini par attrapé le sac gelé pour me le remettre sur la joue. Je ne savais pas ce qu’il se passait. J’étais perdu dans mes propres ressentis sans être sûr que Nao le partageait. Putain Tsuki, c’était vraiment pas le moment là. Puis sérieux, toi ? Sortir avec Nao ? Et puis quoi encore ?! Puis alors du coin de l’oeil, il m’avait semblé le voir fixer un point au niveau de mon mur. Non, je rêvais. Par réflexe j’avais demandé. Tu as vu quelque chose qui te plait sur mon mur ? Naturellement j’avais remonté mon regard jusqu’à tombé sur mon drapeau. Celui que j’avais affiché dès que j’avais eu mon appartement. Oui. Parce que ma pansexualité, sans pour autant la crier, je ne l’a cachais pas non plus. Et mon appartement, c’était un endroit qui me ressemblait alors forcément…. j’avais affiché ces couleurs. Oh… peut-être que Nao était contre ça ? Mince… ah non manquerait plus que ça putain. Pendant un instant mon regard remonta sur lui. Si ça se trouve ça allait le dégoûter ? J’eus un instant de panique, je tentais de comprendre son faciès mais je savais d’avance que c’était foutu… Pourtant, il ne m’avait pas repoussé quand je l’avais enlacé. Je voulais lui demander si ça le dérangeait… mais ma gorge resta nouée, toujours pris dans ma panique. Nao-Nao… je... Non rien à faire, ça ne sortait putain de pas. Quel con Tsuki? Quel con.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Dim 19 Aoû - 21:56 Citer EditerSupprimer
(outfit) - tu souris doucement lorsque tu entends ses mots. il t’aiderait ? il ferait vraiment ça ? reprenons la situation au final, tsuki ne te connait pas si bien que ça, en plus, ton jumeau lui avait tout de même sauté dessus. et voilà qu’il souhaite encore t’aider.. est-ce que lui aussi ressent ce sentiment de familiarité ? quand il t’annonce qu’il n’a pas intérêt de te faire à nouveau du mal, tu hoches négativement la tête. « il m’en fera plus tsuki... » tu cherches à le rassurer, et te rassurer par la même occasion, mais tu ne t’attendais pas à ce qu’il se montre si inquiet envers toi. comme toi, t’es inquiet pour lui, mais tu sais pourquoi. parce qu’il te plaît, parce qu’il te fait penser à tooru, parce que doucement mais sûrement, tu commences à t’attacher à ce garçon. alors quand il te répète ne pas vouloir qu’il te refasse du mal, tu secoues doucement la tête. « t’en fais pas pour moi.. ça va aller, et je n’ai pas du tout envie qu’il te retombe dessus. » tu préfères prendre des risques seuls, on ne sait jamais.. au final, tu veux le préserver de tout ça. il n’a pas mérité un tel traitement et pourtant, tu as retrouvé tsuki dans cet état. de nouveau, tu ne sais cacher ton inquiétude. c’est bien plus fort que toi, alors à sa question, tu hoches doucement la tête. bien-sûr que tu t’inquiètes pour lui.. et ça doit le toucher plus que tu ne l’aurais cru puisqu’il vient se blottir contre toi, étreinte à laquelle tu réponds. le rassurant de nouveau, non.. t’as pas envie qu’il pense que tu le détestes, premièrement parce que c’est loin d’être le cas et deuxièmement parce que tu aimerais qu’il comprenne que c’est tout le contraire. surtout depuis que tu commences à retrouver espoir, grâce à ce drapeau accroché au mur. et c’est étrange à dire, mais cette proximité te fait plus de bien que tu ne l’aurais pensé. tu aimes l’avoir dans tes bras, tu as cette impression d’y retrouver un peu de tooru en lui, de ne pas l’avoir totalement perdu. que tu es en train de t’accrocher à cette personne beaucoup trop rapidement, ce sentiment de familiarité qui te met beaucoup trop à l’aise, qui te pousse toujours dans ses bras… ouais. c’est étrange. pourtant, tu perds vite ton sourire lorsqu’il t’annonce être allé à l'hôpital. non.. pas à ce point quand même ? tu culpabilises déjà bien assez. alors tu prends place sur une des chaises, caressant kyle qui s’est aussitôt installé sur tes cuisses. et puis, tu lui poses cette question qui te taraude un peu trop. pourquoi il ne t’a rien dit plus tôt ? pourquoi il a gardé le silence ? il y a forcément une raison derrière tout ça. alors tu écoutes attentivement sa réponse. un silence loin d’être pesant, en fait, dans ta tête, c’est beaucoup trop le bordel. tu baisses le regard vers le plat qu’il avance vers toi, te décidant à en prendre une bouchée. alors quand il t’explique qu’une de ses amies l’a forcé à aller à l'hôpital, tu fronces légèrement les sourcils. « une.. amie? » qu’est-ce que ça veut dire pour lui, très proche ? ta curiosité frappe encore, sauf que cette fois, tu n’y as aucun contrôle. « ou ta petite-amie? » parce que oui, lui savait que tu n’avais personne mais toi, t’en savais rien. si tu as pu reprendre espoir en voyant ce drapeau accroché au mur, pendant un instant, tout s’écroule. peut-être qu’il était déjà heureux en ménage ? et si ce n’était pas cette fille, ça pourrait être une autre personne ? pourtant, ses paroles te rassurent. tu commences à sentir cette ambiguïté qui s’installe. peut-être qu’il ne t’a pas pris dans ses bras innocemment, peut-être que toi aussi tu lui plais ? il t’avoue avoir très peur de te perdre. vous ne vous connaissez pas si bien que ça, mais tu comprends à cet instant que lui aussi, ressent ce sentiment de familiarité en ta présence. que le feeling est sans doute présent des deux côtés, même si au final, t’as aucune confirmation à tout ça. simplement, ses paroles te confortent dans ton idée. et si.. et s’il pouvait réellement se passer quelque chose entre vous ? par réflexe, tu regardes de nouveau le drapeau du coin de l’oeil. sauf que cette fois-ci, tu te fais griller. tu allais bien finir par lui poser la question, mais ses paroles te hantent, tellement que tu en deviens silencieux pendant un court instant. il avait eu peur de te perdre, de comprendre que tu ne voulais peut-être plus le voir, et à cette pensée, ton coeur rate un battement. si tout ce qu’il se passe en ce moment te perturbe, là, c’est encore pire. pourtant, t’es poussé à réagir, poussé à tenter quelque chose ou du moins, lui faire comprendre. il te donne cette impression de confiance, et avec toute cette inquiétude, tu ne sais pas si tu pourras réellement t’en empêcher. mais ton silence le perturbe lui aussi, il en perd ses mots toujours dans cette conversation du fameux drapeau. alors tu finis enfin par briser le silence. « je.. je savais pas que tu étais.. pan. » tu affiches un doux sourire, loin d’être crispé. t’as pas non plus envie qu’il pense que ça te dérange… au contraire, tu veux lui faire comprendre que ça te rassure, parce que toi non plus, t’es loin d’être hétéro. alors tu finis par te lever, laissant kyle partir de tes genoux, tu t’installes près de lui, peut-être un peu trop proche mais tu veux briser cette distance et pendant un court instant, tu le regardes. détaillant son visage. c’est.. indescriptible ce que tu ressens. tu as déjà été attaché à quelqu’un, mais ce n’était pas la même chose. il est différent, pour une raison qui t’échappe. pendant quelques secondes, tu baisses même le regard sur son corps, sur ses vêtements, sur ces tatouages que tu vois à travers. tout te plaît chez lui, même son style. doucement, tu viens approcher tes doigts de ses cheveux, les dégageant de manière à analyser ses blessures. cette vue te brise le coeur, t’aimes pas ça. « tu.. as vraiment eu peur de me perdre, tsuki ? » ta voix est encore plus douce, plus apaisante, attisant cette ambiguïté naissante entre vous. il a vraiment peur de te perdre ? est-ce qu’il ressent la même chose que toi, lui aussi ? tu restes près de lui, te rendant pas forcément compte que finalement, tu n’as pas imposé une certaine distance. t’es proche de lui, beaucoup trop. tellement qu’en analysant son visage, ton regard se fige sur ses lèvres avant de replonger son regard dans le sien. « m’en veux pas.. pour ça.. » pour quoi ? il va vite le comprendre. doucement, tu approches ton visage du sien. tendrement, comme si tu voulais t’imprégner de ce moment et aussi, lui laisser l’opportunité de s’écarter si tu avais tort sur toute la ligne, mais il ne le fait pas. et c’est tendrement que tes lèvres se posent sur les siennes, tes yeux se ferment alors que ton coeur, lui, commence à s’affoler. tu es doux, mais tu ne veux pas le brusquer, ni même lui faire du mal.en fait.. tu souhaites tout le contraire, et il pourra désormais le comprendre.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - tu souris doucement lorsque tu entends ses mots. il t’aiderait ? il ferait vraiment ça ? reprenons la situation au final, tsuki ne te connait pas si bien que ça, en plus, ton jumeau lui avait tout de même sauté dessus. et voilà qu’il souhaite encore t’aider.. est-ce que lui aussi ressent ce sentiment de familiarité ? quand il t’annonce qu’il n’a pas intérêt de te faire à nouveau du mal, tu hoches négativement la tête. « il m’en fera plus tsuki... » tu cherches à le rassurer, et te rassurer par la même occasion, mais tu ne t’attendais pas à ce qu’il se montre si inquiet envers toi. comme toi, t’es inquiet pour lui, mais tu sais pourquoi. parce qu’il te plaît, parce qu’il te fait penser à tooru, parce que doucement mais sûrement, tu commences à t’attacher à ce garçon. alors quand il te répète ne pas vouloir qu’il te refasse du mal, tu secoues doucement la tête. « t’en fais pas pour moi.. ça va aller, et je n’ai pas du tout envie qu’il te retombe dessus. » tu préfères prendre des risques seuls, on ne sait jamais.. au final, tu veux le préserver de tout ça. il n’a pas mérité un tel traitement et pourtant, tu as retrouvé tsuki dans cet état. de nouveau, tu ne sais cacher ton inquiétude. c’est bien plus fort que toi, alors à sa question, tu hoches doucement la tête. bien-sûr que tu t’inquiètes pour lui.. et ça doit le toucher plus que tu ne l’aurais cru puisqu’il vient se blottir contre toi, étreinte à laquelle tu réponds. le rassurant de nouveau, non.. t’as pas envie qu’il pense que tu le détestes, premièrement parce que c’est loin d’être le cas et deuxièmement parce que tu aimerais qu’il comprenne que c’est tout le contraire. surtout depuis que tu commences à retrouver espoir, grâce à ce drapeau accroché au mur. et c’est étrange à dire, mais cette proximité te fait plus de bien que tu ne l’aurais pensé. tu aimes l’avoir dans tes bras, tu as cette impression d’y retrouver un peu de tooru en lui, de ne pas l’avoir totalement perdu. que tu es en train de t’accrocher à cette personne beaucoup trop rapidement, ce sentiment de familiarité qui te met beaucoup trop à l’aise, qui te pousse toujours dans ses bras… ouais. c’est étrange. pourtant, tu perds vite ton sourire lorsqu’il t’annonce être allé à l'hôpital. non.. pas à ce point quand même ? tu culpabilises déjà bien assez. alors tu prends place sur une des chaises, caressant kyle qui s’est aussitôt installé sur tes cuisses. et puis, tu lui poses cette question qui te taraude un peu trop. pourquoi il ne t’a rien dit plus tôt ? pourquoi il a gardé le silence ? il y a forcément une raison derrière tout ça. alors tu écoutes attentivement sa réponse. un silence loin d’être pesant, en fait, dans ta tête, c’est beaucoup trop le bordel. tu baisses le regard vers le plat qu’il avance vers toi, te décidant à en prendre une bouchée. alors quand il t’explique qu’une de ses amies l’a forcé à aller à l'hôpital, tu fronces légèrement les sourcils. « une.. amie? » qu’est-ce que ça veut dire pour lui, très proche ? ta curiosité frappe encore, sauf que cette fois, tu n’y as aucun contrôle. « ou ta petite-amie? » parce que oui, lui savait que tu n’avais personne mais toi, t’en savais rien. si tu as pu reprendre espoir en voyant ce drapeau accroché au mur, pendant un instant, tout s’écroule. peut-être qu’il était déjà heureux en ménage ? et si ce n’était pas cette fille, ça pourrait être une autre personne ? pourtant, ses paroles te rassurent. tu commences à sentir cette ambiguïté qui s’installe. peut-être qu’il ne t’a pas pris dans ses bras innocemment, peut-être que toi aussi tu lui plais ? il t’avoue avoir très peur de te perdre. vous ne vous connaissez pas si bien que ça, mais tu comprends à cet instant que lui aussi, ressent ce sentiment de familiarité en ta présence. que le feeling est sans doute présent des deux côtés, même si au final, t’as aucune confirmation à tout ça. simplement, ses paroles te confortent dans ton idée. et si.. et s’il pouvait réellement se passer quelque chose entre vous ? par réflexe, tu regardes de nouveau le drapeau du coin de l’oeil. sauf que cette fois-ci, tu te fais griller. tu allais bien finir par lui poser la question, mais ses paroles te hantent, tellement que tu en deviens silencieux pendant un court instant. il avait eu peur de te perdre, de comprendre que tu ne voulais peut-être plus le voir, et à cette pensée, ton coeur rate un battement. si tout ce qu’il se passe en ce moment te perturbe, là, c’est encore pire. pourtant, t’es poussé à réagir, poussé à tenter quelque chose ou du moins, lui faire comprendre. il te donne cette impression de confiance, et avec toute cette inquiétude, tu ne sais pas si tu pourras réellement t’en empêcher. mais ton silence le perturbe lui aussi, il en perd ses mots toujours dans cette conversation du fameux drapeau. alors tu finis enfin par briser le silence. « je.. je savais pas que tu étais.. pan. » tu affiches un doux sourire, loin d’être crispé. t’as pas non plus envie qu’il pense que ça te dérange… au contraire, tu veux lui faire comprendre que ça te rassure, parce que toi non plus, t’es loin d’être hétéro. alors tu finis par te lever, laissant kyle partir de tes genoux, tu t’installes près de lui, peut-être un peu trop proche mais tu veux briser cette distance et pendant un court instant, tu le regardes. détaillant son visage. c’est.. indescriptible ce que tu ressens. tu as déjà été attaché à quelqu’un, mais ce n’était pas la même chose. il est différent, pour une raison qui t’échappe. pendant quelques secondes, tu baisses même le regard sur son corps, sur ses vêtements, sur ces tatouages que tu vois à travers. tout te plaît chez lui, même son style. doucement, tu viens approcher tes doigts de ses cheveux, les dégageant de manière à analyser ses blessures. cette vue te brise le coeur, t’aimes pas ça. « tu.. as vraiment eu peur de me perdre, tsuki ? » ta voix est encore plus douce, plus apaisante, attisant cette ambiguïté naissante entre vous. il a vraiment peur de te perdre ? est-ce qu’il ressent la même chose que toi, lui aussi ? tu restes près de lui, te rendant pas forcément compte que finalement, tu n’as pas imposé une certaine distance. t’es proche de lui, beaucoup trop. tellement qu’en analysant son visage, ton regard se fige sur ses lèvres avant de replonger son regard dans le sien. « m’en veux pas.. pour ça.. » pour quoi ? il va vite le comprendre. doucement, tu approches ton visage du sien. tendrement, comme si tu voulais t’imprégner de ce moment et aussi, lui laisser l’opportunité de s’écarter si tu avais tort sur toute la ligne, mais il ne le fait pas. et c’est tendrement que tes lèvres se posent sur les siennes, tes yeux se ferment alors que ton coeur, lui, commence à s’affoler. tu es doux, mais tu ne veux pas le brusquer, ni même lui faire du mal.en fait.. tu souhaites tout le contraire, et il pourra désormais le comprendre.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Lun 20 Aoû - 4:15 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Je toussotai brutalement quand Nao me demanda si mon amie proche était une amie ou une petite-amie. Alors là pour le coup je ne m’étais pa vraiment attendu à une telle question. Bae était tout sauf une petite amie, loin de-là. C’était vraiment la dernière personne avec qui il y avait ambiguïté ! Non tout, c’est ma noona. Enfin ma grande soeur, je suis enfant unique, mais je la considère comme ma grande soeur. Hors de question que je sorte avec elle, avais-je répondu en secouant la tête. Clairement, c’était loin d’une relation amoureuse? Affective oui. Bae-Bae était un ange pour moi, une protectrice. En fait, je ne sors avec personne tout court en fait, avais-je fini par dire en souriant doucement. J’avouais que dans la conversation, c’était logique. Mais Naoya m’avait clairement pris de court. Puis… en soi pourquoi il me demandait si j’avais une petite-amie. Alors en posant mes yeux sur lui, je pu apercevoir qu’il était en train de fixer un point sur mon mur. Je l’interrogeai tout en remontant moi-même mes yeux jusqu’à ce point. Et là ce fut un déchirement. Il avait vu ce drapeau de la pansexualité. Et il me vint à l’esprit qu’il était peut-être opposé à tout ça. Peut-être qu’il était genre homophobe et que j’allais le dégouter. Mais pourtant… il ne m’avait pas repoussé quand j’avais foncé dans ses bras. Il ne m’avait rien dit non plus que je lui avait ouvertement dit que j’avais peur de le perdre. Mais où était la vérité putain ? Ma pansexualité. Je ne l’avais jamais caché en fait. J’estimais que je m’étais caché trop longtemps pendant mon adolescence pour aujourd’hui chercher à essayer d’être quelqu’un que je n’étais pas. Je voulais être moi. Alors certes, ce n’était pas l’info que je criais aux personnes que je rencontrais, mais si on me posais la question, je ne venais pas à mentir. J’étais fait comme ça. Tsuki, pansexuel. A prendre ou à laisser. Mais j’avouais que l’idée que Nao soit répugné par mes préférences sexuelles aurait pu… genre TOUT gâcher. Mais pourtant il avait l’air si tolérant… Alors dans ma panique je tentais de parler, mais je n’y arrivais clairement pas. je le fixais, je tentais de décrypter les mimiques de son visage, mais j’oubliais toujours que mon cerveau était handicapé. En fait, ce fut Nao qui fit le premier geste. Il commença à parler. Mais il n’y avait pas…. d'animosité dans sa voix ? Mon cerveau me trompait encore ? Je… euh… oui…. je suis pansexuel, avais-je finit par prononcer. Allez banco. Et advienne que pourra. Mais là me tripes me disaient de foncer. Mais sa réaction, clairement je n’étais pas prêt pour ça. Mes yeux rivés sur lui, j’observais Nao se lever de sa chaise - j’en oubliais même la présence de Kyle - pour s’installer près de moi… genre très près de moi. Il me fixa et je ne cachais pas que cette proximité me permettait d’en faire tout autant. Même si j’avais déjà retenu les détails de son visage la première fois. Mes iris venant suivre la corbe de sa mâchoire. La rondeur de ses lèvres. Glissa jusqu’à son cou, ses clavicules apparentes. Qu’il étaiat magnifique. A cet instant, il attrapa encore une de mes mèches de cheveux. Pendant cet instant je me mordis la lèvre inférieure, comme je pouvais aimer qu’il me touche les cheveux. Comme j’aurais adoré qu’il glisse sa main dans ma chevelure désordonnée. Nao-Nao, qu’étais-tu en train de faire ? Mon petit palpitant perdit son rythme pour s’accélérer. Il était si proche bon sang. Et moi. Je voulais l’embrasser. je voulais presser mes lèvres contre les siennes. Les lèvre du japonais devaient être si délicieuses.mes iris revinrent se planter dans les siennes alors qui me posa la question. Oui, avais-je murmuré tout bas. Enfin il fallait dire que nous étions si proche que je savais qu’il l’avait entendu. J’ai encore peur de te perdre, avais-je ajouté. Les yeux étaient repartis à la conquête du moindre détail du visage de Nao. Ce visage parfait. Hypnotisant. Mais si proche. S’il ne s’éloignait pas, j’aurais été capable de tout foutre en l’air ? Tout foutre en l’air ? Non, parce qu’à cet instant. Il y a une évidence qui me sautait aux yeux. Nao s’était rapproché. Nao ne s’éloignait pas. Nao me demandait si j’avais eu une petite amie. Nao s’inquiétait pour mon bien-être. Nao… Nao et encore Nao. Je… lui plaisais. Alors que j’arrivais à cette conclusion que je n’eus pas le temps de verbaliser, il me demanda de ne pas lui en vouloir pour ça ? Non mais… ça quoi ? Et pourquoi s’excuser ? je n’eus pas le temps de penser. Ou de poser la question. Je le vis s’approcher de moi. Encore et encore. Sans s’arrêter. Moment suspendu à un fil d’infini. Ce doux ralenti alors que je comprenais ce qu’il se passait. Ce moment où j’eus le réflexe de fermer mes paupières pour profiter de ce doux contact que j’avais attendu depuis un moment. Puis doucement ses lèvres rencontrèrent les miennes. Ses lèvres étaient doucement tièdes et j’aurais juré y trouver une saveur de fraise que je n’aurais su expliquer. J’ouvris doucement les yeux après ce premier contact mais je ne m’éloignais pas. Je voulais parler, mais j’eus peur de briser l’instant présent qui était beaucoup trop …. magique. Mes yeux se fermaient à nouveau alors qu’à mon tour je me penchai pour rencontrer à nouveau ses lèvres. Dans un baiser qui était plus appuyé. Plus long. Mais qui ne faisait que réveiller des pulsions en moi. Cette attirance que j’avais pour Nao. Cette attirance physique qui était plus que réelle. Sous cette pulsion je glissais une de mes main dans la nuque de japonais et la seconde se posa sur sa cuisse. Inconsciemment je me rapprochais du bord de ma chaise pour tenter de me rapprocher plus de lui. Cherchant un vrai contact physique. Doucement ma langue commença à ses frayer un chemin jusqu’à sa bouche, cherchant la caresse de celle de Nao. Et puis zut à la fin ! J’avais beaucoup trop chaud. Je rompis brutalement le contact. Je me relevai d’un coup et vins m'asseoir à califourchon sur ses genoux. J’avais beaucoup trop chaud. beaucoup trop faim de cet homme. Putain comment il faisait me rendre dingue ? Sans plus attendre mes mains attrapèrent le bas de mon pull et je le fis passer par dessus ma tête. Révélant ainsi mon torse nu sous ce vêtement. Mes lèvres revinrent à l’assaut de celles de mon aîné, cherchant plus que de tout à me coller à lui, fougueux, tentateur. Je ne pouvais plus résister putain.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - Je toussotai brutalement quand Nao me demanda si mon amie proche était une amie ou une petite-amie. Alors là pour le coup je ne m’étais pa vraiment attendu à une telle question. Bae était tout sauf une petite amie, loin de-là. C’était vraiment la dernière personne avec qui il y avait ambiguïté ! Non tout, c’est ma noona. Enfin ma grande soeur, je suis enfant unique, mais je la considère comme ma grande soeur. Hors de question que je sorte avec elle, avais-je répondu en secouant la tête. Clairement, c’était loin d’une relation amoureuse? Affective oui. Bae-Bae était un ange pour moi, une protectrice. En fait, je ne sors avec personne tout court en fait, avais-je fini par dire en souriant doucement. J’avouais que dans la conversation, c’était logique. Mais Naoya m’avait clairement pris de court. Puis… en soi pourquoi il me demandait si j’avais une petite-amie. Alors en posant mes yeux sur lui, je pu apercevoir qu’il était en train de fixer un point sur mon mur. Je l’interrogeai tout en remontant moi-même mes yeux jusqu’à ce point. Et là ce fut un déchirement. Il avait vu ce drapeau de la pansexualité. Et il me vint à l’esprit qu’il était peut-être opposé à tout ça. Peut-être qu’il était genre homophobe et que j’allais le dégouter. Mais pourtant… il ne m’avait pas repoussé quand j’avais foncé dans ses bras. Il ne m’avait rien dit non plus que je lui avait ouvertement dit que j’avais peur de le perdre. Mais où était la vérité putain ? Ma pansexualité. Je ne l’avais jamais caché en fait. J’estimais que je m’étais caché trop longtemps pendant mon adolescence pour aujourd’hui chercher à essayer d’être quelqu’un que je n’étais pas. Je voulais être moi. Alors certes, ce n’était pas l’info que je criais aux personnes que je rencontrais, mais si on me posais la question, je ne venais pas à mentir. J’étais fait comme ça. Tsuki, pansexuel. A prendre ou à laisser. Mais j’avouais que l’idée que Nao soit répugné par mes préférences sexuelles aurait pu… genre TOUT gâcher. Mais pourtant il avait l’air si tolérant… Alors dans ma panique je tentais de parler, mais je n’y arrivais clairement pas. je le fixais, je tentais de décrypter les mimiques de son visage, mais j’oubliais toujours que mon cerveau était handicapé. En fait, ce fut Nao qui fit le premier geste. Il commença à parler. Mais il n’y avait pas…. d'animosité dans sa voix ? Mon cerveau me trompait encore ? Je… euh… oui…. je suis pansexuel, avais-je finit par prononcer. Allez banco. Et advienne que pourra. Mais là me tripes me disaient de foncer. Mais sa réaction, clairement je n’étais pas prêt pour ça. Mes yeux rivés sur lui, j’observais Nao se lever de sa chaise - j’en oubliais même la présence de Kyle - pour s’installer près de moi… genre très près de moi. Il me fixa et je ne cachais pas que cette proximité me permettait d’en faire tout autant. Même si j’avais déjà retenu les détails de son visage la première fois. Mes iris venant suivre la corbe de sa mâchoire. La rondeur de ses lèvres. Glissa jusqu’à son cou, ses clavicules apparentes. Qu’il étaiat magnifique. A cet instant, il attrapa encore une de mes mèches de cheveux. Pendant cet instant je me mordis la lèvre inférieure, comme je pouvais aimer qu’il me touche les cheveux. Comme j’aurais adoré qu’il glisse sa main dans ma chevelure désordonnée. Nao-Nao, qu’étais-tu en train de faire ? Mon petit palpitant perdit son rythme pour s’accélérer. Il était si proche bon sang. Et moi. Je voulais l’embrasser. je voulais presser mes lèvres contre les siennes. Les lèvre du japonais devaient être si délicieuses.mes iris revinrent se planter dans les siennes alors qui me posa la question. Oui, avais-je murmuré tout bas. Enfin il fallait dire que nous étions si proche que je savais qu’il l’avait entendu. J’ai encore peur de te perdre, avais-je ajouté. Les yeux étaient repartis à la conquête du moindre détail du visage de Nao. Ce visage parfait. Hypnotisant. Mais si proche. S’il ne s’éloignait pas, j’aurais été capable de tout foutre en l’air ? Tout foutre en l’air ? Non, parce qu’à cet instant. Il y a une évidence qui me sautait aux yeux. Nao s’était rapproché. Nao ne s’éloignait pas. Nao me demandait si j’avais eu une petite amie. Nao s’inquiétait pour mon bien-être. Nao… Nao et encore Nao. Je… lui plaisais. Alors que j’arrivais à cette conclusion que je n’eus pas le temps de verbaliser, il me demanda de ne pas lui en vouloir pour ça ? Non mais… ça quoi ? Et pourquoi s’excuser ? je n’eus pas le temps de penser. Ou de poser la question. Je le vis s’approcher de moi. Encore et encore. Sans s’arrêter. Moment suspendu à un fil d’infini. Ce doux ralenti alors que je comprenais ce qu’il se passait. Ce moment où j’eus le réflexe de fermer mes paupières pour profiter de ce doux contact que j’avais attendu depuis un moment. Puis doucement ses lèvres rencontrèrent les miennes. Ses lèvres étaient doucement tièdes et j’aurais juré y trouver une saveur de fraise que je n’aurais su expliquer. J’ouvris doucement les yeux après ce premier contact mais je ne m’éloignais pas. Je voulais parler, mais j’eus peur de briser l’instant présent qui était beaucoup trop …. magique. Mes yeux se fermaient à nouveau alors qu’à mon tour je me penchai pour rencontrer à nouveau ses lèvres. Dans un baiser qui était plus appuyé. Plus long. Mais qui ne faisait que réveiller des pulsions en moi. Cette attirance que j’avais pour Nao. Cette attirance physique qui était plus que réelle. Sous cette pulsion je glissais une de mes main dans la nuque de japonais et la seconde se posa sur sa cuisse. Inconsciemment je me rapprochais du bord de ma chaise pour tenter de me rapprocher plus de lui. Cherchant un vrai contact physique. Doucement ma langue commença à ses frayer un chemin jusqu’à sa bouche, cherchant la caresse de celle de Nao. Et puis zut à la fin ! J’avais beaucoup trop chaud. Je rompis brutalement le contact. Je me relevai d’un coup et vins m'asseoir à califourchon sur ses genoux. J’avais beaucoup trop chaud. beaucoup trop faim de cet homme. Putain comment il faisait me rendre dingue ? Sans plus attendre mes mains attrapèrent le bas de mon pull et je le fis passer par dessus ma tête. Révélant ainsi mon torse nu sous ce vêtement. Mes lèvres revinrent à l’assaut de celles de mon aîné, cherchant plus que de tout à me coller à lui, fougueux, tentateur. Je ne pouvais plus résister putain.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mar 21 Aoû - 0:08 Citer EditerSupprimer
(outfit) - c’est peut-être une question que tu n’aurais pas dû poser.. c’est vrai, sur le principe, petite amie ou pas.. ça ne te regarde pas. mais là, t’as réellement envie de savoir. savoir s’il y a possibilité pour que le feeling ne soit pas là par pur hasard. alors tu hoches doucement la tête à sa réponse, retrouvant même un léger sourire.. qui te trahit ? t’en sais rien. il faut dire que tu commences à en avoir marre de tourner autour du pot, et que tu vas sans doute commencer à lui faire comprendre qu’il te plaît. peu importe le moyen. « ah.. t’es célibataire. » répètes-tu, pour le coup, plus à toi-même qu’autre chose. il est célibataire, pansexuel, tout pour que tu fonces. là, tu n’as plus d’excuse.. il y aurait la possibilité de le perdre si tu ne lui plaisais pas, c’est vrai. le seul hic de cette histoire mais il disparaît lorsqu’il reprend la parole. il a eu peur de te perdre, peut-être parce qu’il espère quelque chose de son côté, lui aussi ? après tout, vous ne vous connaissez que depuis très peu de temps, mais va savoir pourquoi, on te pousse dans ses bras. si d’abord ç’a pu commencer par le fait qu’il te faisait penser à un ami d’enfance à toi à qui tu seras toujours accroché, tu n’es pas né de la dernière pluie. tu sais bien que tu commences à t’attacher à la personne qu’il est. tu le trouves tellement adorable, tellement gentil, tellement.. beau. oui, t’es poussé vers lui, et bientôt, tu ne pourras plus faire semblant. peux-tu seulement encore ? ses mots ont un effet de dingue sur toi. comme s’il ressentait la même chose. comme s’il y avait ce feeling aussi de son côté, comme si tu avais définitivement une chance. chance que tu comptes saisir. alors tu brises cette distance, distance qu’il pourra remettre si bon lui semble, après tout.. tu n’es sûr de rien. est-ce que tu suis ton instinct à cet instant ? pas certain, tu fais seulement ce que tu penses bon de faire ou plutôt.. ce que t’as envie de faire. et, t’as envie de passer à l’étape supérieure. tu te laisses guider par tes envies, alors t’installant tout près de lui, tu dégages ses quelques mèches de cheveux. y découvrant les dégâts de plus près, et ça te serre le coeur. t’as de nouveau envie de le prendre dans tes bras, de l’embrasser, de passer ta main dans ses cheveux mais tu te retiens pour le moment. par tu ne sais quel miracle. cela dit, tu lui reposes la question, aussi pour analyser ses réactions, parce que tu crèves d’envie de l’embrasser, mais pour ça, il faut que tu le sentes avec toi. il te confirme à nouveau ses dires dans un soupir qui te fait discrètement frissonner. son regard t’hypnotise, comme s’il n’y avait plus que vous sur cette terre, vous et personne d’autre, et c’est étrange ce que tu ressens. tu ne parviendrais même pas à l’expliquer.. tu n’as simplement jamais ressenti ça. tu as déjà désiré quelqu’un, tu as même déjà été amoureux -du moins, ça y ressemblait vachement- mais rien de ces sentiments n’est similaire, ce qui confirme bien que tsuki est différent, il te fait sentir différent, il te fait sentir.. toi. comme si tu étais à ta place lorsque tu étais près de lui. une force invisibile te pousse à le croire, à foncer. alors quand il reprend pour t’avouer avoir toujours peur de te perdre, tu reprends à ton tour la parole, lui demandant de ne pas t’en vouloir. si tes tripes t’ont lâchés sur ce coup-là, tu n’as pas envie que ça casse quelque chose entre vous, de le mettre mal à l’aise, ou quoi que ce soit. mais tu dois le faire, de toute façon, cette envie est plus forte que tout le reste. alors tu approches ton visage du sien lentement, lentement, pour t’imprégner de ce moment mais aussi pour lui laisser le temps de réagir, de tout arrêter s’il le voulait mais il n’en fait rien. alors tes paupières se ferment au moment où tes lèvres rencontrent les siennes, un doux baiser pour commencer, un baiser presque timide alors que ton corps s’innonde d'électrochocs. tu pourrais prolonger le baiser mais tu préfères y mettre fin à la place, sans pour autant éloigner ton visage du sien. tu rouvres simplement les yeux, plantant ton regard dans le sien. un regard qui te consume. mais avant même que tu aies le temps de reprendre la parole -après t’être remis de tes émotions- tsuki brise de nouveau cette distance, t’embrassant à son tour. ton coeur fait un bon dans ta poitrine, tu ne t’y attendais pas vraiment et pourtant, le baiser qu’il t’offre te permet de garder les pieds sur terre. un baiser plus appuyé, plus affamé que le tien. une tornade de sensations tellement fortes qu’elles te permet de rester maître de toi-même, mais en sentant sa main sur ta cuisse, tu réagis aussitôt en passant ta main dans ses cheveux, gardant son visage près du tien. ce moment, tu en crevais d’envie, et tu lui fais comprendre à travers ce baiser que tu lui offres. alors quand sa langue vient caresser la tienne, tu appuies encore plus le baiser, approchant davantage ton visage du sien. t’es attiré par lui, par son corps, tellement que même si la distance entre vous reste fine, elle te dérange. et elle doit déranger tsuki aussi, puisqu’il met brutalement fin au baiser. par réflexe, tu rouvres les yeux, tentant d’analyser son regard pour comprendre mais pour être honnête, tu n’as pas le temps de comprendre grand chose qu’il s’installe sur tes genoux. ça non plus, tu ne t’y attendais pas, mais au moment où il ôte son haut. cette boule d’excitation qui ne cessait de te titiller depuis quelques courtes minutes explose enfin. comme si ta chaleur corporelle venait de te mettre une sacrée claque. ton regard se baisse alors sur son corps, pour la première fois, tu peux y apercevoir clairement ses tatouages, même ses tétons qui sont.. percés ? mais tu n’as pas le temps de réagir qu’il te coupe dans ton observation pour reprendre possession de tes lèvres. t’as chaud, très chaud, encore plus chaud. tes mains viennent se plaquer sur ses omoplates, profitant d’elles pour le coller davantage à toi. un baiser fougueux, un baiser qui titille de nouveau ton envie de lui. parce que oui, tu as envie de lui. là, tout de suite. tellement que ta main gauche vient se loger dans sa nuque, gardant de nouveau son visage près du tien tandis que la deuxième longe ses flancs, caressant sa peau chaude. peau qui t’appelle, parce que là, tu ne penses qu’à lui, qu’à son corps, et ça faisait bien un moment que tu n’avais pas ressenti ça… d’une telle puissance, avec tout ce que tu ressens ? tu dirais même que tu n’as jamais ressenti ça auparavant. tu n’as jamais eu un feeling aussi présent avec quelqu’un, aussi imposant, comme si de toute évidence, tu étais fait pour croiser son chemin. alors après quelques courtes minutes, tu passes ton bras autour de sa taille, la seconde venant attraper le dessous de sa cuisse, tu te redresses, le portant tout contre toi un court instant avant de le déposer au bord de la table, déposant ta seconde main sur sa deuxième cuisse, tu viens le coller contre toi. autour de toi, puisque tu as même ce réflexe de soulever légèrement sa cuisse pour qu’il enroule ses jambes autour de ta taille. cette impression d’être en ses cuisses te plaît, puisqu’à cet instant, tu brises encore une fois une partie de cette distance que tu veux détruire pour de bon. ton baiser devient pour fougueux encore. ton cerveau est déconnecté de tout, encore une fois, il n’existe que vous deux. il n’y a que vous deux. tendrement, tu quittes ses douces lèvres pour descendre tes baisers sur sa peau. tu fais attention, tu n’as pas envie de le blesser, son visage est déjà bien trop abîmé pour toi, alors tu viens déposer des baisers enflammés dans son cou, baisers parfois mouillés, assoiffé de lui avant de revenir près de ses lèvres sans pour autant y reprendre possession, tes mains agrippent doucement ses hanches, offrant à sa peau de douces caresses. tu cherches son regard, ces sentiments t’empêchent de sourire, ta respiration te trahie déjà en étant si peu stable, tu colles de nouveau tes lèvres contre le sienne, lui soufflant entre deux baisers. « j’n’arrête pas d’penser à toi... » tu veux qu’il le sache, tu veux qu’il sache qu’il te plaît plus qu’il ne l’imagine. depuis la première fois où vos regards se sont croisés, ce sentiment de familiarité et cette aise t’ont poussé à le garder dans ton esprit. tsuki est là, il est présent dans tes pensées, quoi que tu fasses. alors tu prends quelques secondes pour retirer ton haut à ton tour, rapidement, le laissant tomber au sol sans quitter ta position ni même cette proximité, et une fois chose faite, tu reviens attraper ses lèvres dans un baiser plus chaud que les précédents.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - c’est peut-être une question que tu n’aurais pas dû poser.. c’est vrai, sur le principe, petite amie ou pas.. ça ne te regarde pas. mais là, t’as réellement envie de savoir. savoir s’il y a possibilité pour que le feeling ne soit pas là par pur hasard. alors tu hoches doucement la tête à sa réponse, retrouvant même un léger sourire.. qui te trahit ? t’en sais rien. il faut dire que tu commences à en avoir marre de tourner autour du pot, et que tu vas sans doute commencer à lui faire comprendre qu’il te plaît. peu importe le moyen. « ah.. t’es célibataire. » répètes-tu, pour le coup, plus à toi-même qu’autre chose. il est célibataire, pansexuel, tout pour que tu fonces. là, tu n’as plus d’excuse.. il y aurait la possibilité de le perdre si tu ne lui plaisais pas, c’est vrai. le seul hic de cette histoire mais il disparaît lorsqu’il reprend la parole. il a eu peur de te perdre, peut-être parce qu’il espère quelque chose de son côté, lui aussi ? après tout, vous ne vous connaissez que depuis très peu de temps, mais va savoir pourquoi, on te pousse dans ses bras. si d’abord ç’a pu commencer par le fait qu’il te faisait penser à un ami d’enfance à toi à qui tu seras toujours accroché, tu n’es pas né de la dernière pluie. tu sais bien que tu commences à t’attacher à la personne qu’il est. tu le trouves tellement adorable, tellement gentil, tellement.. beau. oui, t’es poussé vers lui, et bientôt, tu ne pourras plus faire semblant. peux-tu seulement encore ? ses mots ont un effet de dingue sur toi. comme s’il ressentait la même chose. comme s’il y avait ce feeling aussi de son côté, comme si tu avais définitivement une chance. chance que tu comptes saisir. alors tu brises cette distance, distance qu’il pourra remettre si bon lui semble, après tout.. tu n’es sûr de rien. est-ce que tu suis ton instinct à cet instant ? pas certain, tu fais seulement ce que tu penses bon de faire ou plutôt.. ce que t’as envie de faire. et, t’as envie de passer à l’étape supérieure. tu te laisses guider par tes envies, alors t’installant tout près de lui, tu dégages ses quelques mèches de cheveux. y découvrant les dégâts de plus près, et ça te serre le coeur. t’as de nouveau envie de le prendre dans tes bras, de l’embrasser, de passer ta main dans ses cheveux mais tu te retiens pour le moment. par tu ne sais quel miracle. cela dit, tu lui reposes la question, aussi pour analyser ses réactions, parce que tu crèves d’envie de l’embrasser, mais pour ça, il faut que tu le sentes avec toi. il te confirme à nouveau ses dires dans un soupir qui te fait discrètement frissonner. son regard t’hypnotise, comme s’il n’y avait plus que vous sur cette terre, vous et personne d’autre, et c’est étrange ce que tu ressens. tu ne parviendrais même pas à l’expliquer.. tu n’as simplement jamais ressenti ça. tu as déjà désiré quelqu’un, tu as même déjà été amoureux -du moins, ça y ressemblait vachement- mais rien de ces sentiments n’est similaire, ce qui confirme bien que tsuki est différent, il te fait sentir différent, il te fait sentir.. toi. comme si tu étais à ta place lorsque tu étais près de lui. une force invisibile te pousse à le croire, à foncer. alors quand il reprend pour t’avouer avoir toujours peur de te perdre, tu reprends à ton tour la parole, lui demandant de ne pas t’en vouloir. si tes tripes t’ont lâchés sur ce coup-là, tu n’as pas envie que ça casse quelque chose entre vous, de le mettre mal à l’aise, ou quoi que ce soit. mais tu dois le faire, de toute façon, cette envie est plus forte que tout le reste. alors tu approches ton visage du sien lentement, lentement, pour t’imprégner de ce moment mais aussi pour lui laisser le temps de réagir, de tout arrêter s’il le voulait mais il n’en fait rien. alors tes paupières se ferment au moment où tes lèvres rencontrent les siennes, un doux baiser pour commencer, un baiser presque timide alors que ton corps s’innonde d'électrochocs. tu pourrais prolonger le baiser mais tu préfères y mettre fin à la place, sans pour autant éloigner ton visage du sien. tu rouvres simplement les yeux, plantant ton regard dans le sien. un regard qui te consume. mais avant même que tu aies le temps de reprendre la parole -après t’être remis de tes émotions- tsuki brise de nouveau cette distance, t’embrassant à son tour. ton coeur fait un bon dans ta poitrine, tu ne t’y attendais pas vraiment et pourtant, le baiser qu’il t’offre te permet de garder les pieds sur terre. un baiser plus appuyé, plus affamé que le tien. une tornade de sensations tellement fortes qu’elles te permet de rester maître de toi-même, mais en sentant sa main sur ta cuisse, tu réagis aussitôt en passant ta main dans ses cheveux, gardant son visage près du tien. ce moment, tu en crevais d’envie, et tu lui fais comprendre à travers ce baiser que tu lui offres. alors quand sa langue vient caresser la tienne, tu appuies encore plus le baiser, approchant davantage ton visage du sien. t’es attiré par lui, par son corps, tellement que même si la distance entre vous reste fine, elle te dérange. et elle doit déranger tsuki aussi, puisqu’il met brutalement fin au baiser. par réflexe, tu rouvres les yeux, tentant d’analyser son regard pour comprendre mais pour être honnête, tu n’as pas le temps de comprendre grand chose qu’il s’installe sur tes genoux. ça non plus, tu ne t’y attendais pas, mais au moment où il ôte son haut. cette boule d’excitation qui ne cessait de te titiller depuis quelques courtes minutes explose enfin. comme si ta chaleur corporelle venait de te mettre une sacrée claque. ton regard se baisse alors sur son corps, pour la première fois, tu peux y apercevoir clairement ses tatouages, même ses tétons qui sont.. percés ? mais tu n’as pas le temps de réagir qu’il te coupe dans ton observation pour reprendre possession de tes lèvres. t’as chaud, très chaud, encore plus chaud. tes mains viennent se plaquer sur ses omoplates, profitant d’elles pour le coller davantage à toi. un baiser fougueux, un baiser qui titille de nouveau ton envie de lui. parce que oui, tu as envie de lui. là, tout de suite. tellement que ta main gauche vient se loger dans sa nuque, gardant de nouveau son visage près du tien tandis que la deuxième longe ses flancs, caressant sa peau chaude. peau qui t’appelle, parce que là, tu ne penses qu’à lui, qu’à son corps, et ça faisait bien un moment que tu n’avais pas ressenti ça… d’une telle puissance, avec tout ce que tu ressens ? tu dirais même que tu n’as jamais ressenti ça auparavant. tu n’as jamais eu un feeling aussi présent avec quelqu’un, aussi imposant, comme si de toute évidence, tu étais fait pour croiser son chemin. alors après quelques courtes minutes, tu passes ton bras autour de sa taille, la seconde venant attraper le dessous de sa cuisse, tu te redresses, le portant tout contre toi un court instant avant de le déposer au bord de la table, déposant ta seconde main sur sa deuxième cuisse, tu viens le coller contre toi. autour de toi, puisque tu as même ce réflexe de soulever légèrement sa cuisse pour qu’il enroule ses jambes autour de ta taille. cette impression d’être en ses cuisses te plaît, puisqu’à cet instant, tu brises encore une fois une partie de cette distance que tu veux détruire pour de bon. ton baiser devient pour fougueux encore. ton cerveau est déconnecté de tout, encore une fois, il n’existe que vous deux. il n’y a que vous deux. tendrement, tu quittes ses douces lèvres pour descendre tes baisers sur sa peau. tu fais attention, tu n’as pas envie de le blesser, son visage est déjà bien trop abîmé pour toi, alors tu viens déposer des baisers enflammés dans son cou, baisers parfois mouillés, assoiffé de lui avant de revenir près de ses lèvres sans pour autant y reprendre possession, tes mains agrippent doucement ses hanches, offrant à sa peau de douces caresses. tu cherches son regard, ces sentiments t’empêchent de sourire, ta respiration te trahie déjà en étant si peu stable, tu colles de nouveau tes lèvres contre le sienne, lui soufflant entre deux baisers. « j’n’arrête pas d’penser à toi... » tu veux qu’il le sache, tu veux qu’il sache qu’il te plaît plus qu’il ne l’imagine. depuis la première fois où vos regards se sont croisés, ce sentiment de familiarité et cette aise t’ont poussé à le garder dans ton esprit. tsuki est là, il est présent dans tes pensées, quoi que tu fasses. alors tu prends quelques secondes pour retirer ton haut à ton tour, rapidement, le laissant tomber au sol sans quitter ta position ni même cette proximité, et une fois chose faite, tu reviens attraper ses lèvres dans un baiser plus chaud que les précédents.
made by black arrow
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2