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A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18]
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mar 21 Aoû - 18:00 Citer EditerSupprimer
(outfit) - J’avais du mal à y croire. A vraiment réaliser ce qu’il se passait en moi. Noya était arrivé dans ma vie et depuis que je l’avais rencontré…. il avait déjà bousculé toute ma vie ? Je ne saurais l’expliquer, mais il me donnait des sentiments uniques. Il avait débarqué dans ma vie et je m’étais très vite attaché à lui. Trop vite en fait, je m’en rendais bien compte. Plus il restait avec moi et plus je voulais qu’il ne s’en aille plus jamais. J’aimais sa présence. J’aimais parler avec lui. Il me donnait le sentiment… d’être en sécurité avec lui. Et même Nao avait cette aura apaisante. Si douce. Et cette impression de familiarité qui était là. Ce sentiment que je n’avais développé qu’avec BoBae et Junhee, mais c’était le résultat d’années à les connaître. Mais Nao. Nao je l’avais rencontré depuis si peu de temps. Alors pourquoi avais-je ce besoin viscéral d’être à ses côtés ? Pourquoi dès qu’il n’était pas là, il continuait de peupler mes pensées ? Une réponse ? Non il n’y en avait pas. Je n’en trouvais pas. Mais je faisais ce que mes tripes me hurlaient de faire. Cet instinct comme disait Nao. Et mon instinct me disait de faire ce que je m’étais refusé pendant très longtemps. M'attacher à quelqu’un. Car oui, depuis Junhee - qui avait été mon seul et unique petit copain - je ne m’étais pas impliqué sur le plan… sentimental ? Pourtant là, il était clair que tout partait pour que je sois attaché au japonais. J’étais trop attaché à lui et j’avais peur de le perdre. Je flippais qu’il puisse disparaître du jour au lendemain. Naoya, mon ange. Alors ouais, je lui avais dit que cette rencontre avec son jumeau m’avait… perturbée. Elle m’avait faite flipper comme jamais, elle m’avait faite douter. Et je ne pouvais pas le cacher. Mais Nao était toujours présent, il était là, assis, proche de moi. Dégageant les mèches de mes cheveux. Me rendant plus confus que jamais. Pourtant, ce fut lui qui amorça le geste. Lui qui vint griller la distance entre nos visages. Et nos lèvres se rencontraient pour la première fois. Et putain comme j’avais attendu ce moment. J’avais même l’impression de l’avoir attendu toute ma vie ? Stupide sentiment. Mais c’était comme si mon corps m’avait hurlé “ENFIN”. Après ce contact empli de douceur nos iris se croisèrent, mais aucun de nous deux sembla prêt de s’éloigner de l’autre. J’avais voulu parler, mais j’avais très vite abandonné l’idée, me disant que n’importe quel mot - même judicieusement choisi - aurait pu briser l’instant présent. Cette fois ce fut moi qui craqua pour goûter à nouveau la saveur de ses lèvres. Enivré, plus affamé aussi, mon baiser fut plus appuyé, plus affirmé. Mes mains elles avaient soif d’un contact charnel. Cherchant par tous les moyens de toucher le corps de Naoya. Trop de fois j’avais voulu le prendre dans mes bras, me blottir contre son torse, glisser ma main dans la sienne, mais je me l’étais interdit pour des raisons stupides. Mais mes murs s’étaient fait abattre un à un, cédant de plus en plus à ses envies de tendresse exaltées. Mais là, mon contact était affamé. Plus je goûtais à ses lèvres et plus j’avais faim, donc je pressais encore plus le contact, donc j’avais encore plus faim. Un cercle infini, vicieux, le serpent qui se mordait la queue continuellement. Et il fallait dire qu’avec la main que mon aîné m’avait glissé dans mes cheveux, j’étais encore plus affamé. Tellement j’en viens à approfondir le baiser en glissant ma langue dans la bouche de Nao, gourmand, et incontrôlable sur cette envie qui était en train de naître dans mes entrailles. Je tentais tant bien que mal de m’approcher de lui pour sentir mon corps contre le sien, mais la position actuelle, c’était impossible. Je fini par rompre le contact, brutalement, mais rapidement je revins à l’assaut en m’installant à califourchon sur les jambes de Nao. Sous le coup de mes pulsions je vins rapidement retirer mon pull pour dévoiler mon torse. Cependant je ne lui laissais que très peu de temps pour me reluquer, revenant directement dévorer ses lèvres. Et il était loin de dire non, vu que les mains du japonais virent se glisser dans mon dos pour que je me rapproche encore plus de lui. Et je n’allais pas cracher dessus pour sûr. Mes mains vinrent naturellement se nicher dans la chevelure de mon aînée. Alors que je subissais la douce torture de ses mains qui glissaient sur ma peau. Ses doigts qui me faisaient doucement frémir, j’avais cette sensation que tout mon être était devenu hyper-sensible sous les doigt de Naoya. Toute cette fougue, ces sentiments maintenant et cette envie réciproque, tout ceci allait clairement nous faire sombrer. Mais après avoir longuement savouré ce baiser, je sentis le bras de Nao s’enrouler autour de ma taille une main sous ma cuisse. Je n’eus pas le temps de réaliser qu’il me souleva. Heureusement que mes lèvres étaient encore plaquée contre les siennes car elles étouffèrent un léger hoquet de surprise. J’eus le réflexe de serrer mes cuisses au niveau de ses hanches et de nouer mes bras au niveau de sa nuque jusqu’à sentir mes fesses se poser sur la table. Mes cuisses se désséraient légèrement, mais alors que sa seconde main passa sous ma cuisse, je nouais mes jambes au niveau de ses hanches. Okay…. j’avais Naoya…. entre les cuisses. On allait dire que c’était vraiment ce que j’avais prévu de ma soirée, mais clairement, j’étais preneur… plutôt deux fois qu’une même. Bon sang, si j’avais su que ça allait se finir comme ça. Je ne l’aurais pas cru. Les bras toujours noués autour de la nuque de Nao, je n’eus pas le temps de le fixer qu’il m’embrassa à nouveau. Je n’allais me plaindre, parce que j’avouais que ses lèvres me manquaient déjà cruellement. Mes main ses glissaient doucement dans son dos. Mes doigts discrètement descendirent au niveau de sa taille, tirèrent sur son haut et doucement s’insinuèrent en dessous du tissus pour toucher la peau de mon aîné. Douce carresse pour découvrir la peau de ventre que je voulais dévorer plus que de tout depuis que j’avais tatoué son bas ventre, on n’allait pas se le cacher. Et doucement mes mains remontaient sur son ventre, glissant parfois dans son dos, mais irrémédiablement en entraînant ce vêtement vers le haut. Mais les lèvre du japonais se firent aventureuses et glissèrent dans mon cou ce qui me donna clairement un petit coup dans mes envie. Les lèvres entrouvertes, je lâchais un léger soupir d’aise. Je me faisais dévorer la nuque et clairement ça me plaisait. Je gémis doucement une autre fois, venant inconsciemment mes jambes autour des hanches de mon partenaire pour rapprocher mon bassin du sien. Je voulais le sentir, vraiment, le sentir. Mais alors que son visage revint vers le mien, je peux sentir tout cette tension, toutes ces envies, les miennes, les siennes. Putain on avait attendu ce moment autant lui que moi. Et à cet instant nous étions tout le deux légèrement essoufflés à cause de cette excitation naissante et sauvage. Une de mes main quitta la peau de Nao et vint doucement se glisser contre sa joue alors que ses lèvres revinrent capturer les miennes et j’adorais ça. je n’arrivais déjà plus à me passer de ce contact. J’en voulais plus. Encore plus. Ses paroles me font sourire contre ses lèvres. J’avais besoin d’entendre ça. Ca m’avait fait du bien. de savoir qu’il avait pensé à moi autant que j’avais pensé à lui et je voulais répondre mais clairement, ses lèvres me rendaiebt complètement dingue à cet instant et je n’arrivais à me concentrer sur rien d’autre. Et le pire fut quand il retira son haut. je perdis complètement les pédales à la vu de son torse. Il voulait me rendre dingue, j’allais le bouffer sur place moi hein, il s’en rendait compte ou pas ? Mes doigts vinrent doucement glisser sur son torse pendant nos baisers devant de plus en plus fougueux et brûlant. Je découvris sa peau si douce, je frôlais la forme de ses muscles, titillais ses tétons et émorçais une descente jusqu’à son nombril. Je rompis le contact, parce que ce que j’allais faire était une pure provocation. Je m’éloignais légèrement alors mes mains prirent d’assaut la ceinture de son bermuda. Mes prunelles s’ancrèrent dans les siennes. Moi non plus Nao-Nao. Tu ne quittes plus mes pensées depuis que je t’ai vu entrer au Bl’Ink, tout en disant cela, mes mains agiles avaient déjà dénouées la ceinture et l’avaient retiré pour la balancer au sol. Je me mordis un instant la lèvre inférieure alors que mon regard glissa sur son torse. T’as pas idée de l’effet que tu me fais…. en disant cela mes doigts vinrent déboutonner le premier bouton de son vêtements avant d’attraper la fermeture éclair. C’était très dur de tatouer ton bas ventre en ayant envie de le bouffer Nao…. Mes mains se figèrent. Il savait à quel point ça avait été dur, à quel point j’avais eu envie de lui retirer son futal moi-même ? Et bien maintenant c’était clair que je pouvais assouvir cette envie. Et que je n’allais pas m’en priver. Ma main vint lentement descendre la fermeture éclair du bermuda. Quand j’avais faim, personne ne m’arrêtait, personne. Quitte à devenir outrageusement outrageux.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) - J’avais du mal à y croire. A vraiment réaliser ce qu’il se passait en moi. Noya était arrivé dans ma vie et depuis que je l’avais rencontré…. il avait déjà bousculé toute ma vie ? Je ne saurais l’expliquer, mais il me donnait des sentiments uniques. Il avait débarqué dans ma vie et je m’étais très vite attaché à lui. Trop vite en fait, je m’en rendais bien compte. Plus il restait avec moi et plus je voulais qu’il ne s’en aille plus jamais. J’aimais sa présence. J’aimais parler avec lui. Il me donnait le sentiment… d’être en sécurité avec lui. Et même Nao avait cette aura apaisante. Si douce. Et cette impression de familiarité qui était là. Ce sentiment que je n’avais développé qu’avec BoBae et Junhee, mais c’était le résultat d’années à les connaître. Mais Nao. Nao je l’avais rencontré depuis si peu de temps. Alors pourquoi avais-je ce besoin viscéral d’être à ses côtés ? Pourquoi dès qu’il n’était pas là, il continuait de peupler mes pensées ? Une réponse ? Non il n’y en avait pas. Je n’en trouvais pas. Mais je faisais ce que mes tripes me hurlaient de faire. Cet instinct comme disait Nao. Et mon instinct me disait de faire ce que je m’étais refusé pendant très longtemps. M'attacher à quelqu’un. Car oui, depuis Junhee - qui avait été mon seul et unique petit copain - je ne m’étais pas impliqué sur le plan… sentimental ? Pourtant là, il était clair que tout partait pour que je sois attaché au japonais. J’étais trop attaché à lui et j’avais peur de le perdre. Je flippais qu’il puisse disparaître du jour au lendemain. Naoya, mon ange. Alors ouais, je lui avais dit que cette rencontre avec son jumeau m’avait… perturbée. Elle m’avait faite flipper comme jamais, elle m’avait faite douter. Et je ne pouvais pas le cacher. Mais Nao était toujours présent, il était là, assis, proche de moi. Dégageant les mèches de mes cheveux. Me rendant plus confus que jamais. Pourtant, ce fut lui qui amorça le geste. Lui qui vint griller la distance entre nos visages. Et nos lèvres se rencontraient pour la première fois. Et putain comme j’avais attendu ce moment. J’avais même l’impression de l’avoir attendu toute ma vie ? Stupide sentiment. Mais c’était comme si mon corps m’avait hurlé “ENFIN”. Après ce contact empli de douceur nos iris se croisèrent, mais aucun de nous deux sembla prêt de s’éloigner de l’autre. J’avais voulu parler, mais j’avais très vite abandonné l’idée, me disant que n’importe quel mot - même judicieusement choisi - aurait pu briser l’instant présent. Cette fois ce fut moi qui craqua pour goûter à nouveau la saveur de ses lèvres. Enivré, plus affamé aussi, mon baiser fut plus appuyé, plus affirmé. Mes mains elles avaient soif d’un contact charnel. Cherchant par tous les moyens de toucher le corps de Naoya. Trop de fois j’avais voulu le prendre dans mes bras, me blottir contre son torse, glisser ma main dans la sienne, mais je me l’étais interdit pour des raisons stupides. Mais mes murs s’étaient fait abattre un à un, cédant de plus en plus à ses envies de tendresse exaltées. Mais là, mon contact était affamé. Plus je goûtais à ses lèvres et plus j’avais faim, donc je pressais encore plus le contact, donc j’avais encore plus faim. Un cercle infini, vicieux, le serpent qui se mordait la queue continuellement. Et il fallait dire qu’avec la main que mon aîné m’avait glissé dans mes cheveux, j’étais encore plus affamé. Tellement j’en viens à approfondir le baiser en glissant ma langue dans la bouche de Nao, gourmand, et incontrôlable sur cette envie qui était en train de naître dans mes entrailles. Je tentais tant bien que mal de m’approcher de lui pour sentir mon corps contre le sien, mais la position actuelle, c’était impossible. Je fini par rompre le contact, brutalement, mais rapidement je revins à l’assaut en m’installant à califourchon sur les jambes de Nao. Sous le coup de mes pulsions je vins rapidement retirer mon pull pour dévoiler mon torse. Cependant je ne lui laissais que très peu de temps pour me reluquer, revenant directement dévorer ses lèvres. Et il était loin de dire non, vu que les mains du japonais virent se glisser dans mon dos pour que je me rapproche encore plus de lui. Et je n’allais pas cracher dessus pour sûr. Mes mains vinrent naturellement se nicher dans la chevelure de mon aînée. Alors que je subissais la douce torture de ses mains qui glissaient sur ma peau. Ses doigts qui me faisaient doucement frémir, j’avais cette sensation que tout mon être était devenu hyper-sensible sous les doigt de Naoya. Toute cette fougue, ces sentiments maintenant et cette envie réciproque, tout ceci allait clairement nous faire sombrer. Mais après avoir longuement savouré ce baiser, je sentis le bras de Nao s’enrouler autour de ma taille une main sous ma cuisse. Je n’eus pas le temps de réaliser qu’il me souleva. Heureusement que mes lèvres étaient encore plaquée contre les siennes car elles étouffèrent un léger hoquet de surprise. J’eus le réflexe de serrer mes cuisses au niveau de ses hanches et de nouer mes bras au niveau de sa nuque jusqu’à sentir mes fesses se poser sur la table. Mes cuisses se désséraient légèrement, mais alors que sa seconde main passa sous ma cuisse, je nouais mes jambes au niveau de ses hanches. Okay…. j’avais Naoya…. entre les cuisses. On allait dire que c’était vraiment ce que j’avais prévu de ma soirée, mais clairement, j’étais preneur… plutôt deux fois qu’une même. Bon sang, si j’avais su que ça allait se finir comme ça. Je ne l’aurais pas cru. Les bras toujours noués autour de la nuque de Nao, je n’eus pas le temps de le fixer qu’il m’embrassa à nouveau. Je n’allais me plaindre, parce que j’avouais que ses lèvres me manquaient déjà cruellement. Mes main ses glissaient doucement dans son dos. Mes doigts discrètement descendirent au niveau de sa taille, tirèrent sur son haut et doucement s’insinuèrent en dessous du tissus pour toucher la peau de mon aîné. Douce carresse pour découvrir la peau de ventre que je voulais dévorer plus que de tout depuis que j’avais tatoué son bas ventre, on n’allait pas se le cacher. Et doucement mes mains remontaient sur son ventre, glissant parfois dans son dos, mais irrémédiablement en entraînant ce vêtement vers le haut. Mais les lèvre du japonais se firent aventureuses et glissèrent dans mon cou ce qui me donna clairement un petit coup dans mes envie. Les lèvres entrouvertes, je lâchais un léger soupir d’aise. Je me faisais dévorer la nuque et clairement ça me plaisait. Je gémis doucement une autre fois, venant inconsciemment mes jambes autour des hanches de mon partenaire pour rapprocher mon bassin du sien. Je voulais le sentir, vraiment, le sentir. Mais alors que son visage revint vers le mien, je peux sentir tout cette tension, toutes ces envies, les miennes, les siennes. Putain on avait attendu ce moment autant lui que moi. Et à cet instant nous étions tout le deux légèrement essoufflés à cause de cette excitation naissante et sauvage. Une de mes main quitta la peau de Nao et vint doucement se glisser contre sa joue alors que ses lèvres revinrent capturer les miennes et j’adorais ça. je n’arrivais déjà plus à me passer de ce contact. J’en voulais plus. Encore plus. Ses paroles me font sourire contre ses lèvres. J’avais besoin d’entendre ça. Ca m’avait fait du bien. de savoir qu’il avait pensé à moi autant que j’avais pensé à lui et je voulais répondre mais clairement, ses lèvres me rendaiebt complètement dingue à cet instant et je n’arrivais à me concentrer sur rien d’autre. Et le pire fut quand il retira son haut. je perdis complètement les pédales à la vu de son torse. Il voulait me rendre dingue, j’allais le bouffer sur place moi hein, il s’en rendait compte ou pas ? Mes doigts vinrent doucement glisser sur son torse pendant nos baisers devant de plus en plus fougueux et brûlant. Je découvris sa peau si douce, je frôlais la forme de ses muscles, titillais ses tétons et émorçais une descente jusqu’à son nombril. Je rompis le contact, parce que ce que j’allais faire était une pure provocation. Je m’éloignais légèrement alors mes mains prirent d’assaut la ceinture de son bermuda. Mes prunelles s’ancrèrent dans les siennes. Moi non plus Nao-Nao. Tu ne quittes plus mes pensées depuis que je t’ai vu entrer au Bl’Ink, tout en disant cela, mes mains agiles avaient déjà dénouées la ceinture et l’avaient retiré pour la balancer au sol. Je me mordis un instant la lèvre inférieure alors que mon regard glissa sur son torse. T’as pas idée de l’effet que tu me fais…. en disant cela mes doigts vinrent déboutonner le premier bouton de son vêtements avant d’attraper la fermeture éclair. C’était très dur de tatouer ton bas ventre en ayant envie de le bouffer Nao…. Mes mains se figèrent. Il savait à quel point ça avait été dur, à quel point j’avais eu envie de lui retirer son futal moi-même ? Et bien maintenant c’était clair que je pouvais assouvir cette envie. Et que je n’allais pas m’en priver. Ma main vint lentement descendre la fermeture éclair du bermuda. Quand j’avais faim, personne ne m’arrêtait, personne. Quitte à devenir outrageusement outrageux.
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Lun 27 Aoû - 1:21 Citer EditerSupprimer
(outfit) -tu laisses enfin tes envies prendre le dessus. évidemment que tu es accroché à lui, pour une raison qui t'échappe. il est si adorable, si gentil, si beau.. si attirant, certes, mais tu t’es attaché rapidement à lui, c'est ça qui t'échappe. pourquoi si.. rapidement ? c'est bien la première fois que ça t'arrive. mais tu n’as pas l’impression de le connaître depuis peu, pour être honnête, une impression qui est sans doute née du fait qu’il te fait penser à tooru. il t’avait demandé pourquoi. sa manière de parler, son sourire aussi, souvenir que ton traumatisme n’a pas effacé. certains traits de son visage.. pas mal de petites choses. peut-être que ça voulait dire qu’au final, tu n’avais jamais vu tooru comme un ami. il faut dire que tu étais beaucoup trop jeune pour t’en rendre compte, ça devrait être.. flippant ? mais il était ton premier amoureux. un amour de gosse mais tout de même. pourtant, tu te laisses emporter par tes envies, par tes émotions, par cette tension sexuelle qui commence d’ores-et-déjà à monter en flèche. son excitation, tu peux toi aussi la ressentir. tu peux enfin assouvir tes envies, et tu ne te fais pas prier pour ça, tu passes ta main dans ses cheveux, approfondissant le baiser avec davantage d’envie. t’as envie qu’il comprenne à quel point tu le désires, à quel point, oui, tu as pensé à lui durant tout ce temps. il ne quittait pas tes pensées, tu ne pensais qu’à une seule chose : pouvoir le revoir. mais dans quelle condition ? c’était assez compliqué, tu ne savais même pas s’il était célibataire ni même s’il était attiré par les garçons, et encore moins si tu étais son genre. est-ce que ton instinct t’avait poussé à garder espoir ? sans doute, oui, tu n’aurais pas pu lui cacher bien longtemps, quitte à te prendre un râteau en espérant que votre relation ne change pas à cause de tout ça. et voilà que là, vous êtes en train de tout briser, pour votre plus grand bonheur. tu sens ton corps s'électrifier à chaque contact, à chaque fois que sa langue vient caresser la tienne avec envie. ton excitation ne cesse de grimper, pendant un instant, tu en oublies même où tu te trouves. tu es coupé du monde, t’enfermant dans cette bulle rien qu’avec lui. rien que vous deux. et te laissant porter par cette envie, tu viens enrouler ton bras autour de sa taille, maintenant sa cuisse de ton autre main. le soutenant désormais, tu en profites pour le soulever avant de déposer ses fesses sur la table. vos lèvres toujours scellés étouffant son léger gémissement de surprise, bruit qui te fait sourire tout contre ses lèvres. tu ne peux quitter ses lèvres, comme si tu étais déjà complètement accroc, et c’est sans doute le cas. une vague de frissons t’envahit au moment où tu sens ses mains se glisser sous ton haut, le remontant à certains instants. tu laisses même échapper un discret soupir de désir tant cette douce torture devient un peu trop imposante et que ton vêtement, lui, un peu trop gênant. mais sous l’envie, tes lèvres descendent rapidement dans sa nuque et à en croire le gémissement qu’il pousse, ça lui plaît. oh, toi aussi ça te plaît, peut-être même un peu trop… tellement que tu en deviens impatient, retrouvant le chemin de son doux visage. tu ne tardes pas à reprendre possession de ses lèvres alors que sa main, elle, glisse sur ta joue. votre baiser se fait riche en intensité, en désir, étouffant même cette essoufflement que cette excitation provoque en vous. excitation que tu peines à gérer, tellement que tu lui souffles quelques mots, oui, il habite tes pensées depuis que tu l’as rencontré, et tu voulais qu’il le sache. ça, avant de finalement te débarrasser de ton vêtement, un court instant, avant que tu l’embrasses de nouveau, sentant ses mains se balader sur ton torse. et de nouveau, tu frissonnes, cette chaleur corporelle qui commence peu à peu à te ronger, qui te pousse à lui manger les lèvres, avant d’être coupé par ce soupir de plaisir au moment où il se met à titiller tes tétons. il veut te rendre fou, tu l’as bien compris, et ça fonctionne. tu plantes ton regard dans le sien alors que ses mains viennent s’occuper de ta ceinture. à ses paroles, tu souris chaudement, lançant un regard vers ses mains et ce qu’il est en train de faire. lui aussi n’arrêtait pas de penser à toi ? le savoir t’excite encore plus, toute cette réciprocité ne faisait que t’exciter davantage. en remontant ton regard, il se bloque aussitôt sur son torse. tu n’avais même pas eu le temps de l’admirer, et la vue te plaît que trop. ses tatouages, ses piercings, ce torse que tu veux dévorer. ton regard devient très vite affamé à cette vue. et lui ? a t-il idée de l’effet qu’il te fait ? ses paroles ne faisaient que te titiller davantage. à ses dernières paroles, tu retrouves un sourire chaudement taquin, fronçant les sourcils. il y avait pensé au moment de te tatouer ? lorsqu’il baisse finalement la fermeture éclair de ton bermuda, tu viens coller tes lèvres contre le sienne, sans pour autant l’embrasser même si l’envie te démange. « le bouffer..? » carrément ? c’est bien ce qu’il vient de dire, pas vrai ? doucement, tu viens chercher ses mains, entremêlant tes doigts dans les siens dans le but d’exercer une légère pression au moment tu le tires vers toi, le forçant à se mettre debout. tu lui voles un baiser avant de lui souffler: « moi d’abord. » toi aussi tu en avais cruellement envie, et tu voulais qu’il comprenne à quel point il pouvait te faire de l’effet, lui aussi. alors doucement, tu entames une course de baisers, les descendant à nouveau dans sa nuque puis sur le haut de son torse. venant même parfois attraper sa peau entre tes dents pour la mordiller légèrement. tu as chaud, très très chaud et c’est lui qui te fait ressentir tout ça. tu t’arrêtes au niveau de son téton, le titillant avec tes lèvres mais aussi, à certains instants, ta langue. tu imites tes gestes lorsque ta route croise certains de ses tatouages. son corps te rend tout aussi fou, et il doit sûrement le sentir, seulement, si tu le pouvais, tu le dévorerais tout cru. arrivé à son bas ventre, tu t’agenouilles, face à lui, levant son regard pour chercher le sien sans que tes lèvres quittent sa peau. « toi non plus tsuki.. tu n’as pas idée de l’effet que tu me fais. » souffles-tu, chaudement, alors qu’un tendre sourire se forme sur tes lèvres. tes mains viennent agripper ses hanches alors que tu inondes son bas ventre de baisers, venant encore une fois, lui mordiller la peau à certains instants. et après quelques secondes, tes mains s’occupent à leur tour de sa ceinture. tu relèves à nouveau le regard, un regard presque rempli de défi, parce que t’aimes être dans cette position. face à lui, lui dévorant le corps. tu dégages rapidement sa ceinture, t’occupant de son bouton de pantalon. si tu ne te contrôlais pas, tu t’y prendrais encore plus rapidement mais tu laisses le désir augmenter. une fois sa braguette baissée, tu remontes doucement, replaçant ton visage face au sien, tu en profites même pour te débarrasser totalement de ton pantalon sans briser cette extrémité. une fois chose faite, tes mains viennent lui agripper la taille alors que tu reprends possession de ses lèvres dans un baiser des plus enflammés, étouffant même à certains moments, tes soupirs de désir qui commencent à devenir incontrôlable. tu as envie de lui, maintenant. on ne peut pas dire que tu es le genre de garçons à avoir plusieurs conquêtes à ton actif mais trouver une personne qui te fasse autant d’effet.. ça ne t’arrive jamais. pourtant il y avait tout, ce sentiment de familiarité, ce feeling, cette réciprocité, tout qui vous ont poussé dans les bras l’un de l’autre. tes mains descendent doucement, s'immisçant dans son pantalon, elles continuent leur course. poussant ce vêtement à se baisser à tes gestes mais aussi, laissant tes mains gourmandes venir agripper ses fesses. geste qui te pousse à le rapprocher de toi, collant ta virilité contre la sienne, de nouveau, tu étouffes un gémissement de plaisir. oui, ton désir commence à devenir incontrôlable et tu ne vas pas contre ses envies. ce que tu ressens à cet instant précis est indescriptible, et tu en savoures chaque instant, une de tes mains remonte, contournant son ventre dans des caresses, tes doigts frôlant sa peau, tu romps le contact sans pour autant écarter tes lèvres des siennes. « tu me rends fou tsuki.. » souffles-tu, d’une voix à peine audible, glissant doucement ta main dans son caleçon. il te rend fou, et tu veux le rendre fou toi aussi.
A purrfect timing
#tooraya
(outfit) -tu laisses enfin tes envies prendre le dessus. évidemment que tu es accroché à lui, pour une raison qui t'échappe. il est si adorable, si gentil, si beau.. si attirant, certes, mais tu t’es attaché rapidement à lui, c'est ça qui t'échappe. pourquoi si.. rapidement ? c'est bien la première fois que ça t'arrive. mais tu n’as pas l’impression de le connaître depuis peu, pour être honnête, une impression qui est sans doute née du fait qu’il te fait penser à tooru. il t’avait demandé pourquoi. sa manière de parler, son sourire aussi, souvenir que ton traumatisme n’a pas effacé. certains traits de son visage.. pas mal de petites choses. peut-être que ça voulait dire qu’au final, tu n’avais jamais vu tooru comme un ami. il faut dire que tu étais beaucoup trop jeune pour t’en rendre compte, ça devrait être.. flippant ? mais il était ton premier amoureux. un amour de gosse mais tout de même. pourtant, tu te laisses emporter par tes envies, par tes émotions, par cette tension sexuelle qui commence d’ores-et-déjà à monter en flèche. son excitation, tu peux toi aussi la ressentir. tu peux enfin assouvir tes envies, et tu ne te fais pas prier pour ça, tu passes ta main dans ses cheveux, approfondissant le baiser avec davantage d’envie. t’as envie qu’il comprenne à quel point tu le désires, à quel point, oui, tu as pensé à lui durant tout ce temps. il ne quittait pas tes pensées, tu ne pensais qu’à une seule chose : pouvoir le revoir. mais dans quelle condition ? c’était assez compliqué, tu ne savais même pas s’il était célibataire ni même s’il était attiré par les garçons, et encore moins si tu étais son genre. est-ce que ton instinct t’avait poussé à garder espoir ? sans doute, oui, tu n’aurais pas pu lui cacher bien longtemps, quitte à te prendre un râteau en espérant que votre relation ne change pas à cause de tout ça. et voilà que là, vous êtes en train de tout briser, pour votre plus grand bonheur. tu sens ton corps s'électrifier à chaque contact, à chaque fois que sa langue vient caresser la tienne avec envie. ton excitation ne cesse de grimper, pendant un instant, tu en oublies même où tu te trouves. tu es coupé du monde, t’enfermant dans cette bulle rien qu’avec lui. rien que vous deux. et te laissant porter par cette envie, tu viens enrouler ton bras autour de sa taille, maintenant sa cuisse de ton autre main. le soutenant désormais, tu en profites pour le soulever avant de déposer ses fesses sur la table. vos lèvres toujours scellés étouffant son léger gémissement de surprise, bruit qui te fait sourire tout contre ses lèvres. tu ne peux quitter ses lèvres, comme si tu étais déjà complètement accroc, et c’est sans doute le cas. une vague de frissons t’envahit au moment où tu sens ses mains se glisser sous ton haut, le remontant à certains instants. tu laisses même échapper un discret soupir de désir tant cette douce torture devient un peu trop imposante et que ton vêtement, lui, un peu trop gênant. mais sous l’envie, tes lèvres descendent rapidement dans sa nuque et à en croire le gémissement qu’il pousse, ça lui plaît. oh, toi aussi ça te plaît, peut-être même un peu trop… tellement que tu en deviens impatient, retrouvant le chemin de son doux visage. tu ne tardes pas à reprendre possession de ses lèvres alors que sa main, elle, glisse sur ta joue. votre baiser se fait riche en intensité, en désir, étouffant même cette essoufflement que cette excitation provoque en vous. excitation que tu peines à gérer, tellement que tu lui souffles quelques mots, oui, il habite tes pensées depuis que tu l’as rencontré, et tu voulais qu’il le sache. ça, avant de finalement te débarrasser de ton vêtement, un court instant, avant que tu l’embrasses de nouveau, sentant ses mains se balader sur ton torse. et de nouveau, tu frissonnes, cette chaleur corporelle qui commence peu à peu à te ronger, qui te pousse à lui manger les lèvres, avant d’être coupé par ce soupir de plaisir au moment où il se met à titiller tes tétons. il veut te rendre fou, tu l’as bien compris, et ça fonctionne. tu plantes ton regard dans le sien alors que ses mains viennent s’occuper de ta ceinture. à ses paroles, tu souris chaudement, lançant un regard vers ses mains et ce qu’il est en train de faire. lui aussi n’arrêtait pas de penser à toi ? le savoir t’excite encore plus, toute cette réciprocité ne faisait que t’exciter davantage. en remontant ton regard, il se bloque aussitôt sur son torse. tu n’avais même pas eu le temps de l’admirer, et la vue te plaît que trop. ses tatouages, ses piercings, ce torse que tu veux dévorer. ton regard devient très vite affamé à cette vue. et lui ? a t-il idée de l’effet qu’il te fait ? ses paroles ne faisaient que te titiller davantage. à ses dernières paroles, tu retrouves un sourire chaudement taquin, fronçant les sourcils. il y avait pensé au moment de te tatouer ? lorsqu’il baisse finalement la fermeture éclair de ton bermuda, tu viens coller tes lèvres contre le sienne, sans pour autant l’embrasser même si l’envie te démange. « le bouffer..? » carrément ? c’est bien ce qu’il vient de dire, pas vrai ? doucement, tu viens chercher ses mains, entremêlant tes doigts dans les siens dans le but d’exercer une légère pression au moment tu le tires vers toi, le forçant à se mettre debout. tu lui voles un baiser avant de lui souffler: « moi d’abord. » toi aussi tu en avais cruellement envie, et tu voulais qu’il comprenne à quel point il pouvait te faire de l’effet, lui aussi. alors doucement, tu entames une course de baisers, les descendant à nouveau dans sa nuque puis sur le haut de son torse. venant même parfois attraper sa peau entre tes dents pour la mordiller légèrement. tu as chaud, très très chaud et c’est lui qui te fait ressentir tout ça. tu t’arrêtes au niveau de son téton, le titillant avec tes lèvres mais aussi, à certains instants, ta langue. tu imites tes gestes lorsque ta route croise certains de ses tatouages. son corps te rend tout aussi fou, et il doit sûrement le sentir, seulement, si tu le pouvais, tu le dévorerais tout cru. arrivé à son bas ventre, tu t’agenouilles, face à lui, levant son regard pour chercher le sien sans que tes lèvres quittent sa peau. « toi non plus tsuki.. tu n’as pas idée de l’effet que tu me fais. » souffles-tu, chaudement, alors qu’un tendre sourire se forme sur tes lèvres. tes mains viennent agripper ses hanches alors que tu inondes son bas ventre de baisers, venant encore une fois, lui mordiller la peau à certains instants. et après quelques secondes, tes mains s’occupent à leur tour de sa ceinture. tu relèves à nouveau le regard, un regard presque rempli de défi, parce que t’aimes être dans cette position. face à lui, lui dévorant le corps. tu dégages rapidement sa ceinture, t’occupant de son bouton de pantalon. si tu ne te contrôlais pas, tu t’y prendrais encore plus rapidement mais tu laisses le désir augmenter. une fois sa braguette baissée, tu remontes doucement, replaçant ton visage face au sien, tu en profites même pour te débarrasser totalement de ton pantalon sans briser cette extrémité. une fois chose faite, tes mains viennent lui agripper la taille alors que tu reprends possession de ses lèvres dans un baiser des plus enflammés, étouffant même à certains moments, tes soupirs de désir qui commencent à devenir incontrôlable. tu as envie de lui, maintenant. on ne peut pas dire que tu es le genre de garçons à avoir plusieurs conquêtes à ton actif mais trouver une personne qui te fasse autant d’effet.. ça ne t’arrive jamais. pourtant il y avait tout, ce sentiment de familiarité, ce feeling, cette réciprocité, tout qui vous ont poussé dans les bras l’un de l’autre. tes mains descendent doucement, s'immisçant dans son pantalon, elles continuent leur course. poussant ce vêtement à se baisser à tes gestes mais aussi, laissant tes mains gourmandes venir agripper ses fesses. geste qui te pousse à le rapprocher de toi, collant ta virilité contre la sienne, de nouveau, tu étouffes un gémissement de plaisir. oui, ton désir commence à devenir incontrôlable et tu ne vas pas contre ses envies. ce que tu ressens à cet instant précis est indescriptible, et tu en savoures chaque instant, une de tes mains remonte, contournant son ventre dans des caresses, tes doigts frôlant sa peau, tu romps le contact sans pour autant écarter tes lèvres des siennes. « tu me rends fou tsuki.. » souffles-tu, d’une voix à peine audible, glissant doucement ta main dans son caleçon. il te rend fou, et tu veux le rendre fou toi aussi.
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mer 29 Aoû - 0:07 Citer EditerSupprimer
(outfit) - Cette bouche. Bon sang cette bouche. Je savais la première fois que j’avais rencontré Nao, que ces lèvres allaient avoir un goût délicieux. Mais en vrai, j’étais tellement loin de ce que j’avais imaginé. Ses lèvres sur les miennes, c’était indescriptible. Tout ce que j’avais pu ressentir à l’égar de Nao depuis que je l’avais vu pour la première fois. Min affection, cette familiarité, sa personnalité si douce, son corps sexy, mais aussi la peur - tant de le perdre, que le fait qu’il me puisse me haïr- tout cela s’était mélangé, avait explosé se retrouvait de ces baisers. Ouais ça faisait beaucoup de chose à exprimer quand. Mais surtout à cet instant ce qui s’exprimait, c’était mes envies. En venant m’embrasser en premier, il m’avait clairement foutu le feu au poudre. Faisant naître en moi cette envie que j’avais contenu trop longtemps. Et plus le goûtais à ces lèvres si pulpeuses, plus j’en devenais complètement dingue. Et plus je l’embrassais, plus mes envies devenaient incontrôlables. Et ça tombait bien, parce que j’avais tout, sauf envie de les contrôler. Et il était clair que Nao était bien loin de me repousser. Nous perdions tous les deux complètement les pédales. Et aucun de nous deux essayait vraiment d’arrêter ce qu’il se passait. Tous les deux bien faibles face aux sensations que lui donnait l’autre. Mais je m’en foutais. A à cet instant, j’avais Naoya coincé entre mes cuisses, et putain qu’est-ce que ça pouvait me plaire. Ses lèvres posées dans mon cou venaient doucement torturer ma peau et j’aimais ça, et je le faisais clairement entendre à mon partenaire. Mon corps en réclamait plus, toujours plus. Alors mes main gourmandes virent se glisser sous son haut, ayant toujours soif de contact. Il y ‘avait beaucoup trop de vêtements et pas assez de corps dénudé. Et moi je que je voulais, c’était coller ma peau contré la sienne, pas d’épaisseur de tissus entre nos. Que dalle. Il n’avait eu de cesse de penser à moi ? Si seulement il avait su à quel point j’avais pu penser à lui moi aussi. S’il ‘avait su à quel point il m’avait troublé ? S’il avait su à quel point j’avais eu peur de le perdre ? A quel point j’avais peur qu’il s’échappe de ma vie. Je voulais sa douceur au quotidien. Je voulais resté avec lui, lui qui me donnait un tel sentiment de sécurité de familiarité. Lui qui me donnait l’impression de trouver un pilier de ma vie que j’avais perdu ? C’était stupide mais c’était comme ça. Je sentais que toutes les cellules de mon corps avaient attendu de le rencontrer ou plutôt de le rencontrer à nouveau. Par tous mes gestes, je voulais qu’il le comprenne, qu’il était plus important que je ne voulais bien l’assumer. Que la manière dont je m’étais attaché à lui sans le connaître était juste irréelle. Je le voulais, je le voulais tout entier et rien que pour moi. Alors qu’il fit tomber son haut, je vins découvrir toute cette peau nue de la paume de mes mains. Glissant mes doigts sur chaque parcelle de cet épiderme, titillant jusqu’à des zone particulièrement sensibles de son anatomie. Il me rendait complètement dingue, son corps m’affamait de plus en plus. Et ses réactions qui ne faisaient que m’exciter davantage, j’allais clairement le bouffer. Tant que je finis par rompre le contact, venant répondre à ses dernières paroles, tout prenant un soin tout particulier pour lui retirer sa ceinture et ouvrir son bermuda, tout en m’appliquant à lui lancer un regard plein provocateur, prouvant à quel point j’avais pensé fort à lui, mon ange. Mon ange qui devenait sacrément lubrique, avouons-le. Oui le bouffer, avais-je répété avec une intonation plus que perverse. A ses mots Nao vint chercher mes mains, entremêlant nos doigts ensemble alors qu’il me tira doucement à lui pour que je me lève, sans vraiment comprendre ou il voulait en venir. Ses lèvres vinrent se poser rapidement sur les miennes avant que sa réponse fasse exploser en moi une nouvelle vague de chaleur. Je n’eus pas le temps de dire ouf ses lèvres si épaisses revinrent à l’assaut de mon épiderme. Et bon sens, ses lèvres, les lèvres de Nao. Elles étaient si formidables, surtout au contact de ma peau. La sensation était juste indescriptible. A chaque contact, il ne faisait qu'augmenter la chaleur de mon corps. J’avais fermé mes yeux un instant pour savourer cet instant, laissant simple ma bouche s’entrouvrir pour laisser échapper des soupirs d’aise. Mon souffle était court depuis bien longtemps, sous le coup de l’excitation, mais c’était clairement devenu pire. Surtout qu’il se jouait de moi en alternant baisers et mordillements. Il voulait me bouffer que moi je voulais le bouffer. Me paupières vinrent juste s’ouvrir quand il commença à jouer avec mon téton. Je gémis doucement en le regardant jouer avec. Alors tu les aimes mes piercings Nao-Nao ? Avais-je dit avec un petit ton taquin. Il fallait dire que voir un homme jouer avec mes piercings était une des choses que je préférais le plus. Mais il n’avait pas fini là sa torture, pour mon plus grand plaisir. Je laissais ma tête basculer en arrière sous le coup de ses multiples sensations qu’il me donnait, me laissant complètement aller à la torture qu’il m’infligeait. Touche moi Nao, touche moi. Alors que ses baisers et ses coups de langues continuaient de plus en plus à descendre dangereusement vers le bas de mon corps, je glissais automatiquement mes doigts dans ses cheveux pour caresser sa tête. Putain il allait vraiment me bouffer ? Genre vraiment vraiment ? Je redressais ma tête, jusqu’à croiser le regard de l’homme qui allait devenir bientôt mon amant. Doucement je vins glisser mon pouce le long de sa pommette. Moi aussi je n’avais pas idée de l’effet que je pouvais lui faire. Je souris doucement, brutalement hypnotisé par l’érotisme de la scène et la beauté des lèvres de Nao sur ma peau. Qu’il était beau, je pouvais même dire “Dieu qu’il était beau”. Mon pouce caressant sa peau quelques courts instants je vais lui dire tout bas: Tu es le plus beau Nao-Nao, sonnant tel un écho du passé, phrase que j’aurais pu lui dire dans une autre vie allez savoir. Peut-être était-ce cela dans le fond, mais je m’en foutais, je ne voulais pas savoir. Puis les mains du japonais qui venaient de se poser sur mes hanches avaient largement suffit pour dégager loin de mon cerveau ces impressions. Et ses lèvres qui revinrent s’en prendre à mon bas ventre. Lui aussi voulait me torturer comme je l’avais fait, lui aussi s’en pris à mes fringues. Ma ceinture ne tarda pas à rejoindre la sienne. Ma bouche entrouverte, ma respiration était devenu erratique, il fallait dire que la position dans laquelle était Nao était particulièrement… excitante. Il était clair qu’il était dur de ne pas laisser mon esprit divaguer et de l’imaginer aller plus loin dans sa démarche. C’était sans compter sur le fait que cette faveur, je l’avais reçu très peu de fois, on m’avait plusieurs fois payé pour la faire. Alors forcément la situation était encore plus excitante. Je voulais qu’il le fasse putain j’avais tellement envie qu’il s’occupe de moi. Je vins doucement me mordre la lèvre inférieure pour contenir plus ou moins mes gémissements qui se faisaient de plus en plus sonores - non parce que les voisins n’allaient pas vraiment apprécier quand même. Alors que doucement il remonta après avoir ouvert mon pantalon, je cacha pas un seul instants que ma respiration était complètement erratique. En tout cas il retira son bermuda et j’eus le droit à une superbe vue sur son sous-vêtements. Simple tenue qui me permis d’observer toute son excitation apparente. Sacré excitation même. Alors que ses mains vinrent à nouveau agripper mon corps nous lèvres se soudèrent à nouveau dans une baiser plus torride que jamais. Mes mains s’insinuèrent dans la chevelure de Nao. alors que mon corps répondait entièrement à ses attentions. Les lèvres de mon amant étouffèrent un hoquet de surprise quand je sentis ses mains venir directement toucher mon postérieur. Il était clair que sous ses airs, mon ange était loin d’en être un à cet instant. Ou alors c’était un ange très tentateur. Alors sa prise se fit ferme sur mon postérieur je sentis sa virilité se coller à la mienne, nous gémir presque à l’unisson contre les lèvres de l’autre. mais il n’en avait pas fini avec moi, loin de là. Une de ses mains plus gourmande que jamais se détacha et commenàa le trajet qui signerait ma perte totale. La folie, s’il savait qu’à cet instant j’étais moi-même aux portes de la folie la plus totale. Alors que ça main glissa dans mon sous-vêtement, je l’achai un gémissement des plus audibles alors que ces doigts frôlèrent mon intimité. Nao, avais-je gémi sans plus chercher à me retenir. Aller vous faire foutre les voisins. Alors qu’il s’occupait déjà si bien de moi, je finis par répondre. Nao j’ai… j’ai envie de toi... Ah mon tour je vins le titiller, posa ma main sur la bosse qui s’était formé dans son boxer, la caressant doucement, mais assez appuyée pour qu’il le sente. Laissant mes lèvres appuyée contre les siennes, je glissais à mon tour ma main dans le sien, venant rapidement trouver sa virilité, je glissais mes doigts contre elle, juste pour le taquiner. Nao-Nao, j’ai envie de toi…. vaias-je répété mais cette fois je vins rajouter ... en moi. Je souris taquin avant de m’éloigner d’un coup de lui. Je vins attraper sa main laissée libre dans la mienne. Je l’attirais doucement à ma suite, l’entrainant dans mon duplex. Non sans rire légèrement en pensant à ce qu’il pourrait se passer et à quel point la nuit allait être agitée. Alors que je remontais les escaliers pour entraîner Nao dans mon espace chambre, en arrivant en haut, il m’avait semblé voir quelqu’un sur le lit. L’espace d’un instants il m’avait semblé me voir moi, assis sur le lit, toujours avec cet autre enfant. De dos, je ne le voyais pas. est-ce que... tu veux te marier à moi plus tard ? et qu’on ait notre famille à nous ? Avait-il dit juste avant de disparaître aussi vite qu’ils étaient apparus. Je me tournais vers Nao glissant mon doigt dans son boxer pour le tirer vers vers moi alors que je reculais vers mon lit. Jusqu’à ce que mes jambes butent contre mon lit. Je laissais doucement mes fesses tomber contre le matelas de mon lit. Laissant Nao debout. Je levais doucement les yeux vers lui. Les joues empourprées, la respiration toujours aussi affolée. Occupe toi de moi s’il te plait Nao-Nao, avais-je dit sur un ton presque honteux. Parce que oui, je voulais qu’il continue ce qu’il avait entamé tout à l’heure. Pour une fois, je voulais qu’on s’occupe de moi.
A purrfect timing
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(outfit) - Cette bouche. Bon sang cette bouche. Je savais la première fois que j’avais rencontré Nao, que ces lèvres allaient avoir un goût délicieux. Mais en vrai, j’étais tellement loin de ce que j’avais imaginé. Ses lèvres sur les miennes, c’était indescriptible. Tout ce que j’avais pu ressentir à l’égar de Nao depuis que je l’avais vu pour la première fois. Min affection, cette familiarité, sa personnalité si douce, son corps sexy, mais aussi la peur - tant de le perdre, que le fait qu’il me puisse me haïr- tout cela s’était mélangé, avait explosé se retrouvait de ces baisers. Ouais ça faisait beaucoup de chose à exprimer quand. Mais surtout à cet instant ce qui s’exprimait, c’était mes envies. En venant m’embrasser en premier, il m’avait clairement foutu le feu au poudre. Faisant naître en moi cette envie que j’avais contenu trop longtemps. Et plus le goûtais à ces lèvres si pulpeuses, plus j’en devenais complètement dingue. Et plus je l’embrassais, plus mes envies devenaient incontrôlables. Et ça tombait bien, parce que j’avais tout, sauf envie de les contrôler. Et il était clair que Nao était bien loin de me repousser. Nous perdions tous les deux complètement les pédales. Et aucun de nous deux essayait vraiment d’arrêter ce qu’il se passait. Tous les deux bien faibles face aux sensations que lui donnait l’autre. Mais je m’en foutais. A à cet instant, j’avais Naoya coincé entre mes cuisses, et putain qu’est-ce que ça pouvait me plaire. Ses lèvres posées dans mon cou venaient doucement torturer ma peau et j’aimais ça, et je le faisais clairement entendre à mon partenaire. Mon corps en réclamait plus, toujours plus. Alors mes main gourmandes virent se glisser sous son haut, ayant toujours soif de contact. Il y ‘avait beaucoup trop de vêtements et pas assez de corps dénudé. Et moi je que je voulais, c’était coller ma peau contré la sienne, pas d’épaisseur de tissus entre nos. Que dalle. Il n’avait eu de cesse de penser à moi ? Si seulement il avait su à quel point j’avais pu penser à lui moi aussi. S’il ‘avait su à quel point il m’avait troublé ? S’il avait su à quel point j’avais eu peur de le perdre ? A quel point j’avais peur qu’il s’échappe de ma vie. Je voulais sa douceur au quotidien. Je voulais resté avec lui, lui qui me donnait un tel sentiment de sécurité de familiarité. Lui qui me donnait l’impression de trouver un pilier de ma vie que j’avais perdu ? C’était stupide mais c’était comme ça. Je sentais que toutes les cellules de mon corps avaient attendu de le rencontrer ou plutôt de le rencontrer à nouveau. Par tous mes gestes, je voulais qu’il le comprenne, qu’il était plus important que je ne voulais bien l’assumer. Que la manière dont je m’étais attaché à lui sans le connaître était juste irréelle. Je le voulais, je le voulais tout entier et rien que pour moi. Alors qu’il fit tomber son haut, je vins découvrir toute cette peau nue de la paume de mes mains. Glissant mes doigts sur chaque parcelle de cet épiderme, titillant jusqu’à des zone particulièrement sensibles de son anatomie. Il me rendait complètement dingue, son corps m’affamait de plus en plus. Et ses réactions qui ne faisaient que m’exciter davantage, j’allais clairement le bouffer. Tant que je finis par rompre le contact, venant répondre à ses dernières paroles, tout prenant un soin tout particulier pour lui retirer sa ceinture et ouvrir son bermuda, tout en m’appliquant à lui lancer un regard plein provocateur, prouvant à quel point j’avais pensé fort à lui, mon ange. Mon ange qui devenait sacrément lubrique, avouons-le. Oui le bouffer, avais-je répété avec une intonation plus que perverse. A ses mots Nao vint chercher mes mains, entremêlant nos doigts ensemble alors qu’il me tira doucement à lui pour que je me lève, sans vraiment comprendre ou il voulait en venir. Ses lèvres vinrent se poser rapidement sur les miennes avant que sa réponse fasse exploser en moi une nouvelle vague de chaleur. Je n’eus pas le temps de dire ouf ses lèvres si épaisses revinrent à l’assaut de mon épiderme. Et bon sens, ses lèvres, les lèvres de Nao. Elles étaient si formidables, surtout au contact de ma peau. La sensation était juste indescriptible. A chaque contact, il ne faisait qu'augmenter la chaleur de mon corps. J’avais fermé mes yeux un instant pour savourer cet instant, laissant simple ma bouche s’entrouvrir pour laisser échapper des soupirs d’aise. Mon souffle était court depuis bien longtemps, sous le coup de l’excitation, mais c’était clairement devenu pire. Surtout qu’il se jouait de moi en alternant baisers et mordillements. Il voulait me bouffer que moi je voulais le bouffer. Me paupières vinrent juste s’ouvrir quand il commença à jouer avec mon téton. Je gémis doucement en le regardant jouer avec. Alors tu les aimes mes piercings Nao-Nao ? Avais-je dit avec un petit ton taquin. Il fallait dire que voir un homme jouer avec mes piercings était une des choses que je préférais le plus. Mais il n’avait pas fini là sa torture, pour mon plus grand plaisir. Je laissais ma tête basculer en arrière sous le coup de ses multiples sensations qu’il me donnait, me laissant complètement aller à la torture qu’il m’infligeait. Touche moi Nao, touche moi. Alors que ses baisers et ses coups de langues continuaient de plus en plus à descendre dangereusement vers le bas de mon corps, je glissais automatiquement mes doigts dans ses cheveux pour caresser sa tête. Putain il allait vraiment me bouffer ? Genre vraiment vraiment ? Je redressais ma tête, jusqu’à croiser le regard de l’homme qui allait devenir bientôt mon amant. Doucement je vins glisser mon pouce le long de sa pommette. Moi aussi je n’avais pas idée de l’effet que je pouvais lui faire. Je souris doucement, brutalement hypnotisé par l’érotisme de la scène et la beauté des lèvres de Nao sur ma peau. Qu’il était beau, je pouvais même dire “Dieu qu’il était beau”. Mon pouce caressant sa peau quelques courts instants je vais lui dire tout bas: Tu es le plus beau Nao-Nao, sonnant tel un écho du passé, phrase que j’aurais pu lui dire dans une autre vie allez savoir. Peut-être était-ce cela dans le fond, mais je m’en foutais, je ne voulais pas savoir. Puis les mains du japonais qui venaient de se poser sur mes hanches avaient largement suffit pour dégager loin de mon cerveau ces impressions. Et ses lèvres qui revinrent s’en prendre à mon bas ventre. Lui aussi voulait me torturer comme je l’avais fait, lui aussi s’en pris à mes fringues. Ma ceinture ne tarda pas à rejoindre la sienne. Ma bouche entrouverte, ma respiration était devenu erratique, il fallait dire que la position dans laquelle était Nao était particulièrement… excitante. Il était clair qu’il était dur de ne pas laisser mon esprit divaguer et de l’imaginer aller plus loin dans sa démarche. C’était sans compter sur le fait que cette faveur, je l’avais reçu très peu de fois, on m’avait plusieurs fois payé pour la faire. Alors forcément la situation était encore plus excitante. Je voulais qu’il le fasse putain j’avais tellement envie qu’il s’occupe de moi. Je vins doucement me mordre la lèvre inférieure pour contenir plus ou moins mes gémissements qui se faisaient de plus en plus sonores - non parce que les voisins n’allaient pas vraiment apprécier quand même. Alors que doucement il remonta après avoir ouvert mon pantalon, je cacha pas un seul instants que ma respiration était complètement erratique. En tout cas il retira son bermuda et j’eus le droit à une superbe vue sur son sous-vêtements. Simple tenue qui me permis d’observer toute son excitation apparente. Sacré excitation même. Alors que ses mains vinrent à nouveau agripper mon corps nous lèvres se soudèrent à nouveau dans une baiser plus torride que jamais. Mes mains s’insinuèrent dans la chevelure de Nao. alors que mon corps répondait entièrement à ses attentions. Les lèvres de mon amant étouffèrent un hoquet de surprise quand je sentis ses mains venir directement toucher mon postérieur. Il était clair que sous ses airs, mon ange était loin d’en être un à cet instant. Ou alors c’était un ange très tentateur. Alors sa prise se fit ferme sur mon postérieur je sentis sa virilité se coller à la mienne, nous gémir presque à l’unisson contre les lèvres de l’autre. mais il n’en avait pas fini avec moi, loin de là. Une de ses mains plus gourmande que jamais se détacha et commenàa le trajet qui signerait ma perte totale. La folie, s’il savait qu’à cet instant j’étais moi-même aux portes de la folie la plus totale. Alors que ça main glissa dans mon sous-vêtement, je l’achai un gémissement des plus audibles alors que ces doigts frôlèrent mon intimité. Nao, avais-je gémi sans plus chercher à me retenir. Aller vous faire foutre les voisins. Alors qu’il s’occupait déjà si bien de moi, je finis par répondre. Nao j’ai… j’ai envie de toi... Ah mon tour je vins le titiller, posa ma main sur la bosse qui s’était formé dans son boxer, la caressant doucement, mais assez appuyée pour qu’il le sente. Laissant mes lèvres appuyée contre les siennes, je glissais à mon tour ma main dans le sien, venant rapidement trouver sa virilité, je glissais mes doigts contre elle, juste pour le taquiner. Nao-Nao, j’ai envie de toi…. vaias-je répété mais cette fois je vins rajouter ... en moi. Je souris taquin avant de m’éloigner d’un coup de lui. Je vins attraper sa main laissée libre dans la mienne. Je l’attirais doucement à ma suite, l’entrainant dans mon duplex. Non sans rire légèrement en pensant à ce qu’il pourrait se passer et à quel point la nuit allait être agitée. Alors que je remontais les escaliers pour entraîner Nao dans mon espace chambre, en arrivant en haut, il m’avait semblé voir quelqu’un sur le lit. L’espace d’un instants il m’avait semblé me voir moi, assis sur le lit, toujours avec cet autre enfant. De dos, je ne le voyais pas. est-ce que... tu veux te marier à moi plus tard ? et qu’on ait notre famille à nous ? Avait-il dit juste avant de disparaître aussi vite qu’ils étaient apparus. Je me tournais vers Nao glissant mon doigt dans son boxer pour le tirer vers vers moi alors que je reculais vers mon lit. Jusqu’à ce que mes jambes butent contre mon lit. Je laissais doucement mes fesses tomber contre le matelas de mon lit. Laissant Nao debout. Je levais doucement les yeux vers lui. Les joues empourprées, la respiration toujours aussi affolée. Occupe toi de moi s’il te plait Nao-Nao, avais-je dit sur un ton presque honteux. Parce que oui, je voulais qu’il continue ce qu’il avait entamé tout à l’heure. Pour une fois, je voulais qu’on s’occupe de moi.
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mar 11 Sep - 1:53 Citer EditerSupprimer
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Jeu 13 Sep - 19:06 Citer EditerSupprimer
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Mer 19 Sep - 1:06 Citer EditerSupprimer
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Jeu 20 Sep - 23:55 Citer EditerSupprimer
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Ven 12 Oct - 15:07 Citer EditerSupprimer
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Re: A purrfect timing [Tooraya ♥] [+18] | Sam 13 Oct - 21:53 Citer EditerSupprimer
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