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1, 2i call it love ♣ yuuran
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Re: i call it love ♣ yuuran | Sam 20 Oct 2018 - 22:16
Je ne savais pas trop définir ce que je ressentais. Ce n'était pas une question de manque de vocabulaire puisque j'en avais, c'était juste... qu'il était impossible de mettre des mots sur ces sentiments. Ils étaient étranges et surtout, peu familiers. Je n'avais jamais vécu ça. Je savais bien qu'à mes vingt-et-un ans, je n'avais pas encore vécu tout ce que la vie avait à m'offrir, mais je n'avais jamais pensé que ce serait à ce point. Combien de choses avais-je encore à découvrir pour pouvoir pleinement goûter à ce qu'était la vie ? Je l'ignorais. Toutefois, si autrefois je n'avais pas la moindre envie de le savoir, aujourd'hui, c'était différent. Je ne comprenais pas encore très bien ces sentiments mais ils étaient agréables. J'avais envie de faire leur rencontre plus souvent, de m'y confronter, pour peut-être un jour les cerner. Mais j'avais surtout envie de rester avec Yuuma : bizarrement, il n'y avait que lui qui était capable de faire éclore ces sentiments. Mes joues devinrent encore plus rouges qu'elles ne l'étaient déjà lorsqu'il serra ma main. Il n'y avait que les couples qui se serraient la main, non ? Alors étions-nous un couple ? Nous ne nous étions même pas dit « Je t'aime ». Aucun de nous deux n'avait proposé de sortir ensemble. Et pourtant, nos mains étaient liées ensemble. Un garçon et une fille qui se prenaient la main, ce n'était pas habituel. Si pour certains cas c'était parce que les deux étaient très proches, moi, je savais pertinemment qu'avec Yuuma, ce n'était pas le cas. Ce n'était pas parce que nous étions deux amis proches, c'était pour autre chose. Et la seule autre raison, c'était le couple. Nous étions donc en couple ? Devrais-je lui demander si nous étions en couple ? Non, s'il n'avait pas relancé le sujet c'était qu'il ne voulait pas en parler, n'est-ce pas ? Je ne devrais donc pas en parler. Mais est-ce qu'il savait si nous sortions ensemble ou pas ? Si nous n'étions pas un couple, pourquoi avait-il pris ma main ? Pourquoi m'avait-il embrassé ? Parce que nous ressentions ces sentiments que ni lui ni moi ne comprenions ? Non, je ne répondrais pas à ces questions. J'avais déjà dit que je devrais laisser mon cerveau respirer, au lieu d'essayer de raisonner. C'était impossible de raisonner avec les sentiments.
Je m'assis sur un banc où Yuuma me laissa reposer, le temps qu'il aille chercher deux boissons. Seule pour la première fois depuis quelques minutes, j'avais l'impression que mon corps tout entier pouvait enfin se permettre de respirer. Ce ne fut pas le cas très longtemps puisqu'il revint, accompagné de deux boissons... dont une que j'aimais. Il avait même mémorisé ça... Je me surpris à rougir, mon cœur battant un peu plus rapidement. Je ne comprenais peut-être pas ces sentiments, mais je savais que là, j'étais contente. Un ressenti qui m'était inconnu depuis quelques années, quand j'y pensais. « … Merci. » le remerciai-je timidement alors que je la pris, en prenant immédiatement une gorgée. Je la laissai entre mes deux mains, mon regard se perdant devant moi, n'osant pas tourner la tête vers Yuuma. Je me pinçai les lèvres à sa question. Comment je me sentais ? C'était un mystère pour moi, aussi. Mais je dirais... « Je dirais bien... Je crois. Je sais pas. Je me sens embarrassée et pourtant, je ne suis pas en colère. C'est tout le contraire. Je suis... probablement heureuse. E-et toi ? » demandai-je avec hésitation.
i call it love
choi hwa ran & fujioka yuuma
sans qu'on ne le sache, on est amoureux, et ce n'est qu'une question de temps avant qu'on ne le comprenne.
Je ne savais pas trop définir ce que je ressentais. Ce n'était pas une question de manque de vocabulaire puisque j'en avais, c'était juste... qu'il était impossible de mettre des mots sur ces sentiments. Ils étaient étranges et surtout, peu familiers. Je n'avais jamais vécu ça. Je savais bien qu'à mes vingt-et-un ans, je n'avais pas encore vécu tout ce que la vie avait à m'offrir, mais je n'avais jamais pensé que ce serait à ce point. Combien de choses avais-je encore à découvrir pour pouvoir pleinement goûter à ce qu'était la vie ? Je l'ignorais. Toutefois, si autrefois je n'avais pas la moindre envie de le savoir, aujourd'hui, c'était différent. Je ne comprenais pas encore très bien ces sentiments mais ils étaient agréables. J'avais envie de faire leur rencontre plus souvent, de m'y confronter, pour peut-être un jour les cerner. Mais j'avais surtout envie de rester avec Yuuma : bizarrement, il n'y avait que lui qui était capable de faire éclore ces sentiments. Mes joues devinrent encore plus rouges qu'elles ne l'étaient déjà lorsqu'il serra ma main. Il n'y avait que les couples qui se serraient la main, non ? Alors étions-nous un couple ? Nous ne nous étions même pas dit « Je t'aime ». Aucun de nous deux n'avait proposé de sortir ensemble. Et pourtant, nos mains étaient liées ensemble. Un garçon et une fille qui se prenaient la main, ce n'était pas habituel. Si pour certains cas c'était parce que les deux étaient très proches, moi, je savais pertinemment qu'avec Yuuma, ce n'était pas le cas. Ce n'était pas parce que nous étions deux amis proches, c'était pour autre chose. Et la seule autre raison, c'était le couple. Nous étions donc en couple ? Devrais-je lui demander si nous étions en couple ? Non, s'il n'avait pas relancé le sujet c'était qu'il ne voulait pas en parler, n'est-ce pas ? Je ne devrais donc pas en parler. Mais est-ce qu'il savait si nous sortions ensemble ou pas ? Si nous n'étions pas un couple, pourquoi avait-il pris ma main ? Pourquoi m'avait-il embrassé ? Parce que nous ressentions ces sentiments que ni lui ni moi ne comprenions ? Non, je ne répondrais pas à ces questions. J'avais déjà dit que je devrais laisser mon cerveau respirer, au lieu d'essayer de raisonner. C'était impossible de raisonner avec les sentiments. Je m'assis sur un banc où Yuuma me laissa reposer, le temps qu'il aille chercher deux boissons. Seule pour la première fois depuis quelques minutes, j'avais l'impression que mon corps tout entier pouvait enfin se permettre de respirer. Ce ne fut pas le cas très longtemps puisqu'il revint, accompagné de deux boissons... dont une que j'aimais. Il avait même mémorisé ça... Je me surpris à rougir, mon cœur battant un peu plus rapidement. Je ne comprenais peut-être pas ces sentiments, mais je savais que là, j'étais contente. Un ressenti qui m'était inconnu depuis quelques années, quand j'y pensais. « … Merci. » le remerciai-je timidement alors que je la pris, en prenant immédiatement une gorgée. Je la laissai entre mes deux mains, mon regard se perdant devant moi, n'osant pas tourner la tête vers Yuuma. Je me pinçai les lèvres à sa question. Comment je me sentais ? C'était un mystère pour moi, aussi. Mais je dirais... « Je dirais bien... Je crois. Je sais pas. Je me sens embarrassée et pourtant, je ne suis pas en colère. C'est tout le contraire. Je suis... probablement heureuse. E-et toi ? » demandai-je avec hésitation.
(c) DΛNDELION
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Re: i call it love ♣ yuuran | Lun 29 Oct 2018 - 16:54
Yuuma n’en revenait pas lui-même de ce qu’il avait fait. Lui, le garçon à la base si peu intéressé par le monde du couple, si inculte sur le sujet de l’amour, voilà que son éternel célibat venait de voler en éclats. Oh, attention, ne vous y méprenez pas : il en était extrêmement heureux, et pour tout vous dire, plutôt fier. Réussir à franchir ce mur si haut, si solide que Hwa Ran avait construit toutes ces années entre son cœur et les autres, c’était un exploit presque surnaturel. Mais il y était arrivé : son désir de la sortir de son monde si sombre et froid pour lui faire découvrir le sien si solaire et chaleureux avait surplombé tous les obstacles. Maintenant, il en était certain : elle ne tarderait pas à sourire. Occupé à leur choisir deux boissons, le nippon tentait en même temps de calmer son cœur, qui ne cessait de battre la chamade depuis qu’il lui avait prit la main. Un geste pourtant bien simple, presque banal, mais qui lui l’avait chamboulé. Une fois les canettes sorties, Yuuma donna celle convenue à sa désormais petite amie, avant de s’installer à ses côtés, sans que ses joues n’arrivent à dé-rosirent. Il la questionna sur son état, en étant fort curieux, avant de boire sa première gorgée. Alors, elle aussi, se sentait à la fois bien et perturbée, tout comme lui. Ils faisaient là deux beaux idiots. Reprenant une deuxième gorgée, comme si cela pouvait lui apporter du courage, il répondit à son tour à Hwa Ran. « Je me sens comme à l’époque des compétitions… Heureux et anxieux. ». En effet, faute de n’avoir aucune idée pour ce dans quoi ils s’étaient embarqués, il se posait plein de questions, en tout genre. « Mais aussi rassuré. J’avais peur que… tu ne veuilles plus me revoir. ». D’où le fait qu’il avait quelque peu fuit la demoiselle ces derniers temps. « Quand on y pense… Personne ne va y croire. On est si opposé ! ». Mais ne dit-on pas que les opposés s’attirent ?
i call it love
choi hwa ran & fujioka yuuma
sans qu'on ne le sache, on est amoureux, et ce n'est qu'une question de temps avant qu'on ne le comprenne.
Yuuma n’en revenait pas lui-même de ce qu’il avait fait. Lui, le garçon à la base si peu intéressé par le monde du couple, si inculte sur le sujet de l’amour, voilà que son éternel célibat venait de voler en éclats. Oh, attention, ne vous y méprenez pas : il en était extrêmement heureux, et pour tout vous dire, plutôt fier. Réussir à franchir ce mur si haut, si solide que Hwa Ran avait construit toutes ces années entre son cœur et les autres, c’était un exploit presque surnaturel. Mais il y était arrivé : son désir de la sortir de son monde si sombre et froid pour lui faire découvrir le sien si solaire et chaleureux avait surplombé tous les obstacles. Maintenant, il en était certain : elle ne tarderait pas à sourire. Occupé à leur choisir deux boissons, le nippon tentait en même temps de calmer son cœur, qui ne cessait de battre la chamade depuis qu’il lui avait prit la main. Un geste pourtant bien simple, presque banal, mais qui lui l’avait chamboulé. Une fois les canettes sorties, Yuuma donna celle convenue à sa désormais petite amie, avant de s’installer à ses côtés, sans que ses joues n’arrivent à dé-rosirent. Il la questionna sur son état, en étant fort curieux, avant de boire sa première gorgée. Alors, elle aussi, se sentait à la fois bien et perturbée, tout comme lui. Ils faisaient là deux beaux idiots. Reprenant une deuxième gorgée, comme si cela pouvait lui apporter du courage, il répondit à son tour à Hwa Ran. « Je me sens comme à l’époque des compétitions… Heureux et anxieux. ». En effet, faute de n’avoir aucune idée pour ce dans quoi ils s’étaient embarqués, il se posait plein de questions, en tout genre. « Mais aussi rassuré. J’avais peur que… tu ne veuilles plus me revoir. ». D’où le fait qu’il avait quelque peu fuit la demoiselle ces derniers temps. « Quand on y pense… Personne ne va y croire. On est si opposé ! ». Mais ne dit-on pas que les opposés s’attirent ?(c) DΛNDELION
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Re: i call it love ♣ yuuran | Lun 29 Oct 2018 - 23:28
Si j'avais l'habitude de me renseigner dans des livres ou sur Internet pour comprendre les choses que je ne comprenais pas, je savais que cette fois-ci, ça ne marchera pas. Ce soir encore, je serais dans mon lit dans l'incapacité de dormir à cause de ces émotions trop riches en joie. J'avais du mal à saisir le concept de « l'amour », je ne savais même pas si j'aimais vraiment Yuuma. Ou si lui m'aimait vraiment. Qu'est-ce que c'était, l'amour ? Étions-nous vraiment amoureux ? Sortions-nous vraiment... ensemble ? A cette pensée, mes joues se firent encore plus rouges qu'elles ne l'étaient déjà. Heureusement qu'il était parti chercher des boissons, je n'aurais pas aimé qu'il me voit rougir de la sorte. Pourquoi ? Encore une fois, je ne saurais pas le définir. J'étais peut-être douée à comprendre la science, mais certainement pas les émotions humaines. C'était un domaine bien trop obscur pour moi, et je n'avais pas l'impression que ça s'améliorerait avec le temps. Pourtant, Yuuma qui était si plein d'émotions devrait me faire facilement comprendre le fonctionnement de ces émotions. Surtout qu'il était le seul à pouvoir provoquer des sentiments spéciaux chez moi. Je me surpris à rougir à nouveau, pinçant ma lèvre inférieure en regardant ailleurs. J'étais gênée alors qu'il n'était même plus là. C'était ça, l'amour ? Heureusement, il arriva avec deux boissons, ce qui arrêta net le cours de mes pensées. Mais je remarquai qu'il avait retenu ma boisson favorite, me faisant rougir. Encore. Combien de fois avais-je rougi en sa présence ? Je ne comptais même plus. Ayant bu une gorgée, je regardai le sol devant moi en lui décrivant ce que je ressentais. J'étais... embarrassée et heureuse, oui. Et il semblait que ce soit la même chose chez lui. Peut-être que c'était ça l'amour, alors. Je fis une mine surprise, tournant automatiquement ma tête quand il annonça qu'il pensait que je ne voulais plus le revoir. Lorsque mes yeux rencontrèrent son visage, je repris une couleur rougeâtre et détournai le regard. Rien que de le regarder me gênait. « É-évidemment que non, je... Je ne pourrais pas ne pas te revoir. » Je pinçai mes deux lèvres ensemble, toujours aussi gênée. « Hm... C'est vrai... » marmonnai-je, reprenant immédiatement une gorgée de ma boisson. Je ne savais plus quoi dire, mes sentiments étaient trop nombreux et je ne savais pas gérer tout ça...
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choi hwa ran & fujioka yuuma
sans qu'on ne le sache, on est amoureux, et ce n'est qu'une question de temps avant qu'on ne le comprenne.
Si j'avais l'habitude de me renseigner dans des livres ou sur Internet pour comprendre les choses que je ne comprenais pas, je savais que cette fois-ci, ça ne marchera pas. Ce soir encore, je serais dans mon lit dans l'incapacité de dormir à cause de ces émotions trop riches en joie. J'avais du mal à saisir le concept de « l'amour », je ne savais même pas si j'aimais vraiment Yuuma. Ou si lui m'aimait vraiment. Qu'est-ce que c'était, l'amour ? Étions-nous vraiment amoureux ? Sortions-nous vraiment... ensemble ? A cette pensée, mes joues se firent encore plus rouges qu'elles ne l'étaient déjà. Heureusement qu'il était parti chercher des boissons, je n'aurais pas aimé qu'il me voit rougir de la sorte. Pourquoi ? Encore une fois, je ne saurais pas le définir. J'étais peut-être douée à comprendre la science, mais certainement pas les émotions humaines. C'était un domaine bien trop obscur pour moi, et je n'avais pas l'impression que ça s'améliorerait avec le temps. Pourtant, Yuuma qui était si plein d'émotions devrait me faire facilement comprendre le fonctionnement de ces émotions. Surtout qu'il était le seul à pouvoir provoquer des sentiments spéciaux chez moi. Je me surpris à rougir à nouveau, pinçant ma lèvre inférieure en regardant ailleurs. J'étais gênée alors qu'il n'était même plus là. C'était ça, l'amour ? Heureusement, il arriva avec deux boissons, ce qui arrêta net le cours de mes pensées. Mais je remarquai qu'il avait retenu ma boisson favorite, me faisant rougir. Encore. Combien de fois avais-je rougi en sa présence ? Je ne comptais même plus. Ayant bu une gorgée, je regardai le sol devant moi en lui décrivant ce que je ressentais. J'étais... embarrassée et heureuse, oui. Et il semblait que ce soit la même chose chez lui. Peut-être que c'était ça l'amour, alors. Je fis une mine surprise, tournant automatiquement ma tête quand il annonça qu'il pensait que je ne voulais plus le revoir. Lorsque mes yeux rencontrèrent son visage, je repris une couleur rougeâtre et détournai le regard. Rien que de le regarder me gênait. « É-évidemment que non, je... Je ne pourrais pas ne pas te revoir. » Je pinçai mes deux lèvres ensemble, toujours aussi gênée. « Hm... C'est vrai... » marmonnai-je, reprenant immédiatement une gorgée de ma boisson. Je ne savais plus quoi dire, mes sentiments étaient trop nombreux et je ne savais pas gérer tout ça...(c) DΛNDELION
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Re: i call it love ♣ yuuran | Mar 13 Nov 2018 - 22:14
Yuuma se demandait bien à quoi allaient ressembler les jours suivants cette mise en couple. Allaient-ils être bombardés de questions ? Devaient-ils en parler à leurs amis, ou bien attendre encore quelques temps ? Et leurs familles dans tout ça ? Après tout, des deux côtés, il s’agissait de leur première relation… Non, il ne pouvait se permettre de s’emporter dans un élan d’euphorie. Les deux jeunes devaient en tout premier lieu apprendre à s’apprivoiser, et à définir les marges de leur couple, avant de laisser leur entourage s’en mêler. Voilà la sage décision. Buvant tranquillement -et timidement- leur boisson respectives, ils échangeaient leurs ressentis, qui se trouvaient sans grande surprise être relativement les mêmes. L’anxiété bercée par un doux bonheur. Ils se retrouvaient bien intimidés, et pour tout vous avouer, le nippon trouvait cette couleur rougie terriblement craquante sur les joues de Hwa Ran. C’était un charme tout nouveau qui lui découvrait. « … Si jamais tu veux qu’on mange ensemble un midi, cette semaine, tu peux m’envoyer un sms. ». Loin de lui l’envie d’imposer sa présence à sa désormais petite amie. Non, Yuuma lui laisserait tout l’espace, toute la distance qu’elle désirerait. Voilà pourquoi il lui cette simple remarque. Levant la tête, il vit alors au loin un bus s’approcher. « C’est le tien !! ». Se redressant alors subitement, il glissa sa main dans celle de la coréenne et tout en la serrant se mit à courir : hors de question qu’elle le rate, elle avait besoin de travailler, d’étudier, il le savait. Si c’était pour la voir bougonne, non merci ! Ils arrivèrent donc en trombe à l’arrêt de bus, et le blondinet ne put retenir un léger rire en la voyant les cheveux quelques peu ébouriffés. « Allez, monte ! On se revoit bientôt de toute façon… n’est-ce pas ? ». Et un sourire emplit de tendresse, un ! Caressant le dos de la main de Hwa Ran, il finit par la lui lâcher à contre cœur pour la laisser monter dans le bus, lui faisant un signe d’au revoir sans que son sourire ne le quitte, jusqu’au départ du bus. Yuuma la regarda ainsi s’éloigner, tandis que son visage virait à l’écarlate : il était amoureux.
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choi hwa ran & fujioka yuuma
sans qu'on ne le sache, on est amoureux, et ce n'est qu'une question de temps avant qu'on ne le comprenne.
Yuuma se demandait bien à quoi allaient ressembler les jours suivants cette mise en couple. Allaient-ils être bombardés de questions ? Devaient-ils en parler à leurs amis, ou bien attendre encore quelques temps ? Et leurs familles dans tout ça ? Après tout, des deux côtés, il s’agissait de leur première relation… Non, il ne pouvait se permettre de s’emporter dans un élan d’euphorie. Les deux jeunes devaient en tout premier lieu apprendre à s’apprivoiser, et à définir les marges de leur couple, avant de laisser leur entourage s’en mêler. Voilà la sage décision. Buvant tranquillement -et timidement- leur boisson respectives, ils échangeaient leurs ressentis, qui se trouvaient sans grande surprise être relativement les mêmes. L’anxiété bercée par un doux bonheur. Ils se retrouvaient bien intimidés, et pour tout vous avouer, le nippon trouvait cette couleur rougie terriblement craquante sur les joues de Hwa Ran. C’était un charme tout nouveau qui lui découvrait. « … Si jamais tu veux qu’on mange ensemble un midi, cette semaine, tu peux m’envoyer un sms. ». Loin de lui l’envie d’imposer sa présence à sa désormais petite amie. Non, Yuuma lui laisserait tout l’espace, toute la distance qu’elle désirerait. Voilà pourquoi il lui cette simple remarque. Levant la tête, il vit alors au loin un bus s’approcher. « C’est le tien !! ». Se redressant alors subitement, il glissa sa main dans celle de la coréenne et tout en la serrant se mit à courir : hors de question qu’elle le rate, elle avait besoin de travailler, d’étudier, il le savait. Si c’était pour la voir bougonne, non merci ! Ils arrivèrent donc en trombe à l’arrêt de bus, et le blondinet ne put retenir un léger rire en la voyant les cheveux quelques peu ébouriffés. « Allez, monte ! On se revoit bientôt de toute façon… n’est-ce pas ? ». Et un sourire emplit de tendresse, un ! Caressant le dos de la main de Hwa Ran, il finit par la lui lâcher à contre cœur pour la laisser monter dans le bus, lui faisant un signe d’au revoir sans que son sourire ne le quitte, jusqu’au départ du bus. Yuuma la regarda ainsi s’éloigner, tandis que son visage virait à l’écarlate : il était amoureux.(c) DΛNDELION
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