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Ahn Kyong Hee > CPE, bitch.
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Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 15:35 Citer EditerSupprimer
Ahn Kyong Hee
fumer et péter tue
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Il parait que... Elle aurait honte de son surnom que seul son père connait et utilise toujours ( vrai – « Keki » provient des petits gâteaux de riz dont elle raffolait étant petite. Elle refuse que l’on le sache ou l'utilise car ça lui donne un petit air cute dont elle a horreur, voire honte. A cette heure, seul son père en a encore connaissance.) • elle aurait été sdf avant de devenir cpe ( faux – c’est faux, même si elle n’est pas passée loin de passer ses nuits en pleine rue lorsqu’elle n’avait plus aucun boulot et que les frais médicaux de son père lui engloutissaient toutes ses faibles économies. A cette époque de sa vie, elle était au chômage et ne se raccrochait qu’à l’espoir de pouvoir faire vivre son père plus longtemps par la force de sa propre volonté et de son dur labeur. Elle avait pour objectif de toucher des fonds suffisant pour payer la chimio de celui-ci en faisant le ménage chez ses voisins. Ça n’a malheureusement pas suffit et elle a dû se résoudre à un bien plus sombre job (voir + loin) • elle fumerait de tout pour s’évader et oublier sa vie de m@£*& ( vrai – elle fume beaucoup un jour, puis plus du tout un autre. Ça dépend surtout de son état d’esprit du moment. Elle sait que c’est mauvais pour sa santé, mais c’est la seule chose qui lui permet de se vider l’esprit l’espace d’un court instant.) • elle aurait déjà vendu son corps pour subvenir à ses besoins et payer son loyer ( vrai – c’est sa plus grande honte. Désespérée et à sec il y a quelques années de cela, elle n’eut pas d’autre choix que de se vendre dans un bordel huppé à un client riche mais toutefois très respectueux de ses craintes et angoisses. Sans savoir si elle pouvait vraiment lui faire confiance, elle lui a malgré tout fait promettre de garder ce secret pour lui. C’était déjà assez dur de se résoudre à ça, alors elle refusait de voir sa réputation et son honneur davantage bafoués. Ce n’est arrivé qu’une fois mais ça a suffi à ce que cet événement nourrisse encore actuellement les cauchemars de ses plus sombres nuits. Elle n’a jamais revu son client, mais peu importe où et quand, elle le reconnaîtrait entre mille.) • quand elle était petite, elle pensait que quiconque recevrait un de ses baisers se transformerait en grenouille. ( presque faux – en réalité elle pensait que son prince charmant ne se transformerait pas en grenouille, mais plus exactement en un monstrueux crapaud. C’est une sorte de légende que lui avait inculquée son père, jaloux des prétendants d’antan aux pieds de sa jolie petite fille adorée.) • elle serait anorexique ( vrai – comme de nombreuses filles en Corée, elle ne mange que peu ou très peu, mais pas pour les même raisons que ses compères. Elle ne le fait pas pour garder une silhouette de rêve, mais bien pour paraître forte, au risque de crever de faim, ce qui est assez fou. Elle aime dire que "manger c'est pour les faibles") • elle n’aurait jamais connu sa mère ( presque faux – elle l’a connu seulement pendant les 6 premiers mois après sa naissance, le temps pour elle d’apporter, ou plutôt de « rendre » le nourrisson à son père biologique, qui lui n’était même pas au courant qu’il avait une fille. Kyunghee a toujours été convaincue que sa mère ne voulait pas d’elle tandis que son père lui faisait croire qu’elle la lui avait confiée le temps pour elle de régler ses « problèmes ». Hormis ces quelques informations infondées, il a toujours refusé de lui parler d’elle de peur d'ouvrir une brèche dans le coeur de sa fille. Kyung Hee, elle, la considère aujourd’hui comme morte même si elle ne connait absolument rien de sa situation actuelle, de sa vie, etc.) • elle aurait été délinquante pendant sa jeunesse (vrai – Exactement le genre de rumeur dont elle redoute de revoir faire surface, surtout maintenant qu'elle a une vie presque stable. Elle avait rejoint un groupe de casseurs/voleurs parce qu'elle se sentait seule. Pas par simple influence, mais juste par profonde solitude. Elle était le cerveau qui orchestrait et pensait les braquages dans les petits commerces ou chez les particuliers (dealers, etc.). C'est elle qui a trahi et dénoncé ses coéquipiers aux flics contre un pot-de-vin.) • elle aurait voulu devenir artiste peintre ( faux – Même si elle aime le dessin, elle aurait voulu devenir policière ou détective privée mais ses rêves de jeunesse se sont rapidement effacés au profit de petits jobs par ci par là pas follement rémunérés et peux qualificatifs, très certainement car le coût de la formation pour prétendre devenir un ange de la justice était bien trop élevé pour ses prétentions. A présent, elle est une autre sorte de justicière un peu plus originale que celle qu’elle s’était imaginée devenir une fois adulte. Au lieu de donner des amendes, elle punit autrement plus extravagamment. Puis CPE c’est tellement mieux, non ? | Dis nous qui tu es ! Kyong Hee c’est le genre de femme qui peut paraître forte, solide à toute épreuve de la vie, droite dans ses baskets, courageuse, ferme, voire carrément indestructible. En réalité, sa conscience ressemble davantage à une fleur fanée qu’à la personne parfaite à laquelle elle tente par-dessus tout d’être. Non, elle n’est pas indestructible. Au fond, elle n’est pas non plus très courageuse contrairement à ce qu’on pourrait penser. Certes, elle a un certain caractère, mais elle doute de tout. Elle regrette d’abord, puis s’en veut, culpabilise, et perd à nouveau un pétale de sa flamboyante enveloppe. Elle a beau être autoritaire, son manque de confiance en elle réduit rapidement ses audaces à néant. Un air désintéressé se lirait presque sur son visage pour masquer son anxiété permanente. Le double jeu, le masque qu’elle s’éperdue à porter aurait presque remplacer son propre visage. Elle n’essaye même plus d’être naturelle, sauf lorsqu’elle se retrouve seule avec ses obscures pensées comme unique compagnie. Très maligne, elle n’hésite pas à user de son esprit aiguisé peu importe l’occasion. Contrairement au mensonge, la naïveté ne fait pas partie de ses attributs. Elle ne croit personne. C’est à peine si elle se croit elle-même. Pourtant, mentir semble être l’arme la plus séduisante de son lourd arsenal. Une arme qu’elle n’hésiterait pas une seconde à user, même devant la personne la plus chère à ses yeux. |
lokyne/hyka 19 ans et belge (oui j’ai l’seum keskia) ; étudiante en sciences économiques à Bruxelles ; j’ai commencé le rp début 2016 et j’en ai fait pendant 1 an et demi/ 2 ans avant d’arrêter pendant environ un an par manque de temps à cause de mes études ; J’ai connu STW en fouillant les fo rpg sur les top sites ; ofc ils sont propres, eeeeh tu veux les sentir?
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 15:36 Citer EditerSupprimer
Un beau dimanche d'été à 6h du matin, le soleil lumineux éclaircissait le voile épais dans le bleuté du ciel, une petite fille voyait le jour. « Elle aura du caractère » avait alors réagit la matriarche face à ce petit corps frêle langui dans ses bras. La jeune Kyong Hee était née prématurément de 3 semaines, mais ce n’était pas pour autant que sa mère s’en était inquiétée. Au contraire, elle savait parfaitement, elle sentait que sa fille saurait se débrouiller seule et que les orages de la vie ne l’atteindraient jamais, parce que c’était sa petite fille.
Après 6 mois, ses petits yeux perlés découvrirent un nouveau visage. Un visage joyeux aux traits harmonieux et déjà amène à la protéger au gré de sa propre vie. Elle étudia de son regard crédule ce qui s’avèrera être l’être le plus cher à ses yeux tandis que lui apprenait qu’il avait une petite fille prénommée Kyong Hee. Il ne la connaissait que depuis quelques instants, mais il reconnut en elle son petit nez familier et son menton dessiné comme dans de l’argile. « Elle a ton nez » s’exclama-t-il avant de rajouter : « mais elle a mon menton ». Il ne se fatigua même pas à demander à son ex-compagne d’une amourette d’une poignée de soirée sulfureuses comment elle l’avait retrouvé, ou pourquoi lui avait-elle caché l’existence de cet enfant, ou encore pourquoi lui apportait-elle, parce qu’à peine était-elle venue à lui qu’elle s’était déjà envolée, évaporée, échappée en lui laissant pour seule offrande le bébé qu’il tenait fermement du bout de ses doigts tremblants. Il tenta par tous les moyens de la rattraper mais jamais plus elle ne réapparaitra, telle la légende de la cigogne tenant dans son bec un nouveau-né.
160 centimètres plus tard, elle vivait son adolescence pleinement avec cependant cette boule au ventre permanente repensant, ou plutôt dessinant, le visage encore flou de sa mère disparue. Si elle s’était mise au dessin de façon intense, c’était pour une raison bien précise. Elle désirait plus que tout une mère aimante, tendre, mais surtout présente. Une mère qui ne persistait dans son esprit défait que par ses milliers de croquis. Ses traits feutrés la représentaient toute deux dans les bras l’une de l’autre, comme si elles ne s’étaient jamais vraiment quittées depuis ce jour-là il y a 16 ans.
Elle et son père se partageaient un appartement convenable dans un coin reculé de l’immense Séoul. Tout allait encore pour le mieux dans sa vie, dans la sienne aussi.
Puis tout bascula, comme dans un scénario dramatique. Quelques jours après avoir fêté ses 16 bougies, papa lui annonça avoir un cancer des poumons et, de ce fait, prit son départ pour une hospitalisation immédiate. Sans autre choix, il quitta son boulot et elle, elle interrompit sa scolarisation. Afin de rembourser le coût de la chimio, elle postula un peu partout pour économiser un maximum possible et payer un petit logement. Elle dû quitter l’appartement chéri de son enfance pour le remplacer par un petit 15 m² d’un quartier dangereux de la ville où trainaient divers trafiquants, putes, drogués, délinquants. Tantôt secrétaire, tantôt serveuse, cette vie durement menée lui construisait une carapace. Elle ne vivait plus que pour guérir la maladie de son père et avait entre-temps interrompu les recherches sur sa mère. Sa seule échappatoire, le dessin, s’effaça peu à peu par dégoût du souvenir de celle qui l’avait lâchement abandonnée. Les voilà, les « orages de la vie ».
Un gang de délinquants l’avait apprivoisée et, plus par solitude que par intérêt pour la cause, elle avait accepté l’invitation. Enchaînant braquage de la petite épicerie du coin à vol à main armée, c’était elle le cerveau des opérations. Elle savait que c’était mal, que son père ne cautionnerait pour aucune raison ses agissements, mais elle était si seule, démunie, et presque orpheline à l’idée que sa seule famille ne se remettrait jamais de sa maladie. Ce fut l’histoire de quelques mois, le temps que ses coéquipiers se fassent chopper. Elle avait vendu la mèche aux flics par simple culpabilité contre un petit pot-de-vin. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait faible et vulnérable, et à nouveau plus seuls que jamais, elle et ses démons.
Les menaces de mort à son sujet fusaient après la condamnation de ses ex-coéquipiers. Elle quitta son trou et se réfugia dans une chambre de bonne avec un boulot du même nom chez un client bien loti. L’échange de bon procédé avec son employeur dura jusqu’à ses 25 ans, le temps pour lui de prendre connaissance de la très mauvaise réputation de son employée. Peu importait ses jolies paroles et ses excuses bidons, il la renvoya dans son ancien chez elle, sans regret.
Elle mit un certain temps avant de retrouver un boulot. S’en suivi plusieurs débauches jusqu’à ce qu’elle reprenne son poste de serveuse qu’elle avait délaissé avant de devenir une criminelle. Entre temps, elle faillit finir à la porte pour loyer impayé.
Le bar où elle travaillait ne lui payait que des cacahuètes. C’était un bar au bord de la faillite en bas de son immeuble. Après 2 ans de dur labeur, elle prit connaissance d’un poste libre et assez bien payé de CPE à la Yonsei univeristy. Une aubaine pour elle qui trimait dans un bar miteux sous les ordres d’un patron alcoolo et dépravé. Elle postula sans grand espoir m ais fut, par un quelconque miracle, engagée. Son père, toujours malade, lui qui s’en était tant voulu des charges dont ils lui avaient fait peine se réjouissait cependant de voir enfin sa fille sortir de la trappe dans laquelle elle s’était engouffrée toute ses années, et cela par sa faute.
Un nouveau masque se dessina lentement dans ses petits papiers et un nouveau chapitre vint clore, ou au moins de façon temporaire, l’apogée du roman de sa tumultueuse et tragique existence.
It's my life...
Chocapic c'est bon en chocolat
Un beau dimanche d'été à 6h du matin, le soleil lumineux éclaircissait le voile épais dans le bleuté du ciel, une petite fille voyait le jour. « Elle aura du caractère » avait alors réagit la matriarche face à ce petit corps frêle langui dans ses bras. La jeune Kyong Hee était née prématurément de 3 semaines, mais ce n’était pas pour autant que sa mère s’en était inquiétée. Au contraire, elle savait parfaitement, elle sentait que sa fille saurait se débrouiller seule et que les orages de la vie ne l’atteindraient jamais, parce que c’était sa petite fille.
Après 6 mois, ses petits yeux perlés découvrirent un nouveau visage. Un visage joyeux aux traits harmonieux et déjà amène à la protéger au gré de sa propre vie. Elle étudia de son regard crédule ce qui s’avèrera être l’être le plus cher à ses yeux tandis que lui apprenait qu’il avait une petite fille prénommée Kyong Hee. Il ne la connaissait que depuis quelques instants, mais il reconnut en elle son petit nez familier et son menton dessiné comme dans de l’argile. « Elle a ton nez » s’exclama-t-il avant de rajouter : « mais elle a mon menton ». Il ne se fatigua même pas à demander à son ex-compagne d’une amourette d’une poignée de soirée sulfureuses comment elle l’avait retrouvé, ou pourquoi lui avait-elle caché l’existence de cet enfant, ou encore pourquoi lui apportait-elle, parce qu’à peine était-elle venue à lui qu’elle s’était déjà envolée, évaporée, échappée en lui laissant pour seule offrande le bébé qu’il tenait fermement du bout de ses doigts tremblants. Il tenta par tous les moyens de la rattraper mais jamais plus elle ne réapparaitra, telle la légende de la cigogne tenant dans son bec un nouveau-né.
160 centimètres plus tard, elle vivait son adolescence pleinement avec cependant cette boule au ventre permanente repensant, ou plutôt dessinant, le visage encore flou de sa mère disparue. Si elle s’était mise au dessin de façon intense, c’était pour une raison bien précise. Elle désirait plus que tout une mère aimante, tendre, mais surtout présente. Une mère qui ne persistait dans son esprit défait que par ses milliers de croquis. Ses traits feutrés la représentaient toute deux dans les bras l’une de l’autre, comme si elles ne s’étaient jamais vraiment quittées depuis ce jour-là il y a 16 ans.
Elle et son père se partageaient un appartement convenable dans un coin reculé de l’immense Séoul. Tout allait encore pour le mieux dans sa vie, dans la sienne aussi.
Puis tout bascula, comme dans un scénario dramatique. Quelques jours après avoir fêté ses 16 bougies, papa lui annonça avoir un cancer des poumons et, de ce fait, prit son départ pour une hospitalisation immédiate. Sans autre choix, il quitta son boulot et elle, elle interrompit sa scolarisation. Afin de rembourser le coût de la chimio, elle postula un peu partout pour économiser un maximum possible et payer un petit logement. Elle dû quitter l’appartement chéri de son enfance pour le remplacer par un petit 15 m² d’un quartier dangereux de la ville où trainaient divers trafiquants, putes, drogués, délinquants. Tantôt secrétaire, tantôt serveuse, cette vie durement menée lui construisait une carapace. Elle ne vivait plus que pour guérir la maladie de son père et avait entre-temps interrompu les recherches sur sa mère. Sa seule échappatoire, le dessin, s’effaça peu à peu par dégoût du souvenir de celle qui l’avait lâchement abandonnée. Les voilà, les « orages de la vie ».
Un gang de délinquants l’avait apprivoisée et, plus par solitude que par intérêt pour la cause, elle avait accepté l’invitation. Enchaînant braquage de la petite épicerie du coin à vol à main armée, c’était elle le cerveau des opérations. Elle savait que c’était mal, que son père ne cautionnerait pour aucune raison ses agissements, mais elle était si seule, démunie, et presque orpheline à l’idée que sa seule famille ne se remettrait jamais de sa maladie. Ce fut l’histoire de quelques mois, le temps que ses coéquipiers se fassent chopper. Elle avait vendu la mèche aux flics par simple culpabilité contre un petit pot-de-vin. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait faible et vulnérable, et à nouveau plus seuls que jamais, elle et ses démons.
Les menaces de mort à son sujet fusaient après la condamnation de ses ex-coéquipiers. Elle quitta son trou et se réfugia dans une chambre de bonne avec un boulot du même nom chez un client bien loti. L’échange de bon procédé avec son employeur dura jusqu’à ses 25 ans, le temps pour lui de prendre connaissance de la très mauvaise réputation de son employée. Peu importait ses jolies paroles et ses excuses bidons, il la renvoya dans son ancien chez elle, sans regret.
Elle mit un certain temps avant de retrouver un boulot. S’en suivi plusieurs débauches jusqu’à ce qu’elle reprenne son poste de serveuse qu’elle avait délaissé avant de devenir une criminelle. Entre temps, elle faillit finir à la porte pour loyer impayé.
Le bar où elle travaillait ne lui payait que des cacahuètes. C’était un bar au bord de la faillite en bas de son immeuble. Après 2 ans de dur labeur, elle prit connaissance d’un poste libre et assez bien payé de CPE à la Yonsei univeristy. Une aubaine pour elle qui trimait dans un bar miteux sous les ordres d’un patron alcoolo et dépravé. Elle postula sans grand espoir m ais fut, par un quelconque miracle, engagée. Son père, toujours malade, lui qui s’en était tant voulu des charges dont ils lui avaient fait peine se réjouissait cependant de voir enfin sa fille sortir de la trappe dans laquelle elle s’était engouffrée toute ses années, et cela par sa faute.
Un nouveau masque se dessina lentement dans ses petits papiers et un nouveau chapitre vint clore, ou au moins de façon temporaire, l’apogée du roman de sa tumultueuse et tragique existence.
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 15:53 Citer EditerSupprimer
DFKGBSKJFD HYORIN
bienvenue officiellement du coup
bienvenue officiellement du coup
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 16:00 Citer EditerSupprimer
ELLE EST DES NOOOOOOOOOTRES
Bienvenue chez toi ma belle, très bon choix de perso et d'avatar
Bienvenue chez toi ma belle, très bon choix de perso et d'avatar
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 16:02 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à toi patronne
Si tu as la moindre question n’hésite pas et bon courage pour ta fiche :tae:
Si tu as la moindre question n’hésite pas et bon courage pour ta fiche :tae:
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 16:04 Citer EditerSupprimer
omg cette beauté
bienvenue ici
bon courage pour ta fiche
bienvenue ici
bon courage pour ta fiche
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Re: Ahn Kyong Hee > CPE, bitch. | Mer 29 Aoû - 17:02 Citer EditerSupprimer
promis madame j'suis adorable et très très sage
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