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I want to fill the pages of this story that isn’t over yet (tooraya)
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Re: I want to fill the pages of this story that isn’t over yet (tooraya) | Sam 8 Déc - 22:12 Citer EditerSupprimer
toutes ces révélations d'un coup, ça faisait beaucoup à encaisser. sa vie était un véritable bordel, entre ce que son grand frère venait de lui faire, maintenant, il apprenait la vérité sur tsuki, son tooru, qui n'est plus. il voulait savoir, et même si on le connaissait curieux, c'était surtout son inquiétude qui parlait, et si pendant tout ce temps, tooru avait vécu l'enfer ? il comptait beaucoup trop pour lui pour qu’il ne puisse pas être inquiet à son sujet, il avait toujours compté pour lui. déjà que naoya était une personne qui s'inquiétait trop facilement pour les autres, quand ça concernait ses proches, c'était bien pire. alors quand il lui demanda si ses soucis étaient graves, sa réponse lui serra le cœur. il ne méritait pas ça, il méritait tout le bonheur du monde. quand il lui demanda s'il avait connu ses parents, et s'il s'en souvenait, naoya hocha positivement la tête. il n'osa pas reprendre la parole, de peur de le couper, mais oui, bien-sûr qu'il se souvenait d'eux. la suite de ses paroles serrèrent de nouveau son cœur. des... cachets ? pour supprimer le désir physique qu'il pouvait ressentir pour un garçon ? des personnes peu ouvertes d'esprits, il y en avait partout, et bizarrement, cela ne l'étonnait pas de savoir que ses parents en faisaient partis, c'était même logique. comment avaient-ils pu faire ça à leur fils ? serait-ce à cause de ça, ses soucis de mémoire ? mais il ne tarda pas à lui confirmer, lui affirmant même que cela avait duré trois années. naoya baissa la tête, un court instant, cachant son mal-être face à ces révélations. il releva cependant le regard, croisant le sien. à sa question, naoya afficha un tendre sourire, pas le plus joyeux du monde, mais présent pour le conforter. il vint même attraper doucement sa main. comment il le voyait ? « comme.. tsuki. » il ne voulait plus être tooru, il n'allait plus l'être. ce n'était pas naoya qui allait l'obligeait, même s'il l'avait connu en tant que tooru. « ç'a peut être effacé ta mémoire, mais ça n'effacera jamais tout ce que tu as fait pour moi. » il marqua une courte pause avant de reprendre la parole: « j'suis tellement désolé d'apprendre ça, ça.. ça me fend le cœur. » une nouvelle pause, avant de reprendre: « mais ça ne change rien. tu restes la même personne à mes yeux. j'ai pas envie que tu penses le contraire. » si ça changeait rien ? c'était faux, il était tooru, mine de rien, il savait qu'il serait davantage attaché à lui, pour tout ce que ce garçon avait pu représenter pour lui. il sortit même le ruban rouge, quelque chose qui représentait énormément pour lui. tsuki souffla son nom, naoya lui, ne le lâcha pas du regard. tsuki lui sauta au cou, son coeur s'emballa alors qu'il passa ses bras autour de lui, le serrant tout contre lui, il hocha même la tête quand il reprit la parole. oui, c'était lui depuis le début, et que c'était bon de le retrouver, de l'avoir dans ses bras. savourant cet instant, il ferma même les yeux un petit moment. ce, jusqu'à ce que tsuki prenne place sur ses cuisses, ce qui lui décrocha un sourire amusé par la surprise de ce geste, mais il continuait de le garder près de lui. après quelques secondes, le jeune homme s'écarta du japonais, venant attraper son poignet pour nouer le ruban autour de celui-ci, naoya garda son sourire, le regardant faire. « il a toujours été important pour moi. » et pour lui aussi, puisqu'il l'avait tout de même gardé tout ce temps. à sa confession, naoya planta à nouveau son regard dans le sien, son coeur rata même un battement. « j'ai.. j'ai pas envie de te perdre. » lui avoua t-il, le plus sincèrement du monde, lançant un regard vers le ruban. il marqua une courte pause avant de reprendre: « tu sais.. ce n'est pas si grave si tu te souviens de rien. ça nous empêchera pas de construire de nouveaux souvenirs. et puis, je t'aiderai comme je peux. » une phrase un peu ambiguë, finalement. qu'en était-il de leur relation? oui, c'était ambigu. et un peu étrange de dire les choses.. comme ça, il reprit alors: « je serai toujours là pour toi, ça changera jamais. » encore une fois, il ne voulait pas laisser tsuki croire qu'il pouvait partir, surtout pour ses problèmes de santés, il n'avait absolument rien demandé. à sa remarque, le japonais sourit doucement. c'est vrai qu'ils avaient pas mal de choses à se raconter, avec tout ça. cela lui faisait même bizarre, il avait appris à accepter le fait qu'ils avaient été séparés, ça restait tout de même étrange. ils étaient si complices, si proches, voilà qu'au final, ils ignoraient pas mal de choses l'un de l'autre. il avait cru comprendre que tsuki avait même retrouvé quelqu'un, tout comme naoya d'ailleurs. mais entre temps, ils n'avaient aucune idée de ce qu'il avait bien pu se passer dans leurs vies respectives. « c'est vrai.. on a beaucoup de choses à se dire toi et moi. » un sourire attendri, alors que son regard était toujours posé sur lui. « il semblerait bien qu'on passera encore plus de temps ensemble. » plaisanta t-il à moitié, parce que lui, ça ne le dérangeait absolument pas. bien au contraire, comme il avait pu lui confier plus tôt, ses révélations ne le feraient pas fuir, il trouvait même cette idée absurde. il tenait beaucoup trop à lui. il laissa quelques secondes s'écouler, quelques secondes à observer son visage, tout en gardant ce fin sourire attendri, et débordant de sentiments. puis, il s'approcha de lui, attrapant ses lèvres dans un tendre baiser, même un peu timide, tant il pouvait être doux et sensuel. seulement, il en avait envie, et il ne voulait pas aller contre cette envie.
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#tooraya
toutes ces révélations d'un coup, ça faisait beaucoup à encaisser. sa vie était un véritable bordel, entre ce que son grand frère venait de lui faire, maintenant, il apprenait la vérité sur tsuki, son tooru, qui n'est plus. il voulait savoir, et même si on le connaissait curieux, c'était surtout son inquiétude qui parlait, et si pendant tout ce temps, tooru avait vécu l'enfer ? il comptait beaucoup trop pour lui pour qu’il ne puisse pas être inquiet à son sujet, il avait toujours compté pour lui. déjà que naoya était une personne qui s'inquiétait trop facilement pour les autres, quand ça concernait ses proches, c'était bien pire. alors quand il lui demanda si ses soucis étaient graves, sa réponse lui serra le cœur. il ne méritait pas ça, il méritait tout le bonheur du monde. quand il lui demanda s'il avait connu ses parents, et s'il s'en souvenait, naoya hocha positivement la tête. il n'osa pas reprendre la parole, de peur de le couper, mais oui, bien-sûr qu'il se souvenait d'eux. la suite de ses paroles serrèrent de nouveau son cœur. des... cachets ? pour supprimer le désir physique qu'il pouvait ressentir pour un garçon ? des personnes peu ouvertes d'esprits, il y en avait partout, et bizarrement, cela ne l'étonnait pas de savoir que ses parents en faisaient partis, c'était même logique. comment avaient-ils pu faire ça à leur fils ? serait-ce à cause de ça, ses soucis de mémoire ? mais il ne tarda pas à lui confirmer, lui affirmant même que cela avait duré trois années. naoya baissa la tête, un court instant, cachant son mal-être face à ces révélations. il releva cependant le regard, croisant le sien. à sa question, naoya afficha un tendre sourire, pas le plus joyeux du monde, mais présent pour le conforter. il vint même attraper doucement sa main. comment il le voyait ? « comme.. tsuki. » il ne voulait plus être tooru, il n'allait plus l'être. ce n'était pas naoya qui allait l'obligeait, même s'il l'avait connu en tant que tooru. « ç'a peut être effacé ta mémoire, mais ça n'effacera jamais tout ce que tu as fait pour moi. » il marqua une courte pause avant de reprendre la parole: « j'suis tellement désolé d'apprendre ça, ça.. ça me fend le cœur. » une nouvelle pause, avant de reprendre: « mais ça ne change rien. tu restes la même personne à mes yeux. j'ai pas envie que tu penses le contraire. » si ça changeait rien ? c'était faux, il était tooru, mine de rien, il savait qu'il serait davantage attaché à lui, pour tout ce que ce garçon avait pu représenter pour lui. il sortit même le ruban rouge, quelque chose qui représentait énormément pour lui. tsuki souffla son nom, naoya lui, ne le lâcha pas du regard. tsuki lui sauta au cou, son coeur s'emballa alors qu'il passa ses bras autour de lui, le serrant tout contre lui, il hocha même la tête quand il reprit la parole. oui, c'était lui depuis le début, et que c'était bon de le retrouver, de l'avoir dans ses bras. savourant cet instant, il ferma même les yeux un petit moment. ce, jusqu'à ce que tsuki prenne place sur ses cuisses, ce qui lui décrocha un sourire amusé par la surprise de ce geste, mais il continuait de le garder près de lui. après quelques secondes, le jeune homme s'écarta du japonais, venant attraper son poignet pour nouer le ruban autour de celui-ci, naoya garda son sourire, le regardant faire. « il a toujours été important pour moi. » et pour lui aussi, puisqu'il l'avait tout de même gardé tout ce temps. à sa confession, naoya planta à nouveau son regard dans le sien, son coeur rata même un battement. « j'ai.. j'ai pas envie de te perdre. » lui avoua t-il, le plus sincèrement du monde, lançant un regard vers le ruban. il marqua une courte pause avant de reprendre: « tu sais.. ce n'est pas si grave si tu te souviens de rien. ça nous empêchera pas de construire de nouveaux souvenirs. et puis, je t'aiderai comme je peux. » une phrase un peu ambiguë, finalement. qu'en était-il de leur relation? oui, c'était ambigu. et un peu étrange de dire les choses.. comme ça, il reprit alors: « je serai toujours là pour toi, ça changera jamais. » encore une fois, il ne voulait pas laisser tsuki croire qu'il pouvait partir, surtout pour ses problèmes de santés, il n'avait absolument rien demandé. à sa remarque, le japonais sourit doucement. c'est vrai qu'ils avaient pas mal de choses à se raconter, avec tout ça. cela lui faisait même bizarre, il avait appris à accepter le fait qu'ils avaient été séparés, ça restait tout de même étrange. ils étaient si complices, si proches, voilà qu'au final, ils ignoraient pas mal de choses l'un de l'autre. il avait cru comprendre que tsuki avait même retrouvé quelqu'un, tout comme naoya d'ailleurs. mais entre temps, ils n'avaient aucune idée de ce qu'il avait bien pu se passer dans leurs vies respectives. « c'est vrai.. on a beaucoup de choses à se dire toi et moi. » un sourire attendri, alors que son regard était toujours posé sur lui. « il semblerait bien qu'on passera encore plus de temps ensemble. » plaisanta t-il à moitié, parce que lui, ça ne le dérangeait absolument pas. bien au contraire, comme il avait pu lui confier plus tôt, ses révélations ne le feraient pas fuir, il trouvait même cette idée absurde. il tenait beaucoup trop à lui. il laissa quelques secondes s'écouler, quelques secondes à observer son visage, tout en gardant ce fin sourire attendri, et débordant de sentiments. puis, il s'approcha de lui, attrapant ses lèvres dans un tendre baiser, même un peu timide, tant il pouvait être doux et sensuel. seulement, il en avait envie, et il ne voulait pas aller contre cette envie.
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Re: I want to fill the pages of this story that isn’t over yet (tooraya) | Dim 23 Déc - 14:19 Citer EditerSupprimer
ma vie était compliquée et mon histoire encore plus. mais les faits étaient bien là devant moi. je m’étais rendu compte indéniablement que noya était le petite garçon de mon enfance. ce fameux meilleur ami dont je n’avais pas de souvenir. et moi j’étais cet ami dont il m’avait parlé la première fois avec tant de nostalgie. nous avions été réuni par une force mystérieuse. certains diraient que c’était un hasard, d’autre le destin, moi je me plaisais à croire à ces deux-là en même temps. sa main dans la mienne, tous ces paroles rassurantes qu’il me disait. je ne me sentais pas monstrueux dans sa voix. je ne voyais de dégout ou d’animosité. il l’avait dit lui-même, ça ne changeait rien. du moins si, je savais que ça renforcerait notre lien établi, parce que maintenant, je comprenais pourquoi je m’étais tant attaché à nao-nao et ce aussi rapidement. ce n’était pas le fruit du hasard, je l’avais inconsciemment reconnu. naoya et sa douceur me touchaient directement dans mon coeur. j’avais fini par lui sauter littéralement au cou, enroulant mes bras autour de sa nuque, venant même jusqu’à me mettre à callifourchon sur ses cuisses comme pour le colle un peu plus. mes larmes coulèrent à nouveau, mais cette fois ce n’était en rien de la tristesse, loin de là. j’étais heureux, soulagé, la vérité était sortie. puis j’avais retrouvé le petit garçon de mon enfance, et ça semblait si… inespéré ? j’étais venu noué le ruban autour de son poignet. j’étais parti loin de lui, la vie nous avait séparé, mais elle nous avait aussi rassemblé une nouvelle fois et je savais que je ne m’éloignerai plus jamais du nippon. je ne le voulais plus, si je l’oubliais une nouvelle fois ? non je ne l’aurais pas supporté. plus jamais nao-nao, dis-je en secouant la tête avant de commencer à sourire innocemment. se faire des nouveaux souvenirs, oh oui, je voulais tellement créer des nouveaux moments avec lui. des souvenirs que je pourrais chérir. il voulais m’aider, il voulait m’aider à me rappeler. pourquoi était-il aussi doux ? pourquoi était-il aussi bon avec moi ? pourquoi j’étais aussi chanceux d’avoir un tel homme dans ma vie ? je vins poser tendrement mon front contre celui de mon nao. je le remerciais silencieusement de me rassurer, je me faire ces promesses. naoya était une personne en or, mon ange gardien. je souris un peu plus tout en séchant mes larmes, le temps que nous avions a rattrapé ne me faisait pas peur, j’étais excité de connaître tout ce qu’il s’était passé dans la vie de nao. et je ne voulais pas péenser au moment où moi je commencerai à parler de ma vie. ma vie était sombre, j’avais joué à la pute en étant mineur et ça…. ça j’avais peur de lui en parler? pourtant à cet instant je préférais balayer cette pensée rapidement. surtout quand nao me dit que nous allion plus de fréquenter, mon sourire se fit radieux. ça tombe bien, j’aime passer du temps avec toi nao-nao. j’étais sincère, depuis que nous avions commencé à avoir une relation largement plus qu’amicale nao et moi, on s’était vu régulièrement et plus je le voyais, plus j’avais envie qu’il reste et ne parte plus jamais. j’étais devenu accro à sa présence, à ses attentions, à sa tendresse et à sa sensualité. sensualité et tendresse qui émanèrent une nouvelle fois alors qu’elle vint capturer mes lèvres doucement. un gémissement incontrolé s’écrasa contre les lèvres de mon amant alors qu’une de mes mains se glissa dans ses cheveux. j’approchai automatiquement mon corps du sien, cherchant désespérément plus de contact. entrouvrant les lèvres pour tendrement et timidement venir caresser sa langue de la mienne. les chose auraient pu être bizarre, parce qu’il était mon meilleur amo d’enfance, mais non. ça ne l’était pour moi, ça ne faisait que galavaniser tout ce que je ressentais pour lui et je voulais qu’il le sente. je voulais qu’il sente qu’à cet instant, j’avais ce sentiment que lien entre nous s’était renforcé. je finis par rompre le contact, la bouche entreouverte, légèrement essoufflé je le fixai. tu me rends fou nao-nao, murmurai-je un peu trop chaudement. je crois que je … suis accro à toi. son corps, sa personnalité, son visage, sa douceur, tout ce qui faisait que naoya était lui-même, tout son être me plongeait dans un état second entre l’euphorie et l’excitation et j’en voulais plus, tellement plus.
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#tooraya
ma vie était compliquée et mon histoire encore plus. mais les faits étaient bien là devant moi. je m’étais rendu compte indéniablement que noya était le petite garçon de mon enfance. ce fameux meilleur ami dont je n’avais pas de souvenir. et moi j’étais cet ami dont il m’avait parlé la première fois avec tant de nostalgie. nous avions été réuni par une force mystérieuse. certains diraient que c’était un hasard, d’autre le destin, moi je me plaisais à croire à ces deux-là en même temps. sa main dans la mienne, tous ces paroles rassurantes qu’il me disait. je ne me sentais pas monstrueux dans sa voix. je ne voyais de dégout ou d’animosité. il l’avait dit lui-même, ça ne changeait rien. du moins si, je savais que ça renforcerait notre lien établi, parce que maintenant, je comprenais pourquoi je m’étais tant attaché à nao-nao et ce aussi rapidement. ce n’était pas le fruit du hasard, je l’avais inconsciemment reconnu. naoya et sa douceur me touchaient directement dans mon coeur. j’avais fini par lui sauter littéralement au cou, enroulant mes bras autour de sa nuque, venant même jusqu’à me mettre à callifourchon sur ses cuisses comme pour le colle un peu plus. mes larmes coulèrent à nouveau, mais cette fois ce n’était en rien de la tristesse, loin de là. j’étais heureux, soulagé, la vérité était sortie. puis j’avais retrouvé le petit garçon de mon enfance, et ça semblait si… inespéré ? j’étais venu noué le ruban autour de son poignet. j’étais parti loin de lui, la vie nous avait séparé, mais elle nous avait aussi rassemblé une nouvelle fois et je savais que je ne m’éloignerai plus jamais du nippon. je ne le voulais plus, si je l’oubliais une nouvelle fois ? non je ne l’aurais pas supporté. plus jamais nao-nao, dis-je en secouant la tête avant de commencer à sourire innocemment. se faire des nouveaux souvenirs, oh oui, je voulais tellement créer des nouveaux moments avec lui. des souvenirs que je pourrais chérir. il voulais m’aider, il voulait m’aider à me rappeler. pourquoi était-il aussi doux ? pourquoi était-il aussi bon avec moi ? pourquoi j’étais aussi chanceux d’avoir un tel homme dans ma vie ? je vins poser tendrement mon front contre celui de mon nao. je le remerciais silencieusement de me rassurer, je me faire ces promesses. naoya était une personne en or, mon ange gardien. je souris un peu plus tout en séchant mes larmes, le temps que nous avions a rattrapé ne me faisait pas peur, j’étais excité de connaître tout ce qu’il s’était passé dans la vie de nao. et je ne voulais pas péenser au moment où moi je commencerai à parler de ma vie. ma vie était sombre, j’avais joué à la pute en étant mineur et ça…. ça j’avais peur de lui en parler? pourtant à cet instant je préférais balayer cette pensée rapidement. surtout quand nao me dit que nous allion plus de fréquenter, mon sourire se fit radieux. ça tombe bien, j’aime passer du temps avec toi nao-nao. j’étais sincère, depuis que nous avions commencé à avoir une relation largement plus qu’amicale nao et moi, on s’était vu régulièrement et plus je le voyais, plus j’avais envie qu’il reste et ne parte plus jamais. j’étais devenu accro à sa présence, à ses attentions, à sa tendresse et à sa sensualité. sensualité et tendresse qui émanèrent une nouvelle fois alors qu’elle vint capturer mes lèvres doucement. un gémissement incontrolé s’écrasa contre les lèvres de mon amant alors qu’une de mes mains se glissa dans ses cheveux. j’approchai automatiquement mon corps du sien, cherchant désespérément plus de contact. entrouvrant les lèvres pour tendrement et timidement venir caresser sa langue de la mienne. les chose auraient pu être bizarre, parce qu’il était mon meilleur amo d’enfance, mais non. ça ne l’était pour moi, ça ne faisait que galavaniser tout ce que je ressentais pour lui et je voulais qu’il le sente. je voulais qu’il sente qu’à cet instant, j’avais ce sentiment que lien entre nous s’était renforcé. je finis par rompre le contact, la bouche entreouverte, légèrement essoufflé je le fixai. tu me rends fou nao-nao, murmurai-je un peu trop chaudement. je crois que je … suis accro à toi. son corps, sa personnalité, son visage, sa douceur, tout ce qui faisait que naoya était lui-même, tout son être me plongeait dans un état second entre l’euphorie et l’excitation et j’en voulais plus, tellement plus.
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Re: I want to fill the pages of this story that isn’t over yet (tooraya) | Jeu 3 Jan - 21:11 Citer EditerSupprimer
il avait pourtant passé des années à essayer de le retrouver, des années à se demander si tooru se rappelait de lui, des années à se demander si un jour, il aurait la chance de pouvoir recroiser son chemin, et voilà que tsuki lui faisait de telles révélations. ça tombait sous le sens, tout était clair et explicable désormais, naoya en était certain : c’était pour cette raison qu’il avait été poussé dans ce salon de tatouage, c’était aussi pour cette raison qu’il lui rappelait tant tooru, c’était d’une évidence née mais pourtant, le japonais n’avait pas songé à ce qu’il s’agissait réellement de lui. la surprise était là, mais ça le peinait d’entendre ce genre de choses… tooru, ou plutôt, tsuki, avait souffert, il avait vécu l’enfer et la douleur de son absence n’était rien comparé à la vision d’un tsuki plus bas que terre, alors naoya faisait de son mieux pour lui, pour l’aider. malgré toutes ces années, naoya ne pouvait nier ce qu’il ressentait pour lui. oui, il était accroché à tsuki, mais le fait qu’il apprenne sa véritable identité n’avait rien arrangé. parce que oui, ce n’était pas si grave qu’il avait tout oublié, d’accord, il s’agissait des moments que naoya chérissait tout particulièrement mais.. et alors ? la santé et le bien être de tsuki passait tout de même avant tout, et puis, dans un sens, tout cela resterait bloqué dans le passé. ça restait bien évidemment dans la mémoire de naoya --à part ces quelques moments un peu flou dû à son traumatisme crânien, mais le plus important, c’était l’avenir, les nouveaux souvenirs qu’ils pouvaient créer ensemble, si tsuki le souhaitait. le nippon se mit à sourire tendrement lorsque son conjoint vint déposer son front contre le sien, tsuki avait cette douceur inégalable, comment avait-il pu passer à côté de la vérité ? il n’y avait que tooru pour être aussi doux avec lui. il vint déposer son pouce contre la joue de tsuki, essuyant ses quelques larmes. « moi aussi j’aime passer du temps avec toi… » lui avoua t-il, dans un souffle, alors qu’il afficha un sourire des plus tendres sur ses lèvres. il était sincère, il aimait passer du temps avec lui, sa présence lui faisait du bien, et il savait désormais pourquoi. alors sans plus attendre, naoya vint capturer les lèvres de son compagnon, avec douceur, mais surtout envie. ce dernier glissa ses doigts dans les cheveux du nippon, geste qui le fit sourire tout contre ses lèvres. la situation devrait être bizarre, après tout, il s’agissait de son meilleur ami d’enfance, mais tooru avait toujours eu ce quelque chose en plus. à croire qu’à l’époque, son instinct était aussi tenace qu’à l’heure actuelle, et que naoya avait senti qu’il se pourrait y avoir plus entre eux, avec le temps. ils n’étaient que des gosses, ils n’auraient jamais pu s’en douter. tsuki mit fin au contact, naoya, lui, rouvrit doucement les yeux, son sourire toujours dessiné sur ses lèvres, sourire qui n’était pas prêt de s’effacer, suite aux paroles de tsuki. « tu me rends fou, toi aussi… » souffla t-il de nouveau, baissant les yeux pour l’observer quelques secondes, avant de replanter son regard dans le sien, un sourire franc --et attachant, sur les lèvres. sourire qui ne cessa de s’agrandir, devant plus attendrissant encore face à ses révélations. ça le touchait, au plus profond de son coeur. « c’est une bonne chose dans ce cas… je pourrais passer du temps avec toi sans que tu t’en lasses. » pendant un instant, son sourire devint plus amusé, il ne le quitta pas du regard. « tu sais.. ce n’est pas grave si tu as oublié certaines choses… » qu’il l’avait même totalement oublié, il se répétait, pour lui avouer, déposant une main sur son coeur. « j’ai l’impression que ton coeur, lui, m’a reconnu. » et n’était-ce pas le plus important, au final ? ça ne faisait que leur prouver qu’ils ne pouvaient vivre l’un sans l’autre, d’une quelconque manière. puisque malgré tout, le destin les avait de nouveau réuni, et ce n’était pas pour rien, naoya en était persuadé.
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il avait pourtant passé des années à essayer de le retrouver, des années à se demander si tooru se rappelait de lui, des années à se demander si un jour, il aurait la chance de pouvoir recroiser son chemin, et voilà que tsuki lui faisait de telles révélations. ça tombait sous le sens, tout était clair et explicable désormais, naoya en était certain : c’était pour cette raison qu’il avait été poussé dans ce salon de tatouage, c’était aussi pour cette raison qu’il lui rappelait tant tooru, c’était d’une évidence née mais pourtant, le japonais n’avait pas songé à ce qu’il s’agissait réellement de lui. la surprise était là, mais ça le peinait d’entendre ce genre de choses… tooru, ou plutôt, tsuki, avait souffert, il avait vécu l’enfer et la douleur de son absence n’était rien comparé à la vision d’un tsuki plus bas que terre, alors naoya faisait de son mieux pour lui, pour l’aider. malgré toutes ces années, naoya ne pouvait nier ce qu’il ressentait pour lui. oui, il était accroché à tsuki, mais le fait qu’il apprenne sa véritable identité n’avait rien arrangé. parce que oui, ce n’était pas si grave qu’il avait tout oublié, d’accord, il s’agissait des moments que naoya chérissait tout particulièrement mais.. et alors ? la santé et le bien être de tsuki passait tout de même avant tout, et puis, dans un sens, tout cela resterait bloqué dans le passé. ça restait bien évidemment dans la mémoire de naoya --à part ces quelques moments un peu flou dû à son traumatisme crânien, mais le plus important, c’était l’avenir, les nouveaux souvenirs qu’ils pouvaient créer ensemble, si tsuki le souhaitait. le nippon se mit à sourire tendrement lorsque son conjoint vint déposer son front contre le sien, tsuki avait cette douceur inégalable, comment avait-il pu passer à côté de la vérité ? il n’y avait que tooru pour être aussi doux avec lui. il vint déposer son pouce contre la joue de tsuki, essuyant ses quelques larmes. « moi aussi j’aime passer du temps avec toi… » lui avoua t-il, dans un souffle, alors qu’il afficha un sourire des plus tendres sur ses lèvres. il était sincère, il aimait passer du temps avec lui, sa présence lui faisait du bien, et il savait désormais pourquoi. alors sans plus attendre, naoya vint capturer les lèvres de son compagnon, avec douceur, mais surtout envie. ce dernier glissa ses doigts dans les cheveux du nippon, geste qui le fit sourire tout contre ses lèvres. la situation devrait être bizarre, après tout, il s’agissait de son meilleur ami d’enfance, mais tooru avait toujours eu ce quelque chose en plus. à croire qu’à l’époque, son instinct était aussi tenace qu’à l’heure actuelle, et que naoya avait senti qu’il se pourrait y avoir plus entre eux, avec le temps. ils n’étaient que des gosses, ils n’auraient jamais pu s’en douter. tsuki mit fin au contact, naoya, lui, rouvrit doucement les yeux, son sourire toujours dessiné sur ses lèvres, sourire qui n’était pas prêt de s’effacer, suite aux paroles de tsuki. « tu me rends fou, toi aussi… » souffla t-il de nouveau, baissant les yeux pour l’observer quelques secondes, avant de replanter son regard dans le sien, un sourire franc --et attachant, sur les lèvres. sourire qui ne cessa de s’agrandir, devant plus attendrissant encore face à ses révélations. ça le touchait, au plus profond de son coeur. « c’est une bonne chose dans ce cas… je pourrais passer du temps avec toi sans que tu t’en lasses. » pendant un instant, son sourire devint plus amusé, il ne le quitta pas du regard. « tu sais.. ce n’est pas grave si tu as oublié certaines choses… » qu’il l’avait même totalement oublié, il se répétait, pour lui avouer, déposant une main sur son coeur. « j’ai l’impression que ton coeur, lui, m’a reconnu. » et n’était-ce pas le plus important, au final ? ça ne faisait que leur prouver qu’ils ne pouvaient vivre l’un sans l’autre, d’une quelconque manière. puisque malgré tout, le destin les avait de nouveau réuni, et ce n’était pas pour rien, naoya en était persuadé.
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Re: I want to fill the pages of this story that isn’t over yet (tooraya) | Mar 12 Fév - 0:18 Citer EditerSupprimer
J’avais du mal à réaliser ce qui se passait. Ce qui arrivait. Ce qui nous arrivait. Je peines à croire encore que Nao-Nao, le garçon pour qui j’en pinçais était le petit garçon de mon enfance. Je comprenais maintenant. Je savais pourquoi il me semblait… si familier. Ce n’était pas une lubie par hasard. Et silencieusement, je remerciais Bae de m’avoir dit de m’accrocher à mon ange. Elle avait eu raison, comme bien souvent, toujours en fait. Pourtant j’avais aussi été secoué par ces révélations. A cause de ma mémoire, a cause de cet abandonne que je lui avais fait subir malgré moi et bien entendu parce que je lui avais parlé de mes parents. Tout ce qui avait fait que Tooru avait cessé d’exister. Enfin même si en soi, j’étais toujours lui. J’étais toujours Tooru. Mais aujourd’hui c’était bien sous le nom de Tsuki que je vivais, et d’un coté j’ai rassuré que Naoya respecte mon choix et ce, même s’il m’avait connu enfant. En tout cas je comprenais aujourd’hui le pourquoi du comment et je savais que mon Nao-Nao soit l’enfant que j’avais tant aimé par le passé allait faire avancer encore plus notre relation. Et comme il l’avait dit lui-même, nous risquions de passer encore plus de temps tous les deux ensemble et ça suffisait innocemment à me combler de bonheur. Parce que j’aimais passer du temps avec Nao-nao. J'aimais sa présence. Je souris doucement à ses paroles avant de profiter de la sensations des lèvres du japonais sur les miennes. Un baiser plein d’envie, plein de passion, mais de tendresse à la fois. Tout ceci était étrange quand on se disait que j’étais l’amant de mon meilleur ami d’enfance… mais à la fois si naturel ? Oui, c’était le mot, naturel. Parce que tout s’était fait naturellement. C’était l’instinct qui parlait, plus la la tête. Je fini par m'éloigner de lui après ce baiser qui m’avait laissé essoufflé. Il me rendait dingue, dingue de lui, fou de sa présence. Comme je pouvais avoir besoin de lui. S’en rendait-il seulement compte de la place qu’il avait pris dans ma vie ? Et de celle qui continuerait de prendre ? Mais j’en voulais plus, tellement plus. Je voulais encore plus de Naoya dans ma vie, parce je ne serai jamais saoulé de sa présence si douce, de toutes ses attentions et surtout de ce sentiment d’être à la maison à ses côtés. Pour la première je me rendais compte que se sentir chez soi n’était pas une question de lieu… mais bien de personne. Je souris à ses paroles avant de hocher la tête tout de suite. Mais la suite me laissa sans voix. Quand il posa la main sur mon cœur, je sentis cette douce chaleur dans ma poitrine. Il avait raison. C’était comme si j’avais repris mes anciennes habitudes sans même m’en souvenir. Comme si inconsciemment j’avais cherché à me rapprocher à nouveau de lui, à recréer ce lien qu’on avait perdu. Le destin ? Je me plaisais à croire qu’il s’était mêlé de ça. Nao-Nao ? J’avais dit son surnom timidement avant de me lancer. Tu crois que ton instinct l’avait senti ? Parce que je me souvenais la première fois, il avait dit qu’il avait toujours des bonnes intuitions, et qu’il était bien en Corée du Sud pour une raison. Était-ce moi ? Je me mordillais la lèvre inférieure, je voulais croire que c’était le cas.
I want to fill the pages of this story that isn’t over yet.
#tooraya
J’avais du mal à réaliser ce qui se passait. Ce qui arrivait. Ce qui nous arrivait. Je peines à croire encore que Nao-Nao, le garçon pour qui j’en pinçais était le petit garçon de mon enfance. Je comprenais maintenant. Je savais pourquoi il me semblait… si familier. Ce n’était pas une lubie par hasard. Et silencieusement, je remerciais Bae de m’avoir dit de m’accrocher à mon ange. Elle avait eu raison, comme bien souvent, toujours en fait. Pourtant j’avais aussi été secoué par ces révélations. A cause de ma mémoire, a cause de cet abandonne que je lui avais fait subir malgré moi et bien entendu parce que je lui avais parlé de mes parents. Tout ce qui avait fait que Tooru avait cessé d’exister. Enfin même si en soi, j’étais toujours lui. J’étais toujours Tooru. Mais aujourd’hui c’était bien sous le nom de Tsuki que je vivais, et d’un coté j’ai rassuré que Naoya respecte mon choix et ce, même s’il m’avait connu enfant. En tout cas je comprenais aujourd’hui le pourquoi du comment et je savais que mon Nao-Nao soit l’enfant que j’avais tant aimé par le passé allait faire avancer encore plus notre relation. Et comme il l’avait dit lui-même, nous risquions de passer encore plus de temps tous les deux ensemble et ça suffisait innocemment à me combler de bonheur. Parce que j’aimais passer du temps avec Nao-nao. J'aimais sa présence. Je souris doucement à ses paroles avant de profiter de la sensations des lèvres du japonais sur les miennes. Un baiser plein d’envie, plein de passion, mais de tendresse à la fois. Tout ceci était étrange quand on se disait que j’étais l’amant de mon meilleur ami d’enfance… mais à la fois si naturel ? Oui, c’était le mot, naturel. Parce que tout s’était fait naturellement. C’était l’instinct qui parlait, plus la la tête. Je fini par m'éloigner de lui après ce baiser qui m’avait laissé essoufflé. Il me rendait dingue, dingue de lui, fou de sa présence. Comme je pouvais avoir besoin de lui. S’en rendait-il seulement compte de la place qu’il avait pris dans ma vie ? Et de celle qui continuerait de prendre ? Mais j’en voulais plus, tellement plus. Je voulais encore plus de Naoya dans ma vie, parce je ne serai jamais saoulé de sa présence si douce, de toutes ses attentions et surtout de ce sentiment d’être à la maison à ses côtés. Pour la première je me rendais compte que se sentir chez soi n’était pas une question de lieu… mais bien de personne. Je souris à ses paroles avant de hocher la tête tout de suite. Mais la suite me laissa sans voix. Quand il posa la main sur mon cœur, je sentis cette douce chaleur dans ma poitrine. Il avait raison. C’était comme si j’avais repris mes anciennes habitudes sans même m’en souvenir. Comme si inconsciemment j’avais cherché à me rapprocher à nouveau de lui, à recréer ce lien qu’on avait perdu. Le destin ? Je me plaisais à croire qu’il s’était mêlé de ça. Nao-Nao ? J’avais dit son surnom timidement avant de me lancer. Tu crois que ton instinct l’avait senti ? Parce que je me souvenais la première fois, il avait dit qu’il avait toujours des bonnes intuitions, et qu’il était bien en Corée du Sud pour une raison. Était-ce moi ? Je me mordillais la lèvre inférieure, je voulais croire que c’était le cas.
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