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1, 2bulldozer savior (yuuma)
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Re: bulldozer savior (yuuma) | Dim 17 Fév - 14:10
MARS 2017. un sourire s’affiche sur tes lèvres quand le plus jeune te parle de sa petite sœur. il a l’air de bien l’aimer et ça te fait chaud au cœur. pour toi, la famille est très importante et même si tu ne leur dis pas « je t’aime » tout le temps, tu le penses tous les jours. « tu as l’air d’être proche d’elle non ? si elle vient, je peux aussi lui servir de guide si tu veux. je serai ravie de le faire. » parce que si tu l’aides lui, pourquoi tu n’aiderais pas sa sœur ? tu continues de lui poser des questions sur sa vie à la fac et notamment sur la fraternité qu’il a rejoint. parce qu’il en a parlé en premier et du coup, tu es curieuse de savoir laquelle c’est. ce n’est pas celle des pyo parce que tu l’aurais très certainement vu, donc tu penches pour une autre. et il t’apprend qu’il est chez les sangos. ton sourire s’agrandit un peu plus alors que yuuma semble s’être totalement intégré là-bas. il continue en te parlant des pyo et sa vision de ta fraternité te fait un peu plus sourire. tu n’es pas offusquée par ce qu’il dit parce qu’il n’a pas tort. vous êtes connus pour faire souvent la fête. en même temps avec jaein qui bosse en temps que dj à l’epsilon et meili qui fait la serveuse là-bas, c’est pas étonnant que votre réputation soit comme ça. heureusement, que ce n’est pas une réputation de fils de riches superficiels comme vous avez eu pendant quelques temps quand tu étais dans les premières années de ton parcours scolaire. « oui c’est ça. les pyobeom c’est les panthères. et je peux même pas nier notre réputation. elle est vraie. » tu ris légèrement avant de lui donner ton numéro et de passer commande. tu finis même par être un peu plus curieuse et lui demander pourquoi il est venu en corée. tu apprends que yuuma avait déjà fini son école et tu lèves un sourcil. son école ? il faisait quoi ? « tu as fait une école de quoi yuuma ? et je dois t’avouer que les dramas c’est un peu le pêché mignon de tout le monde. ma mère en est fan mais jamais elle ne le dirait. » combien de fois tu l’avais vu devant un drama en train de pleurer toutes les larmes de son corps et une fois qu’elle avait vu que tu étais près d’elle, faire comme si de rien était. il te demande ce que tu veux faire dans la vie et tu lui souris un peu plus. « je fais des études de photographie. je voudrai être photographe et ouvrir ma propre galerie. » c’est un de tes rêves avec le fait de voyager un peu partout dans le monde pour faire de la photo. votre commande arrive et tu te décales de la table pour laisser le serveur le poser pendant que tu paies avec un sourire. « bon appétit. » que tu lances joyeusement dans ta langue maternelle.
bulldozer savior
yuuma & akiko
it's okay to dislike someone, or even dislike someone for no reason. but it's not okay to disrespect, degrade, and humiliate that person.
MARS 2017. un sourire s’affiche sur tes lèvres quand le plus jeune te parle de sa petite sœur. il a l’air de bien l’aimer et ça te fait chaud au cœur. pour toi, la famille est très importante et même si tu ne leur dis pas « je t’aime » tout le temps, tu le penses tous les jours. « tu as l’air d’être proche d’elle non ? si elle vient, je peux aussi lui servir de guide si tu veux. je serai ravie de le faire. » parce que si tu l’aides lui, pourquoi tu n’aiderais pas sa sœur ? tu continues de lui poser des questions sur sa vie à la fac et notamment sur la fraternité qu’il a rejoint. parce qu’il en a parlé en premier et du coup, tu es curieuse de savoir laquelle c’est. ce n’est pas celle des pyo parce que tu l’aurais très certainement vu, donc tu penches pour une autre. et il t’apprend qu’il est chez les sangos. ton sourire s’agrandit un peu plus alors que yuuma semble s’être totalement intégré là-bas. il continue en te parlant des pyo et sa vision de ta fraternité te fait un peu plus sourire. tu n’es pas offusquée par ce qu’il dit parce qu’il n’a pas tort. vous êtes connus pour faire souvent la fête. en même temps avec jaein qui bosse en temps que dj à l’epsilon et meili qui fait la serveuse là-bas, c’est pas étonnant que votre réputation soit comme ça. heureusement, que ce n’est pas une réputation de fils de riches superficiels comme vous avez eu pendant quelques temps quand tu étais dans les premières années de ton parcours scolaire. « oui c’est ça. les pyobeom c’est les panthères. et je peux même pas nier notre réputation. elle est vraie. » tu ris légèrement avant de lui donner ton numéro et de passer commande. tu finis même par être un peu plus curieuse et lui demander pourquoi il est venu en corée. tu apprends que yuuma avait déjà fini son école et tu lèves un sourcil. son école ? il faisait quoi ? « tu as fait une école de quoi yuuma ? et je dois t’avouer que les dramas c’est un peu le pêché mignon de tout le monde. ma mère en est fan mais jamais elle ne le dirait. » combien de fois tu l’avais vu devant un drama en train de pleurer toutes les larmes de son corps et une fois qu’elle avait vu que tu étais près d’elle, faire comme si de rien était. il te demande ce que tu veux faire dans la vie et tu lui souris un peu plus. « je fais des études de photographie. je voudrai être photographe et ouvrir ma propre galerie. » c’est un de tes rêves avec le fait de voyager un peu partout dans le monde pour faire de la photo. votre commande arrive et tu te décales de la table pour laisser le serveur le poser pendant que tu paies avec un sourire. « bon appétit. » que tu lances joyeusement dans ta langue maternelle.(c) DΛNDELION
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Re: bulldozer savior (yuuma) | Lun 25 Fév - 17:40
Yuuma aimait parler, certes, mais lorsque le sujet de sa famille arrivait sur le tapis, c’était encore pire. Il se sentait extrêmement chanceux de les avoir. Car il avait parfaitement conscience des sacrifices et des efforts qu’ils avaient du faire pour lui et sa carrière de l’époque. Mais ils l’avaient toujours soutenu, et même encore maintenant face à sa décision de partir faire un échange en Corée du Sud. Ils étaient tout ce qu’il avait de plus précieux, alors la réponse à la question d’Akiko vint d’un façon des plus naturelles. « Oui, très ! On a peu d’écart, nos parents disent souvent qu’on ressemblent à deux meilleurs amis. Même si elle est davantage… comment dire… elle aime bien me taquiner ! ». Il fit alors une petite moue avant d’hausser les épaules. « Mais ça serait avec plaisir ! Si on est trois, elle sera encore moins intimidée. Elle a une grade bouche mais au final elle est vite impressionnée. ». Elle faisait la femme forte, mais elle n’était qu’une naïve lycéenne. Yuuma ouvrit ensuite son cœur à son aînée quant à cette fraternité qu’il avait tout récemment rejoint. Il était heureux. Vraiment heureux. Un grand sourire, un peu amusé, se forma sur son visage quand Akiko confirma ses dires sur les pyobeom : c’était bien aussi, de s’amuser ! « Mh ? Ah, ça va sûrement te surprendre mais... ». Le blondinet gonfla alors son torse et se redressa droit comme un i. « J’ai fait une école d’officier. J’ai été diplômé il y a quelques mois. Je suis officiellement policier. ». Ce qui contrastait avec sa bouille d’ange et son corps qui semblait frêle. Mais l’uniforme jouait beaucoup sur les impressions. « Du coup, je voulais profiter une dernière fois du statut d’étudiant, avant de m’engager dans une brigade. ». Remerciant le serveur, Yuuma glissa la paille à ses lèvres et avala lentement son jus d’orange, tout en écoutant Akiko. Photographe, c’était un beau projet ! « Oooh ! Et tu préfères quel style ? Les personnes ou les paysages ? Moi, j’suis pas très doué, j’ai beaucoup de photos dans mon téléphone mais… je sais pas, je cadre souvent de travers ! ». Le nippon rit un peu, amusé de sa propre gaucherie.
bulldozer savior
yuuma & akiko
it's okay to dislike someone, or even dislike someone for no reason. but it's not okay to disrespect, degrade, and humiliate that person.
Yuuma aimait parler, certes, mais lorsque le sujet de sa famille arrivait sur le tapis, c’était encore pire. Il se sentait extrêmement chanceux de les avoir. Car il avait parfaitement conscience des sacrifices et des efforts qu’ils avaient du faire pour lui et sa carrière de l’époque. Mais ils l’avaient toujours soutenu, et même encore maintenant face à sa décision de partir faire un échange en Corée du Sud. Ils étaient tout ce qu’il avait de plus précieux, alors la réponse à la question d’Akiko vint d’un façon des plus naturelles. « Oui, très ! On a peu d’écart, nos parents disent souvent qu’on ressemblent à deux meilleurs amis. Même si elle est davantage… comment dire… elle aime bien me taquiner ! ». Il fit alors une petite moue avant d’hausser les épaules. « Mais ça serait avec plaisir ! Si on est trois, elle sera encore moins intimidée. Elle a une grade bouche mais au final elle est vite impressionnée. ». Elle faisait la femme forte, mais elle n’était qu’une naïve lycéenne. Yuuma ouvrit ensuite son cœur à son aînée quant à cette fraternité qu’il avait tout récemment rejoint. Il était heureux. Vraiment heureux. Un grand sourire, un peu amusé, se forma sur son visage quand Akiko confirma ses dires sur les pyobeom : c’était bien aussi, de s’amuser ! « Mh ? Ah, ça va sûrement te surprendre mais... ». Le blondinet gonfla alors son torse et se redressa droit comme un i. « J’ai fait une école d’officier. J’ai été diplômé il y a quelques mois. Je suis officiellement policier. ». Ce qui contrastait avec sa bouille d’ange et son corps qui semblait frêle. Mais l’uniforme jouait beaucoup sur les impressions. « Du coup, je voulais profiter une dernière fois du statut d’étudiant, avant de m’engager dans une brigade. ». Remerciant le serveur, Yuuma glissa la paille à ses lèvres et avala lentement son jus d’orange, tout en écoutant Akiko. Photographe, c’était un beau projet ! « Oooh ! Et tu préfères quel style ? Les personnes ou les paysages ? Moi, j’suis pas très doué, j’ai beaucoup de photos dans mon téléphone mais… je sais pas, je cadre souvent de travers ! ». Le nippon rit un peu, amusé de sa propre gaucherie.(c) DΛNDELION
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Re: bulldozer savior (yuuma) | Dim 3 Mar - 18:17
MARS 2017. à la façon dont yuuma a de parler de sa petite sœur, tu vois bien qu’il l’aime énormément. tu as l’impression de te voir toi. sauf que la différence réside dans le fait que le jeune homme semblait plus enclin à le dire à sa sœur que toi à tes frères. tu n’étais absolument pas le genre à faire des effusions d’affection, tu préférais celle de sang. « bah écoute, si elle vient, je m’engage à la prendre aussi sous mon aile. » comme tu le faisais avec lui. tu souris un peu plus tandis que vous continuez votre chemin vers le lieu où vous pourrez vous installer pour prendre à manger et à boire. vous apprenez petit à petit des choses l’un sur l’autre jusqu’à arriver à votre destination. et ton regard se fait aussi rond que des billes quand yuuma te donne ses études. tu n’aurais jamais pensé le voir dans ce genre-là. « t’es sûr que c’était ça ? » que tu demandes en premier lieu pour le taquiner avant de reprendre. « mais vraiment t’es un flic au japon ? et ça t’es venu comment cette envie ? » non parce que tu avais clairement du mal à y croire. comment pouvait-il être un policier et ne pas réussir à se sortir de cette embrouille avec ces mecs ? il semblait trop pur, trop fragile bien trop frêle pour ça. c’est pour cette raison que tu peinais à y croire. tu ne juges pas, ou peut-être un peu, mais tu n’arrives pas à comprendre son choix de métier. tu l’aurais plus vu dans quelque chose de plus artistique ou quelque chose de moins dangereux. tu parles ensuite de tes études et son enthousiasme te fait sourire. il a réellement l’air d’un gamin et ça contraste avec l’image que tu te fais d’un policier. « j’ai pas vraiment de style. je dirai que j’aime photographier ce que je trouve beau. » et c’était vrai. tu n’aimais pas plus photographier des humains, que des animaux ou des paysages. tu faisais en fonction de ce que tu aimais et ce que tu voyais. « disons que je veux pas me confiner à un seul style. je veux explorer de nouvelles choses… » tu marques une pause pour manger un bout avant de reprendre. « c’est pour ça que je voyage beaucoup. pour découvrir de nouvelles façons de photographier et de nouvelles cultures. tu aimes voyager ? » en l’occurrence probablement, sinon, il serait resté au japon et ne serait pas venu en corée, mais tu veux demander pour voir si vous partagez encore un point en commun. il pourra peut-être te parler des voyages qu’il a fait s’il en a fait et toi tu pourras le faire voyager avec ceux que tu as fait.
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it's okay to dislike someone, or even dislike someone for no reason. but it's not okay to disrespect, degrade, and humiliate that person.
MARS 2017. à la façon dont yuuma a de parler de sa petite sœur, tu vois bien qu’il l’aime énormément. tu as l’impression de te voir toi. sauf que la différence réside dans le fait que le jeune homme semblait plus enclin à le dire à sa sœur que toi à tes frères. tu n’étais absolument pas le genre à faire des effusions d’affection, tu préférais celle de sang. « bah écoute, si elle vient, je m’engage à la prendre aussi sous mon aile. » comme tu le faisais avec lui. tu souris un peu plus tandis que vous continuez votre chemin vers le lieu où vous pourrez vous installer pour prendre à manger et à boire. vous apprenez petit à petit des choses l’un sur l’autre jusqu’à arriver à votre destination. et ton regard se fait aussi rond que des billes quand yuuma te donne ses études. tu n’aurais jamais pensé le voir dans ce genre-là. « t’es sûr que c’était ça ? » que tu demandes en premier lieu pour le taquiner avant de reprendre. « mais vraiment t’es un flic au japon ? et ça t’es venu comment cette envie ? » non parce que tu avais clairement du mal à y croire. comment pouvait-il être un policier et ne pas réussir à se sortir de cette embrouille avec ces mecs ? il semblait trop pur, trop fragile bien trop frêle pour ça. c’est pour cette raison que tu peinais à y croire. tu ne juges pas, ou peut-être un peu, mais tu n’arrives pas à comprendre son choix de métier. tu l’aurais plus vu dans quelque chose de plus artistique ou quelque chose de moins dangereux. tu parles ensuite de tes études et son enthousiasme te fait sourire. il a réellement l’air d’un gamin et ça contraste avec l’image que tu te fais d’un policier. « j’ai pas vraiment de style. je dirai que j’aime photographier ce que je trouve beau. » et c’était vrai. tu n’aimais pas plus photographier des humains, que des animaux ou des paysages. tu faisais en fonction de ce que tu aimais et ce que tu voyais. « disons que je veux pas me confiner à un seul style. je veux explorer de nouvelles choses… » tu marques une pause pour manger un bout avant de reprendre. « c’est pour ça que je voyage beaucoup. pour découvrir de nouvelles façons de photographier et de nouvelles cultures. tu aimes voyager ? » en l’occurrence probablement, sinon, il serait resté au japon et ne serait pas venu en corée, mais tu veux demander pour voir si vous partagez encore un point en commun. il pourra peut-être te parler des voyages qu’il a fait s’il en a fait et toi tu pourras le faire voyager avec ceux que tu as fait. (c) DΛNDELION
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Re: bulldozer savior (yuuma) | Mer 20 Mar - 20:33
Yuuma était heureux de pouvoir s’ouvrir à cette jeune femme. Faute de la barrière de la langue, il n’avait eut que très peu d’échanges depuis son arrivée en Corée. Ce n’était pas vraiment l’utilisation de sa langue maternelle qui lui manquait, mais bien ce contact avec l’autre, et le charme des rencontres. Akiko venait à lui à point nommé, là où ce besoin de s’exprimer était presque à son comble. Alors, le moulin à paroles se remit en route, et le blondinet lui parla de tout et de rien, alternant entre sa petite sœur et sa raison d’être dans le pays. Remerciant son aînée de vouloir prendre sa cadette également sous son aile, Yuuma se perdit quelques instants à imaginer la scène. C’était attendrissant. S’en vint alors une discussion sur ses précédentes études, dans son pays, et bien évidemment, Akiko eut du mal à le croire. Ce que le garçon comprenait tout à fait. Sortant son téléphone, il chercha un court instant dans sa galerie avant de le lui tendre, une photo de lui dans son uniforme affiche à l’écran. Il était à peine reconnaissable : cheveux noirs, carrure masculine, visage sérieux. « J’ai envie de me rendre utile. Et j’aime aider les gens. Du coup, c’est venu assez naturellement comme idée ! ». Yuuma lui sourit, avec une certaine fierté, avant de ranger son téléphone pour se mettre à manger son donut, tout en écoutant l’histoire de sa camarade nippone. « C’est chouette ! Au moins, tu ne t’ennuies pas : si un jour tu n’as pas envie de prendre telle chose en photo, bah tu peux passer à une autre ! ». Selon lui, Akiko avait vraiment fait le bon choix. « Mh ? Oui, j’adore ça ! J’ai beaucoup voyagé. Je suis allé… En Chine, au Canada, en Russie eeeeeeet... en Norvège ! ». Des pays du Nord, des pays froids. « Ah, oui, en fait, avant j’étais patineur. Professionnel. Et du coup, avec les concours internationaux, j’ai beaucoup bougé. ». Une légère rougeur de modestie apparut soudainement sur les joues de Yuuma.
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Yuuma était heureux de pouvoir s’ouvrir à cette jeune femme. Faute de la barrière de la langue, il n’avait eut que très peu d’échanges depuis son arrivée en Corée. Ce n’était pas vraiment l’utilisation de sa langue maternelle qui lui manquait, mais bien ce contact avec l’autre, et le charme des rencontres. Akiko venait à lui à point nommé, là où ce besoin de s’exprimer était presque à son comble. Alors, le moulin à paroles se remit en route, et le blondinet lui parla de tout et de rien, alternant entre sa petite sœur et sa raison d’être dans le pays. Remerciant son aînée de vouloir prendre sa cadette également sous son aile, Yuuma se perdit quelques instants à imaginer la scène. C’était attendrissant. S’en vint alors une discussion sur ses précédentes études, dans son pays, et bien évidemment, Akiko eut du mal à le croire. Ce que le garçon comprenait tout à fait. Sortant son téléphone, il chercha un court instant dans sa galerie avant de le lui tendre, une photo de lui dans son uniforme affiche à l’écran. Il était à peine reconnaissable : cheveux noirs, carrure masculine, visage sérieux. « J’ai envie de me rendre utile. Et j’aime aider les gens. Du coup, c’est venu assez naturellement comme idée ! ». Yuuma lui sourit, avec une certaine fierté, avant de ranger son téléphone pour se mettre à manger son donut, tout en écoutant l’histoire de sa camarade nippone. « C’est chouette ! Au moins, tu ne t’ennuies pas : si un jour tu n’as pas envie de prendre telle chose en photo, bah tu peux passer à une autre ! ». Selon lui, Akiko avait vraiment fait le bon choix. « Mh ? Oui, j’adore ça ! J’ai beaucoup voyagé. Je suis allé… En Chine, au Canada, en Russie eeeeeeet... en Norvège ! ». Des pays du Nord, des pays froids. « Ah, oui, en fait, avant j’étais patineur. Professionnel. Et du coup, avec les concours internationaux, j’ai beaucoup bougé. ». Une légère rougeur de modestie apparut soudainement sur les joues de Yuuma.(c) DΛNDELION
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