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Vivons sans haïr ceux qui nous haïssent ~ Kwang Jin & Wu-Yeong
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Re: Vivons sans haïr ceux qui nous haïssent ~ Kwang Jin & Wu-Yeong | Sam 15 Juin - 1:02 Citer EditerSupprimer
Dans ce cas, était-ce mon destin de le rencontrer ? Sans aucun doute.
- Je vais bien ! dis-je dans un ton sûr et serein.
Plus pour me rassurer que pour convaincre, ceci dit. Je me rendis, ensuite, compte que l'on ne s'était même pas échangé nos identités. Je dois rectifier cette erreur. Tout de suite.
- Park Wu-Yeong. Enchanté ! dis-je en inclinant doucement ma tête avant de boire une nouvelle gorgée de l'eau qu'il venait de m'apporter. Puis-je connaître le nom de mon bienfaiteur, en retour ?
Vivons sans
haïr ceux qui nous haïssent
Park Kwang Jin & Park Wu-Yeong
Bonne vie embellit.
Nos destins nous mènent, et la première heure de notre naissance a réglé tout le temps qui nous reste à vivre. Une cause dépend d’une autre cause : un ordre de choses éternel détermine la vie privée et la vie publique. C’est pourquoi il faut tout supporter avec courage, c’est que rien ne survient par hasard, comme nous le croyons, tout vient à son heure. Avant, le temps a été décidé ce qui te réjouit ou te fait pleurer. Et bien que la vie de chaque homme se colore en apparence de grandes variétés qui les distinguent, le tout se résume au même point : passagers, nous avons reçu des biens passagers. Pourquoi donc s’indigner ainsi ? De quoi nous plaignons-nous ? Nous sommes nés pour cela. Que la nature use, comme elle veut, de corps qui sont à elle. Pour nous, toujours joyeux et courageux, pensons que rien ne périt de ce qui est vraiment à nous. Qu’est-ce qui appartient à l’homme de bien ? C’est de s’offrir au destin. Des caractères paresseux, enclins au sommeil ou à une veille semblable au sommeil, sont tissés d’éléments inactifs. Pour faire un homme qui mérite le respect, il faut un destin plus puissant. Il n’aura pas devant lui une route unie, il lui faut sans cesse monter et descendre, se faire ballotter par les flots, et gouverner sa barque dans une mer agitée, il lui faut aller à contre-courant de la fortune. Il arrivera bien des passes difficiles et rudes, il les adoucira et les aplanira de lui-même. Telle est la dure mais si belle loi du destin.Dans ce cas, était-ce mon destin de le rencontrer ? Sans aucun doute.
- Je vais bien ! dis-je dans un ton sûr et serein.
Plus pour me rassurer que pour convaincre, ceci dit. Je me rendis, ensuite, compte que l'on ne s'était même pas échangé nos identités. Je dois rectifier cette erreur. Tout de suite.
- Park Wu-Yeong. Enchanté ! dis-je en inclinant doucement ma tête avant de boire une nouvelle gorgée de l'eau qu'il venait de m'apporter. Puis-je connaître le nom de mon bienfaiteur, en retour ?
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Re: Vivons sans haïr ceux qui nous haïssent ~ Kwang Jin & Wu-Yeong | Ven 28 Juin - 11:53 Citer EditerSupprimer
Hochant de la tête en souriant légèrement, je n'ajoutai rien de plus à ses paroles. Je préférai plutôt connaître son nom. C'était vrai que depuis tout à l'heure, je ne connaissais pas son identité. Park Wuyeong... C'était un joli nom. J'esquissai un petit sourire rassurant à son intention, riant ensuite légèrement à sa question. « Bienfaiteur c'est exagéré... Je suis Park Kwangjin. On est deux Park, apparemment. » Je souris encore une fois. « Wuyeong est un beau nom... » laissai-je traîner ensuite. Puis, je le regardai, curieux d'en savoir un peu plus sur lui. « Quel âge as-tu ? » Parce que si je le tutoyais depuis tout à l'heure alors que c'était mon aîné, je serais bien embêté.
Vivons sans
haïr ceux qui nous haïssent
Park Kwang Jin & Park Wu-Yeong
Bonne vie embellit.
Il allait bien, hein... Bon, tant qu'il allait bien, j'imaginais que je n'avais pas d'autres choix que de le laisser ici. Je n'étais pas très serein, mais je devais respecter son choix. Je ne le connaissais pas, je n'avais pas le droit de lui imposer quoi que ce soit... Il devait faire ce qu'il voulait de sa vie. De toute façon, je n'étais pas du type à imposer mes choix sur les autres. C'était même plutôt le contraire. Tant que ça les rendait heureux et que ça ne faisait de mal à personne, ils étaient libres de faire ce qu'ils voulaient. C'était le principe même de la liberté : la liberté de chacun s'arrêtait là où commençait celle des autres. Mais, dans une situation où je pouvais imposer mes choix, comme par exemple le film à voir lors d'une sortie au cinéma, je ne le faisais toujours pas. C'était mon caractère, je privilégiais le bonheur des autres au mien. Ça faisait du mal à certains de mes proches, ça avait déjà fait du mal à certains moments de ma vie. Il était vrai que c'était à cause de ça que je me retrouvais parfois dans de mauvaises situations. Si les autres en étaient gênés, moi, pas tellement. Je comprenais que ça me faisait du mal et qu'ils étaient inquiets pour moi, mais puisque j'avais fait le bonheur de quelqu'un, j'étais heureux. Il y avait peu de personnes comme moi sur Terre, j'en étais conscient. Je trouvais cela à la fois dommage et à la fois bien. Dommage parce que si tout le monde était comme moi, le monde serait sûrement bien plus beau. Mais bien parce que je finissais par me faire du mal pour le bonheur des autres. Il fallait prendre soin de soi-même... Chose que je n'arrivais pas à faire. Si je commençais à prendre soin de moi, je ne prenais plus soin des autres. Du moins, pas autant. Et je n'aimais pas cette idée. Alors si je faisais la leçon à cet inconnu, lui disant de se préserver mieux que ça... Ce serait bien hypocrite de ma part, puisque ces paroles, je devrais les dire à moi-même.Hochant de la tête en souriant légèrement, je n'ajoutai rien de plus à ses paroles. Je préférai plutôt connaître son nom. C'était vrai que depuis tout à l'heure, je ne connaissais pas son identité. Park Wuyeong... C'était un joli nom. J'esquissai un petit sourire rassurant à son intention, riant ensuite légèrement à sa question. « Bienfaiteur c'est exagéré... Je suis Park Kwangjin. On est deux Park, apparemment. » Je souris encore une fois. « Wuyeong est un beau nom... » laissai-je traîner ensuite. Puis, je le regardai, curieux d'en savoir un peu plus sur lui. « Quel âge as-tu ? » Parce que si je le tutoyais depuis tout à l'heure alors que c'était mon aîné, je serais bien embêté.
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Re: Vivons sans haïr ceux qui nous haïssent ~ Kwang Jin & Wu-Yeong | Lun 1 Juil - 23:14 Citer EditerSupprimer
Lorsque nous manifestons notre gratitude envers une personne, nous reconnaissons l’incidence positive que cette dernière a eue sur notre vie, ainsi que le temps qu’elle nous a consacré et les attentions qu’elle nous a prodiguées pour nous appuyer. Être reconnaissant nous rappelle que cette relation est importante, qu’il faut l’apprécier et ne pas la négliger.
Lorsqu’une personne fait quelque chose pour nous faciliter la vie, cela doit vouloir dire que nous en valons la peine, cela renforce l’estime de soi.
L’expression de notre gratitude envers une personne est comme un compliment et cette personne se sent valorisée. Ainsi, la gratitude est bénéfique pour tout le monde, et elle a un effet d’entraînement. Comme c'est le cas, actuellement, entre lui et moi.
Certaines personnes ont plus de facilité que d’autres à exprimer leur reconnaissance; il y a des optimistes-nés, et d’autres qui prévoient toujours le pire. La propension au bonheur est déterminée à environ 50 % par notre carte génétique. Les gens heureux et optimistes ont plus de facilité à apprécier ce qu’ils ont et ils s’attardent moins sur ce qu’ils n’ont pas. Je me dois d'en faire partie.
- Oui, deux Park... dis-je, en souriant doucement. Pour ce qui est d'être mon bienfaiteur, je suis très sérieux. Je n'aurais pas pu m'en sortir tout seul !
J'incline, une nouvelle fois, ma tête afin de le remercier, une fois de plus. Je lui serais reconnaissant à vie.
- 23 ans ! lui répondis-je avant de lui retourner la question.
Notre conversation était assez banale, simple et contenant peu de mots. Mais elle était efficace. Les présentations sont faites et nous apprenons les grandes lignes importantes de nos idendités, dans le calme et la sérénité. Rien de mieux pour oublier l'incident survenu plus tôt.
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haïr ceux qui nous haïssent
Park Kwang Jin & Park Wu-Yeong
Bonne vie embellit.
La gratitude, soit la capacité d’apprécier ce qu’il y a de bien dans notre vie et d’exprimer notre reconnaissance. Cette capacité de manifester sa gratitude a un effet positif sur le bien-être émotionnel, physique et social. C'est bien connu que les personnes qui expriment leur gratitude ressentent plus d’émotions positives, comme éprouver du bonheur, se sentir plein de vie et joyeux, et moins d’émotions négatives, comme de la jalousie, de la colère ou de la frustration. Elles ont aussi moins de petites douleurs de tous les jours, elles dorment mieux et ont plus d’énergie. Et en plus, elles se sentent moins seules et isolées, elles sont plus serviables et généreuses, et elles ont plus d’affinités avec les autres. Chose qui est en train d'arriver.Lorsque nous manifestons notre gratitude envers une personne, nous reconnaissons l’incidence positive que cette dernière a eue sur notre vie, ainsi que le temps qu’elle nous a consacré et les attentions qu’elle nous a prodiguées pour nous appuyer. Être reconnaissant nous rappelle que cette relation est importante, qu’il faut l’apprécier et ne pas la négliger.
Lorsqu’une personne fait quelque chose pour nous faciliter la vie, cela doit vouloir dire que nous en valons la peine, cela renforce l’estime de soi.
L’expression de notre gratitude envers une personne est comme un compliment et cette personne se sent valorisée. Ainsi, la gratitude est bénéfique pour tout le monde, et elle a un effet d’entraînement. Comme c'est le cas, actuellement, entre lui et moi.
Certaines personnes ont plus de facilité que d’autres à exprimer leur reconnaissance; il y a des optimistes-nés, et d’autres qui prévoient toujours le pire. La propension au bonheur est déterminée à environ 50 % par notre carte génétique. Les gens heureux et optimistes ont plus de facilité à apprécier ce qu’ils ont et ils s’attardent moins sur ce qu’ils n’ont pas. Je me dois d'en faire partie.
- Oui, deux Park... dis-je, en souriant doucement. Pour ce qui est d'être mon bienfaiteur, je suis très sérieux. Je n'aurais pas pu m'en sortir tout seul !
J'incline, une nouvelle fois, ma tête afin de le remercier, une fois de plus. Je lui serais reconnaissant à vie.
- 23 ans ! lui répondis-je avant de lui retourner la question.
Notre conversation était assez banale, simple et contenant peu de mots. Mais elle était efficace. Les présentations sont faites et nous apprenons les grandes lignes importantes de nos idendités, dans le calme et la sérénité. Rien de mieux pour oublier l'incident survenu plus tôt.
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