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the cold never bothered me anyway (miyu)
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the cold never bothered me anyway (miyu) | Ven 11 Jan - 14:57
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Il fallait se rendre à l'évidence : depuis les trois dernières heures qu'elle avait passé à tourner dans son lit, dormir ce soir n'allait pas être aussi simple qu'elle avait eu la prétention de le croire. "Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier." Avait-elle assuré à ses amis au dîner avant de débarrasser son assiette plus tôt que les autres et filer dans sa chambre. Elle était restée là, enfouie sous les couvertures et surveillant consciencieusement le rythme de sa respiration saccadée. Le chauffage était beaucoup trop fort et le moindre bruit de vaisselle à l’étage inférieur, le moindre ricanement dans le couloir derrière la porte du dortoir appelait le sentiment étrange d’un vertige désagréable qu’elle n’arrivait pas à faire disparaître. Et c’est seulement deux heures du matin passés, assise dans son lit avec les paumes de mains plaquées contre ses oreilles qu’elle avait cessé de lutter contre l’insomnie, autoproclamée vainqueur par ko.
Elle avait cherché partout, dans tous les placards et même deux fois. Parce qu'elle n'avait rien mangé le soir, son estomac se tordait dans tous les sens mais rien ne lui faisait envie. Elle aurait bien réveillé son frère parce qu'il aurait su quoi faire et que dans ce genre de situation Miran se sentait tellement misérable qu'honnêtement, elle n'était bonne à rien. Mais il aurait pesté contre elle en se tirant de son lit et il lui aurait demandé où elle avait chopé ça. Et c'était juste impossible de lui dire qu'elle avait passé une partie de la nuit dehors, en plein hiver et dans une robe pas franchement appropriée aux températures de saison, à parler avec un garçon à la fin du bal de Noël. Tout bien réfléchi, c'était même plus raisonnable de se laisser crever à petit feu sur le plan de travail de la cuisine du dortoir.
Petite, quand elle était malade, elle se souvenait que son père la gardait éveillée devant les dessins animés dans le salon, juste le temps qu'il fallait pour préparer un bouillon de légumes dont lui seul avait le secret. Et même s'il y avait des carottes là-dedans, c'était la seule chose que Miran avait jamais réussi à manger quand elle était malade. C'était pourtant trop audacieux de sa part d'imaginer une seule seconde qu'elle était capable de reproduire la recette. Déjà parce qu'elle avait été incapable de la mémoriser. Ensuite parce qu'elle était absolument nulle en matière de cuisson des aliments (et encore c'était un euphémisme). Et enfin parce qu'elle se sentait si mal qu'en coupant menu quelques légumes sur le plan de travail (et rien que ça lui avait demandé un effort de concentration considérable) elle n'avait pas entendu l'eau bouillir si fort et si vite sur le feu qu'elle avait complètement débordée ; suivi de près d'un fracas de couvercles en métal s'écrasant au sol parce qu'un peu trop hâtivement, elle avait voulu retirer la casserole du feu mais sa manche s'était prise dans les éléments de cuisine rangés sur le côté.
Complètement perdue, Miran en aurait pleuré si ce n'était pas pour la douleur qui la rendait deux fois plus lente à procéder l'information.
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"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Il fallait se rendre à l'évidence : depuis les trois dernières heures qu'elle avait passé à tourner dans son lit, dormir ce soir n'allait pas être aussi simple qu'elle avait eu la prétention de le croire. "Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier." Avait-elle assuré à ses amis au dîner avant de débarrasser son assiette plus tôt que les autres et filer dans sa chambre. Elle était restée là, enfouie sous les couvertures et surveillant consciencieusement le rythme de sa respiration saccadée. Le chauffage était beaucoup trop fort et le moindre bruit de vaisselle à l’étage inférieur, le moindre ricanement dans le couloir derrière la porte du dortoir appelait le sentiment étrange d’un vertige désagréable qu’elle n’arrivait pas à faire disparaître. Et c’est seulement deux heures du matin passés, assise dans son lit avec les paumes de mains plaquées contre ses oreilles qu’elle avait cessé de lutter contre l’insomnie, autoproclamée vainqueur par ko.Elle avait cherché partout, dans tous les placards et même deux fois. Parce qu'elle n'avait rien mangé le soir, son estomac se tordait dans tous les sens mais rien ne lui faisait envie. Elle aurait bien réveillé son frère parce qu'il aurait su quoi faire et que dans ce genre de situation Miran se sentait tellement misérable qu'honnêtement, elle n'était bonne à rien. Mais il aurait pesté contre elle en se tirant de son lit et il lui aurait demandé où elle avait chopé ça. Et c'était juste impossible de lui dire qu'elle avait passé une partie de la nuit dehors, en plein hiver et dans une robe pas franchement appropriée aux températures de saison, à parler avec un garçon à la fin du bal de Noël. Tout bien réfléchi, c'était même plus raisonnable de se laisser crever à petit feu sur le plan de travail de la cuisine du dortoir.
Petite, quand elle était malade, elle se souvenait que son père la gardait éveillée devant les dessins animés dans le salon, juste le temps qu'il fallait pour préparer un bouillon de légumes dont lui seul avait le secret. Et même s'il y avait des carottes là-dedans, c'était la seule chose que Miran avait jamais réussi à manger quand elle était malade. C'était pourtant trop audacieux de sa part d'imaginer une seule seconde qu'elle était capable de reproduire la recette. Déjà parce qu'elle avait été incapable de la mémoriser. Ensuite parce qu'elle était absolument nulle en matière de cuisson des aliments (et encore c'était un euphémisme). Et enfin parce qu'elle se sentait si mal qu'en coupant menu quelques légumes sur le plan de travail (et rien que ça lui avait demandé un effort de concentration considérable) elle n'avait pas entendu l'eau bouillir si fort et si vite sur le feu qu'elle avait complètement débordée ; suivi de près d'un fracas de couvercles en métal s'écrasant au sol parce qu'un peu trop hâtivement, elle avait voulu retirer la casserole du feu mais sa manche s'était prise dans les éléments de cuisine rangés sur le côté.
Complètement perdue, Miran en aurait pleuré si ce n'était pas pour la douleur qui la rendait deux fois plus lente à procéder l'information.
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Sam 12 Jan - 19:41
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Mi Young avait trouvé étrange que Mi Ran parte se coucher si tôt mais n’y avait vu que du feu. Son excuse était totalement plausible. Et puis, la jeune femme connaissait les horaires de son amie, elle travaillait beaucoup, en plus de ses études qui lui prenaient du temps et de l’énergie. Alors elle ne remarqua pas du tout que son amie, même si fatiguée, couvait bien plus que ça. Elle termina son repas avec les autres sangos et tarda à retrouver sa chambre en restant avec son petit-ami. Elle finit par rejoindre la chambre qu’elle partageait avec Mi Ran et Xi Yeon – mais cette dernière n’était pas souvent là – à pas de loup, le plus discrètement et le plus silencieusement possible pour ne pas réveiller la sango qui semblait endormie. La vice-présidente trouva rapidement le sommeil.
Le sommeil plutôt léger, elle entendit Mi Ran se lever et sortir de la chambre. Ne s’en préoccupant pas plus, elle se retourna dans son lit mais ne retrouva pas de suite le sommeil. Les minutes défilaient et Mi Ran ne revenait toujours pas. S’inquiétant de son état, Mi Young s’extirpa de son lit et sortit dans le couloir, suivant les bruits provenant de la cuisine. Intriguée, la coréenne posa son regard sur son amie, debout devant la casserole, avec à ses pieds le couvercle, des aliments posés sur le plan de travail. « Mi Ran ? » Appela doucement la jeune femme, s’approchant d’elle pour mieux la voir. Elle inspecta son visage. Tirée par la fatigue mais pas que. « Ça va ? » Demanda-t-elle, les sourcils froncés par l’inquiétude. Elle n’était pas très loquace ni même réactive. Mi Young éteignit le feu et ramassa le couvercle qu’elle remit sur la casserole. « Va t’asseoir sur le canapé. Je te prépare un truc à manger, ok ? » Dit-elle en lui adressant un sourire avant de s’attaquer à la préparation d’un bouillon que sa mère lui faisait toujours quand elle était malade.
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"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Mi Young avait trouvé étrange que Mi Ran parte se coucher si tôt mais n’y avait vu que du feu. Son excuse était totalement plausible. Et puis, la jeune femme connaissait les horaires de son amie, elle travaillait beaucoup, en plus de ses études qui lui prenaient du temps et de l’énergie. Alors elle ne remarqua pas du tout que son amie, même si fatiguée, couvait bien plus que ça. Elle termina son repas avec les autres sangos et tarda à retrouver sa chambre en restant avec son petit-ami. Elle finit par rejoindre la chambre qu’elle partageait avec Mi Ran et Xi Yeon – mais cette dernière n’était pas souvent là – à pas de loup, le plus discrètement et le plus silencieusement possible pour ne pas réveiller la sango qui semblait endormie. La vice-présidente trouva rapidement le sommeil.Le sommeil plutôt léger, elle entendit Mi Ran se lever et sortir de la chambre. Ne s’en préoccupant pas plus, elle se retourna dans son lit mais ne retrouva pas de suite le sommeil. Les minutes défilaient et Mi Ran ne revenait toujours pas. S’inquiétant de son état, Mi Young s’extirpa de son lit et sortit dans le couloir, suivant les bruits provenant de la cuisine. Intriguée, la coréenne posa son regard sur son amie, debout devant la casserole, avec à ses pieds le couvercle, des aliments posés sur le plan de travail. « Mi Ran ? » Appela doucement la jeune femme, s’approchant d’elle pour mieux la voir. Elle inspecta son visage. Tirée par la fatigue mais pas que. « Ça va ? » Demanda-t-elle, les sourcils froncés par l’inquiétude. Elle n’était pas très loquace ni même réactive. Mi Young éteignit le feu et ramassa le couvercle qu’elle remit sur la casserole. « Va t’asseoir sur le canapé. Je te prépare un truc à manger, ok ? » Dit-elle en lui adressant un sourire avant de s’attaquer à la préparation d’un bouillon que sa mère lui faisait toujours quand elle était malade.
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Dim 13 Jan - 17:57
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier." Elle n'avait pas entendu Mi Young s'approcher à pas feutrés et c'est seulement lorsqu'elle appela son nom, tirant un peu d'elle-même de son état second, qu'elle réalisa le vacarme qu'elle avait du faire, et la catastrophe naturel, aussi, qu'elle semblait avoir provoqué en cuisiner. "Désolé." Elle chuchote, on l'entend à peine et elle réalise à quel point sa gorge lui fait mal. "Je vais ramasser." Ce n'était pas Miran de laisser les choses sales et mal rangées. Elle avait cette obsession, cette déformation crispante pour les choses propres et bien alignées, à l'image de son placard qu'elle avait organisé par types de vêtements et par couleurs. Mais le couvercle de la casserole en main, elle se trouva bien bête de ne pas être fichue de réfléchir assez rapidement, assez efficacement pour savoir où elle devait le mettre. Elle cherchait la réponse à plusieurs endroits à la fois, parce qu'elle n'arrivait pas à se concentrer sur un seul point et lorsqu'elle croisa le regard de Mi Young, son visage fut si rapide à dessiner un non, ses cheveux suivant le mouvement, s'accrochant à sa peau humide de transpiration, qu'elle sentit le poids de son état (est-ce la Lumière au bout ?) s'écrouler sur ses épaules.
Et la requête de Mi Young tombe aux oubliettes parce que Miran est têtue. "Je voulais pas te déranger." On dirait un petit chaton quand elle parle, dans un couinement à peine audible. "J'avais envie d'un bouillon..." Et quand elle dit ça, son estomac se met à gargouiller furieusement, les mains plaquées contre son ventre, gênée. Mais Mi Young avait déjà pris les devants de la recette et Miran ne pouvait que la regarder avec de grands yeux curieux, secrètement soulagée que quelqu'un prenne le relais pour elle. Et elle connaissait Mi Young pour être une vraiment bonne cuisinière. "C'est moi qui t'ai réveillée ?" Elle demande, un peu coupable.
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"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Elle n'avait pas entendu Mi Young s'approcher à pas feutrés et c'est seulement lorsqu'elle appela son nom, tirant un peu d'elle-même de son état second, qu'elle réalisa le vacarme qu'elle avait du faire, et la catastrophe naturel, aussi, qu'elle semblait avoir provoqué en cuisiner. "Désolé." Elle chuchote, on l'entend à peine et elle réalise à quel point sa gorge lui fait mal. "Je vais ramasser." Ce n'était pas Miran de laisser les choses sales et mal rangées. Elle avait cette obsession, cette déformation crispante pour les choses propres et bien alignées, à l'image de son placard qu'elle avait organisé par types de vêtements et par couleurs. Mais le couvercle de la casserole en main, elle se trouva bien bête de ne pas être fichue de réfléchir assez rapidement, assez efficacement pour savoir où elle devait le mettre. Elle cherchait la réponse à plusieurs endroits à la fois, parce qu'elle n'arrivait pas à se concentrer sur un seul point et lorsqu'elle croisa le regard de Mi Young, son visage fut si rapide à dessiner un non, ses cheveux suivant le mouvement, s'accrochant à sa peau humide de transpiration, qu'elle sentit le poids de son état (est-ce la Lumière au bout ?) s'écrouler sur ses épaules.Et la requête de Mi Young tombe aux oubliettes parce que Miran est têtue. "Je voulais pas te déranger." On dirait un petit chaton quand elle parle, dans un couinement à peine audible. "J'avais envie d'un bouillon..." Et quand elle dit ça, son estomac se met à gargouiller furieusement, les mains plaquées contre son ventre, gênée. Mais Mi Young avait déjà pris les devants de la recette et Miran ne pouvait que la regarder avec de grands yeux curieux, secrètement soulagée que quelqu'un prenne le relais pour elle. Et elle connaissait Mi Young pour être une vraiment bonne cuisinière. "C'est moi qui t'ai réveillée ?" Elle demande, un peu coupable.
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Dim 13 Jan - 18:16
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."Mi Young regarda longuement son amie. Elle ne semblait vraiment pas dans son état, et ça, ce n’était pas uniquement de la fatigue. Elle couvait autre chose dans ce petit corps. Elle semblait si perdue, complètement ailleurs. Sourcils froncés par l’inquiétude, la vice-présidente dût pencher la tête vers elle pour l’entendre lui répondre. Elle secoua la tête. Elle n’avait vraiment pas à s’excuser. « Ce n’est pas grave. » Souffla-t-elle en venant poser sa main sur celle de Mi Ran, qui tenait le couvercle. Elle la mena jusqu’à la casserole, feu éteint. Elle n’avait pas besoin de lui répondre pour qu’elle connaisse la réponse. Elle n’allait clairement pas bien. Mi Young lui demanda alors d’aller confortablement s’installer sur le canapé. Elle n’allait pas rester planté là, à la regarder faire, non ? Eh ben, apparemment, si. Alors qu’elle s’était approchée des légumes laissés sur la table, Mi Ran restait là, comme un poteau. « Ce jour n'est franchement pas près d'arriver. » Répondit-elle en lui adressant un sourire. « Un bouillon… Je te fais ça. » Dit-elle en commençant à s’affairer pour lui préparer un bouillon digne de ce nom. Elle s’arrêta pour la regarder, posant le couteau sur le côté, pour venir prendre le visage de son amie entre ses mains. « Qu’importe. Va t’asseoir sur le canapé, enroule-toi dans un plaid. Je me dépêche. » Dit-elle, lâchant le visage humide de la sango. « Et c’est un ordre de ta vice-présidente. Ne m’oblige pas à te botter les fesses… » Et elle attrapa les épaules de l’étudiante pour la tourner en direction du salon, la poussant un peu, avant de reprendre la recette.
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Mi Young regarda longuement son amie. Elle ne semblait vraiment pas dans son état, et ça, ce n’était pas uniquement de la fatigue. Elle couvait autre chose dans ce petit corps. Elle semblait si perdue, complètement ailleurs. Sourcils froncés par l’inquiétude, la vice-présidente dût pencher la tête vers elle pour l’entendre lui répondre. Elle secoua la tête. Elle n’avait vraiment pas à s’excuser. (c) DΛNDELION
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Lun 14 Jan - 12:48
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier." Elle avait cette douceur Mi Young, cette aura de grande sœur ou de petite maman qui, même si elles avaient le même âge, inspirait un certain respect à ne pas lui désobéir. "Mais–" Était-ce au contact de Noah qu'elle avait gagné en assurance ou bien à trop fréquenter Minsoo que le charisme de la légendaire présidence démoniaque avait pénétré son âme, Miran se le demandait. Et dire que c'est elle, qui lui avait appris à botter des fesses justement, elle n'avait jamais pensé qu'un jour, ses enseignements se retourneraient (légitimement) contre elle. Elle fait la moue. "Si je m'enroule dans un plaid, je vais mourir de chaud !" Elle trouve la force de protester mais pas de se battre, un peu déçue de ne pas être capable de s'occuper d'elle-même, un peu honteuse aussi, de laisser Mi Young se déranger pour elle. "D'accord." Elle bougonne, les épaules enroulées et la gorge brûlante. Et puis elle repense aux carottes sur le plan de travail, à la recette de son père et à son estomac qui gronde. Elle fait demi-tour, un peu gênée d'avoir à poser ses conditions. "Est-ce que tu peux... enfin, tu peux retirer les carottes ? S'il te plait...?" Et elle s'était évaporée, tirant sur les manches de son pyjama, complètement perdue, assise en tailleur sur le canapé et essayant de leurrer la douleur en silence.
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Elle avait cette douceur Mi Young, cette aura de grande sœur ou de petite maman qui, même si elles avaient le même âge, inspirait un certain respect à ne pas lui désobéir. "Mais–" Était-ce au contact de Noah qu'elle avait gagné en assurance ou bien à trop fréquenter Minsoo que le charisme de la légendaire présidence démoniaque avait pénétré son âme, Miran se le demandait. Et dire que c'est elle, qui lui avait appris à botter des fesses justement, elle n'avait jamais pensé qu'un jour, ses enseignements se retourneraient (légitimement) contre elle. Elle fait la moue. "Si je m'enroule dans un plaid, je vais mourir de chaud !" Elle trouve la force de protester mais pas de se battre, un peu déçue de ne pas être capable de s'occuper d'elle-même, un peu honteuse aussi, de laisser Mi Young se déranger pour elle. "D'accord." Elle bougonne, les épaules enroulées et la gorge brûlante. Et puis elle repense aux carottes sur le plan de travail, à la recette de son père et à son estomac qui gronde. Elle fait demi-tour, un peu gênée d'avoir à poser ses conditions. "Est-ce que tu peux... enfin, tu peux retirer les carottes ? S'il te plait...?" Et elle s'était évaporée, tirant sur les manches de son pyjama, complètement perdue, assise en tailleur sur le canapé et essayant de leurrer la douleur en silence.(c) DΛNDELION
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Mar 15 Jan - 9:58
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."Mi Young était prête à lui faire les gros yeux et lui botter les fesses si elle ne l’écoutait pas. Vu son état, elle n’était, de toute façon, pas très apte à protester. Elle n’allait pas tenter et ça arrangeait Mi Young. Elle n’avait pas spécialement envie de mettre à exécution sa menace. « Ok pour le plaid, ne t’enroule pas dedans ! » Concéda-t-elle. Mais, elle allait s’installer sur le canapé et attendre qu’elle prépare son bouillon. Ça, ce n’était réellement pas négociable. Satisfaite de voir Mi Ran se diriger vers le salon, la vice-présidente put commencer à préparer le bouillon. S’activant tout en essayant d’être le plus discrète possible pour ne pas réveiller les autres sangos, l’étudiante leva les yeux vers son amie qui revint vers elle. Voulait-elle qu’elle lui botte les fesses ? Fronçant les sourcils, plutôt mécontente de la voir là, son visage s’adoucit face à sa requête. « Bien sûr ! » Elle n’avait pas à s’en faire. Pas de carottes dans le bouillon si c’était son souhait. Elle les rangea puis continua de préparer un bouillon bien chaud et revigorant. Une fois prêt, elle plongea une cuillère dedans – même si l’idée d’une paille lui avait effleurer l’esprit vu l’état de Mi Ran – et rejoignit la sango dans le salon. Déposant le bol chaud sur la table basse, la jeune femme s’installa à côté de son amie. « Qu’est-ce que tu as fait pour te retrouver dans cet état ? » Demanda-t-elle avec douceur, sans aucun reproche dans la voix. Elle récupéra un plaid pour l’installer sur ses jambes, frileuse qu’elle était.
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Mi Young était prête à lui faire les gros yeux et lui botter les fesses si elle ne l’écoutait pas. Vu son état, elle n’était, de toute façon, pas très apte à protester. Elle n’allait pas tenter et ça arrangeait Mi Young. Elle n’avait pas spécialement envie de mettre à exécution sa menace. (c) DΛNDELION
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Ven 18 Jan - 13:28
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier." Elle savait qu'elle allait finir par se faire reconduire aux frontières de la cuisine si elle continuait à défier l'autorité de Mi Young mais c'était plus fort qu'elle, pas quand elle risquait de mettre en péril son quasi seul repas de la journée à cause de quelques carottes. "Ok..." Et cette fois-ci promis, elle ne reviendrait plus dans ses pattes. Aucun intérêt de toute façon : elle se sentait complètement inutile et le canapé l'avait déjà enveloppée (ou à juste titre, kidnappée) comme une petite chose sans défense, à la fois fiévreuse parce qu'elle avait terriblement chaud et en même temps tremblotante parce qu'elle risquait de prendre froid.
"Merci." Jamais un bouillon de légumes ne lui avait donné aussi envie. Penchée à l'avant, elle le prit entre ses deux mains et le ramena tout contre elle, soufflant délicatement dessus après s'être faite avoir une première fois en se brûlant le bout des lèvres, couinant un "c'est chaaud..." déchirant qui, elle n'en doutait pas, ne manquerait pas de faire lever les yeux au ciel à Mi Young. "J'ai attrapé froid, je suppose." Elle savait que sa réponse ne satisferait pas à la curiosité de son amie et de savoir qu'elle attendait autre chose qu'une explication générique de sa part l'embarrassait un peu. Changeant de position en s'appliquant à ne pas renverser de bouillon partout, elle reposa le bol sur la table basse, se disant que peut-être Mi Young l'avait mis là pour une raison. "Uh. Hier soir, après le bal de Noël... je suis peut-être restée un peu trop longtemps dehors." Elle ne pouvait pas s'empêcher de hausser les épaules et détourner le regard quasi instantanément, consciente que ce n'était qu'une petite partie de l'histoire qui oubliait pourquoi et pour qui elle avait manqué la fin du bal de Noël. Elle ne savait même pas pourquoi elle prenait toutes ces précautions, c'était ridicule, ce n'était pas comme s'il s'était passé quoi que ce soit ce soir-là.
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Elle savait qu'elle allait finir par se faire reconduire aux frontières de la cuisine si elle continuait à défier l'autorité de Mi Young mais c'était plus fort qu'elle, pas quand elle risquait de mettre en péril son quasi seul repas de la journée à cause de quelques carottes. "Ok..." Et cette fois-ci promis, elle ne reviendrait plus dans ses pattes. Aucun intérêt de toute façon : elle se sentait complètement inutile et le canapé l'avait déjà enveloppée (ou à juste titre, kidnappée) comme une petite chose sans défense, à la fois fiévreuse parce qu'elle avait terriblement chaud et en même temps tremblotante parce qu'elle risquait de prendre froid."Merci." Jamais un bouillon de légumes ne lui avait donné aussi envie. Penchée à l'avant, elle le prit entre ses deux mains et le ramena tout contre elle, soufflant délicatement dessus après s'être faite avoir une première fois en se brûlant le bout des lèvres, couinant un "c'est chaaud..." déchirant qui, elle n'en doutait pas, ne manquerait pas de faire lever les yeux au ciel à Mi Young. "J'ai attrapé froid, je suppose." Elle savait que sa réponse ne satisferait pas à la curiosité de son amie et de savoir qu'elle attendait autre chose qu'une explication générique de sa part l'embarrassait un peu. Changeant de position en s'appliquant à ne pas renverser de bouillon partout, elle reposa le bol sur la table basse, se disant que peut-être Mi Young l'avait mis là pour une raison. "Uh. Hier soir, après le bal de Noël... je suis peut-être restée un peu trop longtemps dehors." Elle ne pouvait pas s'empêcher de hausser les épaules et détourner le regard quasi instantanément, consciente que ce n'était qu'une petite partie de l'histoire qui oubliait pourquoi et pour qui elle avait manqué la fin du bal de Noël. Elle ne savait même pas pourquoi elle prenait toutes ces précautions, c'était ridicule, ce n'était pas comme s'il s'était passé quoi que ce soit ce soir-là.
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Ven 18 Jan - 18:08
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."Mi Young s’affaira à préparer un bouillon digne de son nom pour son amie. Elle en avait bien besoin pour récupérer des forces et se remettre sur pied. Une fois prêt, la jeune femme l’apporta jusque dans le salon, le déposant sur la table basse. Il était fumant et bouillant, impossible de le manger tout de suite. « Il n’y a pas de quoi ! » Répondit-elle avec un sourire. Ça lui faisait plaisir de cuisiner pour la jeune femme. S’installant dans le canapé, elle installa un plaid sur ses jambes, étant frileuse. Elle leva les yeux à la constatation de la sango. Oui, c’était chaud. C’était le but, même. Elle questionna aussitôt Mi Ran. Qu’avait-elle donc fait pour chopper une telle crève ? « Mais encore ? » Ajouta-t-elle à la suite, encourageant son amie à continuer. Elle n’avait pas attrapé froid comme ça, du jour au lendemain. Fronçant les sourcils à la réponse de l’étudiante, Mi Young n’était toujours pas satisfaite. Elle ne lui donnait pas vraiment de réponses. Enfin, si, mais elles restaient très évasives, sans réels détails. « Qu’est-ce qui t’as pris de rester aussi longtemps dehors ? Par ce froid en plus ! » S’exclama-t-elle, mécontente. « J’espère au moins que tu as une bonne raison. » Ajouta-t-elle, ramenant ses genoux contre elle pour les entourer et regarder son amie.
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Mi Young s’affaira à préparer un bouillon digne de son nom pour son amie. Elle en avait bien besoin pour récupérer des forces et se remettre sur pied. Une fois prêt, la jeune femme l’apporta jusque dans le salon, le déposant sur la table basse. Il était fumant et bouillant, impossible de le manger tout de suite. (c) DΛNDELION
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Mar 29 Jan - 14:07
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."L'hiver plongeait les températures en négatif et Mi Young avait exactement eu la réaction qu'aurait eu sa mère si elle avait été à sa place. "Je sais ! Je sais ! C'était complètement stupide mais je ressentais pas le froid comme ça !" Elle tenta de se justifier en tirant sur sa voix, les yeux ronds comme des globules. Elle qui pourtant ne manquait jamais une occasion de s'enrouler dans sa doudoune et qui n'aimait pas tellement le froid. Jiho lui avait pourtant passé sa veste. Curieusement, elle se demandait si elle ne devait pas lui envoyer un message pour s'assurer que lui non plus ne soit pas tombé malade. "Tu te souviens du garçon dont je t'avais parlé ? Le fils des propriétaires du restaurant ?" Celui qui rentrait à peine des Etats-Unis lorsque Miran a bien failli lui sauter dessus avec un plat de nouilles brûlant entre les mains. Celui avec qui elle partageait quelques services depuis la rentrée. Et puis, celui qui l'avait accompagné au bal de Noël (à la surprise générale) avant que chacun n'aille trouver son numéro âme sœur de la soirée. Si Mi Young ne se rappelait pas des évocations de Miran à son sujet, elle se souviendrait au moins du garçon de la veille. Smooth entrance. Elle hausse les épaules. "Peu importe. On a un peu parlé hier soir. J'ai pas vu l'heure passer, je crois ? C'était agréable." Elle confie, ramenant le bol de soupe contre elle pour souffler délicatement dessus et y tremper ses lèvres. "Plus agréable que les conséquences en tout cas, ça tu peux me croire... est-ce que je ressemble à une lycéenne de quinze ans qui a un nouveau crush ?" Elle réalise subitement en fronçant les sourcils. "Ce qu'il n'est pas. Evidemment." Elle s'empresse d'objecter en levant son index d'un air grave. "Super, la fièvre me fait dire n'importe quoi. Comment je vais aller travailler moi demain..." Déjà que cette discussion ressemble étrangement à un rêve insaisissable, avec cette sensation désagréable de passer à côté de quelque chose (ou de passer à côté de tout, pour être exact). Elle se renfonce dans le canapé en soupirant, venant tirer un peu du plaid de Miyu pour couvrir ses jambes croisées.
I SWEAR TO SICK I'M NOT GOD
MIRAN & MIYOUNG
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
L'hiver plongeait les températures en négatif et Mi Young avait exactement eu la réaction qu'aurait eu sa mère si elle avait été à sa place. "Je sais ! Je sais ! C'était complètement stupide mais je ressentais pas le froid comme ça !" Elle tenta de se justifier en tirant sur sa voix, les yeux ronds comme des globules. Elle qui pourtant ne manquait jamais une occasion de s'enrouler dans sa doudoune et qui n'aimait pas tellement le froid. Jiho lui avait pourtant passé sa veste. Curieusement, elle se demandait si elle ne devait pas lui envoyer un message pour s'assurer que lui non plus ne soit pas tombé malade. "Tu te souviens du garçon dont je t'avais parlé ? Le fils des propriétaires du restaurant ?" Celui qui rentrait à peine des Etats-Unis lorsque Miran a bien failli lui sauter dessus avec un plat de nouilles brûlant entre les mains. Celui avec qui elle partageait quelques services depuis la rentrée. Et puis, celui qui l'avait accompagné au bal de Noël (à la surprise générale) avant que chacun n'aille trouver son numéro âme sœur de la soirée. Si Mi Young ne se rappelait pas des évocations de Miran à son sujet, elle se souviendrait au moins du garçon de la veille. Smooth entrance. Elle hausse les épaules. "Peu importe. On a un peu parlé hier soir. J'ai pas vu l'heure passer, je crois ? C'était agréable." Elle confie, ramenant le bol de soupe contre elle pour souffler délicatement dessus et y tremper ses lèvres. "Plus agréable que les conséquences en tout cas, ça tu peux me croire... est-ce que je ressemble à une lycéenne de quinze ans qui a un nouveau crush ?" Elle réalise subitement en fronçant les sourcils. "Ce qu'il n'est pas. Evidemment." Elle s'empresse d'objecter en levant son index d'un air grave. "Super, la fièvre me fait dire n'importe quoi. Comment je vais aller travailler moi demain..." Déjà que cette discussion ressemble étrangement à un rêve insaisissable, avec cette sensation désagréable de passer à côté de quelque chose (ou de passer à côté de tout, pour être exact). Elle se renfonce dans le canapé en soupirant, venant tirer un peu du plaid de Miyu pour couvrir ses jambes croisées.(c) DΛNDELION
Kong Yeong Hun
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Re: the cold never bothered me anyway (miyu) | Mer 30 Jan - 10:35
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."Complètement stupide. C’était les mots, en effet. Quelle drôle d’idée elle avait eu de passer sa soirée dehors, par ce temps ! Mais, son petit doigt lui disait que ce n’était pas pour rien, qu’il y avait quelqu’un derrière tout ça et Mi Young était impatiente de découvrir qui. Et Mi Ran ne tarda pas à lui révéler, d’ailleurs. « Je m’en souviens vaguement… » Avoua-t-elle en faisant la moue. Elle ne pensait pas que ce garçon lui trottait autant dans la tête. Elle haussa un sourcil en l’entendant. « C’était agréable ? » Répéta-t-elle, se retenant de sourire. Oh mais dis donc, n’aurait-elle pas un crush sur ce garçon ? Rester tard dans la soirée, par ce froid, pour discuter avec lui… Il n’y avait pas de doute possible. Mi Ran avait un crush pour ce garçon. Et la voir objecter complètement l’idée la fit sourire, à deux doigts de pouffer de rire. ça ne faisait que confirmer. « Evidemment. » Dit-elle en hochant la tête, les lèvres pincées pour ne pas sourire. Mi Young souffla doucement, tentant de se remobiliser. « Déjà, bois ce bouillon. Ça ira mieux. » Conseilla-t-elle avant d’avoir un regard attendri quand son amie vint lui piquer un peu de son plaid. Mais sinon, elle ne mourrait pas de chaud ? Enfin, elle comprenait aussi mieux pourquoi. Il n’y avait pas que la fièvre, dans l’histoire. Si elle pensait à ce fameux garçon… « Et il s’appelle comment, au fait ? » Demanda-t-elle, curieuse. « J’espère au moins qu’il t’a prêté sa veste. » Dit-elle, voulant en savoir plus, qu'elle lui parle de lui et voir ses yeux pétiller à son évocation.
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MIRAN & MIYOUNG
"Je vais bien. C'est juste de la fatigue ! J'aurais peut-être pas dû ouvrir mon bouquin de neuro tout à l'heure, du moins pas après la soirée d'hier."
Complètement stupide. C’était les mots, en effet. Quelle drôle d’idée elle avait eu de passer sa soirée dehors, par ce temps ! Mais, son petit doigt lui disait que ce n’était pas pour rien, qu’il y avait quelqu’un derrière tout ça et Mi Young était impatiente de découvrir qui. Et Mi Ran ne tarda pas à lui révéler, d’ailleurs. « Je m’en souviens vaguement… » Avoua-t-elle en faisant la moue. Elle ne pensait pas que ce garçon lui trottait autant dans la tête. Elle haussa un sourcil en l’entendant. « C’était agréable ? » Répéta-t-elle, se retenant de sourire. Oh mais dis donc, n’aurait-elle pas un crush sur ce garçon ? Rester tard dans la soirée, par ce froid, pour discuter avec lui… Il n’y avait pas de doute possible. Mi Ran avait un crush pour ce garçon. Et la voir objecter complètement l’idée la fit sourire, à deux doigts de pouffer de rire. ça ne faisait que confirmer. « Evidemment. » Dit-elle en hochant la tête, les lèvres pincées pour ne pas sourire. Mi Young souffla doucement, tentant de se remobiliser. « Déjà, bois ce bouillon. Ça ira mieux. » Conseilla-t-elle avant d’avoir un regard attendri quand son amie vint lui piquer un peu de son plaid. Mais sinon, elle ne mourrait pas de chaud ? Enfin, elle comprenait aussi mieux pourquoi. Il n’y avait pas que la fièvre, dans l’histoire. Si elle pensait à ce fameux garçon… « Et il s’appelle comment, au fait ? » Demanda-t-elle, curieuse. « J’espère au moins qu’il t’a prêté sa veste. » Dit-elle, voulant en savoir plus, qu'elle lui parle de lui et voir ses yeux pétiller à son évocation. (c) DΛNDELION
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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