☞ Selon de folles rumeurs, Sunny serait un être immortel. En effet, d’après certaines photos diffusées sur les réseaux sociaux, la demoiselle changerait d’identité selon les siècles, passant de Ching Shih à Jeanne D’Arc et ainsi de suite. Beaucoup la traquerait à travers les âges.
☞ Aperçue plusieurs fois au poste de police, la jeune femme serait une récidiviste d’harcèlement morale et serait même une voyeuse. En effet elle aurait été aperçue au-dessus d’une poubelle observant les vestiaires des hommes.
☞ C’est devant une grande enseigne de Fast-food que certains l’auraient aperçu faisant la manche, durant plusieurs jours. Elle aurait ainsi un passé de sans-abri.
☞ Elle se serait plusieurs fois déplacée avec des liasses d’argent à l’université, faisant ainsi supposer qu’elle serait la maîtresse d’un mafieux et contribuerait grandement au trafic.
☞ D'après des sources prétendues fiables, sa plus grande faiblesse serait une peluche en forme de Pingouin, répondant au nom de Mister Pingu. Il paraîtrait que le voir disparaître serait le drame de sa vie.
☞ Elle aurait volé une moto pour la revendre par la suite mais par manque de bénéfice elle se serait juste achetée un trottinette électrique avec l’argent obtenu.
☞Dans sa jeunesse elle aurait été hospitalisée pour trouble alimentaire. En effet la jeune femme aurait souffert d’hyperphagie et aurait, encore à l’heure actuelle, du mal à se contrôler sur la nourriture.
☞ Son meilleur ami aurait été appelé en plein milieu de la nuit car la jeune femme serait rentrée par effraction dans un musée, par simple plaisir.
☞ Au volant d’une voiture, elle aurait été vue lors de courses sauvages et ça ne serait pas la seule fois.
☞ Elle aurait élevé des coqs dans sa fraternité pour faire des combats de coqs.
☞ Ne pensant qu’à elle, elle aurait laissé son meilleur ami dans le pétrin lors d’une altercation et aurait fui les lieux du crime.
☞ Peu soignée, elle serait capable de rester plusieurs jours sans dormir ni même se laver pour réussir une mission.
☞ Selon certaines filles, par jalousie et par possessivité, elle lancerait de fausses rumeurs concernant son meilleur ami pour le détruire ou pour éloigner les autres.
☞ Elle serait l'Immaculée conception.

Joyeuse - Fainéante - Curieuse - Drôle - Méfiante - Indépendante - Contrôleuse - Spontanée - Persévérante - Attachante - Créative - Énergique - Honnête - Aventureuse - Indiscrète - Intrépide - Provocatrice - Désobéissante - Entêtée - Inattentive - . . .

Il parait que certains prénoms permettent de définir la personnalité d’une personne et autant dire que c’est typiquement le cas de Sunny.  Elle est un véritable boute-en-train, toujours joyeuse et enthousiasme, elle rayonne par ses sourires et son optimisme inépuisable. Elle est sensible aux trésors de chaque instant, capable de s’étonner comme un enfant qui vit la vie comme un cadeau. C’est une épicurienne, optimiste qui a de l’intuition. Dans l’immédiateté de son approche au monde, elle donne souvent l’impression que tout ce qui est beau et bon existe en quantités suffisantes et que rien n’est superflu. Elle déborde d’idéalisme, de projets et d’un enthousiasme communicatif. Indirectement, elle aide les autres à voir les beaux côtés de la vie et à en jouir. Ainsi, elle se laisse souvent emporter par l’excitation du moment présent et son énergie en épuise parfois plus d’un. Il faut dire que c’est une véritable pile électrique qui ne peut pas tenir en place une seule seconde. Elle doit toujours faire quelque chose, être dans l’action. Elle a tendance à aimer l’adrénaline, le danger, à se mettre en danger. Et c’est parfois un véritable problème (du moins, c’est principalement son meilleur ami qui en subit les conséquences). Au final, c’est un compagnon joyeux, son humour est contagieux et elle sait rire d’elle-même. Joyeuse, elle ne semble pas à première vue être un type cérébral. Légère, plein d’humour, douée d’imagination, rayonnante, joueuse et d’un charme désarmant, tel est Sunny jusqu’au jour où elle s’aperçoit que tout cela lui sert aussi à se protéger contre les agressions, les peurs et les souffrances.

Ainsi, selon un test de personnalité, Sunny serait de type « chercheur ». Beaucoup de chercheur ont fait, au cours de leur développement, des expériences traumatisantes par rapport auxquelles ils ne se sont pas sentis à la hauteur. Pour éviter que ne se reproduise une telle souffrance, ils ont développé une double stratégie. Premièrement, ils ont refoulé ou maquillé leurs expériences négatives et douloureuses. Le chercheur les décrie avec des images colorées, positives, même si objectivement le scénario était loin d’être aussi beau. Deuxièmement, ils se sont réfugiés dans la tête et ont commencé à programmer leur vie d’une manière qui leur assure autant de plaisirs et aussi peu de déplaisirs que possible.
Il existe des chercheurs qui sourient en permanence. Cela peut finir par exaspérer. Le chercheur est le type Mary Poppins : tout est merveilleux. La vie est un Disneyland plein de prodiges et de merveilleuses surprises. Le chercheur est « l’éternel enfant ». Peter Pan pourrait être son patron ! Ceux qui ont moins tendance à l’optimisme que lui, sont parfois tentés de lui crier : « Reviens les pieds sur terre ! Tout n’est pas drôle, spirituel et léger dans la vie ! ». Le chercheur adore les expressions telles que « Merveilleux !, Extra !, Super !, Génial !, Géant !, Sensass ! ».
Le chercheur est curieux et avide de nouveauté. Comme si ce qu’il connaissait ou possédait déjà ne suffisait jamais. Il a besoin de changement, de stimulations, de nouvelles expériences, d’explorer toujours de nouvelles possibilités, de maximiser sa joie de vivre. Son agenda est rempli de rendez-vous sensationnels. Les taches moins agréables, en revanche, sont volontiers remises à plus tard ou ignorées. Si elles sont inévitables, le chercheur les « adoucira » autant que possible en se permettant de menus plaisirs, tels qu’une belle cassette de musique pour compenser un rendez-vous agaçant ou un petit détour par un magasin vidéo pendant un trajet professionnel ennuyeux. Perpétuellement en « manque d’adrénaline », le chercheur a du champagne dans le sang. Or il ne s’aperçoit pas qu’en fait, il fuit souvent devant le douloureux abîme de son âme.
Le chercheur n’est pas un spécialiste mais un « généraliste ». Il a toujours beaucoup de cartes dans son jeu parce qu’il ne veut pas se limiter dans ses options, mais cherche inconsciemment à échapper aux taches qui sont les siennes ou évite de trop approfondir une question ou d’aller trop loin dans une relation avec autrui. Dans la profondeur guette la souffrance. D’ailleurs, ses limites risqueraient de devenir visibles s’il se donnait entièrement à une cause, et cela aussi serait douloureux. C’est pourquoi le chercheur est passé maître dans l’art du bluff et du dilettantisme.
Le chercheur évitera la souffrance. Sa méthode est époustouflante de simplicité : « Je veux être heureux et non pas triste ! ». « Je veux me réjouir de la vie ! ». Il est un optimiste notoire. Il a du mal à gérer les problèmes émotionnels, que ce soient les siens propres ou ceux d’autrui. La vue d’un malheureux rend le chercheur malheureux. Il a besoin de gens sympathiques et de « bonnes vibrations » autour de lui. Il est capable d’égayer les autres. Mais parfois, il essaie aussi de « retourner » la situation devant un malade dont il ne supporte pas la souffrance. Si cela devient trop brûlant, trop triste ou trop profond, il peut habilement orienter la conversation sur des voies moins risquées ou couper court avec des formules toutes faites telles que « Bientôt, ça ira mieux ! » ou « Il n’y a pas de quoi s’inquiéter ! ».