Page 2 sur 2 • 1, 2
i love you no matter what ft minwoobb
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Ven 17 Avr - 15:24 Citer EditerSupprimer
Elio était d’un naturel patient. Il laissait toujours les gens venir à lui s’ils avaient besoin de parler, il ne forcément jamais les discussions. Il ne voulait ni se montrer intrusif, ni irrespectueux. Il savait que chacun était différent et qu’il fallait à chacun un temps nécessaire avant de s’ouvrir. Mais quand cela concernait son petit ami, Elio se demandait s’il ne devait pas faire un premier pas. Il ne voulait pas le pousser à dévoiler quelques choses qu’il ne voulait pas, car il savait combien certains secrets pouvaient être terrifiants … Mais il voulait le partager avec lui, partager sa peine. Partager sa souffrance aussi. Il voulait que Min Woo puisse être totalement à l’aise avec lui. Elio n’avait cherché à découvrir ce qu’il souhaitait cacher sous ce haut, quand Min Woo par inadvertance soulevait parfois son haut Elio détournait le regard. Il ne voulait pas découvrir une chose que Min Woo ne voulait pas qu’il voit. Il mentirait s’il disait qu’il n’avait pas déjà perçu quelques troubles sur la peau de son petit ami mais n’avait jamais cherché à en apprendre d’avantage, se maudissait même de ne pas avoir su détourner le regard plus tôt. Un accord tacite s’était naturellement installé entre eux et Elio agissait alors en conséquence. Il passait outre le manque de ne pas sentir sa peau contre la sienne, il passait outre les invitations sous la douche, et passait outre cette envie de le connaitre dans son entièreté.Les sentiments qu’il portait pour le plus vieux valait bien ces manques. Mais après des mois de relation Elio se demandait s’il n’était pas temps d’apprendre à le connaitre réellement … Alors il osa, posa sa question, et le cœur battant guettait la réaction de son petit ami. Il était certain que ce dernier était dépassé. Qu’il était inquiet et Elio crevait d’envie de savoir pourquoi, parce qu’il voulait le rassurer. Rien de ce que pouvait cacher ce haut ne pourrait gâcher l’amour et l’attirance qu’il avait pour lui … Il l’écoute parler, imagine, imagine le pire, imagine aussi sa souffrance. Celles des flammes brûlants le corps de l’homme qu’il aime. Il grimace, de chagrin, pas de dégoût. Car il ne supporte pas l’idée que son petit ami ait eu à subir une telle épreuve … il attrape son visage et souffle « Min Woo … » okay il l’avoue, une certaine émotion lui serre la gorge et pour la première fois les mots lui manquent. Il se penche vers lui pour lui donner un baiser d’encouragement, de pardon aussi d’avoir amené le sujet, et de fierté, de fierté de le voir ainsi aussi fort, se dévoiler à lui. Alors Elio veut lui faire comprendre qu’ils sont ensemble dans cette épreuve et qu’il n’abandonnera jamais. Il se recule doucement et le souffle court attrape le pan de son t-shirt. Il ancre son regard au sien, le souffle désormais couper. Il commence à soulever, lentement, laissant le temps à Min Woo de se faire à l’idée … il ne lâche pas son regard, pas même quand il peut apercevoir sa peau.Il lâche un souffle quand il réalise qu’il ne respire plus et laisse échapper un petit rire nerveux alors qu’il retire complètement le t-shirt de son amant. « Rien de ce qui sera sur ton corps ne pourra me faire changer d’avis amore mio. » assure-t-il avec un petit air sérieux et remplie d’amour. Comptant jusqu’à trois dans sa tête pour ne rien brusquer il s’assure que Min Woo soit toujours d’accord avant de baisser son regard sur son torse mutilé et ravagé par les flammes. Il marque un temps, passe ses doigts sur les striures blanches marbrant la peau de son petit ami. Il sait qu’il devrait dire quelque chose mais les mots se perdent. Il prend le temps de le regarder, non de l’admirer, car ce qu’il voit n’est ni laid, ni affreux. Non il voit la force de son homme à avoir surmonter cette épreuve seul … Alors après de longues secondes de silence il relève un regard brillant vers Min Woo et souffle « Tu as gardé ça secret tout ce temps car tu craignais ma réaction ? » Il est surpris, touché aussi étrangement et bien loin d’être vexé car il ne perçoit pas le silence et les actions de son petit ami comme un manque de confiance envers lui, mais comme une peur profonde de le perdre. Il l’aimait donc à ce point … ? Elio partageait soudainement son secret et sa peine et il se sentait blessé que son petit ami ressente le besoin de se cacher … Parce qu’il était beau … si beau. Il se rapproche de lui, se glisse un peu mieux entre ses cuisses et vient l’embrasser soudainement avec un élan de passion et d’amour. « Tu es magnifique mon amour … » souffle-t-il entre deux baisers. « Magnifique » et la sincérité de ses paroles ébranlent les cœurs. Il le pense, si fort, il le pense vraiment …
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Dim 5 Juil - 1:48 Citer EditerSupprimer
J’avais peur à cet instant, parce que je ne voulais pas le perdre, je ne voulais pas l’effrayer, ni le dégouté. Ces marques qui couvraient une partie de ma peau étaient loin d’être belles, bien au contraire. Et si en les voyant je ne l’attirait plus, si ça le dégoutait au point qu’il ne veuille plus de moi. C’était une perspective vraiment effrayante, même si je devrais faire confiance au lien fort qui nous liait. Ces marques hideuse étaient bien ma plus grandes faiblesse au point que j’avais peur qu’elles fasses fuir la personne avec qui j’avais le plus d’affinité au monde. J’aurais aimé pouvoir lui dire plus tôt, lui montrer en toute confiance mais je n’avais jamais pu. Et lui, jusqu’à maintenant il n’y avait jamais vraiment porter d’interêt. Je gardais le silence sur le sujet, alors il ne l’avait pas aborder non plus et ça avait été un soulagement tout ce temps. Mais il avait raison de demander. Je ne pouvais décemment pas lui cacher ça toute notre vie. Nous étions un couple depuis un moment déjà et je devais être capable de lui faire totalement confiance, mais pour cette partie de moi, ça s’avérait bien plus complexe.
Je n’avais pas évité sa question, ça ne servait à rien de toute façon. J’avais répondu sincèrement, c’était tout ce qu’il y avait à faire, mais ça n’enlevait pas la peur qu’il voit ce qui se cachait sous mon vêtement. Il ne pouvait qu’être dégouté, c’était s laid à voir, personne ne trouverait ça beau, vraiment personne. Un petit sourire sur le visage quand mon nom passe ses lèvres avant qu’elle ne viennent rejoindre les miennes. Ça me rassure un petit peu, mais pas assez. Ce baiser n’allait pas rendre mes cicatrice plus jolies à regarder. Et quand il avait attraper le bas de mon t-shirt, je m’étais figé. Il me regardait droit dans les yeux et j’essayais de respirer calmement, mais mon coeur s’était soudainement accéléré. Je ne pouvais plus reculer de toute façon. Je n’allais pas fuir, je ne voulais pas lui interdire de voir, mais je sentais l’anxiété me gagner au fur et a mesure qu’il remontait mon t-shirt. Même une fois le tissu retirer, il ne regardait pas, ses yeux étaient toujours plongé dans les miens. Il prenait son temps, pour ne pas me brusquer, mais pourtant à chaque seconde je redoutais l’instant ou ses yeux allait voir les cicatrices, à quoi ressemblait mon corps à cause de cet accident. Rien ne le fera changer d’avis, c’est ce qu’il disait, mais sera-t-il vraiment du même avis une fois qu’il aura vu l’étendue des dégâts, je n’en étais pas sûre. Mais j’avais été jusqu’ici, je l’avais laisser m’enlever, pour la première fois, mon haut. Alors autant aller jusqu’au bout. Je me mordillais la lèvre, toujours en proie à l’anxiété que me procurait la situation. Et quand j’avais vu ses yeux descendre, j’avais fermer les miens, fort, très fort. Je ne voulais pas voir le dégout sur son visage, alors j’attendais en silence qu’il dise quelque chose, parce que je n’osais pas ouvrir les yeux. Un frisson qui m’avait parcouru de la tête au pieds lorsque j’avais senti ses doigts retracer l’une des cicatrice. Je n’avais rouvert les yeux que quand il avait parlé. Lentement, essayant de déchiffrer son expression tout en hochant la tête pour répondre à sa question. Il n’avait pas fuit, c’était déjà ça. J’avais répondu à son baiser, encore tendu, stressé. Puis, il avait finalement exprimer son avis sur ce qu’il voyait et la pression était retombée d’un coup. Mais d’une façon que je n’avais pas imaginé, des larmes qui roulait sur mes joues, parce que ces quelques minutes avaient été extrêmement intense pour moi et de l’entendre dire ça, et ses baisers qui me prouvait que malgré ces cicatrice ça ne changeait rien du tout, ça m’avait fait un bien fou au point de pleurer.
« Je t’aime »
C’est tout ce que j’avais pu dire avant de le serrer dans mes bras. Heureux de pouvoir partager ce lourd secret avec lui. Heureux de me dire qu’il pourrait désormais me voir en entier, qu’on pourrait partager des douches tout les deux.
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Sam 12 Sep - 0:57 Citer EditerSupprimer
N’était-ce pas là une folie ? De le voir ainsi … se cacher tout ce temps. Elio savait qu’il avait bien fait de se montrer patient, car ce genre de traumatisme n’est pas le genre de choses que l’on peut surmonter avec de simple parole. Il fallait du temps, de la confiance, des preuves d’amour … Chose qu’Elio avait espéré pour lui montrer suffisamment. Et aujourd’hui … leur relation venait de prendre un tout nouveau tournant, de ceux qui marquent les esprits. Savourant l’instant et surtout tentant de se remettre de ses émotions, Elio serrait son petit ami dans ses bras sans cacher son émotion. Il enfoui son visage dans le creux de son cou et inspire son parfum longuement, comme un drogué se prenant une dose. Comment avait-il pu survivre ? Que lui était-il exactement arrivé ? Quand ? Comment ? Elio avait dans son esprit, un million de questions et n’était pas certains de savoir s’il avait le droit de les poser, si tout ça n’était pas trop tôt pour Min Woo. Dans tous les cas il serre son petit ami contre lui, réalisant qu’il pouvait sentir la peau de son torse pour la première fois contre la sienne. Frémissant et comprenant qu’ils sentiraient toujours cette peau nivelée, il n’avait pourtant, jamais été aussi heureux … Qu’importe la sensation de sa peau sur la sienne, il pouvait enfin sentir sa chaleur et se blottir contre lui. Plus rien n’avait d’importance et ce tabou qui s’était tout érigé entre eux venait de s’envoler. Elio aspire ce je t’aime entre ses lèvres pour venir l’embrasser avec passion. Une passion qu’ils partageaient toujours après toutes ces années. A bout de souffle il se recula légèrement et chercha son regard. Il caressa sa joue tendrement et murmura « Je t’aime Min Woo … plus que tout. » Elio n’était pas du genre avare, ni même peu enclin à lui dire je t’aime, mais ce n’était pas ce qu’il lui disait le plus. Mais dans le fond c’est ce qui rendait ses mots bien plus forts et impactant quand il les prononçait … Parce qu’il était certain qu’il aimait son petit ami, davantage ce matin … Il déglutit et caresse sa joue en ancrant son regard au sien pour être certain que Min Woo l’entende. Le comprenne … je t’aime et ceux qu’importe ton passé et les démons que tu as encore avec toi. Il lui sourit tendrement et lui vole un nouveau baiser en soupirant d’aise. Oui, bon sang qu’il l’aimait … Il se recule doucement et rhabille son petit ami pour qu’il n’ait ni froid, ni ne se sente gêné. « J’ai un million de questions, je dois bien l’avouer … » murmure-t-il tout en l’aidant à passer sa tête et ses bras dans le tissu. Il aide Min Woo a descendre de son perchoir et l’entraine à table pour qu’ils puissent reprendre leur petit déjeuné. Il n’avait plus faim tant l’émotion lui serrait l’estomac, mais au moins ils seront confortablement installés. « Tu veux bien me dire ce qui s’est passé … ? Quand … ? » souffle-t-il en attrapant tout de même de quoi boire tout en servant son petit ami.
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Ven 25 Sep - 17:20 Citer EditerSupprimer
J’avais redouté ce moment, depuis le début de notre relation. Depuis qu’on s’était vu en vrai pour la première fois. Il savait pour cet accident, plus ou moins. Je lui avait toujours épargné les détails, m’était contenté de dire que j’y avait été dans cet incendie, que je m’en était sorti, que ça allait. Je ne lui avait jamais dit à quel point les blessures étaient graves, à quel point ça avait changé ma vie, ma vision de moi-même. Ça avait été facile, notre amitié se faisait à travers un écran, il ne voyait rien de tout ça. Puis on s’était rencontrer en vrai, après toute ces années. Une amitié normale aurait pu naître et ne rien changer à tout ça, mais c’était plus qui nous avait uni. Et donc, évidement , coucher avec lui, devenir son petit ami, ça menait à paraitre étrange de ne jamais vouloir montrer ce qui se cachait sous mon t-shirt. Pendant des mois je l’avais évité et j’étais vraiment reconnaissant envers Elio, parce que jamais il n’avait insisté. Jusqu’à aujourd’hui, il m’avait laissé garder mon haut et ce dans toute les situations, sans poser de question. Mais ça faisait déjà des mois que nous étions ensemble et c’était évident que ce moment allait arriver, qu’il allait être curieux, qu’il me pousserait un peu plus à me dévoiler entièrement. Je lui faisait confiance, mais j’avais tellement peur que ça ruine tout. Mais je voulais y croire, alors je l’avais laissé faire, qu’il découvre enfin ce que je cachais aux yeux de tous, même aux siens depuis si longtemps.
C’était un moment fort en émotions pour moi, mais mon petit ami avait su me rassurer et ça m’avait fait du bien de réaliser que son regard n’avait pas changé en découvrant ces horrible cicatrice. Il m’aimait toujours, il me trouvait toujours beau et c’est tout ce dont j’avais besoin à vrai dire. Il était doux avec moi, m’avait même rhabiller, comme quoi cette révélation mettait tout de même fin à ce qu’on avait prévu de faire sur le plan de travail de la cuisine. Mais je ne lui en voulait pas de stopper, j’avais bien compris que ce n’était pas à cause de mes cicatrices, que ça ne le repoussais pas. Non c’était pour me laisser le temps.
Alors je l’avais suivi et m’étais assis à la table, prêt à répondre à la moindre de ses interrogation.
« Tu sais, je t’en avait parlé. Que j’avais été bloqué dans cet incendie. Je t’ai toujours dit que j’allais bien que ce n’était rien, mais j’avais un peu enjoliver les choses. J’avais des brûlure très grave, j’étais chanceux de ne pas avoir été touché au visage. Je suis resté longtemps à l’hôpital, pour soigner ça, aider la peau à se régénéré, en faire des greffes. Pouvoir à nouveau bouger normalement. Tout le monde était dégouté de voir ma peau, alors j’ai arrêté de la montrer. Je suis parti de mon pays parce que je voulais changer de vie. Je ne voulais plus voir les gens me regarder en ayant pitié de ce qui m’était arrivé, ou de dégout parce qu’ils savaient ce qui ce cachait sous mes vêtements. »
Il n’y avait rien à dire de plus. Ça avait été une période très dur pour moi, autant physiquement que mentalement, mais maintenant j’étais assez ouvert pour en parler. Et avoir oser le montrer à Elio c’était un grand pas pour moi, un premier pas pour peut-être à nouveau ne plus me soucier de tout ça, vivre en osant enlever mon haut sans me sentir mal à l’aise.
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Dim 22 Nov - 13:38 Citer EditerSupprimer
Elio acquiesce, se souvient de cette période, de ce qui lui en avait dit son petit ami. Toujours très évasif, quelque peu distant avec la vérité, Elio n’avait pas insisté. Nous avions tous notre jardin secret, des cicatrices du passé que l’on peinait à cacher, auxquelles on ne voulait pas faire face. Alors Elio avait attendu, qu’il se livre à lui, qu’il se confesse, laissant les jours défiler, patiemment, l’aimant sans conditions, l’aimant avec tendresse et passion. Ses paroles, sa vérité, son traumatisme, sont des révélations que Elio tente de prendre avec force. Il ne veut pas se montrer défaillant face à son petit ami. Lui qui ne le trouve en rien laid. Bien au contraire, tout ce qu’il voit en fixant Min Woo c’était de la force. La force d’avoir survécu, la force d’avoir surmonter la suite … La force de s’être relevée. Celle qui manque cruellement à chacun. Et aujourd’hui, Min Woo se retrouvait en face de lui, torse nu, dévoilant son pire traumatisme alors que la seconde d’avant il souriait, vivait sa vie classiquement, comme si de rien n’était. La différence entre un homme heureux et un survivant, résidait dans cette façon qu’ils avaient d’appréhender la vie. Un homme heureux savoura son bonheur, mais un survivant en connaitra le prix … Il passe une main sur la joue de Min Woo et se rapproche de lui un peu plus, forçant son regard à ne pas glisser sur son torse. Il ne veut pas le gêner, malgré cette envie de le découvrir pleinement, de pouvoir enfin l’admirer dans son entièreté. Passant alors sa main dans une caresse délicate sur la nuque de son petit ami, Elio mordille sa lèvre retenant ce flot de paroles qu’il voudrait lui dire. Se contente d’écouter, de ne pas se précipiter pour le réconforter … Min Woo ne semblait pas en avoir besoin, mais simplement passer ce nouveau cap pour un renouveau … Un sourire craquant sur les lèvres et le regard brillant de fierté, Elio se penche vers lui et vient l’embrasser. Avec cette envie de lui, tant il était fier d’être son petit ami. Il l’embrasse en se collant à lui, se moquant de ce torse accrêté. Il y passe d’ailleurs délicatement une main, guettant les frissons et mouvements de recule de son petit ami. Il glisse ses lèvres dans sa nuque et souffle en contre sa peau « Il n’y aura aucune pitié dans mon regard, juste de la fierté, aucun dégoût non plus, juste de l’admiration. » Il ponctuait ses mots de baisers, relevant son visage pour croiser son regard et murmure « Je ne le répéterais jamais assez … mais tu es sublime. » De cette beauté qu’il voudrait crier au monde entier. Il pouvait deviner sous sa peau mâchée des muscles saillants, une force que la danse avait ciseler après toutes ces années d’entrainements. Elio ne voyait que cette force émaner de son petit ami et sourit tendrement en croisant son regard alors que son pouce caressait la bouche de son amant. « Je suis soufflé par cette force dont tu as su faire preuve … il mio sopravvissuto » murmure-t-il dans sa langue maternelle en croisant son regard.
Invité
Invité
Re: i love you no matter what ft minwoobb | Dim 6 Déc - 1:03 Citer EditerSupprimer
C’était un cap difficile à passer, mais indispensable. J’aimais Elio, plus que n’importe qui, alors je ne pouvais pas éternellement refuser de me montrer entièrement. Après tout, ces marques faisaient partie de moi et ne s’estomperait jamais. Garder mon t-shirt par honte, ça enlevait tant de chose entre nous. J’avais eu peur sur le moment, mais sa réaction m’avais rassuré. J’avais pris le temps de lui expliquer ce qui c’était passé, étant moins évasif que d’habitude. J’avais passer tant d’année à rester flou sur cet événement. Pour ne pas avoir trop de question de sa part, ni trop l’inquiéter. J’étais passé au-dessus de cette dur épreuve. Il me restait, pour seul témoignage, ces horrible cicatrices dont j’avais honte. Mais pourquoi en avoir honte au fond, j’avais survécu à un événement tragique, j’étais en bonne santé.
Elio était doux dans sa façon de réagir, sans que je décèle de la pitié dans ses yeux. Il agissait comme il l’avait toujours fait, et j’étais vraiment soulagé que tout ça ne change rien entre nous. J’appréciais ses caresses, frissonnais bien plus que je ne l’aurais pensé lorsqu’il frôla l’une des cicatrices.
« C’est sensible, mais dans le bon sens du terme »
C’était étrange d’ailleurs. Ce n’était pas un endroit qui était souvent touché, voir jamais. Je pensais avoir perdu les sensations à cet endroit, mais étonnement, quand Elio y passait ses doigts, ça me faisait agréablement frissonner. Ses mots me rassure, son italien résonne dans mes oreilles. J’aime quand il me parle dans sa langue maternelle.
« ça m’excite quand tu me parles en italien! »
Je ne comprenais pas très souvent ce qu’il me disait, mais ça avait un grand effet sur moi. Je m’étais pencher vers lui, laissant quelques baiser dans son cou, avant de venir près de son oreille.
« Et si on allait dans la chambre? »
Pour qu’enfin, pour la première fois nous puissions faire l’amour sans aucun obstacle.
Contenu sponsorisé
Page 2 sur 2 • 1, 2