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when we first met ☾ Jung Seok
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when we first met ☾ Jung Seok | Jeu 11 Juil - 23:11
when we first met ★ you were dazzling
Loin d’être superstitieuse, la taïwanaise devait admettre que la situation dans laquelle son partenaire la mettait expliquait ce pressentiment étrange qui lui avait enserré la poitrine toute la matinée dès l’instant où elle avait renversé sa tasse de thé par inadvertance. Le regard rivé sur l’écran de son téléphone, elle poussa un soupire en voyant que pour la énième fois, elle n’arrivait pas à joindre celui qui devait porter la tenue qu’elle avait minutieusement confectionnée. Dans ce grand hall où tous les étudiants de cursus différents se croisaient, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir seule. Un sentiment de solitude renforcée par le fait qu’elle ne connaissait personne et que si elle ne faisait pas attention à ce qui se disait, tout pouvait lui sembler parfaitement inconnu. L’heure tournait et elle n’avait pas le temps de broyer du noir, elle devait trouver une solution dans les vingt prochaines minutes si elle ne voulait pas se faire pénaliser. Le souci étant que présentement, son esprit n’arrivait pas à se concentrer car elle était trop stressée, trop contrariée qu’elle n’arrivait même pas à retirer l’emballage plastique de sa sucette. Concentrée à essayer de déchirer la protection, elle ne remarqua pas la personne devant elle et la percuta, lâchant sa sucrerie par la même occasion. « Ah... » lâcha-t-elle en même temps qu’elle soupira pour la énième fois de la journée, le regard rivé sur son bonbon qui roula aux pieds de l’inconnu qui s’était arrêté. À cet instant, elle avait simplement envie de se dire que c’était une mauvaise journée, qu’elle aurait voulu la recommencer pour mieux la faire passer. Se baissant pour attraper son précieux, ce n’est qu’en levant les yeux, prête à rediriger toute sa frustration vers le parfait inconnu, qu’elle se stoppa en remarquant ses proportions. « Dédommage moi… prête-moi ton corps ! » murmura-t-elle face à lui, l’attrapant par la manche.
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Loin d’être superstitieuse, la taïwanaise devait admettre que la situation dans laquelle son partenaire la mettait expliquait ce pressentiment étrange qui lui avait enserré la poitrine toute la matinée dès l’instant où elle avait renversé sa tasse de thé par inadvertance. Le regard rivé sur l’écran de son téléphone, elle poussa un soupire en voyant que pour la énième fois, elle n’arrivait pas à joindre celui qui devait porter la tenue qu’elle avait minutieusement confectionnée. Dans ce grand hall où tous les étudiants de cursus différents se croisaient, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir seule. Un sentiment de solitude renforcée par le fait qu’elle ne connaissait personne et que si elle ne faisait pas attention à ce qui se disait, tout pouvait lui sembler parfaitement inconnu. L’heure tournait et elle n’avait pas le temps de broyer du noir, elle devait trouver une solution dans les vingt prochaines minutes si elle ne voulait pas se faire pénaliser. Le souci étant que présentement, son esprit n’arrivait pas à se concentrer car elle était trop stressée, trop contrariée qu’elle n’arrivait même pas à retirer l’emballage plastique de sa sucette. Concentrée à essayer de déchirer la protection, elle ne remarqua pas la personne devant elle et la percuta, lâchant sa sucrerie par la même occasion. « Ah... » lâcha-t-elle en même temps qu’elle soupira pour la énième fois de la journée, le regard rivé sur son bonbon qui roula aux pieds de l’inconnu qui s’était arrêté. À cet instant, elle avait simplement envie de se dire que c’était une mauvaise journée, qu’elle aurait voulu la recommencer pour mieux la faire passer. Se baissant pour attraper son précieux, ce n’est qu’en levant les yeux, prête à rediriger toute sa frustration vers le parfait inconnu, qu’elle se stoppa en remarquant ses proportions. « Dédommage moi… prête-moi ton corps ! » murmura-t-elle face à lui, l’attrapant par la manche.
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Re: when we first met ☾ Jung Seok | Sam 13 Juil - 23:24
when we first met ★ you were dazzling
Un nouveau chapitre vient de se terminer, et pourtant, le programme est encore dense. La filière des arts du spectacle est parfois controversée par le contenu qu'elle propose. Et pourtant, sa diversité peut facilement mettre les nerfs d'un étudiant à rude épreuve. C'est notamment mon cas, perturbé entre mes examens sur les œuvres des grands musiciens et les actes que je dois apprendre par cœur. Pas étonnant de me voir planer à deux milles mètres d'altitude tous les jours de la semaine. Oui, y compris le week-end. Ce n'est pas faute de manquer d'énergie, être en forme est ma marque de fabrique, normalement. Du coup, alors que j'ai quitté les bancs de mon amphithéâtre habituel depuis plusieurs minutes, j'ai l'impression d'errer dans les couloirs à la recherche d'une nouvelle inspiration. De mémoire, j'ai mon dernier cours de la journée dans une bonne heure et demie. Je vais pouvoir avaler plusieurs cafés brûlants sans même sentir ma langue se tordre de douleur. Dans ces moments-là, nous avons comme des espèces de boutons en guise de réaction et cette sensation me dégoûte très rapidement. C'est dingue ce que la nature peut faire parfois. J'aurais peut-être dû m'inscrire pour suivre des cours de biologie, j'aurais clairement toutes mes chances. En tout cas plus que maintenant... En effet, après avoir manqué de réflexe, voilà que je percute une étudiante. Je m'arrête aussitôt et tends à présenter mes excuses, et ce, contrairement à tous les coréens. Je ne suis même pas certain d'être fautif, trop perdu dans des pensées dénuées de sens, ou presque. Je la regarde s'accroupir pour récupérer un truc au niveau de mes pieds et manque d'afficher une grimace. Je réalise seulement au bout de quelques secondes que la sucette est encore emballée. La demoiselle me prend de nouveau de court avec cette réplique. Décidément, c'est à croire qu'elle est dotée d'un certain talent. Je balbutie aussitôt. « Par-Pardon ? » C'est bien la première fois qu'on me demande un truc pareil et tant mieux d'ailleurs. J'ai un peu du mal avec le harcèlement sexuel. Puis, une lumière vient chatouiller mon esprit d'intellectuel. « Ah, tu as besoin de mes mains pour ouvrir ta sucette, hn ? » Mais ce n'est pas trop la peine de me prendre par la manche comme ça... « Je peux savoir ce qui te prend au juste ? »
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Un nouveau chapitre vient de se terminer, et pourtant, le programme est encore dense. La filière des arts du spectacle est parfois controversée par le contenu qu'elle propose. Et pourtant, sa diversité peut facilement mettre les nerfs d'un étudiant à rude épreuve. C'est notamment mon cas, perturbé entre mes examens sur les œuvres des grands musiciens et les actes que je dois apprendre par cœur. Pas étonnant de me voir planer à deux milles mètres d'altitude tous les jours de la semaine. Oui, y compris le week-end. Ce n'est pas faute de manquer d'énergie, être en forme est ma marque de fabrique, normalement. Du coup, alors que j'ai quitté les bancs de mon amphithéâtre habituel depuis plusieurs minutes, j'ai l'impression d'errer dans les couloirs à la recherche d'une nouvelle inspiration. De mémoire, j'ai mon dernier cours de la journée dans une bonne heure et demie. Je vais pouvoir avaler plusieurs cafés brûlants sans même sentir ma langue se tordre de douleur. Dans ces moments-là, nous avons comme des espèces de boutons en guise de réaction et cette sensation me dégoûte très rapidement. C'est dingue ce que la nature peut faire parfois. J'aurais peut-être dû m'inscrire pour suivre des cours de biologie, j'aurais clairement toutes mes chances. En tout cas plus que maintenant... En effet, après avoir manqué de réflexe, voilà que je percute une étudiante. Je m'arrête aussitôt et tends à présenter mes excuses, et ce, contrairement à tous les coréens. Je ne suis même pas certain d'être fautif, trop perdu dans des pensées dénuées de sens, ou presque. Je la regarde s'accroupir pour récupérer un truc au niveau de mes pieds et manque d'afficher une grimace. Je réalise seulement au bout de quelques secondes que la sucette est encore emballée. La demoiselle me prend de nouveau de court avec cette réplique. Décidément, c'est à croire qu'elle est dotée d'un certain talent. Je balbutie aussitôt. « Par-Pardon ? » C'est bien la première fois qu'on me demande un truc pareil et tant mieux d'ailleurs. J'ai un peu du mal avec le harcèlement sexuel. Puis, une lumière vient chatouiller mon esprit d'intellectuel. « Ah, tu as besoin de mes mains pour ouvrir ta sucette, hn ? » Mais ce n'est pas trop la peine de me prendre par la manche comme ça... « Je peux savoir ce qui te prend au juste ? »
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Re: when we first met ☾ Jung Seok | Dim 14 Juil - 18:45
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Brute impulsion, déclaration cachant un cri de désespoir ou une frustration longtemps étouffée dans l’espoir qu’un miracle apparaisse. La réponse que lui donnait l’univers, ou une force dissoute dans l’éther, était cet inconnu : en la bousculant, il n’avait pas fait simplement fait tomber sa sucrerie, il s’était simplement présenté comme étant la solution à son problème. « Une minute » répondit-elle en retirant son tote-bag de son épaule pour plonger sa main au fond de celui-ci à la recherche d’un objet. Sortant un ruban de couture, elle ne s’attarda absolument pas à lui expliquer qu’elle prenait les mesures de ce dernier, les bras, les épaules, le torse, avec rapidité et silencieusement. Concentrée, son expression resta impassible jusqu’au bout et ce n’est que lorsqu’elle termina qu’elle braqua sur lui un sourire des plus réjouis – le genre qui laissait les gens rarement indifférent. « Bingo » s’émerveilla-t-elle, les mots lui manquaient pour décrire la joie qu’elle ressentait, il venait simplement d’illuminer sa journée. Regardant sa montre d’un simple coup d’œil, elle lui attrapa la main « je n’ai pas le temps de t’expliquer, le temps me manque… Est-ce que tu peux courir ? je t’expliquerais ça une fois arrivé. Promis, cette fois je répondrais à toutes tes question » fit-elle d’une voix flûtée avec un petit accent qui trahissait son origine tant elle était impatiente. Toutefois, le regard qu’elle lui lança fut celui auquel on ne pouvait que très difficilement résister, le genre plein d’espoir, le genre qui brille d’excitation, le genre qui attire et baisse toute barrière. Elle n’attendit pas qu’il lui réponde, et qu’importe sa réponse au final, la main serrant fermement la sienne, elle le força à courir en direction du bâtiment Sejeong. Son cours ne débutait que dans une vingtaine de minute, mais le temps qu’il enfile le résultat de plusieurs nuits blanches et qu’elle réponde à ses questions, le timing était serré.
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Brute impulsion, déclaration cachant un cri de désespoir ou une frustration longtemps étouffée dans l’espoir qu’un miracle apparaisse. La réponse que lui donnait l’univers, ou une force dissoute dans l’éther, était cet inconnu : en la bousculant, il n’avait pas fait simplement fait tomber sa sucrerie, il s’était simplement présenté comme étant la solution à son problème. « Une minute » répondit-elle en retirant son tote-bag de son épaule pour plonger sa main au fond de celui-ci à la recherche d’un objet. Sortant un ruban de couture, elle ne s’attarda absolument pas à lui expliquer qu’elle prenait les mesures de ce dernier, les bras, les épaules, le torse, avec rapidité et silencieusement. Concentrée, son expression resta impassible jusqu’au bout et ce n’est que lorsqu’elle termina qu’elle braqua sur lui un sourire des plus réjouis – le genre qui laissait les gens rarement indifférent. « Bingo » s’émerveilla-t-elle, les mots lui manquaient pour décrire la joie qu’elle ressentait, il venait simplement d’illuminer sa journée. Regardant sa montre d’un simple coup d’œil, elle lui attrapa la main « je n’ai pas le temps de t’expliquer, le temps me manque… Est-ce que tu peux courir ? je t’expliquerais ça une fois arrivé. Promis, cette fois je répondrais à toutes tes question » fit-elle d’une voix flûtée avec un petit accent qui trahissait son origine tant elle était impatiente. Toutefois, le regard qu’elle lui lança fut celui auquel on ne pouvait que très difficilement résister, le genre plein d’espoir, le genre qui brille d’excitation, le genre qui attire et baisse toute barrière. Elle n’attendit pas qu’il lui réponde, et qu’importe sa réponse au final, la main serrant fermement la sienne, elle le força à courir en direction du bâtiment Sejeong. Son cours ne débutait que dans une vingtaine de minute, mais le temps qu’il enfile le résultat de plusieurs nuits blanches et qu’elle réponde à ses questions, le timing était serré.
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Re: when we first met ☾ Jung Seok | Ven 16 Aoû - 20:32
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pendant un instant, je me demande si je suis plus traumatisé par cette bousculade physique ou par les conséquences de cette dernière. à la rigueur, une injure serait plus compréhensible bien que la réaction aurait été exagérée mais je dois avouer que cette jeune femme m'a perdu dés que j'ai croisé son regard. non pas que je viens d'avoir un coup de foudre (je serais peut-être paralysé dans ce cas)... aish. elle me rend définitivement perplexe. suivant du regard le moindre de ses mouvements, l'inconnue m'explique ses intentions. elle souhaite prendre mes mesures. c'est bien la première fois qu'on me sort un truc pareil. pourtant, je suis docile. je tends le bras quand elle me le demande, je fais mine de ne pas contracter mon ventre pour dissimuler tout centimètre de gras, ou pas. pendant l'opération qui dure seulement quelques secondes, je lance: " tu sais qu'on est en plein milieu d'un couloir, hm. " je ricane. je ne suis pas du genre à me prendre au sérieux, et pour une raison que j'ignore, la jeune femme attise ma curiosité. arquant un sourcil, sa main s'empare de la mienne avant d'exercer une pression sur celle-ci. " je n'ai pas réellement le choix. " en effet, cette demoiselle me pousse à courir vers un endroit qui est tout aussi inconnu que son nom. " mon rêve de me faire pousser dans un recoin par une fille vient de s'envoler. " j'accélère le mouvement. moi qui apprécie les défis, je décide de jouer le jeu. je continue mes plaisanteries : " je peux au moins connaître le nom de celle qui brise les rêves d'un jeune garçon pré-pubère ? "
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pendant un instant, je me demande si je suis plus traumatisé par cette bousculade physique ou par les conséquences de cette dernière. à la rigueur, une injure serait plus compréhensible bien que la réaction aurait été exagérée mais je dois avouer que cette jeune femme m'a perdu dés que j'ai croisé son regard. non pas que je viens d'avoir un coup de foudre (je serais peut-être paralysé dans ce cas)... aish. elle me rend définitivement perplexe. suivant du regard le moindre de ses mouvements, l'inconnue m'explique ses intentions. elle souhaite prendre mes mesures. c'est bien la première fois qu'on me sort un truc pareil. pourtant, je suis docile. je tends le bras quand elle me le demande, je fais mine de ne pas contracter mon ventre pour dissimuler tout centimètre de gras, ou pas. pendant l'opération qui dure seulement quelques secondes, je lance: " tu sais qu'on est en plein milieu d'un couloir, hm. " je ricane. je ne suis pas du genre à me prendre au sérieux, et pour une raison que j'ignore, la jeune femme attise ma curiosité. arquant un sourcil, sa main s'empare de la mienne avant d'exercer une pression sur celle-ci. " je n'ai pas réellement le choix. " en effet, cette demoiselle me pousse à courir vers un endroit qui est tout aussi inconnu que son nom. " mon rêve de me faire pousser dans un recoin par une fille vient de s'envoler. " j'accélère le mouvement. moi qui apprécie les défis, je décide de jouer le jeu. je continue mes plaisanteries : " je peux au moins connaître le nom de celle qui brise les rêves d'un jeune garçon pré-pubère ? "