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why? (suibian)
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Re: why? (suibian) | Ven 10 Avr - 20:51 Citer EditerSupprimer
ootd — Tout ce qui m'arrive en ce moment n'est pas la faute de Sui Bian. Il n'a jamais voulu de cela, ce ne serait pas juste de l'accuser quand les autres sont les seuls à agir contre moi. Je n'ai rien contre lui, je ne vais pas le pointer du doigt en l'insultant parce qu'une petite bande d'idiots a voulu me faire une mauvaise blague et que j'en ai été blessé au passage. Ils peuvent trouver ça drôle, en rire entre eux, mais de mon côté je ne leur ferais pas ce plaisir de m'écarter de Sui Bian. D'ailleurs c'est lui qui m'aide à me changer et c'est aussi lui qui me prête des vêtements de rechange. J'en suis reconnaissant, me demandant bien ce que je pourrais faire sans lui. Sa réponse n'est pas des meilleures mais c'était à prévoir. S'en veut-il pour ce qu'il vient de se passer? Lâchant un léger soupir, je lui fais bien comprendre que c'est stupide et qu'il n'a rien à se reprocher. Autant ne rien ajouter, car je n'ai rien à ajouter à cette phrase. Je ne suis pas d'accord avec lui, même si dans un sens faut avouer qu'il a raison mais je ne veux pas l'admettre. Les choses sont comme elles sont, peu importe ce qu'il en pense. Quittant les toilettes, fallait que d'autres élèves soient dans le coin pour nous « surprendre » et sûrement juger de la situation sans connaître les détails. Je m'en fiche, je veux seulement partir d'ici et aller chercher ce qu'il me faut pour mon poignet. Tenant la main de Sui Bian, je m'assure que celui-ci avance vers la sortie en ignorant les autres, comme je le fais si bien en évitant de les regarder pour ne pas donner d'importance à leur présence. « Je vais bien, ne t'inquiète pas autant pour moi. » Répétais-je avec un sourire réconfortant. Je ne suis pas à l'article de la mort, je peux survivre à ça. Hochant ma tête à sa phrase, je le suis dans les couloirs menant à la sortie de l'établissement. Tout ce qui peut arriver à partir de maintenant ne dépendra ni de lui, ni de moi. Le comportement des autres, les rumeurs, les fausses informations, les plaisanteries et bien d'autres encore. Que l'on soit préparé ou non, nous ne pourrons qu'encaisser et ne pas céder. De mon côté, je ne donnerais toujours pas raison à ces élèves qui trouvent bon de s'en prendre à plus faible et moins nombreux qu'eux. Et j'espère que du côté de Sui Bian, il ne décide pas de s'éloigner de moi sous prétexte que je peux devenir une cible facile à atteindre.
| | feat. @li sui bian |
ootd — Tout ce qui m'arrive en ce moment n'est pas la faute de Sui Bian. Il n'a jamais voulu de cela, ce ne serait pas juste de l'accuser quand les autres sont les seuls à agir contre moi. Je n'ai rien contre lui, je ne vais pas le pointer du doigt en l'insultant parce qu'une petite bande d'idiots a voulu me faire une mauvaise blague et que j'en ai été blessé au passage. Ils peuvent trouver ça drôle, en rire entre eux, mais de mon côté je ne leur ferais pas ce plaisir de m'écarter de Sui Bian. D'ailleurs c'est lui qui m'aide à me changer et c'est aussi lui qui me prête des vêtements de rechange. J'en suis reconnaissant, me demandant bien ce que je pourrais faire sans lui. Sa réponse n'est pas des meilleures mais c'était à prévoir. S'en veut-il pour ce qu'il vient de se passer? Lâchant un léger soupir, je lui fais bien comprendre que c'est stupide et qu'il n'a rien à se reprocher. Autant ne rien ajouter, car je n'ai rien à ajouter à cette phrase. Je ne suis pas d'accord avec lui, même si dans un sens faut avouer qu'il a raison mais je ne veux pas l'admettre. Les choses sont comme elles sont, peu importe ce qu'il en pense. Quittant les toilettes, fallait que d'autres élèves soient dans le coin pour nous « surprendre » et sûrement juger de la situation sans connaître les détails. Je m'en fiche, je veux seulement partir d'ici et aller chercher ce qu'il me faut pour mon poignet. Tenant la main de Sui Bian, je m'assure que celui-ci avance vers la sortie en ignorant les autres, comme je le fais si bien en évitant de les regarder pour ne pas donner d'importance à leur présence. « Je vais bien, ne t'inquiète pas autant pour moi. » Répétais-je avec un sourire réconfortant. Je ne suis pas à l'article de la mort, je peux survivre à ça. Hochant ma tête à sa phrase, je le suis dans les couloirs menant à la sortie de l'établissement. Tout ce qui peut arriver à partir de maintenant ne dépendra ni de lui, ni de moi. Le comportement des autres, les rumeurs, les fausses informations, les plaisanteries et bien d'autres encore. Que l'on soit préparé ou non, nous ne pourrons qu'encaisser et ne pas céder. De mon côté, je ne donnerais toujours pas raison à ces élèves qui trouvent bon de s'en prendre à plus faible et moins nombreux qu'eux. Et j'espère que du côté de Sui Bian, il ne décide pas de s'éloigner de moi sous prétexte que je peux devenir une cible facile à atteindre.
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