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choi ji yool ⁂ firefly lights
Lee Beom Ho
☆☆☆☆ TOP-STAR SHAKER
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choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 4:51 Citer EditerSupprimer
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Choi Ji Yool
et je ne sais pas danser, je ne sais pas m'oublier...
Il parait que... Depuis ses 12 ans, elle vit avec sa tante, son oncle et son cousin. ♢ Elle les considère comme sa famille, surtout son grand-frère (cousin). ♢ Elle a fait du patinage artistique pendant une dizaine d’années. ♢ Elle a fait sa licence à l’université de Mokpo, elle est à Yonsei depuis 1 an. ♢ Grâce à sa 2ème place à un concours de littérature, elle a obtenu une bourse pour Yonsei. ♢ Elle a essayé de vivre seule pour la première, pas vraiment un réussite. ♢ Elle n’a eu qu’une relation amoureuse sérieuse – un assistant professeur de sept ans son ainé. ♢ Son anxiété lui provoque des angoisses nocturnes depuis que sa mère est partie. ♢ Elle a une peur irrationnelle du noir liée à ses angoisses nocturnes. ♢ Une vidéo intime filmée à son insu a fait le tour de son ancienne fac – heureusement, on ne voyait pas son visage. ♢ Elle a besoin d’un bruit constant pour dormir – le métronome marche plutôt bien. ♢ Elle se ronge les ongles – par habitude et par nervosité. ♢ Il lui arrive d’enregistrer des livres audios – elle a une jolie voix. ♢ En moyenne, elle lit huit nouveaux livres par mois. ♢ Elle porte des lunettes pour lire car ses yeux fatiguent vite. ♢ Elle tourne au café – n’importe quel type de café. ♢ Ses niveaux en anglais et en japonais sont assez bons. ♢ Elle sait gratter quelques notes sur une guitare. ♢ Elle a honte de danser – son corps en fait qu’à sa tête. ♢ Elle porte de la lingerie tous les jours – pour son propre plaisir. ♢ Elle a de légers penchants sexuelles (révélés lors du partage de la vidéo) – elle en a plus que honte. ♢ Elle fabrique plein de trucs par elle-même (bijoux, fringues, cosmétiques, etc.). ♢ Elle se fait des surprises en cachant des sucreries partout et en retombant dessus par hasard. ♢ Elle adore les pamplemousses et les figues. ♢ Sa couleur préférée est le jaune et le violet – et tous leurs dérivés. ♢ C’est une éternelle amoureuse des fleurs – ses préférés sont l’immortelle et la lavande. ♢ Ces derniers temps, elle s’intéresse à l’aromathérapie. ♢ Elle est active dans une association qui accueille et protège les femmes victimes de violence. | Dis nous qui tu es ! Jiyool a besoin de tout soit parfait et si quelque chose ne lui va pas, elle n’a aucun mal à le faire remarquer de façon trop crue. Ce n’est pas qu’elle aime être aussi stricte, c’est juste que son côté perfectionniste le pousse à être exigeante avec elle-même mais aussi avec les autres. Ne vous fier pas aux apparences. Sous ses airs froids et insensible, la jeune étudiante est beaucoup moins mature qu’elle s’en donne l’air et tout son corps n’hésite pas à la trahir. Son visage affiche la moindre de ses émotions sans filtre dès qu’elle ne fait pas attention. Son agacement ainsi que son anxiété naturelle sont bien souvent trahis par sa voix. Bien que facilement irritable, Jiyool n’aucun mal (ou presque) à accepter qu’elle ait tord et complimenter les bonnes idées d’autrui. Elle a tendance à défendre son point de vu avec un peu d’obstination mal placée mais elle est suffisamment intelligente pour choisir dans l’intérêt de tous. La coréenne va assez vite à la confrontation par automatisme alors qu’au fond, elle préfère se ranger derrière les autres. Il suffit de creuser un peu pour réaliser qu’elle est même plutôt conciliante et docile, voire entièrement soumise quand on fait preuve d’autorité. Les voix fortes et assurés la rassurent et parfois, la font trembler autant d’appréhension que de plaisir. Les choses ont fait qu’elle a du mal à s’attacher aux gens, qui sont jusque-là sorti de sa vie aussi vite qu’ils y sont entrés, elle se méfie. C’est une amie loyale autant que rancunière, elle donne beaucoup quand elle pense que ça en vaut la peine. Son dévouement à tout, surtout sa passion, détone totalement avec sa lucidité déroutante qui vire constamment au défaitisme. Jiyool s’interdit juste de croire aux miracles, même s’il faut pour ça qu’elle ravale son romantisme débordant.. |
SWEET DREAMS who are you ? why do you hide in the darkness and listen to my private thoughts ? |
Lee Beom Ho
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 4:52 Citer EditerSupprimer
Septembre 2008
Ma mère et moi arrivons devant chez ma tante. Je ne comprends pas très bien ce que nous faisons ici à cette heure-ci. Je regarde vaguement le grand portail devant moi, cet endroit est comme une deuxième maison pour moi. La main de ma mère se pose sur mon épaule alors je me tourne vers elle. Elle a les yeux brillants et un visage triste quand elle m’enlace. J’ai peur de comprendre. De longues minutes s’écoulent, nos corps toujours entremêlés. Puis ma mère s’éloigne. Je la vois chercher quelque chose dans son sac à main et elle me tend une enveloppe. « Sois gentille, ma puce, donne cette lettre à ta tante, s’il te plait. » dit-elle en souriant. J’examine le bout de papier, j’ai vraiment peur de comprendre. Mes yeux l’observent appuyer sur la sonnette de la maison derrière moi. Je me sens impuissante. Elle me caresse la joue avant de poser un baiser sur mon front. La seconde suivante elle disparaît dans la nuit. Elle est partie, sans moi. Pourquoi ? Cette question est la seule chose qui empêche à ce instant mon esprit de vriller. « Jiyool… Est-ce que tu fais ici ? » me demande ma tante, complètement perdue, en ouvrant le portail. Mon oncle se tient aussi à ses côtés, l’air tout aussi confus qu’elle. La voix de ma tante déclenche en moi la vague d’émotions que j’essaye de retenir depuis le départ de ma mère. Je me jette dans ses bras et je pleure à chaud de larmes. « Maman m’a laissé ! Elle ne reviendra pas ! Elle ne veut plus de moi ! » je hurle la voix déformée par les sanglots. Ma tante me prend contre elle et mon oncle me caresse doucement les cheveux. Ils attendant patiemment que je me calme avant de me diriger à l’intérieur de la demeure familiale. Après ce qui semble une éternité, je me rappelle de la lettre que ma mère m’a donné, celle qui est à présent chiffonnée entre mes mains. Après avoir essayé de lui redonner une forme convenable, je leur tends l’enveloppe sans avoir le cœur de les regarder. C’est mon oncle qui ose l’ouvrir et bientôt, j’entends ma tante sangloter. « Oh ma chérie ! » elle se précipite pour de nouveau me serrer entre ses bras. Mon oncle nous rejoint très vite et je fonds de nouveau en larmes.
Juin 2013
Un coup d’épaule me réveille. « Hey Jiyool… Viens, je t’emmène à la patinoire. » mon cousin, celui que je considère comme un frère, me murmure. Il attrape mes affaires de patinage qui traînent encore dans l’entrée de la maison après mon entrainement d’hier. Puis il me tient la main. Je ne peux m’empêcher d’accepter son geste, je lui souris tristement en le suivant. Le trajet en bus est silencieux, je regarde le paysage défiler et mon grand-frère me tient toujours la main. Pas besoin de réfléchir pour que mes pieds me portent jusqu’aux gradins, je connais le trajet par cœur. Je lasse mes patins le cœur lourd, c’est compliqué d’oublier ce que je viens t’entendre. Pourtant, je ne suis pas étonnée. Ma mère m’a abandonné il y a 5 ans, pourquoi est-ce que tout à coups elle reviendrait pour moi ? Je souffle avant de rejoindre la glace. Mon frère y est déjà, en train de galérer à tenir debout. Je moque légèrement de lui en lui tournant autour. Puis je le laisse pour aller m’échauffer avec quelques tours. Quand mon frère retrouve ses habitudes, il me joint pour patiner avec moi. Très vite, il me challenge sur un concours de vitesse alors qu’il sait qu’il va perdre. J’accepte. Tout se joue sur 3 tours. Mais dès le 1er tour, il décide de tricher en s’accrochant désespérément à mes vêtements. La chute qui s’en suit est un peu violente mais cela ne nous empêche pas d’éclater de rire. Le fou rire dure quelques minutes car il nous ait impossible de nous regarder sans recommencer. Et alors que nous arrivons enfin à nous calmer, mon cœur semble me lâcher. Mes rires se transforment se glacent et je laisse ma tristesse couler sur mes joues. Mon cousin se précipite instinctivement pour me prendre dans ses bras. Il me chuchote que tout ira bien en caressant mes cheveux. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés assis sur la glace, les fesses trempées et le corps refroidi mais je sais que le lendemain nous avions tous les deux chopper un vilain rhume.
Décembre 2015
Je caresse une dernière fois les pages de mon livre en souriant, avant le refermer sans oublier de marquer mon avancée. Kim Jiyoung, née en 1982 par Cho Namjoo. Une pépite de la littérature coréenne à mon humble avis. Un livre féministe comme celui-ci est un véritable parti-pris dans notre société, je respecte autant Cho Namjoo pour avoir eu le courage de décrire l’injustice auquel font face les coréennes et la maison d’édition qui a accepté de le publier. Je soupire en me levant pour m’étirer. Ça fait bien trois heures que je suis là, la bibliothèque universitaire s’est considérablement vidée depuis mon arrivée. Et dire que je n’ai pas encore commencé ce pourquoi je venais en premier lieu… Ce rapport attendra encore un peu, tant pis. Je m’approche de la fenêtre et je laisse mes yeux vagabonder dans les grands pins maritimes qui frémissent au vent. Cela fait bientôt un an que je suis entrée à l’université. Ma vie a bien changé ces derniers temps. Mon frère, ou devrais-je dire mon cousin, a quitté notre calme ville de Mokpo pour aller travailler à Séoul. L’idée de la dynamique d’une mégalopole l’a toujours attiré et je dois dire que ses messages sur sa vie à Itaewon me donnent presque envie d’y goûter aussi. Mais qu’est-ce que tout n’irait pas trop vite pour moi là-bas ? Puis, maintenant j’ai quelqu’un qui me retient ici. Ça aussi, ça a changé. Je suis amoureuse. Pour la première fois, j’ai trouvé quelqu’un qui m’a accepté comme je suis. Avec toutes mes qualités et surtout toutes mes particularités. D’autres n’ont pas changé et ne changeront jamais. Je déteste toujours ma mère autant qu’elle me manque. Je ne peux toujours pas passer une nuit complète sans une de ses stupides angoisses. Je suis toujours aussi fatiguée. Heureusement, je trouve un peu de réconfort dans la lecture et dans les bras de l’homme que j’aime. La vie n’est pas parfaite mais je la prends comme elle vient. Ce n’est pas comme si on vivait dans un conte de fée, il faut se contenter de ce qu’on a.
Avril 2017
L’eau se glisse dans mes poumons sans permission, j’ai l’impression de me noyer tellement j’ai du mal à respirer. Tout mon corps se débat mais cela ne sert à rien. Celle qui m’étouffe ne peut pas prendre de coups, elle ne fait qu’en donner. Elle ne fait que taper tous les jours plus violemment sur ma poitrine et je ne peux rien y faire. Je sais que tout ceci n’est pas réel et c’est pourtant tellement douloureux. Je serre un peu plus mes bras autour de mes genoux. Essayant de calmer mon cœur, je me répète en boucle les seules paroles sur lesquelles je suis capable de me concentrer.
Un classique de la poésie que j’ai appris il y a six ans en classe de coréen, il s’est avéré être d’une utilité incroyable pour adoucir mes angoisses nocturnes. Ses mots sont comme une arche pour moi, dans cet océan qui se déchaîne sur moi et m’étouffe. Il me faut de longues minutes pour que la réalité se stabilise autour de moi, je reprends doucement ma respiration. Un petit coup d’œil vers mon réveil m’indique qu’il est trois heures du matin. Je soupire, encore une nuit bien courte. Je m’extirpe de mes draps humides de sueur, je sais que je n’arriverai pas me rendormir tout de suite. Alors j’attrape un livre au hasard sur mon bureau et je m’installe près de la fenêtre ouverte. La lumière des étoiles perce la nuit noire et la brise transporte les premières odeurs du printemps. Cela me console un peu du vide et de la fatigue que je ressens à cet instant. Je porte encore attention au livre que j’ai dans les mains. L’envers de la vie par Lee Seungu. Ironique, je pense en souriant.
Octobre 2018
Mes pieds me guident par automatisme vers la machine à café. Lorsque j’appuie pour lancer mon café-crème, une petite voix hésitante me fait sursauter. « Hmm… Unnie… Il faut que je te montre quelque chose… » une première année dont je suis proche me demande doucement. Je hausse un sourcil, un peu étonnée de cette interpellation. Je récupère mon café-crème et lance un second sur la machine. « Oui, bien sûr. Quel est le souci ? » je lui demande en lui tendant la boisson. Je le vois jouer avec ses doigts avant qu’elle décide finalement de sortir son téléphone. C’est une vidéo. Devant ma confusion évidente, elle semble vérifier que nous sommes seuls dans la bibliothèque avant de monter le son. « Unnie… C’est toi, hein ?... La vidéo fait le tour de l’université… » la plus jeune murmure. Je blanchi instantanément. Je lui arrache l’appareil des mains sans quitter la vidéo des yeux. Je n’en crois pas mes oreilles. Comment cela a-t-il pu arriver ? Je n’ai pas jamais filmé aucun de mes moments intimes, et surtout pas, dans cet état-ci. « Mais ne t’en fais pas, on ne voit pas ton visage. Je dois être la seule à avoir reconnu ta… hm… voix. » ajoute rapidement la jeune femme en posant sa main sur mon épaule. J’hoche la tête en essayant de garder mon calme, mais son visage trahit sans doute ma panique. On a violé mon intimité. On a violé mes secrets les plus profonds. Comme mise à nue devant notre université entière. Ma cadette me caresse lentement le bras pour me réconforter. Je lui rends son téléphone, pas besoin d’en voir plus. « À priori, la vidéo a été partagé sur une conversation entre nos… alumni. » ose continuer la plus jeune quelques minutes plus tard, sachant pertinemment ce que ses mots impliquent. Je relève rapidement la tête vers elle, ses yeux désolés me confirment que je n’ai pas mal entendu.
Octobre 2018
« Tu as l’air tendu, besoin d’un petit remontant ? » il chuchote contre mon oreille, incapable de voir que je suis à deux doigts de l’étrangler. Je dégage froidement la main qui s’est tranquillement installé contre sa hanche et je recule de deux pas, peu disposée à me laisser approcher. Il regarde surpris de ma réaction, je suis toujours partante. « Je te faisais confiance. » je chuchote, tête et yeux baissés, encore un peu sonnée sa trahison. Comment j’ai pu me tromper autant sur quelqu’un ? Sur quelqu’un à qui j’ai offert mon cœur sans conditions. Bientôt, un rire lui échappe. Un rire… Je manque de fondre en larmes. « Oh Jiyool, c’est bon ce ne sont que des vidéos. On ne te voit même pas. » il ricane en continuant de boire son café sans plus d’empathie alors que je dois encaisser cette nouvelle information, il y a plusieurs vidéos. « Et puis, je suis sûr que ça aussi, ça t’excite, non ? D’être filmée à ton insu. Que toute la fac sache la voix que tu as quand tu m’es totalement soumise. » il enchérit avec un sourire en coin, comme si tout cela n’était qu’un vulgaire jeu. C’en est trop. Il me faut à peine deux minutes pour rassembler toutes mes affaires, sous son regard pesant. Il n’essaye de m’arrêter comme s’il pensait que je n’aurais pas la force de partir. Je m’approche de lui pour lui coller sa clé d’appartement contre la poitrine, mes yeux plantés dans les siens. J’espère qu’il y lit tout le mépris mais aussi toute la détermination qui m’animent à ce moment-là. Je brise le contact pour me diriger vers la sortie. « Reste-ici. » il siffle, mécontent quand il comprend qu’il ne me reverra plus. Ses doigts se resserrent violemment autour de mon bras. Je me défais rapidement de son emprise pour accélérer le pas. « Reste-ici, j’ai dit. » crie-t-il d’une voix puissante alors que je suis à deux doigts d’ouvrir la porte. Cette voix, c’est celle qui me ferait plier genoux et gémir entre ses bras en temps normal. Mais aujourd’hui, c’est différent. Je ne peux pas le laisser utiliser mes faiblesses et mes hontes contre moi. Je ne peux pas le laisser utiliser mes secrets et mes insécurités pour m’humilier. « J’ai déjà porté plainte. » je lui signale, le regardant pour la dernière fois, avant de quitter la pièce.
Mars 2020
Ça fait un an que je suis arrivée à Yonsei. Je me souviens encore de mon premier jour. Jeune campagnarde totalement perdue dans le grand Séoul, avec sa lettre d’admission dans une main, le dossier d’inscription dans une autre. J’avais franchi nerveusement la grande entrée de l’université pour la première. Beaucoup trop en avance sur l’heure de mon rendez-vous avec l’administration, j’en avais profité pour arpenter le campus et m’imprégner des lieux. L’université m’avait tout de suite plu, rien à ouvrir avec la fac publique dans laquelle j’étais jusque-là. Je réalisais une nouvelle fois combien cette bourse était une aubaine pour moi, je n’aurais jamais eu les moyens d’étudier dans le meilleur département de lettres du pays sinon. Je me souviens aussi de mes premiers pas dans mon premier appartement. Totalement excitée à l’idée de vivre seule pour la première, j’avais choisi mon studio dans un quartier animée de la ville. J’y avais organisé mon petit espace cozy pour y passer du bon temps. Et contrairement à ce que je n’étais imaginée, je n’y suis très vite senti seule. Moi qui étais convaincu que ça allait me rassurer de savoir que personne n’entendrait mes nuits de panique… Belle erreur. Certes, personne pour le savoir mais aussi personne pour chasser le silence et le noir qui m’effraye tant. Je soupire en y repensant, je n’ai définitivement pas toujours des bonnes idées. Mais aujourd’hui, tout va sûrement changer. J’ai décidé de faire partie d’une fraternité et malgré toute l’inquiétude que cela provoque chez moi, c’est l’excitation qui prédomine. J’en suis plutôt étonnée car normalement, le changement me panique plus qu’autre chose. J’avais une petite vie tranquille, un bel appart, un petit job qui me plait, des bons résultats et un tas de livres à dévorer. Et de la solitude. Peut-être un peu trop. Je ne sais pas vraiment ce qui m’attend mais je me dis qu’il est enfin le temps d’oser et de prendre le temps de s’amuser, je ne suis pas très douée pour ça. Faire parti d’une fraternité m’aidera certainement à profiter un peu plus de ma jeunesse.
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It's my life...
à l'ombre d'un rien, elle n'existe pas très bien
- anxiété:
- Je suis celle qu'on ne voit pas
Je suis celle qu'on n'entend pas
Je suis cachée au bord des larmes
Je suis la reine des drames
Quand tu veux dormir je viens pour t'embrasser
Si tu veux courir je rampe à tes côtés
Tu apprends, tu apprendras, je sens ton cœur
Tu comprends, tu comprendras comment t'y faire
Je suis celle qu'on ne voit pas
Je suis celle qu'on entend pas
Je suis cachée au bord des larmes
Je suis la reine des drames
Là sous ta poitrine je cogne pour t'abîmer
Quand tu me devines j'essaie de résister
Tu apprends, tu apprendras, je sens ton cœur
Tu comprends, tu comprendras comment t'y faire
Je suis celle qu'on ne voit pas
Je suis celle qu'on n'entend pas
Je suis cachée au bord des larmes
Je suis la reine des drames
Avant de partir, de te laisser tomber
Je n'peux pas mourir et tout recommencer
Je t'attends, je t'attendrai toujours derrière
Mais va-t'en, va-t'en, fais le détour, sois fière
Je suis celle qu'on ne voit pas
Je suis celle qu'on entend pas
Je suis cachée au bord des larmes
Je suis la reine des drames
Anxiété par Pomme
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Septembre 2008
Ma mère et moi arrivons devant chez ma tante. Je ne comprends pas très bien ce que nous faisons ici à cette heure-ci. Je regarde vaguement le grand portail devant moi, cet endroit est comme une deuxième maison pour moi. La main de ma mère se pose sur mon épaule alors je me tourne vers elle. Elle a les yeux brillants et un visage triste quand elle m’enlace. J’ai peur de comprendre. De longues minutes s’écoulent, nos corps toujours entremêlés. Puis ma mère s’éloigne. Je la vois chercher quelque chose dans son sac à main et elle me tend une enveloppe. « Sois gentille, ma puce, donne cette lettre à ta tante, s’il te plait. » dit-elle en souriant. J’examine le bout de papier, j’ai vraiment peur de comprendre. Mes yeux l’observent appuyer sur la sonnette de la maison derrière moi. Je me sens impuissante. Elle me caresse la joue avant de poser un baiser sur mon front. La seconde suivante elle disparaît dans la nuit. Elle est partie, sans moi. Pourquoi ? Cette question est la seule chose qui empêche à ce instant mon esprit de vriller. « Jiyool… Est-ce que tu fais ici ? » me demande ma tante, complètement perdue, en ouvrant le portail. Mon oncle se tient aussi à ses côtés, l’air tout aussi confus qu’elle. La voix de ma tante déclenche en moi la vague d’émotions que j’essaye de retenir depuis le départ de ma mère. Je me jette dans ses bras et je pleure à chaud de larmes. « Maman m’a laissé ! Elle ne reviendra pas ! Elle ne veut plus de moi ! » je hurle la voix déformée par les sanglots. Ma tante me prend contre elle et mon oncle me caresse doucement les cheveux. Ils attendant patiemment que je me calme avant de me diriger à l’intérieur de la demeure familiale. Après ce qui semble une éternité, je me rappelle de la lettre que ma mère m’a donné, celle qui est à présent chiffonnée entre mes mains. Après avoir essayé de lui redonner une forme convenable, je leur tends l’enveloppe sans avoir le cœur de les regarder. C’est mon oncle qui ose l’ouvrir et bientôt, j’entends ma tante sangloter. « Oh ma chérie ! » elle se précipite pour de nouveau me serrer entre ses bras. Mon oncle nous rejoint très vite et je fonds de nouveau en larmes.
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Juin 2013
Un coup d’épaule me réveille. « Hey Jiyool… Viens, je t’emmène à la patinoire. » mon cousin, celui que je considère comme un frère, me murmure. Il attrape mes affaires de patinage qui traînent encore dans l’entrée de la maison après mon entrainement d’hier. Puis il me tient la main. Je ne peux m’empêcher d’accepter son geste, je lui souris tristement en le suivant. Le trajet en bus est silencieux, je regarde le paysage défiler et mon grand-frère me tient toujours la main. Pas besoin de réfléchir pour que mes pieds me portent jusqu’aux gradins, je connais le trajet par cœur. Je lasse mes patins le cœur lourd, c’est compliqué d’oublier ce que je viens t’entendre. Pourtant, je ne suis pas étonnée. Ma mère m’a abandonné il y a 5 ans, pourquoi est-ce que tout à coups elle reviendrait pour moi ? Je souffle avant de rejoindre la glace. Mon frère y est déjà, en train de galérer à tenir debout. Je moque légèrement de lui en lui tournant autour. Puis je le laisse pour aller m’échauffer avec quelques tours. Quand mon frère retrouve ses habitudes, il me joint pour patiner avec moi. Très vite, il me challenge sur un concours de vitesse alors qu’il sait qu’il va perdre. J’accepte. Tout se joue sur 3 tours. Mais dès le 1er tour, il décide de tricher en s’accrochant désespérément à mes vêtements. La chute qui s’en suit est un peu violente mais cela ne nous empêche pas d’éclater de rire. Le fou rire dure quelques minutes car il nous ait impossible de nous regarder sans recommencer. Et alors que nous arrivons enfin à nous calmer, mon cœur semble me lâcher. Mes rires se transforment se glacent et je laisse ma tristesse couler sur mes joues. Mon cousin se précipite instinctivement pour me prendre dans ses bras. Il me chuchote que tout ira bien en caressant mes cheveux. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés assis sur la glace, les fesses trempées et le corps refroidi mais je sais que le lendemain nous avions tous les deux chopper un vilain rhume.
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Décembre 2015
Je caresse une dernière fois les pages de mon livre en souriant, avant le refermer sans oublier de marquer mon avancée. Kim Jiyoung, née en 1982 par Cho Namjoo. Une pépite de la littérature coréenne à mon humble avis. Un livre féministe comme celui-ci est un véritable parti-pris dans notre société, je respecte autant Cho Namjoo pour avoir eu le courage de décrire l’injustice auquel font face les coréennes et la maison d’édition qui a accepté de le publier. Je soupire en me levant pour m’étirer. Ça fait bien trois heures que je suis là, la bibliothèque universitaire s’est considérablement vidée depuis mon arrivée. Et dire que je n’ai pas encore commencé ce pourquoi je venais en premier lieu… Ce rapport attendra encore un peu, tant pis. Je m’approche de la fenêtre et je laisse mes yeux vagabonder dans les grands pins maritimes qui frémissent au vent. Cela fait bientôt un an que je suis entrée à l’université. Ma vie a bien changé ces derniers temps. Mon frère, ou devrais-je dire mon cousin, a quitté notre calme ville de Mokpo pour aller travailler à Séoul. L’idée de la dynamique d’une mégalopole l’a toujours attiré et je dois dire que ses messages sur sa vie à Itaewon me donnent presque envie d’y goûter aussi. Mais qu’est-ce que tout n’irait pas trop vite pour moi là-bas ? Puis, maintenant j’ai quelqu’un qui me retient ici. Ça aussi, ça a changé. Je suis amoureuse. Pour la première fois, j’ai trouvé quelqu’un qui m’a accepté comme je suis. Avec toutes mes qualités et surtout toutes mes particularités. D’autres n’ont pas changé et ne changeront jamais. Je déteste toujours ma mère autant qu’elle me manque. Je ne peux toujours pas passer une nuit complète sans une de ses stupides angoisses. Je suis toujours aussi fatiguée. Heureusement, je trouve un peu de réconfort dans la lecture et dans les bras de l’homme que j’aime. La vie n’est pas parfaite mais je la prends comme elle vient. Ce n’est pas comme si on vivait dans un conte de fée, il faut se contenter de ce qu’on a.
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Avril 2017
L’eau se glisse dans mes poumons sans permission, j’ai l’impression de me noyer tellement j’ai du mal à respirer. Tout mon corps se débat mais cela ne sert à rien. Celle qui m’étouffe ne peut pas prendre de coups, elle ne fait qu’en donner. Elle ne fait que taper tous les jours plus violemment sur ma poitrine et je ne peux rien y faire. Je sais que tout ceci n’est pas réel et c’est pourtant tellement douloureux. Je serre un peu plus mes bras autour de mes genoux. Essayant de calmer mon cœur, je me répète en boucle les seules paroles sur lesquelles je suis capable de me concentrer.
Cette nuit encore les étoiles se laissent caresser par le vent
(Préface par Yoon Dongjoo)
(Préface par Yoon Dongjoo)
Un classique de la poésie que j’ai appris il y a six ans en classe de coréen, il s’est avéré être d’une utilité incroyable pour adoucir mes angoisses nocturnes. Ses mots sont comme une arche pour moi, dans cet océan qui se déchaîne sur moi et m’étouffe. Il me faut de longues minutes pour que la réalité se stabilise autour de moi, je reprends doucement ma respiration. Un petit coup d’œil vers mon réveil m’indique qu’il est trois heures du matin. Je soupire, encore une nuit bien courte. Je m’extirpe de mes draps humides de sueur, je sais que je n’arriverai pas me rendormir tout de suite. Alors j’attrape un livre au hasard sur mon bureau et je m’installe près de la fenêtre ouverte. La lumière des étoiles perce la nuit noire et la brise transporte les premières odeurs du printemps. Cela me console un peu du vide et de la fatigue que je ressens à cet instant. Je porte encore attention au livre que j’ai dans les mains. L’envers de la vie par Lee Seungu. Ironique, je pense en souriant.
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Octobre 2018
Mes pieds me guident par automatisme vers la machine à café. Lorsque j’appuie pour lancer mon café-crème, une petite voix hésitante me fait sursauter. « Hmm… Unnie… Il faut que je te montre quelque chose… » une première année dont je suis proche me demande doucement. Je hausse un sourcil, un peu étonnée de cette interpellation. Je récupère mon café-crème et lance un second sur la machine. « Oui, bien sûr. Quel est le souci ? » je lui demande en lui tendant la boisson. Je le vois jouer avec ses doigts avant qu’elle décide finalement de sortir son téléphone. C’est une vidéo. Devant ma confusion évidente, elle semble vérifier que nous sommes seuls dans la bibliothèque avant de monter le son. « Unnie… C’est toi, hein ?... La vidéo fait le tour de l’université… » la plus jeune murmure. Je blanchi instantanément. Je lui arrache l’appareil des mains sans quitter la vidéo des yeux. Je n’en crois pas mes oreilles. Comment cela a-t-il pu arriver ? Je n’ai pas jamais filmé aucun de mes moments intimes, et surtout pas, dans cet état-ci. « Mais ne t’en fais pas, on ne voit pas ton visage. Je dois être la seule à avoir reconnu ta… hm… voix. » ajoute rapidement la jeune femme en posant sa main sur mon épaule. J’hoche la tête en essayant de garder mon calme, mais son visage trahit sans doute ma panique. On a violé mon intimité. On a violé mes secrets les plus profonds. Comme mise à nue devant notre université entière. Ma cadette me caresse lentement le bras pour me réconforter. Je lui rends son téléphone, pas besoin d’en voir plus. « À priori, la vidéo a été partagé sur une conversation entre nos… alumni. » ose continuer la plus jeune quelques minutes plus tard, sachant pertinemment ce que ses mots impliquent. Je relève rapidement la tête vers elle, ses yeux désolés me confirment que je n’ai pas mal entendu.
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Octobre 2018
« Tu as l’air tendu, besoin d’un petit remontant ? » il chuchote contre mon oreille, incapable de voir que je suis à deux doigts de l’étrangler. Je dégage froidement la main qui s’est tranquillement installé contre sa hanche et je recule de deux pas, peu disposée à me laisser approcher. Il regarde surpris de ma réaction, je suis toujours partante. « Je te faisais confiance. » je chuchote, tête et yeux baissés, encore un peu sonnée sa trahison. Comment j’ai pu me tromper autant sur quelqu’un ? Sur quelqu’un à qui j’ai offert mon cœur sans conditions. Bientôt, un rire lui échappe. Un rire… Je manque de fondre en larmes. « Oh Jiyool, c’est bon ce ne sont que des vidéos. On ne te voit même pas. » il ricane en continuant de boire son café sans plus d’empathie alors que je dois encaisser cette nouvelle information, il y a plusieurs vidéos. « Et puis, je suis sûr que ça aussi, ça t’excite, non ? D’être filmée à ton insu. Que toute la fac sache la voix que tu as quand tu m’es totalement soumise. » il enchérit avec un sourire en coin, comme si tout cela n’était qu’un vulgaire jeu. C’en est trop. Il me faut à peine deux minutes pour rassembler toutes mes affaires, sous son regard pesant. Il n’essaye de m’arrêter comme s’il pensait que je n’aurais pas la force de partir. Je m’approche de lui pour lui coller sa clé d’appartement contre la poitrine, mes yeux plantés dans les siens. J’espère qu’il y lit tout le mépris mais aussi toute la détermination qui m’animent à ce moment-là. Je brise le contact pour me diriger vers la sortie. « Reste-ici. » il siffle, mécontent quand il comprend qu’il ne me reverra plus. Ses doigts se resserrent violemment autour de mon bras. Je me défais rapidement de son emprise pour accélérer le pas. « Reste-ici, j’ai dit. » crie-t-il d’une voix puissante alors que je suis à deux doigts d’ouvrir la porte. Cette voix, c’est celle qui me ferait plier genoux et gémir entre ses bras en temps normal. Mais aujourd’hui, c’est différent. Je ne peux pas le laisser utiliser mes faiblesses et mes hontes contre moi. Je ne peux pas le laisser utiliser mes secrets et mes insécurités pour m’humilier. « J’ai déjà porté plainte. » je lui signale, le regardant pour la dernière fois, avant de quitter la pièce.
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Mars 2020
Ça fait un an que je suis arrivée à Yonsei. Je me souviens encore de mon premier jour. Jeune campagnarde totalement perdue dans le grand Séoul, avec sa lettre d’admission dans une main, le dossier d’inscription dans une autre. J’avais franchi nerveusement la grande entrée de l’université pour la première. Beaucoup trop en avance sur l’heure de mon rendez-vous avec l’administration, j’en avais profité pour arpenter le campus et m’imprégner des lieux. L’université m’avait tout de suite plu, rien à ouvrir avec la fac publique dans laquelle j’étais jusque-là. Je réalisais une nouvelle fois combien cette bourse était une aubaine pour moi, je n’aurais jamais eu les moyens d’étudier dans le meilleur département de lettres du pays sinon. Je me souviens aussi de mes premiers pas dans mon premier appartement. Totalement excitée à l’idée de vivre seule pour la première, j’avais choisi mon studio dans un quartier animée de la ville. J’y avais organisé mon petit espace cozy pour y passer du bon temps. Et contrairement à ce que je n’étais imaginée, je n’y suis très vite senti seule. Moi qui étais convaincu que ça allait me rassurer de savoir que personne n’entendrait mes nuits de panique… Belle erreur. Certes, personne pour le savoir mais aussi personne pour chasser le silence et le noir qui m’effraye tant. Je soupire en y repensant, je n’ai définitivement pas toujours des bonnes idées. Mais aujourd’hui, tout va sûrement changer. J’ai décidé de faire partie d’une fraternité et malgré toute l’inquiétude que cela provoque chez moi, c’est l’excitation qui prédomine. J’en suis plutôt étonnée car normalement, le changement me panique plus qu’autre chose. J’avais une petite vie tranquille, un bel appart, un petit job qui me plait, des bons résultats et un tas de livres à dévorer. Et de la solitude. Peut-être un peu trop. Je ne sais pas vraiment ce qui m’attend mais je me dis qu’il est enfin le temps d’oser et de prendre le temps de s’amuser, je ne suis pas très douée pour ça. Faire parti d’une fraternité m’aidera certainement à profiter un peu plus de ma jeunesse.
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SWEET DREAMS who are you ? why do you hide in the darkness and listen to my private thoughts ? |
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 5:46 Citer EditerSupprimer
Coucou, re bienvenue par ici alors
J'espère que tu te plaira à nouveau sur Shake avec cette belle demoiselle
Et oooh une fan de got7 :05:
Bon courage pour cette fiche déjà bien remplie
J'espère que tu te plaira à nouveau sur Shake avec cette belle demoiselle
Et oooh une fan de got7 :05:
Bon courage pour cette fiche déjà bien remplie
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 5:54 Citer EditerSupprimer
ILLOOOOOOO MON DIEU !!!
TOI DE RETOUR ICI JE MEURS !!!!
COMMENT CA FAIT GRAVE PLAISIR DE TE REVOIR !
FIOUUUUUU
JE SUIS GRAVE CHOQUÉE !
Y'a quelques jours j'ai grave repensé à toi en retombant par hasard sur un de nos rps !
Bref ça fait trop plaisir de te revoir (je me répète mais osef)
Rebienvenue parmi nous, du coup
Et bon courage pour ta fiche ! Il nous faudra un lien pour sûr (j'ai déjà des idées )
(ps; Ali manque à Minsoo )
TOI DE RETOUR ICI JE MEURS !!!!
COMMENT CA FAIT GRAVE PLAISIR DE TE REVOIR !
FIOUUUUUU
JE SUIS GRAVE CHOQUÉE !
Y'a quelques jours j'ai grave repensé à toi en retombant par hasard sur un de nos rps !
Bref ça fait trop plaisir de te revoir (je me répète mais osef)
Rebienvenue parmi nous, du coup
Et bon courage pour ta fiche ! Il nous faudra un lien pour sûr (j'ai déjà des idées )
(ps; Ali manque à Minsoo )
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 6:18 Citer EditerSupprimer
ILLOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
Je suis si contente de te revoir sur le forum ohlalalalalala
J'ai vrillé en voyant le message d'Anaïs sur la conversation
Rebienvenue rebienvenue rebienvenue
Je suis certaine que cette nouvelle vie sera aussi géniale que toutes les autres
Hâte de te lire ♡♡♡
Je suis si contente de te revoir sur le forum ohlalalalalala
J'ai vrillé en voyant le message d'Anaïs sur la conversation
Rebienvenue rebienvenue rebienvenue
Je suis certaine que cette nouvelle vie sera aussi géniale que toutes les autres
Hâte de te lire ♡♡♡
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 6:23 Citer EditerSupprimer
Omgggg je vois les fantômes telle Melinda Gordon ! (ceux qui ont la ref' vous êtes des vrais !)
Ça fait vraiment plaisir de te revoir ici !
Et je te confirme, y a deux jours à peine Anaïs me parlait d'Ali !
Comme quoi, la vie est folle !
Je suis contente de voir que tu es à un moment où tu peux à nouveau te consacrer aux choses que tu aimes !
J'espère que tu t'amuseras à nouveau ici et j'ai hâte de voir ce nouveau perso de folie que tu vas nous faire !!
Ça fait vraiment plaisir de te revoir ici !
Et je te confirme, y a deux jours à peine Anaïs me parlait d'Ali !
Comme quoi, la vie est folle !
Je suis contente de voir que tu es à un moment où tu peux à nouveau te consacrer aux choses que tu aimes !
J'espère que tu t'amuseras à nouveau ici et j'ai hâte de voir ce nouveau perso de folie que tu vas nous faire !!
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 6:46 Citer EditerSupprimer
oh poil de carotte !!
rebienvenuuue parmi nous
rebienvenuuue parmi nous
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 7:02 Citer EditerSupprimer
la vache t'es belle.
je reviendrai stalker cette fiche, une fois que tu auras levé le voile sur tant de mystère à son sujet. ♡
(re)bienvenue ici !
je reviendrai stalker cette fiche, une fois que tu auras levé le voile sur tant de mystère à son sujet. ♡
(re)bienvenue ici !
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
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Âge : 26
Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 17:49 Citer EditerSupprimer
WOW, ILLO REBIENVENUUUUUUUE
On a jamais oublié poil de carotte et Ali
________________________________
On a jamais oublié poil de carotte et Ali
Choquée, déçue.Choi Ji Yool a écrit:non merci, students s'il vous plait ♡
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
Lee Beom Ho
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Crédits : avatar ; nuitd'hiver
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Re: choi ji yool ⁂ firefly lights | Dim 29 Mar - 18:16 Citer EditerSupprimer
Namsun ; Bonjour jeune homme
Vouuuui, un nouveau départ après une longue absence, j'ai hâte et je sais d'avance que je vais me plaire de nouveau ici~
Merci beaucoup
Anaïs ; BONNNNNNNJOUUUUUUUUR
Ouuuuuuuuuuuuuuuuui ça fait trop plaisir d'être là
Je pense que c'est de la télépathie parce que j'ai relu quasi tous mes rps le weekend dernier et je me suis dite aller lance-toi
Je suis trop contente
ps; honnêtement, j'ai hésité entre plein de réactions
1) Il est en phase terminale pour qu'il l'avoue ?
2) Minsoo manque à Ali aussi
3) J'ai toujours su que Minsoo avait un crush sur Ali
Je lui dirais de lui envoyer une carte postale, elle doit être quelque part en australie à sauver des koalas je pense
Anti ; ANNNNNNTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Je suis contente que vous savez contentes que je sois là Ça m'avait trop manqué~ Je suis trop heureuse d'être là aussi et j'étais tellement contente quand j'ai vu que beaucoup était encore fidèle au forum
Je sais pas si Jiyool sera aussi géniale que les autres, j'ai pas mal perdu la main, mais je vais faire de mon mieux, promis
Lena ; J'AI LA REF OMG Carrément sous-estimée comme série, tss.
Vos accueils sont tellement fondre mon petit coeur
L'idée de reprendre le rpg a toujours été dans ma tête mais jusqu'à il y a quelques mois, c'était jamais le bon moment et là depuis quelques semaines, je me dis que c'est maintenant le bon moment Et bon, il y a jamais été question d'aller ailleurs que sur stw :bago:
Des bisous
Lorène ; Je vois qu'il y a des choses qui changeront jamais
Merci merci merci
Khean ; oh tu vas me faire rougir
promis, je ne tarde pas trop à finir ♡ faut que juste que je contrôle mon flot incessant d'idées hehe
Merci
Helvia ; BONJOUR HELVIA merci
Moi nous plus, c'était mes bébés
Nan mais tu comprends, après trois ans, faut que je reprenne en douceur je peux pas sauter à l'eau comme ça direct sans m'être mouillé la nuque avant
Merci à tous et à toutes pour vos petits messages vous m'avez rendu toute émotionnelle, félicitations
________________________________
Vouuuui, un nouveau départ après une longue absence, j'ai hâte et je sais d'avance que je vais me plaire de nouveau ici~
Merci beaucoup
Anaïs ; BONNNNNNNJOUUUUUUUUR
Ouuuuuuuuuuuuuuuuui ça fait trop plaisir d'être là
Je pense que c'est de la télépathie parce que j'ai relu quasi tous mes rps le weekend dernier et je me suis dite aller lance-toi
Je suis trop contente
ps; honnêtement, j'ai hésité entre plein de réactions
1) Il est en phase terminale pour qu'il l'avoue ?
2) Minsoo manque à Ali aussi
3) J'ai toujours su que Minsoo avait un crush sur Ali
Je lui dirais de lui envoyer une carte postale, elle doit être quelque part en australie à sauver des koalas je pense
Anti ; ANNNNNNTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Je suis contente que vous savez contentes que je sois là Ça m'avait trop manqué~ Je suis trop heureuse d'être là aussi et j'étais tellement contente quand j'ai vu que beaucoup était encore fidèle au forum
Je sais pas si Jiyool sera aussi géniale que les autres, j'ai pas mal perdu la main, mais je vais faire de mon mieux, promis
Lena ; J'AI LA REF OMG Carrément sous-estimée comme série, tss.
Vos accueils sont tellement fondre mon petit coeur
L'idée de reprendre le rpg a toujours été dans ma tête mais jusqu'à il y a quelques mois, c'était jamais le bon moment et là depuis quelques semaines, je me dis que c'est maintenant le bon moment Et bon, il y a jamais été question d'aller ailleurs que sur stw :bago:
Des bisous
Lorène ; Je vois qu'il y a des choses qui changeront jamais
Merci merci merci
Khean ; oh tu vas me faire rougir
promis, je ne tarde pas trop à finir ♡ faut que juste que je contrôle mon flot incessant d'idées hehe
Merci
Helvia ; BONJOUR HELVIA merci
Moi nous plus, c'était mes bébés
Nan mais tu comprends, après trois ans, faut que je reprenne en douceur je peux pas sauter à l'eau comme ça direct sans m'être mouillé la nuque avant
CETTE BROCHETTE DE (vieux) REQUINS M'AVEZ MANQUÉ
Merci à tous et à toutes pour vos petits messages vous m'avez rendu toute émotionnelle, félicitations
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