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Douloureuses retrouvailles ▬ Kalhi ♥
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Re: Douloureuses retrouvailles ▬ Kalhi ♥ | Sam 19 Sep - 23:52 Citer EditerSupprimer
Douloureuses retrouvailles Kalhi
Quelques secondes… il n’avait suffi que de quelques secondes alors qu’elle abandonnait mes lèvres, quelques secondes durant lesquelles j’eus tout le loisir d’observer son visage, de mirer ses traits si fins et finalement voir se fissurer le barrage que j’avais érigé depuis toutes ces années. Il n’avait suffi que de quelques secondes durant lesquelles je m’étais perdu à la contemplation de celle qui faisait encore et toujours battre mon cœur. Et entre ses bras, il devenait fou et me poussait à la faute. Si la raison me hurlait de fuir, et de ne surtout pas replonger dans une histoire que je n’avais pourtant jamais oublié, mon myocarde semblait désormais doté de sa propre volonté contre laquelle je ne pouvais visiblement pas lutter. Sans même que je ne m’en rende compte, je replongeais sur son ses pulpeuses avec une envie non feinte. Tout ce par quoi j’étais passé, tout ce que je m’étais promis s’envola sans laisser de trace. Comme si ces cinq dernières années n’avaient jamais existé, comme si nous ne nous étions jamais séparés… Mais la douleur, elle était là, un nuage sombre qui planait au-dessus de ma tête pour me rappeler à quel point son absence avait été un supplice. Une sensation qui ne m’avait jamais quitté, chaque jour, chaque seconde qui passaient me narguaient du souvenir de jours heureux et si j’avais appris à vivre avec, je ne pouvais désormais plus. Je me vautrais dans le désir et l’envie sans même chercher à y échapper, juste parce que c’était elle. J’annexais son sourire comme s’il m’avait toujours appartenu, me retenant d’une main tandis que l’autre tentait vainement de garder contenance en faisant souffrir le tissu de sa jupe. Le poing serré sur l’étoffe malmenée, je pensais ainsi m’offrir un point d'ancrage, une échappatoire, en vain… Je sentais ses muscles se contracter sous les miens, son souffle se saccader et son corps entier vibrer. Je ne m’étais pourtant attendu à rien… persuadé d’avoir fait le meilleur choix pour elle, je m’étais convaincu qu’elle oublierait, qu’elle reprendrait sa liberté et qu’elle tracerait sa route sans moi… aussi fus-je surpris de sentir ses mains remonter mes hanches pour disparaître sous le coton de mon t-shirt. Un contact qui m’arracha un frisson et qui me fit resserrer un peu plus l’emprise que j’avais sur sa jupe. J’éprouvais la chaleur de ses paumes sur mon dos et mordais instinctivement davantage son inférieure.
Sans le savoir, elle me guidait. Il ne lui suffisait que d’un toucher, un simple effleurement pour me faire perdre toute contenance. Et il ne fallut qu’un instant pour que finalement le barrage ne cède complètement. Les souvenirs de mon incarcération, la douleur de la solitude, l’affliction de l’isolement, la brûlure de la séparation, les blessures physiques de mes altercations, le mutisme prolongé… tout semblait s’être effacé soudainement. Le déchirement d’une partie de ma vie pour laquelle j’aurais tout donné afin de l’oublier… à moins que ce ne soit le tissu qui finalement se fendait ? Entre mes doigts, je sentais la couture craquer jusqu’à ne plus souffrir de la tension que je lui infligeais, si bien que je sursautais en le sentant mourir dans ma paume. Surpris, je ne pus m’empêcher de jeter un œil à mon œuvre avant de replonger mon regard dans celui de Sunhi. Sans plus de mots, le rire fut notre première réaction. Il me rappela tous ces moments de complicité partagée, tous ces bonheurs simples qui me semblaient avoir eu lieu la veille. Je nous revoyais affalés sur le canapé devant un film, attablés à partager un repas dans une seule et même assiette, main dans la main à arpenter les rues de Séoul… Mais je nous revoyais surtout succomber à la moindre occasion qui se présentait et l’image de sa silhouette dénudée s’imposa à moi. Je voulais à nouveau goûter la douceur de sa peau d’opale, aussi après avoir écarté quelques mèches en travers de son visage, je fis remonter sa jambe que sa jupe n’entravait plus pour l’accrocher à ma taille et réclamais une fois encore ce sourire qui m’avait tant manqué.
Mon cœur avait envoyé baladé ma raison, et plus rien désormais ne semblait pouvoir me retenir de reconquérir celle que j’aimais. Il n’était plus question de temps, de prison, ou même de séparation, nous nous étions retrouvés comme si nous ne nous étions jamais quittés. Au travers d’un regard, d’une étreinte, et d’un baiser… Je sentais ses main voguer sur ma peau faisant remonter le coton de mon t-shirt tandis que du bout des doigts je dessinais la courbe de sa jambe offerte jusqu’à finalement s’arrêter sur sa taille. Sous ma paume, les boutons de sa chemise me brûlaient, et je décidais alors de les faire sauter, un à un. Lentement, je venais exposer son buste et la dentelle qui ornait sa poitrine, et je fus plus surpris de penser que je n’en reconnaissais pas le sous vêtement, bien plus que de dévoiler son corps. Mais la pensée s’envola aussitôt qu’elle m’était venue, me laissant tout le loisir de contempler sa silhouette. J’eus la sensation d’être enfin chez moi, comme si j’étais enfin de nouveau à ma place. Je n’avais plus conscience, ni du lieu, ni même des raisons pour lesquelles j’avais mis tant d’effort à rester loin d’elle, plus rien n’avait de sens si ce n’était la sensation du velours de sa peau que je réchauffais au travers d’un toucher lascif et cupide.
:copyright:️ Justayne
Quelques secondes… il n’avait suffi que de quelques secondes alors qu’elle abandonnait mes lèvres, quelques secondes durant lesquelles j’eus tout le loisir d’observer son visage, de mirer ses traits si fins et finalement voir se fissurer le barrage que j’avais érigé depuis toutes ces années. Il n’avait suffi que de quelques secondes durant lesquelles je m’étais perdu à la contemplation de celle qui faisait encore et toujours battre mon cœur. Et entre ses bras, il devenait fou et me poussait à la faute. Si la raison me hurlait de fuir, et de ne surtout pas replonger dans une histoire que je n’avais pourtant jamais oublié, mon myocarde semblait désormais doté de sa propre volonté contre laquelle je ne pouvais visiblement pas lutter. Sans même que je ne m’en rende compte, je replongeais sur son ses pulpeuses avec une envie non feinte. Tout ce par quoi j’étais passé, tout ce que je m’étais promis s’envola sans laisser de trace. Comme si ces cinq dernières années n’avaient jamais existé, comme si nous ne nous étions jamais séparés… Mais la douleur, elle était là, un nuage sombre qui planait au-dessus de ma tête pour me rappeler à quel point son absence avait été un supplice. Une sensation qui ne m’avait jamais quitté, chaque jour, chaque seconde qui passaient me narguaient du souvenir de jours heureux et si j’avais appris à vivre avec, je ne pouvais désormais plus. Je me vautrais dans le désir et l’envie sans même chercher à y échapper, juste parce que c’était elle. J’annexais son sourire comme s’il m’avait toujours appartenu, me retenant d’une main tandis que l’autre tentait vainement de garder contenance en faisant souffrir le tissu de sa jupe. Le poing serré sur l’étoffe malmenée, je pensais ainsi m’offrir un point d'ancrage, une échappatoire, en vain… Je sentais ses muscles se contracter sous les miens, son souffle se saccader et son corps entier vibrer. Je ne m’étais pourtant attendu à rien… persuadé d’avoir fait le meilleur choix pour elle, je m’étais convaincu qu’elle oublierait, qu’elle reprendrait sa liberté et qu’elle tracerait sa route sans moi… aussi fus-je surpris de sentir ses mains remonter mes hanches pour disparaître sous le coton de mon t-shirt. Un contact qui m’arracha un frisson et qui me fit resserrer un peu plus l’emprise que j’avais sur sa jupe. J’éprouvais la chaleur de ses paumes sur mon dos et mordais instinctivement davantage son inférieure.
Sans le savoir, elle me guidait. Il ne lui suffisait que d’un toucher, un simple effleurement pour me faire perdre toute contenance. Et il ne fallut qu’un instant pour que finalement le barrage ne cède complètement. Les souvenirs de mon incarcération, la douleur de la solitude, l’affliction de l’isolement, la brûlure de la séparation, les blessures physiques de mes altercations, le mutisme prolongé… tout semblait s’être effacé soudainement. Le déchirement d’une partie de ma vie pour laquelle j’aurais tout donné afin de l’oublier… à moins que ce ne soit le tissu qui finalement se fendait ? Entre mes doigts, je sentais la couture craquer jusqu’à ne plus souffrir de la tension que je lui infligeais, si bien que je sursautais en le sentant mourir dans ma paume. Surpris, je ne pus m’empêcher de jeter un œil à mon œuvre avant de replonger mon regard dans celui de Sunhi. Sans plus de mots, le rire fut notre première réaction. Il me rappela tous ces moments de complicité partagée, tous ces bonheurs simples qui me semblaient avoir eu lieu la veille. Je nous revoyais affalés sur le canapé devant un film, attablés à partager un repas dans une seule et même assiette, main dans la main à arpenter les rues de Séoul… Mais je nous revoyais surtout succomber à la moindre occasion qui se présentait et l’image de sa silhouette dénudée s’imposa à moi. Je voulais à nouveau goûter la douceur de sa peau d’opale, aussi après avoir écarté quelques mèches en travers de son visage, je fis remonter sa jambe que sa jupe n’entravait plus pour l’accrocher à ma taille et réclamais une fois encore ce sourire qui m’avait tant manqué.
Mon cœur avait envoyé baladé ma raison, et plus rien désormais ne semblait pouvoir me retenir de reconquérir celle que j’aimais. Il n’était plus question de temps, de prison, ou même de séparation, nous nous étions retrouvés comme si nous ne nous étions jamais quittés. Au travers d’un regard, d’une étreinte, et d’un baiser… Je sentais ses main voguer sur ma peau faisant remonter le coton de mon t-shirt tandis que du bout des doigts je dessinais la courbe de sa jambe offerte jusqu’à finalement s’arrêter sur sa taille. Sous ma paume, les boutons de sa chemise me brûlaient, et je décidais alors de les faire sauter, un à un. Lentement, je venais exposer son buste et la dentelle qui ornait sa poitrine, et je fus plus surpris de penser que je n’en reconnaissais pas le sous vêtement, bien plus que de dévoiler son corps. Mais la pensée s’envola aussitôt qu’elle m’était venue, me laissant tout le loisir de contempler sa silhouette. J’eus la sensation d’être enfin chez moi, comme si j’étais enfin de nouveau à ma place. Je n’avais plus conscience, ni du lieu, ni même des raisons pour lesquelles j’avais mis tant d’effort à rester loin d’elle, plus rien n’avait de sens si ce n’était la sensation du velours de sa peau que je réchauffais au travers d’un toucher lascif et cupide.
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Re: Douloureuses retrouvailles ▬ Kalhi ♥ | Jeu 24 Sep - 23:06 Citer EditerSupprimer
Douloureuses retrouvailles Kalhi
Ma tête était complètement vide, plus de soucis, plus de tristesse, plus d’espoirs envolé, il n’y avait plus rien d’autre qui comptais en cet instant avec lui, que ce baiser, que nos corps enfin à nouveau retrouvés. Je ne voulais plus laisser ma tête me guider la prudence. Même si je devais souffrir par la suite, même si ce que nous étions entrain de faire était la pire idée qui soit, je ne voulais pas y penser, même pas une seule seconde. Le bien être que je ressentait en ce moment valait bien tout ce qui pouvait arriver de négatif par la suite. Car oui, soyons honnête, ce qui se passait en ce moment ne changerait sûrement rien à ce qu’il y avait entre nous, du moins pas de façon radicale. Mais en tout cas, pour le moment, il n’y avait que nous deux, nous et ce passé de dix ans qui nous unissait. Dix ans pendant lesquelles nous nous étions découvert, aimer, sans retenu. Il avait été mon premier amour, mon premier amant, il avait été tout, et aujourd’hui il l’était encore. Il suffisait de voir à quel point mon corps pouvait réagir à son contact pour comprendre que je l’avais tout simplement dans la peau et que je ne pourrais rien faire pour lutter contre ça. Il était comme une marque indélébile qui ne pourrait jamais s’effacer, à moins de m’arracher le coeur, mais c’était peut-être une solution trop radicale. Le fait est que notre relation me faisais faire es hauts et des bas émotionnel énorme. Je pouvais être malheureuse comme jamais, pour s’en suivre d’un bien être et d’un désir dévorant quelques minutes plus tard. S’était déroutant, mais ça ne me surprenait qu’à moitié. Il faut dire qu’il m’en avait fait ressentir un paquet d’émotions fortes, aussi bien positive que négatives, et je suppose que c’est normal en dix ans de relation. Mais je savais très bien que jamais personne ne pourrait me faire vibrer comme lui pouvait le faire. Il était bien le seul contre qui j’arrivais à m’énerver à en perdre la tête, le seul avec qui je pouvais me laisser aller, le seul qui apaisait mes doutes et mes cauchemars…
Complètement hypnotisée par le baiser qu’il m’offrais, je finis néanmoins par sursauter légèrement en même temps que lui alors qu’il avait terminé d’assassiné ma pauvre jupe dont il malmenait le tissus depuis plusieurs minutes maintenant. Cette dernière aura finalement perdue le combat face aux muscles trop prononcés de Kalei… Et nous voilà entrain de rire, comme si tout ceci n’était rien, comme si nous étions toujours ce couple parfait d’il y a cinq ans, tranquillement allongé sur le canapé après une envie soudaine de s’unir à nouveau pour combler ce désir qui les rongeais suite à un regard trop profond qu’ils avaient pu avoir. Et c’est pourtant ce qu’il avait fallut à ce moment pour que tout ne dérape comme avant. En réalité, il aurait pu m’arracher tout mes vêtements, cela ne m’inquiétais pas outre mesure, peut-être parce que je savais que j’avais largement de quoi me changer dans on sac en cas de besoin. Je sentais des frissons me parcourir alors qu’il laissais aller ses doigts sur ma jambe ainsi mise à nue par ses soins. Ses lèvres étaient repartis à l’assaut des miennes, et je les accueillaient avec un plaisir et une envie non dissimulés. Après ma jupe, il s’attaquait désormais à mon chemisier, mais cette fois-ci avec plus de délicatesse et une force contrôlée. Un a un, les boutons s’ouvraient, laissant à sa vision une partie de ma peau dénudée. Dans un coin de ma tête, je me félicitait d’avoir pris l’initiative d’avoir mis de beaux sous-vêtement aujourd’hui, même si je n’aurais jamais cru que ses yeux en seraient le destinataire. Je me relevais alors légèrement afin de terminer de me débarrasser de mon chemisier qui n’avait maintenant plus aucune utilité. Je rompais ensuite notre baiser afin de faire remonter délicatement le haut de Kalei, jusqu’à lui retirer totalement, laissant son torse à nue. Je pris une seconde pour admirer son corps, il avait toujours été musclés, mais je dois dire qu’il l’était encore d’avantage aujourd’hui. Et ce n’était pas pour déplaire à mes yeux qui ne se lassait pas de le regarder. Je passais délicatement mes mains sur son torses, remontant avec douceur les lignes de son corps jusqu’à sa nuque que j’emprisonnais afin de l’attirer vers moi, capturant ses lèvres sans perdre un instant supplémentaire, comme un besoin viscérale que je devais assouvir sans perdre une minute. J’avais la sensation de respirer à nouveau, il effaçait par sa simple présence toutes les souffrances qu’il m’avait pourtant faites endurés par le passés. Il faut croire que je n’arrivais pas à être rancunière, surtout lorsqu’il s’agissait de lui..
:copyright:️ Justayne
Ma tête était complètement vide, plus de soucis, plus de tristesse, plus d’espoirs envolé, il n’y avait plus rien d’autre qui comptais en cet instant avec lui, que ce baiser, que nos corps enfin à nouveau retrouvés. Je ne voulais plus laisser ma tête me guider la prudence. Même si je devais souffrir par la suite, même si ce que nous étions entrain de faire était la pire idée qui soit, je ne voulais pas y penser, même pas une seule seconde. Le bien être que je ressentait en ce moment valait bien tout ce qui pouvait arriver de négatif par la suite. Car oui, soyons honnête, ce qui se passait en ce moment ne changerait sûrement rien à ce qu’il y avait entre nous, du moins pas de façon radicale. Mais en tout cas, pour le moment, il n’y avait que nous deux, nous et ce passé de dix ans qui nous unissait. Dix ans pendant lesquelles nous nous étions découvert, aimer, sans retenu. Il avait été mon premier amour, mon premier amant, il avait été tout, et aujourd’hui il l’était encore. Il suffisait de voir à quel point mon corps pouvait réagir à son contact pour comprendre que je l’avais tout simplement dans la peau et que je ne pourrais rien faire pour lutter contre ça. Il était comme une marque indélébile qui ne pourrait jamais s’effacer, à moins de m’arracher le coeur, mais c’était peut-être une solution trop radicale. Le fait est que notre relation me faisais faire es hauts et des bas émotionnel énorme. Je pouvais être malheureuse comme jamais, pour s’en suivre d’un bien être et d’un désir dévorant quelques minutes plus tard. S’était déroutant, mais ça ne me surprenait qu’à moitié. Il faut dire qu’il m’en avait fait ressentir un paquet d’émotions fortes, aussi bien positive que négatives, et je suppose que c’est normal en dix ans de relation. Mais je savais très bien que jamais personne ne pourrait me faire vibrer comme lui pouvait le faire. Il était bien le seul contre qui j’arrivais à m’énerver à en perdre la tête, le seul avec qui je pouvais me laisser aller, le seul qui apaisait mes doutes et mes cauchemars…
Complètement hypnotisée par le baiser qu’il m’offrais, je finis néanmoins par sursauter légèrement en même temps que lui alors qu’il avait terminé d’assassiné ma pauvre jupe dont il malmenait le tissus depuis plusieurs minutes maintenant. Cette dernière aura finalement perdue le combat face aux muscles trop prononcés de Kalei… Et nous voilà entrain de rire, comme si tout ceci n’était rien, comme si nous étions toujours ce couple parfait d’il y a cinq ans, tranquillement allongé sur le canapé après une envie soudaine de s’unir à nouveau pour combler ce désir qui les rongeais suite à un regard trop profond qu’ils avaient pu avoir. Et c’est pourtant ce qu’il avait fallut à ce moment pour que tout ne dérape comme avant. En réalité, il aurait pu m’arracher tout mes vêtements, cela ne m’inquiétais pas outre mesure, peut-être parce que je savais que j’avais largement de quoi me changer dans on sac en cas de besoin. Je sentais des frissons me parcourir alors qu’il laissais aller ses doigts sur ma jambe ainsi mise à nue par ses soins. Ses lèvres étaient repartis à l’assaut des miennes, et je les accueillaient avec un plaisir et une envie non dissimulés. Après ma jupe, il s’attaquait désormais à mon chemisier, mais cette fois-ci avec plus de délicatesse et une force contrôlée. Un a un, les boutons s’ouvraient, laissant à sa vision une partie de ma peau dénudée. Dans un coin de ma tête, je me félicitait d’avoir pris l’initiative d’avoir mis de beaux sous-vêtement aujourd’hui, même si je n’aurais jamais cru que ses yeux en seraient le destinataire. Je me relevais alors légèrement afin de terminer de me débarrasser de mon chemisier qui n’avait maintenant plus aucune utilité. Je rompais ensuite notre baiser afin de faire remonter délicatement le haut de Kalei, jusqu’à lui retirer totalement, laissant son torse à nue. Je pris une seconde pour admirer son corps, il avait toujours été musclés, mais je dois dire qu’il l’était encore d’avantage aujourd’hui. Et ce n’était pas pour déplaire à mes yeux qui ne se lassait pas de le regarder. Je passais délicatement mes mains sur son torses, remontant avec douceur les lignes de son corps jusqu’à sa nuque que j’emprisonnais afin de l’attirer vers moi, capturant ses lèvres sans perdre un instant supplémentaire, comme un besoin viscérale que je devais assouvir sans perdre une minute. J’avais la sensation de respirer à nouveau, il effaçait par sa simple présence toutes les souffrances qu’il m’avait pourtant faites endurés par le passés. Il faut croire que je n’arrivais pas à être rancunière, surtout lorsqu’il s’agissait de lui..
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Re: Douloureuses retrouvailles ▬ Kalhi ♥ | Jeu 22 Oct - 0:13 Citer EditerSupprimer
Douloureuses retrouvailles Kalhi
Je ne vivais plus désormais qu’au travers de sa respiration et de ses soupirs, grisé par une étreinte que mon corps n’avait jamais oublié. C’était entre ses bras que je me sentais chez moi, c’était de ses baisers que je pouvais m’enivrer… pendant dix ans elle avait été ma constante, mon repère dans un monde hostile, et je ne pus réprimer l’envie de goûter à cette saveur qui m’avait terriblement manqué. Je plongeais sur son sourire à l’en dévorer, y mêlant mon souffle au sien… comme au premier jour. Elle avait été, et était toujours la seule femme pour qui mon cœur battait, elle était la seule qui parvenait à m’arracher un sourire simplement en la regardant, la seule qui puisse m’émouvoir de ses yeux humides… aussi je replongeais dans l’ivresse de nos corps à corps sans même chercher à m’y soustraire. J’humais son parfum si délicat, celui qui n’appartenait qu’à elle, cette fragrance qui avait le don de me faire perdre pied. Je me délectais de sa peau satinée au travers d’un toucher voluptueux. Et si nos rires se firent écho un instant, ils n’étaient que la preuve d’une complicité qui ne s’était jamais fanée. Si j’avais lancé les hostilités sur son chemisier, elle fut celle qui acheva de s’en dévêtir. Sous mes yeux brillants d’un amour inconditionnel, j’observais ses mains s’en défaire avec agilité avant que le tissu ne soit plus qu’un souvenir, mais le combat était loin de s’achever. Ses mains chaudes glissèrent sous le coton de mon t-shirt, taquinant l’épiderme en ébullition à son simple contact, elle nous mit à égalité en m’en soulageant. Ses mains s’attardèrent sur mon buste, suivant les rainures des muscles savamment taillés au fils des années. Elle fit courir ses doigts jusqu’à mes épaules pour finalement emprisonner ma nuque et de nouveau attirer mes lèvres contre les siennes. Et encore une fois, je me laissais guider, trop content de pouvoir enfin renouer avec ma moitié, oubliant volontairement la conscience qui m’avait poussée à m’en éloigner. Au travers de ces baisers, de cette étreinte, je vivais de nouveau… comme si ces cinq dernières années n’avaient été qu’un cauchemar, j’eus la sensation de me réveiller de ma léthargie en mordant dans ses pulpeuses, si bien que je me laissais consumer par la concupiscence. Plus rien ne semblait pouvoir me freiner désormais. Grisé par l’envie, j’attrapais la ceinture de mon pantalon pour en faire sauter le bouton et descendre la glissière avant de me redresser soudainement. À ma vue s’offrait le corps de Sunhi, une silhouette parfaite et si une fraction de seconde la conscience semblait vouloir reprendre le contrôle, je l’envoyais paître en me débarrassant de mes derniers remparts. Plus rien n’entravait mon désir, si ce n’était les pièces de dentelle dont se paraient les courbes de Sunhi, aussi avant même de plonger à nouveau sur son corps, j’usais de toute la douceur dont je pouvais faire preuve pour faire glisser celle qui cachait sa féminité. Je la fis glisser le long de ses jambes en une lente ascension, une douce agonie par laquelle je dévoilais en partie son corps.
Durant ces cinq années, je m’étais forgé une carapace que je pensais indestructible, j’étais devenu brute sans même l’avoir voulu, mais ce soir-là, je redécouvrais la douceur insoupçonnée dont je savais faire preuve dès lors qu’il s’agissait de celle qui faisait battre mon cœur. Je fis voguer mes paumes sur ses courbes jusqu’à sa taille et la saisissais avec bien plus de délicatesse que ce dont je me pensais capable. Sans aucun effort, je la soulevais pour la déposer à califourchon sur mes jambes. Son dos offert à mes mains ne put que souffrir de l’attache dont je le libérais pour que finalement, elle aussi soit dans le plus simple appareil. J’avais rêvé tant de fois cet instant qu’il me paraissait presque irréel, aussi il me fallut à nouveau réclamer son sourire pour m’assurer que je n’étais pas perdu dans l’un de mes songes. Le grondement de plaisir ronflait dans ma poitrine alors que je faisais danser ma langue avec la sienne et que mes doigts dessinaient inlassablement les courbes de son corps. Envoûté par la douceur de sa peau et la chaleur de ses bras, grisé par ces retrouvailles impromptues mais au combien salvatrices, j’accrochais ses hanches pour les rapprocher toujours plus, jusqu’à finalement réduire la distance qui nous séparait à néant. Lentement, je me fondais en elle, une sensation oubliée qui m’arracha un frisson au point que j’en rejetais la tête en arrière et m’appuyait avec indolence sur le dossier du canapé. Je me vautrais dans la cupidité et je l’y emmenais avec moi, trop heureux de ne pouvoir faire qu’un avec elle. Le feu ronflant au creux de mon ventre s’intensifia soudainement, il me brûlait à tel point que je dû enrouler mes bras autour de sa taille pour tenter de garder pied avec la réalité.
:copyright:️ Justayne
Je ne vivais plus désormais qu’au travers de sa respiration et de ses soupirs, grisé par une étreinte que mon corps n’avait jamais oublié. C’était entre ses bras que je me sentais chez moi, c’était de ses baisers que je pouvais m’enivrer… pendant dix ans elle avait été ma constante, mon repère dans un monde hostile, et je ne pus réprimer l’envie de goûter à cette saveur qui m’avait terriblement manqué. Je plongeais sur son sourire à l’en dévorer, y mêlant mon souffle au sien… comme au premier jour. Elle avait été, et était toujours la seule femme pour qui mon cœur battait, elle était la seule qui parvenait à m’arracher un sourire simplement en la regardant, la seule qui puisse m’émouvoir de ses yeux humides… aussi je replongeais dans l’ivresse de nos corps à corps sans même chercher à m’y soustraire. J’humais son parfum si délicat, celui qui n’appartenait qu’à elle, cette fragrance qui avait le don de me faire perdre pied. Je me délectais de sa peau satinée au travers d’un toucher voluptueux. Et si nos rires se firent écho un instant, ils n’étaient que la preuve d’une complicité qui ne s’était jamais fanée. Si j’avais lancé les hostilités sur son chemisier, elle fut celle qui acheva de s’en dévêtir. Sous mes yeux brillants d’un amour inconditionnel, j’observais ses mains s’en défaire avec agilité avant que le tissu ne soit plus qu’un souvenir, mais le combat était loin de s’achever. Ses mains chaudes glissèrent sous le coton de mon t-shirt, taquinant l’épiderme en ébullition à son simple contact, elle nous mit à égalité en m’en soulageant. Ses mains s’attardèrent sur mon buste, suivant les rainures des muscles savamment taillés au fils des années. Elle fit courir ses doigts jusqu’à mes épaules pour finalement emprisonner ma nuque et de nouveau attirer mes lèvres contre les siennes. Et encore une fois, je me laissais guider, trop content de pouvoir enfin renouer avec ma moitié, oubliant volontairement la conscience qui m’avait poussée à m’en éloigner. Au travers de ces baisers, de cette étreinte, je vivais de nouveau… comme si ces cinq dernières années n’avaient été qu’un cauchemar, j’eus la sensation de me réveiller de ma léthargie en mordant dans ses pulpeuses, si bien que je me laissais consumer par la concupiscence. Plus rien ne semblait pouvoir me freiner désormais. Grisé par l’envie, j’attrapais la ceinture de mon pantalon pour en faire sauter le bouton et descendre la glissière avant de me redresser soudainement. À ma vue s’offrait le corps de Sunhi, une silhouette parfaite et si une fraction de seconde la conscience semblait vouloir reprendre le contrôle, je l’envoyais paître en me débarrassant de mes derniers remparts. Plus rien n’entravait mon désir, si ce n’était les pièces de dentelle dont se paraient les courbes de Sunhi, aussi avant même de plonger à nouveau sur son corps, j’usais de toute la douceur dont je pouvais faire preuve pour faire glisser celle qui cachait sa féminité. Je la fis glisser le long de ses jambes en une lente ascension, une douce agonie par laquelle je dévoilais en partie son corps.
Durant ces cinq années, je m’étais forgé une carapace que je pensais indestructible, j’étais devenu brute sans même l’avoir voulu, mais ce soir-là, je redécouvrais la douceur insoupçonnée dont je savais faire preuve dès lors qu’il s’agissait de celle qui faisait battre mon cœur. Je fis voguer mes paumes sur ses courbes jusqu’à sa taille et la saisissais avec bien plus de délicatesse que ce dont je me pensais capable. Sans aucun effort, je la soulevais pour la déposer à califourchon sur mes jambes. Son dos offert à mes mains ne put que souffrir de l’attache dont je le libérais pour que finalement, elle aussi soit dans le plus simple appareil. J’avais rêvé tant de fois cet instant qu’il me paraissait presque irréel, aussi il me fallut à nouveau réclamer son sourire pour m’assurer que je n’étais pas perdu dans l’un de mes songes. Le grondement de plaisir ronflait dans ma poitrine alors que je faisais danser ma langue avec la sienne et que mes doigts dessinaient inlassablement les courbes de son corps. Envoûté par la douceur de sa peau et la chaleur de ses bras, grisé par ces retrouvailles impromptues mais au combien salvatrices, j’accrochais ses hanches pour les rapprocher toujours plus, jusqu’à finalement réduire la distance qui nous séparait à néant. Lentement, je me fondais en elle, une sensation oubliée qui m’arracha un frisson au point que j’en rejetais la tête en arrière et m’appuyait avec indolence sur le dossier du canapé. Je me vautrais dans la cupidité et je l’y emmenais avec moi, trop heureux de ne pouvoir faire qu’un avec elle. Le feu ronflant au creux de mon ventre s’intensifia soudainement, il me brûlait à tel point que je dû enrouler mes bras autour de sa taille pour tenter de garder pied avec la réalité.
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Re: Douloureuses retrouvailles ▬ Kalhi ♥ | Dim 25 Oct - 22:02 Citer EditerSupprimer
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