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Voila ton vrai visage (ft Kô)
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Voila ton vrai visage (ft Kô) | Dim 6 Déc - 19:39 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôTu t'enfuis sans demander ton reste. Non pas que tu fuis la colère de Kô, que tu appelles encore Yon et que tu prends pour une fille. En réalité c'est juste que tu veux éviter d'être le dernier Béo présent dans le dortoir. Tu n'as clairement pas envie de finir attaché à une chaise et torturé à coup de poil à gratter, de peinture et dieu sait quoi d'autres. C'est l'unique et la seule raison qui te fait prendre tes jambes à ton cou. Instinctivement tes pas te mènent vers la piscine. C'est un endroit que tu connais par cœur, il n'est pas loin et là-bas tu es sur d'être en sécurité. Car oui tu as bien l'impression qu'on t'a suivie. A aucun moment tu as pensé que cela pouvait être la petite styliste tu apprécies et avec qui tu passes beaucoup de temps. Non tu n'as pas imaginé qu'elle puisse se mettre à te poursuivre, seule, dans la nuit et le froid, surtout suite à votre attaque. Par contre tu sais que c'est un dragon, tu l'as vu te suivre depuis les dortoirs.
Aussi tu lui prévois un plan, tu te montres bien lorsque tu pénètres dans le hall d'entrée que tu connais par cœur. Tu décides donc de faire un sale tour à la personne qui te suit. Tu te caches dans le recoin d'un mur et tu attends. Tu entends la personne qui ouvre la porte, même si elle essaye d'être discrète. Tu attends encore, préparant ton coup, écoutant ses pas, guettant le meilleur moment pour attaquer. Quand son ombre arrive sur toi, tu fonds sur ta proie littéralement. A cet instant il n'y a plus d'amitié qui tienne, tu es un véritable prédateur. Tu n'as aucune mauvaise intention face à cheong qui t'a suivi. Tu veux juste être sûr de ne pas manquer ta proie. Celle-ci atterri bien entres tes griffes. Tu l'as plaqué au mur, tenant ses mains devant elle pour qu'elle ne puisse pas utiliser ses genoux pour répliquer. Tu ouvres en bouche pour lâcher une menace amusante mais tu te stop découvrant le visage de Yon.
« Toi ?! Mais qu'est-ce que tu fais là ? »
Tu ne la lâches pas pour autant, desserrant cependant tes mains pour libérer ses poignets. C'est en plongeant ton regard dans le sien tu finis par murmurer sensuellement
« Tu veux te venger ou tu as d'autres idées pour m'avoir suivie. Avoue que tu voulais un tête à tête avec moi. »
Aussi tu lui prévois un plan, tu te montres bien lorsque tu pénètres dans le hall d'entrée que tu connais par cœur. Tu décides donc de faire un sale tour à la personne qui te suit. Tu te caches dans le recoin d'un mur et tu attends. Tu entends la personne qui ouvre la porte, même si elle essaye d'être discrète. Tu attends encore, préparant ton coup, écoutant ses pas, guettant le meilleur moment pour attaquer. Quand son ombre arrive sur toi, tu fonds sur ta proie littéralement. A cet instant il n'y a plus d'amitié qui tienne, tu es un véritable prédateur. Tu n'as aucune mauvaise intention face à cheong qui t'a suivi. Tu veux juste être sûr de ne pas manquer ta proie. Celle-ci atterri bien entres tes griffes. Tu l'as plaqué au mur, tenant ses mains devant elle pour qu'elle ne puisse pas utiliser ses genoux pour répliquer. Tu ouvres en bouche pour lâcher une menace amusante mais tu te stop découvrant le visage de Yon.
« Toi ?! Mais qu'est-ce que tu fais là ? »
Tu ne la lâches pas pour autant, desserrant cependant tes mains pour libérer ses poignets. C'est en plongeant ton regard dans le sien tu finis par murmurer sensuellement
« Tu veux te venger ou tu as d'autres idées pour m'avoir suivie. Avoue que tu voulais un tête à tête avec moi. »
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Dim 6 Déc - 19:42 Citer EditerSupprimer
Cette attaque du dortoir l'avait vraiment agacé. Ce n'était pas la première fois que cela arrivait, et il se doutait bien que cela ne serait sûrement pas la dernière non plus, mais Kô avait particulièrement horreur que l'on touche à ses affaires sans qu'on y fut autorisé. C'était plus fort que lui et ce fut d'ailleurs pour cette raison qu'il avait pris son courage à deux pour pénétrer dans le bâtiment plongé dans le noir qui diffusait une musique beaucoup trop entêtante à son goût. Maintenant, il en ressortait plein de peinture sur son visage et sur ses vêtements, des paillettes surmontant le tout. Heureusement, il s'était vite débarrassé du string en bonbons que Jiwoong lui avait passé autour du cou - quoi que ce n'était pas cela qui le dérangeait le plus étant donné que ça ne salissait pas. Kô courait maintenant derrière le plus âgé. Il ne courait pas aussi vite que lui, mais il avait le mérite de ne pas le perdre de vue et c'était déjà pas trop mal pour lui.
Kô finit par atteindre l'entrée de la piscine à son tour. Il s'y stoppa quelques secondes pour reprendre son souffle et remettre son portable dans sa poche. Doucement, il s'avança pour ouvrir la porte et il ne s'attendait clairement pas à se faire plaquer au mur, les mains coincées pour qu'il ne puisse plus se débattre.
« Lâche-moi ! hurla-t-il de sa voix cristalline en tentant de se débattre malgré tout. Ce serait plutôt à moi de te poser cette question ! Pourquoi vous avez tout saccagé ? Et mes affaires ?! »
Pour le coup, le blondinet était un peu égoïste et revenait encore une fois sur ses précieux biens. Parce que oui, même s'il avait de l'argent à ne plus savoir qu'en faire, il était du genre à conserver les choses qui lui tenait à cœur. Il n'avait pas envie de les perdre. Alors même s'il aperçut la surprise sur le visage de son interlocuteur, Kô continuait de bouger pour se défaire de son étreinte - qu'il appréciait malgré tout un tant soit peu. Enfin, il sentit Jiwoong relâcher ses poignets et il ne put s'empêcher de piquer un léger fard aux paroles qu'il lui offrit. Néanmoins, il parvint à se reprendre en le repoussant par les épaules, croisant ensuite les bras sur sa poitrine.
« Si c'était peut-être le cas, ça ne l'est plus du tout, déclara-t-il en tâchant d'y croire lui-même. Je suis couvert de peinture et de paillettes... tu vas devoir te rattraper si tu veux que je te pardonne. »
Kô esquissa une légère moue boudeuse en secouant ses cheveux dont de nouvelles paillettes tombèrent autour de lui, autour d'eux. Bizarrement, face à Jiwoong et éloigné de toute l'agitation, la pression semblait retomber. Il abandonna un soupir et désigna la piscine d'un geste de la main.
« Montre-moi donc de quoi tu es capable dans l'eau. »
Il lui sourit doucement en songeant qu'il allait devoir se montrer extrêmement prudent. Demeurer Yon était une facette qui lui plaisait face à Jiwoong, surtout depuis cette soirée d'Halloween qui, même si elle s'était finie un peu étrangement et lui avait laissé un goût doux-amer, lui avait offert son premier baiser. Un baiser qui brûlait encore au creux de son ventre.
@suh ji woong
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Dim 6 Déc - 20:29 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôTu vois bien qu'elle est en colère et tu peux comprendre. Elle plus que personne a le droit d'être hors d'elle en sachant la panique que vous avez mis dans les chambres. Tu sais son amour pour les vêtements, ce sont presque des bébés à ses yeux et malheureusement vous avez visité plus de la moitié des chambres. Il y a donc 50% de chance qu'elle retrouve sa chambre orange, les sous-vêtements remplacés par les strings en bonbon et son lit défait (ou son matelas en bas de l'immeuble) et là ce n'est que les chambres. Tu ne doutes pas que les autres teams ont fait autant, voir pire. Une lueur désolée traverse ton visage alors qu'elle te crie dessus.
« C'est le jeu ma pauvre Lucette. Y parait que c'est monnaie courante ici. »
Après l'avoir lâché tu hausses les épaules, essayant de faire dériver la conversation. Quand elle te repousse tu ouvres grands les yeux, sans comprendre cette réaction. Elle qui d'habitude est pendu à ton cou, la voilà qui met de la distance. Etrangement ce geste te blesse plus que tout le reste. Depuis votre baiser tu te poses mille questions à son sujet. Cette soirée d'Halloween s'est fini en queue de poisson. Au fond cela t'a bien arrangé pour éviter de remettre sur le sujet sur la table. D'ailleurs ni l'un, ni l'autre ne l'a fait, mettant surement ça sur le compte de la drogue. Et pourtant tu n'as rien oublié et ce contact si intime te fait encore réfléchir. Comme à cet instant où tu as plongé ton regard dans le sien, te laissant envouté par sa voix. Encore une fois elle balaye toutes tes réflexions et tu entres dans son jeu à cœur perdu et c'est le cas de le dire.
« Hum j'ai plein d'idées pour me faire pardonner. »
Tu affiches un sourire charmeur accompagné d'un clin d'œil. Tu l'observes se secouer et faire tomber des paillettes avec un fin sourire. Pourquoi dès qu'elle est avec toi tu te sens fébrile. Elle représente tout ce que tu aimes. Une tentation à laquelle tu as envie de céder depuis quelques temps. Tu as l'impression d'être comme un gosse devant une vitrine de bonbons. Le pire c'est que tu ne peux pas entrer, ce n'est ni le manque d'envie, ni le courage qui manque. C'est juste une loyauté bizarre, précaire que tu t'imposes. Tu as beau être libertin, tu as des principes, maigres, ambiguës, mais existants. C'est ce qui te permet de ne pas sombrer du côté obscur du sexe. Comme un alcoolique se rattacherait à ses réunions de sevrage, toi tu t'imposes des limites et elle, Yon, cette divine créature aguicheuse en fait partie.
« Toi tu essayes d'en profiter pour mater c'est ça ? »
Tu pouffes de rire, sans refuser, ni accepter. Tu lui attrapes plutôt la main pour l'entrainer vers toi.
« Viens je vais déjà te faire visiter. On pourra se changer et prendre une douche chaude...et pas ensemble hein !!! »
Tu lui jettes un regard sérieux car tu sais qu'elle serait capable de venir te tenter jusque dans la douche. Si avec d'autres c'est toi le prédateur, dans cette relation c'est bien toi qui est entre ses griffes. Au fond tu adores ça, c'est assez grisant de résister et ce qui est le plus amusant c'est qu'elle n'a encore pas jeté l'éponge. Vos pas vous menez d'abord au vestiaire, dans lesquelles tu déambules sans mal dans l'obscurité tant tu les connais par cœur. Tu allumes uniquement en arrivant dans ceux de votre équipe.
« Tu veux te changer, j'ai de quoi dans mon cassier ? Tu peux prendre une douche, il faut que j'en prenne une avant de rentrer dans l'eau sinon le coach va me tuer. Pour les filles c'est la bas. »
« C'est le jeu ma pauvre Lucette. Y parait que c'est monnaie courante ici. »
Après l'avoir lâché tu hausses les épaules, essayant de faire dériver la conversation. Quand elle te repousse tu ouvres grands les yeux, sans comprendre cette réaction. Elle qui d'habitude est pendu à ton cou, la voilà qui met de la distance. Etrangement ce geste te blesse plus que tout le reste. Depuis votre baiser tu te poses mille questions à son sujet. Cette soirée d'Halloween s'est fini en queue de poisson. Au fond cela t'a bien arrangé pour éviter de remettre sur le sujet sur la table. D'ailleurs ni l'un, ni l'autre ne l'a fait, mettant surement ça sur le compte de la drogue. Et pourtant tu n'as rien oublié et ce contact si intime te fait encore réfléchir. Comme à cet instant où tu as plongé ton regard dans le sien, te laissant envouté par sa voix. Encore une fois elle balaye toutes tes réflexions et tu entres dans son jeu à cœur perdu et c'est le cas de le dire.
« Hum j'ai plein d'idées pour me faire pardonner. »
Tu affiches un sourire charmeur accompagné d'un clin d'œil. Tu l'observes se secouer et faire tomber des paillettes avec un fin sourire. Pourquoi dès qu'elle est avec toi tu te sens fébrile. Elle représente tout ce que tu aimes. Une tentation à laquelle tu as envie de céder depuis quelques temps. Tu as l'impression d'être comme un gosse devant une vitrine de bonbons. Le pire c'est que tu ne peux pas entrer, ce n'est ni le manque d'envie, ni le courage qui manque. C'est juste une loyauté bizarre, précaire que tu t'imposes. Tu as beau être libertin, tu as des principes, maigres, ambiguës, mais existants. C'est ce qui te permet de ne pas sombrer du côté obscur du sexe. Comme un alcoolique se rattacherait à ses réunions de sevrage, toi tu t'imposes des limites et elle, Yon, cette divine créature aguicheuse en fait partie.
« Toi tu essayes d'en profiter pour mater c'est ça ? »
Tu pouffes de rire, sans refuser, ni accepter. Tu lui attrapes plutôt la main pour l'entrainer vers toi.
« Viens je vais déjà te faire visiter. On pourra se changer et prendre une douche chaude...et pas ensemble hein !!! »
Tu lui jettes un regard sérieux car tu sais qu'elle serait capable de venir te tenter jusque dans la douche. Si avec d'autres c'est toi le prédateur, dans cette relation c'est bien toi qui est entre ses griffes. Au fond tu adores ça, c'est assez grisant de résister et ce qui est le plus amusant c'est qu'elle n'a encore pas jeté l'éponge. Vos pas vous menez d'abord au vestiaire, dans lesquelles tu déambules sans mal dans l'obscurité tant tu les connais par cœur. Tu allumes uniquement en arrivant dans ceux de votre équipe.
« Tu veux te changer, j'ai de quoi dans mon cassier ? Tu peux prendre une douche, il faut que j'en prenne une avant de rentrer dans l'eau sinon le coach va me tuer. Pour les filles c'est la bas. »
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Dim 6 Déc - 23:40 Citer EditerSupprimer
Le jeu... Oui, sans doute. Sans doute était-ce le jeu, mais Kô n'avait pas demandé à y participer - cette fois-ci. Il était une victime collatérale de toute cette attaque menée contre leur fraternité et il n'avait encore vu que l'extérieur. A peine vu, même, puisque l'obscurité les avait encadré. Il n'osait imaginer ce qu'il allait retrouver dans le dortoir, dans quel état serait ses affaires, et rien que d'y penser, une boule de nerf remontait dans son estomac. Les petits papillons chauds étaient beaucoup plus plaisants que cette sensation désagréable... Alors il abandonna un léger soupir en disant à Jiwoong qu'il allait devoir se rattraper pour se faire pardonner. Parce que, de toute façon, face à lui, Kô perdait de plus en plus ses moyens sans encore oser s'avouer de manière sobre qu'il avait déjà perdu le jeu contre lui. Il l'avait perdu depuis le début où il l'avait rencontré à cette soirée organisée pour les membres du club de natation dont le plus âgé faisait partie.
« Alors j'ai hâte que tu m'en fasses part... » déclara-t-il en revenant délicatement attraper le haut de Jiwoong.
Même si Kô venait de le repousser, ce n'était pas comme s'il désirait vraiment le voir s'éloigner. Au contraire. Plus il était proche de lui, plus il se sentait vivant et en sécurité. Jiwoong lui avait prouvé plusieurs fois sa force et sa confiance, alors il n'avait rien d'autre à lui démontrer ce soir-là. Néanmoins, le blondinet couvert de peinture avait bien hâte de savoir quelles étaient les diverses idées qu'avait en tête le brun. Kô lui sourit de nouveau en haussant doucement les épaules à son interrogation. Peut-être - sûrement. Et si c'était le cas, ça changerait quelque chose ? De quoi avait-il si peur ? Tout n'était que platonique entre eux... hormis ce baiser. L'étudiant en stylisme se mordit la lèvre inférieure mais n'eut pas le temps de réagir. Jiwoong lui saisit la main pour l'emmener à sa suite lui faire visiter cet endroit qu'il connaissait si bien.
« Bien sûr, je ne pensais pas à ça... »
Après tout, il devait être très prudent.
Pour Kô, c'était la première fois qu'il y entrait. Il n'était pas un féru de sport, toutefois il aimait voir cette flamme qui illuminait le regard et les paroles de son interlocuteur. Il se doutait que cette flamme était un peu semblable à la sienne, entre passionnés, ils pouvaient plutôt se comprendre sur ces points. D'autant plus que le blondinet se rappelait de Jiwoong lorsqu'ils étaient partis boire ensemble à un bar, lui racontant ses expériences et ses rêves concernant la natation.
Il le remercia quand Jiwoong lui donna des affaires de rechange, songeant avec une certaine euphorie qu'il allait porter encore une fois des habits qui lui appartenait, puis il fila sans demander son reste dans les douches destinées aux femmes. Cela le faisait sourire sans cesse alors qu'il se dépêcha de ne pas rester trop longtemps. Si quelqu'un entrait par mégarde... il serait cuit.
Il se hâta donc de se doucher, de se sécher, puis de se rhabiller en enfilant les vêtements que lui avait donné Jiwoong. Il s'attacha les cheveux en une petite queue de cheval, puisqu'ils étaient toujours humides et laissa ses pieds nus pour marcher. Il revint vers la piscine et s'amusa à marcher sur le rebord, tout en conservant l'équilibre. Tombera ou ne tombera pas ? Le double sens lui fit sourire tandis qu'il releva son visage pour apercevoir le nageur qui arrivait dans sa direction. A quoi ressemblait-il enfoui sous ses vêtements d'homme ? A de la malice, probablement. Mais, prudent encore, il se recula du bord en souriant toujours.
@suh ji woong
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Mer 9 Déc - 19:10 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
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@Hitoshio KôEncore un trait de caractère que vous avez en commun : lunatique. Enfin dans ton cas ce n'est pas vraiment le cas. Tu te moques bien d'avoir foutu la panique dans son dortoir, tu comprends qu'elle soit hors d'elle et tu voudrais lui rappeler que ce ne sont que des vêtements. Cependant tu sais qu'à ses yeux ce n'est pas que ça, c'est beaucoup plus. C'est pour ça que tu essayes de dériver la conversation, quitte à utiliser son point faible : votre jeu de drague. Au fond elle joue avec toi et tu sais aussi la manipuler lorsque c'est nécessaire. D'ailleurs tu es bien heureux qu'elle redevienne la femme fatale que tu connais et pas la furie en colère contre toi. Lorsqu'elle t'attrape pour se rapprocher, un sourire instinctif se dessine sur ton visage. Tu ne sais pas pourquoi mais tu es rassuré qu'elle ne t'en veuille pas plus. Bon dans un sens tu n'étais pas seul mais c'est vrai que c'est quand même ton équipe qui s'est occupé des chambres. Il a de fortes chances pour tu es repeint sa chambre et volé ses sous-vêtements comme un pervers. Tu lui esquisses un sourire lorsqu'elle réplique qu'elle ne pensait pas prendre une douche avec toi. Etrangement tu ne la croit pas mais ce n'est pas grave. Tu l'entraines avec toi jusqu'aux vestiaires. Tu l'observes partir avec ta tenue de rechange, ça sera surement trop grand pour elle, mais au moins ça ne sera pas tâché de peinture. De ton côté tu prends ce qu'il faut et tu files à la douche. Tu es bien pourri, entre la peinture et les paillettes, mais tu as évité le pire.
Une fois prêt, tu as enfilé ton maillot, mis une serviette autour du cou et tu l'as rejoint. C'est la première fois que tu lui dévoiles ton corps. Tu sais qu'elle n'attend que ça, détailler ta carrure qu'elle a deviné sous tes vêtements. Elle va découvrir les cicatrices qui marquent ton corps. Elle verra surement celle à l'arme à feu que tu as au niveau de l'abdomen. Heureusement le tatouage du gang sur ta hanche est caché par le maillot, tu as choisi spécialement cet emplacement. En t'approchant tu la détailles. Cela te fait bizarre de la voir porter tes affaires, cela te rappelle ta petite amie qui fait pareil. Dans la pénombre de la piscine tu la trouves mystérieuse et élégante. Quel que soit ce qu'elle porte tu as l'impression qu'il se dégage d'elle une aura gracieuse qui sublime n'importe quelle tenue qu'elle enfile.
« Décidément tu devrais faire mannequin, tu arrives à mettre en valeur même ces guenilles. »
Tu esquisses un sourire la rejoignant. Une fois prêt d'elle tu lui offres ta serviette avant de te rapprocher du bord en reculant faisant dos à la piscine.
« Alors comme ça tu voulais me voir en action....J'espère que tu ne seras pas déçu. »
A ces mots, tu fais un flip arrière pour atterrir dans l'eau. En arrivant dans l'eau, tu gardes ton élan faisant le dauphine sur quelques mètres avant de revenir à la surface. Tu te mets en planche en l'observant avec un rire. Tu ne vas pas lui faire une démonstration complète de tes talents, de toute façon vu l'obscurité elle ne te verra plus si tu t'éloignes trop. Tu restes donc à quelques mètres du bord, rejoignant celui-ci en brasse coulé. Tu viens t'asseoir sur la ligne d'eau en lui lançant un sourire amusé.
« Tu veux me rejoindre ? »
Une fois prêt, tu as enfilé ton maillot, mis une serviette autour du cou et tu l'as rejoint. C'est la première fois que tu lui dévoiles ton corps. Tu sais qu'elle n'attend que ça, détailler ta carrure qu'elle a deviné sous tes vêtements. Elle va découvrir les cicatrices qui marquent ton corps. Elle verra surement celle à l'arme à feu que tu as au niveau de l'abdomen. Heureusement le tatouage du gang sur ta hanche est caché par le maillot, tu as choisi spécialement cet emplacement. En t'approchant tu la détailles. Cela te fait bizarre de la voir porter tes affaires, cela te rappelle ta petite amie qui fait pareil. Dans la pénombre de la piscine tu la trouves mystérieuse et élégante. Quel que soit ce qu'elle porte tu as l'impression qu'il se dégage d'elle une aura gracieuse qui sublime n'importe quelle tenue qu'elle enfile.
« Décidément tu devrais faire mannequin, tu arrives à mettre en valeur même ces guenilles. »
Tu esquisses un sourire la rejoignant. Une fois prêt d'elle tu lui offres ta serviette avant de te rapprocher du bord en reculant faisant dos à la piscine.
« Alors comme ça tu voulais me voir en action....J'espère que tu ne seras pas déçu. »
A ces mots, tu fais un flip arrière pour atterrir dans l'eau. En arrivant dans l'eau, tu gardes ton élan faisant le dauphine sur quelques mètres avant de revenir à la surface. Tu te mets en planche en l'observant avec un rire. Tu ne vas pas lui faire une démonstration complète de tes talents, de toute façon vu l'obscurité elle ne te verra plus si tu t'éloignes trop. Tu restes donc à quelques mètres du bord, rejoignant celui-ci en brasse coulé. Tu viens t'asseoir sur la ligne d'eau en lui lançant un sourire amusé.
« Tu veux me rejoindre ? »
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Ven 11 Déc - 21:52 Citer EditerSupprimer
Ce n'était pas tant qu'il ne lui en voulait plus, c'était juste que... C'était juste que Kô n'arrivait plus toujours très bien à se concentrer quand il avait Jiwoong en face de lui. Depuis la soirée d'Halloween, il avait eu le temps de réfléchir à ce qui était arrivé, à ce baiser qu'ils avaient échangé, et à l'évidence qui avait martelé son esprit à ce moment précis. Aujourd'hui, même s'il avait probablement détruit sa chambre, toutes ses affaires, et emporté ses sous-vêtements pour les remplacer par d'autres moins élégants, la colère de Kô s'était dissipée avec facilité. Il s'était comme ramolli face à son camarade, faible devant ses yeux sombres. Il se mordilla la lèvre, marchant sur le rebord de la piscine durant plusieurs minutes. Jiwoong avait eu cette facilité de lui retourner le cerveau et ça l'effrayait autant que ça l'attirait d'une puissance qu'il ne contrôlait pas. Jusqu'alors, le blondinet avait toujours su faire la part des choses dans ces jeux qu'il appréciait tant, mais qu'en était-il depuis sa rencontre avec le nageur ? A quel moment leur relation avait pu lui faire battre le cœur un peu plus fort ?
Quand il le vit revenir en maillot de bain face à lui, ses joues rosirent légèrement, mais, dans la pénombre, beaucoup de choses pouvaient paraître invisibles. Sauf certaines cicatrices. Des traces sur le corps musclé de Jiwoong, dans les bras de cet homme contre lequel le plus jeune avait terriblement envie de se perdre. Il n'avait que vingt-deux ans et malgré ses douleurs, il voulait croire en cette flamme qui vacillait au contact du plus âgé. Petit papillon approché trop près du feu. Appréciant les compliments, il s'était reculé du bord, par précaution, et ses prunelles rencontrèrent celles de son interlocuteur avant qu'il ne plonge dans les eaux chlorées. Il sourit et rit en le voyant faire un peu n'importe quoi avant de se montrer plus sérieux.
« Tu sais, je fais déjà du mannequinat, avoua-t-il. Je pose pour une marque japonaise. Ca m'aide beaucoup pour avancer dans mes propres travaux et voir comment est l'envers du décor, d'une certaine manière. »
Kô glissa alors ses mains dans les poches du pantalon trop large pour lui et secoua doucement la tête à l'invitation de son camarade. Néanmoins, il releva ensuite le bas du jogging pour s'asseoir au rebord, ses jambes trempant dans l'eau à côté de Jiwoong.
« Je ne suis pas très doué en sport, dit-il en laissant l'une de ses mains se faufiler sur les cheveux mouillés du brun pour jouer avec. Je suis plus manuel, on va dire. »
Le clair de lune abandonnait ses rayons sur eux, leurs reflets faisant écho sur la surface de l'eau. Ils étaient deux silhouettes au beau milieu de la nuit et cette poésie plaisait avec allégresse au futur styliste. Il aurait aimé avoir son bloc de dessin pour représenter cette scène... sauf que toutes ses affaires étaient sens-dessus dessous - reflétant à peu de choses près ses propres sentiments. Il finit par lâcher un petit soupir en retirant sa main pour venir attraper celle de Jiwoong et jouer maintenant avec ses doigts, les liant et les déliant.
« Est-ce que... est-ce qu'on peut reparler de ce qui s'est passé la nuit d'Halloween ? »
Pupilles qui remontèrent jusqu'à croiser celles de son camarade. Briser la glace pour en avoir le cœur net, même si celui-ci brûlait sous sa poitrine. Quelle vérité étaient-ils prêts à entendre ?
@suh ji woong
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Ven 11 Déc - 22:50 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôUne fois assis sur la ligne d'eau, tu l'as observé, te perdant dans ta contemplation. De toutes les fois où tu l'as vu c'est ce soir qu'elle est la plus belle. Dans la pénombre de la piscine, juste éclairé par la lune et les reflets de l'eau, elle ressemble à une sirène et tu es le marin envouté. Au départ tu étais juste curieux à son égard et aux fils des rendez-vous tu t'es réellement pris d'affection pour elle. C'est ton problème, tu aimes trop, trop tout, le sexe, la drague, la vie et les gens. Tu ne t'investis jamais à moitié dans une relation, même si tu n'es pas honnête car la plupart du temps tu es sous couverture, la personnalité que tu exposes est sincère, teinté de folie. Cette petite graine de folie qui te fait voir la vie différement, comme une cours de récréation ou la sonnerie n'indique pas le retour en classe, mais bien le poids des responsabilités de ton travail. Tu as donc pris l'habitude de profiter de chaque instant de la récréation, vivant tout intensément, comme cette attaque précédente ou cet instant avec elle qui s'ouvre toujours un peu plus à toi. Tu esquisses en apprenant qu'elle a fait mannequin, cela ne te surprend pas, sa beauté et sa grâce sont évidentes.
« Ça m'étonne pas, t'es capable de tout porter, ça se voit. »
Tu lui indiques ton jogging qu'elle porte, il a beau être trop grand, elle l'a laissé tomber sur ses hanches, harmonisant la tenue avec le haut qu'elle a arrangé pour sublimer le tout. Tu es certain qu'elle ne s'en est même pas rendu compte mais toi tu l'as remarqué.
A ta proposition, elle préfère s'asseoir au bord. Tu pouffes de rire lorsqu'elle t'ébouriffe les cheveux, ajoutant qu'elle est plus manuelle. Tu te mords la lèvre, comprenant clairement son sous-entendu. Il y a sous-entendu là hein ? C'est évident dans ta tête et tu ajoutes en souriant.
« Je suis sûr qu'il y a un sport ou tu te débrouilles...»
Tu esquisses un léger sourire rempli de malice, alors que tu gardes ton regard sur elle en l'admirant. Quand elle t'a pris la main, tu t'es laissé faire, habitué à avoir des contacts physiques avec elle. C'est un petit jeu entre vous. D'ailleurs si avant cela t'amusait, depuis la soirée d'halloween, cela te perturbe un peu plus. Chaque fois que tu l'as près de toi, tu te sens coupable tellement tu te sens bien. Cette fois ci ne fait pas de différence, jusqu'à ce qu'elle mentionne cette fameuse fête ou vous vous êtes embrassés. Ce souvenir te fait comme l'effet d'un choc électrique. Tu as essayé de l'enfouir et de ne plus y penser. Tu as d'ailleurs soigneusement éviter le sujet jusqu'ici, car au fond cet échange t'a chamboulé et continue de te hanter tant tu l'as apprécié. Malgré cela, instinctivement, tu as retiré ta main, sans te soucier qu'elle était accrochée à la tienne. Ce faisant tu l'as tiré dans l'eau violemment.
« Ça m'étonne pas, t'es capable de tout porter, ça se voit. »
Tu lui indiques ton jogging qu'elle porte, il a beau être trop grand, elle l'a laissé tomber sur ses hanches, harmonisant la tenue avec le haut qu'elle a arrangé pour sublimer le tout. Tu es certain qu'elle ne s'en est même pas rendu compte mais toi tu l'as remarqué.
A ta proposition, elle préfère s'asseoir au bord. Tu pouffes de rire lorsqu'elle t'ébouriffe les cheveux, ajoutant qu'elle est plus manuelle. Tu te mords la lèvre, comprenant clairement son sous-entendu. Il y a sous-entendu là hein ? C'est évident dans ta tête et tu ajoutes en souriant.
« Je suis sûr qu'il y a un sport ou tu te débrouilles...»
Tu esquisses un léger sourire rempli de malice, alors que tu gardes ton regard sur elle en l'admirant. Quand elle t'a pris la main, tu t'es laissé faire, habitué à avoir des contacts physiques avec elle. C'est un petit jeu entre vous. D'ailleurs si avant cela t'amusait, depuis la soirée d'halloween, cela te perturbe un peu plus. Chaque fois que tu l'as près de toi, tu te sens coupable tellement tu te sens bien. Cette fois ci ne fait pas de différence, jusqu'à ce qu'elle mentionne cette fameuse fête ou vous vous êtes embrassés. Ce souvenir te fait comme l'effet d'un choc électrique. Tu as essayé de l'enfouir et de ne plus y penser. Tu as d'ailleurs soigneusement éviter le sujet jusqu'ici, car au fond cet échange t'a chamboulé et continue de te hanter tant tu l'as apprécié. Malgré cela, instinctivement, tu as retiré ta main, sans te soucier qu'elle était accrochée à la tienne. Ce faisant tu l'as tiré dans l'eau violemment.
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Ven 11 Déc - 23:16 Citer EditerSupprimer
L'eau était chaude, mais elle était glacée. Elle était glacée et, en plus, Kô but la tasse. Tiré dedans par son interlocuteur sans crier gare, il n'eut pas besoin de demander pourquoi il avait fait cela. Sa réponse semblait évidente et il se sentit affreusement blessé alors qu'il ressortait la tête de l'eau. Il toussa plusieurs fois avant de réussir à reprendre sa respiration, l'une de ses mains agrippée au rebord de la piscine puisqu'il n'avait pas pieds. Il savait nager, mais il coulait. Il avait l'impression de s'enfoncer dans cette eau qui, quelques secondes plus tôt, lui apparaissait si poétique.
« J'espère que t'as d'autres affaires de rechange », lâcha-t-il en plantant son regard dans le sien.
Pourquoi avait-il agi de cette manière ? Il ne voulait pas parler de ce baiser, pourtant, n'était-ce pas lui qui l'avait embrassé le premier ? N'était-ce pas lui qui s'était approché avec tant de désir près de lui pour déposer ses lèvres sur les siennes ? Jiwoong fuyait. Il fuyait toute cette soirée qu'ils avaient vécu et Kô était à la fois triste et en colère de ce comportement. Oui, Jiwoong avait une petite amie, et alors ? Justement, il se devait bien d'assumer les conséquences de ses actes, non ? Kô l'avait provoqué, l'avait attiré et il avait cédé. S'il ne l'aurait pas voulu, il aurait pu y mettre un terme bien plus vite. Mettre ses distances et l'oublier. Au moins le plus jeune en aurait moins souffert.
Egoïstes.
Il l'étaient tous les deux.
Kô se hissa alors pour quitter l'eau, loin d'être confortable dans cette piscine. Elle aurait pu avoir un côté beaucoup plus plaisant. Et, alors que ses cheveux gouttaient de nouveau car il avait perdu son élastique dans la bataille, les vêtements trop grands de Jiwoong étaient devenus collants. Beaucoup beaucoup trop collants. Alors, par réflexe, Kô plaqua ses bras sur sa poitrine (inexistante), ses pupilles s'ouvrant en grands tandis que ses lèvres esquissèrent un mouvement silencieux. Et il le vit. Il le vit dans les prunelles de Jiwoong que ce jeu venait de se terminer.
« Ne me regarde pas comme ça !? »
Et il lui tourna le dos, par réflexe, encore. Ne me regarde plus. S'il te plaît, faisons comme avant, jouons comme avant, tournons ensemble comme avant. S'il te plaît, s'il te plaît. S'il te plaît, Jiwoong. Le papillon venait de brûler ses ailes.
@suh ji woong
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Ven 11 Déc - 23:56 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôTu t'en es immédiatement voulu en la voyant tomber dans l'eau. Tu es d'ailleurs descendu de sa ligne d'eau pour venir l'attraper par la taille, craignant qu'elle ne sache pas nager et qu'elle panique. C'est idiot alors qu'un instant avant tu as fui son contact. Au fond cette fille te rend digne, tu apprécies sa compagnie autant qu'elle te perturbe. Pour elle tu serais prêt à remettre en question ta loyauté. Tu l'as d'ailleurs déjà fait en l'embrassant et c'est ce qui te dérange le plus. Tu aurais dû la fuir après ça. Tu as bien essayé mais elle n'est pas sortie de ton esprit, comme si elle t'avait envouté. Une pauvre poupée vaudou, c'est ça que tu es, elle rythme tes humeurs et envahit tes pensées constamment. Elle et ce baiser qui pour toi veux dire beaucoup. Beaucoup plus qu'elle ne le pense, les lèvres tu ne les offres pas, jamais, alors pourquoi à elle. Tu as beau de convaincre que c'était l'effet de la drogue, tu dois encore être drogué alors car tu y penses encore.
En la voyant accrochée au bord, tu t'éloignes d'un mouvement de brasse. Tu l'observes interdit sans rien dire. En effet malgré la faible lumière le spectacle que tu as devant les yeux ne permet pas d'équivoque. Elle n'a pas de poitrine....donc c'est il...Lorsqu'elle te regarde tu secoues la tête, te demandant si tu ne te fais pas des idées. Non c'est impossible et pourtant, lorsqu'il sort, tu ne peux pas rater son corps révélé qui sort de l'eau avec les vêtements tremblés et collants. Tu ne peux pas détacher ton regard de lui, observant son absence de poitrine mais aussi son entre jambe qu'il ne peut pas cacher derrière ses mains.
Ton sang ne fait qu'un tour. Tu as surement une fierté mal placée, mais tu as l'impression de t'être fait rouler dans la farine, pris à ton propre jeu. Au fond c'était déjà le cas, elle, enfin il t'a fait tomber sous son charme en tant que femmes. Apprendre que c'est un homme devrait t'enchanter, c'est sans compter sur ta fierté et ta dignité de flic. Toi, curieux comme un poux et observateur tu n'as rien vu. Tu n'en reviens pas d'avoir été aveugle tout ce temps et clairement tu lui en veux. C'est stupide tu es le seul responsable de cette erreur de jugement. Etrangement tu te souviens de détails qui auraient du te mettre la puce à l'oreille. Toute votre relation te revient et tu réalises qu'elle, qu'il - putain- t'a menti depuis le début. D'où le fait qu'il ne t'es jamais donné de prénom. Tu as bondi hors de la piscine, tel un jouet sur ressort. En même temps tu es hors de toi, la colère t'envahi et tu ne fais rien pour la calmer.
Tu t'es précipité vers lui, lui employant les épaules pour qu'il te fasse face. Tu l'observes avec un regard noir, une lueur de rage que tu ne lui avais encore jamais montré, même lorsque tu lui as sauvé la vie pendant l'explosion. Tu l'as secoué, en te mettant à le pousser, jusqu'à le plaquer contre le mur.
« T'es un putain de mec !! Pourquoi t'as rien dit ? A quel moment tu comptais avouer ça ?! Ça t'amuse de jouer avec les gens comme ça ? Est-ce que tu y gagnes ? Pourquoi tu te fais passer pour une fille ? POURQUOI ?! »
Toi de mauvaise foi, un peu, non totalement !! A tes yeux c'est sa faute !! Il est responsable de t'avoir trompé, d'avoir joué avec toi et ceux jusqu'à t'embrasser. C'est de ça qu'il voulait parler et c'est bien le sujet que tu abordes, un parmi tant d'autres. Car au fond, c'est ce qui t'énerve le plus, qu'il est joué avec toi en sachant que tu aimais les garçons. Pourquoi alors il ne t'a pas dit qu'il était ? Pourquoi il s'est moqué de toi ? Et jusqu'où il était prêt à aller en te torturant en te faisant croire qu'il était une fille ! Oh des questions tu en as et tu n'en as pas posé la moitié. Tu le tiens d'ailleurs fermement contre le mur pour avoir des réponses.
En la voyant accrochée au bord, tu t'éloignes d'un mouvement de brasse. Tu l'observes interdit sans rien dire. En effet malgré la faible lumière le spectacle que tu as devant les yeux ne permet pas d'équivoque. Elle n'a pas de poitrine....donc c'est il...Lorsqu'elle te regarde tu secoues la tête, te demandant si tu ne te fais pas des idées. Non c'est impossible et pourtant, lorsqu'il sort, tu ne peux pas rater son corps révélé qui sort de l'eau avec les vêtements tremblés et collants. Tu ne peux pas détacher ton regard de lui, observant son absence de poitrine mais aussi son entre jambe qu'il ne peut pas cacher derrière ses mains.
Ton sang ne fait qu'un tour. Tu as surement une fierté mal placée, mais tu as l'impression de t'être fait rouler dans la farine, pris à ton propre jeu. Au fond c'était déjà le cas, elle, enfin il t'a fait tomber sous son charme en tant que femmes. Apprendre que c'est un homme devrait t'enchanter, c'est sans compter sur ta fierté et ta dignité de flic. Toi, curieux comme un poux et observateur tu n'as rien vu. Tu n'en reviens pas d'avoir été aveugle tout ce temps et clairement tu lui en veux. C'est stupide tu es le seul responsable de cette erreur de jugement. Etrangement tu te souviens de détails qui auraient du te mettre la puce à l'oreille. Toute votre relation te revient et tu réalises qu'elle, qu'il - putain- t'a menti depuis le début. D'où le fait qu'il ne t'es jamais donné de prénom. Tu as bondi hors de la piscine, tel un jouet sur ressort. En même temps tu es hors de toi, la colère t'envahi et tu ne fais rien pour la calmer.
Tu t'es précipité vers lui, lui employant les épaules pour qu'il te fasse face. Tu l'observes avec un regard noir, une lueur de rage que tu ne lui avais encore jamais montré, même lorsque tu lui as sauvé la vie pendant l'explosion. Tu l'as secoué, en te mettant à le pousser, jusqu'à le plaquer contre le mur.
« T'es un putain de mec !! Pourquoi t'as rien dit ? A quel moment tu comptais avouer ça ?! Ça t'amuse de jouer avec les gens comme ça ? Est-ce que tu y gagnes ? Pourquoi tu te fais passer pour une fille ? POURQUOI ?! »
Toi de mauvaise foi, un peu, non totalement !! A tes yeux c'est sa faute !! Il est responsable de t'avoir trompé, d'avoir joué avec toi et ceux jusqu'à t'embrasser. C'est de ça qu'il voulait parler et c'est bien le sujet que tu abordes, un parmi tant d'autres. Car au fond, c'est ce qui t'énerve le plus, qu'il est joué avec toi en sachant que tu aimais les garçons. Pourquoi alors il ne t'a pas dit qu'il était ? Pourquoi il s'est moqué de toi ? Et jusqu'où il était prêt à aller en te torturant en te faisant croire qu'il était une fille ! Oh des questions tu en as et tu n'en as pas posé la moitié. Tu le tiens d'ailleurs fermement contre le mur pour avoir des réponses.
CODAGE PAR AMATIS
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Sam 12 Déc - 0:31 Citer EditerSupprimer
Ce n'était pas comme cela que c'était sensé se passer. Ce n'était pas comme cela que ça devait se passer tout court. Tout tombait à l'eau et ce n'était pas qu'un mauvais jeu de mot. Le cœur battait à mille à l'heure dans la poitrine du blond qui n'arrivait pas à dire quoi que ce soit d'autre. Il voulait se défendre, lui hurler d'aller se faire voir et que tout ça était de sa faute, mais il était tétanisé, bloqué contre ce mur face à Jiwoong qui le fusillait des yeux. Toute la douceur, toute la tendresse et la sécurité qu'il avait pu trouver en lui s'effritait avec violence et il crut un instant qu'il allait se faire frapper. Pourtant, le coup physique ne vint jamais, contrairement à tous les mots qui lui furent crachés en plein visage. Sous la poigne ferme de Jiwoong, Kô se sentait ridiculement petit à trembler dans ses affaires mouillées, ses cheveux dégoulinant le long de son cou, de sa nuque, lui collant davantage de sueurs froides.
Ce n'était pas la première fois que la personne en face de lui découvrait le pot-aux-roses concernant son identité. Non, et ce ne serait sûrement pas la dernière fois non plus, mais c'était pourtant belle et bien la première fois que Kô se sentait aussi coupable de l'avoir roulé dans la... dans quoi ? Dans rien du tout, à la fin ! Jiwoong avait joué, lui aussi, plus que joué, et c'était maintenant face à cette révélation qu'il le repoussait ? Il n'avait pas voulu parler de ce baiser quand il était Yon, cette demoiselle si fatale au nageur, alors voudrait-il davantage parler avec Kô, l'homme qu'il était vraiment ? Il déglutit et ses lèvres rosées reprirent la parole. Enfin. Il pouvait se libérer de cette entrave et combattre la colère de son camarade par la sienne, par ses peines et ses souffrances qu'il ravivait sans le savoir.
« C'est quoi ton problème à toi ?! lâcha-t-il en se débattant pour qu'il le libère de son étreinte. Tu n'avais qu'à ouvrir les yeux et voir toutes les évidences devant toi ! C'est toi qui a commencé à jouer avec moi à tout ça, c'est toi qui a voulu m'appeler Yon et me voir comme une femme ! Lâche-moi, Jiwoong ! »
Et il continua de se débattre, jouant de ses bras, gigotant de ses jambes également, avant d'essayer de le mordre pour qu'il arrête de le maintenir avec autant de force. C'était désagréable, et violent.
« Tu as bien dit que tu aimais les hommes, alors qu'est-ce que ça peut bien te faire ?! reprit-il, lâche-moi bordel, tu me fais mal ! Tu m'embrasses et maintenant tu vas dire que tout est de ma faute ? Hein, réponds-moi Jiwoong ! Pourquoi tu m'as embrassé si tu le regrettes tant que ça ?! TU ME FAIS MAL ! »
Il s'égosillait presque en continuant de se débattre jusqu'à ce qu'il puisse enfin se libérer de là. Il repoussa à son tour le brun avec toute la force dont il pouvait faire preuve et, glissant une main dans ses cheveux pour les rabattre en arrière, il sortit ensuite son teeshirt trempé pour le jeter sur Jiwoong, dévoilant ainsi son torse nu, imberbe, sans la moindre trace d'une éventuelle poitrine féminine.
« Tout ça c'est de ta faute, tu n'avais qu'à pas t'approcher de moi. Tu n'avais qu'à t'occuper de quelqu'un d'autre et arrêter de me tourner autour en déclarant que tu ne pouvais pas ! Mais tu ne pouvais pas quoi, Jiwoong ?! Tu ne pouvais pas ASSUMER ! »
Et du haut de son mètre cinquante, il lui faisait face. Il se dressait devant lui parce qu'il avait que trop courbé l'échine au cours de ces dernières années. Il ne se laisserait pas faire malgré la douleur que toute cette situation lui causait. Il avait envie de hurler, de pleurer, mais à la place, il revint vers Jiwoong pour taper de ses poings sur son torse.
« TU N'ES QU'UN EGOÏSTE ! »
Et je ne suis pas mieux que toi.
@suh ji woong
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