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Voila ton vrai visage (ft Kô)
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Sam 12 Déc - 15:19 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôSes paroles te blessent et ne font qu'augmenter ta colère, déjà bien présente. Cela se voit dans tes yeux qui brillent d'une lueur dangereuse. Bien qu'il se débatte, tu ne desserres pas ton étreinte, pas cette fois, pas pour elle qui est devenu lui. Et pourtant il n'a pas tort, tu n'es pas entièrement responsable mais c'est bien toi tu as décidé d'entrer dans son jeu, de lui trouver un surnom. Tu serres les dents en l'entendant dire ton prénom, enfin celui de ta couverture. Ce n'est pas toi, tout comme il n'est pas Yon. Cette réalité t'agace encore plus. Tu t'énerves parce qu'il a menti alors que tu fais pareil, tu n'es qu'un égoïste malhonnête. Après tout, tu as toujours appliqué le principe : fait ce que je dis, pas ce que je fais. C'est le fondement même de ta vie de flic infiltré. C'est assez ironique que tu lui reproches ce que tu fais et pourtant ton orgueil prend le dessus sur ta raison. Tu te sens blessé et trahi, parce que tu lui as dit des choses sur toi, tu t'es attaché à elle, enfin lui dans son rôle de fille. Comment est-ce qu'il a pu garder le secret sur son genre. Ce n'est pas un simple mensonge sur son identité comme toi. Et en même temps ce n'est pas si grave, c'est même une bonne chose, mais ton esprit refuse de l'accepter.
Lorsqu'il remet sur le tapis votre baiser, tu grognes en resserrant l'étau de tes mains sur lui. Tu n'as pas envie de répondre à sa question. Tu ne veux pas avouer que cet échange t'a fait quelque chose ? Que tu n'as pas arrêté d'y penser et que maintenant qu'il est un homme cela change tout. C'est vrai pourquoi ton cœur a envie de recommencer alors que tu es vexé comme un pou sur la tête d'un chauve. Il crie et se débat avec un peu plus de force, révélant alors sa véritable nature masculine. Ce n'est que là que tu décides de le lâcher, te reculant un pas. Tu n'en es pas moins en colère. Ton visage est empreint d'une grimace mauvaise, sourcils froncés, nez plissé et lèvres serrées. Le temps qu'il reprend sa respiration, c'est toi qui vocifère à ton tour.
« Ça te va bien de dire que c'est moi qui ai commencé à jouer !C'est pas moi m'amuse à m'habiller en fille et qui entretient le doute ! Ça t'amuse de tromper les gens ?! Je suis sûr que t'as un tableau de chasse ou tu recenses des victimes ! »
Si ça lui plait de mentir, ce n'est pas ton cas, tu es d'autant plus contrarié. Tu attrapes le t-shirt sans mal d'une main et le jette instinctivement plus loin de rage. En voyant son torse, cela ne fait que réveiller ta fierté blessée d'être passé à côté de la vérité. Après tout, tu es flic et un bien piètre enquêteur. Sa supercherie te met hors de toi, d'autant plus lorsqu'il reprend pour t'accuser de tout. Ces accusions terminent de t'énerver, tu t'es approché de lui, les poings fermés, prêt à lui dire ses quatre vérités. Cependant sa dernière phrase t'a arraché un grognement furieux. Ton poing est parti, aussi vite qu'une balle, mais il n'avait pas pour vocation de l'atteindre lui. Tes phalanges se sont écrasées contre le mur, fêlant un peu le carrelage présent. Tu as plongé ton regard dans le sien à quelques centimètres de son visage. Si précédemment cette proximité avec quelque chose d'excitant, à cet instant il ne se dégage qu'agressivité de toi.
« Qui s'assume le moins de deux hein ?! Et qui est le plus égoïste ?! Moi au moins j'étais franc avec toi et je croyais qu'on....je...Pff tu n'en veux même pas la peine...»
Tu t'es détourné de lui, lui tournant le dos. Malgré tes paroles, tu ne t'es pas calmé. Pourquoi cela te touche autant ? Tu te sentais proche d'elle et maintenant que la princesse a laissé place au vil dragon qu'en est-il ? Cela devrait te faciliter la tâche, maintenant tu peux le mettre dans ton lit sans être infidèle ? Alors pourquoi tu n'as qu'une envie c'est de ne plus le voir ?
Lorsqu'il remet sur le tapis votre baiser, tu grognes en resserrant l'étau de tes mains sur lui. Tu n'as pas envie de répondre à sa question. Tu ne veux pas avouer que cet échange t'a fait quelque chose ? Que tu n'as pas arrêté d'y penser et que maintenant qu'il est un homme cela change tout. C'est vrai pourquoi ton cœur a envie de recommencer alors que tu es vexé comme un pou sur la tête d'un chauve. Il crie et se débat avec un peu plus de force, révélant alors sa véritable nature masculine. Ce n'est que là que tu décides de le lâcher, te reculant un pas. Tu n'en es pas moins en colère. Ton visage est empreint d'une grimace mauvaise, sourcils froncés, nez plissé et lèvres serrées. Le temps qu'il reprend sa respiration, c'est toi qui vocifère à ton tour.
« Ça te va bien de dire que c'est moi qui ai commencé à jouer !C'est pas moi m'amuse à m'habiller en fille et qui entretient le doute ! Ça t'amuse de tromper les gens ?! Je suis sûr que t'as un tableau de chasse ou tu recenses des victimes ! »
Si ça lui plait de mentir, ce n'est pas ton cas, tu es d'autant plus contrarié. Tu attrapes le t-shirt sans mal d'une main et le jette instinctivement plus loin de rage. En voyant son torse, cela ne fait que réveiller ta fierté blessée d'être passé à côté de la vérité. Après tout, tu es flic et un bien piètre enquêteur. Sa supercherie te met hors de toi, d'autant plus lorsqu'il reprend pour t'accuser de tout. Ces accusions terminent de t'énerver, tu t'es approché de lui, les poings fermés, prêt à lui dire ses quatre vérités. Cependant sa dernière phrase t'a arraché un grognement furieux. Ton poing est parti, aussi vite qu'une balle, mais il n'avait pas pour vocation de l'atteindre lui. Tes phalanges se sont écrasées contre le mur, fêlant un peu le carrelage présent. Tu as plongé ton regard dans le sien à quelques centimètres de son visage. Si précédemment cette proximité avec quelque chose d'excitant, à cet instant il ne se dégage qu'agressivité de toi.
« Qui s'assume le moins de deux hein ?! Et qui est le plus égoïste ?! Moi au moins j'étais franc avec toi et je croyais qu'on....je...Pff tu n'en veux même pas la peine...»
Tu t'es détourné de lui, lui tournant le dos. Malgré tes paroles, tu ne t'es pas calmé. Pourquoi cela te touche autant ? Tu te sentais proche d'elle et maintenant que la princesse a laissé place au vil dragon qu'en est-il ? Cela devrait te faciliter la tâche, maintenant tu peux le mettre dans ton lit sans être infidèle ? Alors pourquoi tu n'as qu'une envie c'est de ne plus le voir ?
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Dim 13 Déc - 18:20 Citer EditerSupprimer
Il tremblait. Il tremblait de tous ses membres sans savoir si c'était à cause de cette eau qui dégoulinait encore de lui, de ses cheveux, si c'était la colère qui l'avait envahi tout d'un coup ou bien si c'était cette peur qui s'était emparée de ses viscères. Cette peur en voyant les traits du visage de Jiwoong déformés par sa propre colère, par ses propres sentiments, qu'il n'arrivait plus à contrôler. Mais Kô ne se laisserait pas marcher sur les pieds alors que la faute ne lui revenait pas entièrement. Il avait beau se repasser le film de leur rencontre, il savait que ce n'était pas lui qui avait débuté. Lui n'avait fait qu'être Kô tout au fil de la soirée, cuisinant, souriant, s'amusant... et Jiwoong l'avait pris pour une femme. Kô était devenu Yon pour ses beaux yeux et pourquoi réfuter tout cela ? Pourquoi réfuter cela alors que l'homme qu'il avait en face lui offrait de l'attention, une écoute et une chaleur qui lui avait été retirée depuis trop d'années ? Pourquoi réfuter tout cela alors qu'il n'y avait aucune raison que Jiwoong se laisse happer dans cette spirale ? Il le lui avait dit : il ne succomberait jamais. Jusqu'à cette soirée où il l'avait embrassé.
« Mais t'es complètement taré ou quoi ?! s'exclama-t-il. Oui, c'est ça, je tiens un tableau de chasse, j'épingle vos putains de tête dessus en marquant vos performances ! Et devine quoi ? Sous la tienne il y a écrit zéro ! »
Il devenait narquois, mauvais, mais parce que Jiwoong l'y avait poussé. Torse nu face à lui, il se défendait Kô, il se défendait de ce jeu pour lequel il avait lui-même plongé et dans lequel il n'avait pas envie de sortir. Il désirait encore ressentir l'étreinte chaleureuse et non violente de son interlocuteur, il voulait qu'il replace ses mèches de cheveux en place, là, juste derrière son oreille, qu'il lui murmure qu'il voulait qu'il l'arrête en jouant dans son costume d'Halloween, qu'ils parlent encore d'amour et de tous ces sentiments si forts... Sauf que ça ne serait plus le cas. Quelque chose venait d'être brisé. Une partie de son cœur avec.
Alors, quand il le vit avancer vers lui, les poings serrés, l'expression acérée, Kô recula d'un pas, sursautant quand le poing de Jiwoong termina dans le mur juste derrière lui. Brisé. Il déglutit et sentit sa gorge se nouer avec force aux paroles du brun. Il aurait voulu enlacer sa taille et le serrer contre lui. Il l'aurait réellement voulu. Mais c'était beaucoup trop.
« C'est ça que tu appelles de la franchise ? murmura-t-il avant de reprendre un peu plus fort. C'est ça que tu appelles de la franchise ?! Vas-y, Jiwoong, vas-y ! Dis-moi ce que je représentais pour toi, dis-moi ce que tout ça représentait pour toi !? Tu ne sais rien, rien du tout et tu ne sauras rien. »
Rien de plus, rien d'autre de moi alors que je meure de t'offrir toute mon histoire. Encore, il le repoussa un peu pour se faufiler et ramasser ses propres affaires qu'il avait mise à sécher dans un coin. Et même si elles étaient sales, c'était mieux que rien. Oui, que rien. Cette soirée était une catastrophe. Les larmes montaient à ses yeux et, alors qu'il remettait son teeshirt plein de peinture, il les essuya du revers de la main, agacé. Sans un regard pour le brun, il se mit en direction de la sortie de la piscine. Il détestait cet endroit. Il détestait cette soirée. Il détestait qu'il ne puisse même pas rentrer dans son dortoir.
@suh ji woong
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Re: Voila ton vrai visage (ft Kô) | Sam 9 Jan - 23:21 Citer EditerSupprimer
Voila ton vrai visage ?!
Kô + JiWoong
▼▲▼
@Hitoshio KôHumilié, c'est exactement l'impression que tu as face à la supercherie dont tu as été victime. Jamais, jamais tu ne t'es senti aussi blessé. Des tuiles tu as en eu dans ta vie, des galères tu en as connu, des moments pénibles, douloureux voir même dangereux. Seulement à cet instant tu te sens réellement trahi. Toi qui pourtant n'accorde pas ta confiance facilement face à elle...à lui, tu t'étais un peu dévoilé et voilà le résultat. Tu sais que le monde est rempli d'hypocrites, toi-même tu tires parfois sur la corde, tel un funambule jouant avec les gens. Tu te caches derrière l'excuse de ton travail et pourtant cela ne dédouane pas de tes responsabilités. C'est d'ailleurs l'aspect que tu aimes le moins dans ton métier alors que tu es si doué pour mentir. Sa réplique te fait réagir instinctivement et tu réponds en le foudroyant du regard.
« Il y aura toujours noté zéro ! Et tu sais pourquoi ?! Parce que tu peux m'oublie ! Toi et tes yeux de biches qui se jouent de tout le monde. »
Ta colère prend le dessus. Heureusement que tu as un minimum de maitrise de toi et ton poing termine dans le mur à la place d'abimer le visage que tu aimais tant auparavant. Si physiquement tu l'épargnes, ce n'est pas le cas de tes phrases. Tu espères viser juste, non en réalité tu t'en moques, tu es honnête. Tu pensais réellement que cette relation pouvait être vraie, malgré le jeu tacite instauré entre vous, tu avais l'espoir que le reste était sincère. Toi tu étais sincère. Pourquoi tu viens tout remettre en question maintenant, parce que tu te sens blessé. A sa question, tu ne te retournes pas. Tu pourrais inventer une réponse, tu pourrais aussi lui dire la vérité ? Quelle est-elle d'ailleurs ? Au fond de toi, tu le sais, tu apprécies cette fille, cette relation et cette complicité simple et maintenant ? Maintenant rien du tout, tu n'as plus rien à faire avec lui, ni explications, ni excuses, rien et cela te déchire un peu plus le cœur. Tu l'entends partir et tu l'observes du coin de l'œil. Quand il passe à proximité, tu l'interpelles d'un claquement de langue pour lui lancer une serviette. Ensuite tu le laisses partir, te dirigeant toi-même à l'opposé. Tu as besoin de te calmer et pour ça tu ne connais qu'une personne de confiance, ton meilleur ami.
FIN
« Il y aura toujours noté zéro ! Et tu sais pourquoi ?! Parce que tu peux m'oublie ! Toi et tes yeux de biches qui se jouent de tout le monde. »
Ta colère prend le dessus. Heureusement que tu as un minimum de maitrise de toi et ton poing termine dans le mur à la place d'abimer le visage que tu aimais tant auparavant. Si physiquement tu l'épargnes, ce n'est pas le cas de tes phrases. Tu espères viser juste, non en réalité tu t'en moques, tu es honnête. Tu pensais réellement que cette relation pouvait être vraie, malgré le jeu tacite instauré entre vous, tu avais l'espoir que le reste était sincère. Toi tu étais sincère. Pourquoi tu viens tout remettre en question maintenant, parce que tu te sens blessé. A sa question, tu ne te retournes pas. Tu pourrais inventer une réponse, tu pourrais aussi lui dire la vérité ? Quelle est-elle d'ailleurs ? Au fond de toi, tu le sais, tu apprécies cette fille, cette relation et cette complicité simple et maintenant ? Maintenant rien du tout, tu n'as plus rien à faire avec lui, ni explications, ni excuses, rien et cela te déchire un peu plus le cœur. Tu l'entends partir et tu l'observes du coin de l'œil. Quand il passe à proximité, tu l'interpelles d'un claquement de langue pour lui lancer une serviette. Ensuite tu le laisses partir, te dirigeant toi-même à l'opposé. Tu as besoin de te calmer et pour ça tu ne connais qu'une personne de confiance, ton meilleur ami.
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