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no offence but... what are you doing ((eui geon))
Im Han Jae
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Jeu 3 Mar - 16:09 Citer EditerSupprimer
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i was far , i was far i was falling before you shine on me it was dark it was dark, it was dark before you woke me up a flower in your hand you smile brightly at me the curse disappears
Parfois, t'étais tenté d'en prendre un par l'oreille, et l'autre aussi, et de les traîner dans une pièce, de les faire s'asseoir en leur ordonnant de parler. De parler, pas crier ou s'insulter ou tu savais pas trop quoi encore. De parler, comme des adultes. De régler le souci – enfin ! T'étais tenté, quelques fois, de te mêler un peu plus de ce souci qui ne te regardait pas, bien que tu sois un peu au milieu de temps en temps. Pas que tu sois obligé de choisir un camp mais... Tu te retrouvais tout de même embêté, par moments. L'idée de les mettre dans la même pièce pour parler te semblait bonne. Puis tu les entendais parler de l'un et l'autre et tu te rappelais pourquoi tu l'avais jamais fait : t'avais peur d'un éventuel massacre.
Tu comprenais que ça puisse vexer, blesser. Que ça puisse créer des conflits. Mais aussi énormes ? T'en arrivais à te demander s'ils se détestaient vraiment ou si c'était juste leur façon de fonctionner, finalement. Leur façon de communiquer. Parce qu'ils n'arrivaient pas autrement, s'étant habitués à ça au fil du temps qui passe. T'étais sûr qu'ils pourraient bien s'entendre, en plus. Mais tu ne pouvais pas les forcer à faire la paix. Tu ne pouvais pas les obliger. Ils étaient assez grands, osais-tu songer. Tu te permettais simplement d'être là de temps en temps pour stopper d'éventuelles bêtises. « Je fais pas le gendarme, ou le patriarche. Je suis juste votre ami », dis-tu doucement, le ton bas, calme, le sourire discret. « Ce serait trop calme si t'étais plus là », qui voudrait mettre tout et n'importe quoi dans le thé d'Ae Ra ? Tu lui lanças un regard, bougeant faiblement les sourcils, mimant un « J'espère bien » sans le dire. Tu préférais l'empêcher de faire des bêtises pendant des années encore plutôt que de ne plus l'empêcher du tout. Fort heureusement pour tout le monde, le sujet de conversation dévia. L'inspiration était grandement là, soudainement, et l'étincelle s'allumait peu à peu dans ton regard. « N'est-ce pas », dis-tu simplement, les sourcils froncés, maudissant la pollution qui gâchait la vue, qui brisait le ciel. « Ca fait du bien de voir un peu de couleurs de temps en temps », tu souris doucement. Car pour toi, en ville, tout était noir, blanc, gris. Tout était fade, sans couleurs. Rien ne brillait. Tout était vide. Tandis qu'à la campagne, dans la nature, tout brillait – et ton cœur se réchauffait. Et tu respirais enfin. Ici tu pouvais pas respirer. T'étouffais, tu te noyais. Sous ce béton, ce gris, cette pollution et toutes ces émotions négatives que les Hommes faisaient voyager. « J'ai pas dit grand chose mais ravi de savoir que mes mots puissent te toucher », commentas-tu, la paume sur le cœur, l'esquisse amusée. Tu clignas des paupières, un brin penaud. Tinder ? C'était pas la barre chocolatée ?? « Trop de problèmes ? », demandas-tu, le visage faiblement penché, curieux mais pas trop. Tu ne voulais pas forcer, pas obliger. S'il voulait parler, il savait qu'il pouvait. Et s'il ne voulait pas, tu ne lui en voudrais pas non plus. Tu comprenais. Tu comprenais moins qu'il veuille partir tout de suite. Pas que t'étais pas content, juste... surpris. « Oh » soufflas-tu, hochant le visage. « On y va alors », tu souris doucement, l'excitation dans le regard. « Je t'emmènerai là-bas. On pourra se prévoir ça si tu veux », proposas-tu dans une esquisse enjouée. « Il y a pas mal de champs et des vues dégagées. Et pas mal d'oiseaux aussi », tu t'y connaissais pas cela dit donc il s'agissait sans doute d'espèces qu'il avait déjà vues – mais il pourrait toujours t'apprendre un truc ou deux. Tu trouvais ça intéressant. « Allons chercher ton appareil photo alors », les paysages valaient toujours le coup d'être photographié. Et encore bien souvent tu trouvais que la photographie ne faisait pas honneur au vrai spectacle. La nature était si merveilleuse, et unique, qu'il était difficile de la capturer. « Je ne pense pas. J'ai tout », t'avais pas besoin de grand chose. Juste ton portefeuille, au cas où, et c'était tout. « On peut prendre la mienne, ça me dérange pas. Puis ce sera plus simple pour y aller », ça t'éviterait de devoir indiquer les directions. Mais surtout tu pouvais le laisser se détendre et observer le paysage en attendant d'y arriver. D'un signe de tête, tu désignas la sortie, quittant la pièce, le pas léger, le cœur en fête. T'étais presque un homme nouveau – ou disons plutôt que t'étais pas compliqué. On te disait qu'on t'emmenait à la campagne ou qu'on t'y accompagnait et ta journée était tout de suite plus belle. « Tu veux qu'on prenne un truc à boire et à manger sur le chemin ? Si jamais on a un petit creux là-bas ? », demandas-tu, tournant le visage vers lui. « Pas que ce soit totalement éloigné de la ville mais juste pour nous éviter le trajet si jamais », et quitter la belle nature bien trop tôt. Tu te rendis jusqu'à ta voiture, vérifiant non sans trop de mal les messages sur ton téléphone, les sourcils bien trop froncés pour quelque chose d'aussi simple. Tu l'invitas à prendre place, t'installer côté conducteur. « Au fait... », soufflas-tu délicatement après avoir quitté le parking. « C'est quoi tinder ? », osas-tu enfin demander, les pommettes faiblement rosies et l'air totalement paumé.
Tu comprenais que ça puisse vexer, blesser. Que ça puisse créer des conflits. Mais aussi énormes ? T'en arrivais à te demander s'ils se détestaient vraiment ou si c'était juste leur façon de fonctionner, finalement. Leur façon de communiquer. Parce qu'ils n'arrivaient pas autrement, s'étant habitués à ça au fil du temps qui passe. T'étais sûr qu'ils pourraient bien s'entendre, en plus. Mais tu ne pouvais pas les forcer à faire la paix. Tu ne pouvais pas les obliger. Ils étaient assez grands, osais-tu songer. Tu te permettais simplement d'être là de temps en temps pour stopper d'éventuelles bêtises. « Je fais pas le gendarme, ou le patriarche. Je suis juste votre ami », dis-tu doucement, le ton bas, calme, le sourire discret. « Ce serait trop calme si t'étais plus là », qui voudrait mettre tout et n'importe quoi dans le thé d'Ae Ra ? Tu lui lanças un regard, bougeant faiblement les sourcils, mimant un « J'espère bien » sans le dire. Tu préférais l'empêcher de faire des bêtises pendant des années encore plutôt que de ne plus l'empêcher du tout. Fort heureusement pour tout le monde, le sujet de conversation dévia. L'inspiration était grandement là, soudainement, et l'étincelle s'allumait peu à peu dans ton regard. « N'est-ce pas », dis-tu simplement, les sourcils froncés, maudissant la pollution qui gâchait la vue, qui brisait le ciel. « Ca fait du bien de voir un peu de couleurs de temps en temps », tu souris doucement. Car pour toi, en ville, tout était noir, blanc, gris. Tout était fade, sans couleurs. Rien ne brillait. Tout était vide. Tandis qu'à la campagne, dans la nature, tout brillait – et ton cœur se réchauffait. Et tu respirais enfin. Ici tu pouvais pas respirer. T'étouffais, tu te noyais. Sous ce béton, ce gris, cette pollution et toutes ces émotions négatives que les Hommes faisaient voyager. « J'ai pas dit grand chose mais ravi de savoir que mes mots puissent te toucher », commentas-tu, la paume sur le cœur, l'esquisse amusée. Tu clignas des paupières, un brin penaud. Tinder ? C'était pas la barre chocolatée ?? « Trop de problèmes ? », demandas-tu, le visage faiblement penché, curieux mais pas trop. Tu ne voulais pas forcer, pas obliger. S'il voulait parler, il savait qu'il pouvait. Et s'il ne voulait pas, tu ne lui en voudrais pas non plus. Tu comprenais. Tu comprenais moins qu'il veuille partir tout de suite. Pas que t'étais pas content, juste... surpris. « Oh » soufflas-tu, hochant le visage. « On y va alors », tu souris doucement, l'excitation dans le regard. « Je t'emmènerai là-bas. On pourra se prévoir ça si tu veux », proposas-tu dans une esquisse enjouée. « Il y a pas mal de champs et des vues dégagées. Et pas mal d'oiseaux aussi », tu t'y connaissais pas cela dit donc il s'agissait sans doute d'espèces qu'il avait déjà vues – mais il pourrait toujours t'apprendre un truc ou deux. Tu trouvais ça intéressant. « Allons chercher ton appareil photo alors », les paysages valaient toujours le coup d'être photographié. Et encore bien souvent tu trouvais que la photographie ne faisait pas honneur au vrai spectacle. La nature était si merveilleuse, et unique, qu'il était difficile de la capturer. « Je ne pense pas. J'ai tout », t'avais pas besoin de grand chose. Juste ton portefeuille, au cas où, et c'était tout. « On peut prendre la mienne, ça me dérange pas. Puis ce sera plus simple pour y aller », ça t'éviterait de devoir indiquer les directions. Mais surtout tu pouvais le laisser se détendre et observer le paysage en attendant d'y arriver. D'un signe de tête, tu désignas la sortie, quittant la pièce, le pas léger, le cœur en fête. T'étais presque un homme nouveau – ou disons plutôt que t'étais pas compliqué. On te disait qu'on t'emmenait à la campagne ou qu'on t'y accompagnait et ta journée était tout de suite plus belle. « Tu veux qu'on prenne un truc à boire et à manger sur le chemin ? Si jamais on a un petit creux là-bas ? », demandas-tu, tournant le visage vers lui. « Pas que ce soit totalement éloigné de la ville mais juste pour nous éviter le trajet si jamais », et quitter la belle nature bien trop tôt. Tu te rendis jusqu'à ta voiture, vérifiant non sans trop de mal les messages sur ton téléphone, les sourcils bien trop froncés pour quelque chose d'aussi simple. Tu l'invitas à prendre place, t'installer côté conducteur. « Au fait... », soufflas-tu délicatement après avoir quitté le parking. « C'est quoi tinder ? », osas-tu enfin demander, les pommettes faiblement rosies et l'air totalement paumé.
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Lun 9 Mai - 22:24 Citer EditerSupprimer
@Im Han Jae
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C’était une affirmation juste et vraie. Hanjae était leur ami à tous les deux et malgré leur comportement enfantin, il ne prenait parti pour aucun d’eux bien qu’il aurait pu à un moment le faire. Après tout, Aera comme Euigeon étaient deux enfants qui ne savaient pas quand arrêter de se faire la tête alors qu’ils auraient dû le faire depuis des années. « Tu peux le dire que je te manquerai ! » dit-il en taquinant son ami. Il n’y avait aucune honte à avouer que telle ou telle personne nous manquerait. Certes, ce n’était pas forcément facile, mais parfois ça faisait du bien de laisser sortir. Il vit son regard et un sourire innocent s’afficha sur ses lèvres. Il ne ferait pas de bêtises. Euigeon avait survécu à deux ruptures qui l’avaient brisé, il pouvait bien survivre à cette vipère de Aera. puis il était encore trop jeune pour se laisser aller.
De toute façon, il avait encore plein de choses à voir et Hanjae avait toujours les mots qu’il fallait pour lui remonter le moral et surtout le faire sortir de sa routine quotidienne. Ce fut le cas une fois de plus quand il lui parla du fait qu’ils pouvaient se rendre pas loin dans un coin de campagne, loin de la pollution visuelle et de l’air de la capitale coréenne. « C’est ce qui manque ici. Y a de beaux jardins mais ce n’est pas pareil qu’un vrai bout de campagne avec des animaux et pas des humains. » Euigeon n’avait rien contre les humains, mais il n’aimait pas réellement quand il y en avait trop et que ça l’empêchait de faire des espèces qu’il appréciait. En ville c’était compliqué d’apercevoir des oiseaux alors qu’une fois hors de la ville, il était heureux et voyait tout ce qu’il voulait. Puis son ami avait le don de toujours trouver les bons mots alors il le taquina un peu plus, lui disant qu’il était parfait pour lui et qu’il ne voulait plus utiliser tinder. Seulement, même s’il le voulait, Euigeon ne pourrait pas être avec Hanjae. Il était trop hétérosexuel pour ça et s’il n’avait pas de problème avec l’idée que des gens aiment des personnes du même sexe qu’eux, ce n’était pas quelque chose qu’il envisageait pour lui. Il tapota doucement sur son épaule avant de soupirer quand il releva le fait qu’il avait eu beaucoup de problèmes avec des femmes. « Hmm, pour la faire courte, je me suis fait couillonner et en beauté. Je suis sorti avec deux femmes pendant quelque temps, pas en même temps hein ! Mais je pensais que j’allais me marier avec elles. Sauf qu’à chaque fois que j’ai voulu faire ma demande, il y avait un truc qui merdait. La première m’a trompé et la seconde, elle s’est barrée sans me prévenir et sans me donner de nouvelles. » Il n’avait pas réussi à surmonter sa deuxième rupture parce qu’il n’avait pas réellement eu de réponses à ses questions. Il savait qu’elle était retournée auprès de son ex, mais pour quelles raisons ? Ça, c’était un mystère pour Euigeon. Il eut un sourire désolé d’avoir plombé l’ambiance et sauta sur l’occasion que Hanjae lui propose de partir maintenant pour le faire. Il n’avait rien de mieux à faire et il n’avait besoin que de son appareil photo. Même s’il ne photographiait pas les oiseaux, ça lui permettrait d’en faire quelques unes de paysages et ça l’apaiserait, il ne pouvait pas le nier. « J’attends avec impatience que tu me montres ton chez toi alors ! Ça doit changer d’ici. Après, tu sais, j’aime pas que les oiseaux… » Certes, c’était ce qu’il aimait le plus et il avait même basé ses études dessus, mais il n’aimait pas que ça. « Okay, passons chercher mon appareil et on y va ! » Il regarda ensuite Hanjae pour savoir si lui avait besoin de prendre quelque chose et surtout avec quelle voiture il voulait y aller. Qu’importe, Euigeon suivrait. « C’est vrai que ce serait plus simple de prendre la tienne. Après tout, tu connais le chemin. » Hanjae savait où il voulait aller alors que ce n’était pas le cas de Euigeon qui tâtonnerait et devrait suivre les indications de son ami. Le plus jeune suivit son ami, remarquant qu’il avait presque changé, comme si la simple évocation de la campagne pouvait transformer celui qu’il était. Un sourire amusé naquit sur les lèvres de Euigeon alors qu’il haussa les épaules à ses questions, écoutant les précisions qu’il lui donnait. « Hmm, je sais pas vraiment. Peut-être de l’eau ? Comme on va être un peu reculés, ce serait bien d’avoir de l’eau non ? Après la nourriture, est-ce que c’est vraiment nécessaire ? » Au vu de ce qu’il disait, ce n’était pas si loin que ça et donc, ils n’aurait pas forcément besoin d’avoir à manger et à boire. Mais c’était à Hanjae de dire si c’était nécessaire ou non. Ils arrivèrent à sa voiture et tandis que le propriétaire du bolide s’installait derrière la place du conducteur, Euigeon prit celle du passager et se tourna vers son ami, sondant son visage après sa question. Etait-il sérieux ? Demandait-il réellement ce que tinder était ? Le sourire amusé de Euigeon se changea en un petit rire. « Tu viens vraiment de la campagne pour pas savoir ce que c’est… Ou alors, t’y connais vraiment rien à tout ce qui est technologie. » Dans les deux cas, c’était peut-être lié. Il se focalisa sur la route avant de lui répondre. « Tinder, c’est une application pour rencontrer des gens. En gros, tu crées un profil avec des photos, des infos te concernant et ce que tu cherches, hommes, femmes, les deux ect… » C’était bizarre de lui expliquer, comme s’il expliquait les choses à un enfant ou à une personne âgée. « Et ensuite, tu peux discuter avec les gens si tu as un match. C’est-à-dire, si la personne a aimé ton profil. Ça sert beaucoup pour former des couples… Ou pour simplement avoir des relations sexuelles sans lendemain. » Il reporta son attention sur Hanjae, le regardant presque attendri. « Pourquoi ? Tu veux essayer ? » Euigeon l’aiderait avec son profil si jamais il avait besoin.
De toute façon, il avait encore plein de choses à voir et Hanjae avait toujours les mots qu’il fallait pour lui remonter le moral et surtout le faire sortir de sa routine quotidienne. Ce fut le cas une fois de plus quand il lui parla du fait qu’ils pouvaient se rendre pas loin dans un coin de campagne, loin de la pollution visuelle et de l’air de la capitale coréenne. « C’est ce qui manque ici. Y a de beaux jardins mais ce n’est pas pareil qu’un vrai bout de campagne avec des animaux et pas des humains. » Euigeon n’avait rien contre les humains, mais il n’aimait pas réellement quand il y en avait trop et que ça l’empêchait de faire des espèces qu’il appréciait. En ville c’était compliqué d’apercevoir des oiseaux alors qu’une fois hors de la ville, il était heureux et voyait tout ce qu’il voulait. Puis son ami avait le don de toujours trouver les bons mots alors il le taquina un peu plus, lui disant qu’il était parfait pour lui et qu’il ne voulait plus utiliser tinder. Seulement, même s’il le voulait, Euigeon ne pourrait pas être avec Hanjae. Il était trop hétérosexuel pour ça et s’il n’avait pas de problème avec l’idée que des gens aiment des personnes du même sexe qu’eux, ce n’était pas quelque chose qu’il envisageait pour lui. Il tapota doucement sur son épaule avant de soupirer quand il releva le fait qu’il avait eu beaucoup de problèmes avec des femmes. « Hmm, pour la faire courte, je me suis fait couillonner et en beauté. Je suis sorti avec deux femmes pendant quelque temps, pas en même temps hein ! Mais je pensais que j’allais me marier avec elles. Sauf qu’à chaque fois que j’ai voulu faire ma demande, il y avait un truc qui merdait. La première m’a trompé et la seconde, elle s’est barrée sans me prévenir et sans me donner de nouvelles. » Il n’avait pas réussi à surmonter sa deuxième rupture parce qu’il n’avait pas réellement eu de réponses à ses questions. Il savait qu’elle était retournée auprès de son ex, mais pour quelles raisons ? Ça, c’était un mystère pour Euigeon. Il eut un sourire désolé d’avoir plombé l’ambiance et sauta sur l’occasion que Hanjae lui propose de partir maintenant pour le faire. Il n’avait rien de mieux à faire et il n’avait besoin que de son appareil photo. Même s’il ne photographiait pas les oiseaux, ça lui permettrait d’en faire quelques unes de paysages et ça l’apaiserait, il ne pouvait pas le nier. « J’attends avec impatience que tu me montres ton chez toi alors ! Ça doit changer d’ici. Après, tu sais, j’aime pas que les oiseaux… » Certes, c’était ce qu’il aimait le plus et il avait même basé ses études dessus, mais il n’aimait pas que ça. « Okay, passons chercher mon appareil et on y va ! » Il regarda ensuite Hanjae pour savoir si lui avait besoin de prendre quelque chose et surtout avec quelle voiture il voulait y aller. Qu’importe, Euigeon suivrait. « C’est vrai que ce serait plus simple de prendre la tienne. Après tout, tu connais le chemin. » Hanjae savait où il voulait aller alors que ce n’était pas le cas de Euigeon qui tâtonnerait et devrait suivre les indications de son ami. Le plus jeune suivit son ami, remarquant qu’il avait presque changé, comme si la simple évocation de la campagne pouvait transformer celui qu’il était. Un sourire amusé naquit sur les lèvres de Euigeon alors qu’il haussa les épaules à ses questions, écoutant les précisions qu’il lui donnait. « Hmm, je sais pas vraiment. Peut-être de l’eau ? Comme on va être un peu reculés, ce serait bien d’avoir de l’eau non ? Après la nourriture, est-ce que c’est vraiment nécessaire ? » Au vu de ce qu’il disait, ce n’était pas si loin que ça et donc, ils n’aurait pas forcément besoin d’avoir à manger et à boire. Mais c’était à Hanjae de dire si c’était nécessaire ou non. Ils arrivèrent à sa voiture et tandis que le propriétaire du bolide s’installait derrière la place du conducteur, Euigeon prit celle du passager et se tourna vers son ami, sondant son visage après sa question. Etait-il sérieux ? Demandait-il réellement ce que tinder était ? Le sourire amusé de Euigeon se changea en un petit rire. « Tu viens vraiment de la campagne pour pas savoir ce que c’est… Ou alors, t’y connais vraiment rien à tout ce qui est technologie. » Dans les deux cas, c’était peut-être lié. Il se focalisa sur la route avant de lui répondre. « Tinder, c’est une application pour rencontrer des gens. En gros, tu crées un profil avec des photos, des infos te concernant et ce que tu cherches, hommes, femmes, les deux ect… » C’était bizarre de lui expliquer, comme s’il expliquait les choses à un enfant ou à une personne âgée. « Et ensuite, tu peux discuter avec les gens si tu as un match. C’est-à-dire, si la personne a aimé ton profil. Ça sert beaucoup pour former des couples… Ou pour simplement avoir des relations sexuelles sans lendemain. » Il reporta son attention sur Hanjae, le regardant presque attendri. « Pourquoi ? Tu veux essayer ? » Euigeon l’aiderait avec son profil si jamais il avait besoin.
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Mer 3 Aoû - 20:03 Citer EditerSupprimer
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« Ma vie manquerait cruellement de tabasco si t'étais pas là », articulas-tu dans un petit mouvement du visage, un léger sourire mutin aux lèvres mais la frimousse sage et sérieuse. Peut-être un peu trop. Tu haussas les épaules dans un air innocent. Tu venais simplement d'avouer la vérité. Ce serait triste si Eui Geon n'était pas là ; il faisait parti de ces personnes que tu appréciais et avec qui tu aimais passer du temps – même quand il voulait assaisonner le thé d'Ae Ra. Ce grand môme avait un côté attachant, une sorte de douceur un peu piquante mais ça t'allait. Il restait une bonne personne, Eui Geon. Un sale môme aussi, certes, mais une bonne personne. Une personne à qui tu voulais montrer les bienfaits de la nature. Pas qu'il ne le sache pas déjà mais tu te privais jamais de le répéter. Tu te privais pas de décrire la campagne, la verdure, comme un paradis alors que la ville était un enfer. Ton enfer. Lui lançant un regard perplexe, tu plissas un peu le nez. « Tu viens de comparer un jardin de ville avec la campagne ou je rêve ? », tu imitas un gosse mécontent, grimaçant faiblement en secouant la tête, avant de pouffer, amusé. « C'est pas du tout la même. Le jardin s'arrête, à un moment donné. La campagne paraît sans fin selon l'endroit où tu te situes », genre au milieu du champ. Et le regard pouvait parcourir l'horizon à tous les points cardinaux. C'était magique, la campagne. C'était la liberté, le rêve, le pouvoir – sans pour autant opprimer ou faire preuves de mauvaises intentions. T'aimais la campagne pour cet air qu'elle offrait. Ces couleurs qu'elle donnait. Cette beauté qu'elle était. Pas besoin des doigts de l'homme pour être splendide, elle l'était déjà. Clignant doucement des paupières, tu quittas tes pensées dans une légère esquisse, amusé par la conversation, avant de froncer quelque peu les sourcils dans une moue plus sérieuse, plus à l'écoute aussi. Tu levas quelque peu les sourcils, l'étonnement visible, un faible « Oh » quittant délicatement ta bouche. « Je suis désolé », tu lui offris une esquisse coupable d'avoir demandé, la frimousse soucieuse et désolée. Que pouvais-tu dire d'autre ? « Ce n'étaient peut-être pas les bonnes personnes pour toi », proposas-tu, l'index frôlant ta joue, songeur, ne voulant formuler des paroles qui pourraient le blesser. « Je suis sûr que tu trouveras quelqu'un qui aime le tabasco dans son thé » – nouvelle version de trouver chaussure à son pied. Tu voulais l'entendre rire plutôt que de le voir sourire aussi tristement.
Cela dit s'il avait besoin d'en parler, il n'avait pas à hésiter. Tu pouvais juste écouter, sans forcément dire quoi que ce soit. Simplement écouter, prêter une oreille et peut-être un conseil, plus ou moins bon. T'étais pas spécialiste dans le domaine – mais t'étais une oreille attentive. En attendant, changement de plan : direction la campagne. Tu souris, comme un gosse devant ses cadeaux de noël à l'idée d'emmener Eui Geon avec toi dans ton petit coin de paradis. « Il y a tellement de choses à voir, et même si ça a changé, ça reste merveilleux. Et les gens aussi, ils restent adorables », une esquisse aux lèvres, tu mimas un air contenté, presque rêveur. « Certes. Mais tu aimes beaucoup les oiseaux », t'essayais juste de trouver les meilleurs arguments possibles. Tu allais devoir vérifier ton planning, et tu feras quelques propositions à ton camarade, histoire de se caler une date. T'allais pas oublier. Tu hochas le visage, soufflant un petit « Ah oui de l'eau » dans un air illuminé. L'idée n'était pas bête. « La nourriture je ne pense pas mais l'eau c'est toujours utile », après tout on pouvait tenir sans manger plus longtemps qu'on ne le pouvait sans boire. Pas que tu comptais resté coincé dans la campagne profonde pendant des jours cela dit. T'installant au volant, tu posas tout de même cette question qui te perturbait, clignant des paupières dans un air penaud. « Les deux », lâchas-tu après quelques secondes de silence. Tu venais bien de la campagne et t'y connaissais rien à tout ça. Tu haussas les épaules, te concentrant sur le chemin, écoutant ses explications dans une petite grimace perplexe. Tu émis un simple son, pour dire que tu avais entendu, pas compris, mais entendu. « Donc une application pour rencontrer des gens... parce qu'on ne peut pas en rencontrer autrement », bien sûr. Évidemment. « Pourquoi ? Tu te proposes pour m'apprendre ? », avait-il du courage pour vous deux ? Parce que, clairement, toi t'en avais pas. Surtout pas pour ce genre d'applications étranges... « Ca ne me donne pas vraiment envie. Ton explication est au point mais je ne comprends pas du tout le principe », tu comprenais rien, en fait. Clairement, t'étais dépassé par tout ça. « Ca a l'air bizarre. Plus j'y pense plus je me dis que... c'est bizarre », ce monde était bizarre, et tu t'y noyais. T'y avais pas ta place. Tu te garas, lui indiquant que vous étiez arrivés, le laissant aller récupérer son appareil photo alors que tu attendais sagement, le visage presque paisible alors que tu réfléchissais à ce qu'il venait de dire. « Tu as vraiment l'application ? », lui demandas-tu après qu'il soit revenu. « T'as pas peur ? Je veux dire... des arnaques ? », ça devait arriver non ? Cette société était de plus en plus pourrie après tout... Tu gardas le silence ensuite, conduisant tranquillement, le coin de tes lèvres se redressant au fur et à mesure que la voiture s'éloignait de la ville. « Tu trouves pas ça inutile ? Ce genre d'applications », parce que tu supposais que c'était pas la seule dans le genre. « Il devrait y avoir une application pour répertorier les plus belles campagnes. Ou les plus beaux coins où aller se ressourcer autour de l'endroit où on habite », ça pourrait être utile, ça.
Cela dit s'il avait besoin d'en parler, il n'avait pas à hésiter. Tu pouvais juste écouter, sans forcément dire quoi que ce soit. Simplement écouter, prêter une oreille et peut-être un conseil, plus ou moins bon. T'étais pas spécialiste dans le domaine – mais t'étais une oreille attentive. En attendant, changement de plan : direction la campagne. Tu souris, comme un gosse devant ses cadeaux de noël à l'idée d'emmener Eui Geon avec toi dans ton petit coin de paradis. « Il y a tellement de choses à voir, et même si ça a changé, ça reste merveilleux. Et les gens aussi, ils restent adorables », une esquisse aux lèvres, tu mimas un air contenté, presque rêveur. « Certes. Mais tu aimes beaucoup les oiseaux », t'essayais juste de trouver les meilleurs arguments possibles. Tu allais devoir vérifier ton planning, et tu feras quelques propositions à ton camarade, histoire de se caler une date. T'allais pas oublier. Tu hochas le visage, soufflant un petit « Ah oui de l'eau » dans un air illuminé. L'idée n'était pas bête. « La nourriture je ne pense pas mais l'eau c'est toujours utile », après tout on pouvait tenir sans manger plus longtemps qu'on ne le pouvait sans boire. Pas que tu comptais resté coincé dans la campagne profonde pendant des jours cela dit. T'installant au volant, tu posas tout de même cette question qui te perturbait, clignant des paupières dans un air penaud. « Les deux », lâchas-tu après quelques secondes de silence. Tu venais bien de la campagne et t'y connaissais rien à tout ça. Tu haussas les épaules, te concentrant sur le chemin, écoutant ses explications dans une petite grimace perplexe. Tu émis un simple son, pour dire que tu avais entendu, pas compris, mais entendu. « Donc une application pour rencontrer des gens... parce qu'on ne peut pas en rencontrer autrement », bien sûr. Évidemment. « Pourquoi ? Tu te proposes pour m'apprendre ? », avait-il du courage pour vous deux ? Parce que, clairement, toi t'en avais pas. Surtout pas pour ce genre d'applications étranges... « Ca ne me donne pas vraiment envie. Ton explication est au point mais je ne comprends pas du tout le principe », tu comprenais rien, en fait. Clairement, t'étais dépassé par tout ça. « Ca a l'air bizarre. Plus j'y pense plus je me dis que... c'est bizarre », ce monde était bizarre, et tu t'y noyais. T'y avais pas ta place. Tu te garas, lui indiquant que vous étiez arrivés, le laissant aller récupérer son appareil photo alors que tu attendais sagement, le visage presque paisible alors que tu réfléchissais à ce qu'il venait de dire. « Tu as vraiment l'application ? », lui demandas-tu après qu'il soit revenu. « T'as pas peur ? Je veux dire... des arnaques ? », ça devait arriver non ? Cette société était de plus en plus pourrie après tout... Tu gardas le silence ensuite, conduisant tranquillement, le coin de tes lèvres se redressant au fur et à mesure que la voiture s'éloignait de la ville. « Tu trouves pas ça inutile ? Ce genre d'applications », parce que tu supposais que c'était pas la seule dans le genre. « Il devrait y avoir une application pour répertorier les plus belles campagnes. Ou les plus beaux coins où aller se ressourcer autour de l'endroit où on habite », ça pourrait être utile, ça.
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« Je sais, je manquerai à ta vie si je n’étais pas là. » répliqua Euigeon, lui lançant un clin d’oeil par la même occasion. Il n’en fit pas plus parce qu’il savait que Hanjae, malgré le fait qu’il l’appréciait, n’était pas en mesure de comprendre ce qui se passait entre lui et Aera et qu’il n’approuvait pas du tout cette situation. Le professeur ne souhaitait donc pas jouer avec le feu. Il préféra donc laisser de côté ce sujet, passant à la campagne et au fait qu’en ville il n’y avait pas assez de verdure. Un rire léger secoua ses épaules alors qu’il regardait le visage outré de Hanjae. Euigeon avait osé comparé un jardin à la campagne et rien que pour ça, il était prêt à le refaire encore et encore. « Bah oui c’est bien ce que je dis, c’est pas pareil même si ça reste quand même de la verdure. » Cherchait-il à agacer son ami ? Peut-être. Mais rien que de voir son air outré valait plus que de mettre du tabasco dans le thé de Aera. Rien que pour ça, Euigeon était heureux d’avoir été coupé dans son élan par l’assistant de la vipère. Mais alors que la conversation était assez légère, elle prit une tournure un peu plus triste alors que le prof mentionna ses deux longues relations qui furent totalement catastrophiques. Entre Narae qui avait brisé son coeur en le trompant et Malia qui avait quitté le pays sans même se retourner, on pouvait dire que Euigeon en avait bavé avec les femmes. Il haussa les épaules aux excuses de Hanjae. « C’est pas à toi de t’excuser. T’y es pour rien. » Parce que c’était le cas. Il n’avait pas soufflé à Narae de le tromper et demandé à Malia de quitter la Corée pour repartir avec son ex abusif. Le fils Im se massa l’épaule où l’impact de la balle qu’il avait prise pour Malia se trouvait. Il n’avait plus mal, mais cette cicatrice était le signe qu’il avait fait un truc qu’il ne regrettait pas, mais qu’il aurait aimé ne pas avoir à faire. Il soupira et son sourire triste se transforma légèrement en un amusé aux mots de son ami. « Ça va me suivre encore longtemps le tabasco dans le thé ? Parce que je l’ai pas fait. » Du moins pas encore. Il trouverait bien une autre occasion de le faire. « Et je cherche pas. Ça arrivera si ça arrive. Et puis si c’est pas le cas, tant pis. On peut très bien vivre sans personne. » Se sentait-il seul parfois ? Oui. Mais il avait appris à vivre dans cette solitude et si elle ne pesait pas sur ses épaules, parfois, il aurait aimé avoir quelqu’un à ses côtés.
Mais il préférait ne pas s‘attarder sur le sujet parce que ça deviendrait trop profond, trop triste et il ne souhaitait pas ça pour eux, pas pour le moment. Alors ils se mirent à discuter de chez Hanjae, Euigeon désirant voir sa campagne natale. Ça lui plairait bien, lui qui n’avait connu que la ville et la campagne proche, seulement en vacances et il rêvait de voir la campagne pour plus de quelques jours. Il sourit en hochant la tête, notant que Hanjae avait l’air plus serein et plus rêveur dès qu’on se mettait à parler de la nature. Un rire, qui ressemblait plus à un reniflement dédaigneux, s’échappa de son nez et il secoua la tête. « Alors oui, j’aime les oiseaux, mais pas que ! Et pour les gens… Je sais pas. Ils sont gentils quelques temps et après ils te la foutent à l’envers. » Ou alors, c’était Euigeon qui les jugeait mal ou ne tombait que sur les gens qui se foutaient de lui dès le départ. Il devait les attirer, ça devait être la raison pour laquelle la plupart des gens qu’il connaissait finissaient pas le trahir d’une manière ou une autre. Mais il pensait, peut-être naïvement, que ce ne serait pas le cas de Hanjae et ça réchauffait son coeur tandis qu’ils parlaient des préparatifs pour se rendre dans un endroit un peu moins rempli de pollution et de buildings empêchant la vue de plein de belles choses. « On pense plus souvent à notre ventre pour la nourriture que pour l’eau alors que c’est aussi important voire même plus parfois. On peut survivre sans nourriture, mais sans eau non. » Encore une fois, le professeur en lui ressortait et il s’excusa silencieusement avec un petit sourire. Il n’était pas là pour faire la morale ou même un cours sur l’anatomie humaine et ses besoins, mais il n’avait pas pu s’empêcher de faire ressortir sa science, comme certains lui disaient parfois. Euigeon n’était pas le genre à donner des leçons de morale ou à étaler son intelligence à tout va. C’était simplement qu’il était comme ça, toujours à faire des remarques qui n’intéressaient jamais grand monde d’ailleurs. Heureusement, Hanjae ne se sentit pas offensé par ses mots et ça rassura quelque peu le jeune homme.
La suite de la conversation le fit légèrement rire alors qu’ils se mirent à parler de Tinder. Euigeon fut étonné de voir que son ami ne connaissait pas cette application et se mit à lui expliquer le processus et l’intérêt de ce système. Il laissa Hanjae lui poser des questions et un sourire amusé ourla ses lèvres. « Tu peux les rencontrer autrement, mais est-ce que tu sors dans des bars pour en rencontrer ? Est-ce que tu fais autre chose de ta vie que d’accompagner Aera dans tous ses mouvements ? » Ce n’était pas vraiment un jugement. C’était simplement que Euigeon le voyait toujours dans les pattes de la vipère et pas vraiment seul. C’était donc compliqué pour lui de rencontrer du monde si elle était toujours là, dans l’ombre. « Je peux t’apprendre si tu veux. » lança-t-il en haussant les épaules. Ça ne le dérangeait pas de le faire. Après tout, il fallait bien un début à tout. Lui aussi au départ il avait du mal à se faire à l’application. Peut-être que s’il pouvait donner des conseils à Hanjae ça irait. « Pourquoi tu trouves que c’est bizarre ? Ça reste le même système qu’à l’époque avec des petites annonces sur les journaux ou avec des lettres. Juste maintenant c’est tout fait par écran et beaucoup plus rapide. » Dans un sens, Euigeon pouvait comprendre qu’il trouve ça bizarre mais dans l’autre, ça restait un moyen de communication comme un autre. Un moyen qu’il avait utilisé une fois ou deux mais dont il s’était très vite lassé. Il en avait eu marre des personnes qui n’étaient là que pour une chose. Certes, il cherchait la même chose, mais il souhaitait aussi avoir une vraie relation, pas quelque chose de basé sur le cul. Euigeon, alla donc chercher son appareil photo et quelques trucs lorsqu'ils furent arrivés et quand il revint vers Hanjae, il fronça les sourcils. Il pensait qu’il en aurait fini avec l’application mais il se trompait. « Oui j’ai l’application et je m’en sers de temps en temps. Et non je n’ai pas peur, parce que tu les reconnais de suite. Puis, c’est souvent les femmes qui sont les victimes de ce genre de choses. Nous, on est quand même assez peu touché. » Il ne disait pas que ça ne se produisait pas, mais c’était rare comparé à une femme. Hanjae reprit alors la parole et Euigeon ne put retenir son rire, laissant même quelques larmes coulées le long de ses joues. « Beaucoup trouverait ton application plus inutile que Tinder… Crois moi. » Il continuait de rire avant de rajouter. « Mais ça peut être une bonne idée… Faudrait faire la même chose avec les animaux. Je suis sûr qu’on peut attirer quelques personnes. » Si jamais ils décidaient de le faire eux-mêmes.
Mais il préférait ne pas s‘attarder sur le sujet parce que ça deviendrait trop profond, trop triste et il ne souhaitait pas ça pour eux, pas pour le moment. Alors ils se mirent à discuter de chez Hanjae, Euigeon désirant voir sa campagne natale. Ça lui plairait bien, lui qui n’avait connu que la ville et la campagne proche, seulement en vacances et il rêvait de voir la campagne pour plus de quelques jours. Il sourit en hochant la tête, notant que Hanjae avait l’air plus serein et plus rêveur dès qu’on se mettait à parler de la nature. Un rire, qui ressemblait plus à un reniflement dédaigneux, s’échappa de son nez et il secoua la tête. « Alors oui, j’aime les oiseaux, mais pas que ! Et pour les gens… Je sais pas. Ils sont gentils quelques temps et après ils te la foutent à l’envers. » Ou alors, c’était Euigeon qui les jugeait mal ou ne tombait que sur les gens qui se foutaient de lui dès le départ. Il devait les attirer, ça devait être la raison pour laquelle la plupart des gens qu’il connaissait finissaient pas le trahir d’une manière ou une autre. Mais il pensait, peut-être naïvement, que ce ne serait pas le cas de Hanjae et ça réchauffait son coeur tandis qu’ils parlaient des préparatifs pour se rendre dans un endroit un peu moins rempli de pollution et de buildings empêchant la vue de plein de belles choses. « On pense plus souvent à notre ventre pour la nourriture que pour l’eau alors que c’est aussi important voire même plus parfois. On peut survivre sans nourriture, mais sans eau non. » Encore une fois, le professeur en lui ressortait et il s’excusa silencieusement avec un petit sourire. Il n’était pas là pour faire la morale ou même un cours sur l’anatomie humaine et ses besoins, mais il n’avait pas pu s’empêcher de faire ressortir sa science, comme certains lui disaient parfois. Euigeon n’était pas le genre à donner des leçons de morale ou à étaler son intelligence à tout va. C’était simplement qu’il était comme ça, toujours à faire des remarques qui n’intéressaient jamais grand monde d’ailleurs. Heureusement, Hanjae ne se sentit pas offensé par ses mots et ça rassura quelque peu le jeune homme.
La suite de la conversation le fit légèrement rire alors qu’ils se mirent à parler de Tinder. Euigeon fut étonné de voir que son ami ne connaissait pas cette application et se mit à lui expliquer le processus et l’intérêt de ce système. Il laissa Hanjae lui poser des questions et un sourire amusé ourla ses lèvres. « Tu peux les rencontrer autrement, mais est-ce que tu sors dans des bars pour en rencontrer ? Est-ce que tu fais autre chose de ta vie que d’accompagner Aera dans tous ses mouvements ? » Ce n’était pas vraiment un jugement. C’était simplement que Euigeon le voyait toujours dans les pattes de la vipère et pas vraiment seul. C’était donc compliqué pour lui de rencontrer du monde si elle était toujours là, dans l’ombre. « Je peux t’apprendre si tu veux. » lança-t-il en haussant les épaules. Ça ne le dérangeait pas de le faire. Après tout, il fallait bien un début à tout. Lui aussi au départ il avait du mal à se faire à l’application. Peut-être que s’il pouvait donner des conseils à Hanjae ça irait. « Pourquoi tu trouves que c’est bizarre ? Ça reste le même système qu’à l’époque avec des petites annonces sur les journaux ou avec des lettres. Juste maintenant c’est tout fait par écran et beaucoup plus rapide. » Dans un sens, Euigeon pouvait comprendre qu’il trouve ça bizarre mais dans l’autre, ça restait un moyen de communication comme un autre. Un moyen qu’il avait utilisé une fois ou deux mais dont il s’était très vite lassé. Il en avait eu marre des personnes qui n’étaient là que pour une chose. Certes, il cherchait la même chose, mais il souhaitait aussi avoir une vraie relation, pas quelque chose de basé sur le cul. Euigeon, alla donc chercher son appareil photo et quelques trucs lorsqu'ils furent arrivés et quand il revint vers Hanjae, il fronça les sourcils. Il pensait qu’il en aurait fini avec l’application mais il se trompait. « Oui j’ai l’application et je m’en sers de temps en temps. Et non je n’ai pas peur, parce que tu les reconnais de suite. Puis, c’est souvent les femmes qui sont les victimes de ce genre de choses. Nous, on est quand même assez peu touché. » Il ne disait pas que ça ne se produisait pas, mais c’était rare comparé à une femme. Hanjae reprit alors la parole et Euigeon ne put retenir son rire, laissant même quelques larmes coulées le long de ses joues. « Beaucoup trouverait ton application plus inutile que Tinder… Crois moi. » Il continuait de rire avant de rajouter. « Mais ça peut être une bonne idée… Faudrait faire la même chose avec les animaux. Je suis sûr qu’on peut attirer quelques personnes. » Si jamais ils décidaient de le faire eux-mêmes.
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Im Han Jae
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Ven 14 Avr - 20:55 Citer EditerSupprimer
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i was far , i was far i was falling before you shine on me it was dark it was dark, it was dark before you woke me up a flower in your hand you smile brightly at me the curse disappears
Bougeant un peu le visage dans un sourire tu ne faisais qu'approuver en silence. Ta vie serait bien triste sans Euigeon qui passait avec du tabasco de temps en temps. C'était une évidence. Même si c'était un peu déroutant et épuisant dans le fond. T'arrivais pas à les comprendre, lui et Ae Ra. Ni à les calmer Mauvais père que tu faisais, ton rôle n'étant clairement pas rempli. « C'est pas de la verdure », répliquas-tu, presque offensé d'une telle comparaison, lui lançant un regard désapprobateur. « Tu peux pas comparer ce qui n'est pas comparable », ajoutas-tu, les sourcils faiblement froncés. Un jardin en ville n'était pas identique à un coin de campagne dans la nature où aucun immeuble ne brisait la vue, aucune voiture ne venait détruire la tranquillité et où aucune pollution ne venait casser les couleurs. Vraiment, rien de comparable. Comment osait-il ? « Je sais. Mais quand même », insistas-tu dans une fine esquisse, compatissante. « Ca va te suivre de longues je pense », rétorquas-tu dans un air satisfait. C'était presque inscrit sur son dos. Un sujet qui ne le quitterait pas et qui ne te quittera pas non plus. Tu te demandais encore où il avait eu l'idée, et comment – et surtout pourquoi. « C'est vrai », chuchotas-tu, l'observant un instant. « Mais l'homme n'est pas fait pour être seul », tu bougeas un peu les épaules. Toi-même tu avais mis du temps à l'admettre mais tu avais besoin de compagnie. Tu avais bien évidemment de moments isolés, de moments rien qu'à toi. Tu avais de la chance d'être tombé sur de bonnes personnes. Et tu ne parlais pas totalement d'amour, mais aussi d'amitié. Car elles étaient tout aussi importantes que les battements affolés du palpitant.
« Tout dépend sur qui tu tombes », tu haussas encore une fois les épaules, toi-même comprenant l'idée de ses mots. « Certaines personnes restent égoïstes, peu importe ce qui arrive. Et c'est dommage », mais les gens de la campagne restaient plus ouverts, plus solidaires, aussi. Tu les trouvais moins fades et mornes que ceux de la ville. Ils ne semblaient pas faire la gueule au quotidien, non plus. Plus souriants, plus chaleureux. Cette façon de vivre et de penser manquait ici, en ville. « C'est vrai », tu ris quelque peu, le nez retroussé. « On oublie toujours le plus important », que ce soit pour la nourriture, l'eau ou même les gens, les sentiments, les émotions. Tout passait à la trappe pour se concentrer sur le moins important, songeant alors que c'était là le critère d'exception. On oubliait le plus important, on se focalisait que sur des détails peu éclairés. C'était dommage mais c'était souvent ainsi, malheureusement. Tout comme c'était malheureux, quelque part, de voir que tu ne vivais pas du tout avec ton temps. « Pourquoi j'irais dans des bars », marmonnas-tu dans un air bougon. T'aimais pas ces endroits. C'était trop bruyant, et il y avait beaucoup trop de monde. T'y allais, parfois, mais c'était bien rare. « Et bien sûr, j'ai une vie en dehors du travail », lanças-tu dans un sourire amusé. « M'apprendre ? », tu lui jetas un bref regard, pas vraiment enclin à l'idée. « C'est beaucoup moins poétique », tu bougeas un peu les épaules. Les gens étaient bien trop concentrés sur leurs écrans, pas besoin d'en rajouter. T'avais l'impression que la population ne respirait pas assez, trop accrochée à son appareil entre ses mains. « Oh c'est dangereux alors quand même », soufflas-tu, les sourcils froncés. Tu te demandais bien qui dans tes amies avaient cette application et qui l'utilisait. Tu allais demander, un jour, préférant t'assurer de la sécurité de chacune. Gardant les sourcils froncés dans un air boudeur, presque comme un gamin de qui on se moquait, tu haussas les épaules. « Tu peux pas comprendre », marmonnas-tu. « C'est quand même beaucoup plus sympa », ajoutas-tu dans un souffle avant de bouger les épaules. Tu supposais qu'il avait raison cependant, ça n'intéressait personne à part toi. « On peut combiner les deux. Ce serait peut-être plus intéressant pour tout le monde effectivement. Mais, comme tu t'en doutes, je ne sais pas du tout faire une application », tu ris quelque peu, c'était sans grande surprise. « Tu peux toi ? », lui demandas-tu, curieux, ne sachant pas du tout comment ça fonctionnait tout ce cirque. « On ne voit plus la ville », soufflas-tu, un regard rapide dans le rétroviseur, les immeubles totalement éclipsés du paysage.
« Tout dépend sur qui tu tombes », tu haussas encore une fois les épaules, toi-même comprenant l'idée de ses mots. « Certaines personnes restent égoïstes, peu importe ce qui arrive. Et c'est dommage », mais les gens de la campagne restaient plus ouverts, plus solidaires, aussi. Tu les trouvais moins fades et mornes que ceux de la ville. Ils ne semblaient pas faire la gueule au quotidien, non plus. Plus souriants, plus chaleureux. Cette façon de vivre et de penser manquait ici, en ville. « C'est vrai », tu ris quelque peu, le nez retroussé. « On oublie toujours le plus important », que ce soit pour la nourriture, l'eau ou même les gens, les sentiments, les émotions. Tout passait à la trappe pour se concentrer sur le moins important, songeant alors que c'était là le critère d'exception. On oubliait le plus important, on se focalisait que sur des détails peu éclairés. C'était dommage mais c'était souvent ainsi, malheureusement. Tout comme c'était malheureux, quelque part, de voir que tu ne vivais pas du tout avec ton temps. « Pourquoi j'irais dans des bars », marmonnas-tu dans un air bougon. T'aimais pas ces endroits. C'était trop bruyant, et il y avait beaucoup trop de monde. T'y allais, parfois, mais c'était bien rare. « Et bien sûr, j'ai une vie en dehors du travail », lanças-tu dans un sourire amusé. « M'apprendre ? », tu lui jetas un bref regard, pas vraiment enclin à l'idée. « C'est beaucoup moins poétique », tu bougeas un peu les épaules. Les gens étaient bien trop concentrés sur leurs écrans, pas besoin d'en rajouter. T'avais l'impression que la population ne respirait pas assez, trop accrochée à son appareil entre ses mains. « Oh c'est dangereux alors quand même », soufflas-tu, les sourcils froncés. Tu te demandais bien qui dans tes amies avaient cette application et qui l'utilisait. Tu allais demander, un jour, préférant t'assurer de la sécurité de chacune. Gardant les sourcils froncés dans un air boudeur, presque comme un gamin de qui on se moquait, tu haussas les épaules. « Tu peux pas comprendre », marmonnas-tu. « C'est quand même beaucoup plus sympa », ajoutas-tu dans un souffle avant de bouger les épaules. Tu supposais qu'il avait raison cependant, ça n'intéressait personne à part toi. « On peut combiner les deux. Ce serait peut-être plus intéressant pour tout le monde effectivement. Mais, comme tu t'en doutes, je ne sais pas du tout faire une application », tu ris quelque peu, c'était sans grande surprise. « Tu peux toi ? », lui demandas-tu, curieux, ne sachant pas du tout comment ça fonctionnait tout ce cirque. « On ne voit plus la ville », soufflas-tu, un regard rapide dans le rétroviseur, les immeubles totalement éclipsés du paysage.
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Jeu 4 Mai - 11:09 Citer EditerSupprimer
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« C’est vert… Donc c’est de la verdure. » s’entendit-il répliquer, autant pour embêter Hanjae que parce que dans un sens, c’était la vérité. Un jardin avait de l’herbe verte, ou marron suivant si l’été était passé par là, mais c’était pareil à la campagne. Euigeon le taquinait légèrement, encore plus en le voyant être si arrêté sur le fait que les jardins et la campagne étaient deux choses totalement différentes. Le professeur comprenait totalement. C'était comme si on comparait un manchot et un pingouin. Ce n’était pas le même oiseau et pire encore, ils n’avaient pas le même habitat. Ce n’était donc que de la taquinerie du point de vue de Euigeon. Levant la main, ce dernier arrêta Hanjae dans ses pensées et dans le flot de paroles qui pourrait lui échapper. Certes, l’Homme n’était pas fait pour être seul. Mais, pour le moment, il s’en sortait plutôt bien. Il n’avait pas envie de se prendre la tête avec une femme. Il était bien seul et en plus, il ne s’était pas encore totalement remis de sa “rupture” avec Malia parce qu’il n’avait pas eu les réponses aux questions qu’il se posait encore maintenant, des années après son absence. Peut-être que s’il les avait, il pourrait avancer. Mais comme il n’avait aucun moyen de la contacter, il n'était pas sûr d’obtenir ce qu’il cherchait. Il pourrait tenter de la contacter par les réseaux sociaux, mais s’il devait être honnête, Euigeon avait peur de ce qu’il découvrirait. Alors, il préférait rester dans l’ignorance pour le moment. « De toute façon, pour le moment, je suis mieux seul. » Tenta-t-il de convaincre Hanjae ou lui-même par ses paroles. Il ne savait pas réellement. Mais ce que Euigeon savait était qu’il n’avait pour le moment plus aucun désir de se faire du mal à cause d’une femme et de l’amour.
Il préféra donc se concentrer sur leur prochaine virée en ajoutant de l’eau dans ce que Hanjae et lui devaient amener. Parce que comme il venait de le mentionner, on prenait souvent de la nourriture mais jamais on ne pensait à prendre de l’eau ou tout au liquide en général pour rester hydraté. Il sourit à son ami avant de faire basculer la conversation vers les sorties de ce dernier, et notamment dans des bars. Un rire sarcastique s’échappa des lèvres de Euigeon et il leva les yeux au ciel. « Pour rencontrer du monde, pour passer un bon moment ou simplement pour boire. JE sais pas, mais y a plein de raisons d’aller dans des bars. » Depuis qu’il était devenu professeur, Euigeon avait moins de temps pour sortir, notamment à cause de la fatigue, mais ça ne voulait pas dire qu’il ne le faisait pas quand il en avait l’occasion. Mais il avait l’impression que ce n’était pas le cas de Hanjae qui ne semblait pas avoir de vie après son travail avec Aera. Un nouveau rire s’entendit et il haussa les épaules. « On dirait pas que tu as une vie sans elle, mais passons. Et oui je peux t’apprendre si tu veux… Moins poétique, mais un gain de temps considérable. » Après tout, on pouvait choisir qui on voulait, comme si on était dans un supermarché. Il n’y avait donc, normalement pas de surprises quant à la personne qui se présentait devant nous pour le premier rendez-vous. « Ce n’est dangereux que si tu n’es pas au courant des travers de ce genre d’applications. Ensuite, tu fais plus attention. » C’était comme ça que ça avait fonctionné pour lui. Il ne s’était fait avoir qu’une fois ou deux par des femmes qui n’avaient pas mis les bonnes photos sur leur profil, mais maintenant, il avait presque un sixième sens pour les repérer.
Euigeon se retrouva encore une fois à rire des actions et mots de Hanjae et secoua la tête quand il reprit la parole. Une application sur des jardins et de la verdure, il n’était pas sûr que ce soit une bonne idée. Encore moins quand il parla de mettre les oiseaux en commun avec cette appli. Le trentenaire savait que son ami ne plaisantait pas et qu’il pensait réellement que ça pourrait fonctionner et qu’il était clairement dans le premier degré pour le faire. « Aussi folle que cette idée puisse paraître, elle ne marchera pas. Il n’y a pas assez de personnes comme toi et moi qui aiment la faune et la flore. Et puis même s’il y avait assez de personne, je ne sais pas coder une application… » Ce serait principalement le problème. Autant Hanjae que lui pouvait récolter des informations et alimenter la banque de données, autant faire des codes, c’était hors de leur portée et Euigeon n’était pas sûr de vouloir se lancer dans ça. Hanjae reprit alors la parole et le regard de Euigeon se posa sur les environs. « C’est reposant ! Ça change de la ville… C’est beau. » Il ne pouvait pas nier le fait qu’il aimait les grands espaces verts, parce que c’était là qu’on voyait le plus d’oiseaux, mais il était un homme de la ville pas de la campagne comme Hanjae. « Pourquoi t’as décidé de quitter ta campagne pour la ville ? » finit-il par demander, le regard toujours posé sur l’extérieur.
Il préféra donc se concentrer sur leur prochaine virée en ajoutant de l’eau dans ce que Hanjae et lui devaient amener. Parce que comme il venait de le mentionner, on prenait souvent de la nourriture mais jamais on ne pensait à prendre de l’eau ou tout au liquide en général pour rester hydraté. Il sourit à son ami avant de faire basculer la conversation vers les sorties de ce dernier, et notamment dans des bars. Un rire sarcastique s’échappa des lèvres de Euigeon et il leva les yeux au ciel. « Pour rencontrer du monde, pour passer un bon moment ou simplement pour boire. JE sais pas, mais y a plein de raisons d’aller dans des bars. » Depuis qu’il était devenu professeur, Euigeon avait moins de temps pour sortir, notamment à cause de la fatigue, mais ça ne voulait pas dire qu’il ne le faisait pas quand il en avait l’occasion. Mais il avait l’impression que ce n’était pas le cas de Hanjae qui ne semblait pas avoir de vie après son travail avec Aera. Un nouveau rire s’entendit et il haussa les épaules. « On dirait pas que tu as une vie sans elle, mais passons. Et oui je peux t’apprendre si tu veux… Moins poétique, mais un gain de temps considérable. » Après tout, on pouvait choisir qui on voulait, comme si on était dans un supermarché. Il n’y avait donc, normalement pas de surprises quant à la personne qui se présentait devant nous pour le premier rendez-vous. « Ce n’est dangereux que si tu n’es pas au courant des travers de ce genre d’applications. Ensuite, tu fais plus attention. » C’était comme ça que ça avait fonctionné pour lui. Il ne s’était fait avoir qu’une fois ou deux par des femmes qui n’avaient pas mis les bonnes photos sur leur profil, mais maintenant, il avait presque un sixième sens pour les repérer.
Euigeon se retrouva encore une fois à rire des actions et mots de Hanjae et secoua la tête quand il reprit la parole. Une application sur des jardins et de la verdure, il n’était pas sûr que ce soit une bonne idée. Encore moins quand il parla de mettre les oiseaux en commun avec cette appli. Le trentenaire savait que son ami ne plaisantait pas et qu’il pensait réellement que ça pourrait fonctionner et qu’il était clairement dans le premier degré pour le faire. « Aussi folle que cette idée puisse paraître, elle ne marchera pas. Il n’y a pas assez de personnes comme toi et moi qui aiment la faune et la flore. Et puis même s’il y avait assez de personne, je ne sais pas coder une application… » Ce serait principalement le problème. Autant Hanjae que lui pouvait récolter des informations et alimenter la banque de données, autant faire des codes, c’était hors de leur portée et Euigeon n’était pas sûr de vouloir se lancer dans ça. Hanjae reprit alors la parole et le regard de Euigeon se posa sur les environs. « C’est reposant ! Ça change de la ville… C’est beau. » Il ne pouvait pas nier le fait qu’il aimait les grands espaces verts, parce que c’était là qu’on voyait le plus d’oiseaux, mais il était un homme de la ville pas de la campagne comme Hanjae. « Pourquoi t’as décidé de quitter ta campagne pour la ville ? » finit-il par demander, le regard toujours posé sur l’extérieur.
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Re: no offence but... what are you doing ((eui geon)) | Mer 16 Aoû - 20:54 Citer EditerSupprimer
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Les sourcils froncés, tu tournas les pupilles vers lui, le scrutant longuement en silence sans rien dire, supposant que cette façon de faire suffisait à faire parler ta pensée. C'était réducteur de voir les choses ainsi, pas vrai ? Certes, un jardin était un jardin mais ce n'était pas non plus un espace totalement libre. Ce n'était pas non plus une nature pleine, belle et douce. Ce n'était pas non plus la même explosion de couleurs. C'était restreint, et sous la pollution. Dans une ville où tout allait trop vite, où on accordait pas assez d'importance à ces espaces verts. C'était appréciable, oui. Cela permettait de faire une pause, oui. Mais ce n'était pas assez pour se ressourcer. Enfin selon toi. Tu supposais que les gens de ville se contentaient d'un simple jardin pour y voir un grand coin de liberté. Mais pour toi, gamin de la campagne, ce n'était pas assez. Clairement pas assez. Et peut-être bien que tu jugeais un peu ton camarade pour ces mots précédemment prononcés. « Si c'est ce que tu penses alors c'est le plus important », affirmas-tu doucement, le sourire léger sur la bouche. S'il était bien ainsi t'allais pas lui dire de faire l'inverse. Le plus important était le bien-être de chacun et tu respectais son choix comme il respectais le tien. Tu pouvais parler, en plus, mais t'étais pas plus entouré que lui pour le moment donc... enfin t'avais tes chats.
Tu préférais te concentrer sur votre sortie, t'avais déjà l'air émerveillé et un peu trop excité. Comme un gamin qui allait découvrir ses cadeaux. Aller vers la campagne, oublier la ville – et ne pas se perdre dans un jardin ridiculement petit, était tout ce qui te faisait plaisir. Réellement plaisir. Tu retrouvais la liberté, le plaisir et le rêve. Tu retrouvais ton enfance, des souvenirs chaleureux et formidables. Tu retrouvais le bien-être mais aussi ton air. Ta respiration était coupée en ville alors qu'à la campagne, tu respirais enfin. « Ah bon », lâchas-tu, le visage neutre. « J'en vois aucune dans tout ce que tu viens de citer », lui affirmas-tu dans un petit mouvement d'épaules, préférant largement le calme de ton salon au bruit d'un bar trop rempli. Ce n'était pas de ta faute si tu préférais la compagnie de tes chats. Un léger son dans la gorge, tu secouas le visage, levant quelque peu les yeux au ciel, un sourire malgré tout sur la bouche. Tu avais bien évidemment une vie avant et après le travail. Tu avais bien évidemment une vie sans Ae Ra, tout comme elle en avait une sans toi. « Je suis pas sûr que ce soit mon genre », soufflas-tu lentement, l'air quelque peu incertain. Tu préférais les choses tout de même plus humaines. Se rencontrer par le biais d'une application ce n'était pas humain. D'après toi. « C'est encore moins dangereux si on l'utilise pas », dis-tu, sûr d'avoir marqué un point, lui lançant une frimousse presque fière dans un sourire satisfait. T'étais donc pas en danger, vu que tu l'utilisais pas. Mais ça ne voulait pas dire que les autres ne l'étaient pas – et tu avais peur pour tes proches, craignant qu'ils utilisent cette application, craignant qu'ils tombent sur la mauvaise personne. « Tu fais toujours attention quand tu l'utilises hein ? », tu devais ressembler à un père un peu trop anxieux. Eui Geon était toujours un peu ton enfant, dans le fond.
Ton idée d'application était meilleure. Du moins elle te semblait meilleure. « Nul », fut ton seul commentaire, un air bougon plaqué au visage. Les gens étaient nuls, voilà ta conclusion sur le moment. Même si tu pouvais comprendre que les intérêts n'étaient pas les mêmes. C'était un sacrilège, tout de même, de ne pas s'intéresser à la nature. « Je sais encore moins faire ça », tu savais à peine installer une application, fallait pas trop t'en demander. « C'est merveilleux », que tu commentas à sa suite. « Et beaucoup mieux que la ville. Beaucoup plus calme » et beaucoup plus beau, oui. Tu pourrais vanter la nature sans t'arrêter. Le seul moment où tu te montrais réellement bavard sans doute. « J'ai pas eu le choix », répondis-tu dans un mouvement d'épaules. « Mes parents ont déménagé en ville et j'ai pas eu le choix. Si je l'avais eu, je serai pas parti », avouas-tu honnêtement sans aucune hésitation. « J'aimais notre maison, m'occuper du jardin avec mon grand-père et apprendre plein de choses. J'aimais explorer les environs en espérant découvrir de nouvelles plantes, même si j'en ai jamais découvertes », tu ris un peu face à la bêtise de ta jeunesse. « Mais j'ai pas eu le choix, le changement m'a été imposé, et donc beaucoup plus dur à accepter », c'était peut-être pour ça que tu ne l'avais toujours pas accepté aujourd'hui. « Peut-être qu'un jour j'y retournerais, à la campagne », à la retraite, pour vivre des jours paisibles, loin de la ville et du bruit. « Et si mon grand-père est encore là, je l'emmènerai avec moi. La ville ne lui plaît pas non plus, et ne lui plaira jamais », tu pouvais y trouver des aspects positifs de ton côté mais ton grand-père était quelque peu fermé à l'idée, et tu pouvais le comprendre. « Tu as toujours grandi en ville toi c'est ça ? Ca t'a jamais tenté d'aller vivre à la campagne ? Ou du moins, un peu plus éloigné de la ville ? », demandas-tu, curieux mais toujours concentré sur la route.
Tu préférais te concentrer sur votre sortie, t'avais déjà l'air émerveillé et un peu trop excité. Comme un gamin qui allait découvrir ses cadeaux. Aller vers la campagne, oublier la ville – et ne pas se perdre dans un jardin ridiculement petit, était tout ce qui te faisait plaisir. Réellement plaisir. Tu retrouvais la liberté, le plaisir et le rêve. Tu retrouvais ton enfance, des souvenirs chaleureux et formidables. Tu retrouvais le bien-être mais aussi ton air. Ta respiration était coupée en ville alors qu'à la campagne, tu respirais enfin. « Ah bon », lâchas-tu, le visage neutre. « J'en vois aucune dans tout ce que tu viens de citer », lui affirmas-tu dans un petit mouvement d'épaules, préférant largement le calme de ton salon au bruit d'un bar trop rempli. Ce n'était pas de ta faute si tu préférais la compagnie de tes chats. Un léger son dans la gorge, tu secouas le visage, levant quelque peu les yeux au ciel, un sourire malgré tout sur la bouche. Tu avais bien évidemment une vie avant et après le travail. Tu avais bien évidemment une vie sans Ae Ra, tout comme elle en avait une sans toi. « Je suis pas sûr que ce soit mon genre », soufflas-tu lentement, l'air quelque peu incertain. Tu préférais les choses tout de même plus humaines. Se rencontrer par le biais d'une application ce n'était pas humain. D'après toi. « C'est encore moins dangereux si on l'utilise pas », dis-tu, sûr d'avoir marqué un point, lui lançant une frimousse presque fière dans un sourire satisfait. T'étais donc pas en danger, vu que tu l'utilisais pas. Mais ça ne voulait pas dire que les autres ne l'étaient pas – et tu avais peur pour tes proches, craignant qu'ils utilisent cette application, craignant qu'ils tombent sur la mauvaise personne. « Tu fais toujours attention quand tu l'utilises hein ? », tu devais ressembler à un père un peu trop anxieux. Eui Geon était toujours un peu ton enfant, dans le fond.
Ton idée d'application était meilleure. Du moins elle te semblait meilleure. « Nul », fut ton seul commentaire, un air bougon plaqué au visage. Les gens étaient nuls, voilà ta conclusion sur le moment. Même si tu pouvais comprendre que les intérêts n'étaient pas les mêmes. C'était un sacrilège, tout de même, de ne pas s'intéresser à la nature. « Je sais encore moins faire ça », tu savais à peine installer une application, fallait pas trop t'en demander. « C'est merveilleux », que tu commentas à sa suite. « Et beaucoup mieux que la ville. Beaucoup plus calme » et beaucoup plus beau, oui. Tu pourrais vanter la nature sans t'arrêter. Le seul moment où tu te montrais réellement bavard sans doute. « J'ai pas eu le choix », répondis-tu dans un mouvement d'épaules. « Mes parents ont déménagé en ville et j'ai pas eu le choix. Si je l'avais eu, je serai pas parti », avouas-tu honnêtement sans aucune hésitation. « J'aimais notre maison, m'occuper du jardin avec mon grand-père et apprendre plein de choses. J'aimais explorer les environs en espérant découvrir de nouvelles plantes, même si j'en ai jamais découvertes », tu ris un peu face à la bêtise de ta jeunesse. « Mais j'ai pas eu le choix, le changement m'a été imposé, et donc beaucoup plus dur à accepter », c'était peut-être pour ça que tu ne l'avais toujours pas accepté aujourd'hui. « Peut-être qu'un jour j'y retournerais, à la campagne », à la retraite, pour vivre des jours paisibles, loin de la ville et du bruit. « Et si mon grand-père est encore là, je l'emmènerai avec moi. La ville ne lui plaît pas non plus, et ne lui plaira jamais », tu pouvais y trouver des aspects positifs de ton côté mais ton grand-père était quelque peu fermé à l'idée, et tu pouvais le comprendre. « Tu as toujours grandi en ville toi c'est ça ? Ca t'a jamais tenté d'aller vivre à la campagne ? Ou du moins, un peu plus éloigné de la ville ? », demandas-tu, curieux mais toujours concentré sur la route.
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