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let's work together (xiebao)
Lee Beom Ho
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let's work together (xiebao) | Mer 7 Juil - 17:31 Citer EditerSupprimer
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let's work together please
Passage obligatoire dans son petit café favori. Encore une journée chargée qui s’annonçait ; pas toujours facile d’avoir trois emplois à la fois. Pour autant, Jiyool ne changerait rien à sa situation actuelle, comme lorsqu’elle était simple étudiante, cette vie occupée et trop remplie lui convient à merveille. La jeune éditrice n’avait jamais été aussi heureuse de sa vie, elle vivait que partiellement de sa passion mais tout ce qu’elle faisait pour boucler ses fins de mois lui plaisent aussi. Que ce soit donner quelques cours à yonsei ou bien continuer d’animer plusieurs fois par semaine à la radio de la digital city ; elle vivait littéralement un conte de fée. Bien sûr, elle espérait vivre entièrement grâce à nunchi un jour mais pour le moment, cela lui convenait ainsi – multiplier les activités. Le sourire aux lèvres, elle pénétra dans son café habituel. Celui dans lequel les sangos avaient l’habitude de tous traîner avant la dissolution de la fraternité, la boutique avait changé de nom depuis mais le café restait toujours aussi raffiné. Jiyool y avait ses petites habitudes quotidiennes : prendre un grand café noir puis faire le tour de ses mails pendant une trentaine de minutes sur la table tout au fond avant de prendre la route vers l’université pour soit commencer le travail ou bien donner son premier td du jour. Ainsi sa tasse en main, elle remercia d’un fin sourire l’employé avant de s’éloigner vers sa table habituelle. Seulement, la jeune éditrice remarqua bien vite que celle-ci était occupée par un homme qu’elle n’avait jamais croisé auparavant. Jiyool n’aimait pas réellement changer ses habitudes, mais tant pis, elle ira s’asseoir ailleurs. Quelques mètres plus loin, elle ouvrit son pc pour commencer sa journée. Si son nez était plongé dans ses mails, ses yeux, eux, ne manquait pas de remarquer que l’homme dos à elle, continuer de taper sur le clavier avec entrain. Inconsciemment, son instinct d’éditrice se réveilla et elle ne put s’empêcher de se demander intérieurement ce que le jeune pouvait bien écrire ainsi. La jeune femme laissa couler ces pensées de longues minutes avant de finalement se lever, la curiosité trop piquée pour résister. Son côté professionnel en avant, tout le sérieux et toute la confiance qu’elle pouvait avoir aussi, elle se présenta devant l’homme. « Bonjour, monsieur. » commença-t-elle attendant de capter son attention, qu’il lève la tête vers elle pour continuer. Elle ne souhaitait pas l’embêter trop longue, juste suffisamment pour avoir réponse à ses interrogations. Un petit sourire désolé s’installa sur son visage, embêtée de le couper ainsi mais pas assez pour repartir. « Pardon de vous déranger ainsi, mais puis-je vous demander ce que vous écrivez ainsi ? » demanda-t-elle en pointant l’écran brillant du bout du doigt. Jiyool espérait ne pas lui faire peur en l’approchant ainsi, elle ne voulait pas qu’un possible écrivain de talent lui passe sous le nez. Sa start-up comptait sur elle et son aptitude à trouver les futurs auteurs à succès.
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Re: let's work together (xiebao) | Jeu 8 Juil - 16:07 Citer EditerSupprimer
(tenue) Le jeune homme était arrivé dans ce café qui lui avait été recommandé par un ami, tôt dans la matinée, peu de temps après l'ouverture, n'étant pas un grand partisan des endroits publics bondait de monde dès le début de la matinée, il avait choisi cet endroit par simple curiosité, il avait donc commandé un thé, n'aimant pas l'odeur du café et encore moins le gout. Par la suite, il avait pris place sur la table la plus éloignée et en retrait pour être au calme.
Peu après avoir récupéré sa commande au comptoir du café, en remerciant poliment la dame de l'accueil venant de lui donner son thé vert, il commença à taper sur son ordinateur sans regarder les heures passées à une vitesse folle, ayant le regard figé sur le roman policier dont il avait entamé l'écriture depuis plusieurs mois. Ainsi donc, il ne remarqua pas l'heure suivante, qu'une jeune femme s'était approché de lui, venant lui parler de ce qu'il était en train de faire.
Il remarqua enfin de la présence de l'étudiante, lorsqu'il entendit la deuxième de celle-ci, qui le fît sortir de ses pensées et de sa scène de torture plutôt violente sur un détenu de la prison de Guantánamo.
" Bonjour mademoiselle, je suis en train d'écrire une scène de torture, ce passant dans un univers carcéral. " déclara-t-il en souriant, donnant à sa phrase, probablement, une étrange tournure. feat. @Choi Ji Yool
LET'S WORK TOGETHER.
En travaillant ensemble et réunissant nos richesses nous pouvons accomplir de grandes choses.— Ronald Reagan, acteur et homme d’état.
(tenue) Le jeune homme était arrivé dans ce café qui lui avait été recommandé par un ami, tôt dans la matinée, peu de temps après l'ouverture, n'étant pas un grand partisan des endroits publics bondait de monde dès le début de la matinée, il avait choisi cet endroit par simple curiosité, il avait donc commandé un thé, n'aimant pas l'odeur du café et encore moins le gout. Par la suite, il avait pris place sur la table la plus éloignée et en retrait pour être au calme.
Peu après avoir récupéré sa commande au comptoir du café, en remerciant poliment la dame de l'accueil venant de lui donner son thé vert, il commença à taper sur son ordinateur sans regarder les heures passées à une vitesse folle, ayant le regard figé sur le roman policier dont il avait entamé l'écriture depuis plusieurs mois. Ainsi donc, il ne remarqua pas l'heure suivante, qu'une jeune femme s'était approché de lui, venant lui parler de ce qu'il était en train de faire.
Il remarqua enfin de la présence de l'étudiante, lorsqu'il entendit la deuxième de celle-ci, qui le fît sortir de ses pensées et de sa scène de torture plutôt violente sur un détenu de la prison de Guantánamo.
" Bonjour mademoiselle, je suis en train d'écrire une scène de torture, ce passant dans un univers carcéral. " déclara-t-il en souriant, donnant à sa phrase, probablement, une étrange tournure. feat. @Choi Ji Yool
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Re: let's work together (xiebao) | Jeu 29 Juil - 13:01 Citer EditerSupprimer
Ses collègues s’amusaient parfois à appeler cela le ‘don’ ; cette façon que Jiyool avait de repérer les écrivains ou même les écrivains en herbe en posant deux ou trois fois les yeux sur eux. Et si Nunchi fonctionnait jusque-là c’était en grande parti grâce à ses capacités à dénicher les meilleurs au milieu de nulle part ; ainsi que sa façon de les convaincre de tender l’aventure avec elle, avec eux. Depuis que la petite start-up avait ouvert ses ailes sur le monde de l’édition, leur éditrice principale et fondatrice – Jiyool – avait réussi à dénicher ses pépites sur les bancs de l’université ainsi que dans les rues de la digital city par on-ne-sait quel hasard. Et c’était encore ce qu’elle faisait en ce jour. En aucun cas, la jeune femme avait prévu de trouver un nouvel écrivain en cette belle matinée et pourtant quelque chose lui disait que l’homme assis à sa table habituel en était bel et bien un. Alors Jiyool s’approcha pour demander confirmation. Et si la réponse surprit quelque peu l’éditrice aux premiers abords, laissant sur son beau visage une expression confuse, elle cessa bien vite ce nouveau flux de pensées pour retrouver son sourire. Une scène de torture ? Un univers carcéral ? Rien de tout cela n’était le domaine de prédilection de la jeune active, mais tout réveillait des onces de curiosité en elle. « Oh, vous êtes écrivain alors ? » demanda-t-elle pour être sûre une bonne fois pour tout, même si elle se doutait de la réponse. « Vous écrivez du policier ? ». Le genre le plus commun qui pouvait contenir ce genre de scène, et peut-être un des seuls que Jiyool avait été éditer dans le passé. Mais elle était toujours partante pour de nouveaux défis. « Enchantée, Choi Jiyool. Editrice chez Nunchi Publishing Project. » fit-elle en s’inclinant poliment vers l’avant en signe de respect. Puis elle se redressa pour offrir une carte de visite et un grand sourire à l’homme. Peut-être avait-elle ici une nouvelle perle rare.feat. @Yì Xiē Bǎo
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En travaillant ensemble et réunissant nos richesses nous pouvons accomplir de grandes choses.— Ronald Reagan, acteur et homme d’état.
Ses collègues s’amusaient parfois à appeler cela le ‘don’ ; cette façon que Jiyool avait de repérer les écrivains ou même les écrivains en herbe en posant deux ou trois fois les yeux sur eux. Et si Nunchi fonctionnait jusque-là c’était en grande parti grâce à ses capacités à dénicher les meilleurs au milieu de nulle part ; ainsi que sa façon de les convaincre de tender l’aventure avec elle, avec eux. Depuis que la petite start-up avait ouvert ses ailes sur le monde de l’édition, leur éditrice principale et fondatrice – Jiyool – avait réussi à dénicher ses pépites sur les bancs de l’université ainsi que dans les rues de la digital city par on-ne-sait quel hasard. Et c’était encore ce qu’elle faisait en ce jour. En aucun cas, la jeune femme avait prévu de trouver un nouvel écrivain en cette belle matinée et pourtant quelque chose lui disait que l’homme assis à sa table habituel en était bel et bien un. Alors Jiyool s’approcha pour demander confirmation. Et si la réponse surprit quelque peu l’éditrice aux premiers abords, laissant sur son beau visage une expression confuse, elle cessa bien vite ce nouveau flux de pensées pour retrouver son sourire. Une scène de torture ? Un univers carcéral ? Rien de tout cela n’était le domaine de prédilection de la jeune active, mais tout réveillait des onces de curiosité en elle. « Oh, vous êtes écrivain alors ? » demanda-t-elle pour être sûre une bonne fois pour tout, même si elle se doutait de la réponse. « Vous écrivez du policier ? ». Le genre le plus commun qui pouvait contenir ce genre de scène, et peut-être un des seuls que Jiyool avait été éditer dans le passé. Mais elle était toujours partante pour de nouveaux défis. « Enchantée, Choi Jiyool. Editrice chez Nunchi Publishing Project. » fit-elle en s’inclinant poliment vers l’avant en signe de respect. Puis elle se redressa pour offrir une carte de visite et un grand sourire à l’homme. Peut-être avait-elle ici une nouvelle perle rare.feat. @Yì Xiē Bǎo
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Re: let's work together (xiebao) | Jeu 29 Juil - 18:40 Citer EditerSupprimer
(tenue) Il ne put pas s'empêcher de rire doucement, sans se moquer d'elle, lorsqu'il remarqua, bien que cela ne dura que quelques secondes, l'expression confuse de celle-ci, lorsqu'il avait émit écrire sur un passage emplit de torture et de prisons, à vrai dire, beaucoup aurait déjà fuit rien quand entendant parlé de châtiments corporels violents infligé à des pauvres personnages, bien qu'issus de son imagination. Il jeta de nouveau un regard vers elle après avoir enregistré son travail, pour ne pas le perdre. Étant donné qu'on le sait tous, personne n'aime écrire un texte d'une heure et tout perdre par un oublie ou un dysfonctionnement de son appui de travail.
<< Je ne le suis pas encore, mais j'espère le devenir un jour, pour l'instant j'écris pendant mon temps libre, en pause ou en clair, lorsque je le puis. >>
Il fît un signe de tête de haut en bas à la jeune femme, confirmant qu'il écrivait bel et bien, un futur peut-être roman policier, le genre qu'il affectionne le plus parmi tout ce qu'il avait pût libre avec les nouvelles fantastiques et les romans historiques. Bao continua de sourire et bien qu'il puisse être timide, étrangement, il avait confiance en là jeune femme, c'est pourquoi, il avait l'impression d'agir normalement.
<< C'est exact. Plus particulièrement, le sous-genre le plus sombre des polars, le roman noir, vous savez celui qui s'inspire de la guerre froide, du roman d'espionnage, du roman à suspens et d'énigmes. >>
En entendant sa charmante nouvelle amie se présente, le jeune homme fît de même en restant assis, s'inclinant poliment. Il se redressa à son tour, agrippant la petite carte rectangulaire que lui tendait la fameuse Jiyool, en la remerciant. Il l'a trouvée plutôt jeune, pour déjà avoir des cartes de visites, mais maintenant qu'il entendait où est-ce qu'elle travaille, comprenant un peu mieux, elle est étudiante.
<< Nunchi publishing project, vous dites ? N'est-ce pas, une maison d'édition tenue par des étudiants ? Il me semble en avoir déjà entendu parlé. Excusez mon impolitesse, mademoiselle, je n'ai pas vraiment l'habitude de parler aussi ouvertement avec les autres, je suis Yì Xiē Bǎo, ravis de faire votre connaissance, mais dites-moi, si je me trompe, mais vous avez l'air d'être une étudiante, n'est-ce pas ? Bien sûr, il n'y a pas de mal à cela. >>
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(tenue) Il ne put pas s'empêcher de rire doucement, sans se moquer d'elle, lorsqu'il remarqua, bien que cela ne dura que quelques secondes, l'expression confuse de celle-ci, lorsqu'il avait émit écrire sur un passage emplit de torture et de prisons, à vrai dire, beaucoup aurait déjà fuit rien quand entendant parlé de châtiments corporels violents infligé à des pauvres personnages, bien qu'issus de son imagination. Il jeta de nouveau un regard vers elle après avoir enregistré son travail, pour ne pas le perdre. Étant donné qu'on le sait tous, personne n'aime écrire un texte d'une heure et tout perdre par un oublie ou un dysfonctionnement de son appui de travail.
<< Je ne le suis pas encore, mais j'espère le devenir un jour, pour l'instant j'écris pendant mon temps libre, en pause ou en clair, lorsque je le puis. >>
Il fît un signe de tête de haut en bas à la jeune femme, confirmant qu'il écrivait bel et bien, un futur peut-être roman policier, le genre qu'il affectionne le plus parmi tout ce qu'il avait pût libre avec les nouvelles fantastiques et les romans historiques. Bao continua de sourire et bien qu'il puisse être timide, étrangement, il avait confiance en là jeune femme, c'est pourquoi, il avait l'impression d'agir normalement.
<< C'est exact. Plus particulièrement, le sous-genre le plus sombre des polars, le roman noir, vous savez celui qui s'inspire de la guerre froide, du roman d'espionnage, du roman à suspens et d'énigmes. >>
En entendant sa charmante nouvelle amie se présente, le jeune homme fît de même en restant assis, s'inclinant poliment. Il se redressa à son tour, agrippant la petite carte rectangulaire que lui tendait la fameuse Jiyool, en la remerciant. Il l'a trouvée plutôt jeune, pour déjà avoir des cartes de visites, mais maintenant qu'il entendait où est-ce qu'elle travaille, comprenant un peu mieux, elle est étudiante.
<< Nunchi publishing project, vous dites ? N'est-ce pas, une maison d'édition tenue par des étudiants ? Il me semble en avoir déjà entendu parlé. Excusez mon impolitesse, mademoiselle, je n'ai pas vraiment l'habitude de parler aussi ouvertement avec les autres, je suis Yì Xiē Bǎo, ravis de faire votre connaissance, mais dites-moi, si je me trompe, mais vous avez l'air d'être une étudiante, n'est-ce pas ? Bien sûr, il n'y a pas de mal à cela. >>
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Re: let's work together (xiebao) | Mer 11 Aoû - 15:51 Citer EditerSupprimer
Le sourire de Jiyool fleurissait avec les mots de son interlocuteur, elle était ravie d’apprendre que son petit don ne lui avait pas fait défaut. Cela boostait sa confiance en elle, en ses compétences et ses capacités à être éditrice principale de la start-up malgré son jeune âge. D’une oreille attentive, elle but les paroles de l’écrivain en herbe découvrant peu à peu les mystères qui se cachaient derrière cet homme et son ordinateur. Jiyool n’était pas une habituée des romans noirs – elle avait lu de tout, bien sûr, mais question édition de romans noirs, elle partait de zéro. Et travailler sur un nouveau genre n’était un challenge, riche en apprentissage à côté duquel la jeune coréenne ne voulait pas passer. Ainsi, Jiyool se présenta mettant en avant son poste et la start-up qu’elle avait lancé, son bébé. Contente de voir que Nunchi n’était pas inconnu pour l’homme, elle hocha vivement la tête avant de le laisser terminer ses phrases. « Effectivement. La start-up a été lancée par des étudiants de Yonsei avec un soutien et un partenariat avec l’université. Nous sommes maintenant installés dans les bâtiments du département de littérature. » expliqua-t-elle. Cela faisait quelques mois à peine que la start-up avait obtenu sa propre salle avec ses propres bureaux dans l’université même, à défaut de pouvoir s’offrir des bureaux dans Séoul pour le moment. Mais cela convenait à Jiyool, ils se permettraient de bouger quand le développement de Nunchi serait assuré. « J’étais étudiante quand j’ai développé l’idée de la start-up et que nous l’avons créée mais aujourd’hui, je suis diplômée. L’édition chez Nunchi est mon métier et je donne également quelques travaux pratiques sur le sujet à l’université. » ajouta-t-elle nullement piquée par le fait que le garçon la pense encore étudiante. La coréenne n’était diplômée que depuis quelques mois après tout, mais aujourd’hui, elle était une femme accomplie fière de son métier. Un nouveau sourire et elle reprit la parole. « Je ne suis pas experte en roman noir, mais est-ce que vous accepteriez que je lise quelques pages d’un de vos ouvrages, s’il vous plait ? » proposa-t-elle pointant du doigt la chaise en face de l’homme, dans une demande silencieux pour pouvoir s’asseoir face à lui et dévorer quelques pages de ce roman noir.feat. @Yì Xiē Bǎo
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Le sourire de Jiyool fleurissait avec les mots de son interlocuteur, elle était ravie d’apprendre que son petit don ne lui avait pas fait défaut. Cela boostait sa confiance en elle, en ses compétences et ses capacités à être éditrice principale de la start-up malgré son jeune âge. D’une oreille attentive, elle but les paroles de l’écrivain en herbe découvrant peu à peu les mystères qui se cachaient derrière cet homme et son ordinateur. Jiyool n’était pas une habituée des romans noirs – elle avait lu de tout, bien sûr, mais question édition de romans noirs, elle partait de zéro. Et travailler sur un nouveau genre n’était un challenge, riche en apprentissage à côté duquel la jeune coréenne ne voulait pas passer. Ainsi, Jiyool se présenta mettant en avant son poste et la start-up qu’elle avait lancé, son bébé. Contente de voir que Nunchi n’était pas inconnu pour l’homme, elle hocha vivement la tête avant de le laisser terminer ses phrases. « Effectivement. La start-up a été lancée par des étudiants de Yonsei avec un soutien et un partenariat avec l’université. Nous sommes maintenant installés dans les bâtiments du département de littérature. » expliqua-t-elle. Cela faisait quelques mois à peine que la start-up avait obtenu sa propre salle avec ses propres bureaux dans l’université même, à défaut de pouvoir s’offrir des bureaux dans Séoul pour le moment. Mais cela convenait à Jiyool, ils se permettraient de bouger quand le développement de Nunchi serait assuré. « J’étais étudiante quand j’ai développé l’idée de la start-up et que nous l’avons créée mais aujourd’hui, je suis diplômée. L’édition chez Nunchi est mon métier et je donne également quelques travaux pratiques sur le sujet à l’université. » ajouta-t-elle nullement piquée par le fait que le garçon la pense encore étudiante. La coréenne n’était diplômée que depuis quelques mois après tout, mais aujourd’hui, elle était une femme accomplie fière de son métier. Un nouveau sourire et elle reprit la parole. « Je ne suis pas experte en roman noir, mais est-ce que vous accepteriez que je lise quelques pages d’un de vos ouvrages, s’il vous plait ? » proposa-t-elle pointant du doigt la chaise en face de l’homme, dans une demande silencieux pour pouvoir s’asseoir face à lui et dévorer quelques pages de ce roman noir.feat. @Yì Xiē Bǎo
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Re: let's work together (xiebao) | Jeu 12 Aoû - 21:00 Citer EditerSupprimer
(tenue) Le jeune homme fis un léger signe de tête à sa jeune interlocutrice, ayant apparemment visé juste, sur la provenance de cette nouvelle agence, dont-il avait vaguement entendu parler, lorsqu'il entendait certains jeunes discutés de la fameuse, maison d'édition Nunchi en le concept, appréciant plutôt bien, le concept de créer, une nouvelle maison d'édition, bien qu'il y en avait déjà énormément, mais par des étudiants, ça lui changerait des vieilles maisons d'édition, qui ne souhaitait que travailler à l'ancienne sans renouveau.
<< Je suis toujours curieux d'en apprendre plus, votre université doit vraiment avoir confiance en votre projet, pour déployer autant de moyen, bien qu'ils ne soient encore que modeste. J'espère que votre maison d'édition continuera sur le long terme, qu'elle accèdera à la célébrité, en tout cas, vous avez mon soutien, mademoiselle Choi. Si un jour, je viens à publier et que mon roman marche, je ne manquerais pas d'en parler à mes fans et à mes collaborateurs, croyez-moi. >>
Il adressa un large sourire amical à la jeune femme, en quelques instants, il avait l'impression que sa timidité naturelle avait pris le large, qu'elle avait disparu, il avait déjà confiance en cette jeune femme, alors, qu'il venait à peine de la rencontrer et espérait que cette start-up, anciennement universitaire, marcherait. Maintenant, qu'il y repensait, il n'avait jamais entendu de start-up crée par des étudiants en France, du moins, qui avait duré plus de quelques mois ou années, qui au final, n'avait pas marché.
<< Vous pouvez prendre place en face, il n'y a aucun soucie, je n'aime pas trop dévoiler mes textes, parce qu'ils sont très moches, très clichés et que même si je suis à moitié français, j'ai quand même du mal avec l'orthographe de cette langue, mais je ne suis pas non plus, quelqu'un qui massacre l'orthographe. Je peux vous en faire lire, bien sûr, mais c'est très brouillon.>>
Bǎo tourna l'ordi vers la demoiselle face à lui, la laissant parcourir quelques légers textes qu'il écrivait de temps à autres, sur ce fameux roman noir inspirer de Philip Marlowe et autres personnages du roman noir, bien que ses écrits à lui était de basse qualités. Un détective sur une affaire de chantage contre un avocat véreux dont l'un des fils retrouvé mort dans un bordel, montre finalement qu'il avait une double vie en tant que truand, pour le compte de la mafia sicilienne, qui l'avait embauché pour tuer son propre père, celui-ci, n'ayant pas remboursé sa dette auprès de la mafia, à y voir, ça ne faisait pas vraiment roman noir.
<< Je peux changer le genre, si vous préférez, je peux m'essayer à la poésie, au roman d'aventures, à la fantasy, aux nouvelles, ou tout autres genres, si vous le souhaitez, même à l'horreur, mais je pense que Stephen King est le roi dans ce domaine littéraire. >>
(P.s : J'ai l'impréssion d'écrire mal mais surtout, de ne pas répondre correctement à notre rp, mais c'est juste une impression )
feat. @Choi Ji Yool
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(tenue) Le jeune homme fis un léger signe de tête à sa jeune interlocutrice, ayant apparemment visé juste, sur la provenance de cette nouvelle agence, dont-il avait vaguement entendu parler, lorsqu'il entendait certains jeunes discutés de la fameuse, maison d'édition Nunchi en le concept, appréciant plutôt bien, le concept de créer, une nouvelle maison d'édition, bien qu'il y en avait déjà énormément, mais par des étudiants, ça lui changerait des vieilles maisons d'édition, qui ne souhaitait que travailler à l'ancienne sans renouveau.
<< Je suis toujours curieux d'en apprendre plus, votre université doit vraiment avoir confiance en votre projet, pour déployer autant de moyen, bien qu'ils ne soient encore que modeste. J'espère que votre maison d'édition continuera sur le long terme, qu'elle accèdera à la célébrité, en tout cas, vous avez mon soutien, mademoiselle Choi. Si un jour, je viens à publier et que mon roman marche, je ne manquerais pas d'en parler à mes fans et à mes collaborateurs, croyez-moi. >>
Il adressa un large sourire amical à la jeune femme, en quelques instants, il avait l'impression que sa timidité naturelle avait pris le large, qu'elle avait disparu, il avait déjà confiance en cette jeune femme, alors, qu'il venait à peine de la rencontrer et espérait que cette start-up, anciennement universitaire, marcherait. Maintenant, qu'il y repensait, il n'avait jamais entendu de start-up crée par des étudiants en France, du moins, qui avait duré plus de quelques mois ou années, qui au final, n'avait pas marché.
<< Vous pouvez prendre place en face, il n'y a aucun soucie, je n'aime pas trop dévoiler mes textes, parce qu'ils sont très moches, très clichés et que même si je suis à moitié français, j'ai quand même du mal avec l'orthographe de cette langue, mais je ne suis pas non plus, quelqu'un qui massacre l'orthographe. Je peux vous en faire lire, bien sûr, mais c'est très brouillon.>>
Bǎo tourna l'ordi vers la demoiselle face à lui, la laissant parcourir quelques légers textes qu'il écrivait de temps à autres, sur ce fameux roman noir inspirer de Philip Marlowe et autres personnages du roman noir, bien que ses écrits à lui était de basse qualités. Un détective sur une affaire de chantage contre un avocat véreux dont l'un des fils retrouvé mort dans un bordel, montre finalement qu'il avait une double vie en tant que truand, pour le compte de la mafia sicilienne, qui l'avait embauché pour tuer son propre père, celui-ci, n'ayant pas remboursé sa dette auprès de la mafia, à y voir, ça ne faisait pas vraiment roman noir.
<< Je peux changer le genre, si vous préférez, je peux m'essayer à la poésie, au roman d'aventures, à la fantasy, aux nouvelles, ou tout autres genres, si vous le souhaitez, même à l'horreur, mais je pense que Stephen King est le roi dans ce domaine littéraire. >>
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Re: let's work together (xiebao) | Mar 17 Aoû - 15:31 Citer EditerSupprimer
Plus de deux ans d'histoire avant d'en arriver là où ils en étaient aujourd'hui et pas moins de un an à faire leurs preuves pour l'administration de l'université et lesquels investisseurs. Et le tout en continuant chacun leurs études et leurs petits boulots pour certains. Jiyool était fière du projet et de son équipe, et cela se voyait sur son visage et son sourire quand elle en parlait. « Je suppose que voir une start-up fleurir entre les murs d'une université donne une excellente image de l'enseignement qui y est donné, à l'échelle nationale et internationale. ». C'était principalement sur cela que la jeune femme avait joué en demandant leur confiance puis en demandant une salle dans les bâtiments de la fac. Il fallait croire que la pression des sponsors de l'université et la réputation parfois fragile de yonsei rendaient leur directrice tyrannique plus ouverte à la discussion. Surtout lorsque la possibilité de dorer l'image de son université était en jeu. « De plus, cela leur permet également d'économiser sur les ouvrages universitaires à éditer et imprimer. C'est gagnant-gagnant. » ajouta-t-elle en souriant doucement à l'homme, avant de prendre place en face de lui. Jiyool déposa sa tasse de café fumante sur la table en bois, avant de rire légèrement aux paroles du garçon. C'était souvent ce que ses écrivains lui disaient avant qu'elle ne parvienne à leur montrer leur propre potentiel et qu'elle les rassure avec son point de vue. Le jeune homme n'était pas si différent. L'éditrice rapprocha très volontairement l'ordinateur d'elle pour pouvoir parcourir les pages où les mots s'alignaient. « L'écriture est très subjective, vous savez. Ce que vous trouvez 'moche' peut-être en réalité un contenu tout à fait intéressant pour la communauté littéraire. Pour ce qui est du reste,... C'est pour cela que les éditeurs et les correcteurs existent, pour rendre quelque chose de bien encore meilleur. » fit-elle en commençant la lecture de cette histoire hors de ses terrains battus. « Nul besoin de changer de style. Si vous avez choisi d'écrire des romans noirs en particulier, c'est que vous avez une bonne raison de le faire. Que ce soit par aisance avec cette écriture ou simplement par préférence. Ce n'est pas à vous de vous adapter aux éditeurs, mais à eux. ». Jiyool continua sa lecture avec attention, essayant de comprendre le scénario en quelques phrases seulement, se plongeant dans l'intrigue sans en oublier la forme. À travers ces quelques textes, elle comprenait l'essentiel mais cela lui demanderait de se renseigner davantage sur le style pour en comprendre toutes les subtilités. « Ces quelques phrases que je lis me semblent prometteuses, sincèrement. Vous avez un style bien particulier, je pense qu'avec un peu de travail et en ciblant correctement le public… Il y a déjà quelque chose à faire. ». Ses pupilles quittèrent l'écran lumineux pour remonter sur l'écrivain en herbe. Jiyool était persuadée qu'elle pouvait ou voulait travailler avec cet homme sur ses écrits, mais elle ne l'obligeait en aucun cas à le faire. Publier pouvait faire peur, elle le savait. « Si cela vous intéresse, bien sûr, je peux vous aider à le faire. » proposa-t-elle d'une voix douce mais ferme. Sans même penser à publier les écrits, l'éditrice et son équipe pouvaient l'aider à améliorer son écriture, à se perfectionner.
(p.s: personnellement tes réponses me conviennent très bien, tu n'as pas à t'inquiéter de cela )
feat. @Yì Xiē Bǎo
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En travaillant ensemble et réunissant nos richesses nous pouvons accomplir de grandes choses.— Ronald Reagan, acteur et homme d’état.
Plus de deux ans d'histoire avant d'en arriver là où ils en étaient aujourd'hui et pas moins de un an à faire leurs preuves pour l'administration de l'université et lesquels investisseurs. Et le tout en continuant chacun leurs études et leurs petits boulots pour certains. Jiyool était fière du projet et de son équipe, et cela se voyait sur son visage et son sourire quand elle en parlait. « Je suppose que voir une start-up fleurir entre les murs d'une université donne une excellente image de l'enseignement qui y est donné, à l'échelle nationale et internationale. ». C'était principalement sur cela que la jeune femme avait joué en demandant leur confiance puis en demandant une salle dans les bâtiments de la fac. Il fallait croire que la pression des sponsors de l'université et la réputation parfois fragile de yonsei rendaient leur directrice tyrannique plus ouverte à la discussion. Surtout lorsque la possibilité de dorer l'image de son université était en jeu. « De plus, cela leur permet également d'économiser sur les ouvrages universitaires à éditer et imprimer. C'est gagnant-gagnant. » ajouta-t-elle en souriant doucement à l'homme, avant de prendre place en face de lui. Jiyool déposa sa tasse de café fumante sur la table en bois, avant de rire légèrement aux paroles du garçon. C'était souvent ce que ses écrivains lui disaient avant qu'elle ne parvienne à leur montrer leur propre potentiel et qu'elle les rassure avec son point de vue. Le jeune homme n'était pas si différent. L'éditrice rapprocha très volontairement l'ordinateur d'elle pour pouvoir parcourir les pages où les mots s'alignaient. « L'écriture est très subjective, vous savez. Ce que vous trouvez 'moche' peut-être en réalité un contenu tout à fait intéressant pour la communauté littéraire. Pour ce qui est du reste,... C'est pour cela que les éditeurs et les correcteurs existent, pour rendre quelque chose de bien encore meilleur. » fit-elle en commençant la lecture de cette histoire hors de ses terrains battus. « Nul besoin de changer de style. Si vous avez choisi d'écrire des romans noirs en particulier, c'est que vous avez une bonne raison de le faire. Que ce soit par aisance avec cette écriture ou simplement par préférence. Ce n'est pas à vous de vous adapter aux éditeurs, mais à eux. ». Jiyool continua sa lecture avec attention, essayant de comprendre le scénario en quelques phrases seulement, se plongeant dans l'intrigue sans en oublier la forme. À travers ces quelques textes, elle comprenait l'essentiel mais cela lui demanderait de se renseigner davantage sur le style pour en comprendre toutes les subtilités. « Ces quelques phrases que je lis me semblent prometteuses, sincèrement. Vous avez un style bien particulier, je pense qu'avec un peu de travail et en ciblant correctement le public… Il y a déjà quelque chose à faire. ». Ses pupilles quittèrent l'écran lumineux pour remonter sur l'écrivain en herbe. Jiyool était persuadée qu'elle pouvait ou voulait travailler avec cet homme sur ses écrits, mais elle ne l'obligeait en aucun cas à le faire. Publier pouvait faire peur, elle le savait. « Si cela vous intéresse, bien sûr, je peux vous aider à le faire. » proposa-t-elle d'une voix douce mais ferme. Sans même penser à publier les écrits, l'éditrice et son équipe pouvaient l'aider à améliorer son écriture, à se perfectionner.
(p.s: personnellement tes réponses me conviennent très bien, tu n'as pas à t'inquiéter de cela )
feat. @Yì Xiē Bǎo
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Re: let's work together (xiebao) | Mer 18 Aoû - 17:19 Citer EditerSupprimer
(tenue) S'étant plongé dans ses pensées, cherchant à comment de réalisme à ses petits textes, le français releva la tête en continuant de sourire, écoutant attentivement la jeune femme parlée de sa start-up qu'elle avait créé, avec fierté et cela donnant à Bǎo, l'impression de travailler avec quelqu'un qui connaissait bien son métier d'éditeur et non, un charlatan, bien qu'elle commençais à débuter, lui avait-elle en quelques sortes, fait comprendre.
<< Je suppose aussi. Bien sûr, je n'oserais dire le contraire, n'ayant jamais mie un seul pied, dans votre université, je ne pourrais jamais juger l'enseignement qui y est admis. Mais, je pense que oui, cela peu offrir un bon rayonnement à travers le pays hôte de cette université et à l'étranger comme Harvard ou Oxford, même La Sorbonne, bien que cela fusse différent.>>
Le presque trentenaire buvait les paroles de la jeune femme, qui parlait clairement avec aisance de son point de vue et il apprécie ceci, elle parle sans mauvaises arrières-pensées et puis, lui qui n'aimait pas approcher les gens, n'aurait jamais abordé celle-ci, si elle ne s'était pas approchée de lui. Outre cela, il lui semblait avoir entendu de vague rumeur plutôt mauvaise sur l'université, mais il ne faut pas toujours croire les ont-dit.
<< Cela est bien vrai, pour les grandes structures en difficulté, économiser est important, mais pour aussi ne pas ruiner son entreprise, à faire des dépenses à tout va, effectivement, cela est plus simple de faire éditer les livres, dans l'université et à son nom.>>
Bǎo continuait d'écouter la demoiselle en souriant comme un enfant heureux. Elle avait raison, l'écriture est subjective, la communauté littéraire, il ne la connaissait que trop bien en grand lecteur, elle pouvait élever quelqu'un au rang de star et en détruire une autre, parce qu'elle trouvait le style d'écriture trop fade pour intéresser qui que ce soit. Il n'avait jamais rencontré d'éditeurs avant aujourd'hui, est bien que ne le montrant pas, il avait un peu de méfiance, ayant entendu de nombreuses histoires d'éditeurs ayant volé des textes ou pris trop d'argents, sur le pourcentage de ventes.
<< Vous avez tout à fait raison, mademoiselle Choi, l'opinion est propre à tout le monde, chacun des lecteurs diffèrent, certains apprécient un style, d'autres non, mais on ne peut faire l'unanimité. Les éditeurs et correcteurs, sont-là pour aider à peaufiner les romans quels-qu'ils soient, mais l'auteur doit faire le plus gros du travail et ne pas se reposer sur ses lauriers.>>
Maintenant qu'elle reparlait de lui proposer son aide pour améliorer son style et probablement son idée de futur roman noir, il se plongea de nouveau dans ses pensées, avant de relevé la tête encore plus souriant qu'avant. Il avait envie d'y croire malgré sa petite méfiance, il pesa de nouveau le pour et le contre, finissant par accepter mentalement.
<< Bien. Je suis disposé à accepter votre offre avec grand plaisir, si cela peut aussi, vous aidez à faire connaitre votre affaire, je ne me vois pas refusé, seul l'avenir nous le dira, pour l'instant, il est incertain.>>
feat. @Choi Ji Yool
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En travaillant ensemble et réunissant nos richesses nous pouvons accomplir de grandes choses.— Ronald Reagan, acteur et homme d’état.
(tenue) S'étant plongé dans ses pensées, cherchant à comment de réalisme à ses petits textes, le français releva la tête en continuant de sourire, écoutant attentivement la jeune femme parlée de sa start-up qu'elle avait créé, avec fierté et cela donnant à Bǎo, l'impression de travailler avec quelqu'un qui connaissait bien son métier d'éditeur et non, un charlatan, bien qu'elle commençais à débuter, lui avait-elle en quelques sortes, fait comprendre.
<< Je suppose aussi. Bien sûr, je n'oserais dire le contraire, n'ayant jamais mie un seul pied, dans votre université, je ne pourrais jamais juger l'enseignement qui y est admis. Mais, je pense que oui, cela peu offrir un bon rayonnement à travers le pays hôte de cette université et à l'étranger comme Harvard ou Oxford, même La Sorbonne, bien que cela fusse différent.>>
Le presque trentenaire buvait les paroles de la jeune femme, qui parlait clairement avec aisance de son point de vue et il apprécie ceci, elle parle sans mauvaises arrières-pensées et puis, lui qui n'aimait pas approcher les gens, n'aurait jamais abordé celle-ci, si elle ne s'était pas approchée de lui. Outre cela, il lui semblait avoir entendu de vague rumeur plutôt mauvaise sur l'université, mais il ne faut pas toujours croire les ont-dit.
<< Cela est bien vrai, pour les grandes structures en difficulté, économiser est important, mais pour aussi ne pas ruiner son entreprise, à faire des dépenses à tout va, effectivement, cela est plus simple de faire éditer les livres, dans l'université et à son nom.>>
Bǎo continuait d'écouter la demoiselle en souriant comme un enfant heureux. Elle avait raison, l'écriture est subjective, la communauté littéraire, il ne la connaissait que trop bien en grand lecteur, elle pouvait élever quelqu'un au rang de star et en détruire une autre, parce qu'elle trouvait le style d'écriture trop fade pour intéresser qui que ce soit. Il n'avait jamais rencontré d'éditeurs avant aujourd'hui, est bien que ne le montrant pas, il avait un peu de méfiance, ayant entendu de nombreuses histoires d'éditeurs ayant volé des textes ou pris trop d'argents, sur le pourcentage de ventes.
<< Vous avez tout à fait raison, mademoiselle Choi, l'opinion est propre à tout le monde, chacun des lecteurs diffèrent, certains apprécient un style, d'autres non, mais on ne peut faire l'unanimité. Les éditeurs et correcteurs, sont-là pour aider à peaufiner les romans quels-qu'ils soient, mais l'auteur doit faire le plus gros du travail et ne pas se reposer sur ses lauriers.>>
Maintenant qu'elle reparlait de lui proposer son aide pour améliorer son style et probablement son idée de futur roman noir, il se plongea de nouveau dans ses pensées, avant de relevé la tête encore plus souriant qu'avant. Il avait envie d'y croire malgré sa petite méfiance, il pesa de nouveau le pour et le contre, finissant par accepter mentalement.
<< Bien. Je suis disposé à accepter votre offre avec grand plaisir, si cela peut aussi, vous aidez à faire connaitre votre affaire, je ne me vois pas refusé, seul l'avenir nous le dira, pour l'instant, il est incertain.>>
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Lee Beom Ho
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Re: let's work together (xiebao) | Ven 20 Aoû - 12:06 Citer EditerSupprimer
Si Jiyool avait toujours été relativement humble voire bien plus encore, elle ne pouvait pas nier qu'elle était particulièrement fière de sa réussite professionnelle et la réussite de son petit bébé qu'était le projet Nunchi. La jeune éditrice était tout aussi fière de son équipe sur qui elle pouvait compter au quotidien et en qui elle plaçait une confiance presque aveugle, mais aussi de ce partenariat négocié comme des rois qui faisait le succès de la start-up. « Exactement, finalement notre partenariat a bien des avantages pour l'université ainsi que pour la start-up. » conclut-elle avant de s'intéresser aux écrits de l'homme. Bien sûr, Jiyool restait encore une débutante, bien qu'elle ne pouvait pas se plaindre de son bagage professionnel à son jeune âge. Il lui restait encore bien des choses à apprendre, bien des genres à découvrir et des styles à comprendre. D'après elle, chacun auteur avait sa place dans le monde de la littérature à partir du moment où il était bien accompagné et qu'il était également prêt à apprendre. Ainsi, la réponse de Xiebao lui arracha un sourire franc. « J'apprécie votre point de vue. Il est important qu'aucun des deux partis ne se reposent sur ses lauriers, c'est le cas de bien trop d'auteurs à succès dont les livres deviennent de moins en moins avec le temps. C'est bien dommage. ». Mais si l'homme avait un tel discours et les tête sur les épaules, comme il le montrait à cet instant, alors Jiyool n'avait aucune raison de s'inquiéter. Certes, l'avenir était incertain, elle en avait fait les frais un certain nombre de fois mais elle savait aussi qu'il était plus simple de l'affronter à plusieurs. « J'ai foi en l'avenir, ne vous inquiétez pas pour cela. » répondit-il en s'éloignant de l'écran brillant pour s'appuyer un peu plus au fond de sa chaise, avant de tenter le tout pour le tout – une proposition de rendez-vous pro. Jiyool fut presque étonnée que Xiebao accepte aussi rapidement et aussi facilement. En soit ce rendez-vous n'engageait à rien, mais c'était un premier pas pour sortir du hobby et un premier pas pour entrer dans la vie pro. Son sourire ne se fit que plus grand. « S'il vous plaît, appelez le numéro de ma carte. Vous tomberez sur notre manager qui trouva le meilleur créneau pour vous et l'équipe. Et on pourra reparler de tout cela ensemble. ». Sur ces mots, elle tourna l'ordinateur vers son propriétaire, signe que ce qu'elle avait lu jusque-là lui suffisait pour se faire une idée positive de ce qu'il écrivait et à quel type d'écriture, elle aurait à faire en travaillant avec lui. Mais pour Jiyool, l'aspect humain était tout aussi important que l'aspect littéraire uniquement ; elle avait besoin de connaître les gens avec qui elle allait travailler. « En attendant, si vous le voulez bien, j'aime bien apprendre à connaître les personnes avec qui je vais être amené à travailler. Je peux vous poser quelques questions sur vous ? » proposa-t-elle. Bien sûr, l'échange serait à double sens et elle acceptait avec plaisir que l'homme lui pose aussi des questions sur elle. « Professionnelle et personnelle. ».
feat. @Yì Xiē Bǎo
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En travaillant ensemble et réunissant nos richesses nous pouvons accomplir de grandes choses.— Ronald Reagan, acteur et homme d’état.
Si Jiyool avait toujours été relativement humble voire bien plus encore, elle ne pouvait pas nier qu'elle était particulièrement fière de sa réussite professionnelle et la réussite de son petit bébé qu'était le projet Nunchi. La jeune éditrice était tout aussi fière de son équipe sur qui elle pouvait compter au quotidien et en qui elle plaçait une confiance presque aveugle, mais aussi de ce partenariat négocié comme des rois qui faisait le succès de la start-up. « Exactement, finalement notre partenariat a bien des avantages pour l'université ainsi que pour la start-up. » conclut-elle avant de s'intéresser aux écrits de l'homme. Bien sûr, Jiyool restait encore une débutante, bien qu'elle ne pouvait pas se plaindre de son bagage professionnel à son jeune âge. Il lui restait encore bien des choses à apprendre, bien des genres à découvrir et des styles à comprendre. D'après elle, chacun auteur avait sa place dans le monde de la littérature à partir du moment où il était bien accompagné et qu'il était également prêt à apprendre. Ainsi, la réponse de Xiebao lui arracha un sourire franc. « J'apprécie votre point de vue. Il est important qu'aucun des deux partis ne se reposent sur ses lauriers, c'est le cas de bien trop d'auteurs à succès dont les livres deviennent de moins en moins avec le temps. C'est bien dommage. ». Mais si l'homme avait un tel discours et les tête sur les épaules, comme il le montrait à cet instant, alors Jiyool n'avait aucune raison de s'inquiéter. Certes, l'avenir était incertain, elle en avait fait les frais un certain nombre de fois mais elle savait aussi qu'il était plus simple de l'affronter à plusieurs. « J'ai foi en l'avenir, ne vous inquiétez pas pour cela. » répondit-il en s'éloignant de l'écran brillant pour s'appuyer un peu plus au fond de sa chaise, avant de tenter le tout pour le tout – une proposition de rendez-vous pro. Jiyool fut presque étonnée que Xiebao accepte aussi rapidement et aussi facilement. En soit ce rendez-vous n'engageait à rien, mais c'était un premier pas pour sortir du hobby et un premier pas pour entrer dans la vie pro. Son sourire ne se fit que plus grand. « S'il vous plaît, appelez le numéro de ma carte. Vous tomberez sur notre manager qui trouva le meilleur créneau pour vous et l'équipe. Et on pourra reparler de tout cela ensemble. ». Sur ces mots, elle tourna l'ordinateur vers son propriétaire, signe que ce qu'elle avait lu jusque-là lui suffisait pour se faire une idée positive de ce qu'il écrivait et à quel type d'écriture, elle aurait à faire en travaillant avec lui. Mais pour Jiyool, l'aspect humain était tout aussi important que l'aspect littéraire uniquement ; elle avait besoin de connaître les gens avec qui elle allait travailler. « En attendant, si vous le voulez bien, j'aime bien apprendre à connaître les personnes avec qui je vais être amené à travailler. Je peux vous poser quelques questions sur vous ? » proposa-t-elle. Bien sûr, l'échange serait à double sens et elle acceptait avec plaisir que l'homme lui pose aussi des questions sur elle. « Professionnelle et personnelle. ».
feat. @Yì Xiē Bǎo
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Re: let's work together (xiebao) | Ven 20 Aoû - 17:56 Citer EditerSupprimer
(tenue) C'était donnant-donnant, l'université fournissant les espaces pour la start-up et eux, redorer l'image de la bâtisse universitaire, il trouvait que c'était plutôt bien jouer de la part de l'université, si Nunchi réussissait, alors, il pourrait se vanter sans complaisance, d'être de nouveau en bon terme avec les ragots, qui ne serait plus que bénéfique et en même temps, il trouvait cela plutôt bancale comme accord, que se passerait-il s'y cela venait à ne pas marcher ? Il préférait rester optimiste.
<< C'est vrai, mais faites attention, peut-être que cette confiance accordez par votre université, ne cache pas d'arrières pensées. Que vous souhaitez redorer l'image de votre établissement, c'est tout à votre honneur, mais faites attention, parfois, vos pires ennemis sont ceux qui vous connaissent le mieux.>>
Elle avait raison, il avait lu bon nombre de romans d'auteurs connues avant de se mettre à écrire à temps partiels, seulement, parfois, il avait eu l'impression de lire et relire la même chose. Il avait pût rencontré certains de ces auteurs à succès fulgurent, qui ne souhaitait pas sortir des sentiers battues, s'essayer à autre chose, simplement parce qu'ils voulaient rester dans leurs zones de confort et c'était bien dommage. Pouvait-il vraiment leur en vouloir ? C'était moins sûr. Après tout, il commençait, pourquoi ne ferait-il pas les mêmes erreurs, même bien entouré ?
<< J'aimerais pouvoir dire le contraire, mais ce n'est pas le cas. Lorsqu'ils trouvent un bon filon, ils s'en servent jusqu'à l'épuiser, rendant parfois leurs lecteurs ennuyés et lassé, se détournant d'un auteur qui pourtant est très bon. >>
Le français lui accorda un autre sourire et un faible signe de tête, d'accord avec ce qu'elle lui avait donné comme réponse. L'avenir est faite d'embûches, on peut être assuré de celui-ci, réussir tout ce que l'on entre-prends, ou bien tout perdre, néanmoins, il fallait au moins, resté un peu optimiste.
<< Je n'y manquerais pas, croyez-moi. Je prendrais le temps d'appeler votre manager, un peu plus tard dans la journée. >>
Le presque trentenaire récupéra son ordinateur, fermant la page, refermant ensuite l'ordi portable, le rangeant dans la sacoche qu'il prie exprès pour cela. Par la suite, il fixa de nouveau la jeune femme, buvant une autre gorgée de temps, qui lui parut plutôt froide, mais pas désagréable. Ce qui le dérangeait, s'était l'afflux de clients qui commençais à arriver, parlant surtout plutôt fort, s'efforçant d'ignorer le bruit, il continua de sourire à celle-ci.
<< Je n'y vois aucun inconvénients tant que cela ne touche pas à la vie privée, autre que nécessaire, bien entendu. >>
Non, pas que ce genre d'interrogatoires, le dérangeait, lui aussi, il aimait bien connaitre les gens avec qui il travaillait, mais parfois certains dépassés les bornes, préférant maintenant mettre des limites.
feat. @Choi Ji Yool
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(tenue) C'était donnant-donnant, l'université fournissant les espaces pour la start-up et eux, redorer l'image de la bâtisse universitaire, il trouvait que c'était plutôt bien jouer de la part de l'université, si Nunchi réussissait, alors, il pourrait se vanter sans complaisance, d'être de nouveau en bon terme avec les ragots, qui ne serait plus que bénéfique et en même temps, il trouvait cela plutôt bancale comme accord, que se passerait-il s'y cela venait à ne pas marcher ? Il préférait rester optimiste.
<< C'est vrai, mais faites attention, peut-être que cette confiance accordez par votre université, ne cache pas d'arrières pensées. Que vous souhaitez redorer l'image de votre établissement, c'est tout à votre honneur, mais faites attention, parfois, vos pires ennemis sont ceux qui vous connaissent le mieux.>>
Elle avait raison, il avait lu bon nombre de romans d'auteurs connues avant de se mettre à écrire à temps partiels, seulement, parfois, il avait eu l'impression de lire et relire la même chose. Il avait pût rencontré certains de ces auteurs à succès fulgurent, qui ne souhaitait pas sortir des sentiers battues, s'essayer à autre chose, simplement parce qu'ils voulaient rester dans leurs zones de confort et c'était bien dommage. Pouvait-il vraiment leur en vouloir ? C'était moins sûr. Après tout, il commençait, pourquoi ne ferait-il pas les mêmes erreurs, même bien entouré ?
<< J'aimerais pouvoir dire le contraire, mais ce n'est pas le cas. Lorsqu'ils trouvent un bon filon, ils s'en servent jusqu'à l'épuiser, rendant parfois leurs lecteurs ennuyés et lassé, se détournant d'un auteur qui pourtant est très bon. >>
Le français lui accorda un autre sourire et un faible signe de tête, d'accord avec ce qu'elle lui avait donné comme réponse. L'avenir est faite d'embûches, on peut être assuré de celui-ci, réussir tout ce que l'on entre-prends, ou bien tout perdre, néanmoins, il fallait au moins, resté un peu optimiste.
<< Je n'y manquerais pas, croyez-moi. Je prendrais le temps d'appeler votre manager, un peu plus tard dans la journée. >>
Le presque trentenaire récupéra son ordinateur, fermant la page, refermant ensuite l'ordi portable, le rangeant dans la sacoche qu'il prie exprès pour cela. Par la suite, il fixa de nouveau la jeune femme, buvant une autre gorgée de temps, qui lui parut plutôt froide, mais pas désagréable. Ce qui le dérangeait, s'était l'afflux de clients qui commençais à arriver, parlant surtout plutôt fort, s'efforçant d'ignorer le bruit, il continua de sourire à celle-ci.
<< Je n'y vois aucun inconvénients tant que cela ne touche pas à la vie privée, autre que nécessaire, bien entendu. >>
Non, pas que ce genre d'interrogatoires, le dérangeait, lui aussi, il aimait bien connaitre les gens avec qui il travaillait, mais parfois certains dépassés les bornes, préférant maintenant mettre des limites.
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