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current mood : so much ugh ((euigeon))
Bang Yura
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current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 6 Fév - 12:34 Citer EditerSupprimer
@Im Eui Geon
Tu l'avais entendu, ce petit « clac » plus ou moins discret dans ton dos. Tu l'avais senti, ce fin courant d'air d'une porte qui se ferme, soulevant à peine quelques mèches de tes cheveux. Tu l'avais senti, le bois glissant entre tes doigts alors que tu délaissais la porte, supposant qu'elle resterait sagement là à t'attendre, aussi fidèle qu'un canidé à qui tu venais d'ordonner de ne pas bouger. T'avais senti et entendu tout ça – mais t'avais eu absolument aucun réflexe pour la retenir, la porte. Puisque... c'était une porte. Donc que tu pouvais ouvrir, ou fermer, au choix. Pas vrai ? Une porte s'ouvrait toujours des deux côtés. Sauf celle-ci. Tu avais essayé. Trois fois. Elle s'ouvrait pas de ce côté-là – mais tu restais convaincue qu'une porte s'ouvrait toujours des deux côtés et que ça, là, c'était pas une porte. Mais un passage vers un monde sombre et en flammes, ou quelque chose qui s'en approchait. Pourquoi serait-il là, sinon ? A part pour rendre la pièce encore moins agréable. Tu le regardais pas mais tu savais qu'il était là. Tu savais qu'il était pas loin. Tu l'avais vu en entrant – et c'était la surprise qui s'était affichée sur ton visage. C'était à cause de lui que t'avais pas vraiment retenu la porte, ni fait attention à ce qu'elle faisait. C'était une porte, elle était libre, qu'elle fasse sa vie. Et elle l'avait vraiment fait, se renfermant gracieusement, refusant de s'ouvrir, vous enfermant là.
Tu observas vaguement la pièce autour de toi. Est-ce que tu faisais un cauchemar ? S'il était là, tu devais pas en être loin. Peut-être t'étais-tu cognée la tête ? T'étais tombée dans la salle et tu roupillais par terre. Ca devait être ça – tu savais que c'était pas ça. T'arrivais pas vraiment à vivre dans le déni. Quoi que. Ta vie entière en était presque un, t'étais plus à ça près, finalement. « Quel est le con... », commenças-tu, grinçant entre tes dents, fermant un instant les yeux, inspirant. « … qui a décidé que cette porte », tu désignas la coupable, les yeux toujours clos. « … ne devait pas s'ouvrir de l'intérieur ?? », tu te posais réellement la question. Tu le savais pas, toi, qu'elle s'ouvrait pas de ce côté-là – tu venais de l'apprendre à tes dépens il y a une bonne dizaine de minutes de ça, découvrant aussi un individu suspect. « Et qu'est-ce que tu fais là ? », tu rouvris les yeux, le fixant, le nez retroussé. « Ca te serait pas venu à l'idée de prévenir ? De dire quelque chose ? Ou de faire un truc ? », tu agitas un peu les mains avant de soupirer, les paumes contre les joues, désemparée. T'allais pas passer le reste de ta soirée ici. Hors de question. C'était pas prévu au programme. Tu jetas un regard vers la porte. Peut-être que si tu tentais de la démonter... « Non, sérieusement, qu'est-ce que tu fais là ? », que tu lui demandas, les prunelles revenant vers lui, quelque peu intriguées et curieuses. Il s'était perdu ? Il se cachait ici par plaisir ? Ca devenait tordu.
@Im Eui Geon
Tu l'avais entendu, ce petit « clac » plus ou moins discret dans ton dos. Tu l'avais senti, ce fin courant d'air d'une porte qui se ferme, soulevant à peine quelques mèches de tes cheveux. Tu l'avais senti, le bois glissant entre tes doigts alors que tu délaissais la porte, supposant qu'elle resterait sagement là à t'attendre, aussi fidèle qu'un canidé à qui tu venais d'ordonner de ne pas bouger. T'avais senti et entendu tout ça – mais t'avais eu absolument aucun réflexe pour la retenir, la porte. Puisque... c'était une porte. Donc que tu pouvais ouvrir, ou fermer, au choix. Pas vrai ? Une porte s'ouvrait toujours des deux côtés. Sauf celle-ci. Tu avais essayé. Trois fois. Elle s'ouvrait pas de ce côté-là – mais tu restais convaincue qu'une porte s'ouvrait toujours des deux côtés et que ça, là, c'était pas une porte. Mais un passage vers un monde sombre et en flammes, ou quelque chose qui s'en approchait. Pourquoi serait-il là, sinon ? A part pour rendre la pièce encore moins agréable. Tu le regardais pas mais tu savais qu'il était là. Tu savais qu'il était pas loin. Tu l'avais vu en entrant – et c'était la surprise qui s'était affichée sur ton visage. C'était à cause de lui que t'avais pas vraiment retenu la porte, ni fait attention à ce qu'elle faisait. C'était une porte, elle était libre, qu'elle fasse sa vie. Et elle l'avait vraiment fait, se renfermant gracieusement, refusant de s'ouvrir, vous enfermant là.
Tu observas vaguement la pièce autour de toi. Est-ce que tu faisais un cauchemar ? S'il était là, tu devais pas en être loin. Peut-être t'étais-tu cognée la tête ? T'étais tombée dans la salle et tu roupillais par terre. Ca devait être ça – tu savais que c'était pas ça. T'arrivais pas vraiment à vivre dans le déni. Quoi que. Ta vie entière en était presque un, t'étais plus à ça près, finalement. « Quel est le con... », commenças-tu, grinçant entre tes dents, fermant un instant les yeux, inspirant. « … qui a décidé que cette porte », tu désignas la coupable, les yeux toujours clos. « … ne devait pas s'ouvrir de l'intérieur ?? », tu te posais réellement la question. Tu le savais pas, toi, qu'elle s'ouvrait pas de ce côté-là – tu venais de l'apprendre à tes dépens il y a une bonne dizaine de minutes de ça, découvrant aussi un individu suspect. « Et qu'est-ce que tu fais là ? », tu rouvris les yeux, le fixant, le nez retroussé. « Ca te serait pas venu à l'idée de prévenir ? De dire quelque chose ? Ou de faire un truc ? », tu agitas un peu les mains avant de soupirer, les paumes contre les joues, désemparée. T'allais pas passer le reste de ta soirée ici. Hors de question. C'était pas prévu au programme. Tu jetas un regard vers la porte. Peut-être que si tu tentais de la démonter... « Non, sérieusement, qu'est-ce que tu fais là ? », que tu lui demandas, les prunelles revenant vers lui, quelque peu intriguées et curieuses. Il s'était perdu ? Il se cachait ici par plaisir ? Ca devenait tordu.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 20 Fév - 22:31 Citer EditerSupprimer
@Bang Yura
La porte s’était ouverte, sonnant la délivrance, sa délivrance. Il ne savait pas vraiment depuis combien de temps il était enfermé dans cette pièce, mais alors que c’était le sosie de Malia qui avait ouvert, il savait que ses ennuis n’étaient pas finis. Après tout, depuis qu’il l’avait vu la dernière fois, elle n’avait été synonyme que d’emmerde et aujourd’hui ne fit pas exception à la règle. Alors qu’il tenta de l’informer que la porte ne s’ouvrait pas de l’intérieur, elle la laissa claquer derrière elle. Il grogna et se retint de lui sauter à la gorge directement. Après tout, elle n’était peut-être pas aussi bête qu’elle en avait l’air. Pourtant, tandis qu’il la voyait se débattre avec la porte, pour tenter de sortir, il ne put s’empêcher de penser qu’elle était incroyablement débile. Euigeon la regarda faire en silence. Il n’aurait clairement pas dit qu’elle brillait par son intelligence mais se retint de faire ce genre de commentaire. Il avait été lui-même piégé dans cette pièce, ce n’était donc pas une bonne solution de lui rejeter la faute dessus. « Peut-être quelqu’un qui pensait qu’on la retiendrait… » Puis ce n’était pas la première porte qu’elle devait voir et donc savoir qu’il y avait des portes qui ne s’ouvraient pas de l’intérieur. Pourtant, il avait l’impression que la jeune femme ne savait vraiment pas. D’où venait-elle ? D’une autre planète ? Il commençait à penser que c’était le cas.
Elle finit par l’accuser de ne pas l’avoir prévenu et il soupira en se massant les tempes. « Commence pas ! Je pensais pas que t’allais la laisser claquer. Sinon tu penses bien que je t’aurai demandé de la retenir. » Euigeon était con mais pas à ce point. Il n’avait aucune envie de se retrouver coincé avec cette jeune femme qu’il ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve mais qui était bien trop prompt à arriver dans sa vie comme une merde de pigeon dans une cour de récréation. C’est-à-dire sans prévenir et toujours au mauvais endroit. Il soupira quand elle reprit la parole. « Je travaille ici. Tu sais travailler, quelque chose que tu fais quand tu es un adulte… » Quelque chose qu’il ne la voyait pas faire parce que sinon, elle ne serait jamais venue l’emmerder dans cette boutique. « Et toi tu fais quoi là ? T’essaies de trouver quelqu’un d’autre à emmerder ? Ou alors tu me stalkes ? » Il la regarda presque furieux et dégoûté. « T’as vraiment pas autre chose à faire de ta vie que de venir foutre le bordel dans celle des autres ? » Parce que si ce n’était pas pour le faire chier, pourquoi était-elle encore une fois devant lui, enfermé dans la même pièce. Ce n’était pas un signe du destin et si ça l’était, Euigeon emmerdait le destin.
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La porte s’était ouverte, sonnant la délivrance, sa délivrance. Il ne savait pas vraiment depuis combien de temps il était enfermé dans cette pièce, mais alors que c’était le sosie de Malia qui avait ouvert, il savait que ses ennuis n’étaient pas finis. Après tout, depuis qu’il l’avait vu la dernière fois, elle n’avait été synonyme que d’emmerde et aujourd’hui ne fit pas exception à la règle. Alors qu’il tenta de l’informer que la porte ne s’ouvrait pas de l’intérieur, elle la laissa claquer derrière elle. Il grogna et se retint de lui sauter à la gorge directement. Après tout, elle n’était peut-être pas aussi bête qu’elle en avait l’air. Pourtant, tandis qu’il la voyait se débattre avec la porte, pour tenter de sortir, il ne put s’empêcher de penser qu’elle était incroyablement débile. Euigeon la regarda faire en silence. Il n’aurait clairement pas dit qu’elle brillait par son intelligence mais se retint de faire ce genre de commentaire. Il avait été lui-même piégé dans cette pièce, ce n’était donc pas une bonne solution de lui rejeter la faute dessus. « Peut-être quelqu’un qui pensait qu’on la retiendrait… » Puis ce n’était pas la première porte qu’elle devait voir et donc savoir qu’il y avait des portes qui ne s’ouvraient pas de l’intérieur. Pourtant, il avait l’impression que la jeune femme ne savait vraiment pas. D’où venait-elle ? D’une autre planète ? Il commençait à penser que c’était le cas.
Elle finit par l’accuser de ne pas l’avoir prévenu et il soupira en se massant les tempes. « Commence pas ! Je pensais pas que t’allais la laisser claquer. Sinon tu penses bien que je t’aurai demandé de la retenir. » Euigeon était con mais pas à ce point. Il n’avait aucune envie de se retrouver coincé avec cette jeune femme qu’il ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve mais qui était bien trop prompt à arriver dans sa vie comme une merde de pigeon dans une cour de récréation. C’est-à-dire sans prévenir et toujours au mauvais endroit. Il soupira quand elle reprit la parole. « Je travaille ici. Tu sais travailler, quelque chose que tu fais quand tu es un adulte… » Quelque chose qu’il ne la voyait pas faire parce que sinon, elle ne serait jamais venue l’emmerder dans cette boutique. « Et toi tu fais quoi là ? T’essaies de trouver quelqu’un d’autre à emmerder ? Ou alors tu me stalkes ? » Il la regarda presque furieux et dégoûté. « T’as vraiment pas autre chose à faire de ta vie que de venir foutre le bordel dans celle des autres ? » Parce que si ce n’était pas pour le faire chier, pourquoi était-elle encore une fois devant lui, enfermé dans la même pièce. Ce n’était pas un signe du destin et si ça l’était, Euigeon emmerdait le destin.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Lun 21 Fév - 21:41 Citer EditerSupprimer
@Im Eui Geon
T'étais persuadée que la personne qui avait inventé cette porte ne savait pas s'en servir. Ca pouvait s'ouvrir des deux côtés, une porte. On pouvait entrer et sortir et pas juste entrer. Ca servait à quoi, sinon ? Tu le fixas un instant avant de secouer le visage. Il était peut-être celui qui avait inventé la porte avec une réponse pareille. Ce ne serait pas si étonnant que ça, supposas-tu, inspectant la porte une nouvelle fois, tes iris glissant sur sa silhouette. Presque la même taille, même format. Tout aussi plat, et morne, et ennuyant et – « Je pensais pas qu'elle resterait bloquée », tes mains désignaient le morceau de bois. « Tu retiens toutes les portes que tu ouvres ? », que tu lui demandas, l'air de plus en plus perplexe. Il venait de quel monde ?? Il fonctionnait comment ? Tu le jaugeas un instant, le silence contre les lèvres. Quelle était cette créature et que faisait-elle sur terre ? « Pourquoi tu l'as pas retenue en entrant, du coup ? », relevas-tu, le sourcil levé, le visage basculé sur le côté.
Tu secouas un peu le visage, retenant un soupir. « Quand tu seras un adulte, tu pourras venir travailler ici, oui, si tu veux... », tu agitas la main dans le vide. Les enfants n'avaient pas leur place ici donc pour le moment, tu ne voyais pas trop ce qu'il pouvait bien faire là. Tu ouvris la bouche pour répondre, te contentant finalement d'écouter cette théorie fortement intéressante. « Tu as raison », commentas-tu, les phalanges contre les lèvres, faussement choquée. « Je suis démasquée. Zut alors. Moi qui pensais avoir été discrète à chaque fois que je te suivais. Me voilà bien confuse », quelle vivacité d'esprit il avait là pour deviner ton but ! Heureusement que t'étais pas actrice, t'étais si mauvaise. « J'ai moi-même trafiqué cette porte pour pouvoir être coincée avec toi. Tu n'imagines même pas le temps que j'ai passé à attendre que tu rentres ici », formulas-tu, suivant sa théorie, les mains jointes devant toi telle une jeune fille un peu trop rêveuse, t'approchant de lui. « T'es pas du genre à fournir tes meilleures théories dans la seconde, hein », ça va qu'il était mignon, ça le sauvait. Un peu. « Puis si ça se trouve, c'est toi qui me suis », l'accusas-tu d'un index dans sa direction, plissant les yeux mais n'y croyant absolument pas. « Désolée de briser tes rêves, mais t'as pas la raison de ma présence ici », tes paumes contre ses épaules, tu lui tapotas faiblement, faussement désolée et compatissante avant de te décaler. « Je suis professeure », articulas-tu lentement, voulant éviter toute remarque déplaisante sur le travail que tu faisais là. Tu restas muette un moment, inspectant la pièce et ce qu'il y avait autour de vous, tentant trouver quelque chose pour vous aider. « Je sens que ça va être long... », commentas-tu en déplaçant quelques cartons et objets qui traînaient ici ou là. « T'as une voix qui porte ? », tu relevas le regard vers lui. « On t'entendra peut-être si tu cries ? », tu désignas la porte d'un mouvement du visage.
@Im Eui Geon
T'étais persuadée que la personne qui avait inventé cette porte ne savait pas s'en servir. Ca pouvait s'ouvrir des deux côtés, une porte. On pouvait entrer et sortir et pas juste entrer. Ca servait à quoi, sinon ? Tu le fixas un instant avant de secouer le visage. Il était peut-être celui qui avait inventé la porte avec une réponse pareille. Ce ne serait pas si étonnant que ça, supposas-tu, inspectant la porte une nouvelle fois, tes iris glissant sur sa silhouette. Presque la même taille, même format. Tout aussi plat, et morne, et ennuyant et – « Je pensais pas qu'elle resterait bloquée », tes mains désignaient le morceau de bois. « Tu retiens toutes les portes que tu ouvres ? », que tu lui demandas, l'air de plus en plus perplexe. Il venait de quel monde ?? Il fonctionnait comment ? Tu le jaugeas un instant, le silence contre les lèvres. Quelle était cette créature et que faisait-elle sur terre ? « Pourquoi tu l'as pas retenue en entrant, du coup ? », relevas-tu, le sourcil levé, le visage basculé sur le côté.
Tu secouas un peu le visage, retenant un soupir. « Quand tu seras un adulte, tu pourras venir travailler ici, oui, si tu veux... », tu agitas la main dans le vide. Les enfants n'avaient pas leur place ici donc pour le moment, tu ne voyais pas trop ce qu'il pouvait bien faire là. Tu ouvris la bouche pour répondre, te contentant finalement d'écouter cette théorie fortement intéressante. « Tu as raison », commentas-tu, les phalanges contre les lèvres, faussement choquée. « Je suis démasquée. Zut alors. Moi qui pensais avoir été discrète à chaque fois que je te suivais. Me voilà bien confuse », quelle vivacité d'esprit il avait là pour deviner ton but ! Heureusement que t'étais pas actrice, t'étais si mauvaise. « J'ai moi-même trafiqué cette porte pour pouvoir être coincée avec toi. Tu n'imagines même pas le temps que j'ai passé à attendre que tu rentres ici », formulas-tu, suivant sa théorie, les mains jointes devant toi telle une jeune fille un peu trop rêveuse, t'approchant de lui. « T'es pas du genre à fournir tes meilleures théories dans la seconde, hein », ça va qu'il était mignon, ça le sauvait. Un peu. « Puis si ça se trouve, c'est toi qui me suis », l'accusas-tu d'un index dans sa direction, plissant les yeux mais n'y croyant absolument pas. « Désolée de briser tes rêves, mais t'as pas la raison de ma présence ici », tes paumes contre ses épaules, tu lui tapotas faiblement, faussement désolée et compatissante avant de te décaler. « Je suis professeure », articulas-tu lentement, voulant éviter toute remarque déplaisante sur le travail que tu faisais là. Tu restas muette un moment, inspectant la pièce et ce qu'il y avait autour de vous, tentant trouver quelque chose pour vous aider. « Je sens que ça va être long... », commentas-tu en déplaçant quelques cartons et objets qui traînaient ici ou là. « T'as une voix qui porte ? », tu relevas le regard vers lui. « On t'entendra peut-être si tu cries ? », tu désignas la porte d'un mouvement du visage.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Jeu 10 Mar - 11:33 Citer EditerSupprimer
@Bang Yura
Il ne pouvait pas se passer pire que d’être enfermé dans cette pièce et pourtant, ce fut le cas. Euigeon poussa un soupir en la voyant et encore plus quand elle commença à l’agresser sur la porte. S’il était bloqué à l’intérieur c’était qu’il n’avait pas retenu la porte et donc qu’elle s’était fermée sur lui. Mais la jeune femme qui l’avait emmerdé il y a quelques jours dans cette boutique, pendant son shopping avait fait la même chose que lui. Elle n’avait pas retenu la porte et maintenant, ils étaient deux à être enfermés et elle lui reprochait sa propre bêtise. Il sentait que ça allait être long jusqu’à ce qu’on vienne les sortir de là. « Bien sûr que j’ai retenu la porte ! Je suis juste enfermé à l’intérieur de cette pièce depuis… » Euigeon sortit son téléphone où le réseau ne passait bien entendu pas pour regarder l’heure. « Bientôt trente minutes juste pour m’amuser. Parce que j’ADORE me retrouver bloqué dans une pièce que je ne peux pas ouvrir. » Il sentait déjà sa patience s’effilocher alors qu’elle venait juste d’entrer, comme si son corps et son cerveau se rappelait d’elle. C’était pour cette raison qu’il utilisait le sarcasme de cette manière puisqu’il ne pouvait pas lui faire du mal physiquement. Il ne touchait, malheureusement, pas les filles. Même si pour elle, il serait potentiellement prêt à faire une exception.
Le jeune professeur lui donna alors la raison de sa présence à la Yonsei. Il travaillait ici mais elle ? Elle n’avait sûrement aucune raison d’être là et pourtant, elle était là. L'avait-elle suivi ? Voulait-elle absolument faire de sa vie un enfer ? Ce n’était pas impossible. Euigeon leva les yeux au ciel quand elle reprit ses paroles. Il aurait presque pu sourire mais haussa simplement les épaules avant qu’elle ne continue à utiliser l’ironie. Il pouvait aisément l’utiliser parce qu’il était passé maître de l’utilisation quand il devait s’adresser à son père, son grand frère mais également sa belle-mère. La seule qui maintenant trouvait grâce à ses yeux était Jini. Il n’était plus le petit con qu’il avait été avec elle, comme si quelque chose avait changé et qu’il s’était rendu compte qu’elle n’était pas responsable de la mort de sa mère et du remariage de son père. Mais avec les autres, il en faisait usage sans se soucier que ses paroles puissent blesser les gens ou non. « Tu as raison… En fait c’est moi qui te suit. J’ai appris que tu allais venir là et je me suis enfermé dans cette pièce en t’attendant… » Il sourit presque mauvais avant de reprendre. « Comme ça, dès que tu entrais et fermais la porte, je pouvais te sauter dessus pour t’étrangler et ensuite j’aurai qu’à cacher ton corps… » Si ça avait été le cas, il n’aurait plus qu’à trouver quelqu’un pour cacher son corps. Peut-être demanderait-il à Hanjae et Aera. Le premier n’en parlerait jamais à quiconque et la seconde même si elle ne l’aiderait peut-être pas du premier coup, le fait de mettre à exécution un plan pareil la ferait rester dans son caractère de vipère. La jeune femme reprit alors la parole, le sortant de ses pensées meurtrières et Euigeon fronça les sourcils. « Toi prof ? Si c’est le cas, je me rase les sourcils ! » Il ne s’avançait pas trop. C’était sûr qu’elle ne pouvait pas être prof. Qui voudrait d’une fille comme elle comme professeur ? Personne ! Il l’observa ensuite, alors qu’elle se taisait et soupira quand elle reprit la parole. « Mais putain Einstein ! J’y avais pas pensé. C’est vrai que je suis bloqué sans réseau sur mon téléphone depuis presque trente minutes, mais je n’ai pas pensé à crier pour qu’on me sorte de là. » Euigeon s’approcha d’elle avec un sourire et tapota son épaule. « Finalement, tu fais une bonne professeur. Tu gagneras peut-être le Prix Nobel… » Il se recula pour lever les yeux au ciel. « De la connerie. »
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@Bang Yura
Il ne pouvait pas se passer pire que d’être enfermé dans cette pièce et pourtant, ce fut le cas. Euigeon poussa un soupir en la voyant et encore plus quand elle commença à l’agresser sur la porte. S’il était bloqué à l’intérieur c’était qu’il n’avait pas retenu la porte et donc qu’elle s’était fermée sur lui. Mais la jeune femme qui l’avait emmerdé il y a quelques jours dans cette boutique, pendant son shopping avait fait la même chose que lui. Elle n’avait pas retenu la porte et maintenant, ils étaient deux à être enfermés et elle lui reprochait sa propre bêtise. Il sentait que ça allait être long jusqu’à ce qu’on vienne les sortir de là. « Bien sûr que j’ai retenu la porte ! Je suis juste enfermé à l’intérieur de cette pièce depuis… » Euigeon sortit son téléphone où le réseau ne passait bien entendu pas pour regarder l’heure. « Bientôt trente minutes juste pour m’amuser. Parce que j’ADORE me retrouver bloqué dans une pièce que je ne peux pas ouvrir. » Il sentait déjà sa patience s’effilocher alors qu’elle venait juste d’entrer, comme si son corps et son cerveau se rappelait d’elle. C’était pour cette raison qu’il utilisait le sarcasme de cette manière puisqu’il ne pouvait pas lui faire du mal physiquement. Il ne touchait, malheureusement, pas les filles. Même si pour elle, il serait potentiellement prêt à faire une exception.
Le jeune professeur lui donna alors la raison de sa présence à la Yonsei. Il travaillait ici mais elle ? Elle n’avait sûrement aucune raison d’être là et pourtant, elle était là. L'avait-elle suivi ? Voulait-elle absolument faire de sa vie un enfer ? Ce n’était pas impossible. Euigeon leva les yeux au ciel quand elle reprit ses paroles. Il aurait presque pu sourire mais haussa simplement les épaules avant qu’elle ne continue à utiliser l’ironie. Il pouvait aisément l’utiliser parce qu’il était passé maître de l’utilisation quand il devait s’adresser à son père, son grand frère mais également sa belle-mère. La seule qui maintenant trouvait grâce à ses yeux était Jini. Il n’était plus le petit con qu’il avait été avec elle, comme si quelque chose avait changé et qu’il s’était rendu compte qu’elle n’était pas responsable de la mort de sa mère et du remariage de son père. Mais avec les autres, il en faisait usage sans se soucier que ses paroles puissent blesser les gens ou non. « Tu as raison… En fait c’est moi qui te suit. J’ai appris que tu allais venir là et je me suis enfermé dans cette pièce en t’attendant… » Il sourit presque mauvais avant de reprendre. « Comme ça, dès que tu entrais et fermais la porte, je pouvais te sauter dessus pour t’étrangler et ensuite j’aurai qu’à cacher ton corps… » Si ça avait été le cas, il n’aurait plus qu’à trouver quelqu’un pour cacher son corps. Peut-être demanderait-il à Hanjae et Aera. Le premier n’en parlerait jamais à quiconque et la seconde même si elle ne l’aiderait peut-être pas du premier coup, le fait de mettre à exécution un plan pareil la ferait rester dans son caractère de vipère. La jeune femme reprit alors la parole, le sortant de ses pensées meurtrières et Euigeon fronça les sourcils. « Toi prof ? Si c’est le cas, je me rase les sourcils ! » Il ne s’avançait pas trop. C’était sûr qu’elle ne pouvait pas être prof. Qui voudrait d’une fille comme elle comme professeur ? Personne ! Il l’observa ensuite, alors qu’elle se taisait et soupira quand elle reprit la parole. « Mais putain Einstein ! J’y avais pas pensé. C’est vrai que je suis bloqué sans réseau sur mon téléphone depuis presque trente minutes, mais je n’ai pas pensé à crier pour qu’on me sorte de là. » Euigeon s’approcha d’elle avec un sourire et tapota son épaule. « Finalement, tu fais une bonne professeur. Tu gagneras peut-être le Prix Nobel… » Il se recula pour lever les yeux au ciel. « De la connerie. »
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Bang Yura
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Célébrité : hirai momo ∽ twice
Crédits : ralhiel
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Âge : 30
Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 20 Mar - 13:48 Citer EditerSupprimer
@Im Eui Geon
Ca te dérangeait presque pas d'être enfermée. En soit ce n'était pas effrayant, juste dérangeant. Tu perdais du temps pour trois fois rien. Pour une porte ridicule qui ne s'ouvrait que d'un côté. Malgré ton caractère tu savais être patiente, et attendre qu'on vienne t'aider. Ca aurait été long – et tu aurais râlé plus d'une fois dans ton coin mais tu aurais su attendre. Tu n'aurais pas eu le choix de toute façon. Mais aujourd'hui, ça tombait vraiment mal : tu n'avais vraiment pas le temps d'attendre des heures que quelqu'un vienne te délivrer. Tu étais attendue ce soir, et tu te sentirais mal de devoir annuler pour une raison aussi stupide que « j'étais coincée dans une salle d'archives » ou une autre pièce du bâtiment. Mais en plus de ça, et certainement le pire, tu n'étais pas seule. Peut-être que si la compagnie avait été plus agréable, le temps ici t'aurait semblé moins long. Cela faisait à peine quelques minutes que tu étais là, avec lui, et t'avais l'impression que ça faisait des heures. Lui lançant un regard, tu haussas le sourcil, les prunelles déviant vers la porte fermée. Il l'avait retenue oui, et bien, vu qu'elle était fermée. « On sait jamais », tu haussas les épaules dans une petite grimace. Les gens avaient des passions étranges parfois alors... pourquoi pas ? T'allais pas juger.
T'étais pas vraiment en mesure de croire qu'il travaillait ici – t'avais pas le choix, en réalité. Sinon sa présence ici était louche. T'avais simplement du mal à l'imaginer professeur. De quoi pouvait-il donner des cours ? Et même si sa théorie aurait pu être bonne, elle était totalement fausse. Comme la tienne, tu le savais. Tu fus à peine perturbée quand il te donna raison, haussant les sourcils dans un air dépassé. Tu bougeas un peu le visage, les lèvres pincées, le fixant. Donc c'était lui le spermatozoïde gagnant ? Triste vie. « Ouais. C'est pas mal », tu bougeas un peu les épaules dans une fine grimace perplexe. « Il reste des failles dans ton plan », que tu dis simplement. Qu'il t'étrangle ou non, cacher ton corps ici semblait difficile. Puis il serait toujours coincé. Mais si ça pouvait lui faire plaisir... Tu levas le pouce pour féliciter l'idée. Le coin des lèvres se leva dans une esquisse hautement amusée, tu l'observas, le regard pétillant. « Deal », que tu soufflas, la mine joueuse, lui offrant un clin d’œil dans un sourire mutin. « Dis-leur adieu », tu hochas un peu le visage, presque désolée. « Tu voudras de l'aide ? », proposais-tu ton aide ? Oui. Totalement. Une petite moue innocente, tu gardas le sourire, avant de lever les yeux au plafond dans un soupir retenu. « Je peux pas deviner ce que tu as fait avant que j'entre », affirmas-tu, les sourcils faiblement froncés. Tu faisais que proposer, gentiment – plus ou moins, et voilà qu'il se braquait. « Je suis pas sûre, j'ai de bons adversaires quand même », que tu marmonnas, les prunelles fixées sur lui. Tu gardas le silence ensuite, te posant contre un mur, la tête basculant en arrière alors que tu observais le plafond, les bras croisés sur ta poitrine. Tu restas là, une minute, deux, les pupilles vagabondant dans la pièce, dans le vide, vers la porte, vers lui. « En attendant on est toujours pas dehors donc si tu as une meilleure idée, je t'en prie », lanças-tu finalement dans un soupir discret, balançant les bras dans le vide, tes mains retombant contre tes cuisses. Il critiquait mais en attendant tu avais proposé quelque chose. Tu soupiras une nouvelle fois, retournant vers la porte. Ta paume vint taper contre cette dernière. « Il y a quelqu'un ? », que tu demandas sans vraiment t'attendre à ce qu'on te réponde. « On est coincés », ta paume continuait à taper contre le morceau de bois avant que tu n'arrêtes. Tu te pinças les lèvres. « On peut glisser une feuille sous la porte », que tu proposas, lui lançant quelques regards. « Ca nous évitera de nous épuiser à taper contre la porte ou crier », tu haussas les épaules dans une grimace incertaine. A défaut de rien faire tu préférais tenter quelque chose. Tu supposais que simplement glisser une feuille ne servirait à rien, car on pourrait croire que quelqu'un l'avait perdu en passant. Ou alors il faudrait peut-être en glisser plusieurs... ? « Tu es professeur de quoi alors, Sherlock ? », que tu l'interrogeas, ne sachant pas vraiment si t'avais le droit d'écrire sur les feuilles que tu trouvais.
@Im Eui Geon
Ca te dérangeait presque pas d'être enfermée. En soit ce n'était pas effrayant, juste dérangeant. Tu perdais du temps pour trois fois rien. Pour une porte ridicule qui ne s'ouvrait que d'un côté. Malgré ton caractère tu savais être patiente, et attendre qu'on vienne t'aider. Ca aurait été long – et tu aurais râlé plus d'une fois dans ton coin mais tu aurais su attendre. Tu n'aurais pas eu le choix de toute façon. Mais aujourd'hui, ça tombait vraiment mal : tu n'avais vraiment pas le temps d'attendre des heures que quelqu'un vienne te délivrer. Tu étais attendue ce soir, et tu te sentirais mal de devoir annuler pour une raison aussi stupide que « j'étais coincée dans une salle d'archives » ou une autre pièce du bâtiment. Mais en plus de ça, et certainement le pire, tu n'étais pas seule. Peut-être que si la compagnie avait été plus agréable, le temps ici t'aurait semblé moins long. Cela faisait à peine quelques minutes que tu étais là, avec lui, et t'avais l'impression que ça faisait des heures. Lui lançant un regard, tu haussas le sourcil, les prunelles déviant vers la porte fermée. Il l'avait retenue oui, et bien, vu qu'elle était fermée. « On sait jamais », tu haussas les épaules dans une petite grimace. Les gens avaient des passions étranges parfois alors... pourquoi pas ? T'allais pas juger.
T'étais pas vraiment en mesure de croire qu'il travaillait ici – t'avais pas le choix, en réalité. Sinon sa présence ici était louche. T'avais simplement du mal à l'imaginer professeur. De quoi pouvait-il donner des cours ? Et même si sa théorie aurait pu être bonne, elle était totalement fausse. Comme la tienne, tu le savais. Tu fus à peine perturbée quand il te donna raison, haussant les sourcils dans un air dépassé. Tu bougeas un peu le visage, les lèvres pincées, le fixant. Donc c'était lui le spermatozoïde gagnant ? Triste vie. « Ouais. C'est pas mal », tu bougeas un peu les épaules dans une fine grimace perplexe. « Il reste des failles dans ton plan », que tu dis simplement. Qu'il t'étrangle ou non, cacher ton corps ici semblait difficile. Puis il serait toujours coincé. Mais si ça pouvait lui faire plaisir... Tu levas le pouce pour féliciter l'idée. Le coin des lèvres se leva dans une esquisse hautement amusée, tu l'observas, le regard pétillant. « Deal », que tu soufflas, la mine joueuse, lui offrant un clin d’œil dans un sourire mutin. « Dis-leur adieu », tu hochas un peu le visage, presque désolée. « Tu voudras de l'aide ? », proposais-tu ton aide ? Oui. Totalement. Une petite moue innocente, tu gardas le sourire, avant de lever les yeux au plafond dans un soupir retenu. « Je peux pas deviner ce que tu as fait avant que j'entre », affirmas-tu, les sourcils faiblement froncés. Tu faisais que proposer, gentiment – plus ou moins, et voilà qu'il se braquait. « Je suis pas sûre, j'ai de bons adversaires quand même », que tu marmonnas, les prunelles fixées sur lui. Tu gardas le silence ensuite, te posant contre un mur, la tête basculant en arrière alors que tu observais le plafond, les bras croisés sur ta poitrine. Tu restas là, une minute, deux, les pupilles vagabondant dans la pièce, dans le vide, vers la porte, vers lui. « En attendant on est toujours pas dehors donc si tu as une meilleure idée, je t'en prie », lanças-tu finalement dans un soupir discret, balançant les bras dans le vide, tes mains retombant contre tes cuisses. Il critiquait mais en attendant tu avais proposé quelque chose. Tu soupiras une nouvelle fois, retournant vers la porte. Ta paume vint taper contre cette dernière. « Il y a quelqu'un ? », que tu demandas sans vraiment t'attendre à ce qu'on te réponde. « On est coincés », ta paume continuait à taper contre le morceau de bois avant que tu n'arrêtes. Tu te pinças les lèvres. « On peut glisser une feuille sous la porte », que tu proposas, lui lançant quelques regards. « Ca nous évitera de nous épuiser à taper contre la porte ou crier », tu haussas les épaules dans une grimace incertaine. A défaut de rien faire tu préférais tenter quelque chose. Tu supposais que simplement glisser une feuille ne servirait à rien, car on pourrait croire que quelqu'un l'avait perdu en passant. Ou alors il faudrait peut-être en glisser plusieurs... ? « Tu es professeur de quoi alors, Sherlock ? », que tu l'interrogeas, ne sachant pas vraiment si t'avais le droit d'écrire sur les feuilles que tu trouvais.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Sam 8 Oct - 14:38 Citer EditerSupprimer
@Bang Yura
Être enfermé seul était déjà un calvaire. Mais être enfermé avec cette femme était encore pire aux yeux de Euigeon. Il ne l’avait vu qu’une seule fois dans ce magasin alors qu’il était en train de faire les boutiques. Elle l’avait empêché de faire les magasins et l’avait suivi pendant quelques minutes. Euigeon n’avait pas compris pourquoi elle avait fait ça et ça l’avait carrément emmerdé. Et maintenant, ça l’emmerdait encore plus parce qu’il était obligé de l’avoir près de lui et surtout l’entendre dire des inepties. Ce n’était pas dans son genre d’être violent avec une femme, mais elle testait ses limites et ça ne lui convenait pas spécialement. De plus, elle ressemblait bien trop à Malia et ça, ça le perturbait grandement. Son ex petite amie vivait encore dans son esprit et même s’il était passé à autre chose, du moins l’espérait-il, il ne pouvait pas retenir le fait qu’elle avait des similarités avec Malia. Néanmoins, il leur trouvait également des différences. L’ex petite amie de Euigeon était bien moins chiante et bien moins encline à lui taper sur le système en trouvant des idées plus farfelues les unes que les autres, comme le fait qu’il adorerait se retrouver enfermé dans un endroit une pièce qui ne possédait qu’une ouverture extérieure. Il ne prit même pas la peine de répondre et leva les yeux au ciel. Elle était folle, c’était indéniable.
Et cela se confirma lorsqu’elle l’accusa de la suivre. Euigeon entra alors dans son jeu et leva une nouvelle fois les yeux au ciel à sa réponse. « Vas y dis moi les failles de mon plan. Que je puisse m’améliorer pour la prochaine fois. » Autant qu’elle pense qu’il n’y avait pas qu’elle et qu’il suivait d’autres femmes pour ensuite se retrouver enfermé avec elle dans le seul but de mettre fin à leur vie. Le jeune professeur en avait déjà marre d’être avec elle mais malheureusement, il ne pouvait rien y faire et il regretta presque que ce ne soit pas Aera avec lui. Au moins, elle, elle avait de la répartie et le divertissait. La jeune femme à ses côtés ne lui arrivait même pas à la cheville et en plus de ça, c’était une menteuse. Le fils Im ne croyait absolument pas au fait qu’elle était professeure. Ce n’était pas possible que ce soit le cas. Alors, pour appuyer ses propos, le jeune homme lança qu’il se raserait les sourcils si c’était réellement son métier. Au vu du sourire et du regard que l’inconnue lui lança, il sut qu’il était dans la merde. Elle avait l’air bien trop sûre d’elle pour que ce soit du bluff, ou alors, elle était une très bonne actrice. Euigeon fronça les sourcils et leva à nouveau les yeux au ciel. « J’aurai pas besoin de ton aide vu que tu ne l’es pas. » Le professeur n’était plus aussi sûr de lui maintenant, mais il ne montra rien. De toute façon, même si elle l’était, il n’avait aucune obligation de le faire. Ils étaient seuls et si elle disait quelque chose, il n’aurait qu’à nier. Il verrait donc en temps voulu ce qu’il ferait. En attendant, il continua sa mini joute verbale avec elle, ne comprenant pas comment elle pouvait être aussi stupide. « Bah oui, c’est bien connu que quand tu es enfermé quelque part, ton premier réflexe est de boire un cocktail et d’attendre bien sagement qu’on vienne t’ouvrir. » Ce n’était pas comme s’il avait tenté par tous les moyens de se faire entendre, mais rien n’avait fonctionné. Sinon, il ne serait déjà plus là avec elle. « Mais c’est qu’elle serait presque intelligente… » grogna-t-il avant de détourner le regard, ses yeux se levant vers le plafond en signe de désespoir. Pourquoi n’était-il pas emprisonné dans cette pièce avec quelqu’un d’autre. Même Aera lui semblait être un meilleur choix que cette fille. Il aurait même pu faire allusion au fait qu’il n’y voyait que dalle et qu’il comprenait enfin ce qu’elle ressentait, non sans bien entendu rajouter une pique un peu plus méchante au passage. Euigeon l’observa alors frapper sur la porte à la recherche d’une personne pour ouvrir sans succès. Il la laissa faire se contentant simplement d’être le spectateur de cette représentation grotesque. « Et bien écoute, si tu as une feuille et un stylo sur toi… je te laisse écrire. » Parce que lui n’avait rien. Tout était dans sa salle de cours. Cours qui allait bientôt commencer. Il ne pensait pas que ce serait efficace. Mais si elle souhaitait essayer, qui était-il pour l’en empêcher. Il soupira avant de reporter son attention vers elle quand elle reprit la parole. Depuis quand, s’intéressait-elle à ce qu’il faisait ? Peut-être s’ennuyait-elle et désirait-elle passer le temps ? En tout cas, pour une fois, il lui répondit sans sarcasme. « Sciences de la vie et de la terre spécialisé en ornithologie. » Euigeon planta son regard dans le sien. « Et toi ? » Elle devait faire quelque chose comme bibliothécaire. Un truc qui n’était pas réellement prof d’ailleurs. « Tu dois faire une truc pas très intéressant, je suis sûr… »Jugeait-il la jeune femme ? Tout à fait.
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@Bang Yura
Être enfermé seul était déjà un calvaire. Mais être enfermé avec cette femme était encore pire aux yeux de Euigeon. Il ne l’avait vu qu’une seule fois dans ce magasin alors qu’il était en train de faire les boutiques. Elle l’avait empêché de faire les magasins et l’avait suivi pendant quelques minutes. Euigeon n’avait pas compris pourquoi elle avait fait ça et ça l’avait carrément emmerdé. Et maintenant, ça l’emmerdait encore plus parce qu’il était obligé de l’avoir près de lui et surtout l’entendre dire des inepties. Ce n’était pas dans son genre d’être violent avec une femme, mais elle testait ses limites et ça ne lui convenait pas spécialement. De plus, elle ressemblait bien trop à Malia et ça, ça le perturbait grandement. Son ex petite amie vivait encore dans son esprit et même s’il était passé à autre chose, du moins l’espérait-il, il ne pouvait pas retenir le fait qu’elle avait des similarités avec Malia. Néanmoins, il leur trouvait également des différences. L’ex petite amie de Euigeon était bien moins chiante et bien moins encline à lui taper sur le système en trouvant des idées plus farfelues les unes que les autres, comme le fait qu’il adorerait se retrouver enfermé dans un endroit une pièce qui ne possédait qu’une ouverture extérieure. Il ne prit même pas la peine de répondre et leva les yeux au ciel. Elle était folle, c’était indéniable.
Et cela se confirma lorsqu’elle l’accusa de la suivre. Euigeon entra alors dans son jeu et leva une nouvelle fois les yeux au ciel à sa réponse. « Vas y dis moi les failles de mon plan. Que je puisse m’améliorer pour la prochaine fois. » Autant qu’elle pense qu’il n’y avait pas qu’elle et qu’il suivait d’autres femmes pour ensuite se retrouver enfermé avec elle dans le seul but de mettre fin à leur vie. Le jeune professeur en avait déjà marre d’être avec elle mais malheureusement, il ne pouvait rien y faire et il regretta presque que ce ne soit pas Aera avec lui. Au moins, elle, elle avait de la répartie et le divertissait. La jeune femme à ses côtés ne lui arrivait même pas à la cheville et en plus de ça, c’était une menteuse. Le fils Im ne croyait absolument pas au fait qu’elle était professeure. Ce n’était pas possible que ce soit le cas. Alors, pour appuyer ses propos, le jeune homme lança qu’il se raserait les sourcils si c’était réellement son métier. Au vu du sourire et du regard que l’inconnue lui lança, il sut qu’il était dans la merde. Elle avait l’air bien trop sûre d’elle pour que ce soit du bluff, ou alors, elle était une très bonne actrice. Euigeon fronça les sourcils et leva à nouveau les yeux au ciel. « J’aurai pas besoin de ton aide vu que tu ne l’es pas. » Le professeur n’était plus aussi sûr de lui maintenant, mais il ne montra rien. De toute façon, même si elle l’était, il n’avait aucune obligation de le faire. Ils étaient seuls et si elle disait quelque chose, il n’aurait qu’à nier. Il verrait donc en temps voulu ce qu’il ferait. En attendant, il continua sa mini joute verbale avec elle, ne comprenant pas comment elle pouvait être aussi stupide. « Bah oui, c’est bien connu que quand tu es enfermé quelque part, ton premier réflexe est de boire un cocktail et d’attendre bien sagement qu’on vienne t’ouvrir. » Ce n’était pas comme s’il avait tenté par tous les moyens de se faire entendre, mais rien n’avait fonctionné. Sinon, il ne serait déjà plus là avec elle. « Mais c’est qu’elle serait presque intelligente… » grogna-t-il avant de détourner le regard, ses yeux se levant vers le plafond en signe de désespoir. Pourquoi n’était-il pas emprisonné dans cette pièce avec quelqu’un d’autre. Même Aera lui semblait être un meilleur choix que cette fille. Il aurait même pu faire allusion au fait qu’il n’y voyait que dalle et qu’il comprenait enfin ce qu’elle ressentait, non sans bien entendu rajouter une pique un peu plus méchante au passage. Euigeon l’observa alors frapper sur la porte à la recherche d’une personne pour ouvrir sans succès. Il la laissa faire se contentant simplement d’être le spectateur de cette représentation grotesque. « Et bien écoute, si tu as une feuille et un stylo sur toi… je te laisse écrire. » Parce que lui n’avait rien. Tout était dans sa salle de cours. Cours qui allait bientôt commencer. Il ne pensait pas que ce serait efficace. Mais si elle souhaitait essayer, qui était-il pour l’en empêcher. Il soupira avant de reporter son attention vers elle quand elle reprit la parole. Depuis quand, s’intéressait-elle à ce qu’il faisait ? Peut-être s’ennuyait-elle et désirait-elle passer le temps ? En tout cas, pour une fois, il lui répondit sans sarcasme. « Sciences de la vie et de la terre spécialisé en ornithologie. » Euigeon planta son regard dans le sien. « Et toi ? » Elle devait faire quelque chose comme bibliothécaire. Un truc qui n’était pas réellement prof d’ailleurs. « Tu dois faire une truc pas très intéressant, je suis sûr… »Jugeait-il la jeune femme ? Tout à fait.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 16 Oct - 11:48 Citer EditerSupprimer
@Im Eui Geon
T'aurais préféré être enfermée seule ici qu'avec ce type. Tu pouvais pas tomber sur plus désagréable et idiot encore. Même le mur du fond semblait plus enclin à une conversation quelconque et à des idées originales. Même que le fantôme qui vivait dans le coin était moins plat que lui. C'était à se demander s'il savait faire autre chose que grincer des dents et râler. T'étais toi-même quelqu'un qui maniait cet art de façon plus ou moins régulière, mais pas à ce point. Il en devenait antipathique et juste... agaçant. T'arrivais pas à savoir s'il ressemblait plus à un gosse en primaire ou à un petit vieux aigri. « Il y en a trop. J'aime pas le temps ni les crayons sur moi pour t'expliquer », dis-tu en levant les yeux au ciel dans un soupir contenu. Beaucoup trop. T'étais pas non plus idiote au point de croire qu'il te suivait. T'espérais qu'il soit pas assez con de croire que c'était toi qui le suivais. T'avais clairement des choses plus importantes à faire que ça, franchement. Tu donnerais tout et n'importe quoi pour voir cette porte s'ouvrir et ne plus être obligée d'être là, à devoir le supporter et l'entendre parler. Même l'entendre respirer devenait insupportable – mais c'était pas un type du métro, tu pouvais pas t'en prendre à lui pour aucune raison. Être agaçant n'était pas une raison suffisante, aux yeux de la justice. Tu le savais, on te l'avait trop dit. Ca ne te sauverait pas devant un tribunal, non plus. Tu semblais cependant jubiler en l'écoutant, le coin de tes lèvres se levant un peu plus à chaque second, ton regard pétillant de malice. Une joie sourde que tu ne pouvais contenir et une assurance qui brillant sur chaque centimètre de ta peau. « Crois-moi, tu auras besoin d'aide vu que je le suis », tu secouas quelque peu le visage avant de lever les mains en toute innocence. « Mais libre à toi de ne pas me croire. Te voir le découvrir sera encore plus drôle, alors », articulas-tu lentement, le visage penché sur le côté dans un air satisfait, l'esquisse fine plaquée aux lèvres. Tu avais hâte de voir son visage se décomposer lorsqu'il comprendra la vérité. Et tu semblais fixer ses sourcils un instant avant de hausser les épaules dans un sourire largement innocent. « T'es vraiment aigri comme type », marmonnas-tu dans une grimace avant de soupirer. « Oh mais c'est qu'il serait totalement con », rétorquas-tu sur le même ton que lui, tournant tes pupilles vers les siennes avant de les lever vers le plafond, un autre soupir mourant sur ta bouche. Tu tentais de faire du bruit mais cela semblait être une cause perdue. Et tu ne savais pas vraiment quoi faire. Est-ce que lui taper la tête contre la porte ferait plus de bruit ? – te demandas-tu, évaluant la porte un instant puis tourner le visage vers lui avant de faire la grimace. La porte semblait plus dure. Tu retroussas un peu le nez, les mains sur les hanches avant de désigner la pièce. « Il doit bien y avoir un truc utile là-dedans », probablement. Peut-être. Sûrement. T'étais pas sûre de toi. Pas du tout. Tu fis claquer ta langue contre ton palet alors que tu observais encore une fois la pièce. Croisant les bras, tu le scrutas en silence, les pupilles restant sur son visage un instant. « Ouais ça te va bien, en fait », tu bougeas un peu le visage pour appuyer tes propres paroles, gardant tes prunelles dans les siennes. Tu levas un sourcil, le coin de tes lèvres se haussant. « Je suis professeure de danse », et l'esquisse qui ornait à présent ta bouche était probablement la plus naturelle que tu aies eu en sa présence. Ta frimousse contentée témoignait de la fierté que tu ressentais d'articuler ces mots. « Parle pour toi », dis-tu simplement. « Pas que ce soit pas intéressant mais... si. Un peu. Sauf les oiseaux », dis-tu après réflexion. Les oiseaux n'y pouvaient rien. « Comme quoi, tu sais avoir des conversations civiles. Et sans râler », ça semblait t'étonner. Tu bougeas faiblement les épaules, calant ton dos contre un mur, les prunelles divaguant ici et là. « On se revoit dans... disons... trois jours ? », tu lui souris, l'index passant sur l'un de tes sourcils, avant de lui lancer un clin d’œil, un rire léger dans la gorge. Et rien que d'imaginer, tu ris un peu plus. « J'ai prévenu personne que je venais ici. T'as prévenu quelqu'un ? Personne ne se rend compte qu'on est plus là. C'est un peu triste, quand même », mais en même temps, pourquoi viendraient-ils chercher ici ?? Tu finis par te laisser glisser contre le mur, t'asseyant sur le sol, ramenant tes genoux vers toi, un soupir aux lèvres. « Maintenant que j'y pense, je vais te faciliter la vie. Bang Yura. Ce sera plus simple pour vérifier la liste des professeurs », tu souris, presque innocente.
@Im Eui Geon
T'aurais préféré être enfermée seule ici qu'avec ce type. Tu pouvais pas tomber sur plus désagréable et idiot encore. Même le mur du fond semblait plus enclin à une conversation quelconque et à des idées originales. Même que le fantôme qui vivait dans le coin était moins plat que lui. C'était à se demander s'il savait faire autre chose que grincer des dents et râler. T'étais toi-même quelqu'un qui maniait cet art de façon plus ou moins régulière, mais pas à ce point. Il en devenait antipathique et juste... agaçant. T'arrivais pas à savoir s'il ressemblait plus à un gosse en primaire ou à un petit vieux aigri. « Il y en a trop. J'aime pas le temps ni les crayons sur moi pour t'expliquer », dis-tu en levant les yeux au ciel dans un soupir contenu. Beaucoup trop. T'étais pas non plus idiote au point de croire qu'il te suivait. T'espérais qu'il soit pas assez con de croire que c'était toi qui le suivais. T'avais clairement des choses plus importantes à faire que ça, franchement. Tu donnerais tout et n'importe quoi pour voir cette porte s'ouvrir et ne plus être obligée d'être là, à devoir le supporter et l'entendre parler. Même l'entendre respirer devenait insupportable – mais c'était pas un type du métro, tu pouvais pas t'en prendre à lui pour aucune raison. Être agaçant n'était pas une raison suffisante, aux yeux de la justice. Tu le savais, on te l'avait trop dit. Ca ne te sauverait pas devant un tribunal, non plus. Tu semblais cependant jubiler en l'écoutant, le coin de tes lèvres se levant un peu plus à chaque second, ton regard pétillant de malice. Une joie sourde que tu ne pouvais contenir et une assurance qui brillant sur chaque centimètre de ta peau. « Crois-moi, tu auras besoin d'aide vu que je le suis », tu secouas quelque peu le visage avant de lever les mains en toute innocence. « Mais libre à toi de ne pas me croire. Te voir le découvrir sera encore plus drôle, alors », articulas-tu lentement, le visage penché sur le côté dans un air satisfait, l'esquisse fine plaquée aux lèvres. Tu avais hâte de voir son visage se décomposer lorsqu'il comprendra la vérité. Et tu semblais fixer ses sourcils un instant avant de hausser les épaules dans un sourire largement innocent. « T'es vraiment aigri comme type », marmonnas-tu dans une grimace avant de soupirer. « Oh mais c'est qu'il serait totalement con », rétorquas-tu sur le même ton que lui, tournant tes pupilles vers les siennes avant de les lever vers le plafond, un autre soupir mourant sur ta bouche. Tu tentais de faire du bruit mais cela semblait être une cause perdue. Et tu ne savais pas vraiment quoi faire. Est-ce que lui taper la tête contre la porte ferait plus de bruit ? – te demandas-tu, évaluant la porte un instant puis tourner le visage vers lui avant de faire la grimace. La porte semblait plus dure. Tu retroussas un peu le nez, les mains sur les hanches avant de désigner la pièce. « Il doit bien y avoir un truc utile là-dedans », probablement. Peut-être. Sûrement. T'étais pas sûre de toi. Pas du tout. Tu fis claquer ta langue contre ton palet alors que tu observais encore une fois la pièce. Croisant les bras, tu le scrutas en silence, les pupilles restant sur son visage un instant. « Ouais ça te va bien, en fait », tu bougeas un peu le visage pour appuyer tes propres paroles, gardant tes prunelles dans les siennes. Tu levas un sourcil, le coin de tes lèvres se haussant. « Je suis professeure de danse », et l'esquisse qui ornait à présent ta bouche était probablement la plus naturelle que tu aies eu en sa présence. Ta frimousse contentée témoignait de la fierté que tu ressentais d'articuler ces mots. « Parle pour toi », dis-tu simplement. « Pas que ce soit pas intéressant mais... si. Un peu. Sauf les oiseaux », dis-tu après réflexion. Les oiseaux n'y pouvaient rien. « Comme quoi, tu sais avoir des conversations civiles. Et sans râler », ça semblait t'étonner. Tu bougeas faiblement les épaules, calant ton dos contre un mur, les prunelles divaguant ici et là. « On se revoit dans... disons... trois jours ? », tu lui souris, l'index passant sur l'un de tes sourcils, avant de lui lancer un clin d’œil, un rire léger dans la gorge. Et rien que d'imaginer, tu ris un peu plus. « J'ai prévenu personne que je venais ici. T'as prévenu quelqu'un ? Personne ne se rend compte qu'on est plus là. C'est un peu triste, quand même », mais en même temps, pourquoi viendraient-ils chercher ici ?? Tu finis par te laisser glisser contre le mur, t'asseyant sur le sol, ramenant tes genoux vers toi, un soupir aux lèvres. « Maintenant que j'y pense, je vais te faciliter la vie. Bang Yura. Ce sera plus simple pour vérifier la liste des professeurs », tu souris, presque innocente.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 6 Nov - 18:28 Citer EditerSupprimer
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Leur querelle ressemblait à l’une de celle qu’il avait pu avoir étant enfant avec ses camarades. Ils cherchaient tous les deux à avoir le dernier mot, à être celui qui avait raison, celui qui aurait l’ascendant sur l’autre. Seulement, ça ne fonctionnait pas et si ça pouvait être mignon quand ils étaient jeunes, maintenant qu’ils approchaient tous les deux la trentaine, l’avait même dépassé pour Euigeon, ça ne l’était plus vraiment. Il ne répondit même pas à la jeune femme levant simplement les yeux au ciel devant autant d’immaturité. Pour le coup, il se croyait plus mature qu’elle alors que ce n’était le cas. Même ses échanges avec Aera avaient un plus haut niveau. Néanmoins, il continua d’être aussi peu adulte et promis même de se raser les sourcils si la femme qui était enfermée avec lui était une prof, ce dont il doutait. Ça ne pouvait pas être le cas et même si elle semblait sûre d’elle, lui proposant même son aide pour le faire, Euigeon ne pensait pas qu’elle avait un tel métier. Pourtant à force qu’elle affirme que c’était le cas, le trentenaire commençait à douter. Il la regarda suspicieux avant de hausser les épaules. « On verra bien. » lança-t-il, de moins en moins sûr de lui. Cependant, s’il y avait une chose dont il était certain, c’était que même si elle était réellement prof, comme elle le sous-entendait, il n’avait aucune obligation de se raser les sourcils. Personne n’avait entendu ce qu’il avait dit et donc, ce serait sa parole contre la sienne. Mais au plus profond de lui, Euigeon savait qu’il le ferait. Il ne reculait pas devant un challenge, encore moins si c’était pour ne pas perdre la face devant une femme qu’il souhaitait plus que tout, faire taire. Malheureusement, pour le moment, il n’y arrivait pas et elle ne cessait de faire des commentaires sur ce qu’il disait. Elle le traita même d’aigri et de mec totalement con. Euigeon mordit dans sa lèvre pour éviter de lui faire du mal. Il n’avait pas pour habitude de frapper les femmes et même Aera n’avait jusqu’à présent jamais réussi à l’énerver autant que cette jeune femme lui tapait sur le système et pourtant, il détestait Jung Aera depuis des années alors qu’il ne connaissait pas cette femme. Il l’avait simplement vu deux fois. Une première fois dans le magasin où elle l’avait fait chier pour des vêtements qu’il n’avait même pas choisis. Et la deuxième fois, c’était maintenant tandis qu’ils étaient tous les deux bloqués dans cette pièce. Ils tentaient de trouver une solution pour arriver à se sortir de là, sans y parvenir. Euigeon l’écouta donner des façons de régler le problème qu’ils rencontraient et lui montrait à chaque fois que c’était de la merde. « Et bah écoute, trouve quelque chose. » lança-t-il, s’installant sur le sol, complètement dépité par la situation. Ils ne sortiraient jamais de là, c’était presque sûr maintenant. Alors, au lieu d’attendre sans rien, la jeune femme lui posa des questions et il lui répondit sans sarcasme pour la première fois depuis qu’ils s’étaient rencontré. Il lui renvoya son interrogation, attendant patiemment qu’elle lui dise enfin la vérité sur son métier. Mais encore une fois, elle insista pour dire qu’elle était professeure de danse. Etait-ce réellement le cas ? La jeune femme ne semblait pas mentir et il avait de moins en moins de doute quant au fait qu’elle enseignait réellement. Il fronça les sourcils quand elle reprit la parole. « Je pourrai dire la même chose de toi… Tu pourrais presque tenir une conversation sans avoir l’air idiote. » Et cette fois-ci, il ne cacha pas son mépris et son sarcasme. Elle commençait réellement à lui taper sur le système et c’était encore plus exacerbé par le fait qu’ils étaient enfermés tous les deux dans cette pièce sans perspective de sortie. « On peut aussi ne jamais se revoir. Ça me va parfaitement. Ma vision ne serait plus polluée par ton apparence. » Euigeon ferma alors les yeux, sa tête se collant contre le mur, heureux de se retrouver dans le silence. Depuis qu’elle était entrée dans la pièce, il n’avait pas eu l’occasion de s’en délecter puisqu’elle avait parlé sans cesse depuis que la porte s’était fermée. Il soupira d’aise, avant de relever ses paupières agacé qu’elle brise le silence avec cette voix qui commençait à lui donner de l’urticaire. Il secoua la tête à ses mots. Il n’avait pas pris la peine de prévenir quelqu’un qu’il venait ici. « Pourquoi j’aurais prévenu quelqu’un ? C’est pas comme si je disais à tout va ce que je fais et quand je le fais… Et si personne ne s’en rend compte, j’imagine qu’on va être coincé ensemble jusqu’à ce que quelqu’un ait besoin de quelque chose dans cette pièce. Ou qu’on s’inquiète pour nous. » Euigeon grimaça en disant tout ça, pensant à l’éventualité que ça arrive. Coincé avec elle, jusqu’à ce qu’on s’inquiète de leur absence ou que quelqu’un ait besoin d’ouvrir la porte pour récupérer un objet dans cette pièce. La jeune femme reprit alors la parole et se présenta enfin. Bang Yura allait devenir une personne à éviter de plus. « Im Euigeon… » dit-il simplement, ne revenant pas sur le fait qu’elle avait encore mentionné le fait qu’elle était une professeure. Il ne savait même pas pourquoi il se présentait à elle. Peut-être la politesse. C’était comme ça que sa mère l’avait élevé. La politesse avant tout. « Pourquoi la danse ? » demanda-t-il, plus pour faire la conversation que par curiosité. S’ils devaient rester bloqué ici, autant qu’ils tuent le temps.
Pseudo : bambi ((elle))
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Âge : 30
@Bang Yura
Leur querelle ressemblait à l’une de celle qu’il avait pu avoir étant enfant avec ses camarades. Ils cherchaient tous les deux à avoir le dernier mot, à être celui qui avait raison, celui qui aurait l’ascendant sur l’autre. Seulement, ça ne fonctionnait pas et si ça pouvait être mignon quand ils étaient jeunes, maintenant qu’ils approchaient tous les deux la trentaine, l’avait même dépassé pour Euigeon, ça ne l’était plus vraiment. Il ne répondit même pas à la jeune femme levant simplement les yeux au ciel devant autant d’immaturité. Pour le coup, il se croyait plus mature qu’elle alors que ce n’était le cas. Même ses échanges avec Aera avaient un plus haut niveau. Néanmoins, il continua d’être aussi peu adulte et promis même de se raser les sourcils si la femme qui était enfermée avec lui était une prof, ce dont il doutait. Ça ne pouvait pas être le cas et même si elle semblait sûre d’elle, lui proposant même son aide pour le faire, Euigeon ne pensait pas qu’elle avait un tel métier. Pourtant à force qu’elle affirme que c’était le cas, le trentenaire commençait à douter. Il la regarda suspicieux avant de hausser les épaules. « On verra bien. » lança-t-il, de moins en moins sûr de lui. Cependant, s’il y avait une chose dont il était certain, c’était que même si elle était réellement prof, comme elle le sous-entendait, il n’avait aucune obligation de se raser les sourcils. Personne n’avait entendu ce qu’il avait dit et donc, ce serait sa parole contre la sienne. Mais au plus profond de lui, Euigeon savait qu’il le ferait. Il ne reculait pas devant un challenge, encore moins si c’était pour ne pas perdre la face devant une femme qu’il souhaitait plus que tout, faire taire. Malheureusement, pour le moment, il n’y arrivait pas et elle ne cessait de faire des commentaires sur ce qu’il disait. Elle le traita même d’aigri et de mec totalement con. Euigeon mordit dans sa lèvre pour éviter de lui faire du mal. Il n’avait pas pour habitude de frapper les femmes et même Aera n’avait jusqu’à présent jamais réussi à l’énerver autant que cette jeune femme lui tapait sur le système et pourtant, il détestait Jung Aera depuis des années alors qu’il ne connaissait pas cette femme. Il l’avait simplement vu deux fois. Une première fois dans le magasin où elle l’avait fait chier pour des vêtements qu’il n’avait même pas choisis. Et la deuxième fois, c’était maintenant tandis qu’ils étaient tous les deux bloqués dans cette pièce. Ils tentaient de trouver une solution pour arriver à se sortir de là, sans y parvenir. Euigeon l’écouta donner des façons de régler le problème qu’ils rencontraient et lui montrait à chaque fois que c’était de la merde. « Et bah écoute, trouve quelque chose. » lança-t-il, s’installant sur le sol, complètement dépité par la situation. Ils ne sortiraient jamais de là, c’était presque sûr maintenant. Alors, au lieu d’attendre sans rien, la jeune femme lui posa des questions et il lui répondit sans sarcasme pour la première fois depuis qu’ils s’étaient rencontré. Il lui renvoya son interrogation, attendant patiemment qu’elle lui dise enfin la vérité sur son métier. Mais encore une fois, elle insista pour dire qu’elle était professeure de danse. Etait-ce réellement le cas ? La jeune femme ne semblait pas mentir et il avait de moins en moins de doute quant au fait qu’elle enseignait réellement. Il fronça les sourcils quand elle reprit la parole. « Je pourrai dire la même chose de toi… Tu pourrais presque tenir une conversation sans avoir l’air idiote. » Et cette fois-ci, il ne cacha pas son mépris et son sarcasme. Elle commençait réellement à lui taper sur le système et c’était encore plus exacerbé par le fait qu’ils étaient enfermés tous les deux dans cette pièce sans perspective de sortie. « On peut aussi ne jamais se revoir. Ça me va parfaitement. Ma vision ne serait plus polluée par ton apparence. » Euigeon ferma alors les yeux, sa tête se collant contre le mur, heureux de se retrouver dans le silence. Depuis qu’elle était entrée dans la pièce, il n’avait pas eu l’occasion de s’en délecter puisqu’elle avait parlé sans cesse depuis que la porte s’était fermée. Il soupira d’aise, avant de relever ses paupières agacé qu’elle brise le silence avec cette voix qui commençait à lui donner de l’urticaire. Il secoua la tête à ses mots. Il n’avait pas pris la peine de prévenir quelqu’un qu’il venait ici. « Pourquoi j’aurais prévenu quelqu’un ? C’est pas comme si je disais à tout va ce que je fais et quand je le fais… Et si personne ne s’en rend compte, j’imagine qu’on va être coincé ensemble jusqu’à ce que quelqu’un ait besoin de quelque chose dans cette pièce. Ou qu’on s’inquiète pour nous. » Euigeon grimaça en disant tout ça, pensant à l’éventualité que ça arrive. Coincé avec elle, jusqu’à ce qu’on s’inquiète de leur absence ou que quelqu’un ait besoin d’ouvrir la porte pour récupérer un objet dans cette pièce. La jeune femme reprit alors la parole et se présenta enfin. Bang Yura allait devenir une personne à éviter de plus. « Im Euigeon… » dit-il simplement, ne revenant pas sur le fait qu’elle avait encore mentionné le fait qu’elle était une professeure. Il ne savait même pas pourquoi il se présentait à elle. Peut-être la politesse. C’était comme ça que sa mère l’avait élevé. La politesse avant tout. « Pourquoi la danse ? » demanda-t-il, plus pour faire la conversation que par curiosité. S’ils devaient rester bloqué ici, autant qu’ils tuent le temps.
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Bang Yura
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Dim 13 Nov - 11:39 Citer EditerSupprimer
@Im Eui Geon
T'avais pas vraiment envie de faire des efforts, haussant simplement les épaules face à son silence. Peut-être même que deux gamins feraient mieux que vous, après tout. Le côté rassurant de la chose était sans doute de voir que vous en étiez au même niveau, et qu'il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre. Lui avait finir avec les sourcils rasés et toi, avec un sourire fier. C'était lui qui avais cherché, en plus. Tu ne répondis rien, gardant un sourire aux lèvres et l'air assuré. En même temps, t'étais sûre de pas te tromper, t'étais bien professeure. Ses sourcils avaient des soucis à se faire, les pauvres. Tu ne savais pas s'il ne te croyait pas ou s'il faisait simplement semblant de ne pas te croire. Dans tous les cas, t'avais raison, il avait tort, fin mot de l'histoire. T'étais curieuse de savoir s'il irait jusqu'au bout cela dit, doutant quelque peu de sa bonne volonté, mais surtout plaçant trop haut sa fierté. Probablement. En attendant, vous étiez toujours coincés et il n'aidait pas d'une grande aide. A part râler et faire sa tête de mule dans son coin... t'étais sûre que même le mur serait plus efficace. Il ne faisait que contester tes idées et d'accord, elles n'étaient peut-être pas bonnes mais il y avait une façon de dire les choses. Il râlait, encore et encore, il faisait que ça, t'avais l'impression. Ca n'aidait pas à vous faire sortir de là et il brassait plus d'air qu'autre chose finalement. « Trouve quelque chose », que tu répétas dans un chuchotement, soupirant bruyamment ensuite, levant les yeux vers le plafond dans un air agacé. Tu serras brièvement les poings, soufflant encore. Cependant, c'était bien la première fois que vous aviez une conversation civile. C'était pas trop mal, dans le fond, même si tu savais pas combien de temps ça pouvait tenir. Il ne semblait toujours pas croire que tu étais professeure – t'allais bien rire quand il le découvrira, qu'il se rase les sourcils ou non. « C'est gentil merci », lanças-tu dans une fausse esquisse. « Je pourrais presque te trouver sympa. Presque », il manquait cependant beaucoup de choses pour en arriver jusque là. Est-ce qu'assommer quelqu'un te ferait aller en prison ? « Wow », commentas-tu. « Super. T'as trouvé ça tout seul dans ton coin ? », tu hochas un peu le visage, faussement impressionnée. « Cela dit faut bien que je te revois », tu désignas ses sourcils dans un sourire. « Je voudrais pas louper ça », articulas-tu doucement, l'esquisse contentée et la frimousse dans le même air. Inspirant longuement, tu retins cependant ton souffle, le regard vers le sol. Tu tentais de rester sage et sympa, de proposer des solutions, de te renseigner sur les choix possibles et à chaque fois... t'avais l'impression que Monsieur faisait son aigri. Quelqu'un lui a volé sa sucette ce matin ou quoi ?? « On va être là pour un bon moment alors », tu t'étiras faiblement, ta tête se posant en arrière, ne retenant pas ton soupir cette fois. T'espérais qu'on s'inquiète rapidement de votre absence. Tu bougeas faiblement le visage, par politesse, à l'entente de son prénom. Tu pouvais pas dire que t'étais ravie de le connaître, ni très enchantée donc tu te contentas de ça. Tu clignas des paupières à la question, tournant les pupilles vers lui, les sourcils quelque peu haussés, surprise par la question. Tu restas silencieuse un instant, le scrutant comme si t'attendais qu'il se moque soudainement ou qu'il râle ou quelque chose du genre mais rien. Tu te redressas un peu, t'installant en tailleur, un sourire naissant sur ta bouche. « Je danse depuis que je suis toute petite », dis-tu lentement, le regard pétillant. « Et j'ai toujours voulu travailler dans ce domaine. Enfin ça a toujours été logique », quelque chose d'inscrit en toi. Quelque chose que tu ne pouvais pas changer et qui faisait de toi, toi. Tout simplement. « C'est juste... », tu haussas un peu les épaules, l'esquisse toujours dessinée sur ta bouche. « C'est juste comme ça parce que ça devait être comme ça », ça n'avait sans doute pas de sens. Mais pour toi, si. « Je voulais devenir professeure pour transmettre ma passion, mais aussi pour aider celles et ceux qui se cherchent. Pas forcément pour les orienter vers une carrière dans la danse mais juste... pour les aider, tout simplement. On a tendance à oublier la danse mais c'est un art, et elle permet de nous exprimer mais aussi de mieux nous comprendre. C'est sans doute ce que je veux faire comprendre aux élèves. Qu'ils peuvent s'exprimer librement en dansant », tout comme le chanteur s'exprimait librement en chantant, en posant des paroles sur une mélodie. Chaque danse était une histoire, et c'était au danseur ou à la danseuse de la raconter. Tu avais raconté ton histoire par la danse des milliers de fois. Tu avais exprimé ta peine des milliers de fois. Tu gardas le silence quelques silences, les lèvres finement pincées. « J'ai un peu débordé sur ma réponse », tu haussas les épaules, retenant un rire. « Et toi ? Pourquoi les sciences de la vie et de la terre ? », que tu lui demandas, le regard à nouveau vers lui. « Et pourquoi les oiseaux ? », ajoutas-tu, un petit sourire au bord des lèvres.
@Im Eui Geon
T'avais pas vraiment envie de faire des efforts, haussant simplement les épaules face à son silence. Peut-être même que deux gamins feraient mieux que vous, après tout. Le côté rassurant de la chose était sans doute de voir que vous en étiez au même niveau, et qu'il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre. Lui avait finir avec les sourcils rasés et toi, avec un sourire fier. C'était lui qui avais cherché, en plus. Tu ne répondis rien, gardant un sourire aux lèvres et l'air assuré. En même temps, t'étais sûre de pas te tromper, t'étais bien professeure. Ses sourcils avaient des soucis à se faire, les pauvres. Tu ne savais pas s'il ne te croyait pas ou s'il faisait simplement semblant de ne pas te croire. Dans tous les cas, t'avais raison, il avait tort, fin mot de l'histoire. T'étais curieuse de savoir s'il irait jusqu'au bout cela dit, doutant quelque peu de sa bonne volonté, mais surtout plaçant trop haut sa fierté. Probablement. En attendant, vous étiez toujours coincés et il n'aidait pas d'une grande aide. A part râler et faire sa tête de mule dans son coin... t'étais sûre que même le mur serait plus efficace. Il ne faisait que contester tes idées et d'accord, elles n'étaient peut-être pas bonnes mais il y avait une façon de dire les choses. Il râlait, encore et encore, il faisait que ça, t'avais l'impression. Ca n'aidait pas à vous faire sortir de là et il brassait plus d'air qu'autre chose finalement. « Trouve quelque chose », que tu répétas dans un chuchotement, soupirant bruyamment ensuite, levant les yeux vers le plafond dans un air agacé. Tu serras brièvement les poings, soufflant encore. Cependant, c'était bien la première fois que vous aviez une conversation civile. C'était pas trop mal, dans le fond, même si tu savais pas combien de temps ça pouvait tenir. Il ne semblait toujours pas croire que tu étais professeure – t'allais bien rire quand il le découvrira, qu'il se rase les sourcils ou non. « C'est gentil merci », lanças-tu dans une fausse esquisse. « Je pourrais presque te trouver sympa. Presque », il manquait cependant beaucoup de choses pour en arriver jusque là. Est-ce qu'assommer quelqu'un te ferait aller en prison ? « Wow », commentas-tu. « Super. T'as trouvé ça tout seul dans ton coin ? », tu hochas un peu le visage, faussement impressionnée. « Cela dit faut bien que je te revois », tu désignas ses sourcils dans un sourire. « Je voudrais pas louper ça », articulas-tu doucement, l'esquisse contentée et la frimousse dans le même air. Inspirant longuement, tu retins cependant ton souffle, le regard vers le sol. Tu tentais de rester sage et sympa, de proposer des solutions, de te renseigner sur les choix possibles et à chaque fois... t'avais l'impression que Monsieur faisait son aigri. Quelqu'un lui a volé sa sucette ce matin ou quoi ?? « On va être là pour un bon moment alors », tu t'étiras faiblement, ta tête se posant en arrière, ne retenant pas ton soupir cette fois. T'espérais qu'on s'inquiète rapidement de votre absence. Tu bougeas faiblement le visage, par politesse, à l'entente de son prénom. Tu pouvais pas dire que t'étais ravie de le connaître, ni très enchantée donc tu te contentas de ça. Tu clignas des paupières à la question, tournant les pupilles vers lui, les sourcils quelque peu haussés, surprise par la question. Tu restas silencieuse un instant, le scrutant comme si t'attendais qu'il se moque soudainement ou qu'il râle ou quelque chose du genre mais rien. Tu te redressas un peu, t'installant en tailleur, un sourire naissant sur ta bouche. « Je danse depuis que je suis toute petite », dis-tu lentement, le regard pétillant. « Et j'ai toujours voulu travailler dans ce domaine. Enfin ça a toujours été logique », quelque chose d'inscrit en toi. Quelque chose que tu ne pouvais pas changer et qui faisait de toi, toi. Tout simplement. « C'est juste... », tu haussas un peu les épaules, l'esquisse toujours dessinée sur ta bouche. « C'est juste comme ça parce que ça devait être comme ça », ça n'avait sans doute pas de sens. Mais pour toi, si. « Je voulais devenir professeure pour transmettre ma passion, mais aussi pour aider celles et ceux qui se cherchent. Pas forcément pour les orienter vers une carrière dans la danse mais juste... pour les aider, tout simplement. On a tendance à oublier la danse mais c'est un art, et elle permet de nous exprimer mais aussi de mieux nous comprendre. C'est sans doute ce que je veux faire comprendre aux élèves. Qu'ils peuvent s'exprimer librement en dansant », tout comme le chanteur s'exprimait librement en chantant, en posant des paroles sur une mélodie. Chaque danse était une histoire, et c'était au danseur ou à la danseuse de la raconter. Tu avais raconté ton histoire par la danse des milliers de fois. Tu avais exprimé ta peine des milliers de fois. Tu gardas le silence quelques silences, les lèvres finement pincées. « J'ai un peu débordé sur ma réponse », tu haussas les épaules, retenant un rire. « Et toi ? Pourquoi les sciences de la vie et de la terre ? », que tu lui demandas, le regard à nouveau vers lui. « Et pourquoi les oiseaux ? », ajoutas-tu, un petit sourire au bord des lèvres.
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Re: current mood : so much ugh ((euigeon)) | Mer 16 Nov - 11:39 Citer EditerSupprimer
@Bang Yura
Les deux inconnus, plus autant inconnus que ça, ne trouvaient pas de solutions pour se sortir de là. Il fallait dire que Euigeon n’y mettait plus vraiment du sien. Après plusieurs minutes coincé dans cette pièce, il n’avait plus envie de s’évertuer à faire quelque chose en vain. S’il se bougeait ce serait pour réellement sortir, pas pour rien. Alors, il ordonna presque à la jeune femme à ses côtés de trouver quelque chose pour eux. En attendant, ils se mirent à discuter presque sans lancer leur venin. Ils pourraient presque rester ici jusqu’à ce qu’on les retrouve sans s’écharper. Il gloussa en l’entendant le trouver sympa, presque sympa. « Ça va, le compliment t’as pas arraché la gueule ? » demanda-t-il un rictus sur le visage, lui annonçant qu’il ne souhaitait pas la revoir quand ils sortiraient de là. Il sentit ses lèvres s’étirer encore un peu plus dans un sourire un peu plus moqueur. Avant de le perdre quand elle mentionna le fait qu’ils devraient se revoir. Cela impliquait donc qu’il devrait se raser les sourcils. « Tu ne verras rien du tout. » Euigeon ne savait pas encore s’il le ferait réellement ou non. Une partie de lui ne le désirait pas. Ça repoussait, mais il n’avait pas envie de se retrouver sans ses sourcils. Tandis que l’autre acceptait le challenge. Il verrait en temps voulu si jamais il le faisait ou non. Pour le moment, ils étaient encore coincés dans cette pièce, il pouvait éviter de penser à tout ça. Il répondit aux questions de la jeune femme et lui annonça qu’il n’avait prévenu personne de sa présence sur les lieux. Après tout, il n’allait pas donner son emploi du temps ainsi qu’une feuille détaillée de tous ses faits et gestes. La fatalité les reprit tandis que la jeune femme mentionna le fait qu’ils seraient là pendant longtemps. Euigeon en déduisit qu’elle non plus, elle n’avait prévenu personne qu’elle viendrait ici. Il soupira et haussa les épaules avant de s’installer un peu plus confortablement. Après tout, ils seraient là pour pas mal de temps alors, comme elle venait de le préciser. Le professeur aurait finalement peut-être dû dire à quelqu’un qu’il se rendait dans cette pièce. Il finit par briser le silence pour lui demander pourquoi elle avait choisi la danse. Yura resta muette quelque temps avant de lui répondre. Il ne pensait pas qu’elle le ferait et pourtant, les mots sortirent de sa bouche et il l’écouta sans même l’interrompre. Elle était passionnée et s’il y avait bien une chose qu’il appréciait plus que tout, c’était bien la passion. A cause de ça, ou plutôt grâce à ça, Euigeon la trouva presque d’agréable compagnie. Dans un sens, ils n’étaient pas si différents l’un de l’autre. Elle dansait depuis qu’elle était toute jeune et lui, il étudiait les oiseaux avec sa mère sûrement à la même époque. Le trentenaire haussa les épaules et secoua la tête. « T’es passionnée, je peux pas t’empêcher de parler… » dit-il tandis qu’il tourna la tête dans sa direction surpris qu’elle veuille en savoir plus sur lui également. Euigeon n’aurait jamais pensé que Yura désirerait savoir pourquoi il appréciait tant les oiseaux. Il sentit son cœur se serrer à la pensée de sa mère et finit par détourner le regard pour qu’elle ne voit pas l’émotion qu’il le prenait chaque fois qu’il en parlait. « Ma mère était fan d’oiseaux. Elle m’en parlait tous les jours et elle rêvait d’être comme eux… Libres. » C’était ce qu’elle disait à chaque fois qu’elle voyait un oiseau à sa fenêtre. Elle souhaitait plus que tout pouvoir voler comme eux et ne plus être clouée au lit. « Elle était malade et alitée, c’était sa seule façon de s’évader. Alors, elle a acheté tous les livres qu’elle trouvait sur le sujet et les a étudiés. Et puis, quand je venais la voir, elle m’en parlait pendant des heures. » Au début, ce n’était même pas un sujet qui l’intéressait. Il écoutait sa mère parce qu’il souhaitait plus que tout passer du temps avec elle, mais au fur et à mesure, il avait appris à aimer ce qu’elle lui racontait. Et au final, c’était également devenu sa passion. « Elle est décédée quand j’avais quinze ans et ça m’a paru logique d’en faire mes études. Comme si c’était un dernier bout d’elle avec moi. » C’était débile et pathétique, il le savait. Pourtant, Euigeon avait réellement l’impression qu’elle était avec lui, qu’elle partageait ses succès comme ses échecs. Il était fier de ce qu’il avait accompli au cours de ces années et même s’il n’avait pas encore pu réaliser son rêve de faire le tour du monde pour photographier lui-même tous les oiseaux et en faire un livre, il savait qu’un jour ça se ferait. « Et pour la partie prof, c’est simplement parce que j’ai adoré faire du tutorat pour les plus jeunes et donc c’était la suite logique des choses. » reprit-il presque aussitôt pour éviter que ça ne devienne beaucoup trop sentimental. Il n’avait pas envie qu’elle s’appitoie sur son sort. Mais ça ne semblait pas être le cas de Yura. Il s'attendait donc à une réflexion sarcastique ou un truc dans le genre. Ça ne l'étonnerait même pas. Il n’y répondrait même sûrement pas d’ailleurs, tant il serait bien trop occupé à ne pas laisser l’émotion le submerger.
@Bang Yura
Les deux inconnus, plus autant inconnus que ça, ne trouvaient pas de solutions pour se sortir de là. Il fallait dire que Euigeon n’y mettait plus vraiment du sien. Après plusieurs minutes coincé dans cette pièce, il n’avait plus envie de s’évertuer à faire quelque chose en vain. S’il se bougeait ce serait pour réellement sortir, pas pour rien. Alors, il ordonna presque à la jeune femme à ses côtés de trouver quelque chose pour eux. En attendant, ils se mirent à discuter presque sans lancer leur venin. Ils pourraient presque rester ici jusqu’à ce qu’on les retrouve sans s’écharper. Il gloussa en l’entendant le trouver sympa, presque sympa. « Ça va, le compliment t’as pas arraché la gueule ? » demanda-t-il un rictus sur le visage, lui annonçant qu’il ne souhaitait pas la revoir quand ils sortiraient de là. Il sentit ses lèvres s’étirer encore un peu plus dans un sourire un peu plus moqueur. Avant de le perdre quand elle mentionna le fait qu’ils devraient se revoir. Cela impliquait donc qu’il devrait se raser les sourcils. « Tu ne verras rien du tout. » Euigeon ne savait pas encore s’il le ferait réellement ou non. Une partie de lui ne le désirait pas. Ça repoussait, mais il n’avait pas envie de se retrouver sans ses sourcils. Tandis que l’autre acceptait le challenge. Il verrait en temps voulu si jamais il le faisait ou non. Pour le moment, ils étaient encore coincés dans cette pièce, il pouvait éviter de penser à tout ça. Il répondit aux questions de la jeune femme et lui annonça qu’il n’avait prévenu personne de sa présence sur les lieux. Après tout, il n’allait pas donner son emploi du temps ainsi qu’une feuille détaillée de tous ses faits et gestes. La fatalité les reprit tandis que la jeune femme mentionna le fait qu’ils seraient là pendant longtemps. Euigeon en déduisit qu’elle non plus, elle n’avait prévenu personne qu’elle viendrait ici. Il soupira et haussa les épaules avant de s’installer un peu plus confortablement. Après tout, ils seraient là pour pas mal de temps alors, comme elle venait de le préciser. Le professeur aurait finalement peut-être dû dire à quelqu’un qu’il se rendait dans cette pièce. Il finit par briser le silence pour lui demander pourquoi elle avait choisi la danse. Yura resta muette quelque temps avant de lui répondre. Il ne pensait pas qu’elle le ferait et pourtant, les mots sortirent de sa bouche et il l’écouta sans même l’interrompre. Elle était passionnée et s’il y avait bien une chose qu’il appréciait plus que tout, c’était bien la passion. A cause de ça, ou plutôt grâce à ça, Euigeon la trouva presque d’agréable compagnie. Dans un sens, ils n’étaient pas si différents l’un de l’autre. Elle dansait depuis qu’elle était toute jeune et lui, il étudiait les oiseaux avec sa mère sûrement à la même époque. Le trentenaire haussa les épaules et secoua la tête. « T’es passionnée, je peux pas t’empêcher de parler… » dit-il tandis qu’il tourna la tête dans sa direction surpris qu’elle veuille en savoir plus sur lui également. Euigeon n’aurait jamais pensé que Yura désirerait savoir pourquoi il appréciait tant les oiseaux. Il sentit son cœur se serrer à la pensée de sa mère et finit par détourner le regard pour qu’elle ne voit pas l’émotion qu’il le prenait chaque fois qu’il en parlait. « Ma mère était fan d’oiseaux. Elle m’en parlait tous les jours et elle rêvait d’être comme eux… Libres. » C’était ce qu’elle disait à chaque fois qu’elle voyait un oiseau à sa fenêtre. Elle souhaitait plus que tout pouvoir voler comme eux et ne plus être clouée au lit. « Elle était malade et alitée, c’était sa seule façon de s’évader. Alors, elle a acheté tous les livres qu’elle trouvait sur le sujet et les a étudiés. Et puis, quand je venais la voir, elle m’en parlait pendant des heures. » Au début, ce n’était même pas un sujet qui l’intéressait. Il écoutait sa mère parce qu’il souhaitait plus que tout passer du temps avec elle, mais au fur et à mesure, il avait appris à aimer ce qu’elle lui racontait. Et au final, c’était également devenu sa passion. « Elle est décédée quand j’avais quinze ans et ça m’a paru logique d’en faire mes études. Comme si c’était un dernier bout d’elle avec moi. » C’était débile et pathétique, il le savait. Pourtant, Euigeon avait réellement l’impression qu’elle était avec lui, qu’elle partageait ses succès comme ses échecs. Il était fier de ce qu’il avait accompli au cours de ces années et même s’il n’avait pas encore pu réaliser son rêve de faire le tour du monde pour photographier lui-même tous les oiseaux et en faire un livre, il savait qu’un jour ça se ferait. « Et pour la partie prof, c’est simplement parce que j’ai adoré faire du tutorat pour les plus jeunes et donc c’était la suite logique des choses. » reprit-il presque aussitôt pour éviter que ça ne devienne beaucoup trop sentimental. Il n’avait pas envie qu’elle s’appitoie sur son sort. Mais ça ne semblait pas être le cas de Yura. Il s'attendait donc à une réflexion sarcastique ou un truc dans le genre. Ça ne l'étonnerait même pas. Il n’y répondrait même sûrement pas d’ailleurs, tant il serait bien trop occupé à ne pas laisser l’émotion le submerger.
vmicorum.
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