Page 1 sur 2 • 1, 2
il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee
Choi Yeleen
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Flutty ♡ Elle
Célébrité : Yunjin (Le Sserafim)
Crédits : To. CLARISSE QUEEN ♡ (omg.)
Messages : 159
Âge : 23
il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Dim 28 Mai - 18:49 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Kang Hyo ♕ Passant outre les remarques sèches et désobligeantes d'un cavalier décidé à l'exhiber comme un trophée, Juee avait délibérément préféré boire pour mieux endurer. Peu lui importait que certains aient déversé bien plus de liqueur dans les cocktails qu'il n'aurait été nécessaire pour lui apporter l'ivresse. Elle avait toujours su faire bonne figure et dispenser les sourires arrogants pour mieux faire taire les démons qui hurlaient à son âme. Pourtant tout tournait autour d'elle et le punch était monté bien plus vite qu'elle ne l'aurait imaginé. Peut-être le regrettait-elle à présent, elle n'en était pas certaine. Elle avait simplement pris quelques libertés pour s'éclipser aux toilettes et se rafraîchir les idées. Les paumes de mains fermement agrippées au rebord d'un lavabo à observer ses pupilles légèrement dilatées et déverser le reste de son verre d'alcool dans le siphon pour ne pas avoir à s'infliger davantage de dégâts. Ca allait être compliqué d'y retourner comme ça. La musique frappait contre son crâne. Le mélange des conversations dans le grand hall lui faisait perdre le fil de ses mots. Elle arrivait encore à maintenir son équilibre. Mais sur les talons qu'elle avait choisi pour accompagner sa tenue ce soir, elle n'était pas certaine que sa démarche chancelante pourrait faire l'illusion. Après avoir appliqué une nouvelle couche de lipstick à ses lèvres et donné un nouveau souffle de volume à ses cheveux qu'elle avait simplement ondulés, elle quitta la pièce en ignorant les autres silhouettes qui se pressaient pour une retouche makeup.
Le bal se poursuivait sur la droite, mais Juee avait emprunté le couloir de gauche. Pour plus de silence et quelques instants de battement qu'elle avait besoin de s'octroyer avant d'y retourner. Au théâtre, c'est ce que l'on appelaitl'entracte . Au final, Juee n'était rien d'autre qu'une comédienne née pour briller aux yeux du public. Mais puisque personne ne la trouverait ici (que personne ne la chercherait ici) elle s'était laissée glisser sur les premières marches du grand escalier de l'université. Ignorant son téléphone qui vibrait incessamment dans sa main. Assise tranquillement dans la quiétude des lieux et sa tête reposant doucement contre la rampe en métal attenante aux escaliers. Elle était fraîche et contre sa tempe brûlante ça faisait un bien fou. Son regard vitreux fixant l'écran du smartphone qui affichait des messages non lus et un appel entrant auquel elle n'était pas décidée à répondre présentement.
________________________________
Le bal se poursuivait sur la droite, mais Juee avait emprunté le couloir de gauche. Pour plus de silence et quelques instants de battement qu'elle avait besoin de s'octroyer avant d'y retourner. Au théâtre, c'est ce que l'on appelait
Kang Hyo, Hong Mieun, Yang Gaeun, Sung Jin Woo et Davis Jonah ont jeté un mauvais sort
Kang Hyo
❝ Like a villain
Pseudo : Vici0usD - Il
Célébrité : Jeon Jungkook
Crédits : m-aaki
Messages : 557
Âge : 26
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Jeu 1 Juin - 22:13 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Moon Juee Qu’est ce qui a bien pu te prendre? Tu déteste toutes ces conneries de soirée organisée, c’est juste un moyen de faire le coq devant tout le monde. Non pas que faire le coq ne soit pas agréable, mais c’est juste que ce genre de bal c’est… Naan, c’est juste pas ton fort. C’est juste que tu t’es fait avoir comme un bleu, enfin non, comme un débutant. Forcément tu as fait ton Hyo, tu as vus une jolie fille, tu as tout fait pour t’amuser mais pour avoir ce que tu voulais il a fallut qu’elle vous donne rendez-vous a ce stupide bal. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour s’amuser… Tu te maudis en te préparant, pourquoi est-ce que tu as accepté pour une fille dont, soyons honnête, tu n’as rien a faire. Deuxième effet kisscool, tenue de soirée exigée, sérieusement? Le Bureau des élèves doit vraiment être en manque d’inspiration, parce que plus rasoir tu meurs. Enfin, tu supposes qu’il ne faut pas faire de thème trop fou pour ne pas risquer d’entacher la réputation de la Yonsei.
Pourtant il y a toujours cette petite voie qui te dit que tu fais une immense connerie. Ce sentiment vient peut-être aussi du fait qu’à chaque fois que cette fille ouvre la bouche, tu préférerais qu’elle soit muette. On ne peut pas dire qu’elle soit le couteau le plus aiguisé du tiroir. Tu te serais bien tenue à l'adage “Peut importe le flacon, pourvu qu’on est l’ivresse”, mais là non, pas possible. Même le punch charger bien plus qu’il ne le faut ne pourra rien pour toi? D’ailleurs ça t'a étonné, à mon avis le BDE n’est pour rien dans ce breuvage à assommer la plupart des étudiants. Tu reposes ton verre, avant de finir anesthésier, sans t’en rendre compte tu joue nerveusement avec la lunette tournante de ta montre. Le contact avec la céramique est rassurant, tu sens la mécanique s'activer, donnant un sens à la fuite inexorable du temps comme le temps que tu est en train de perdre actuellement. Tu jette un oeil à ta partenaire de bal au loin…
“Et merdre…”
Fait chier, mais tu en as assez de faire bonne figure, et clairement une partie de jambe en l’air ne vaut clairement pas tous ses efforts, en tout cas pas avec elle. En même temps, tu en connais une qui te dirait que la fuite c’était ta spécialité. Pourquoi tu penses à elle dans ce moment? Sérieusement. Bref, tu t’éclipse discrétement , alors que ta partenaire du soir semble trop occupée à raconter je ne sais quoi. Tu pousse un soupir en passant la porte de la salle de balle. Bon j’aurais tenté de passé une soirée “normale” mais clairement en ce moment ce n'est pas pour toi.
Tu ne cherche pas vraiment comprendre et tu prend tout droit, passant le couloir à l'opposé du bal, histoire de pas tomber sur les gens qui se rendent au bal. Tu avance dans le couloir alors que le téléphone sonne, tu réponds et avance de manière mécanique ne prend pas vraiment la peine de t’occuper de ce qu’il se passe autour de toi. Lorsque tu raccroches tu arrive quasiment au escalier de l’université. Maladie chronique prise lors de ton service militaire, tu sors un paquet de cigarette de la poche de ta veste avant de l’allumer. Tu crache un nuage de fumée alors qu’une silhouette familière apparaît, enfin plutôt tu te rends compte qu’elle est là. Décidément même quand tu essaye d’éviter Juee, tu finis invariablement vers elle.
Pourtant la voir ainsi, appuyer contre cette rambarde te perturbe un peu, disons que tu as toujours eu plus l’impression de la voir impériale qu’en mode clocharde dans un escalier. Tu reprends une bouffée de ta drogue pour essayer de te dissuader de faire une nouvelle bêtise. Une fois que tes jambes ont procédée l’idée stupide de ton cerveau, tu t’approche de la jeune femme. Elle est plongée dans un état étrange, comme hypnotisée par son téléphone.
“Et bien, on dirait bien que tu t’es trouvé un cavalier insistant.”
Pourtant il y a toujours cette petite voie qui te dit que tu fais une immense connerie. Ce sentiment vient peut-être aussi du fait qu’à chaque fois que cette fille ouvre la bouche, tu préférerais qu’elle soit muette. On ne peut pas dire qu’elle soit le couteau le plus aiguisé du tiroir. Tu te serais bien tenue à l'adage “Peut importe le flacon, pourvu qu’on est l’ivresse”, mais là non, pas possible. Même le punch charger bien plus qu’il ne le faut ne pourra rien pour toi? D’ailleurs ça t'a étonné, à mon avis le BDE n’est pour rien dans ce breuvage à assommer la plupart des étudiants. Tu reposes ton verre, avant de finir anesthésier, sans t’en rendre compte tu joue nerveusement avec la lunette tournante de ta montre. Le contact avec la céramique est rassurant, tu sens la mécanique s'activer, donnant un sens à la fuite inexorable du temps comme le temps que tu est en train de perdre actuellement. Tu jette un oeil à ta partenaire de bal au loin…
“Et merdre…”
Fait chier, mais tu en as assez de faire bonne figure, et clairement une partie de jambe en l’air ne vaut clairement pas tous ses efforts, en tout cas pas avec elle. En même temps, tu en connais une qui te dirait que la fuite c’était ta spécialité. Pourquoi tu penses à elle dans ce moment? Sérieusement. Bref, tu t’éclipse discrétement , alors que ta partenaire du soir semble trop occupée à raconter je ne sais quoi. Tu pousse un soupir en passant la porte de la salle de balle. Bon j’aurais tenté de passé une soirée “normale” mais clairement en ce moment ce n'est pas pour toi.
Tu ne cherche pas vraiment comprendre et tu prend tout droit, passant le couloir à l'opposé du bal, histoire de pas tomber sur les gens qui se rendent au bal. Tu avance dans le couloir alors que le téléphone sonne, tu réponds et avance de manière mécanique ne prend pas vraiment la peine de t’occuper de ce qu’il se passe autour de toi. Lorsque tu raccroches tu arrive quasiment au escalier de l’université. Maladie chronique prise lors de ton service militaire, tu sors un paquet de cigarette de la poche de ta veste avant de l’allumer. Tu crache un nuage de fumée alors qu’une silhouette familière apparaît, enfin plutôt tu te rends compte qu’elle est là. Décidément même quand tu essaye d’éviter Juee, tu finis invariablement vers elle.
Pourtant la voir ainsi, appuyer contre cette rambarde te perturbe un peu, disons que tu as toujours eu plus l’impression de la voir impériale qu’en mode clocharde dans un escalier. Tu reprends une bouffée de ta drogue pour essayer de te dissuader de faire une nouvelle bêtise. Une fois que tes jambes ont procédée l’idée stupide de ton cerveau, tu t’approche de la jeune femme. Elle est plongée dans un état étrange, comme hypnotisée par son téléphone.
“Et bien, on dirait bien que tu t’es trouvé un cavalier insistant.”
Choi Yeleen
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Flutty ♡ Elle
Célébrité : Yunjin (Le Sserafim)
Crédits : To. CLARISSE QUEEN ♡ (omg.)
Messages : 159
Âge : 23
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Dim 4 Juin - 21:15 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Kang Hyo ♕ La voix qui s'annonce accélère le rythme cardiaque. Machinalement, les épaules se redressent. Juee le maudit un peu. Ces quelques instants en dehors du temps n'étaient censés appartenir qu'à elle. « J'en ai de la chance il faut croire. » Murmure-t-elle sans même avoir besoin de s'attarder sur la silhouette du garçon pour le reconnaître et son attention diverge sur le bâton incandescent au bord de ses lèvres. « La cigarette c'est pas après avoir tiré son coup normalement ? » Les vertiges lancinants n'aident pas à filtrer l'information. Peut-être que celle-ci aurait méritée d'être réfléchie à deux fois. « J'avais pas souvenir que tu fumais. » Puis elle avait détourné le regard pour constater que son téléphone affichait désormais trois appels manqués. Sans doute se résoudrait-il à abandonner. « Cela dit je ne savais pas non plus que t'étais du genre à porter des costumes mais tu connais l'adage » elle avait inspiré doucement, l'air frais lui faisant un bien fou lorsqu'il gonflait ses poumons « la fin justifie les moyens ? » Ou peut-être dans son cas était-ce la faim qui les justifiait ? Elle avait ri sans que la joie ne se reflète dans ses iris et après un silence qui lui sembla durer une éternité, sa voix vint trancher la nuit avec un sérieux glaçant. « Vous n'allez pas du tout ensemble. » Son écran s'était à nouveau allumé. Appels manqués (3), Message vocal (1). Elle avait finalement retourné l'appareil pour ne plus avoir à s'enquérir des alertes constantes.
________________________________
Kang Hyo, Yang Gaeun, Sung Jin Woo et Davis Jonah ont jeté un mauvais sort
Kang Hyo
❝ Like a villain
Pseudo : Vici0usD - Il
Célébrité : Jeon Jungkook
Crédits : m-aaki
Messages : 557
Âge : 26
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Mer 7 Juin - 22:21 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Moon Juee Tu n’as pas besoin d’un éthylotest pour voir que Juee a visiblement passé un stade d’alcoolémie. En même temps dans la position où tu l’as trouvé en arrivant, ça n’as rien d’étonnant. On dirait bien que quelqu’un a abusé du punch ce soir, elle ne pourtant pas avoir perdu son attitude comme elle commence. Tu expulses une nouvelle bouffée de cancer, comme pour te rassurer. Tu le sais, tu le sens, tu devrais juste continuer ton chemin mais tu n’en fais rien. Tu es là comme un plot à attendre de voir ce qui se passe. Elle a toujours ce pouvoir d’attention sur toi que tu aimerais faire disparaître.
Juee reste Juee, et tu ne tarde pas à prendre la première balle, alcoolisée mais toujours affûtée la fille. Pourtant sa remarque t’arrache un rire, elle n’a pas tout à fait tort, Tu ne sais pas trop, mais le fait qu’elle te lance de tel remarque t’amuse beaucoup trop. Elle a beau dire ce qu’elle veut, dans ce genre de moment elle se contredit complètement. ”Qu’est-ce qui te dit que ça n’as pas été fait avant de venir au bal?”
C’est faux, mais tu aime bien l’idée d'insinuer le doute dans son esprit, après tout ça ne mange pas de pain. Elle ne s'était pas gênée la dernière fois pour te faire comprendre que tu n’étais qu’un moins que rien. Hors de question de lui donner raison. La cigarette revient réclamer tes lèvres, c’est même plus nerveux qu’un besoin dans la situation actuelle. Tu profite de la sensation de la fumée qui parcourt ton corps avant de lui répondre en expirant. ”Les cigarettes c’était la monnaie d’échange à l’armée, on va dire que je me suis un peu trop pris au jeu.”
L’écran du téléphone de la jeune femme s’allume encore, on peut dire que son cavalier doit vraiment s’inquiété, où être une vraie tique. Tu es partagé, mais j’aurais tendance à pencher pour la seconde option. Tu les as aperçus brièvement, pendant le bal. C’est étrange comme on peut avoir des pulsions de mort à cause d’une simple vision. Quoi? Comme si ça ne vous arrivait jamais, au pire les accidents ça arrive. Mais ta comparse dans le crime n’en as pas encore fini, et tu reste sans voix. Qu’est-ce qu’elle est en train de faire là? En plus on ne va pas se cacher que son rire avec le regard complètement vide, c’est un peu flippant. Tu pousses un soupir en jetant ton mégot comme un gros connard. Tu desserre ton nœud papillon, tu commences à te sentir un peu à l’étroit avec ce trucs. Une main dans les cheveux en poussant un nouveau soupir, tu plantes ton regard dans celui de la vice présidente.
”Pourquoi est-ce que tu donne l’impression d’être jalouse? Tu as pourtant été très clair, et en plus tu as l’air de vivre un moment formidable avec ton président, ça m'embêterait de le gâcher par ma présence.”
Clairement tu t’es emporté, il n’y a aucune raison d’être aussi agressif, c’est juste plus fort que toi. Elle a le don pour te faire perdre ton sang froid, en même temps le peu d‘honnêteté que tu as pu lui donné devant la bibliothèque, elle l’a piétiné avec le plus grand plaisir.
”Bon tu m’excusera, mais le plan de base c’était de m’en aller. Donc… Bon courage avec ton cavalier.”
Tu attends quelques secondes, histoire de voir si elle se décide à bouger où pas. Sauf que non, tu commences à faire quelques pas dans l’escalier parce que sinon elle va encore trouver le moyen de te faire faire je ne sais quoi.
Juee reste Juee, et tu ne tarde pas à prendre la première balle, alcoolisée mais toujours affûtée la fille. Pourtant sa remarque t’arrache un rire, elle n’a pas tout à fait tort, Tu ne sais pas trop, mais le fait qu’elle te lance de tel remarque t’amuse beaucoup trop. Elle a beau dire ce qu’elle veut, dans ce genre de moment elle se contredit complètement. ”Qu’est-ce qui te dit que ça n’as pas été fait avant de venir au bal?”
C’est faux, mais tu aime bien l’idée d'insinuer le doute dans son esprit, après tout ça ne mange pas de pain. Elle ne s'était pas gênée la dernière fois pour te faire comprendre que tu n’étais qu’un moins que rien. Hors de question de lui donner raison. La cigarette revient réclamer tes lèvres, c’est même plus nerveux qu’un besoin dans la situation actuelle. Tu profite de la sensation de la fumée qui parcourt ton corps avant de lui répondre en expirant. ”Les cigarettes c’était la monnaie d’échange à l’armée, on va dire que je me suis un peu trop pris au jeu.”
L’écran du téléphone de la jeune femme s’allume encore, on peut dire que son cavalier doit vraiment s’inquiété, où être une vraie tique. Tu es partagé, mais j’aurais tendance à pencher pour la seconde option. Tu les as aperçus brièvement, pendant le bal. C’est étrange comme on peut avoir des pulsions de mort à cause d’une simple vision. Quoi? Comme si ça ne vous arrivait jamais, au pire les accidents ça arrive. Mais ta comparse dans le crime n’en as pas encore fini, et tu reste sans voix. Qu’est-ce qu’elle est en train de faire là? En plus on ne va pas se cacher que son rire avec le regard complètement vide, c’est un peu flippant. Tu pousses un soupir en jetant ton mégot comme un gros connard. Tu desserre ton nœud papillon, tu commences à te sentir un peu à l’étroit avec ce trucs. Une main dans les cheveux en poussant un nouveau soupir, tu plantes ton regard dans celui de la vice présidente.
”Pourquoi est-ce que tu donne l’impression d’être jalouse? Tu as pourtant été très clair, et en plus tu as l’air de vivre un moment formidable avec ton président, ça m'embêterait de le gâcher par ma présence.”
Clairement tu t’es emporté, il n’y a aucune raison d’être aussi agressif, c’est juste plus fort que toi. Elle a le don pour te faire perdre ton sang froid, en même temps le peu d‘honnêteté que tu as pu lui donné devant la bibliothèque, elle l’a piétiné avec le plus grand plaisir.
”Bon tu m’excusera, mais le plan de base c’était de m’en aller. Donc… Bon courage avec ton cavalier.”
Tu attends quelques secondes, histoire de voir si elle se décide à bouger où pas. Sauf que non, tu commences à faire quelques pas dans l’escalier parce que sinon elle va encore trouver le moyen de te faire faire je ne sais quoi.
Choi Yeleen est sous l'effet d'un philtre d'amour
Choi Yeleen
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Flutty ♡ Elle
Célébrité : Yunjin (Le Sserafim)
Crédits : To. CLARISSE QUEEN ♡ (omg.)
Messages : 159
Âge : 23
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Dim 18 Juin - 21:50 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Kang Hyo ♕ Elle persifle et soupire dans un sourire à peine caché. « Parce que tu te serais emmerdé à venir si c'était vraiment le cas ? Les cocktails fruités, les couleurs pastel et les fleurs dans les cheveux. Je savais pas que c'était ton truc. » L'image absurde rendait ses propos comiques. Elle espérait au moins qu'il apprécierait l'effort d'illustration.
La fumée qu'il recrache en d'épais nuages opaques suffit à lui faire détourner le regard. Si ce n'est pas la cigarette entre ses lèvres, c'est de l'entendre parler de l'armée qui lui file un goût amer en bouche. Au point même qu'elle ne répond rien à cette déclaration navrante à la suite de laquelle elle ne peut que constater l'énorme fossé qui s'est bel et bien créé entre eux.
Et c'est vrai qu'elle a cette façon de dire les choses qui n'est pas complètement anodine. Il avait fui au premier vent de sérieux qui avait soufflé sur qu'elle qu'eût été leur relation à l'époque. Aujourd'hui, il se pavanait avec une autre fille à son bras dans ce type d'événement très officiel et qui laissait sous-entendre davantage que ce qu'il voulait bien admettre. Juee avait tous les droits d'être jalouse, toutes les raisons de l'être si elle avait souhaité l'admettre.
Le ton monte vite et la situation escalade sans que Juee n'ait pu le voir venir. Dans le silence qui suit les aveux fracassants, Juee se contente de le regarder. Pas capable d'admettre. Pas certaine non plus de vouloir réfuter.
« Je vois. C'est à cause de ce que j'ai dit la dernière fois ? » La question n'appelle pas spécialement à une réponse. C'est plus une certitude qu'autre chose à présent. La façon dont elle s'était braquée, les mots avec lesquels elle l'avait rabaissé et la gifle avec laquelle elle l'avait fait taire. Ses yeux se ferment et ses paupières se plissent pour tenter de chasser le souvenir désagréable de cette dernière soirée. Ses pensées sont si bruyantes qu'elles rendent à peine à peine perceptible la façon dont les semelles en cuir foulent la pierre du grand escalier. Lorsqu'elle les ouvre à nouveau, il est déjà sur le point de partir.
« Hyo »
Elle ne saurait dire s'il s'arrête à contrecœur. Mais de ne pas voir son visage rend les choses plus simples lorsqu'il s'agit de lui demander ce qu'elle s'apprête à lui demander.
« Tu pourrais me raccompagner ? »
Là non plus, aucune certitude. Est-ce que c'est la bonne chose à faire ? Ce bal de printemps, avant même qu'il n'ait commencé elle n'en avait rien à faire. Quelques années en arrière pourtant, elle aurait tout fait pour briller, s'illustrer et récupérer le titre de Reine du Printemps. Là, à l'instant présent, elle voulait juste partir. Peu importe les sous-entendus et peu importe les conséquences. Peu importe son titre. Peu importe les cavaliers insistants.
Malgré ça, au pied de ces escaliers, quelque chose la retient inlassablement, comme une conscience envahissante et qui l'empêche de briser ses chaînes.
« S'il te plaît. » Demandé ainsi, à lui, c'est peut-être une idée stupide mais c'est la seule qu'elle ait trouvé pour s'en affranchir.
________________________________
La fumée qu'il recrache en d'épais nuages opaques suffit à lui faire détourner le regard. Si ce n'est pas la cigarette entre ses lèvres, c'est de l'entendre parler de l'armée qui lui file un goût amer en bouche. Au point même qu'elle ne répond rien à cette déclaration navrante à la suite de laquelle elle ne peut que constater l'énorme fossé qui s'est bel et bien créé entre eux.
Et c'est vrai qu'elle a cette façon de dire les choses qui n'est pas complètement anodine. Il avait fui au premier vent de sérieux qui avait soufflé sur qu'elle qu'eût été leur relation à l'époque. Aujourd'hui, il se pavanait avec une autre fille à son bras dans ce type d'événement très officiel et qui laissait sous-entendre davantage que ce qu'il voulait bien admettre. Juee avait tous les droits d'être jalouse, toutes les raisons de l'être si elle avait souhaité l'admettre.
Le ton monte vite et la situation escalade sans que Juee n'ait pu le voir venir. Dans le silence qui suit les aveux fracassants, Juee se contente de le regarder. Pas capable d'admettre. Pas certaine non plus de vouloir réfuter.
« Je vois. C'est à cause de ce que j'ai dit la dernière fois ? » La question n'appelle pas spécialement à une réponse. C'est plus une certitude qu'autre chose à présent. La façon dont elle s'était braquée, les mots avec lesquels elle l'avait rabaissé et la gifle avec laquelle elle l'avait fait taire. Ses yeux se ferment et ses paupières se plissent pour tenter de chasser le souvenir désagréable de cette dernière soirée. Ses pensées sont si bruyantes qu'elles rendent à peine à peine perceptible la façon dont les semelles en cuir foulent la pierre du grand escalier. Lorsqu'elle les ouvre à nouveau, il est déjà sur le point de partir.
« Hyo »
Elle ne saurait dire s'il s'arrête à contrecœur. Mais de ne pas voir son visage rend les choses plus simples lorsqu'il s'agit de lui demander ce qu'elle s'apprête à lui demander.
« Tu pourrais me raccompagner ? »
Là non plus, aucune certitude. Est-ce que c'est la bonne chose à faire ? Ce bal de printemps, avant même qu'il n'ait commencé elle n'en avait rien à faire. Quelques années en arrière pourtant, elle aurait tout fait pour briller, s'illustrer et récupérer le titre de Reine du Printemps. Là, à l'instant présent, elle voulait juste partir. Peu importe les sous-entendus et peu importe les conséquences. Peu importe son titre. Peu importe les cavaliers insistants.
Malgré ça, au pied de ces escaliers, quelque chose la retient inlassablement, comme une conscience envahissante et qui l'empêche de briser ses chaînes.
« S'il te plaît. » Demandé ainsi, à lui, c'est peut-être une idée stupide mais c'est la seule qu'elle ait trouvé pour s'en affranchir.
Kang Hyo, Yang Gaeun, Sung Jin Woo et Davis Jonah ont jeté un mauvais sort
Kang Hyo
❝ Like a villain
Pseudo : Vici0usD - Il
Célébrité : Jeon Jungkook
Crédits : m-aaki
Messages : 557
Âge : 26
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Jeu 22 Juin - 23:23 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Moon Juee Elle te cherche, sans même le vouloir elle te renvoie en pleine figure l’ironie que tu as voulu lui donner. Tu aurais dû le savoir, c’est la spécialiste pour ce genre de chose, et pourtant tu te jettes dedans a pied joint. C’était comme lui donner un bâton pour t’en mettre encore une en plein visage.
“Et toi j’aurais dû me douter que tu aimais les connard narcissique qui t’utilise comme un putain de trophée de football, pourtant je l’envoie pas en pleine poire. Qu’est-ce que ça peut faire si j’y vais avec quelqu’un d'autre? Tu aurais voulu quoi? Que je t’invite? J’ai raté un épisode là.”
Vous ne pouvez plus vraiment vous parler calmement, vous avez passé ce stade depuis un moment. Il faut dire que depuis la bibliothèque, tu avais compris le message. Sauf qu’à chaque fois que retombe sur elle, tout ça semble voler en éclat. Mais pas aujourd’hui, tu n’as pas envie de jouer à ce petit jeu. Tu ne prends donc pas la peine de répondre, surtout quand elle a pris cet air à moitié dans le vague. Juee bourrée c’est clairement un truc qui peut être drôle, à condition d’être capable de supporter la descente de la dame qui est beaucoup moins agréable.
Bref, avant de dire quelque chose d’encore plus stupide, tu continue de descendre les grands escaliers. Pourtant, deux syllabes te font t’arrêter, tu pousse un soupire en levant les yeux au ciel. Qu’est ce que tu es en train de faire? Non, tu le sais, tu ne peux pas lui refuser quelque chose. Tu peux nier autant que tu veux, elle a encore ce pouvoir sur toi. Tu t'apprêtes à lancer le plus grand sarcasme de l’histoire, et c’est là que tu tombes sur une Juee au regard de chien battu.
Il faut aussi dire que tu restes comme un con, ne sachant pas quoi faire devant ce qu’elle te demande. La, tu dois avouer que tu ne l’as pas vu arriver, mais alors pas du tout. Qu’est-ce qu’elle nous fait encore? Dans quelle manigance elle essaie de te traîner? Tu réfléchis beaucoup trop là.
“Qu’est-ce que tu me fais là? Je croyais que tu adorais ce genre de connerie, les bals, les soirées à thèmes, se faire exhiber tout ça.”
Tu te passes une main dans les cheveux, pas franchement sûr de ce que tu veux faire. Tiraillé entre l’envie de lui remettre une pique gratuite et le fait de l’aider. C’est là que ton écran de téléphone s’allume de nouveau. Bordel mais ce mec est pire qu’une tique c’est pas possible. Tu dois reconnaître qu’il est tenace mais là c’est limite du harcèlement. Est-ce que ça pique à vif ta jalousie? Oui, complètement. Tu t’approche de la jeune femme d’un pas décidé.
“Donne moi ce téléphone que je t’en débarrasse, ça m’agace.”
Tu ne lui laisses pas le temps de répondre par la négative, que tu t’empare de l’appareil pour décrocher.
“Sérieusement au bout d’un moment il faut arrêter de faire chier les gens comme ça, si elle avait voulu répondre elle l’aurait fait depuis longtemps… Est-ce que je sonne comme quelqu’un qui a quelque chose à foutre de qui tu es? …. Écoute bien ce que je vais te dire, soit tu la laisses tranquille, soit tu as affaire à moi et crois moi, tu vas regretter d’avoir seulement eu l’idée de faire chier Juee. Ouai c’est ça on se reverra mais en attendant elle reste avec moi… “
Pendant toute la durée de l’appel, tu n’as pas lâcher Juee du regard. Relâcher tes nerfs comme cela sur quelqu’un fait un bien fou. En tout il semblerait que tu aies pris une décision en prenant ce téléphone. C’est stupide, tu le sais. Tu t’approche encore un peu de la jeune femme, lui tendant à nouveau ce téléphone.
“Bon je suppose que tu es tranquille ce soir, même si ça ne risque pas d’arranger toutes ses rumeurs.”
Il semblerait que tes pas t’emmènent inlassablement vers elle, et c’est encore plus vrai ce soir. Même dans les bras d’une autre, tu finis par revenir vers elle. C’est un peu stupide quand on y pense. Tu replace une meche de cheveu de la jeune femme qui barrait son visage.
“Alors qu’est-ce que tu veux faire Juee?”
“Et toi j’aurais dû me douter que tu aimais les connard narcissique qui t’utilise comme un putain de trophée de football, pourtant je l’envoie pas en pleine poire. Qu’est-ce que ça peut faire si j’y vais avec quelqu’un d'autre? Tu aurais voulu quoi? Que je t’invite? J’ai raté un épisode là.”
Vous ne pouvez plus vraiment vous parler calmement, vous avez passé ce stade depuis un moment. Il faut dire que depuis la bibliothèque, tu avais compris le message. Sauf qu’à chaque fois que retombe sur elle, tout ça semble voler en éclat. Mais pas aujourd’hui, tu n’as pas envie de jouer à ce petit jeu. Tu ne prends donc pas la peine de répondre, surtout quand elle a pris cet air à moitié dans le vague. Juee bourrée c’est clairement un truc qui peut être drôle, à condition d’être capable de supporter la descente de la dame qui est beaucoup moins agréable.
Bref, avant de dire quelque chose d’encore plus stupide, tu continue de descendre les grands escaliers. Pourtant, deux syllabes te font t’arrêter, tu pousse un soupire en levant les yeux au ciel. Qu’est ce que tu es en train de faire? Non, tu le sais, tu ne peux pas lui refuser quelque chose. Tu peux nier autant que tu veux, elle a encore ce pouvoir sur toi. Tu t'apprêtes à lancer le plus grand sarcasme de l’histoire, et c’est là que tu tombes sur une Juee au regard de chien battu.
Il faut aussi dire que tu restes comme un con, ne sachant pas quoi faire devant ce qu’elle te demande. La, tu dois avouer que tu ne l’as pas vu arriver, mais alors pas du tout. Qu’est-ce qu’elle nous fait encore? Dans quelle manigance elle essaie de te traîner? Tu réfléchis beaucoup trop là.
“Qu’est-ce que tu me fais là? Je croyais que tu adorais ce genre de connerie, les bals, les soirées à thèmes, se faire exhiber tout ça.”
Tu te passes une main dans les cheveux, pas franchement sûr de ce que tu veux faire. Tiraillé entre l’envie de lui remettre une pique gratuite et le fait de l’aider. C’est là que ton écran de téléphone s’allume de nouveau. Bordel mais ce mec est pire qu’une tique c’est pas possible. Tu dois reconnaître qu’il est tenace mais là c’est limite du harcèlement. Est-ce que ça pique à vif ta jalousie? Oui, complètement. Tu t’approche de la jeune femme d’un pas décidé.
“Donne moi ce téléphone que je t’en débarrasse, ça m’agace.”
Tu ne lui laisses pas le temps de répondre par la négative, que tu t’empare de l’appareil pour décrocher.
“Sérieusement au bout d’un moment il faut arrêter de faire chier les gens comme ça, si elle avait voulu répondre elle l’aurait fait depuis longtemps… Est-ce que je sonne comme quelqu’un qui a quelque chose à foutre de qui tu es? …. Écoute bien ce que je vais te dire, soit tu la laisses tranquille, soit tu as affaire à moi et crois moi, tu vas regretter d’avoir seulement eu l’idée de faire chier Juee. Ouai c’est ça on se reverra mais en attendant elle reste avec moi… “
Pendant toute la durée de l’appel, tu n’as pas lâcher Juee du regard. Relâcher tes nerfs comme cela sur quelqu’un fait un bien fou. En tout il semblerait que tu aies pris une décision en prenant ce téléphone. C’est stupide, tu le sais. Tu t’approche encore un peu de la jeune femme, lui tendant à nouveau ce téléphone.
“Bon je suppose que tu es tranquille ce soir, même si ça ne risque pas d’arranger toutes ses rumeurs.”
Il semblerait que tes pas t’emmènent inlassablement vers elle, et c’est encore plus vrai ce soir. Même dans les bras d’une autre, tu finis par revenir vers elle. C’est un peu stupide quand on y pense. Tu replace une meche de cheveu de la jeune femme qui barrait son visage.
“Alors qu’est-ce que tu veux faire Juee?”
Choi Yeleen
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Flutty ♡ Elle
Célébrité : Yunjin (Le Sserafim)
Crédits : To. CLARISSE QUEEN ♡ (omg.)
Messages : 159
Âge : 23
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Dim 9 Juil - 23:02 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Kang Hyo ♕ Sa défensive surprend. Au moindre mot prononcé, Juee le sent se braquer et c'est quelque chose de totalement nouveau pour un type comme lui qui ne prend jamais rien au sérieux ; surtout lorsqu'il s'agit des opinions des autres. « Je pensais pas que m'inviter plutôt qu'une autre t'aurait particulièrement traversé l'esprit, en réalité. Je pensais déjà pas que venir accompagné t'aurait seulement effleuré l'esprit alors tu vois. On part de loin. » Son rire léger caresse l'atmosphère pesante. Ou alors ce n'est qu'un soupir désabusé. A ce niveau, elle n'est plus tout à fait certaine d'être en phase avec ses émotions. Plus très sûre de rien. Plus très sûre de savoir si elle préfère le voir partir ou bien le retenir.
« Je sais pas Hyo, j'en sais rien. Est-ce que j'aime ça ? Ou c'est la petite princesse capricieuse que la société a fait de moi qui aime ça ? Tu devrais le savoir toi qui me connais si bien. »
C'est admettre l'importance qu'elle accorde au regard qu'il pose sur elle. C'est admettre qu'elle y a pensé et qu'elle continue d'y penser depuis l'autre soir. C'est admettre que son avis compte et pourquoi son avis compte autant ?! Pourquoi faut-il toujours qu'elle soit sollicitée, qu'on attende mille choses d'elle, que ses choix soient dictés par les autres et qu'elle soit à disposition lorsque de besoin ?!
Lorsqu'il lui prend son téléphone des mains, il s'écoulent une poignée de secondes à l'intérieur desquelles la panique et le soulagement se succèdent l'un à l'autre dans son regard. Juee bondit sur ses deux pieds. L'une de ses mains s'agrippe à la manche de son blaser. Ses yeux s'écarquillent, les joues roses d'une sensation nouvelle mais elle ne fait rien de plus pour l'arrêter.
Sérieusement au bout d’un moment il faut arrêter de faire chier les gens comme ça, Elle sent sa gorge se nouer sans pour autant décrocher de son regard. Si elle avait voulu répondre elle l’aurait fait depuis longtemps… Ses yeux le supplient inconsciemment de ne pas en faire trop. Est-ce que je sonne comme quelqu’un qui a quelque chose à foutre de qui tu es ? Sa mâchoire tombe. Sa main libre vient étouffer un petit rire qu'elle retenait malgré elle devant l'absurdité de la situation. Écoute bien ce que je vais te dire, Son ton menaçant lui arrache un regain d'attention. Soit tu la laisses tranquille Le fin sourire qu'elle arborait jusque-là se fane et elle ne saurait décrire l'étrange sensation qu'elle a lorsqu'il prend son parti avec autant de conviction. Soit tu as affaire à moi et crois moi, tu vas regretter d’avoir seulement eu l’idée de faire chier Juee. Son prénom, prononcé de cette façon entre ses lèvres, elle pourrait définitivement s'y habituer. Ouais c’est ça on se reverra mais en attendant elle reste avec moi. La postérité retiendra cette seule et unique phrase
L'appel qui se termine engendre une telle descente d'adrénaline que d'un simple réflexe, Juee recule et elle relâche la grippe qu'elle avait sur le tissu froissé de son costume. Mais cette fois-ci c'est lui qui se rapproche et elle ne songerait pas à lui échapper.
« C'était plus fort que toi, fallait que tu bombes le torse, hm ? » Et elle est surprise de la douceur et la suavité avec laquelle sa voix parvient à faire passer ce message sans pour autant le rendre accusateur ni même l'invectiver. Elle s'en amuse, le coin de ses lèvres recourbé en un coin de sourire charmé. Parce que oui, ça en aussi, Hyo en est parfaitement capable et elle aurait été bien sotte de l'oublier.
Et elle aime d'autant plus cette façon qu'il a de sécuriser un chemin rien que pour elle et lui laisser le choix ensuite d'en faire ce que bon lui semble. « Je t'ai déjà dit ce que je voulais. » Mais parce qu'il le lui a redemandé, elle fera l'effort de le lui réitérer sa seule et unique certitude de la soirée.
« Raccompagne-moi au dortoir. »
A la seule différence que cette fois-ci, contrairement à la première fois où elle le lui avait demandé, des projets bien distincts prenaient forme en filigrane de sa requête plus ou moins innocente.
« Je peux prendre un Uber si tu préfères. » Comme une vive provocation. Car derrière elle Juee entendait déjà les rires alcoolisés d'étudiants qui ne tarderaient pas à découvrir ce qu'il se tramait dans les coulisses de cette jolie fête du printemps.
________________________________
« Je sais pas Hyo, j'en sais rien. Est-ce que j'aime ça ? Ou c'est la petite princesse capricieuse que la société a fait de moi qui aime ça ? Tu devrais le savoir toi qui me connais si bien. »
C'est admettre l'importance qu'elle accorde au regard qu'il pose sur elle. C'est admettre qu'elle y a pensé et qu'elle continue d'y penser depuis l'autre soir. C'est admettre que son avis compte et pourquoi son avis compte autant ?! Pourquoi faut-il toujours qu'elle soit sollicitée, qu'on attende mille choses d'elle, que ses choix soient dictés par les autres et qu'elle soit à disposition lorsque de besoin ?!
Lorsqu'il lui prend son téléphone des mains, il s'écoulent une poignée de secondes à l'intérieur desquelles la panique et le soulagement se succèdent l'un à l'autre dans son regard. Juee bondit sur ses deux pieds. L'une de ses mains s'agrippe à la manche de son blaser. Ses yeux s'écarquillent, les joues roses d'une sensation nouvelle mais elle ne fait rien de plus pour l'arrêter.
Sérieusement au bout d’un moment il faut arrêter de faire chier les gens comme ça, Elle sent sa gorge se nouer sans pour autant décrocher de son regard. Si elle avait voulu répondre elle l’aurait fait depuis longtemps… Ses yeux le supplient inconsciemment de ne pas en faire trop. Est-ce que je sonne comme quelqu’un qui a quelque chose à foutre de qui tu es ? Sa mâchoire tombe. Sa main libre vient étouffer un petit rire qu'elle retenait malgré elle devant l'absurdité de la situation. Écoute bien ce que je vais te dire, Son ton menaçant lui arrache un regain d'attention. Soit tu la laisses tranquille Le fin sourire qu'elle arborait jusque-là se fane et elle ne saurait décrire l'étrange sensation qu'elle a lorsqu'il prend son parti avec autant de conviction. Soit tu as affaire à moi et crois moi, tu vas regretter d’avoir seulement eu l’idée de faire chier Juee. Son prénom, prononcé de cette façon entre ses lèvres, elle pourrait définitivement s'y habituer. Ouais c’est ça on se reverra mais en attendant elle reste avec moi. La postérité retiendra cette seule et unique phrase
L'appel qui se termine engendre une telle descente d'adrénaline que d'un simple réflexe, Juee recule et elle relâche la grippe qu'elle avait sur le tissu froissé de son costume. Mais cette fois-ci c'est lui qui se rapproche et elle ne songerait pas à lui échapper.
« C'était plus fort que toi, fallait que tu bombes le torse, hm ? » Et elle est surprise de la douceur et la suavité avec laquelle sa voix parvient à faire passer ce message sans pour autant le rendre accusateur ni même l'invectiver. Elle s'en amuse, le coin de ses lèvres recourbé en un coin de sourire charmé. Parce que oui, ça en aussi, Hyo en est parfaitement capable et elle aurait été bien sotte de l'oublier.
Et elle aime d'autant plus cette façon qu'il a de sécuriser un chemin rien que pour elle et lui laisser le choix ensuite d'en faire ce que bon lui semble. « Je t'ai déjà dit ce que je voulais. » Mais parce qu'il le lui a redemandé, elle fera l'effort de le lui réitérer sa seule et unique certitude de la soirée.
« Raccompagne-moi au dortoir. »
A la seule différence que cette fois-ci, contrairement à la première fois où elle le lui avait demandé, des projets bien distincts prenaient forme en filigrane de sa requête plus ou moins innocente.
« Je peux prendre un Uber si tu préfères. » Comme une vive provocation. Car derrière elle Juee entendait déjà les rires alcoolisés d'étudiants qui ne tarderaient pas à découvrir ce qu'il se tramait dans les coulisses de cette jolie fête du printemps.
Kang Hyo, Yang Gaeun, Sung Jin Woo et Davis Jonah ont jeté un mauvais sort
Kang Hyo
❝ Like a villain
Pseudo : Vici0usD - Il
Célébrité : Jeon Jungkook
Crédits : m-aaki
Messages : 557
Âge : 26
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Lun 17 Juil - 15:27 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Moon Juee Elle te fait une fois de plus tourner en bourrique. Tu ne sais pas si elle te cherche où si elle est vraiment sincère. La fracture entre vous semble difficile à guérir dans ce genre de moment. Aucun de vous deux ne veux vraiment être celui qui craque, et aucun de vous deux aura assez peu d'orgueil pour admettre les erreurs commises. Enfin, surtout les tiennes si on voulait être totalement honnête. Pourtant tu peine à détacher ton attention d’elle, autant que tu as peiné à détacher ton attention d’elle lorsque l’autre abrutie l'exhibe comme un trophée au yeux de tous le monde. Est-ce de la jalousie? Peut-être un peu, mais cette vision était juste trop pour toi, une fois de plus elle était ramenée au simple stade d’objet de mise en valeur des autres.
“Tout ce que je sais c’est que les filles comme toi ne sont pas censé fréquenter les gars comme moi. Pourtant que je vois ce mec traiter comme un trophée devant tout le monde, ça me donne juste envie de lui en coller une et de te sortir de là. Mais peut être que je me trompe et que tu aimes être juste la potiche de service.”
Clairement tu en as trop dit pour ton propre bien, tu vas le payer à un moment où un autre, tu le sais. Tu pousse un soupir en y pensant, sans doute le punch qui réduit les capacités de ton cerveau pour réfléchir à long terme. Pourtant le téléphone sonne une fois de trop, et tu ne peux plus laisser passer ce harcèlement franchement agaçant. Tu t’attendant que ce Juee t’arrache le téléphone des mains, qu’elle te fasse une crise pendant que tu remet son cavalier a sa place gratuitement. Pourtant sa réaction est plutôt limitée, peut-être même que ça l’arrange un peu dans le fond, parce qu’elle n’avait pas l’air enchantée de décrocher à la base. Ce n’est pourtant pas sa poigne sur le tissu de ta veste qui te dissuade, et encore moins ses réactions alors tu craches le venin de ta jalousie refoulée. Bien sûr tu ne l’avouera pas, ce serait beaucoup trop simple.
”Comme si ça te dérangeais? Tu adores ça que je prenne ton partis, sinon tu m’aurais aracher le téléphone des mains”
Le sourire qu’elle arbore et le ton de sa voix ne sauraient mentir, pas à toi. Enfin, tu ne penses pas, et encore moins lorsqu’elle n’est pas en pleine possession de ses moyens. De toute façon tu n’en avais pas grand chose à faire, c’était fait, et ça t'avait fait un bien fou. Elle te trouble, elle joue avec toi sans le vouloir, et cette sensation malsaine revient, comme si tu n’avais plus vraiment aucun contrôle de ce qui passait. Non, la vraie question c’était de savoir si tu avais déjà eu seulement le contrôle de la situation. Tu ne sais pas, tu ne sais plus quoi faire alors qu’elle te demande de la raccompagné. Souvenir perdu d’un ton qui te semble lointain, et pourtant à l'intérieur tu lutte pour savoir quoi faire. Tu joues avec la proximité et tu as l' air assurée, tu cherche a la troubler, à provoquer un mouvement de recul. Mais non, elle ne recule pas, elle ne te repousse pas et au contraire elle te relance sa demande avec un aplomb qui me désarçonne, comme à chaque fois. « Raccompagne-moi au dortoir. » Une demande qui paraît pourtant si simple mais qui te perturbe au plus haut point.
Bon d’accord, il y a un sous-entendu qui n’en ai peut-être pas un, il faut l’avouer. Tu mettrais bien ça sur le dos de ton taux d’alcoolémie mais elle semble sérieuse. Tu réfléchis trop, tu envisages beaucoup trop. C’était un peu comme avant entre vous, toujours en train d’envisager ce qui pouvait mal tourner, et ce n’est clairement pas dans tes habitudes. C’est là qu’elle te provoque à nouveau, qu’elle te jette au visage ton hésitation comme elle sait si bien le faire. Les rires derrière vous te forcent à prendre une décision, cet endroit va vite devenir le refuge des étudiants qui ont besoin d’air. Tu soutiens son regard, encore un peu hésitant. Elle qui ne voulait plus rien avoir à faire avec toi, c’est un comble. Elle t’arrache un claquement de langue agacée, avant que tu ne te décides enfin, tu rapproche un peu plus d’elle, l’idée de l'agacer un peu te traverse l’esprit, mais à quoi bon.
”Tu te rends compte que ça sonne comme une proposition complètement indécente? Hors de question que je te laisse rentrer toute seule, surtout pas avec l’autre abruti qui t’a servi de cavalier pot de colle dans le coin.”
Est-ce que le pauvre te sert d’excuse bidon? Oui, parfaitement, mais c’est un moyen de sauver l’honneur, et surtout de ne pas avouer que tu veux la raccompagner. Tu recule sur le moment, te passant une main dans les cheveux en soupirant. Tu es incorrigible avec elle, il y a peu tu t’étais juré d’arrêter et voilà que c’est elle qui fait tout l’inverse. Cette situation te donne mal au crâne. Tu marque une pause avant de lui tendre le bras, de toute façon elle a gagné sur ce coût là.
” Bon on y va? Je vais t’aider parce que je ne suis pas persuadé que tu sois capable de marcher droit toute seule pour l’instant.”
“Tout ce que je sais c’est que les filles comme toi ne sont pas censé fréquenter les gars comme moi. Pourtant que je vois ce mec traiter comme un trophée devant tout le monde, ça me donne juste envie de lui en coller une et de te sortir de là. Mais peut être que je me trompe et que tu aimes être juste la potiche de service.”
Clairement tu en as trop dit pour ton propre bien, tu vas le payer à un moment où un autre, tu le sais. Tu pousse un soupir en y pensant, sans doute le punch qui réduit les capacités de ton cerveau pour réfléchir à long terme. Pourtant le téléphone sonne une fois de trop, et tu ne peux plus laisser passer ce harcèlement franchement agaçant. Tu t’attendant que ce Juee t’arrache le téléphone des mains, qu’elle te fasse une crise pendant que tu remet son cavalier a sa place gratuitement. Pourtant sa réaction est plutôt limitée, peut-être même que ça l’arrange un peu dans le fond, parce qu’elle n’avait pas l’air enchantée de décrocher à la base. Ce n’est pourtant pas sa poigne sur le tissu de ta veste qui te dissuade, et encore moins ses réactions alors tu craches le venin de ta jalousie refoulée. Bien sûr tu ne l’avouera pas, ce serait beaucoup trop simple.
”Comme si ça te dérangeais? Tu adores ça que je prenne ton partis, sinon tu m’aurais aracher le téléphone des mains”
Le sourire qu’elle arbore et le ton de sa voix ne sauraient mentir, pas à toi. Enfin, tu ne penses pas, et encore moins lorsqu’elle n’est pas en pleine possession de ses moyens. De toute façon tu n’en avais pas grand chose à faire, c’était fait, et ça t'avait fait un bien fou. Elle te trouble, elle joue avec toi sans le vouloir, et cette sensation malsaine revient, comme si tu n’avais plus vraiment aucun contrôle de ce qui passait. Non, la vraie question c’était de savoir si tu avais déjà eu seulement le contrôle de la situation. Tu ne sais pas, tu ne sais plus quoi faire alors qu’elle te demande de la raccompagné. Souvenir perdu d’un ton qui te semble lointain, et pourtant à l'intérieur tu lutte pour savoir quoi faire. Tu joues avec la proximité et tu as l' air assurée, tu cherche a la troubler, à provoquer un mouvement de recul. Mais non, elle ne recule pas, elle ne te repousse pas et au contraire elle te relance sa demande avec un aplomb qui me désarçonne, comme à chaque fois. « Raccompagne-moi au dortoir. » Une demande qui paraît pourtant si simple mais qui te perturbe au plus haut point.
Bon d’accord, il y a un sous-entendu qui n’en ai peut-être pas un, il faut l’avouer. Tu mettrais bien ça sur le dos de ton taux d’alcoolémie mais elle semble sérieuse. Tu réfléchis trop, tu envisages beaucoup trop. C’était un peu comme avant entre vous, toujours en train d’envisager ce qui pouvait mal tourner, et ce n’est clairement pas dans tes habitudes. C’est là qu’elle te provoque à nouveau, qu’elle te jette au visage ton hésitation comme elle sait si bien le faire. Les rires derrière vous te forcent à prendre une décision, cet endroit va vite devenir le refuge des étudiants qui ont besoin d’air. Tu soutiens son regard, encore un peu hésitant. Elle qui ne voulait plus rien avoir à faire avec toi, c’est un comble. Elle t’arrache un claquement de langue agacée, avant que tu ne te décides enfin, tu rapproche un peu plus d’elle, l’idée de l'agacer un peu te traverse l’esprit, mais à quoi bon.
”Tu te rends compte que ça sonne comme une proposition complètement indécente? Hors de question que je te laisse rentrer toute seule, surtout pas avec l’autre abruti qui t’a servi de cavalier pot de colle dans le coin.”
Est-ce que le pauvre te sert d’excuse bidon? Oui, parfaitement, mais c’est un moyen de sauver l’honneur, et surtout de ne pas avouer que tu veux la raccompagner. Tu recule sur le moment, te passant une main dans les cheveux en soupirant. Tu es incorrigible avec elle, il y a peu tu t’étais juré d’arrêter et voilà que c’est elle qui fait tout l’inverse. Cette situation te donne mal au crâne. Tu marque une pause avant de lui tendre le bras, de toute façon elle a gagné sur ce coût là.
” Bon on y va? Je vais t’aider parce que je ne suis pas persuadé que tu sois capable de marcher droit toute seule pour l’instant.”
Choi Yeleen
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Flutty ♡ Elle
Célébrité : Yunjin (Le Sserafim)
Crédits : To. CLARISSE QUEEN ♡ (omg.)
Messages : 159
Âge : 23
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Lun 31 Juil - 23:00 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Kang Hyo ♕ Elle le sait déjà. Les filles comme elle ne fréquentent pas les types comme lui. En toute transparence, ce sous-entendu en cache d'ailleurs bien d'autres, bien moins nobles et avouables.
« Sois plus précis. Tu veux dire que les gentilles filles comme moi ne fréquentent pas les mauvais garçons comme toi ? Ou que les femmes raffinées dans mon genre ne fréquentent pas les types miséreux de ta trempe ? » Elle hausse un sourcil, comme une vague de défiance à l'égard de ses paroles peu flatteuses. « Parce que tu trouves encore que j'ai l'étoffe d'une gentille fille ? » Ses doigts glissent délicatement contre le blaser de la veste de son costume. « C'est toi qui m'accorde beaucoup trop de crédit. Je pensais pourtant t'avoir prouvé le contraire plus d'une fois. » Cette jalousie qu'il ne prend même plus la peine de cacher tiraille au plus profond de ses entrailles. Le jeu est dangereux mais l'ivresse de l'avoir à nouveau rien que pour elle est terriblement attrayante.
« En parlant de téléphone » Cette fois elle s'adresse à lui en poussant son index contre son torse pour prouver son point, « Ne crois pas que c'est un free ticket pour répondre constamment à mes appels et t'immiscer dans mes conversations privées. » Elle fronce brièvement les sourcils, moralisatrice et ses yeux roulent au ciel dans un regard faussement excédé.
« Mais pour répondre à ta question, que tu prennes mon parti ou non, je m'en fiche. Pour cette fois en revanche… oui, c'est vrai que j'apprécie. Et j'aime autant te prévenir que c'était la dernière fois que tu me l'entendais dire. » Elle détourne brièvement le regard pour fixer les ombres qui se dessinaient un peu plus loin dans l'obscurité du parc. Comme si l'admettre menaçait de fragiliser son image et Juee n'avait aucune appétence à s'afficher vulnérable et fragile.
« J'ai du mal à suivre ton raisonnement ? » Sa voix dans la nuit apparaît suave et délicieuse. Sa question n'en est pas vraiment une. Elle cache une réflexion dont elle a pris l'habitude avec lui, lui laissant juste le temps de croiser son regard avant de laisser échapper un brin de sourire amusé. « Aux dernières nouvelles, ce n'est pas lui que s'adressait ma proposition complètement indécente. »Oh. Ce que Juee trouvait plaisant la façon dont sa mâchoire se crispait rien qu'à évoquer le souvenir de son cavalier.
Sa main glisse naturellement dans la sienne lorsqu'il l'invite à le rejoindre. « C'est bon, j'ai réussi à limiter les dégâts quand j'ai compris que le punch avait été relevé par une poignée de gamins. J'ai tout de même une nette préférence pour le Champagne. » Un sourire amusé orne la commissure de ses lèvres. Elle ne rejette pourtant pas le bras de soutien qu'il lui offre. L'heure est indue, sa robe aussi légère que de la soie et la cambrure vertigineuse de ses talons ne lui offre guère plus de stabilité sur le chemin rocailleux qui mène à son dortoir. « Il n'y a plus de bus qui passe à cette heure-là. » Annonce-t-elle dans un souffle en sentant une fine brise lui glisser sur la peau. Contrairement à l'autre fois, celle-ci est agréable et vivifiante. « Tu n'as même pas pris ta moto. » Elle ne dit pas ça pour elle, son dortoir se dessine déjà un peu plus loin dans l'allée et ces quelques minutes passées à marcher.
Il y a longtemps qu'elle n'est plus accrochée à son bras. La chaussée y est bien plus stable et cette drôle de proximité entre eux, ordinaire, presque romanesque, a quelque chose de très étrange auquel ni elle, ni lui ne sont vraiment habitués. Ses pas s'arrêtent devant la bâtisse de son dortoir qu'elle fixe d'un faible sourire nostalgique. Elle songe à ses prochaines paroles, réfléchit à ses prochains mouvements.
En pivotant sur ses talons, elle se retrouve face à lui. Encore une fois. Et si jusque-là les remerciements étaient restés de brefs inuendos à lire entre les lignes, elle devait admettre, cette fois, ne pas avoir droit d'y couper. « Merci de m'avoir raccompagnée. »
Un silence avait suivi. Puis Juee s'était fendue d'un pas de plus vers lui.
« Et désolée pour la dernière fois. » Elle mord dans sa lèvre, succédant à sa brève gratitude les excuses qu'elle lui devait. Elle n'était pas ivre. Mais les volutes de l'alcool aidaient à son absolution. « La gifle. » Dans la solennité du moment, elle l'avouait, un fin sourire était venu zébrer le fond de ses pupilles distendues. Probablement que s'il était là ce soir, c'est qu'il ne lui en avait pas trop tenu rigueur, mais ce n'était que des assomptions.
« Ce n'est pas quelque chose qu'un homme pourrait faire, pas vrai ? » Son cœur s'emballe et sa respiration se tord. Elle ne le dit pas pour se rassurer. Plutôt comme une introduction à ce qu'elle s'apprête à faire, totalement stupide et parfaitement confus. « Non, tu ne pourrais pas… » Et ses lèvres viennent caresser les siennes avec une sensualité oubliée, sa main passant contre sa joue, traçant du bout de ses doigts la ligne plongeant vers sa mâchoire pour trouver un appui stable au creux de sa nuque. A quoi bon réfléchir.
________________________________
« Sois plus précis. Tu veux dire que les gentilles filles comme moi ne fréquentent pas les mauvais garçons comme toi ? Ou que les femmes raffinées dans mon genre ne fréquentent pas les types miséreux de ta trempe ? » Elle hausse un sourcil, comme une vague de défiance à l'égard de ses paroles peu flatteuses. « Parce que tu trouves encore que j'ai l'étoffe d'une gentille fille ? » Ses doigts glissent délicatement contre le blaser de la veste de son costume. « C'est toi qui m'accorde beaucoup trop de crédit. Je pensais pourtant t'avoir prouvé le contraire plus d'une fois. » Cette jalousie qu'il ne prend même plus la peine de cacher tiraille au plus profond de ses entrailles. Le jeu est dangereux mais l'ivresse de l'avoir à nouveau rien que pour elle est terriblement attrayante.
« En parlant de téléphone » Cette fois elle s'adresse à lui en poussant son index contre son torse pour prouver son point, « Ne crois pas que c'est un free ticket pour répondre constamment à mes appels et t'immiscer dans mes conversations privées. » Elle fronce brièvement les sourcils, moralisatrice et ses yeux roulent au ciel dans un regard faussement excédé.
« Mais pour répondre à ta question, que tu prennes mon parti ou non, je m'en fiche. Pour cette fois en revanche… oui, c'est vrai que j'apprécie. Et j'aime autant te prévenir que c'était la dernière fois que tu me l'entendais dire. » Elle détourne brièvement le regard pour fixer les ombres qui se dessinaient un peu plus loin dans l'obscurité du parc. Comme si l'admettre menaçait de fragiliser son image et Juee n'avait aucune appétence à s'afficher vulnérable et fragile.
« J'ai du mal à suivre ton raisonnement ? » Sa voix dans la nuit apparaît suave et délicieuse. Sa question n'en est pas vraiment une. Elle cache une réflexion dont elle a pris l'habitude avec lui, lui laissant juste le temps de croiser son regard avant de laisser échapper un brin de sourire amusé. « Aux dernières nouvelles, ce n'est pas lui que s'adressait ma proposition complètement indécente. »Oh. Ce que Juee trouvait plaisant la façon dont sa mâchoire se crispait rien qu'à évoquer le souvenir de son cavalier.
Sa main glisse naturellement dans la sienne lorsqu'il l'invite à le rejoindre. « C'est bon, j'ai réussi à limiter les dégâts quand j'ai compris que le punch avait été relevé par une poignée de gamins. J'ai tout de même une nette préférence pour le Champagne. » Un sourire amusé orne la commissure de ses lèvres. Elle ne rejette pourtant pas le bras de soutien qu'il lui offre. L'heure est indue, sa robe aussi légère que de la soie et la cambrure vertigineuse de ses talons ne lui offre guère plus de stabilité sur le chemin rocailleux qui mène à son dortoir. « Il n'y a plus de bus qui passe à cette heure-là. » Annonce-t-elle dans un souffle en sentant une fine brise lui glisser sur la peau. Contrairement à l'autre fois, celle-ci est agréable et vivifiante. « Tu n'as même pas pris ta moto. » Elle ne dit pas ça pour elle, son dortoir se dessine déjà un peu plus loin dans l'allée et ces quelques minutes passées à marcher.
Il y a longtemps qu'elle n'est plus accrochée à son bras. La chaussée y est bien plus stable et cette drôle de proximité entre eux, ordinaire, presque romanesque, a quelque chose de très étrange auquel ni elle, ni lui ne sont vraiment habitués. Ses pas s'arrêtent devant la bâtisse de son dortoir qu'elle fixe d'un faible sourire nostalgique. Elle songe à ses prochaines paroles, réfléchit à ses prochains mouvements.
En pivotant sur ses talons, elle se retrouve face à lui. Encore une fois. Et si jusque-là les remerciements étaient restés de brefs inuendos à lire entre les lignes, elle devait admettre, cette fois, ne pas avoir droit d'y couper. « Merci de m'avoir raccompagnée. »
Un silence avait suivi. Puis Juee s'était fendue d'un pas de plus vers lui.
« Et désolée pour la dernière fois. » Elle mord dans sa lèvre, succédant à sa brève gratitude les excuses qu'elle lui devait. Elle n'était pas ivre. Mais les volutes de l'alcool aidaient à son absolution. « La gifle. » Dans la solennité du moment, elle l'avouait, un fin sourire était venu zébrer le fond de ses pupilles distendues. Probablement que s'il était là ce soir, c'est qu'il ne lui en avait pas trop tenu rigueur, mais ce n'était que des assomptions.
« Ce n'est pas quelque chose qu'un homme pourrait faire, pas vrai ? » Son cœur s'emballe et sa respiration se tord. Elle ne le dit pas pour se rassurer. Plutôt comme une introduction à ce qu'elle s'apprête à faire, totalement stupide et parfaitement confus. « Non, tu ne pourrais pas… » Et ses lèvres viennent caresser les siennes avec une sensualité oubliée, sa main passant contre sa joue, traçant du bout de ses doigts la ligne plongeant vers sa mâchoire pour trouver un appui stable au creux de sa nuque. A quoi bon réfléchir.
Kang Hyo, Yang Gaeun, Sung Jin Woo et Davis Jonah ont jeté un mauvais sort
Kang Hyo
❝ Like a villain
Pseudo : Vici0usD - Il
Célébrité : Jeon Jungkook
Crédits : m-aaki
Messages : 557
Âge : 26
Re: il restera de toi ce que tu as donné ・ hyo & juee | Jeu 17 Aoû - 20:25 Citer EditerSupprimer
「 ootn 」 @Moon Juee Tu détestes cette sensation, ce sentiment qu’elle te tient au creux de sa main à tout moment. Elle a toujours su comment faire, non pour être honnête elle n’a jamais eu grand chose à faire. Elle captive naturellement ton regard, c’est même ma source de tout va problème. Elle déclenche chez toi cette irrépressible envie d’avoir ce que tu ne devrais pas avoir. Quoi? Vous vous imaginez que toute cette histoire avait commencé sur une histoire de princesse et de coup de foudre? Désolé de vous décevoir mais ça restera toujours le début d’une histoire sordide dans des coins sombres. Bref, elle n’est clairement pas une gentille fille, du moins pas en privée mais ça c’est un autre débat.
Elle t’arrache un sourire amusé, tu aurais presque oublié à quel point elle pouvait se prendre pour le centre du monde. Son index sur la veste te ferait presque rire, elle cherche à prouver son point, mais ça te donne une balle a lui renvoyer juste par pur plaisir. Tu n’as jamais dit qu’elle allait être la seule à profiter de la situation. Tu la défie du regard, oh non Juee, tu ne vas pas t’en sortir comme ça. ”Je ne comptais recommencer, et là c’est toi qui te fais des films. Tu t’imagines que je vais toujours être à côté de toi pour prendre ton téléphone? C’est un assistant qu’il te faut pour ça.”
Arrêté tout, Juee viens bien d’admettre que tu avais raison? Prenez des photos, notez dans le calendrier parce que ça ne risque pas de se reproduire. Est-ce que tu es mieux non? Mais on ne parle pas de toi. C’est peut être que ça que tu ne relève pas, des fois que ça lui donne des idées pour recommencer. Sait-on jamais. Pourtant elle recommence a jouer avec toi, tu es presque sûr qu’elle prend un malin plaisir à continuer à parler de son cavalier en filigrane juste pour te faire péter un plomb. Clairement c’est efficace. ”Arrête je vais finir pas ma faire des idées.” Oui, tu détournes le sujet, tandis que tu réfléchis à comment tu vas pouvoir faire payer à ce grand dadet dès que Juee aura le dos tourné.
Alors qu’elle prend ta main puis ton bras, tu te dis que cette situation est… étrange. Ce n’est pas vraiment le genre de moment que vous aviez l’habitude de passer ensemble. C’est… différent on va dire. Tu ne sais pas trop quoi en penser, ce n’est pas désagréable, mais c’est… inhabituel ce genre d’intimité publique. Pourtant tu peine à lâcher la jeune femme du regard.”Je ne sais pas si je te l’ai dit, mais tu es très belle dans cette robe.” Qu’est-ce que tu fou Hyo? C’est vraiment le compliment le plus débile que tu avais pu lui faire. Pourtant tu le pense, la lumière blafarde de l’éclairage sur elle et les plis du tissus en rendrait plus d’un accro à cette vision. Elle te sors de ton admiration, te rappelant son attrait pour une boisson un peu trop coûteuse. ”Tu peux soumettre l’idée au BDE, mais je ne suis pas sûr que leur budget apprécie. D’ailleurs tu savais que celui que tu aime temps est hors de prix et introuvable? Au début ou je cherchai a attiré ton attention, tu n’as pas idée de tout ce que j’ai du faire pour en trouver.”
Tu marque un blanc alors que tu fixe le dortoir qui se rapproche, signant la fin de cette soirée de plus en plus étrange. ”Disons que je me suis dis que la moto risquait d’être une mauvaise idée. J’avais plutôt dans l’idée soit de ne pas dormir dans ma chambre, soit de ramper comme une loque pour me réveiller 12 heures plus tard.” En le disant tu te rends compte que tu es un peu pathétique. Nan en faite tu l’ai complètement, mais cette soirée n’est pas si mal finalement.
Pourtant le chemin se termine alors que vous êtes devant la bâtisse des Goguryeo, tu fixes le bâtiment les mains dans les poches. C’est alors qu’un deuxième miracle se produit lorsqu’elle te remercie de nouveau, et qu’elle se rapproche pour… s’excuser. Bon sang, soit ton cerveau débloque, soit elle va mourir, soit tu dois vraiment marquer ce jour dans le calendrier. ”Honnêtement je crois cette gifle je l’avais amplement mérité. Du moins tu avais le droit d’être en colère.”
Tu cherche tes mots quelques secondes, mais tu n’as pas le temps de les trouver que les lèvres de Juee viennent à la rencontre des tiennes. Tu restes quelque instant surpris, là, tu ne comprends décidément plus rien, surtout après la scène qu’elle a fait la dernière fois. Pourtant tu ne peux résister beaucoup plus longtemps, alors que tu réponds avec son baiser avec autant de passion que dans un temps pas si lointain. Tes mains quittent tes poches pour se diriger vers les hanches de la jeune femme, l’attirant un peu plus vers toi. C’est un genre de retour vers le passé un peu perturbant. Pourtant bien vite tes mains divague un peu plus avant que tu ne laisse les lèvres de la jeune femme. ”Alors là, je ne comprends décidément plus rien, mais c’est plutôt agréable.Maintenant c’est moi qui risque de te faire des propositions indécentes.”
Est-ce qu’un sourire satisfait étire tes lèvres? Oui complètement, mais c’est un retournement de situation plutôt inattendu. Tu laisse une de tes mains caresser doucement le visage de la jeune femme, te perdant dans ses yeux. ”Tu m'énerves, tous ce que à quoi je pense maintenant c’est de te retirer cette robe dans ta chambre. Pourtant on sait tous les deux que ça va encore mal finir.” Trop de souvenir te reviennent a travers ce baiser, trop de moment inavouable. Peut être que l’alcool dans tes veines n’aide pas a rester calme. Et puis merde, c’est ça faute c’est elle qui a commencé avec tout ses sous-entendu et se baiser. D’ailleurs tu en profite un peu d'attraper à ton tour les lèvres de Juee, comme ivre de son goût interdit que tu t’étais juré d'oublier. Tu profite de chaque secondes comme si c’était le dernier, savourant le contact de la peau laissé à nue par la robe, se remémorant la géographie des courbes de la jeunes femme.
Toute raison a disparu, toute logique semble s’envoler au contact de sa peau. Tu relâches ses lèvres, presque à contre cœur, reprenant ton souffle. Tu joues encore un peu avec elle, laisse tes lèvres se balader sur son cou alors a ta merci. Tu profite peut être un peu trop de toute cette situation, mais après tout c’est un soir de bal non. Tu finis pas délaisser la peau de Juee t’écartant un peu. ”Je t’ai toujours dit que tu me rendais fou, la preuve, je fais le contraire de ce que je devrais faire. Je devrais juste te laisser là et repartir de mon côté, pourtant je suis là à t'embrasser.”
Elle t’arrache un sourire amusé, tu aurais presque oublié à quel point elle pouvait se prendre pour le centre du monde. Son index sur la veste te ferait presque rire, elle cherche à prouver son point, mais ça te donne une balle a lui renvoyer juste par pur plaisir. Tu n’as jamais dit qu’elle allait être la seule à profiter de la situation. Tu la défie du regard, oh non Juee, tu ne vas pas t’en sortir comme ça. ”Je ne comptais recommencer, et là c’est toi qui te fais des films. Tu t’imagines que je vais toujours être à côté de toi pour prendre ton téléphone? C’est un assistant qu’il te faut pour ça.”
Arrêté tout, Juee viens bien d’admettre que tu avais raison? Prenez des photos, notez dans le calendrier parce que ça ne risque pas de se reproduire. Est-ce que tu es mieux non? Mais on ne parle pas de toi. C’est peut être que ça que tu ne relève pas, des fois que ça lui donne des idées pour recommencer. Sait-on jamais. Pourtant elle recommence a jouer avec toi, tu es presque sûr qu’elle prend un malin plaisir à continuer à parler de son cavalier en filigrane juste pour te faire péter un plomb. Clairement c’est efficace. ”Arrête je vais finir pas ma faire des idées.” Oui, tu détournes le sujet, tandis que tu réfléchis à comment tu vas pouvoir faire payer à ce grand dadet dès que Juee aura le dos tourné.
Alors qu’elle prend ta main puis ton bras, tu te dis que cette situation est… étrange. Ce n’est pas vraiment le genre de moment que vous aviez l’habitude de passer ensemble. C’est… différent on va dire. Tu ne sais pas trop quoi en penser, ce n’est pas désagréable, mais c’est… inhabituel ce genre d’intimité publique. Pourtant tu peine à lâcher la jeune femme du regard.”Je ne sais pas si je te l’ai dit, mais tu es très belle dans cette robe.” Qu’est-ce que tu fou Hyo? C’est vraiment le compliment le plus débile que tu avais pu lui faire. Pourtant tu le pense, la lumière blafarde de l’éclairage sur elle et les plis du tissus en rendrait plus d’un accro à cette vision. Elle te sors de ton admiration, te rappelant son attrait pour une boisson un peu trop coûteuse. ”Tu peux soumettre l’idée au BDE, mais je ne suis pas sûr que leur budget apprécie. D’ailleurs tu savais que celui que tu aime temps est hors de prix et introuvable? Au début ou je cherchai a attiré ton attention, tu n’as pas idée de tout ce que j’ai du faire pour en trouver.”
Tu marque un blanc alors que tu fixe le dortoir qui se rapproche, signant la fin de cette soirée de plus en plus étrange. ”Disons que je me suis dis que la moto risquait d’être une mauvaise idée. J’avais plutôt dans l’idée soit de ne pas dormir dans ma chambre, soit de ramper comme une loque pour me réveiller 12 heures plus tard.” En le disant tu te rends compte que tu es un peu pathétique. Nan en faite tu l’ai complètement, mais cette soirée n’est pas si mal finalement.
Pourtant le chemin se termine alors que vous êtes devant la bâtisse des Goguryeo, tu fixes le bâtiment les mains dans les poches. C’est alors qu’un deuxième miracle se produit lorsqu’elle te remercie de nouveau, et qu’elle se rapproche pour… s’excuser. Bon sang, soit ton cerveau débloque, soit elle va mourir, soit tu dois vraiment marquer ce jour dans le calendrier. ”Honnêtement je crois cette gifle je l’avais amplement mérité. Du moins tu avais le droit d’être en colère.”
Tu cherche tes mots quelques secondes, mais tu n’as pas le temps de les trouver que les lèvres de Juee viennent à la rencontre des tiennes. Tu restes quelque instant surpris, là, tu ne comprends décidément plus rien, surtout après la scène qu’elle a fait la dernière fois. Pourtant tu ne peux résister beaucoup plus longtemps, alors que tu réponds avec son baiser avec autant de passion que dans un temps pas si lointain. Tes mains quittent tes poches pour se diriger vers les hanches de la jeune femme, l’attirant un peu plus vers toi. C’est un genre de retour vers le passé un peu perturbant. Pourtant bien vite tes mains divague un peu plus avant que tu ne laisse les lèvres de la jeune femme. ”Alors là, je ne comprends décidément plus rien, mais c’est plutôt agréable.Maintenant c’est moi qui risque de te faire des propositions indécentes.”
Est-ce qu’un sourire satisfait étire tes lèvres? Oui complètement, mais c’est un retournement de situation plutôt inattendu. Tu laisse une de tes mains caresser doucement le visage de la jeune femme, te perdant dans ses yeux. ”Tu m'énerves, tous ce que à quoi je pense maintenant c’est de te retirer cette robe dans ta chambre. Pourtant on sait tous les deux que ça va encore mal finir.” Trop de souvenir te reviennent a travers ce baiser, trop de moment inavouable. Peut être que l’alcool dans tes veines n’aide pas a rester calme. Et puis merde, c’est ça faute c’est elle qui a commencé avec tout ses sous-entendu et se baiser. D’ailleurs tu en profite un peu d'attraper à ton tour les lèvres de Juee, comme ivre de son goût interdit que tu t’étais juré d'oublier. Tu profite de chaque secondes comme si c’était le dernier, savourant le contact de la peau laissé à nue par la robe, se remémorant la géographie des courbes de la jeunes femme.
Toute raison a disparu, toute logique semble s’envoler au contact de sa peau. Tu relâches ses lèvres, presque à contre cœur, reprenant ton souffle. Tu joues encore un peu avec elle, laisse tes lèvres se balader sur son cou alors a ta merci. Tu profite peut être un peu trop de toute cette situation, mais après tout c’est un soir de bal non. Tu finis pas délaisser la peau de Juee t’écartant un peu. ”Je t’ai toujours dit que tu me rendais fou, la preuve, je fais le contraire de ce que je devrais faire. Je devrais juste te laisser là et repartir de mon côté, pourtant je suis là à t'embrasser.”
Choi Yeleen est sous l'effet d'un philtre d'amour
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2