Tu ne pouvais pas juger les décisions de Hope ; après tout, tu n'étais pas dans sa tête, pas dans son cœur. Tu ne vivais pas les choses de la même façon – tu ne les subissais pas non plus. A l'inverse, tu aurais probablement agi de la même façon. Peut-être. Tu n'en savais rien, tu ne le visais pas. Le jugement n'était alors pas possible pour toi car il te manquait des données. Et loin de toi était l'idée de juger ton cousin. Tu l'aimais trop pour ça et tu lui pardonnerais probablement beaucoup de choses. Là, il n'avait pas à s'excuser dans le fond, encore moins à se justifier. Tu comprenais. Bien sûr tu aurais voulu qu'il te le dise. Mais tu comprenais – la peur, l'angoisse, le reste. Mélange explosif qui laissait des traces. Tu t'en voulais un peu de n'avoir rien remarqué avant. Du moins pas comme tu aurais dû le voir. Tu t'en voulais de ne pas avoir directement demandé, d'être allé dans le vif du sujet comme tu le faisais d'habitude quand tu avais cette impression de « quelque chose ». Ca avait été stupide d'attendre – et peut-être aurais-tu pu agir en conséquence à ce moment-là. N'était-il pas trop tard maintenant ? Tu espérais que non. Tu voulais l'aider, le soulager. L'idée même qu'on puisse lui faire du mal, qu'on puisse le blesser – physiquement ou mentalement, te donnait la nausée. Et t'agaçait plus que tu ne le montrais. Comment ? Pourquoi ? Des questions qui ne trouveront jamais réponses car les justifications seront sourdes pour toi. Rien ne pouvait pardonner une telle stupidité et une méchanceté pareille. « Pas du tout ? », demandas-tu doucement, les sourcils levés dans une frimousse inquiète avant de lâcher un souffle, le visage se relevant un instant. Tu passas la paume sur ton visage, la glissant dans ta tignasse brune. Les parents... « Ils sont idiots », marmonnas-tu, détestant tout ce que ta famille pouvait bien représenter. C'était ridicule. « Mais je comprends », encore une fois, oui, tu comprenais. Hope n'était pas toi. Tu t'en fichais bien de savoir si tout remontait aux oreilles de tes parents, tu gardais la tête haute, le dos droit, osant même sourire malicieusement à ton père quand il te lançait un regard désapprobateur. Mais Hope n'était pas toi. « Hmm.. on trouvera une autre solution alors », parce que tu refusais que cela continue comme ça. Tu posas tes pupilles vers lui, les lèvres pincées. Etait-il certain de la réaction de ses parents ? « Je comprends », soufflas-tu encore, la paume dans son dos, marquant ainsi ta présence à ses côtés. Et tu le connaissais, Hope. Tu le comprenais même quand il ne parlait pas. Le silence était encore plus bruyant que les mots quand il était entre ses lèvres, et tu te retenais de ne pas articuler toutes les pensées qui te traversaient alors l'esprit. « Tu ne pouvais pas savoir », dis-tu simplement. « Tu pouvais pas deviner qu'il était idiot ou qu'il allait réagir comme ça. Ce n'est pas ta faute, et ça ne le sera jamais. D'accord ? », il était victime, aucunement coupable et il était hors de question qu'il le pense. « C'est pas ta faute s'il a usé cette confiance contre toi », pas de sa faute. En aucun cas. Ta paume reprit ses mouvements sur son dos avant que tu roules ton bras autour de ses épaules, le rapprochant un peu de toi. « Est-ce que tu veux que j'aille le voir ? », c'était risqué, tu t'en doutais bien. Tu te doutais aussi que Hope ne voudrait probablement pas. « Je peux pas rester sans rien faire, tu t'en doutes bien », tu tournas tes pupilles soucieuses vers lui. « Dis-moi ce que tu veux que je fasse, et je le ferai. Tu peux venir me trouver à chaque fois, je serai toujours là. Pendant les pauses, le repas. Je te laisse pas seul. Mais tu te doutes bien que je ne peux pas rien faire non plus... alors dis-moi ce que tu veux que je te fasse. Je veux t'aider »

C’est sa peur ultime, à hope. De se dire qu’un jour ou l’autre, ses parents sauront. Il sait que son temps est compté. Parce que tout se sait un jour. Et il y a forcément un moment où l’information va fuiter. ils en connaissent du monde, les kang. Leur famille, de manière générale. Et il a déjà entendu maintes fois ses parents critiquer et arborer les gens comme lui. déviant de la logique de toute chose. S’écartant du droit chemin. Et ils seraient impensable pour eux que leur fils chéri puisse faire parti de cette catégorie là. Malgré tout l’amour qu’il lui porte. Et il ne veut pas voir la déception sur leur visage. il ne veut pas voir le dégout dans les yeux des gens qu’il aime. Pas encore une fois. et dae hyun sait comment ça marche, chez eux. ils ont vécu dans le même monde. Mais hope n’a pas la force de caractère de son cousin. Il est lâche. Il est terrifié. Et il a peur d’un nouvel abandon. Et celui-là serait terrible. Et puis vient la source de tout ses problèmes. Le pire dans tout ça ? c’est que hope a beau subir tout ce qui lui arrive. Le cœur en lambeaux. L’âme en peine. Il n’arrive pas à rejeter hyung jae. il n’arrive pas à lui en vouloir parce qu’il y tient trop malgré tout le mal qu’il lui fait. tel un masochiste qui prend le peu d’attention qu’il peut encore lui donner. Parce qu’il souffle le chaud et le froid avec lui. qu’il lui arrive encore de retrouver la personne qui a été son meilleur ami pendant des années. « il est pas tout le temps comme ça, en plus.. je comprends pas. parfois c’est comme si rien ne s’était jamais passé. Et le jour d’après ça recommence.. » dit-il doucement. Et ça lui fait mal quand dae hyun met le doigt sur le nœud du problème. Qu’il joue de sa confiance. Qu’il abuse de sa gentillesse en réalité. parce que c’est très certainement le cas. Mais hope est trop naïf. Il a trop bon cœur et ça lui nuira, si ce n’est ce qui est déjà en train de se passer. Il lui adresse un sourire triste un peu forcé quand il lui offre une accolade réconfortante. Un geste qui, mine de rien, lui fait du bien. Lui donne la sensation d’avoir quelque chose, quelqu’un sur qui se reposer un peu. se raccrocher. quelqu’un qui peut le comprendre. Parce que dae hyun n’est pas n’importe qui. C’est son cousin. Qu’il sait plus ou moins ce qu’il peut se passer dans sa tête. Parce qu’ils ont grandi ensemble et qu’il le connait surement beaucoup mieux que quiconque. Qu’il sait ce que c’est que d’être un marginal dans leur famille cinq étoiles option vip. Il hausse tout de même les épaules. Ce n’est pas un oui. Ce n’est pas un non. « qu’est-ce que tu voudrais lui dire.. tu sais comment il est. je suis pas sûre que ça change quoique ce soit. ou pas dans le bon sens en tout cas.. » car vu son caractère il se doute fort qu’il apprécie d’être remis à sa place ou qu’on lui dise quoi faire. Et hope essaie donc de se faire tout petit. Tout le temps. Lui déjà pas bien voyant, essaie le plus possible d’être invisible. Parce que tout ça l’a emmené sous le feu de projecteurs dont il ne voulait pas. et moins il parle, moins on le voit, et plus il tente d’esquiver ce qui lui arrive. Hope finit par lâcher un soupire parce qu’il ne sait pas quoi lui répondre. Il n’a aucune idée de ce qu’il convient vraiment de faire. Parce qu’il ne voit pas la fin de tout ça. qu’il a déjà retourné le problème dans tous les sens et qu’il ne voit pas d’issues. Encore moins depuis cette fameuse soirée où tout a dérapé encore plus loin. mais ça, il n’est pas prêt de l’avouer. Il sait que si ça se sait, il ne donne pas cher de sa peau. Alors il lui adresse un petit sourire triste en haussant les épaules, un peu résigné. « c’est gentil. je t’avoue que je sais pas trop. parce que j’ai toujours peur que ça soit pire après coup. » incapable de prédire leur réactions. Incapable de savoir jusqu’où ils seraient réellement capable d’aller. « mais oui, je veux bien manger avec toi de temps en temps. Mais je ne veux pas te déranger ou que tu t’y sentes obligé. Tu as surement d’autre chose à faire et d’autres personnes à voir, que de devoir faire la garderie à ton pauvre petit cousin. » lâche-t-il en riant légèrement. Il tente d’alléger la situation. C’est tout de même un tout petit bout de son poids qui s'envole. Mais hope étant ce qu’il est, si dae hyun ne lui propose pas de lui-même il ne voudra pas aller le déranger. Pourtant,il n’a pas envie de rejeter toutes les propositions que lui offre dae hyun. Alors il finit par avouer, un peu honteux. « avec tout ça.. je suis pas sûr d’avoir mon année.. ça.. je.. j’ai beaucoup de mal à m’y mettre de moi-même en ce moment.. j'y arrive pas. c’est.. mes notes.. c’est une catastrophe..  Je pense que réviser avec quelqu’un ça m’aiderait surement. » sous-entend-t-il doucement. parce que dae hyun est en médecine et qu'il n'y a pas mieux pour l'aider que quelqu'un qui a déjà vu ce qu'il apprend. et que c'est une honte pour lui-même de ne pas être au niveau. au niveau de ce que ses parents attendent de lui. Et ça doit surement choquer son cousin. Parce que hope, ça a été le premier de la classe toute sa vie. C’est celui qui vit pour étudier. Qui s’acharne dans les cours. Et pourtant, en ce moment, il fonce droit dans le mur..

Le sourcil levé dans un air confus, tu poussas faiblement les lèvres en avant, songeur. Parfois tout allait bien, d'autres fois non. Tu supposais que le gamin avait un souci – ou alors qu'il était jaloux de quelque chose. Jaloux de Hope. Peut-être ? La jalousie faisait faire des choses sans aucun sens et c'était bien ce qu'il se passait là : rien n'avait de sens. T'avais beau tenter de tourner chaque détail différemment dans ton esprit t'en arrivais toujours à ces émotions néfastes qui brisaient tout et tout le monde. Néanmoins tu ne pourrais pas non plus expliquer pourquoi il serait soudainement jaloux. Ou pourquoi tout allait bien un jour et plus rien le lendemain. Peut-être se passait-il quelque chose de son côté ? Chez lui ? Ou était-ce peut-être un problème plus personnel ? Possible. Mais tu ne comprenais pas alors le besoin de s'en prendre à quelqu'un d'autre. Cela ne devait pas aider à réduire la colère, la peine, la douleur. Ce n'était que passager. Effet placebo d'une drogue qu'était la méchanceté, finalement. Parce que c'était bien de ça qu'il s'agissait surtout : de la méchanceté. Pure, gratuite, non méritée. Tu ne pouvais pas laisser Hope comme ça. Tu voulais lui montrer qu'il pouvait compter sur toi mais aussi que tu étais là. Tu voudrais faire plus, cela dit. « Je sais pas mais je peux me montrer persuasif », lanças-tu dans un mouvement d'épaules plutôt indifférent. Persuasif, oui parfois. Sinon tu pouvais te montrer extrêmement chiant. Mais cela signifierait que tu te mettrais un peu au même niveau que lui et c'en était hors de question. Bien que tu ne sois pas si méchant, non plus. T'étais juste... vraiment chiant. Le sale gosse du dimanche qu'on aimait pas apercevoir parce qu'on savait déjà toutes les idées débiles qui passaient dans son cerveau et qu'on pouvait déjà entendre celles qui passerait la barrière de ses lèvres. Tu connaissais la tête qu'on faisait dans ce moment-là. Ton père la faisait dès qu'il te regardait durant un gala où on t'avait forcé de venir et où tu arrivais à repartir avec quelques donations pour les refuges. T'étais un ange tombé du ciel tu comprenais pas pourquoi ton père s'efforçait à maugréer le contraire – non, tu comprenais, tu le faisais exprès. Sale gosse. « Du moins je peux tenter. Gentiment. Avec douceur. Sans être trop chiant », tu lanças un regard à ton cousin avant de plisser le nez. Toi-même t'y croyais pas. « J'irais pas le tabasser non plus », marmonnas-tu, bougon. Parce que c'était loin d'être ton genre – tu préférais user des mots pour blesser à choisir. Tu ne voulais pas qu'il s'en prenne plus à Hope si tu le faisais cependant. C'était un cercle sans fin. « Hmm je comprends », soufflas-tu, les épaules basses. Tu ne savais pas vraiment ce que vous pourriez faire non plus. « C'est vrai que c'est une épreuve insurmontable que de manger avec toi régulièrement ohlala... », la paume sur l'épaule, tu laissas un sourire décorer ta bouche avant de te tourner vers lui, l'index pas menaçant du tout. Tu voulais plus entendre ce genre de choses. « Si je le proposes c'est que j'en ai envie. Et t'es pas « mon pauvre petit cousin » t'es mon adorable et merveilleux cousin. Excuse-toi auprès de mon cousin, c'est pas la même chose », parce que c'était pas comme si tu le prenais en pitié, loin de là. Tu ne voulais que son bien. « On mangera ensemble souvent. Puis on pourra étudier ensemble aussi. C'est pas comme si j'avais énormément de choses à faire à part réviser aussi tu sais. J'ai pas trop le temps de passer par le club de foot à cause des révisions et en dehors des cours... j'ai juste Mushu », tu travaillais pas donc t'étais pas super occupé non plus – si on oubliait les cours. « On pourra aller promener Mushu ensemble la prochaine fois tiens », lâchas-tu dans un sourire. « C'est normal. T'as d'autres préoccupations que les cours. C'est pas une tare de devoir refaire ton année. Parfois c'est même mieux. A choisir j'aurais préféré refaire ma toute première année ici, histoire d'avoir toutes les bases parfaitement acquises et je pense pas être le premier à le dire », que tu fasses honte ou pas à tes parents, tu t'en fichais bien. Ton seul souci était le temps. Tu ne voulais pas en perdre, et voulais atteindre ton but le plus rapidement possible. Même si tu n'avais pas le choix d'attendre. « Peut-être même que je vais refaire mon année, j'en sais rien », tu haussas les épaules, le sourire léger, pas secoué par l'idée. « On pourra réviser ensemble. Quand tu veux, où tu veux. Tu me dis, et je suis là », assuras-tu dans une esquisse tendre. « C'est juste une mauvaise passe. Laisse-toi le temps d'aller mieux. Une fois tout ça réglé, tout reprendra normalement » et t'espérais que ce soit vite réglé. « Désolé de ne pas pouvoir faire plus », tu lui offris une esquisse peinée cette fois. Parce que ça te faisait mal de ne pas pouvoir faire autre chose. « Mais au moins maintenant on va s'organiser de super repas tous les deux et de super séances révisions. Tu me donneras des techniques pour bien apprendre », impossible qu'il ait perdu tous ses réflexes. Et ils allaient revenir, petit à petit, t'y veilleras. Tout comme tu veilleras sur le reste.

Malgré cette conversation lourdes de confessions, daehyun parvient à arracher un petit sourire en coin à son cousin. C'est quelque chose qu’il a toujours aimé chez lui. Sa légèreté, même dans les moments compliqués. Parce que leur monde n’est pas simple. Et que bien qu’ils soient différents, les responsabilités et attentes qui pèsent sur leurs épaules dû à leur nom de famille sont les mêmes. Et parfois, il aimerait réussir à penser un peu plus comme son ainé que de se taire et de subir. Mais on ne se refait pas. « oui je n’en doute pas. » et puis c’est un vrai petit rire qui lui échappe, remontant ses yeux vers son cousin avant de dire plus franchement. « j’ai beaucoup de mal à te voir lever la main sur quelqu’un. » c’est dit avec douceur et un petit sourire. Rien est impossible et tout le monde a surement ses limites. Mais hope connait tout de même daehyun à force, et il sait parfaitement qu’il n’est pas de ceux qui usent des poings à la moindre contrariété. Et en toute honnêteté, il a même beaucoup de mal à se l’imaginer.. Comme une image bizarre. Une pensée étrange qui ne lui va pas du tout. Bien que l’attention le touche plus qu’il ne veut bien l’admettre. Comme un nouveau poids qui s’allège, de se savoir un minimum soutenu. Et il se sent bête d’avoir cru que, peut être, daehyun lui aussi aurait mal réagi à tout ça. Même en sachant qu’il est l’une des personnes les plus égales à elle-même en toute circonstance. Et il aura besoin d’un peu de temps pour digérer la honte d’avoir oser pu en douter. Ses yeux remontent vers son cousin quand la conversation prend un ton plus léger. Comme un soulagement tant attendu. Et ce poids qui pesait sur sa poitrine s’envole un peu plus. Un semblant de retour à une normalité tant recherché.  Une bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher dans leur monde étriqué. « oui, désolé. ça me ferait très plaisir dans ce cas. » petit sourire gêné au bord des lèvres. Hochant la tête doucement à chaque proposition énumérée les unes après les autres il finit par dire. « oui, d’accord. » pourtant c’est une moue peinée qu’il affiche quand il dévoile aux grands jours son année catastrophique. Refaire son année est impensable pour hope. Hors de question même. La peur du regard des autres, celle de ses parents qui ne comprendraient pas comment leur fils prodige redoublerait alors que toutes ses notes ont toujours été excellentes. « je ne veux pas refaire mon année.. Je ne sais pas si je vais réussir à tout rattraper de justesse, si ça va passer, mais il faut que j’y arrive.. Je ne peux pas redoubler.. » rien que l’idée menace de lui déclencher une crise d’angoisse. Et si ça semblait un fait anodin pour daehyun, un choix judicieux, hope voyait ça comme un échec dramatique. Se mordant la lèvre pour ne pas paniquer face à cette possibilité qui ne lui plait pas du tout, le jeune homme tente de croire en ses paroles. « oui.. Oui ça va passer. » avant de relever les yeux vers son cousin. Lui offrant un petit sourire, sincère. « c’est déjà beaucoup tu sais. Merci. Et tu n’as pas besoin de faire quoique ce soit. Je crois que.. Ça me soulage vraiment d’entendre tout ça. Et je suis encore désolé de ne pas t’en avoir parlé de moi-même.. » un petit rire s’échappe des ses lèvres à l’idée de leurs futures révisions parce que ça fait bien longtemps que ça ne leur ai pas arrivé. « oui ça marche, organisons ça. avec plaisir. » un sourire bien moins forcé qu’au début plane su ses lèvres. et bien que hope ne possède pas de réelles techniques hormis un acharnement et des heures de travail assidus à son actif, il tenterait lui aussi d’aider au mieux son cousin. Échanges de bons procédés. Le regard sombre de hope accroche les étudiants qui retournent à l’intérieur des bâtiments avant de sortir son téléphone pour regarder l’heure. « oh, je crois que je reprends dans cinq minutes. » bien que l’idée de retourner en plein cœur de la fosse aux lions lui pèse et qu’il n’en a aucune envie. Mais il allait y arriver. Encore une fois. « Si tu n’as rien de prévu du coup.. On peut peut-être manger ensemble ce midi ? Enfin, n’annule rien pour moi si tu as déjà quelque chose. J'ai pris mon déjeuner quoiqu’il arrive. » on ne se refait pas. Hope reste hope.

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