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:: Le reste du monde :: Séoul :: Hongdae :: Epsilon
Conversation Embrumée
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Conversation Embrumée | Mar 10 Oct - 14:59 Citer EditerSupprimer
Conversation embrumée
feat. @Lim Ha Rin "
Tu ne sais pas trop quand est-ce que vous avez pris cette habitude de faire ce genre de “soirée prof”. D’ailleurs tu ne te rappelle pas vraiment non plus comment toi, le rat de laboratoire tu t’es retrouvé embarqué dans ce genre de moment. Il faut aussi dire qu’à force que tout le monde te dise d’être un peu plus sociable, tu as fini par faire des efforts. C’était sans compter sur les autres professeurs de l’université, qui semblaient soudain revivre leurs moments en fraternité. Ok d’accord, tu avoue t’être peut être aussi un peu, beaucoup, fait prendre dans l’ambiance lors de ses soirées. Tu n’es qu'un homme, une bête grégaire par moment, et c’est aussi un bon moyen de ne pas avoir Rhéa dans les pattes pendant un moment.
Résultat des courses vous finissez comme régulièrement les vendredi soir dans un bar de Hongdae, sauf que ce soir vous êtes beaucoup moins que d’habitude. Il faut pourtant avouer que tu as un peu tendance à faire pièce rapportée, tu as toujours un peu de mal à t'immiscer dans les conversations de groupes. Déjà, être ici est un grand pas pour toi, qui n’apprécie pas spécialement d’être au milieu des gens. Mais tu es là, ton verre à la main, prenant simplement plaisir dans la situation, tu n’en demande pas beaucoup plus pour être honnête. C’est un peu comme revivre tes années de fac pour être honnête. Pourtant tu te force un peu, partages quelques mots avec les uns, puis avec les autres. Certains de tes collègues se lancent dans un jeu à boire, et clairement tu fais ta chochotte, sachant que ça ne peut que mal, voir très mal finir. Vous êtes professeurs à la base quand même non? Certains oublient un peu vite que la réputation de la fac repose aussi un peu sur eux. Quoi que, c’est peut être exactement pour ça qu’ils ont besoin de relâcher la pression de temps en temps. Argument valide, mais qui te parait tellement stupide.
Tu finis par échapper au tumulte pour t’installer un peu plus loin, tu pousse un soupir soulagé avant de profiter d’une gorgée de ton verre. Le calme c’est vraiment beaucoup plus ton environnement. Sauf que bien sûr il faut que tu fasses preuve de ta légendaire maladresse. Tu échappes ton verre en le reposant, en étalant bien partout devant toi. ”Je suis vraiment désolé, je vais vous aidez à nettoyer, vous pourrez m’en remettre un?” Tu continue de t’excusr tant bine mal en essayant d’éponger un peu avec des serviette en papier, mais le regard noir du barman te fait vite comprendre que tu fait plus de mal que de bien. Bien joué monsieur le professeur, la soirée commence bien. Si tu pouvais tu te cacherais bien profondément tout de suite.
Résultat des courses vous finissez comme régulièrement les vendredi soir dans un bar de Hongdae, sauf que ce soir vous êtes beaucoup moins que d’habitude. Il faut pourtant avouer que tu as un peu tendance à faire pièce rapportée, tu as toujours un peu de mal à t'immiscer dans les conversations de groupes. Déjà, être ici est un grand pas pour toi, qui n’apprécie pas spécialement d’être au milieu des gens. Mais tu es là, ton verre à la main, prenant simplement plaisir dans la situation, tu n’en demande pas beaucoup plus pour être honnête. C’est un peu comme revivre tes années de fac pour être honnête. Pourtant tu te force un peu, partages quelques mots avec les uns, puis avec les autres. Certains de tes collègues se lancent dans un jeu à boire, et clairement tu fais ta chochotte, sachant que ça ne peut que mal, voir très mal finir. Vous êtes professeurs à la base quand même non? Certains oublient un peu vite que la réputation de la fac repose aussi un peu sur eux. Quoi que, c’est peut être exactement pour ça qu’ils ont besoin de relâcher la pression de temps en temps. Argument valide, mais qui te parait tellement stupide.
Tu finis par échapper au tumulte pour t’installer un peu plus loin, tu pousse un soupir soulagé avant de profiter d’une gorgée de ton verre. Le calme c’est vraiment beaucoup plus ton environnement. Sauf que bien sûr il faut que tu fasses preuve de ta légendaire maladresse. Tu échappes ton verre en le reposant, en étalant bien partout devant toi. ”Je suis vraiment désolé, je vais vous aidez à nettoyer, vous pourrez m’en remettre un?” Tu continue de t’excusr tant bine mal en essayant d’éponger un peu avec des serviette en papier, mais le regard noir du barman te fait vite comprendre que tu fait plus de mal que de bien. Bien joué monsieur le professeur, la soirée commence bien. Si tu pouvais tu te cacherais bien profondément tout de suite.
Re: Conversation Embrumée | Ven 3 Nov - 20:23 Citer EditerSupprimer
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feat. @Sung Jin woo
J’adore ces fameux vendredis où on doit aller dans un bar entre profs. Ça fait changement de ma misérable vie où je suis concentrée à faire mes toiles. Chercher un endroit particulier et de peinturer de magnifiques paysages. Disons que ça casse ma routine platonique et ça me plaît plutôt bien. Parfois, ça m’arrive de leur fausser compagnie pour une future exposition ou commande de mes clients, mais pas ce soir. Ce soir, je me saoule afin de ne plus me rappeler ce qui s’est passé la veille. Je vais m’amuser autant que mes finances le peuvent. Je vais rire aux éclats sans me soucier de ma réputation. Quelle réputation ? Je ne me soucie pas de ça. Si certains ne m’apprécient pas, je les invite volontiers à continuer leur chemin. Ne pas me regarder et de garder leur salive sachant que ça ne sert à rien. Je vis ma vie n’est-ce pas ? Mon foie risque de ne pas trop apprécier ni la gueule de bois du lendemain.
Ainsi, j’arrive légèrement en retard. Certains se moquent de moi parce que j’étais trop absorbée dans mon art. Je ne reproche rien, c’est la vérité. Je ris avec eux. Ça ne me blesse aucunement, je vis pour l’art. Je transpire l’art, je mange l’art et je pourrais chier de l’art si je pousse le bouchon un peu trop loin. Donc, les gens savent que l’art pour moi, c’est toute ma vie ? Certainement. Après tout, ça m’a sauvé la vie lorsque j’avais besoin d’aide.
Ceci dit, dès que j’arrive, je me cale quelques verres avec les jeux de boissons avant de me lever et d’aller aux toilettes. Après consommer plusieurs verres de liquide, il faut qu’on expulse ce liquide un jour ou l’autre non ? Puis quand ce fut terminé ? J’essaie évidemment de retourner voir mes collègues de travail. Je ne suis pas ivre et je ne suis pas totalement sobre non plus. Je suis entre les deux. Normalement sobre, je n’ai absolument pas de filtre, donc je n’imagine pas lorsque je ne le suis pas. Bref, en sortant des toilettes, je vois une pauvre âme en détresse dans sa maladresse. Le barman ne semble pas très ravi de ses bêtises, mais peu importe, j’ai une âme charitable. Je vais à sa rencontre en aidant le plus possible. « Arrêtez de faire des gros yeux, trésor, vous allez faire fuir votre clientèle. » Fis-je à l’employé avant de continuer mon aide. « Hey oh ! Respire, cela arrive des accidents, le nombre de fois que je fais des dégâts quand je gesticule trop. » Ça, c’est vrai. Le nombre de verres que j’ai renversé du revers de la main, etc. Il faut prendre en riant. Être maladroit, c’est drôle par moment. « Barman ! Le verre à mon ami, s’il vous plaît et je veux la même chose ! » Fis-je haut et fort afin que les gens sachent ce que je veux. Je retourne vers mon ami en question ; « Arrêtez de nettoyer, l’odeur de l’alcool va rester jusqu’à temps qu’ils nettoient avec du produit nettoyant. » Je me mets à rire en allant tapoter le bras. Qu’il relaxe. On est là pour avoir du plaisir !
Ainsi, j’arrive légèrement en retard. Certains se moquent de moi parce que j’étais trop absorbée dans mon art. Je ne reproche rien, c’est la vérité. Je ris avec eux. Ça ne me blesse aucunement, je vis pour l’art. Je transpire l’art, je mange l’art et je pourrais chier de l’art si je pousse le bouchon un peu trop loin. Donc, les gens savent que l’art pour moi, c’est toute ma vie ? Certainement. Après tout, ça m’a sauvé la vie lorsque j’avais besoin d’aide.
Ceci dit, dès que j’arrive, je me cale quelques verres avec les jeux de boissons avant de me lever et d’aller aux toilettes. Après consommer plusieurs verres de liquide, il faut qu’on expulse ce liquide un jour ou l’autre non ? Puis quand ce fut terminé ? J’essaie évidemment de retourner voir mes collègues de travail. Je ne suis pas ivre et je ne suis pas totalement sobre non plus. Je suis entre les deux. Normalement sobre, je n’ai absolument pas de filtre, donc je n’imagine pas lorsque je ne le suis pas. Bref, en sortant des toilettes, je vois une pauvre âme en détresse dans sa maladresse. Le barman ne semble pas très ravi de ses bêtises, mais peu importe, j’ai une âme charitable. Je vais à sa rencontre en aidant le plus possible. « Arrêtez de faire des gros yeux, trésor, vous allez faire fuir votre clientèle. » Fis-je à l’employé avant de continuer mon aide. « Hey oh ! Respire, cela arrive des accidents, le nombre de fois que je fais des dégâts quand je gesticule trop. » Ça, c’est vrai. Le nombre de verres que j’ai renversé du revers de la main, etc. Il faut prendre en riant. Être maladroit, c’est drôle par moment. « Barman ! Le verre à mon ami, s’il vous plaît et je veux la même chose ! » Fis-je haut et fort afin que les gens sachent ce que je veux. Je retourne vers mon ami en question ; « Arrêtez de nettoyer, l’odeur de l’alcool va rester jusqu’à temps qu’ils nettoient avec du produit nettoyant. » Je me mets à rire en allant tapoter le bras. Qu’il relaxe. On est là pour avoir du plaisir !
Sung Jin Woo
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Re: Conversation Embrumée | Sam 4 Nov - 22:28 Citer EditerSupprimer
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Sans rire, tu te demandes pourquoi tu es seulement là alors que ta maladresse te ratrappe. Tu es vraiment une catastrophe ambulante, et vus le regard noir que te lance le barman, il a l’air de partagé ton avis. Bon et bien faire profil bas c’est raté. Sauf que pendant que tu essayes de réparer tes bêtises, quelqu’un semble venir à ta rescousse. Bah à première vue, on ne peut pas dire que ta collègue soit en pleine possession de ses moyens, mais après tout, c’est un peu le thème de la soirée. Tu te rassoies sur ta chaise , soupirant bruyamment, tu es clairement gêné par la situation. ”Si seulement ça n'était que ce soir ça irait, je suppose que c’est une question d’habitude. Mon assistante est plus surprise quand je ne casse rien que lorsque j'échappe quelque chose.”
A ta grande surprise le barman s'exécute, alors là, c’est un de ces moments où tu ne comprends plus tout ce qui se passe mais tu prend. Surtout une fois qu’il nettoie le bar et te redonne un verre. Non en fait tu es beaucoup trop gentil, tout le temps, cette mauvaise habitude de ne pas vouloir faire de vague. ”L’habitude de nettoyer mes bêtises à la fac je suppose, mais merci du coup de main.” Bon au moins on ne pourra pas dire que les professeurs de la Yonsei ne sont pas un minimum solidaires. Bon après c’est dans un bar, mais ça compte quand même.
Tu attrape ton verre et le temps vers la jeune femme en face de toi pour trinquer. Après tout, vous êtes là pour ça non? ” Je suppose que je dois vous remercier pour l’aide, c’est ma tournée du coup.” Bon il faut aussi dire que tout ça te rapelle un peu tes année a la fac. Tu as clairement l’impression d’être dans une soirée étudiante avec tout ses jeu a boire et autre choses que tu ne veux pas décrire ou voir. Bon ok, tes étudiant diplomés, mais techniquement ça compte un peu non? Tu repose ton attention sur ta collègue, qui est clairement beaucoup plus à l’aise avec toute cette situation. Enfin ça, ce n’est pas difficile il faut être honnête. ”Mais tu n’étais pas là au début de la soirée non? Enfin, je suis forcément très a l’aise dans toute ses… réunion de travail, alors j’ai surement rater la moitié des personnes qui sont ici.”
A ta grande surprise le barman s'exécute, alors là, c’est un de ces moments où tu ne comprends plus tout ce qui se passe mais tu prend. Surtout une fois qu’il nettoie le bar et te redonne un verre. Non en fait tu es beaucoup trop gentil, tout le temps, cette mauvaise habitude de ne pas vouloir faire de vague. ”L’habitude de nettoyer mes bêtises à la fac je suppose, mais merci du coup de main.” Bon au moins on ne pourra pas dire que les professeurs de la Yonsei ne sont pas un minimum solidaires. Bon après c’est dans un bar, mais ça compte quand même.
Tu attrape ton verre et le temps vers la jeune femme en face de toi pour trinquer. Après tout, vous êtes là pour ça non? ” Je suppose que je dois vous remercier pour l’aide, c’est ma tournée du coup.” Bon il faut aussi dire que tout ça te rapelle un peu tes année a la fac. Tu as clairement l’impression d’être dans une soirée étudiante avec tout ses jeu a boire et autre choses que tu ne veux pas décrire ou voir. Bon ok, tes étudiant diplomés, mais techniquement ça compte un peu non? Tu repose ton attention sur ta collègue, qui est clairement beaucoup plus à l’aise avec toute cette situation. Enfin ça, ce n’est pas difficile il faut être honnête. ”Mais tu n’étais pas là au début de la soirée non? Enfin, je suis forcément très a l’aise dans toute ses… réunion de travail, alors j’ai surement rater la moitié des personnes qui sont ici.”
Re: Conversation Embrumée | Mer 3 Jan - 2:39 Citer EditerSupprimer
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feat. @Sung Jin woo
Être maladroit ou pas, je m’en moque. Je n’ai aucune gêne et je n’ai pas peur des regards des autres. C'est ma vie. En fait, il faut aller voir mon parcours de vie pour que je sois si détachée de la réalité. Je suis dans mon monde, je croque dans la vie, je fais ce que je veux quand je veux. Tout d’abord, quand ma mère s’est mariée avec son mec – et ses deux démons d’enfants - ma vie a changé drastiquement. Dès la majorité, j’ai été expulsée et été à la rue. Par la suite, j’ai erré, on m’a aidé, mais ça, ce sont des détails ! Vivre dans la rue m’a permis d’être qui je suis aujourd’hui. De m’affirmer et de m’en ficher de l’entourage. Maladresse ou pas, ça n’a aucune importance pour moi. Un accident comme un verre renversé, cela arrive au moins une fois dans les heures de travail à ce barman. Un de plus ou de moins, il est payé pour nettoyer et refaire les verres ! Pourquoi, c'est si dramatique ? Il n’a pas son mot à dire. Ceci dit, pour mon collègue, ci-présent, il devrait relaxer et s’amuser au lieu de culpabiliser. « Et alors ? Si la maladresse fait partie de votre quotidien, ça donne un certain charme. » Tentais-je de lui rassurer. Une personne maladroite, je trouve ça génial ! C’est drôle, ça pimente la vie, mais c’est mon point de vue.
Voilà, Monsieur, le Barman, s’exécute. Il nettoie, refait la commande et il fait sa vie d’un bon travailleur. Si jamais on me cherchait des noises, ça ne me dérangerait pas. Je peux clairement dire ses quatre vérités avant de rire et de continuer de boire. En faisant ça, je risquais de me faire sortir de l’établissement, mais bon. Ce n’est pas arrivé, n’est-ce pas ? « Ça me fait plaisir de sauver un damoiseau en détresse. » Chevaleresque que je suis, je sauve quiconque qui semble en détresse ! Si seulement. Normalement, je suis là en train de manger du pop-corn et regarder la scène avec amusement. Dans ce cas-ci, je voulais un verre et c’était l’occasion idéal pour demander une boisson. J’ai uniquement saisi l’opportunité, mais je ne vais pas lui dire ça. Le pauvre, il semblait si désespéré et démuni. Un vrai petit lapin terrorisé.
Ainsi, mon verre à la main, je trinque avec mon collègue. Le claquement de verre et sa phrase qui n’a pas tombé dans l’oreille d’une sourde, je souris bêtement. Ce verre est gratuit, je vais le savourer. Cette boisson va être délicieuse et chaque bulle, flagrance, saveur et j’en passe vont être un délice. La gratuité est géniale ! « À l’entraide ! » Une gorgée s’impose. Hmmm. Si bon. Enfin, revenons à la question de mon retard dont je me mets subitement à rire. Il a raté la moitié des personnes, dit-il. Nous sommes officiellement deux. Je suis celle qui a manqué la personne dont j’ai un crush, mais bon. On est ici pour être décontracté, fêté et plus encore. Les jeux de boisson s’imposent, d’ailleurs, dois-je commander du soju et lui offrir des verres vu qu’il est mon ainé ? Je vais lui demander après notre verre. Autant rester ensemble sinon il va se faire manger tout cru. « Non, je n’étais pas là. J’étais fascinée par ma toile que je n’ai pas vue le temps passé. Ce n’est pas grave, maintenant, on peut fêter ensemble, n’est-ce pas ? » Fis-je en lui tapotant l’épaule. Est-ce que je commence à ne plus être sobre ? Non, je suis encore saine d’esprit. Je suis naturellement comme ça. « Alors Sunbaenim... Puis-je vous appeler autrement ? Je trouve que ça vous vieillit beaucoup et je n’aime pas vieillir les gens. » Je voulais lui poser une question, mais j’ai changé brusquement de sujet. « En fait, je voulais vous dire, vous étiez si maladroit à la fac ? Racontez-moi vos exploits ! »
Voilà, Monsieur, le Barman, s’exécute. Il nettoie, refait la commande et il fait sa vie d’un bon travailleur. Si jamais on me cherchait des noises, ça ne me dérangerait pas. Je peux clairement dire ses quatre vérités avant de rire et de continuer de boire. En faisant ça, je risquais de me faire sortir de l’établissement, mais bon. Ce n’est pas arrivé, n’est-ce pas ? « Ça me fait plaisir de sauver un damoiseau en détresse. » Chevaleresque que je suis, je sauve quiconque qui semble en détresse ! Si seulement. Normalement, je suis là en train de manger du pop-corn et regarder la scène avec amusement. Dans ce cas-ci, je voulais un verre et c’était l’occasion idéal pour demander une boisson. J’ai uniquement saisi l’opportunité, mais je ne vais pas lui dire ça. Le pauvre, il semblait si désespéré et démuni. Un vrai petit lapin terrorisé.
Ainsi, mon verre à la main, je trinque avec mon collègue. Le claquement de verre et sa phrase qui n’a pas tombé dans l’oreille d’une sourde, je souris bêtement. Ce verre est gratuit, je vais le savourer. Cette boisson va être délicieuse et chaque bulle, flagrance, saveur et j’en passe vont être un délice. La gratuité est géniale ! « À l’entraide ! » Une gorgée s’impose. Hmmm. Si bon. Enfin, revenons à la question de mon retard dont je me mets subitement à rire. Il a raté la moitié des personnes, dit-il. Nous sommes officiellement deux. Je suis celle qui a manqué la personne dont j’ai un crush, mais bon. On est ici pour être décontracté, fêté et plus encore. Les jeux de boisson s’imposent, d’ailleurs, dois-je commander du soju et lui offrir des verres vu qu’il est mon ainé ? Je vais lui demander après notre verre. Autant rester ensemble sinon il va se faire manger tout cru. « Non, je n’étais pas là. J’étais fascinée par ma toile que je n’ai pas vue le temps passé. Ce n’est pas grave, maintenant, on peut fêter ensemble, n’est-ce pas ? » Fis-je en lui tapotant l’épaule. Est-ce que je commence à ne plus être sobre ? Non, je suis encore saine d’esprit. Je suis naturellement comme ça. « Alors Sunbaenim... Puis-je vous appeler autrement ? Je trouve que ça vous vieillit beaucoup et je n’aime pas vieillir les gens. » Je voulais lui poser une question, mais j’ai changé brusquement de sujet. « En fait, je voulais vous dire, vous étiez si maladroit à la fac ? Racontez-moi vos exploits ! »
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
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Crédits : Jae
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Âge : 39
Re: Conversation Embrumée | Mer 10 Jan - 17:24 Citer EditerSupprimer
Conversation embrumée
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Tu ne peux pas retenir un rire alors qu’elle te traite de damoiseau en détresse. Clairement on ne te l’avait jamais sortie celle-là, tu as pourtant bien du mal à te dire que c’est faux. Il faut croire que tu donnais un spectacle si pitoyable que même les professeurs que tu ne connais pas se sentent obligé de te venir en aide. Tu te prends le visage dans une main en soupirant, tu es décidément une cause perdue. Après les rumeurs sur ta doctorante, tu as hâte d’écouter celle sur la catastrophe ambulante que tu es. La situation ne va décidément pas s’arranger.
Bon, pour le coup, tu as clairement l’impression d’être tombé sur la déluré du groupe, clairement plus énergique que toi. Mon dieu dans quoi tu t’embarques encore sans le vouloir? Tu trinques avec elle, un peu débordée par autant… D’entrain. Tu t’étais dit que tu devais faire des efforts, sociabilité un peu, on dirait bien que tu vas être servi alors que tu n’en demandais pas tant. Tu l’observes rire, ne comprenant pas trop dans un premier temps, avant son explication. ”Un artiste hein? Tu es professeur d’art Plastique je suppose. C’est un peu cliché mais je comprends mieux le côté… Libéré que tu affiches.” Tu ne peux retenir un rire. Non, c’est certainement l’incarnation même des clichés sur les professeurs d’art plastique que tu as sous les yeux. Toi tu ne serais pas capable de la moitié de ce qu’elle vient de faire. Tu es bien trop habitué à maintenir les apparences quoi qu’il en coûte. Après tout, pourquoi pas, au moins ça risque de rendre cette soirée un peu plus… Inattendu. ”On est là pour ça non? S’amuser un peu. Je suis curieux de voir comment tu comptes fêter ça comme tu dis.” Ok, tu sens que tu risques de regretter ça plus vite que tu ne l’as dit. Tu es pourtant honnêtement curieux, tu n’as jamais fréquenté de gens du domaine de l’art, à part dans les soirées guindées organisés par tes parents. Rien a voir avec un contexte plus privé comme celui-là. Il ne faut pas mourir idiot après tout non?
Alors qu’elle t’appelle par un titre de politesse, tu ne peux cacher le dégoût que cela t’inspire. Tu as l’impression d’avoir pris dix ans en deux secondes, c’est terrible. Tu grimaces, clairement mécontent de ses mots. ”Je t’en prie, ne m’appelle pas comme ça, j’ai l’impression d’être un vieux croulant sinon. On est collègue après tout, appelle-moi Jin Woo, ou Jin simplement. Comme tu veux, je m’en moque un peu. Juste, évite la politesse à outrance, j’ai l’impression d’être mon père sinon.” Tu rajouterais volontiers que tu as horreur de ça, mais ce n’est pas encore le moment des confidences d’alcooliques on verra ça dans quelques verres. Sauf qu’elle ramène le sujet de ta maladresse sur le tapis. Tu pousses un soupir, on dirait bien que tu ne vas pas te débarrasser de cela si facilement aujourd’hui. Tu lèves ton verre, reprenant une dose de whisky, avant de te replonger ton attention sur elle. ” Pour citer ma doctorante qui passe sa vie à me surveiller: les éprouvettes aurait moins peur si je ne touchais plus a rien.” Tu ne pensais pas cité Rhea ce soir, comme quoi. Tu ris tout seul en l’imaginant en train de recompter tous dans le labo pour vérifier que tu n’as rien cassé. ” Je crois que le budget casse de mon labo a dû doubler ou tripler depuis que je suis arrivé. A chaque fois que j’ai quelque chose de fragile dans les mains c’est un peu comme jouer a la roulette russe, en moins dangereux. Enfin… Sauf pour les objets fragiles… Et les gens autour… Parfois. Mon surnom là-bas c’est docteure catastrophe? Alors que c’est moi le patron…” Oui, c’est un peu humiliant, il faut le dire.
Bon, pour le coup, tu as clairement l’impression d’être tombé sur la déluré du groupe, clairement plus énergique que toi. Mon dieu dans quoi tu t’embarques encore sans le vouloir? Tu trinques avec elle, un peu débordée par autant… D’entrain. Tu t’étais dit que tu devais faire des efforts, sociabilité un peu, on dirait bien que tu vas être servi alors que tu n’en demandais pas tant. Tu l’observes rire, ne comprenant pas trop dans un premier temps, avant son explication. ”Un artiste hein? Tu es professeur d’art Plastique je suppose. C’est un peu cliché mais je comprends mieux le côté… Libéré que tu affiches.” Tu ne peux retenir un rire. Non, c’est certainement l’incarnation même des clichés sur les professeurs d’art plastique que tu as sous les yeux. Toi tu ne serais pas capable de la moitié de ce qu’elle vient de faire. Tu es bien trop habitué à maintenir les apparences quoi qu’il en coûte. Après tout, pourquoi pas, au moins ça risque de rendre cette soirée un peu plus… Inattendu. ”On est là pour ça non? S’amuser un peu. Je suis curieux de voir comment tu comptes fêter ça comme tu dis.” Ok, tu sens que tu risques de regretter ça plus vite que tu ne l’as dit. Tu es pourtant honnêtement curieux, tu n’as jamais fréquenté de gens du domaine de l’art, à part dans les soirées guindées organisés par tes parents. Rien a voir avec un contexte plus privé comme celui-là. Il ne faut pas mourir idiot après tout non?
Alors qu’elle t’appelle par un titre de politesse, tu ne peux cacher le dégoût que cela t’inspire. Tu as l’impression d’avoir pris dix ans en deux secondes, c’est terrible. Tu grimaces, clairement mécontent de ses mots. ”Je t’en prie, ne m’appelle pas comme ça, j’ai l’impression d’être un vieux croulant sinon. On est collègue après tout, appelle-moi Jin Woo, ou Jin simplement. Comme tu veux, je m’en moque un peu. Juste, évite la politesse à outrance, j’ai l’impression d’être mon père sinon.” Tu rajouterais volontiers que tu as horreur de ça, mais ce n’est pas encore le moment des confidences d’alcooliques on verra ça dans quelques verres. Sauf qu’elle ramène le sujet de ta maladresse sur le tapis. Tu pousses un soupir, on dirait bien que tu ne vas pas te débarrasser de cela si facilement aujourd’hui. Tu lèves ton verre, reprenant une dose de whisky, avant de te replonger ton attention sur elle. ” Pour citer ma doctorante qui passe sa vie à me surveiller: les éprouvettes aurait moins peur si je ne touchais plus a rien.” Tu ne pensais pas cité Rhea ce soir, comme quoi. Tu ris tout seul en l’imaginant en train de recompter tous dans le labo pour vérifier que tu n’as rien cassé. ” Je crois que le budget casse de mon labo a dû doubler ou tripler depuis que je suis arrivé. A chaque fois que j’ai quelque chose de fragile dans les mains c’est un peu comme jouer a la roulette russe, en moins dangereux. Enfin… Sauf pour les objets fragiles… Et les gens autour… Parfois. Mon surnom là-bas c’est docteure catastrophe? Alors que c’est moi le patron…” Oui, c’est un peu humiliant, il faut le dire.
Re: Conversation Embrumée | Jeu 8 Fév - 22:46 Citer EditerSupprimer
Conversation embrumée
feat. @Sung Jin woo
Avoir peur des regards que les gens portent sur moi. Se méfier des jugements d’autrui et plus encore à chaque faux pas. Avoir cette impression de marcher sur des œufs, je l’ai déjà ressenti autrefois. Il faut aller jusqu’à la fin de mon adolescence où je commençais tout juste à m’affirmer qui j’étais. Certes, peu de personnes ont apprécié, mais je me sentais bien d’être enfin moi. De porter ce que je veux et être ce que je veux. Bon, j’avais constamment des représailles de la part de ma mère et son nouveau mari. Des moqueries de la part de mon beau-frère et de ma belle-sœur. Cela a fait mal. Énormément mal lorsqu’ils ne souhaitaient pas m’accepter. M’expulsant, me retrouvant dans la rue. Je voulais retourner auprès de mon père et c’était le même épisode, ne désirant pas me voir sachant que je lui avais tourné le dos pour aller avec ma mère. J’ai su - à cet instant – que je touchais le fond. Rien ne pouvait m’humilier davantage et je n’avais plus rien à perdre. C’était là où je mourais de faim et de froid, qu’on se moque éperdument des regards. Oui, la saleté faisait partie du quotidien. Oui, trier les ordures était dégueulasse. Oui, on se faisait chasser régulièrement pour des raisons x. Oui, on dormait dans des endroits insalubres. Toutefois, quand on m’a pris en charge, j’ai gardé cette mentalité de me moquer du jugement d’autrui. On est comme nous sommes. Pourquoi avoir honte de ce que nous sommes par préjudices ?
Pour ma part, je ne cache rien du tout. Dès qu’on me demande, je raconte. Je suis un livre ouvert qui ne cache aucun secret hormis mon code de carte bancaire. Je suis comme je suis. Folle. Je ne le cache pas. Je suis la parfaite clichée d’une enseignante en art, excentrique, trop passionnée par l’art. Est-ce que ça me perturbe ? Pas du tout. Je serai toujours comme je suis et monsieur à mes côtés ne devrait pas avoir honte. Après tout, être maladroit possède de bons côtés. Il pourrait malencontreusement tomber et se retrouver le visage dans la poitrine d’une ravissante femme. Il pourrait serrer quelqu’un dans ses bras et oups, l’habit se déchire et il se retrouve avec une magnifique vue qui s’offre à lui. Il faut être positif. Pour ma part, je ne dirai pas non pour tomber dans les bras de mecs musclés et tâter leurs muscles. Bref, il pourra avoir une belle affiche écrite “destructeur” et se promener librement. « Il n’a pas uniquement les professeurs d’arts qui sont clichés, les profs de sports aussi. » Ceux qui sont sculptés et ne se gênent pas de regarder les fesses de leurs étudiants. Ce n’est pas le sujet de conversation, de toute façon, on pourrait en parler pendant des heures. On est là pour se changer les idées et s’amuser ! « Tu sais être curieux avec moi, c’est une mauvaise chose. Je peux largement te montrer mes seins si c’est ce que tu demandes avec un ou deux verres de trop. » Je hoche la tête en affirmant mes dires. Je n’ai peur de rien ni même de cette lueur que le barman a soudainement en m’entendant parler. Tutututu mon gars, on ne joue pas à ça avec moi. Va travailler. « On va uniquement boire et se changer les idées du travail, ne t’inquiète pas, ce n’est pas comme à la fac. » Là où les nuits d’amusement se résument à être du noir total. Mes jeunes années de folie.
Je me mets à rire face à son expression. Ce n’est pas mon genre d’appeler quelqu’un avec le titre. J’ai toujours tutoyé et rarement vouvoyé. Lorsque je mets à utiliser le vouvoiement, je commence à mélanger avec le tutoiement. Sauf quand il s’agit d’une personne âgée, je fais des efforts pour eux. « Pardon, pardon ! Je suis Ha rin. À moins que tu veuilles que je t’appelle Oppa ? Tu as l’air d’être l’Oppa de plusieurs jeunes femmes. » Lui dis-je tout avec un grand sourire avant de boire un peu mon verre. Quel délicieux liquide qui m’arrache l’intérieur du corps. Quant à ses anecdotes de maladresse, je me mets à réfléchir. Ses éprouvettes... Ah ! Les petits flacons - à peu près - dont les scientifiques se servent pour faire des mélanges bizarres avec des liquides tout aussi étranges et nocifs pour la santé ? Je l’écoute attentivement et je me mets à soudainement rire lorsqu’il sort ce surnom. Docteur catastrophe ! Bon sang ! Elle est bonne ! « Le surnom, j’adore ! » J’essuie la larme de rire qui roule sur ma joue avant de tenter de me calmer. « Je ne suis pas maladroite, mais je peux clairement te dire que mon budget est cassé aussi avec mes idées excentriques. D’ailleurs, j’ai fait appel à un modèle vivant pour un cours et il est arrivé en retard. Quand il est arrivé, j’ai jeté un vase avec des fleurs au bout de mes bras pour lui céder la place. » Ça, c’était con de ma part, mais j’étais trop excitée d’avoir un invité. « Sauf que tu sais, les choses qui cassent, ça reste du matériel ? Au moins, ce n’est pas toi qui te blesses, il faut voir le bon côté des choses, Doc ! » Nom de Zeus. Back to the futur. Ça y est. C’est ancré dans ma mémoire à tout jamais ! « Oh ! À moins que ce soit un moyen de t’approcher de ton assistante ? Tu es célibataire, n’est-ce pas ? »
Pour ma part, je ne cache rien du tout. Dès qu’on me demande, je raconte. Je suis un livre ouvert qui ne cache aucun secret hormis mon code de carte bancaire. Je suis comme je suis. Folle. Je ne le cache pas. Je suis la parfaite clichée d’une enseignante en art, excentrique, trop passionnée par l’art. Est-ce que ça me perturbe ? Pas du tout. Je serai toujours comme je suis et monsieur à mes côtés ne devrait pas avoir honte. Après tout, être maladroit possède de bons côtés. Il pourrait malencontreusement tomber et se retrouver le visage dans la poitrine d’une ravissante femme. Il pourrait serrer quelqu’un dans ses bras et oups, l’habit se déchire et il se retrouve avec une magnifique vue qui s’offre à lui. Il faut être positif. Pour ma part, je ne dirai pas non pour tomber dans les bras de mecs musclés et tâter leurs muscles. Bref, il pourra avoir une belle affiche écrite “destructeur” et se promener librement. « Il n’a pas uniquement les professeurs d’arts qui sont clichés, les profs de sports aussi. » Ceux qui sont sculptés et ne se gênent pas de regarder les fesses de leurs étudiants. Ce n’est pas le sujet de conversation, de toute façon, on pourrait en parler pendant des heures. On est là pour se changer les idées et s’amuser ! « Tu sais être curieux avec moi, c’est une mauvaise chose. Je peux largement te montrer mes seins si c’est ce que tu demandes avec un ou deux verres de trop. » Je hoche la tête en affirmant mes dires. Je n’ai peur de rien ni même de cette lueur que le barman a soudainement en m’entendant parler. Tutututu mon gars, on ne joue pas à ça avec moi. Va travailler. « On va uniquement boire et se changer les idées du travail, ne t’inquiète pas, ce n’est pas comme à la fac. » Là où les nuits d’amusement se résument à être du noir total. Mes jeunes années de folie.
Je me mets à rire face à son expression. Ce n’est pas mon genre d’appeler quelqu’un avec le titre. J’ai toujours tutoyé et rarement vouvoyé. Lorsque je mets à utiliser le vouvoiement, je commence à mélanger avec le tutoiement. Sauf quand il s’agit d’une personne âgée, je fais des efforts pour eux. « Pardon, pardon ! Je suis Ha rin. À moins que tu veuilles que je t’appelle Oppa ? Tu as l’air d’être l’Oppa de plusieurs jeunes femmes. » Lui dis-je tout avec un grand sourire avant de boire un peu mon verre. Quel délicieux liquide qui m’arrache l’intérieur du corps. Quant à ses anecdotes de maladresse, je me mets à réfléchir. Ses éprouvettes... Ah ! Les petits flacons - à peu près - dont les scientifiques se servent pour faire des mélanges bizarres avec des liquides tout aussi étranges et nocifs pour la santé ? Je l’écoute attentivement et je me mets à soudainement rire lorsqu’il sort ce surnom. Docteur catastrophe ! Bon sang ! Elle est bonne ! « Le surnom, j’adore ! » J’essuie la larme de rire qui roule sur ma joue avant de tenter de me calmer. « Je ne suis pas maladroite, mais je peux clairement te dire que mon budget est cassé aussi avec mes idées excentriques. D’ailleurs, j’ai fait appel à un modèle vivant pour un cours et il est arrivé en retard. Quand il est arrivé, j’ai jeté un vase avec des fleurs au bout de mes bras pour lui céder la place. » Ça, c’était con de ma part, mais j’étais trop excitée d’avoir un invité. « Sauf que tu sais, les choses qui cassent, ça reste du matériel ? Au moins, ce n’est pas toi qui te blesses, il faut voir le bon côté des choses, Doc ! » Nom de Zeus. Back to the futur. Ça y est. C’est ancré dans ma mémoire à tout jamais ! « Oh ! À moins que ce soit un moyen de t’approcher de ton assistante ? Tu es célibataire, n’est-ce pas ? »
Sung Jin Woo
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Re: Conversation Embrumée | Lun 12 Fév - 11:57 Citer EditerSupprimer
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Elle te fait rire, effectivement tu n’avais pas pensé à tous les clichés sur les professeurs. Maintenant que tu y penses, oui effectivement les profs de sport ils en tiennent une couche aussi. Tu as soudain l’image d’un mec baraqué en survêtement un peu trop macho. Oui les clichés ont la vie dure, sans doute que tu es loin de la réalité, mais même quand tu étais aux Etats-Unis c’était un peu comme ça aussi. Enfin maintenant que tu y penses, tu es un peu dans les clichés du professeur de chimie. Le gaffeur de service qui se trompe dans ses mélanges et qui casse tout dans une explosion colorée. Tu ris tout seul a cette vision. ”Remarque je suis un peu dans le même cas, sauf que je n’ai pas encore les lunettes et les cheveux gris. Mais ça risque de venir tout seul remarque.” Tu ris à nouveau à cette idée, tu ne crains pas vieillir mais tu n’es pas pressé non plus. Après tout tu as encore beaucoup de choses à faire et à découvrir, tu n’es pas un grand fêtard mais tu veux profiter au mieux de ton temps quand même. Tu portes ton verre à tes lèvres, voulant profiter de ton verre. Tu n’en auras pas l’occasion, alors que tu t’étrangles littéralement quand elle ouvre la bouche. Non mais sérieusement tu es tombé sur un sacré numéro pour sortir des énormités pareil en toute sérénité. Tu la regardes les yeux écarquillés, clairement pas habitué à se genre de personne aussi libre et déluré. ”Je… Nan je suis pas comme ça… Enfin pas que…” Clairement elle t’a coupé le sifflet sur ce coup, tu ne trouves même plus les mots. Tu finis par te reprendre soufflant un coup avant de siphonner ton verre pour reprendre un peu contenance ”Même complètement intoxiqué je te demanderais pas ça dans un bar. Enfin je ne pense pas.” Non non, tu es trop réservé et respectueux pour ça. TU as trop de décences aussi, enfin tu espères.
Bon, tu t’étais dit que tu te serais débarrasser de la politesse, mais Ha Rin a décidément décidé de jouer un peu trop avec toi. Alors qu’on t’amène un nouveau verre, elle te relance encore une énormité. Que…. QUOI? Non mais qu’est-ce qu’elle raconte où sous-entend là? N’importe quoi. Est-ce que c’est ça qu’on raconte sur toi en plus des rumeurs sur Rhea? Tu as soudain un coup de chaud alors que ton cerveau turbine pour tenter de comprendre ce qui ce passe. ”Nan mais ça ne va pas? N’importe quoi? Je ne sais pas ce que tu veux sous-entendre par là mais pas du tout!” Tu ne sais pas vraiment si tu dois être vexer où flatter qu’elle pense cela de toi. Elle est vraiment un numéro à part, complètement à l’opposé de toi. On dirait bien que ton surnom l’amuse beaucoup, ça ne te vexe pas vraiment, tu as l’habitude. Tu relèves les épaules, au moins ça amuse les gens. Tu n’as pourtant pas l’impression d’être autant une douleur que ça. Tu ris à ton tour à son anecdote. ”Tu étais un peu trop pressé d’avoir un modèle de nue en séance privée c’est ça. Privilège de prof d’art je suppose.” Tu ris doucement, un sourire en coin aux lèvres, il n’y a pas qu’elle qui peut jouer à ce petit jeu. Toi aussi tu peux bien lui envoyer quelques petites remarques non? C’était sans compter sur Ha Rin, qui sans le savoir à taper juste à l’endroit qui fait mal. Tes yeux s’écarquillent encore quand elle cite Rhea sans le savoir. Décidément, chasser les problèmes, ils reviennent aux galops. ”Absolument pas, mais j’ai assez de problème avec les DRH qui me convoquent parce que les étudiants s’obtiennent aussi a croire que je couche avec elle. Je comprends toujours pas pourquoi d’ailleurs. Elle est certes agréable a regarder, mais elle un caractère… Spécial diront nous. Comment ça n’est-ce pas? J’ai une tête de saint où quoi?”
Bon, tu t’étais dit que tu te serais débarrasser de la politesse, mais Ha Rin a décidément décidé de jouer un peu trop avec toi. Alors qu’on t’amène un nouveau verre, elle te relance encore une énormité. Que…. QUOI? Non mais qu’est-ce qu’elle raconte où sous-entend là? N’importe quoi. Est-ce que c’est ça qu’on raconte sur toi en plus des rumeurs sur Rhea? Tu as soudain un coup de chaud alors que ton cerveau turbine pour tenter de comprendre ce qui ce passe. ”Nan mais ça ne va pas? N’importe quoi? Je ne sais pas ce que tu veux sous-entendre par là mais pas du tout!” Tu ne sais pas vraiment si tu dois être vexer où flatter qu’elle pense cela de toi. Elle est vraiment un numéro à part, complètement à l’opposé de toi. On dirait bien que ton surnom l’amuse beaucoup, ça ne te vexe pas vraiment, tu as l’habitude. Tu relèves les épaules, au moins ça amuse les gens. Tu n’as pourtant pas l’impression d’être autant une douleur que ça. Tu ris à ton tour à son anecdote. ”Tu étais un peu trop pressé d’avoir un modèle de nue en séance privée c’est ça. Privilège de prof d’art je suppose.” Tu ris doucement, un sourire en coin aux lèvres, il n’y a pas qu’elle qui peut jouer à ce petit jeu. Toi aussi tu peux bien lui envoyer quelques petites remarques non? C’était sans compter sur Ha Rin, qui sans le savoir à taper juste à l’endroit qui fait mal. Tes yeux s’écarquillent encore quand elle cite Rhea sans le savoir. Décidément, chasser les problèmes, ils reviennent aux galops. ”Absolument pas, mais j’ai assez de problème avec les DRH qui me convoquent parce que les étudiants s’obtiennent aussi a croire que je couche avec elle. Je comprends toujours pas pourquoi d’ailleurs. Elle est certes agréable a regarder, mais elle un caractère… Spécial diront nous. Comment ça n’est-ce pas? J’ai une tête de saint où quoi?”
Re: Conversation Embrumée | Lun 18 Mar - 14:02 Citer EditerSupprimer
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Les clichés. J’en fais clairement partie, mais je m’en fiche éperdument. J’aime ce que je fais et c’est ce qui compte. Je suis celle qui apprend l’art aux étudiants et détient un autre nom comme artiste lors des expositions. Je sais, je suis folle. Je suis excentrique et expressive. Ça ne me dérange pas qu’on puisse me regarder bizarrement et drôlement. C’est divertissant de les voir ainsi me juger, mais leur jugement ne m’atteint pas du tout. Les rumeurs qui circulent aussi sur mon sujet. Est-ce qu’il a des rumeurs en ce qu’ils me concernent ? Je me le demande. En tout cas, je n'échappe pas aux clichés comme n’importe qui d’autre. Nous sommes ce que nous sommes. Comme les professeurs de sport, tout comme les profs de chimie. Personne n’échappe. Encore, pas uniquement les profs, mais aussi dans d’autres professions aussi tout comme le PDG stoïque qui couche avec sa secrétaire par exemple. Cela dit, j’observe un moment mon nouvel ami et je réfléchis à ce qu’il mentionne avant de rigoler. « Ne deviens pas un scientifique fou. Les cheveux en bataille et les lunettes aux verres trop épaisses ne te feront pas. » Cette vision m’amuse beaucoup, mais elle va gâcher le joli minois de ce monsieur. Très bel homme et mignon côté personnalité.
Un verre de trop, nous changeons forcément de personnalité. Aucun filtre, du laisser aller. Je me demande comment il est lorsqu’il a atteint sa limite. Je pourrais le faire boire jusqu’à ce qu’il perde la tête, mais en même temps je ne veux pas que quelque chose lui arrive. Il semble trop innocent pour faire des folies. Autant le surveiller bien qu’il peut largement me poser des questions. Comment il réagit, ça m’amuse beaucoup. Le nudiste lui pose problème à ce que je vois. « Donc, ailleurs, tu pourrais me poser cette question ? » Je lui retourne la question avant de sourire et de m’approcher de lui : « Je ne te voyais pas aussi coquin. » Après tout, ça reste un homme et le cerveau fonctionne principalement entre les deux jambes. Bon, je ne vais pas mettre tous les hommes dans le même bateau.
Quant à ce Oppa, sa réaction est un délice. Je pouffe de rire. « Ce n’est rien de mal. Tu es très beau, d’où le pourquoi je présume que tu es populaire. » Je lui avais dit ça comme compliment, mais comment il réagit. On dirait un saint. Cette pureté dont plusieurs voudraient sans doute goûter pour le corrompre. Je pourrais être parmi ceux et celles qui pourraient le corrompre, mais non. J’ai un bibliothécaire à séduire. Lui, il ne fait pas partie des clichés et ça me plaît. « Si seulement mon modèle était nu. Malheureusement, il était en sous-vêtement. » Finis-je par lui dire en faisant une moue, mais pendant un bref instant. Je bois un peu mon verre avant d’imaginer ce modèle. Je le connais en privé et oui, si je l’avais dessiné en privé, ça serait nu. C’est un gladiateur contrairement à mon Apollon qui est dans sa bibliothèque.
Toutefois, les taquineries vont dans les deux sens. Je sais, mais ça ne m’empêche pas de retourner à la charge avec son assistante. « Donc, elle te plaît ? » Je n’imagine pas les problèmes que je puisse avoir avec la direction si elle apprend mes aventures avec le prof de sport et mon Apollon à la bibliothèque. Sur cette pensée, je frissonne à l’idée d’avoir des problèmes. Ce n’est pas drôle quand cela arrive. « Tu sais Doc, pour moi, tu es pur. Les étudiants peuvent dire ce qu’ils veulent. À moins que tu me dises que tu as eu des aventures avec elle… » Je lui jette un regard curieux avant de siroter mon verre et de déposer. « Ou c’est elle qui te fait des charmes ? Toi, gentleman que tu es, tu es gentil, mais on présume que tu la dragues à ton tour ? Aaaah les étudiants curieux. Ils aiment imaginer des trucs. » Je soupire de découragement. Je n’ai pas eu ce problème, parce que je suis folle tout simplement. Hélas, lorsqu’on est un agneau, les loups s’amusent.
Un verre de trop, nous changeons forcément de personnalité. Aucun filtre, du laisser aller. Je me demande comment il est lorsqu’il a atteint sa limite. Je pourrais le faire boire jusqu’à ce qu’il perde la tête, mais en même temps je ne veux pas que quelque chose lui arrive. Il semble trop innocent pour faire des folies. Autant le surveiller bien qu’il peut largement me poser des questions. Comment il réagit, ça m’amuse beaucoup. Le nudiste lui pose problème à ce que je vois. « Donc, ailleurs, tu pourrais me poser cette question ? » Je lui retourne la question avant de sourire et de m’approcher de lui : « Je ne te voyais pas aussi coquin. » Après tout, ça reste un homme et le cerveau fonctionne principalement entre les deux jambes. Bon, je ne vais pas mettre tous les hommes dans le même bateau.
Quant à ce Oppa, sa réaction est un délice. Je pouffe de rire. « Ce n’est rien de mal. Tu es très beau, d’où le pourquoi je présume que tu es populaire. » Je lui avais dit ça comme compliment, mais comment il réagit. On dirait un saint. Cette pureté dont plusieurs voudraient sans doute goûter pour le corrompre. Je pourrais être parmi ceux et celles qui pourraient le corrompre, mais non. J’ai un bibliothécaire à séduire. Lui, il ne fait pas partie des clichés et ça me plaît. « Si seulement mon modèle était nu. Malheureusement, il était en sous-vêtement. » Finis-je par lui dire en faisant une moue, mais pendant un bref instant. Je bois un peu mon verre avant d’imaginer ce modèle. Je le connais en privé et oui, si je l’avais dessiné en privé, ça serait nu. C’est un gladiateur contrairement à mon Apollon qui est dans sa bibliothèque.
Toutefois, les taquineries vont dans les deux sens. Je sais, mais ça ne m’empêche pas de retourner à la charge avec son assistante. « Donc, elle te plaît ? » Je n’imagine pas les problèmes que je puisse avoir avec la direction si elle apprend mes aventures avec le prof de sport et mon Apollon à la bibliothèque. Sur cette pensée, je frissonne à l’idée d’avoir des problèmes. Ce n’est pas drôle quand cela arrive. « Tu sais Doc, pour moi, tu es pur. Les étudiants peuvent dire ce qu’ils veulent. À moins que tu me dises que tu as eu des aventures avec elle… » Je lui jette un regard curieux avant de siroter mon verre et de déposer. « Ou c’est elle qui te fait des charmes ? Toi, gentleman que tu es, tu es gentil, mais on présume que tu la dragues à ton tour ? Aaaah les étudiants curieux. Ils aiment imaginer des trucs. » Je soupire de découragement. Je n’ai pas eu ce problème, parce que je suis folle tout simplement. Hélas, lorsqu’on est un agneau, les loups s’amusent.
Sung Jin Woo
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Re: Conversation Embrumée | Mer 27 Mar - 22:03 Citer EditerSupprimer
Conversation embrumée
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”De… Que…. Je….” Alors celle-là, tu ne la clairement pas vus venir. Tu dois sûrement devenir rouge pivoine. Ce n’est clairement pas ce que tu voulais dire. Elle le sait, mais elle en joue beaucoup trop. Alors qu’elle se rapproche de toi, tu as inconsciemment un mouvement de recul. Ha Rin ressemble soudain bien trop à prédateur et toi à un morceau de viande pour ton propre bien. Tu déglutis difficilement, ton cerveau tournant au maximum de ses capacités pour te sortir de cette situation. Sauf que là, elle ta tellement surpris que rien ne veut sortir, et tu dois te contenter de la regarder avec des yeux de merlan frit. ”Non ce n’est pas enfin…” Jin Woo bon sang reprend toi espèce d’idiot, tu n’arranges encore pas ton cas maintenant. Tu finis par fermer les yeux, souffler un bon coup, avant de réussir a reprendre un semblant de contenance. ”Je ne suis pas vraiment du genre a demandé ce genre de… Choses… Sauf quand c’est un contexte un peu plus… Intime. Enfin tu vois ce que je veux dire… Et merde.” Tu abandonnes et tu te contentes de boire une gorgée de ta boisson. Sa t’aidera sûrement à gérer sa manie de jouer avec toi. Sauf qu’elle ne semble pas avoir encore terminer, alors qu’elle pouffe encore de rire. Tu la regardes en levant un sourcil dans vraiment croire à ce qu’elle raconte. Populaire ce n’est pas vraiment comme ça que tu te qualifierais. Loin de là même, tu es plutôt un rat de laboratoire, et tu ne crois pas avoir vus des signes d’un quelconque intérêt des étudiants pour ta personne. ”Je ne pense pas vraiment, enfin, c’est vrai que j’ai beaucoup plus d’étudiantes que d’étudiant maintenant que tu ne le dis…” Est-ce qu’elle est en train de dire que ces étudiants ne viennent dans ton cour seulement a cause de ton physique? Alors ça, ce serait un gros coup dans ton ego. Tu secoues la tête comme pour sortir cette idée de la tête. ”Non non, n’importe quoi.” Tu ne réagis même pas à sa moue en pensant à sous modèles encore trop habillé. Tu es beaucoup trop en trains d’analyser les étudiants de tes cours pour tenter de trouver des réponses aux nombreuses questions qu’elle a instiller dans ton esprit. Tu te prends presque la tête entre les mains alors que tu trouves de plus en plus de raisons de la croire. Tu es un escroc en faite?
Tu reprends ton verre qu’elle manque de te faire recracher dès qu’elle ouvre la bouche. Tu t’étouffes presque, peinant à reprendre contenance avant de la regarder sans vraiment quoi faire. ”Ton but c’est vraiment de me perturbé en fait? Je vais vraiment devoir me méfier de toi.” Tu soupirs en toussotant encore, non c’est juste une tentative de meurtre qu’elle a fait. C’est ça le terme juste en faite. Tu poses ton verre avant de te frotter les tempes. ”C’est pas ça c’est juste que c’est inapproprié et elle trouve toujours le moyen de me mettre sur les nerfs.” Tu soupirs à nouveau, non clairement ce n’est pas le moment pour pensée. ”C’est pas sympa de vouloir me retourner le cerveau comme ça.
Tu reprends ton verre qu’elle manque de te faire recracher dès qu’elle ouvre la bouche. Tu t’étouffes presque, peinant à reprendre contenance avant de la regarder sans vraiment quoi faire. ”Ton but c’est vraiment de me perturbé en fait? Je vais vraiment devoir me méfier de toi.” Tu soupirs en toussotant encore, non c’est juste une tentative de meurtre qu’elle a fait. C’est ça le terme juste en faite. Tu poses ton verre avant de te frotter les tempes. ”C’est pas ça c’est juste que c’est inapproprié et elle trouve toujours le moyen de me mettre sur les nerfs.” Tu soupirs à nouveau, non clairement ce n’est pas le moment pour pensée. ”C’est pas sympa de vouloir me retourner le cerveau comme ça.
Re: Conversation Embrumée | Mar 30 Avr - 2:19 Citer EditerSupprimer
Conversation embrumée
feat. @Sung Jin woo
J’aime beaucoup le voir aussi déstabilisé. Manquant de moyens, perdant totalement ses ressources. Devenir rouge pivoine et tenter de dire quoi que ce soit. Je contemple, je m’amuse. J’ai un énorme sourire sur mon visage, amusée par sa situation. Troublé. Un homme utilise fréquemment son deuxième cerveau et dans ce cas-ci, Jin woo ne fait pas exception. Même s’il semble un peu coincé, mais chaque homme a des besoins. Donc, je ne suis pas surprise qu’il ait un petit côté coquin. Ça semble le choquer. Ailleurs, il oserait de me poser une question intime ? Peut-être. Il est timide, ça serait difficile pour lui de mettre un mot après l’autre pour faire la demande. Me connaissant, je pourrais aller dans les toilettes avec lui pour lui montrer ce qui l’intéresse. Je ne suis pas pudique. Une poitrine reste une poitrine. Toutes les femmes possèdent une. J’ignore ce qui est exceptionnel dans cette histoire, mais bon. La tournure est amusante. Je sens que les prochaines soirées entre collègue, je vais le taquiner de la sorte à chaque fois. Ça rend le tout divertissant ! « Hmhmmm... » Fis-je avec un gros sourire et un clin d’œil. Coquin.
Peu importe, il tente de reprendre contenance en se tournant vers sa boisson. Ce n’est pas ça qui va m’arrêter dans mes questionnements sur son sujet. J’apprends à le connaître. Je l’apprécie bien. On taquine ceux qu’on aime, non ? Il fait partie de ceux que j’apprécie. Espérons que nous devenons amis au point que je pourrais squatter chez lui et quémander sa cuisine. Je ne dis pas que ma cuisine est dégueulasse, mais c’est un peu le cas. Je ne dis pas non pour manger autre chose que des repas préparés ou des ramens. Quant à ses élèves, je bois mon verre en le regardant attentivement. Oh ? Il n'est jamais rendu compte de ça ? Maintenant, que je lui ai mentionné, Jin woo semble le réaliser. « Il n’a pas de mal d’être le centre de l’attention, tu sais. » Être le centre des fantasmes des étudiantes autant que les étudiants. Se faire imaginer de rester après le cours et de tenter de le séduire. Une partie de séduction si intense que le prof pourrait prendre son élève sur un bureau. Je pourrais laisser mon imagination suivre son cours en imaginant qu’il lance de l’acide sur les vêtements de celle qui voudra culbuter, faisant ainsi dissoudre des vêtements. Malheureusement, je sais que ça n’arrivera pas. L’acide, qu’elle idée folle. C’est dangereux et je ne vois pas Doc faire des folies coquines dans sa salle de classe.
« Ce n’est pas mon but, mais puisque tu le dis ; j’aime bien ! » Je me mets à rigoler. Ses réactions sont un délice pour les yeux. Je m’amuse beaucoup. Encore plus lorsqu’on parle de son assistante. On dirait que je touche un point sensible. « Qu’est-ce qui est inapproprié ? Si elle te plaît, c’est bien non ? Si elle te met sur les nerfs et alors ? Je te perturbe beaucoup. » Je veux qu’on m’éclaire, qu’est-ce qui a de mal d’avoir des relations entre collègues ou être en couple ? J’ai bien fait des choses avec un de mes collègues et je fantasme – projette également d’avoir une relation amoureuse avec lui – avec le bibliothécaire. Il n’a rien de mal. À moins que ce soit écrit sur un contrat et je ne l’ai pas lu ? « Éclaire-moi ma lanterne, je veux comprendre. »
Peu importe, il tente de reprendre contenance en se tournant vers sa boisson. Ce n’est pas ça qui va m’arrêter dans mes questionnements sur son sujet. J’apprends à le connaître. Je l’apprécie bien. On taquine ceux qu’on aime, non ? Il fait partie de ceux que j’apprécie. Espérons que nous devenons amis au point que je pourrais squatter chez lui et quémander sa cuisine. Je ne dis pas que ma cuisine est dégueulasse, mais c’est un peu le cas. Je ne dis pas non pour manger autre chose que des repas préparés ou des ramens. Quant à ses élèves, je bois mon verre en le regardant attentivement. Oh ? Il n'est jamais rendu compte de ça ? Maintenant, que je lui ai mentionné, Jin woo semble le réaliser. « Il n’a pas de mal d’être le centre de l’attention, tu sais. » Être le centre des fantasmes des étudiantes autant que les étudiants. Se faire imaginer de rester après le cours et de tenter de le séduire. Une partie de séduction si intense que le prof pourrait prendre son élève sur un bureau. Je pourrais laisser mon imagination suivre son cours en imaginant qu’il lance de l’acide sur les vêtements de celle qui voudra culbuter, faisant ainsi dissoudre des vêtements. Malheureusement, je sais que ça n’arrivera pas. L’acide, qu’elle idée folle. C’est dangereux et je ne vois pas Doc faire des folies coquines dans sa salle de classe.
« Ce n’est pas mon but, mais puisque tu le dis ; j’aime bien ! » Je me mets à rigoler. Ses réactions sont un délice pour les yeux. Je m’amuse beaucoup. Encore plus lorsqu’on parle de son assistante. On dirait que je touche un point sensible. « Qu’est-ce qui est inapproprié ? Si elle te plaît, c’est bien non ? Si elle te met sur les nerfs et alors ? Je te perturbe beaucoup. » Je veux qu’on m’éclaire, qu’est-ce qui a de mal d’avoir des relations entre collègues ou être en couple ? J’ai bien fait des choses avec un de mes collègues et je fantasme – projette également d’avoir une relation amoureuse avec lui – avec le bibliothécaire. Il n’a rien de mal. À moins que ce soit écrit sur un contrat et je ne l’ai pas lu ? « Éclaire-moi ma lanterne, je veux comprendre. »
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