Pompe réclamée et finalement éjectée dans ses poumons. Tu retirais ta main de son dos, la posais sur tes genoux, tu étais soulagé de voir que sa respiration revenait normale. Tu étais arrivé à temps, tu avais bien fait de prendre sa pompe sur le passage. Bien plus important que ton uniforme qui était toujours entrain de beigner dans l'eau tiède et le détachant/blanchisseur. Tu t'excusais, et tu étais vraiment désolé, c'était insensible de ta part de le demander de telle manière. Mais il te disait de ne pas t'excuser, que tu avais le droit de demander. Tu laissais échapper un petit sourire qui étirait tes lèvres d'un coté. Derien. que tu lui répondais lorsqu'il te remerciait pour son inhalateur. Mais la question continuait toujours de te trotter dans la tête. Il n'y avait pas répondu, même après t'être excusé, il n'avait pas confirmé.

Ça te ronge de l'intérieur. Tu reste silencieux pendant un moment, regardais les marches plus bas. Tu te demandais comment l'aborder sans le faire paniquer. Peser tes mots. Ne pas être trop direct.  Tu sais... Je n'aurais pas dû sauter aux conclusions comme ça... que tu commençais à dire. Je ne t'en voudrais pas si ce n'est pas le cas. après-tout tu n'étais surement pas son crush. Et comme tu l'avais dis plus tôt, tu ne voulais pas lui poser confusion en sachant qu'il te plaisait. Mais le voir dans cet état serrait ton coeur, ça t'attristait. Et puis, sa description, c'est pas parce que tu as dis qu'il est beau que j'ai cru que c'était moi. tu riais, trouvais l'idée un peu ridicule que tu pourrais passer pour un narcissique. C'est vraiment le fait qu'il est plus jeune et un ami... tu tentais d'alléger l'atmosphère.

Tu réfléchis, tu essayes de voir si c’est le bon moment pour lui dire la vérité. Mais, au moins, tu sais que tu l’auras fait et que tu auras la vérité en face. Tu pourras tourner la page et essayer de te porter au gré du vent avec garçon ou fille dans ta vie. Quand tu commences à entendre ses paroles, comme s’il essayait de se rattraper dans une bêtise qu’il n’a pas réellement faite, tu sors ton visage de tes mains et tu le tournes vers lui. Tu te pinces les lèvres, lui-même n’a peut-être pas l’air de s’en sortir dans cette situation. « Elliot… Sérieusement… C’est rien… Je… » , tu essayes de trouver tes mots quand les mots sont tes ennemis. Mais, tu ne peux pas faire confiance non plus à tes gestes sans savoir s’ils vont être tout autant tes ennemis. Alors, tu le laisses parler, finir ce qu’il a à te dire avant que tu ne te dises que ce n’est qu’une seule fois dans la vie. Des cages d’escalier ne sont peut-être pas le meilleur endroit pour dire quelque chose comme ça, mais au moins tu l’auras fait.

« C’est toi. » , deux mots. Deux mots qui sont sortis d’un seul coup de ta bouche sans même que tu n’y réfléchisses quelques minutes de plus. Tes mains sont moites, tu peux le sentir. Mais, tu n’y prêtes clairement pas attention. Tu le regardes dans les yeux avant de te laisser complétement plongé dans tout le bazar dans ta tête. « J’ai paniqué parce que j’ai compris que tu avais compris que c’était toi… » , tu ris nerveusement pendant un instant avant de passer ta main dans tes cheveux pour essayer de te donner un peu plus de motivation pour continuer. « Je te trouve super beau, super sympa, très mature. Je jure que quand je te regarde parfois, même juste pour un truc random, je finis par juste admirer ta beauté parce que tu m’as clairement capté. Puis… bordel tes lèvres me donnent envie de les embrasser à chaque fois. Sauf que vu que je suis pas capable de mettre un mot sur ce qu’il se passe et que je pensais clairement que j’étais très loin d’être ton style, que tu pouvais peut-être m’aider à comprendre que c’était juste pas que je te trouve super mignon et très attirant… mais bien plus, comme moi qui découvre sa bisexualité parce qu’il craque pour son colocataire super mignon… », et un autre rire nerveux se fait entendre dans la cage d’escalier. Au moins tu as pu dire ce qu’il se passait dans ta tête, tu n’as plus qu’à attendre qu’il te dise que vous êtes juste des amis et tu accepteras sans aucun problème.

C'est toi, c'est bien ce qu'il te disait et te confirmait. Tu étais surpris, soulagé, confus, toutes ces réponses. Donc tu avais raison, tu l'avais vraiment vu venir? Tu lui plaisais? Tu étais le garçon dont il venait de te parler, de te décrire. Tu as ton estomac qui s'active, ces petits papillons qui sont sur l'adrénaline du romantisme. Tu l'écoutes parler, tu ne l'interromps pas. Tu es plutôt flatté, touché, il te plait beaucoup. Tous les mots qu'il utilise pour te décrire s'appliquent autant à lui, il est beau, une beauté qu'il ne semble pas réaliser et ses traits de caractère, comment lui trouver un défaut avec sa générosité, sa douceur, optimisme, énergie et enthousiasme dans la vie? Impossible.

C'est comme si tous les espoirs et attentes que tu avais refoulé depuis le jour 1 refaisaient surface. Tu le regardais replacer ses cheveux et ça te donnait le gout de les replacer toi-même, chose que tu ne faisais pas, tu te retenais tellement de faire un faux mouvement, surtout après qu'il ait déclarer son crush sur toi, tu ne voulais pas lui faire peur, c'est tellement nouveau pour lui. Mais le fait qu'il te dit clairement son attirance envers toi, ça ne pouvait t'aider dans ton cas, ton coeur était tellement attendris que tu avais l'impression de fondre intérieurement. Tu le sentais battre de plus en plus fort, tu avais un peu chaud même à y repenser. Ton regard se posais sur ses lèvres, elles semblaient bien plus pulpeuses qu'avant, attirantes, disponibles pour les tiennes. Tu lui avais dis qu'il était ton genre, mais pas qu'il te plaisait, mais il te plaisait vraiment. Tous les deux vous vous plaisiez, qu'est-ce que tu pouvais faire? Qu'est-ce que tu allais faire? Tu t'approchais lentement, y allais le tout pour le tout. Pourquoi ne pas le laisser t'embrasser? Pourquoi ne pas céder? Je peux? tu regardais ses lèvres, levais les yeux, tu étais si proche que tu sentais sa respiration sur tes lèvres, attendant cette permission.

Tu fermes presque les yeux quand tu commences à lui dire tout ça, surtout que tu t'attends à ce qu'il te stoppe et tu serais d'accord complètement si ça tournait vers ça. Mais, quand tu laisses échapper tout ça de tes lèvres, tu sens que tu te soulages de quelque chose que tu n'as jamais fait de toute ta vie. C'est tellement nouveau pour toi, tu ne sais pas quoi faire de plus, tu sens que les choses sont peut-être plus difficiles ou plus catastrophiques dans ta tête. En tout cas, tu termines par le regarder et observer son visage pour y voir quelque chose et t'attendre à une certaine réponse. Mais, ton cœur bat terriblement fort que tu es presque certain qu'il pourrait l'entendre s'il se concentre. Tu te perds encore sur sa beauté, tu finis encore par littéralement fondre devant lui, dans une cage d'escaliers. Tu ne ressens pas la même chose qu'avec Seona, clairement tu en es très loin. Alors, quand tu le vois qu'il se rapproche de toi au point où tu sens sa respiration non loin de tes lèvres, tout bouge dans ton corps.

Tu ne réponds même pas à sa demande, ta main se lève automatiquement pour la passer dans sa nuque avant de le rapprocher de toi pour déposer tes lèvres contre les siennes. Tes yeux se ferment automatiquement quand tu sens ses lèvres contre les tiennes. Après quelques secondes, tu t'éloignes de lui avant d'ouvrir les yeux et de le regarder pendant quelques secondes. Puis, tu ne réfléchis pas avant d'y retourner de nouveau, bougeant tes lèvres contre les siennes doucement, bien que tu n'as pas la plus grande expérience dans ce domaine. Tu sens les papillons dans ton ventre, tu sens cette différence entre les baisers que tu as eu avant et celui que tu es en train de vivre avec Elliot. Ce n'est pas la même sensation, ce n'est pas la même envie.

Tu l'observais, tentais d'étudier ses traits que tu n'avais jamais réellement remarqués. Il avait toujours été beau, mais c'est comme si après ce baiser, sa beauté venait de se multiplier. Tu avais jamais remarqué ce petit grain de beauté dans son cou, près de sa pomme d'Adam. Craquant, tout simplement. Tu t'approchais, lui demandais tendrement la permission de l'embrasser. Il le faisait. T'embrassais, un peu maladroit, mignon, gêner. Tu fermais les yeux, appuyais ta main dans sa nuque. Le baiser ne durait pas longtemps, il le rompait et tu respectais cette pause. Tu ne pouvais croire que tu étais entrain de l'embrasser dans cette cage d'escalier, qui l'aurait cru?

Tu attendais, ne faisait aucun mouvement brusques, était patient et prudent. Tu ne voulais pas lui faire peur, tu savais à quel point ce baiser était important, autant pour toi que pour lui. Tu respectais son rythme. Un rythme qu'il reprenait. Revenait à l'attaque, t'embrassais de plus belle. Un baiser que tu répondais. Puis il rompait une deuxième fois, tu te demandais bien pourquoi même? Le regrettait-il? Quelque peu confus tu remarquais la manière qu'il te regardait, tu avais l'impression d'être dévoré, les petits papillons s'éveillaient de plus belle. Retour du contact de vos pulpeuses, tu tentais de te rapprocher encore, y glissais même ta langue lorsqu'une ouverture se présentait.

Trop de choses en même temps, mais des choses que tu aimes particulièrement. Tu n’as jamais eu la moindre idée que tu serais là, dans une cage d’escalier, à embrasser un garçon après avoir passé le plus clair de ton temps à croire que ton cœur n’était qu’ouvert aux femmes. Ce garçon fait battre ton cœur contre ta cage thoracique et tu ne sais pas quoi faire à présent sauf répondre à la douceur de ses lèvres contre les tiennes. Tu te sais maladroit, gêné, par peur de ne pas faire les choses correctement. Et tu te reprends à deux reprises avant de le regarder avec tout ce que tu pouvais ressentir à présent. Elliot est magnifique, tu sais que tu pourrais passer maintenant des heures à juste le regarder… mais surtout maintenant à l’embrasser. Tu ne ressens pas la même chose qu’avec cette première tentative catastrophique, c’est beaucoup plus intense que la première fois. Ta main se pose sur sa cuisse quand il revient à la charge et ton instinct te dit de le rapprocher encore plus à toi bien que l’endroit soit le moins confortable possible. Au point où cette fameuse main termine par se glisser dans le creux de ses reins pour continuer à réduire la distance entre vous tandis que tu te laissais faire par ce nouveau baiser, que tu comprends rapidement moins timide et mignon que les autres.

Tu te sens trop bloqué dans cet endroit alors tu sais que tu recules de nouveau ton visage, que tu observes ses lèvres qui ont pris une autre teinte à la suite de ses échanges. Puis, tu ne réfléchis pas encore quand tu attrapes sa main pour l’emporter avec toi jusqu’à votre chambre pour être beaucoup plus tranquille, beaucoup plus à l’aise pour ce genre de choses. Votre troisième colocataire n’a pas l’air d’être présent, alors quand la porte se ferme derrière vous, tu n’attends pas pour rapprocher Elliot de toi, le collant à ton corps un peu trop à la hâte – ce manque d’expérience finira certainement par s’évaporer un jour – afin de l’embrasser à nouveau, gardant un bras autour de ses hanches. Tu as un peu moins peur d’oser les choses, surtout quand tu entrouvres tes lèvres pour le laisser revenir comme il l’avait fait dans la cage d’escalier. Après tout, il est le plus expérimenté de vous deux.

Un baiser qui en fournissait un autre, puis un autre. Ses baisers étaient tantôt prudents et maladroits, tantôt il prenait de plus en plus d'assurance. Ta langue parvenait même à se frayer un chemin dans sa bouche. Se glissait et dansait avec la sienne. C'était si chaux, si doux, et son odeur... Te faisais perdre la tête. Sa main qui se baladait de plus en plus sur ton corps te donnait cette chair de poule excitante. Ses mains étaient baladeuses et tu appréciais ça, posé sur tes reins, tu tentais tant bien que mal de te rapprocher. Tu déposais même ta main sur la rampe d'escalier pour te redonner un peu de balan.

Tu étais tellement dans le moment que tu oubliais cette fameuse cage d'escalier, et pendant quelques secondes qui paraissaient bien trop courtes, tu avais l'impression d'être sur un confortable nuage. Tes lèvres perdaient le contact et tu ouvrais lentement les yeux, regardais ses lèvres qui avaient pris cette magnifique teinte rosée, elles semblaient bien plus pulpeuses qu'avant. Il prenait ta main et se levait, sans un mot tu le suivais, vous retourniez à votre logement, vous dirigiez dans votre chambre partagée. Tu ne regardais même pas ton habit qui était toujours trempé dans le produit depuis bien trop longtemps, tant pis tu en achèteras un autre. Dès que la porte se refermait derrière vous, c'est comme si vous aviez reçu le signal de départ, tous les deux, sans dire un mot tu te collais sur lui, comme si tu étais aspiré par une force aimantée. Tu faisais pression, le guidais lentement vers ton lit, ne lâchant pas ses lèvres, tu te retrouvais par-dessus son corps.

Tu n'as pas forcément réfléchi à ce qui allait se passer ensuite. Est-ce qu'il allait vouloir continuer une fois dans la chambre ? Est-ce que tu allais avoir assez de courage de continuer en sachant que tu n'as jamais rien vécu de plus que de simples baisers… Bien que le dernier est clairement pas quelque chose que tu as vécu… Tu ne réfléchis pas Rhys quand tu prends sa main pour aller dans un endroit plus personnel, plus intime. Tu sais que votre colocataire ne sera pas là, il n'est pas souvent là ses derniers jours de toute manière. Puis cette force entre vous, peut-être que c'est ça depuis le départ après tout. Peut-être que tu avais besoin de te rendre compte que tu étais attiré par lui pour que la magie s'opère et que tu veuilles ce genre de choses avec lui. Alors, quand tu l'attires contre toi, ou qu'il se colle à toi, tu n'es pas capable de faire la différence, tu ne sais plus réfléchir correctement. Tu te poses un nombre incalculable de questions, tu te demandes si tu vas aller plus loin que tu ne le penses, si tu vas savoir quoi faire au temps voulu. Puis, tu te dis un simple « Fuck it. » et tu suis la cadence. Tu prends un peu plus confiance en toi, tu laisses tes hormones et ton corps réagir avec instinct à ce qu’Elliot t’offre à cet instant précis. Tu veux plus, tu le sais. Tu crèves de sentir beaucoup plus.

Tu sens la pression qu'il met, assez pour que ton corps recule, recule, et recule encore. Puis tu tombes sur son lit, tu le reconnais parce qu'il est bien plus proprement rangé que le tien. Il est au-dessus de toi et tu te redresses par réflexe sans même lâcher ses lèvres. Et ta main, l'une de tes mains autrefois timide dans tes mouvements, se glisse dans sa chevelure blonde pour qu'il ne lâche pas le baiser entre vous. Tu as chaud. Tu crèves de chaud. Tu ne sais même plus si tu respires correctement dans cette situation. Puis ton autre main se glisse à nouveau dans son dos, dans le creux de ses reins, pour l'inviter à s'asseoir sur tes hanches. Tu as presque la tête qui tourne Rhys, tu n'as jamais été aussi loin avec quelqu'un dans ta vie. Tu le sais, tu as chaud, tu sais que certaines choses sont en train de se réveiller, tu vas certainement être embarrassé quand il va le sentir en se mettant sur toi. Mais, peu importe, tu n'as jamais eu autant envie de quelqu'un de ta vie. Pas avant Elliot.

Vos corps étaient aimantés, vos lèvres scellées, il se retrouvait couché sur ton lit et toi tu étais par dessus, comme un félin, tu passais ta main sous son t-shirt, découvrais du bout de tes doigts les petits secrets qui s'y cachaient. T'avais chaud et pourtant il te donnait la chair de poule, tu le sentais de plus en plus curieux et ça te plaisait. Tu le laissais explorer, tu le laisseras explorer autant qu'il le voudra. Tu ne veux pas le forcer, tu ne veux pas le brusquer, malgré le fait que tu explores, tu l'écoute, tu tente de lire entre ses respirations, ses mouvements, comprendre si tout va bien, si tu ne fais rien qui pourrait le rendre mal à l'aise. C'était important.

Tu le sentais se relever et tu te redressais sans pour autant lâcher ses lèvres. Tu pouvais entendre sa respiration s'accélérer et inconsciemment, la tienne aussi s'accélérais si tu y faisais attention. Tu t'asseyais sur ses hanches et le sentais bien en dessous de ses pantalons. Ça lui méritais même un sourire contre ses lèvres. Tu n'étais pas gêné, même que tu trouvais cela flatteur. Ta main glissais dans ses cheveux, tu lui donnais un baiser rapide avant de tout simplement prendre le temps de l'admirer. Ses pommettes, ses lèvres et même ses oreilles avaient tous pris une teinte rosée. Tu glissais ton pouce le long du dos de son nez pour toucher ses lèvres, les effleurer.

Tu suis les mouvements qu'Elliot fait, tu ne sais pas quoi faire alors, tu le suis de manière aveugle quand il fait quelque chose. Et tu frissonnes quand tu sens ses mains sur ton corps, en dessous de ton haut, tu as certainement contracté tes muscles sur le coup. Tu n’as jamais vécu quelque chose d’aussi simple que ça alors que tu es le premier à vouloir te déshabiller quand tu as pris un coup dans le nez à cause de l’alcool. Mais là, ce n’est tellement pas le sujet. Surtout quand tu as Elliot au-dessus de toi, que tes mains sont sur son corps, que tes lèvres sont contre les siennes et que ton corps te demande de sentir le sien encore plus. C’est ça qu’on ressent quand on est attiré envers quelqu’un, qu’on veut ressentir plus avec cette personne ? Alors, quand il finit sur tes hanches, tu oses passer tes mains en dessous de son haut, mais pas trop non plus. Notamment sur le bas de son dos, le creux de ses reins que tu as l’air d’apprécier inconsciemment.

Tu es totalement hypnotisé par sa beauté sous tes yeux quand il s’éloigne de tes lèvres. Tu es clairement dans ce type de bulle où plus rien ne peut de déranger, cette bulle avec Elliot. Tu n’aurais jamais pensé vivre ce genre de choses, mais te voilà en train d’en profiter, de vivre quelque chose qui te fait ressentir des papillons dans le ventre, te fait accélérer ton cœur. Tu viens d’un seul coup appuyer contre le bas de son dos pour le rapprocher un peu plus de toi, mais ce simple mouvement te fait lâcher un gémissement qui te fait freeze d’un seul coup. Oh god. Tu as réellement une érection, là, maintenant, quand il est sur tes hanches ? Bon, d’un sens, c'est compréhensible parce qu’il est hot, et qu’il est sur tes hanches. Alors que tu es déjà assez rouge à cause de la chaleur que tu ressens, de vos échanges qui ne te laissent clairement pas indifférent, tu deviens encore plus rouge à cause de la timidité et de l’embarras de la situation. « D-d-désolé… » , tu ne sais pas quoi dire de plus en le regardant dans les yeux, alors que tu pries dans ta tête que ton corps se calme et que tu ne réagisses pas encore plus. Tu ne sais pas si tu es prêt à passer totalement à l’acte ce soir, tu n’es même pas sûr s’il veut à 100% être avec toi – bien que vous veniez clairement de vous embrasser à maintes reprises et qu’il est sur tes hanches. « Je crois que mon corps est juste d’accord avec moi pour dire que tu es totalement hot… »