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ahn jae mi + my spoon is too big
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ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 13:52 Citer EditerSupprimer
ahn jae mi
and if we should die tonight, then we should all die together
#PETIT CON | #HAINEUX | #IMPRUDENT | #INTRÉPIDE | #JOUEUR |
#AGRESSIF | #NERD | #CRÉATIF | #IMPULSIF | #VIOLENT |
NOM : ahn – nom random donné à l'orphelinat. PRÉNOM : jae mi – souvent retranscris en jamie. mais on le connaît sous le pseudonyme colorblind. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : dix-neuf ans, né le 21/12/95. ORIGINES : inconnues. NATIONALITÉ : coréenne. CLASSE SOCIALE : pauvre. ORIENTATION SEXUELLE : r.a.s, puceau et asexué. CURSUS UNIVERSITAIRE : première année (redoublant) en arts du spectacle. MÉTIER : guitariste dans un groupe de rock underground et agent d'entretien au kurss. Code du règlement : les fesses magiques.
TU VEUX T'INVESTIR? : #teamrapace
“ Rumour has it : il paraît qu'il est né dans une prison (vrai, no comment) + qu'il squatte toutes les conventions d'otakus du monde (faux, juste celles en corée, toujours en cosplay de grimmjow) + qu'il est orgueilleux (faux, il n'a aucun amour-propre, il est le premier à se trouver fade et raté) + qu'il a failli aller en taule (faux, il est resté 15 mois au centre pénitentiaire pour mineurs) + que c'est un vandal (vrai, il a beaucoup de choses à exprimer et son unique moyen est la destruction) + qu'il a déjà joué sa vie à la roulette russe (vrai, dommage qu'il se soit raté) + qu'il vit très mal son achromatopsie (vrai, ça le rend haineux envers lui-même et le monde entier) + qu'il se bagarre sans arrêt (vrai, il est beaucoup trop colérique pour se contenir, même contre une fille ou quelqu'un de plus fort ; jamie cognera, même s'il y laisse sa vie)
TU VEUX T'INVESTIR? : #teamrapace
“ Rumour has it : il paraît qu'il est né dans une prison (vrai, no comment) + qu'il squatte toutes les conventions d'otakus du monde (faux, juste celles en corée, toujours en cosplay de grimmjow) + qu'il est orgueilleux (faux, il n'a aucun amour-propre, il est le premier à se trouver fade et raté) + qu'il a failli aller en taule (faux, il est resté 15 mois au centre pénitentiaire pour mineurs) + que c'est un vandal (vrai, il a beaucoup de choses à exprimer et son unique moyen est la destruction) + qu'il a déjà joué sa vie à la roulette russe (vrai, dommage qu'il se soit raté) + qu'il vit très mal son achromatopsie (vrai, ça le rend haineux envers lui-même et le monde entier) + qu'il se bagarre sans arrêt (vrai, il est beaucoup trop colérique pour se contenir, même contre une fille ou quelqu'un de plus fort ; jamie cognera, même s'il y laisse sa vie)
“ Caractère :« I don't need to win. I just want to destroy everything. »
Le gouffre se creuse, les disparités se figent, l'enfant terrible étale l'amertume sur son lit de précarité. Jaemi se trouve différent des autres. Ça l'irrite et l'enlise dans ce gouffre dont les bords s'éloignent de plus en plus. Bientôt, il n'aura plus aucun repère pour s'accrocher. Plus aucune barrière pour le sauver. Seul au monde, depuis que sa génitrice l'a éjecté de son utérus. Elle a transmis tous ces dysfonctionnements, il en est sûr. La certitude l'obsède et l'aveugle. La certitude d'être un raté dès la naissance, en tentant de survivre dans cette semi-existence. Il n'a rien de bon, Jaemi. Pas envers sa personne. Parce qu'il abhorre son être. Mais il hait le monde encore plus. C'est difficile de contenir toute cette haine, de garder scellé ce besoin grandissant de destruction. La jeunesse coule dans ses veines viciées et brûlantes mais Jaemi s'est déjà condamné. Parce qu'il n'y a rien qu'il apprécie chez lui. De son physique jusqu'à sa psyché. Beaucoup trop de démons, là, dans sa caboche, surtout causés par le mal-être du gamin désabusé. Une tripotée d'addictions, surtout les psychotropes. Aucune confiance en lui, en ses mots. Pourtant, il a des mots percutants, accusateurs, critiques. Envers le monde. Il provoque. Il n'a aucune gêne et aucune retenue ; certains diraient qu'il est seulement vulgaire. Lui, il se décrit comme quelqu'un de libéré, de tout, surtout des chaînes. Des chaînes imposées par la société. Avant-gardiste, son esprit est en constante ébullition : pourtant, il n'est pas protégé du syndrome du parchemin vierge. Qu'il redoute, qu'il fuit. Ne rien créer, c'est son pire cauchemar. Même s'il trouve un millier de défauts dans ses créations. C'est maladif, les mots s'enchaînent, il a besoin de les démêler et d'en tirer des vers, de les associer aux diverses notes de musique. Ça lui arrive, de temps en temps, d'apprécier ses compositions. Ça ne dure qu'un court moment avant qu'il ne se laisse submerger par son perfectionnisme extrême. Il est envieux de ceux qui ont de l'assurance. De ceux qui ont des valeurs. Une morale. Des qualités. Il n'en a que très peu, mais qui ne sont pas assez puissantes pour le tirer de sa médiocrité. On le dit souriant – c'est vrai, de façon sincère, sans idée mal-placée. Blagueur et joueur. À l'écoute et loyal. Mais ce n'est jamais assez, trop d'imperfections en lui, trop de démons dans ses entrailles. Des démons qui le rendent cyclothymique et colérique ; il n'a que la haine en lui. Une haine envers lui-même et le monde entier. Une haine qui le réduit à errer en observant le monde, jaloux de tout. Foutue existence. Alors il détruit. Ses poings ravagent, ses yeux s'assombrissent. Il détruit car c'est sa seule façon d'exister. De se sentir vivant. De frôler la mort… De la provoquer aussi, un peu. Beaucoup. Il a divers moyens pour répandre la destruction. Oui, Jaemi est créatif. Mais il n'est qu'un gosse qui a grandi trop vite. Sans éducation. Sans valeurs. Raté de l'existence il est, raté de l'existence il restera. Parce que son existence n'est qu'une vaste blague, qu'un jeu sale sans règles. Alors, Jaemi se joue des règles et du jeu, il se fiche.
Le gouffre se creuse, les disparités se figent, l'enfant terrible étale l'amertume sur son lit de précarité. Jaemi se trouve différent des autres. Ça l'irrite et l'enlise dans ce gouffre dont les bords s'éloignent de plus en plus. Bientôt, il n'aura plus aucun repère pour s'accrocher. Plus aucune barrière pour le sauver. Seul au monde, depuis que sa génitrice l'a éjecté de son utérus. Elle a transmis tous ces dysfonctionnements, il en est sûr. La certitude l'obsède et l'aveugle. La certitude d'être un raté dès la naissance, en tentant de survivre dans cette semi-existence. Il n'a rien de bon, Jaemi. Pas envers sa personne. Parce qu'il abhorre son être. Mais il hait le monde encore plus. C'est difficile de contenir toute cette haine, de garder scellé ce besoin grandissant de destruction. La jeunesse coule dans ses veines viciées et brûlantes mais Jaemi s'est déjà condamné. Parce qu'il n'y a rien qu'il apprécie chez lui. De son physique jusqu'à sa psyché. Beaucoup trop de démons, là, dans sa caboche, surtout causés par le mal-être du gamin désabusé. Une tripotée d'addictions, surtout les psychotropes. Aucune confiance en lui, en ses mots. Pourtant, il a des mots percutants, accusateurs, critiques. Envers le monde. Il provoque. Il n'a aucune gêne et aucune retenue ; certains diraient qu'il est seulement vulgaire. Lui, il se décrit comme quelqu'un de libéré, de tout, surtout des chaînes. Des chaînes imposées par la société. Avant-gardiste, son esprit est en constante ébullition : pourtant, il n'est pas protégé du syndrome du parchemin vierge. Qu'il redoute, qu'il fuit. Ne rien créer, c'est son pire cauchemar. Même s'il trouve un millier de défauts dans ses créations. C'est maladif, les mots s'enchaînent, il a besoin de les démêler et d'en tirer des vers, de les associer aux diverses notes de musique. Ça lui arrive, de temps en temps, d'apprécier ses compositions. Ça ne dure qu'un court moment avant qu'il ne se laisse submerger par son perfectionnisme extrême. Il est envieux de ceux qui ont de l'assurance. De ceux qui ont des valeurs. Une morale. Des qualités. Il n'en a que très peu, mais qui ne sont pas assez puissantes pour le tirer de sa médiocrité. On le dit souriant – c'est vrai, de façon sincère, sans idée mal-placée. Blagueur et joueur. À l'écoute et loyal. Mais ce n'est jamais assez, trop d'imperfections en lui, trop de démons dans ses entrailles. Des démons qui le rendent cyclothymique et colérique ; il n'a que la haine en lui. Une haine envers lui-même et le monde entier. Une haine qui le réduit à errer en observant le monde, jaloux de tout. Foutue existence. Alors il détruit. Ses poings ravagent, ses yeux s'assombrissent. Il détruit car c'est sa seule façon d'exister. De se sentir vivant. De frôler la mort… De la provoquer aussi, un peu. Beaucoup. Il a divers moyens pour répandre la destruction. Oui, Jaemi est créatif. Mais il n'est qu'un gosse qui a grandi trop vite. Sans éducation. Sans valeurs. Raté de l'existence il est, raté de l'existence il restera. Parce que son existence n'est qu'une vaste blague, qu'un jeu sale sans règles. Alors, Jaemi se joue des règles et du jeu, il se fiche.
“ Once upon a time :« I see a red door and i want it painted black. »
J'emmerde le monde.
J’emmerde aussi l’humanité. L’avenir. Les bureaucrates. Les parents irresponsables. Les gamins désabusés. Les mots accusateurs. Les fils des putes snobs. La vérité. Le mensonge. La trouille. Les couleurs. La mort… L’inconnu. La génitrice. Surtout la génitrice. Cette taularde qui m'a mis au monde en prison. Mais elle est morte en couches. Sans rien me laisser à part quelques coupures de journaux, de ce gosse né en prison. Ça avait choqué les médias, à l'époque. À l’orphelinat, personne ne me le disait en face mais on m'avait surnommé le bébé-taulard. C'est tout ce que je suis. C'est tout ce que je mérite. De nombreux frères et sœurs orphelins pour me tenir compagnie mais il y a toujours cette douleur, ce trou, là, qui se creuse au fil des années. Parce qu'on n'a pas de parents. Parce que personne ne veut de nous. Alors on s'enlise. On enchaîne les blessures. Je n'ai pas d'avenir alors je tente tout, je teste tout, je cogne tout. À seize ans, j'ai été envoyé au centre pénitentiaire pour mineurs. Pour possession de deux kilos de cocaïne – on m'a attrapé en plein boulot. Quinze mois plus tard, j'en suis sorti mais à condition d'être placé sous tutelle de quelqu'un et de poursuivre les cours. Contrôlé, fouillé, sondé – c'est comme si on m'avait tamponné comme du bétail pour me faire plier l'échine. Il paraît que je suis un gosse beaucoup trop incontrôlable, à l'orée de l'abomination. C'est douloureux d'être différent. D'avoir cette haine. J'ai une vision du monde monochrome. Une vision tranchée. Il n'y a pas de demi-mesures. Je crois. Je ne suis pas vraiment sûr de ce que je suis. Un gosse qui ne voit pas les couleurs. Les brimades, j'en ai connu. Les marmots, ça te baise avec leur innocence mais t’encule avec leur insolence. Ils sont bêtes, peu importe l’âge, ils comprennent pas que la différence ne doit pas être éradiquée… même les adultes comprennent pas l’achromatopsie. L’absence de couleurs. L'école, c’est un nid à maladies ; la pire maladie qu’on connaisse s’appelle l’homme. Je… j'ai déjà pensé à appuyer sur la gâchette pour les éradiquer. Car mine de rien, l’ersatz que je suis, ne rêve que d’une foutue reconnaissance… Même si, pour y parvenir, il faut passer par la vengeance. Ou tirer sur moi-même, peut-être, je sais pas, c’est flou dans ma caboche craquelée. Je rêve d’être reconnu en tant qu’être-humain, je rêve d’en finir de cette semi-existence de pestiféré. Alors… vends-moi du rêve et dis-moi… dis-moi que la vie est belle. Je fais beaucoup d'erreurs et j’en paye le prix. Comme d’habitude, comme pour tout ; depuis que ma mère m’a éjecté de son utérus, c’est la même rengaine. Survivre, tabasser, prendre des coups, rester puceau, voler… voler, tout, tout, tout. Des objets, de l’argent, des cœurs. Pour combler le trou dans ma cage thoracique… cette panne de cœur. Chienne de vie.
J'emmerde le monde.
J’emmerde aussi l’humanité. L’avenir. Les bureaucrates. Les parents irresponsables. Les gamins désabusés. Les mots accusateurs. Les fils des putes snobs. La vérité. Le mensonge. La trouille. Les couleurs. La mort… L’inconnu. La génitrice. Surtout la génitrice. Cette taularde qui m'a mis au monde en prison. Mais elle est morte en couches. Sans rien me laisser à part quelques coupures de journaux, de ce gosse né en prison. Ça avait choqué les médias, à l'époque. À l’orphelinat, personne ne me le disait en face mais on m'avait surnommé le bébé-taulard. C'est tout ce que je suis. C'est tout ce que je mérite. De nombreux frères et sœurs orphelins pour me tenir compagnie mais il y a toujours cette douleur, ce trou, là, qui se creuse au fil des années. Parce qu'on n'a pas de parents. Parce que personne ne veut de nous. Alors on s'enlise. On enchaîne les blessures. Je n'ai pas d'avenir alors je tente tout, je teste tout, je cogne tout. À seize ans, j'ai été envoyé au centre pénitentiaire pour mineurs. Pour possession de deux kilos de cocaïne – on m'a attrapé en plein boulot. Quinze mois plus tard, j'en suis sorti mais à condition d'être placé sous tutelle de quelqu'un et de poursuivre les cours. Contrôlé, fouillé, sondé – c'est comme si on m'avait tamponné comme du bétail pour me faire plier l'échine. Il paraît que je suis un gosse beaucoup trop incontrôlable, à l'orée de l'abomination. C'est douloureux d'être différent. D'avoir cette haine. J'ai une vision du monde monochrome. Une vision tranchée. Il n'y a pas de demi-mesures. Je crois. Je ne suis pas vraiment sûr de ce que je suis. Un gosse qui ne voit pas les couleurs. Les brimades, j'en ai connu. Les marmots, ça te baise avec leur innocence mais t’encule avec leur insolence. Ils sont bêtes, peu importe l’âge, ils comprennent pas que la différence ne doit pas être éradiquée… même les adultes comprennent pas l’achromatopsie. L’absence de couleurs. L'école, c’est un nid à maladies ; la pire maladie qu’on connaisse s’appelle l’homme. Je… j'ai déjà pensé à appuyer sur la gâchette pour les éradiquer. Car mine de rien, l’ersatz que je suis, ne rêve que d’une foutue reconnaissance… Même si, pour y parvenir, il faut passer par la vengeance. Ou tirer sur moi-même, peut-être, je sais pas, c’est flou dans ma caboche craquelée. Je rêve d’être reconnu en tant qu’être-humain, je rêve d’en finir de cette semi-existence de pestiféré. Alors… vends-moi du rêve et dis-moi… dis-moi que la vie est belle. Je fais beaucoup d'erreurs et j’en paye le prix. Comme d’habitude, comme pour tout ; depuis que ma mère m’a éjecté de son utérus, c’est la même rengaine. Survivre, tabasser, prendre des coups, rester puceau, voler… voler, tout, tout, tout. Des objets, de l’argent, des cœurs. Pour combler le trou dans ma cage thoracique… cette panne de cœur. Chienne de vie.
l'ananas
la neige qui poudroie dans la solitude de notre enfance
wsh bien ou bien ? :04: tc de renzo
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼KIM JI WON (BOBBY, IKON) ✎ ahn jae mi
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
- Code:
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 13:54 Citer EditerSupprimer
G
EDIT :
OHMYGOD
OHMYGOD
OHMYGOD
MON TOUT PETIT IS HERE
BEBE NOTRE TOUT PETIT BEBE EST LAAAAAAA
ON VA POUVOIR JOUER A LA FAMILLE PARFAITE
JE TAI CHERCHE PARTOUT TU ETAIS OU TAS ENCORE FAIT LA BRINGUE HIER SOIR SANS ME LE DIRE ?
FILE DANS TA CHAMBRE TUSUITE. J'arrive
NON MAIS MON JAEMI CHERI DAMOUR
ON VA FAIRE DE GRANDE CHOSE TOI ET MOI I PROMETS
JE SUIS TROP CONTENTE QUE TU SOIS LA TT CA SE VOIT NON ? JE VIRE PAS LE CAPLOCKS DEPUIS TOUT A LHEURE
MEME SI ON SEMBROUILLE ET MEME SI TU ... HA ON SENFOU JE TAIME
Welcome mon bébinou
EDIT :
OHMYGOD
OHMYGOD
OHMYGOD
MON TOUT PETIT IS HERE
BEBE NOTRE TOUT PETIT BEBE EST LAAAAAAA
ON VA POUVOIR JOUER A LA FAMILLE PARFAITE
JE TAI CHERCHE PARTOUT TU ETAIS OU TAS ENCORE FAIT LA BRINGUE HIER SOIR SANS ME LE DIRE ?
FILE DANS TA CHAMBRE TUSUITE. J'arrive
NON MAIS MON JAEMI CHERI DAMOUR
ON VA FAIRE DE GRANDE CHOSE TOI ET MOI I PROMETS
JE SUIS TROP CONTENTE QUE TU SOIS LA TT CA SE VOIT NON ? JE VIRE PAS LE CAPLOCKS DEPUIS TOUT A LHEURE
MEME SI ON SEMBROUILLE ET MEME SI TU ... HA ON SENFOU JE TAIME
Welcome mon bébinou
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 13:54 Citer EditerSupprimer
bon j'ai rien avoir dans l'histoire, mais je suis la et je trouverais bien comment m'incruster encore une fois viens moi je te laisserais faire toutes les bétises que tu veux, je serais le tonton gateaux
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 13:55 Citer EditerSupprimer
J'ai posté avec le mauvais compte en premier, rien a foutre j'ai la 2 et 3eme place comme ca
Amour, notre bébé est enfin là on va pouvoir jouer au papa et à la maman va falloir le dresser le petit
En vrai je t'aime tu sais ?
Amour, notre bébé est enfin là on va pouvoir jouer au papa et à la maman va falloir le dresser le petit
En vrai je t'aime tu sais ?
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 14:02 Citer EditerSupprimer
Tata gâteuse is here too Salut petit chat
Tu t'es perdu ?
Viens voir Tata Su Nah
Tu t'es perdu ?
Viens voir Tata Su Nah
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 14:04 Citer EditerSupprimer
Papy grincheux ici je vais donner la fessée quand tu seras pas sage moi tu vas voir
ouai on fait toute la famille Keskia ?
ouai on fait toute la famille Keskia ?
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 14:06 Citer EditerSupprimer
JAMAIS DEUX SANS TROIS
Tu cherches un plan pour te foutre dans la merdeou juste chatter avec les nanas de ta régions tape PLAN CUCUL au 3639 tape INSU dans ton répertoire
Tu cherches un plan pour te foutre dans la merde
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 14:09 Citer EditerSupprimer
dégage de mon bar vaurien ()
dégage de mon bar vaurien ()
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Re: ahn jae mi + my spoon is too big | Lun 13 Avr - 14:25 Citer EditerSupprimer
puceau puceau puceau
tsais que tu nous offre encore un perso en or là
re-re-rebienvenue petit ananas
tsais que tu nous offre encore un perso en or là
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