Personalité a plusieurs facettes. Elle est très possessive, que ce soit avec son lit, ou sa nourriture. Lui voler sa couette ou son repas peut vous coûter très cher, demandez a la chevelure de sa belle môman... A celà rajouter qu'elle est le genre de personne a vous pousser dans vos retranchements, un peu garce si on la cherche. Malgré cela, quand on la croise, elle est le genre de fille que certains parents aimeraient parce qu'elle sait ce qu'elle veut et qu'elle sait se montrer ambitieuse. Sinon dans la vie de tous les jours, si elle est de bonne humeur, on pourra constater qu'elle sait se montrer assez amusante, et qu'elle a une personnalité parfois... haute en couleur, parce qu'il faut l'avouer que par moment, la maturité... c'est pas son fort. Ni la raison, donnez lui un jeu, et elle pourra rester des heures dessus jusqu'a le vaincre. Elle aime les challenges et les jeux. Pour ses amis, même si elle ne le leur avouera pas de face, si elle est très proche d'eux, elle n'hésitera pas a s'interposer pour eux. Elle est totalement loyale, et adorable avec. Si vous la croisez dans un de ses mauvais jours, il vaut mieux se planquer. Vous recherchiez une véritable garce, un peu égoïste capable de vous mettre un éléphant en colère? Jackpot, vous avez le gros lot.
Elle ne croit pas en l'amour. Ou plus. Sa devise c'est d'ailleurs "A quoi bon tomber amoureuse si c'est pour mieux se déchirer plus tard hein?". Mais ses amis les plus proches vous diront que c'est une apparence, et que malgré cela elle a toujours une petite âme d'enfant qui elle y croit. Elle a quand même quelques histoires a son actif, et même si elle ne l'avouera jamais, il se pourrait qu'elle en ai aimé un ou deux. De toute manière, son père ne laisserait pas faire ce qu'elle voudrait en Corée, elle tente donc de rester discrète a ce niveau là.

Ji Na, Jina. Petit pingouin est né il y a 22 ans, a l’hôpital central de Séoul. Fille d'une américaine d'origine asiatique, et d'un dirigeant d'une grande entreprise coréenne. On pourrait imaginer qu'elle a eut une enfance de rêve, mais le compte n'y est pas. Elle n'a jamais manqué de rien, ce qui explique peut être parfois son sale caractère de pingouin mécontent. Ce sont peut être d'ailleurs ses crises a répétitions qui ont fait que sa mère a préféré partir de la maison, la laissant seule dans une grande demeure vide, avec pour seule compagnie, des nourrices, ou alors son penchant pour les voyages, avec des hommes plus jeunes qu'elle, elle ne savait pas.. Sa mère, parlons en, le portrait craché de Ji Na physiquement parlant. Mentalement par contre... On a l'exception aux chats ne font pas des chiens. Lorsque Ji Na en parle, on peut voir son dégout dans ses yeux, entendre la colére dans sa voix. Oui, elle ne lui a jamais pardonné. Pour elle, sa mère a souvent été ce qu'elle déteste le plus chez une femme. L'attitude de gamine capricieuse, cette manie volage, et la superficialité. Elle l'a vu manipuler son père, pour ensuite mieux le quitter. Cependant, elle ne s'attardera jamais sur le sujet, qui a de quoi la mettre de très mauvaise humeur. Sa chère môman est devenue le genre de personne qu'elle se refuse de devenir, même si, ne le cachons pas, elle sait parfaitement se comporter comme une garce de première. Cependant, elle ne plaint pas son père non plus. Loin de là même, même s'il a su lui permettre de faire des études, il n'a jamais été tout blanc non plus. En effet, dès son enfance, elle se souvient avoir entendu parler de son demi frère. Son père avait visiblement joué ailleurs lui aussi. Ce qui avait probablement eu des conséquences sur la vie de famille, mais a l'heure qu'il est, elle ne plaint ni son père, ni sa mère. Après tout, ils l'avaient tout les deux cherché.
Donc pour reprendre sur le passé de notre pingouin, elle a eu le droit a une éducation assez... stricte. Dans le sens ou c'est « tais toi et marche ». Toujours sourire, rester bien élevée, obéir a ses parents... Un cycle qui s'enrailla lors de sa crise d'adolescence, ou elle commença a faire ce qu'elle voulait, et qu'elle opposa une résistance a ses parents. Ce fut d'ailleurs le moment ou sa chère môman annonça qu'elle pliait bagage définitivement pour s'installer avec son nouveau Roméo du moment, qui avait 10 ans de moins. Et en l'échange, son père ramena son fils, pour tenter de lui inculquer les valeurs familiales. Ce qui la dégoûtait encore plus. Et voilà donc petit pingouin qui devient un pingouin casse-pied, qui traîne en soirée, qui fait le mur ou encore qui se permet de mettre en échec des « réunions » bien pensées par son père pour vendre sa chère fifille au premier venu qui lui permettra d'obtenir un énorme contrat et s'il vous plait, une reconnaissance éternelle dans la haute sphère. Et oui, marier sa fille a un riche inconnu était un des fameux plans de son père, contre lesquels elle opposait une vive opposition, sous le regard de son demi frère, qui restait toujours silencieux. Et la voilà donc a 16 ans qui rêve de voyage, de liberté, et son père, trop heureux de pouvoir mettre un terme aux conflits dans sa demeure s'empressait de l'envoyer étudier en Suisse pendant une année, puis a Colombus, aux USA, accompagnée de son demi-frère. Pourquoi Colombus? C'était là ou vivait sa mère. Elle n'oubliera jamais la tête de sa mère, gênée. Elle n'a pas essayé de renouer contact, la croiser ne signifiait rien pour elle. Et c'est aussi là qu'elle rencontra ceux qui firent d'elle ce qu'elle était. Voir les blondes peroxydées se prendre pour les reines, ceux qui avaient les sous de papa venir en grosse voiture, et traîner avec, ce que son père appelerait des Junkies, ou des danseurs, fut son quotidien, et elle réalisa qu'en fait la vie n'était pas si compliquée et que tout n'était que perspectives. Lorsqu'elle revint, âgée de 19 ans, elle a découvert sa nouvelle future « belle-mère », une idiote dont la blondeur occidentale n'avait d'égale que sa bêtise d'avoir suggéré de l'envoyer étudier a Pékin, parce qu'après tout, elle n'était même pas totalement coréenne. Et cette dernière devint à son petit cobaye a son insu. Oh, le shampoing qui est en fait de l'épilatoire, de la peinture a l'eau dans le fond de teint, la voiture qui ne démarre pas, et tout un tas de petits accidents « malencontreux » qui l’amusèrent énormément d'autant plus que les réactions de la victime était tellement... idiotes. Enfin bref. Si vous recherchez quelqu'un pour pourrir la vie de votre ennemie, cherchez donc Songjina.com, vous verrez, vous ne serrez pas déçu(e)s. Sauf que voilà, martyriser quelqu'un c'est amusant, mais a court terme, et puis la situation commença a devenir tendue avec son père ayant compris le petit jeu de sa fille, après un moment. Puis sérieusement, a force, ce n'était même plus amusant, du coup, elle se trouva un défouloir plus... normal. Le footing. Et ce défouloir lui permit même de faire une course de charité que son père s'empressa de faire passer pour un geste de la société, ce qui la mit dans une rage certaine. C'était dans ces moments là, qu'elle songeait réellement a faire sa valise et disparaître, mais elle se doutait même qu'elle ne passerait pas la cloture de la maison avant d'être arrêtée. Puis son père ne renonçant pas a l'idée de lui trouver un avenir parfait qui arrangerait sa société, se risqua a lui suggérer d'aller a l'université. Bon soit. Elle se plia au jeu, et ce pour sa propre survie: Gagner son indépendance par rapport a son père et surtout, se donner la chance de pouvoir partir. Parce qu'après tout, la vie n'est qu'un jeu, ou tu gagnes et tu es libre, ou tu perds et tu restes ou tu es, enchaîné.