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ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round...
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ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 5:48 Citer EditerSupprimer
rumour has it
#INTELLIGENTE #INSOLENTE #AUDACIEUSE #CAPRICIEUSE #MANIPULATRICE
#AUTORITAIRE #TYRANNIQUE #AUTONOME #INSOUCIANTE #CAPTIVANTE
caractère
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo personnage
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo personnage
ahn rahel
CARTE D'IDENTITÉ DATE + ÂGE : vingt-et-un ans. l'âge de la majorité aux states. quant à la date de naissance, inconnue. on le fête tous les décembres mais on sait pas trop exactement quand je suis née, sûrement en hiver. ORIENTATION + STATUT : j'aime les fesses, les fesses bien rondes, mais les fesses de mecs. puis y a aussi le truc devant que j'aime pas mal, qui est un truc de mecs aussi, tiens donc. bref, pour faire simple, je suis hétérosexuelle. et partons du principe que je suis célibatarde. eh bien quoi ? les filles aussi ont droit à leur version du mot. ÉTUDES/MÉTIER : étudiante en psychologie. comme ça je peux te comprendre d'un coup d'oeil, te manipuler, te réduire en esclavage, te plumer de ton fric... et sinon bah... racketter, c'est un métier ? disons que j'ai mon petit gang, mon petit territoire, mes petites commerces, puis chacun a un rôle, il y en a qui dealent, y en a qui volent, y en a qui rackettent... mais ce que j'aime le plus, c'est le trafic d'informations, l'extorsion de grosses sommes et les bonnes escroqueries. les murs ont des oreilles. je vous conseille de faire gaffe à vos comptes en banque si vous avez des choses à cacher... car je risquerais de les connaître, de les monnayer, et de vous vider littéralement les poches. TU VEUX T'INVESTIR ? : OF COURSE : sango wesh. |
rumour has it
on dit qu'elle a été jetée dans une poubelle bébé, abandonnée par ses deux parents (v) + on dit que son père biologique est un haut gradé américain (v) + on dit que sa mère était une prostituée, trainant des les camps de militaires (f) + on dit que son "double eyelid" n'est que de la chirurgie (f) + puis on dit aussi que sa bouche c'est de la chirurgie (f) mais qu'elle est quand même l'une des bouches les plus baisables du campus (v) + on dit que son père adoptif, une sorte de yakuza à la coréenne, a fait pression sur des employés pour que sa mioche soit pistonnée à Yonsei dans un dortoir (v) + on dit qu'elle détient au moins une information compromettante sur chaque élève de l'université (pas chaque élève, quand même, wesh -f) + on dit qu'elle a déjà bourré un mec en soirée pour exploser le plafond de sa carte gold (v) + on dit qu'elle a plus d'une centaine de mecs au compteur ( ça s'en rapproche mais... -f) + on dit qu'elle a mis un laxatif dans le verre d'un de ses profs pour éviter un examen (v) + on dit qu'il ne faut surtout pas s'en prendre à elle, parce qu'elle a beau ressembler à une petite poupée, c'est un fauve qui griffe et qui mord (grawr -v)
caractère
« Cours. COURS. COURS PUTAIN. » C'est à ça que nous avons d'ailleurs passé notre enfance. A courir. Dans les ruelles de Séoul, après nos camarades de classe, en fuyant la police... Lorsqu'elle piégeait les professeurs, on courait en tentant de fuir aux surveillants. Lorsqu'elle avait un jour tenté de racketter le gamin d'un policier alors qu'il était juste derrière, on a couru pour fuir son père... Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec Rahel, on ne s'emmerdait et on ne s'emmerde toujours pas. Loin de là. Elle trouve toujours une connerie à faire, et les conséquences sont généralement désastreuses. Mais divertissantes. C'est qu'elle a peur de rien en fait, la gamine. Genre vraiment, de rien. A part de son Papi. Je me souviens qu'elle essayait d'avaler ses bulletins de note pour ne pas qu'il les voit. Non parce que vraiment, elle en fout pas une en cours. Enfin si, elle fout la merde. Elle balance des boules puantes, met des laxatifs dans les cafés des profs... Mais à part ça, que dalle. 'Fin bref, doooonc. La police... Quant à la police, elle la connaît personnellement maintenant, c'est une habitué quoi ! La dernière fois ils lui ont même ramené du lait de litchi : ils en ont acheté spécialement rien que pour elle, car là est le gros problème : bien qu'elle soit emmerdante, chiante, tyrannique – combien de coups on s'est pris d'elle, les autres et moi –, incroyablement fourbe – méfiez-vous de ses airs de poupée, elle semble être un ange tombé du ciel mais elle est plutôt sortie tout droit des enfers – et j'en passe... Eh bah, ce poil de carotte, il est vraiment attachant. Ca doit être à cause de la différence par rapport à quand elle est là et quand elle n'est pas là. Elle met de l'action, du peps. Elle parle fort, jure, sautille partout, saute sur tout le monde, puis elle a toujours des plans, des idées... Bref, c'est jamais calme quand elle est là. Et du coup, quand elle n'est pas dans les parages... L'ambiance n'a rien à voir. C'pas pareil, quoi. C'est même triste et morne. J'pourrais pas dire que Rahel est un rayon de soleil, mais je dirais... Qu'elle est une jolie flamme sortie tout droit des enfers et venue illuminer nos vies. Et nous brûler un peu au passage.
D'ailleurs, Papi... Rahel est sa digne héritière. C'est très amusant de voir à quel point elle lui ressemble, et à quel point lui veut qu'elle soit différente. Il lui demanda de ne pas agir de telle ou telle manière, mais au fond, elle ne fait que répéter les mêmes actes que lui, sans même s'en rendre compte. Elle a même constitué son propre mini-gang... Bon, à une moindre échelle, évidemment, mais quand même. En fait, c'est qu'on a grandi tous ensemble : les enfants des hommes de main de Papi et elle. Et du coup, en grandissant, elle est toujours restée dans cette petite clique, et en a été à la tête. On braquait pas des banques, mais parfois, on allait martyriser quelques lycéens, ou faire quelques conneries main dans la main. Et puis évidemment, elle prenait toujours le contrôle des opérations, en leader qui respecte. Mais, méfiez-vous. Plus le temps passe, et plus Rahel se professionnalise dans le domaine. Ces temps-ci, elle semble s'intéresser bien plus qu'à de simples petits rackets. Ce qui l'intrigue, ce sont les escroqueries, la manipulation digne de ce nom. C'est ce qui l'a poussée à choisir psychologie d'ailleurs. Car devenir psy n'est pas son rêve d'enfant, mais... Arriver à cerner ce qui se passe dans la tête des autres, si. Comprendre ce qu'ils pensent, ce qu'ils comptent faire, ce qu'ils veulent faire. Et utiliser le tout à son avantage. Elle a ses petites mains, et elle leur confie les tâches les plus ingrates, tout en s'occupant du plus sérieux. Séduire les gosses de riche et les plumer n'est que le début, car la rouquine est bien décidée à aller encore plus loin. Elle est plus confiante que jamais depuis l'année qu'elle a passé avec son père biologique contre son gré, aux Etats-Unis. Le fait d'arriver à prendre le dessus sur un haut gradé, un homme puissant comme lui, et à se débrouiller par elle-même loin de tout ce qu'elle connaissait... L'a boostée dans sa nouvelle spécialisation.
Enfin bref. Faut savoir que la Rahel sait même se battre. A vue d’œil, on a l'impression qu'on peut la casser en deux, mais c'est plutôt elle qui est capable de vous casser le nez. Et attention, elle a le coup facile. Surtout quand on s'en prend à quelqu'un de son entourage proche. Elle est manipulatrice et fourbe avec tout le monde, à part avec son cercle d'amis. Si vous lui êtes fidèle, elle vous le rendra bien. Elle a bon cœur la rousse, j'vous jure. Mais, si par malheur vous vous risquez à la trahir... Alors là, pas de pitié pour le Judas. Elle est capable d'avoir un comportement très excessif. Mais faut savoir aussi par quoi elle est passée. Car bien qu'elle n'en montre rien, le fait que sa vie n'ait pas débutée de manière tout à fait conventionnelle l'a profondément marquée. Être mise dans une poubelle alors qu'elle était bébé... Enfin, même ses propres parents biologiques ne voulaient pas d'elle, quoi. Et on dirait que ça a développé chez elle une sorte de peur de l'abandon. C'est pas pour rien d'ailleurs qu'elle change de petit copain comme de chemise : elle quitte la personne avant de s'attacher, pour ne pas risquer d'être abandonnée et donc blessée. Ca dure depuis 21 ans. Ca va sûrement durer encore un p'tit moment, j'ai cru comprendre qu'elle avait repéré un lot de dollars sur pattes dans sa nouvelle université de la haute société là... - Un ami d'enfance. -
D'ailleurs, Papi... Rahel est sa digne héritière. C'est très amusant de voir à quel point elle lui ressemble, et à quel point lui veut qu'elle soit différente. Il lui demanda de ne pas agir de telle ou telle manière, mais au fond, elle ne fait que répéter les mêmes actes que lui, sans même s'en rendre compte. Elle a même constitué son propre mini-gang... Bon, à une moindre échelle, évidemment, mais quand même. En fait, c'est qu'on a grandi tous ensemble : les enfants des hommes de main de Papi et elle. Et du coup, en grandissant, elle est toujours restée dans cette petite clique, et en a été à la tête. On braquait pas des banques, mais parfois, on allait martyriser quelques lycéens, ou faire quelques conneries main dans la main. Et puis évidemment, elle prenait toujours le contrôle des opérations, en leader qui respecte. Mais, méfiez-vous. Plus le temps passe, et plus Rahel se professionnalise dans le domaine. Ces temps-ci, elle semble s'intéresser bien plus qu'à de simples petits rackets. Ce qui l'intrigue, ce sont les escroqueries, la manipulation digne de ce nom. C'est ce qui l'a poussée à choisir psychologie d'ailleurs. Car devenir psy n'est pas son rêve d'enfant, mais... Arriver à cerner ce qui se passe dans la tête des autres, si. Comprendre ce qu'ils pensent, ce qu'ils comptent faire, ce qu'ils veulent faire. Et utiliser le tout à son avantage. Elle a ses petites mains, et elle leur confie les tâches les plus ingrates, tout en s'occupant du plus sérieux. Séduire les gosses de riche et les plumer n'est que le début, car la rouquine est bien décidée à aller encore plus loin. Elle est plus confiante que jamais depuis l'année qu'elle a passé avec son père biologique contre son gré, aux Etats-Unis. Le fait d'arriver à prendre le dessus sur un haut gradé, un homme puissant comme lui, et à se débrouiller par elle-même loin de tout ce qu'elle connaissait... L'a boostée dans sa nouvelle spécialisation.
Enfin bref. Faut savoir que la Rahel sait même se battre. A vue d’œil, on a l'impression qu'on peut la casser en deux, mais c'est plutôt elle qui est capable de vous casser le nez. Et attention, elle a le coup facile. Surtout quand on s'en prend à quelqu'un de son entourage proche. Elle est manipulatrice et fourbe avec tout le monde, à part avec son cercle d'amis. Si vous lui êtes fidèle, elle vous le rendra bien. Elle a bon cœur la rousse, j'vous jure. Mais, si par malheur vous vous risquez à la trahir... Alors là, pas de pitié pour le Judas. Elle est capable d'avoir un comportement très excessif. Mais faut savoir aussi par quoi elle est passée. Car bien qu'elle n'en montre rien, le fait que sa vie n'ait pas débutée de manière tout à fait conventionnelle l'a profondément marquée. Être mise dans une poubelle alors qu'elle était bébé... Enfin, même ses propres parents biologiques ne voulaient pas d'elle, quoi. Et on dirait que ça a développé chez elle une sorte de peur de l'abandon. C'est pas pour rien d'ailleurs qu'elle change de petit copain comme de chemise : elle quitte la personne avant de s'attacher, pour ne pas risquer d'être abandonnée et donc blessée. Ca dure depuis 21 ans. Ca va sûrement durer encore un p'tit moment, j'ai cru comprendre qu'elle avait repéré un lot de dollars sur pattes dans sa nouvelle université de la haute société là... - Un ami d'enfance. -
One upon a time
Dans la vie, il y a deux types de personnes. Celles qui ont énormément de chance, et celles qui n'en ont pas. Moi, je fais plutôt partie de la seconde catégorie. Quoique, lorsqu'on regarde de plus près, j'ai quand même eu un peu de chance : question physique, j'ai été gâtée. Fichtrement gâtée. Venus s'est penchée sur mon berceau. D'ailleurs, vous étonnez pas si je joue son rôle dans la prochaine production hollywoodienne. Excusez-moi mais Angelina Jolie et compagnie à côté, c'est de la gnognotte. Trop ridée, trop botoxée... Enfin bref, je m'égare. Ma vie a commencé de la manière la moins banale possible. Ma mère, une coréenne, a été l'amante d'un soldat américain. Pire déshonneur pour une famille coréenne traditionnelle, il n'y a pas. Et encore, si elle n'avait fait que coucher avec, sans que personne ne le sache, ça aurait pu passer. Mais non, ils ont baisé sans protection. Parfaitement. Et c'est comme ça que je suis née. Enfant non-désirée, ma mère n'a pu assumer seule toute cette responsabilité. Et mon père a pris la poudre d'escampette aussitôt qu'il a appris sa grossesse. D'ailleurs, sa grossesse, de ce que m'en dit mon Papi, a été étrange. Enfin, étrange dans le sens où personne n'avait été mis au courant. C'était justement le but : que personne ne soit au courant. Ses parents l'avaient enfermée à la maison, on ne la voyait même plus dehors. Puis, une fois l'enfant – autrement dit moi – né, le plan était de... Simplement l'abandonner. Le poser dans la rue, telle une vulgaire poupée. Peu importe s'il se faisait bouffer par les chiens, s'il finissait gelé par le froid. Ils s'en fichaient totalement de ce que le bébé que j'étais pouvait devenir.
Et, après l'avoir ainsi jeté dans la rue, l'autre but était de fuir. Déménager, loin, pour qu'on ne les retrouve plus, et que leur secret soit éternellement enfoui. C'est ainsi qu'à commencer ma vie. Pas de cris de joies, pas de cadeaux, pas de chambre d'hôpital, pas même de parents. Rien, juste un bébé que l'on jette à la rue.
Celui que j'appelle Papi, qui est d'ailleurs celui qui m'a élevée, est juste un vieil homme, avec lequel je n'ai aucun lien du sang. Il avait eu vent de la relation entre mon père et ma mère, de même que de sa grossesse. Mais il ne s'était pas douté que son bébé finirait à la rue. Il tomba totalement par hasard sur moi, en traînant la nuit dans le quartier comme il avait l'habitude de le faire, à la recherche d'un individu à voler histoire de pouvoir se payer quelques bières. Et... Il eut finalement plus de cœur que mes parents et leurs familles réunies : il décida de me recueillir. Il n'avait pas supporté de voir un pauvre petit être innocent – car oui, j'ai été innocente à une certaine époque contrairement à ce que l'on pourrait croire – ainsi, livré à lui-même et finalement offert à la mort, car je n'aurais définitivement pas pu survivre seule même une soirée.
Ironie du sort : le délinquant, le chef de gang du quartier, se retrouva donc à faire ses premiers pas en tant que papa d'adoption. Assisté par ses hommes de mains, qui à tour de rôle me portaient sur leurs épaules, essayaient de calmer mes larmes, jouaient avec moi aux poupées ou m'apprenaient à me battre. C'est lui qui se chargea de mon éducation. Il n'était pas riche, mais ses hommes ainsi que leurs nombreux trafiques lui permettaient de mener un train de vie tout à fait honorable. Il ne savait pas vraiment comment s'y prendre avec moi et pourtant il faisait de son mieux : il m'achetait des robes, essayait de me coiffer. Il jouait littéralement à la poupée avec moi. D'un autre côté, c'est compréhensible : j'en étais véritablement une. Crinière de feu, peau laiteuse, de grands yeux, une bouche rosée. Je n'étais qu'à moitié-coréenne, et outre mon physique, le prénom qu'il m'avait choisie le prouvait aussi : Rahel. Ahn Rahel. Bon, à un c près, mon prénom était parfaitement américain... Faut pas trop lui en demander hein, il a pas fait d'études mon Papi.
Au lycée, je faisais des ravages. Au sens propre comme figuré. Au sens propre car j'étais celle qui perturbait les cours, qui rackettait les élèves à la sortie, qui cassait le nez de quiconque osait commettre un crime de lèse majesté à mon encontre : car oui, j'étais la princesse. Non, attendez, mieux : la Reine. L'impératrice. The big boss. Enfin, à part quand Papi venait assister aux réunions parents-professeurs... Là j'étais plus vraiment le Big Boss, c'est limite si je mangeais pas mon bulletin pour éviter qu'il ne le voit.
Puis, au sens figuré parce que personne ne pouvait me résister. L'amour ? Je n'y ai jamais cru. Non mais, honnêtement, soyez pas ridicules. Vous ne pouvez pas me demander à moi de croire à l'amour, alors que je suis la preuve ultime que même l'amour maternelle que certains pensent incontestable n'existe pas. J'y crois pas pour un sou, et j'ai toujours préféré m'amuser. M'amuser, en ayant plein de petits copains très riches qui cèdent à mes caprices et m'achètent tout ce que je veux. Je ne peux pas vous dire le nombre exact de relations que j'ai eu dans ma courte vie, j'en enchaîne depuis ma plus tendre enfance. Amourettes sur les bancs de l'école primaire, premiers petits copains au collège, puis au lycée...
A vrai dire, la seule ombre au tableau durant toutes ces années, fut quand mon père biologique décida de refaire surface. Enfin, père biologique. Mon géniteur, quoi. Il n'est pas mon père, ne l'a jamais été, et ne le sera jamais. Il a cru qu'en revenant à mes dix-neuf ans, il allait pouvoir me récupérer toute grandie toute prête ? Il n'a pas galéré quand j'étais bébé et que je chialais toute la nuit. Il n'a pas galéré pour m'habiller, pour me coiffer, avec mes bulletins, durant les réunions parents-profs. Là, comme une fleur, il se pointe et insiste pour me récupérer. Evidemement, mon père, mon vrai père, mon Papi, a refusé. Et pareil, j'ai refusé aussi. Sauf que le soldat américain lambda était devenu un haut gradé. Ayant le bras très long. Et de nombreuses connaissances bien placées. Je n'étais pas encore majeure, et selon la loi, il était mon tuteur légal. S'il voulait que je l'accompagne, alors je devais acquiescer. Et si Papi ne cédait pas, il allait le poursuivre en justice. « C'est une blague ? C'est une blague, hein ? Par pitié, dîtes-moi que c'est une blague. MAIS JE VEUX PAS L'ACCOMPAGNER, CE CON ! JE VEUX RESTER ICI ! » Je n'ai pas la larme facile. Je n'ai jamais été du genre sensible, émotive. Mais, je me souviens que ce jour-là, mes cheveux n'avaient pas été les seuls à virer au rouge. J'en avais versé, des larmes. A me déshydrater. Et mon Papi, grand gaillard qu'il est, était dans le même état que moi. Il est celui qui m'a éduquée, il a été là à chaque étape de ma vie... Le connard d'américain n'hésitait pas à le traiter de criminel, mais laisser un bébé dans la rue, dans le froid, en espérant qu'il crève, c'est bien pire que de voler ou dealer, non ?
Un an. Un an aux Etats-Unis. Un an en compagnie de ce militaire de merde, et de sa famille, tous guindés, tous snobs. Je détonnais tellement, moi, la petite asiatique. Je ne savais pas même parler l'anglais, à l'époque. Il s'en foutait totalement de moi. Il ne m'avait ramenée là que pour sauver les apparences, car certains médias s'étaient emparés de l'histoire, comme quoi il avait abandonné sa gamine. Alors, pour calmer les esprits de cette Amérique si puritaine, il m'avait rapatriée. J'étais loin de ma vraie famille, loin de mes amis, loin de tout ce que je connaissais et aimais et... Oui, pour la première fois de toute mon existence, je m'étais retrouvée seule. Réellement seule. Totalement seule. Sans aucun soutien.
Mais, il s'en était pris à la mauvaise tête rouge. Car ce qu'il ne soupçonnait pas, c'est que je sois la digne fille de mon père. De mon vrai père, de mon père coréen, de mon père "criminel", de mon père pas net mais tellement débrouillard. Son cas a été mon premier coup très sérieux, mon coup le plus impressionnant : car contrairement à d'habitude, je n'avais aucune aide, et j'étais contrainte de me débrouiller sans mes petites mains habituelles, sans mon bras-droit, sans qui que ce soit. Et avec le peu d'anglais que je connaissais. A vrai dire, je me suis même retrouvée à bosser l'anglais - ouais ouais, vous avez bien entendu, étudier, moi - uniquement pour mener ma mission à bien. Cette homme, je ne le sentais pas. Et j'avais bien raison de ne pas le sentir, il cachait bien trop de choses, il n'était pas net. La messe tous les dimanches, mon cul ouais. Sérieusement, les gens qui vont à la messe aussi souvent, c'est qu'ils ont quelque chose à se faire pardonner.
Je l'avais suivi. Discrètement. Pendant des jours. J'avais fait des recherches. J'avais pris des photos. Chauffé quelques mecs, au passage. Sympathisé avec d'autres. Lu des livres sur le sujet. Passionnée, clairement. « Je ne te laisse pas vraiment le choix. Soit tu me paies un billet retour pour la Corée en me paiement un dédommagement pour la détresse émotionnelle que tout ce tralalala m'a causé, soit je dis à tout le monde que non seulement tu broutes des minous mais que tu suces des bites aussi. Pas sûr que le curé de ta paroisse et tes supérieurs apprécient. » Ah bah, qui s'y frotte s'y pique. Et je parle de moi là, bande de petits keukinous. Morale de cette histoire : maintenant je suis quasiment bilingue anglais, et la manipulation sérieuse de chez sérieuse, le chantage de ce style, c'est en train de devenir mon passe-temps préféré. Future profession même, tiens.
Papi ne veut pas que je finisse délinquante. Papi n'aime pas me voir à la tête de mon mini gang, constitué des fils de ses hommes de main, en train de racketter des gens ou d'en frapper d'autres. Papi, il veut que j'aie un métier honorable, un bon petit mari, et que je sois bien rangée. ... Pauvre Papi. Mais, en tout cas, il est tellement décidé qu'il a même fait jouer de ses poings pour me "pistonner" : vous voyez, la Yonsei truc ? Eh bah mon Papi, il a fait pression sur certains employés qu'il avait à portée de main pour qu'ils trafiquent des papiers, et fassent remonter mon dossier discrétos histoire que je finisse dans l'un des dortoirs. Parce que, sérieusement, c'est pas avec mes notes que j'aurais eu une bourse. C'est de cette manière que mon Papi a réussi à me caser là... Avec l'espoir que j'étudie en compagnie gens bien éduqués et tout le tralala, et que je retourne dans le droit chemin. … Bon, je lui dirai pas que j'ai prévu d'en racketter certains à la sortie je crois, que je compte dealer, et escroquer d'autres, vu le scénario idyllique qu'il se fait, il risquerait de pas s'en remettre. Mais, plus sérieusement, faites gaffe à vos fesses mes mignons. J'ai disséminé des petits soldats fidèles partout, qui me rapportent la moindre infos hothot qui se trame entre les murs de cette université. Si vous avez quelque chose à cacher, soyez efficaces ou vous devrez payer pour que je garde vos cachoteries secrètes.
Et, après l'avoir ainsi jeté dans la rue, l'autre but était de fuir. Déménager, loin, pour qu'on ne les retrouve plus, et que leur secret soit éternellement enfoui. C'est ainsi qu'à commencer ma vie. Pas de cris de joies, pas de cadeaux, pas de chambre d'hôpital, pas même de parents. Rien, juste un bébé que l'on jette à la rue.
Celui que j'appelle Papi, qui est d'ailleurs celui qui m'a élevée, est juste un vieil homme, avec lequel je n'ai aucun lien du sang. Il avait eu vent de la relation entre mon père et ma mère, de même que de sa grossesse. Mais il ne s'était pas douté que son bébé finirait à la rue. Il tomba totalement par hasard sur moi, en traînant la nuit dans le quartier comme il avait l'habitude de le faire, à la recherche d'un individu à voler histoire de pouvoir se payer quelques bières. Et... Il eut finalement plus de cœur que mes parents et leurs familles réunies : il décida de me recueillir. Il n'avait pas supporté de voir un pauvre petit être innocent – car oui, j'ai été innocente à une certaine époque contrairement à ce que l'on pourrait croire – ainsi, livré à lui-même et finalement offert à la mort, car je n'aurais définitivement pas pu survivre seule même une soirée.
Ironie du sort : le délinquant, le chef de gang du quartier, se retrouva donc à faire ses premiers pas en tant que papa d'adoption. Assisté par ses hommes de mains, qui à tour de rôle me portaient sur leurs épaules, essayaient de calmer mes larmes, jouaient avec moi aux poupées ou m'apprenaient à me battre. C'est lui qui se chargea de mon éducation. Il n'était pas riche, mais ses hommes ainsi que leurs nombreux trafiques lui permettaient de mener un train de vie tout à fait honorable. Il ne savait pas vraiment comment s'y prendre avec moi et pourtant il faisait de son mieux : il m'achetait des robes, essayait de me coiffer. Il jouait littéralement à la poupée avec moi. D'un autre côté, c'est compréhensible : j'en étais véritablement une. Crinière de feu, peau laiteuse, de grands yeux, une bouche rosée. Je n'étais qu'à moitié-coréenne, et outre mon physique, le prénom qu'il m'avait choisie le prouvait aussi : Rahel. Ahn Rahel. Bon, à un c près, mon prénom était parfaitement américain... Faut pas trop lui en demander hein, il a pas fait d'études mon Papi.
Au lycée, je faisais des ravages. Au sens propre comme figuré. Au sens propre car j'étais celle qui perturbait les cours, qui rackettait les élèves à la sortie, qui cassait le nez de quiconque osait commettre un crime de lèse majesté à mon encontre : car oui, j'étais la princesse. Non, attendez, mieux : la Reine. L'impératrice. The big boss. Enfin, à part quand Papi venait assister aux réunions parents-professeurs... Là j'étais plus vraiment le Big Boss, c'est limite si je mangeais pas mon bulletin pour éviter qu'il ne le voit.
Puis, au sens figuré parce que personne ne pouvait me résister. L'amour ? Je n'y ai jamais cru. Non mais, honnêtement, soyez pas ridicules. Vous ne pouvez pas me demander à moi de croire à l'amour, alors que je suis la preuve ultime que même l'amour maternelle que certains pensent incontestable n'existe pas. J'y crois pas pour un sou, et j'ai toujours préféré m'amuser. M'amuser, en ayant plein de petits copains très riches qui cèdent à mes caprices et m'achètent tout ce que je veux. Je ne peux pas vous dire le nombre exact de relations que j'ai eu dans ma courte vie, j'en enchaîne depuis ma plus tendre enfance. Amourettes sur les bancs de l'école primaire, premiers petits copains au collège, puis au lycée...
A vrai dire, la seule ombre au tableau durant toutes ces années, fut quand mon père biologique décida de refaire surface. Enfin, père biologique. Mon géniteur, quoi. Il n'est pas mon père, ne l'a jamais été, et ne le sera jamais. Il a cru qu'en revenant à mes dix-neuf ans, il allait pouvoir me récupérer toute grandie toute prête ? Il n'a pas galéré quand j'étais bébé et que je chialais toute la nuit. Il n'a pas galéré pour m'habiller, pour me coiffer, avec mes bulletins, durant les réunions parents-profs. Là, comme une fleur, il se pointe et insiste pour me récupérer. Evidemement, mon père, mon vrai père, mon Papi, a refusé. Et pareil, j'ai refusé aussi. Sauf que le soldat américain lambda était devenu un haut gradé. Ayant le bras très long. Et de nombreuses connaissances bien placées. Je n'étais pas encore majeure, et selon la loi, il était mon tuteur légal. S'il voulait que je l'accompagne, alors je devais acquiescer. Et si Papi ne cédait pas, il allait le poursuivre en justice. « C'est une blague ? C'est une blague, hein ? Par pitié, dîtes-moi que c'est une blague. MAIS JE VEUX PAS L'ACCOMPAGNER, CE CON ! JE VEUX RESTER ICI ! » Je n'ai pas la larme facile. Je n'ai jamais été du genre sensible, émotive. Mais, je me souviens que ce jour-là, mes cheveux n'avaient pas été les seuls à virer au rouge. J'en avais versé, des larmes. A me déshydrater. Et mon Papi, grand gaillard qu'il est, était dans le même état que moi. Il est celui qui m'a éduquée, il a été là à chaque étape de ma vie... Le connard d'américain n'hésitait pas à le traiter de criminel, mais laisser un bébé dans la rue, dans le froid, en espérant qu'il crève, c'est bien pire que de voler ou dealer, non ?
Un an. Un an aux Etats-Unis. Un an en compagnie de ce militaire de merde, et de sa famille, tous guindés, tous snobs. Je détonnais tellement, moi, la petite asiatique. Je ne savais pas même parler l'anglais, à l'époque. Il s'en foutait totalement de moi. Il ne m'avait ramenée là que pour sauver les apparences, car certains médias s'étaient emparés de l'histoire, comme quoi il avait abandonné sa gamine. Alors, pour calmer les esprits de cette Amérique si puritaine, il m'avait rapatriée. J'étais loin de ma vraie famille, loin de mes amis, loin de tout ce que je connaissais et aimais et... Oui, pour la première fois de toute mon existence, je m'étais retrouvée seule. Réellement seule. Totalement seule. Sans aucun soutien.
Mais, il s'en était pris à la mauvaise tête rouge. Car ce qu'il ne soupçonnait pas, c'est que je sois la digne fille de mon père. De mon vrai père, de mon père coréen, de mon père "criminel", de mon père pas net mais tellement débrouillard. Son cas a été mon premier coup très sérieux, mon coup le plus impressionnant : car contrairement à d'habitude, je n'avais aucune aide, et j'étais contrainte de me débrouiller sans mes petites mains habituelles, sans mon bras-droit, sans qui que ce soit. Et avec le peu d'anglais que je connaissais. A vrai dire, je me suis même retrouvée à bosser l'anglais - ouais ouais, vous avez bien entendu, étudier, moi - uniquement pour mener ma mission à bien. Cette homme, je ne le sentais pas. Et j'avais bien raison de ne pas le sentir, il cachait bien trop de choses, il n'était pas net. La messe tous les dimanches, mon cul ouais. Sérieusement, les gens qui vont à la messe aussi souvent, c'est qu'ils ont quelque chose à se faire pardonner.
Je l'avais suivi. Discrètement. Pendant des jours. J'avais fait des recherches. J'avais pris des photos. Chauffé quelques mecs, au passage. Sympathisé avec d'autres. Lu des livres sur le sujet. Passionnée, clairement. « Je ne te laisse pas vraiment le choix. Soit tu me paies un billet retour pour la Corée en me paiement un dédommagement pour la détresse émotionnelle que tout ce tralalala m'a causé, soit je dis à tout le monde que non seulement tu broutes des minous mais que tu suces des bites aussi. Pas sûr que le curé de ta paroisse et tes supérieurs apprécient. » Ah bah, qui s'y frotte s'y pique. Et je parle de moi là, bande de petits keukinous. Morale de cette histoire : maintenant je suis quasiment bilingue anglais, et la manipulation sérieuse de chez sérieuse, le chantage de ce style, c'est en train de devenir mon passe-temps préféré. Future profession même, tiens.
Papi ne veut pas que je finisse délinquante. Papi n'aime pas me voir à la tête de mon mini gang, constitué des fils de ses hommes de main, en train de racketter des gens ou d'en frapper d'autres. Papi, il veut que j'aie un métier honorable, un bon petit mari, et que je sois bien rangée. ... Pauvre Papi. Mais, en tout cas, il est tellement décidé qu'il a même fait jouer de ses poings pour me "pistonner" : vous voyez, la Yonsei truc ? Eh bah mon Papi, il a fait pression sur certains employés qu'il avait à portée de main pour qu'ils trafiquent des papiers, et fassent remonter mon dossier discrétos histoire que je finisse dans l'un des dortoirs. Parce que, sérieusement, c'est pas avec mes notes que j'aurais eu une bourse. C'est de cette manière que mon Papi a réussi à me caser là... Avec l'espoir que j'étudie en compagnie gens bien éduqués et tout le tralala, et que je retourne dans le droit chemin. … Bon, je lui dirai pas que j'ai prévu d'en racketter certains à la sortie je crois, que je compte dealer, et escroquer d'autres, vu le scénario idyllique qu'il se fait, il risquerait de pas s'en remettre. Mais, plus sérieusement, faites gaffe à vos fesses mes mignons. J'ai disséminé des petits soldats fidèles partout, qui me rapportent la moindre infos hothot qui se trame entre les murs de cette université. Si vous avez quelque chose à cacher, soyez efficaces ou vous devrez payer pour que je garde vos cachoteries secrètes.
TIRAMITSUU ALORS. Par où commencer ? Ca fait depuis un p'tit moment que je suis sur le forum maintenant wesh, wesh wesh. J'ai dû parfois m'absenter à cause des cours, puis ensuite au moment de faire mon comeback je me suis rendue compte que quelque chose clochait, que je voulais de la nouveautey. Mais étant donné que Rahel est ma petite chouchoute, je ne me voyais pas l'abandonner. Du coup j'ai décidé de la customiser, je vais ajouter plein de jolies idées qui me sont venues et qui vont me permettre d'innover en rp, rien que ça. vous avez hâte hein, vous avez trop hâte que je sois re-validée, avouez. |
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- Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</taken> ✎ pseudo personnage
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
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- Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://LIENVERSLEPVPRIS]▼[/url] <taken>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</taken> ✎ pseudo personnage
MADE BY LIGHTLESS.TCHI
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 7:41 Citer EditerSupprimer
Mon petit coeur Ma petite renarde
J'editerais quand j'aurais lu, je veux juste garder ma place sur ta ficheet dans ton lit
J'editerais quand j'aurais lu, je veux juste garder ma place sur ta fiche
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 10:57 Citer EditerSupprimer
re en espérant que l'inspi te reviennes
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 11:05 Citer EditerSupprimer
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 12:03 Citer EditerSupprimer
rebienvenue
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 12:11 Citer EditerSupprimer
J'espère que tu n'auras pas les pyobeoms sinon tu auras ma mort sur la conscience
Bon courage pour ta nouvelle fiche, je te poupoute fort
Bon courage pour ta nouvelle fiche, je te poupoute fort
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 14:23 Citer EditerSupprimer
Mon grand fauve J'suis touchée, t'es toujours le premier sur ma fiche omg omg
T'inquiète, tu resteras prio et iciet dans mon lit
Et t'inquiète Ju Kan j'ai re-pleiiin d'idées now !
Puis Percy wesh, m'man, c'est quoi ce bienvenue de flemmard ? Je mérite qu'un p'tit coeur, rien de plus, c'est ça ? Je t'ai même pas manqué ?
Sinon merci Chung Su et Ji Hoon
Ahlalala, pauvre petit, tu t'en es toujours pas remis depuis le temps à ce que je vois En plus tu dis ça mais j'suis sûr que tu ne rêves que de ça, moi chez les Pyobeoms histoire que tu puisses reluquer mon booty discrétos dans les dortoirs * sort*
T'inquiète, tu resteras prio et ici
Et t'inquiète Ju Kan j'ai re-pleiiin d'idées now !
Puis Percy wesh, m'man, c'est quoi ce bienvenue de flemmard ? Je mérite qu'un p'tit coeur, rien de plus, c'est ça ? Je t'ai même pas manqué ?
Sinon merci Chung Su et Ji Hoon
Ahlalala, pauvre petit, tu t'en es toujours pas remis depuis le temps à ce que je vois En plus tu dis ça mais j'suis sûr que tu ne rêves que de ça, moi chez les Pyobeoms histoire que tu puisses reluquer mon booty discrétos dans les dortoirs * sort*
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 14:37 Citer EditerSupprimer
par contre la belle ça va pas être possible que tu changes de groupe, étant donné que tu fait un reboot de perso certes, mais c'est toujours rahel donc t'as trois possibilités : rester chez les sangos, passer scorpions, ou passer student !
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Re: ahn rahel ➖ 'cuz i need a second round... | Mer 12 Aoû - 14:39 Citer EditerSupprimer
naaaaa j'reste chez les sangos alors, no way que je bouge.
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