NOM : Kim. PRÉNOM : Ena. ÂGE : vingt et un ans. ORIGINES : coréenne mais du côté de mon grand père un peu de sang italien. NATIONALITÉ : coréenne. CLASSE SOCIALE : riche. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle et ce n'est même pas négociable. Je ne m'entiche pas de filles et encore moins de mecs pleurnichards, efféminés, avec une virilité inexistante. J'suis assez exigeante dans ce domaine là.CURSUS UNIVERSITAIRE : Lettres, langues et arts MÉTIER : Pas besoin, papa et mom, sont là !Code du règlement : ok by spleen TU VEUX T'INVESTIR? : OUI.

“ Rumour has it : Elle aurait tourné une sextape avec son ex.(v)+ Son frère est en prison pour avoir trafiqué avec des gens de la mafia. (f) + Elle est détesté par un paquet de gens avec sa soeur, parce qu'elles ont des allures de petites connes pourries gâtées. (v)+Elle aurait fait un plan à trois avec sa soeur et un type de l'université. (f)+ Très soignée, on l'a déjà arrêté dans la rue pour poser dans un magasine de lingerie.(v) + Elle peut être adorable et mignonne. (f)+ Grande fêtarde, elle se rend souvent aux soirées techno.(v) + Elle cache plusieurs tatouages.(v)

“ Caractère : Signons les dires de cette jeune femme par des sourires belliqueux. L’innocence dessinée sur les traits de son visage, la première impression sur ce brin de féminité est très loin de la vérité. Si elle se fait passer pour un faux ange, son caractère de princesse arrogante, excentrique, capricieuse mais souriante continue de grandir. Désenchantement dans sa totalité, Ena est trop sûr d'elle, sa taille imposante de mannequin la soulève au dessus des autres. Elle n'a pas vraiment de sens de l'humour (c'est ce qu'elle fait croire mais avec ses mimiques théâtrales et ses sautes d'humeurs amusantes, la salle l'acclamerait.) Elle est une handicapé des sentiments et se mettre à nue, pleurer, tout ça, c'est un phénomène très rare. On lui a apprit à ne pas être une faible et de mépriser ceux qui le sont.

99% concentrée sur son apparence, elle est très soignée physiquement et ne tolère aucun écart à ce sujet (écart toléré seulement en soirée lorsqu'elle passe son temps à se déchaîner sur la piste de danse, les cheveux collés au visage et transpirante.) Mais le plus étonnant, c'est qu'elle ne prête nullement attention au physique des autres filles, la compétition, l’œil critique, la jalousie, c'est pas son domaine de prédilection. Elle est belle et elle le sait. Son estime de soi est-elle qu'elle ne se pose jamais de questions sur son apparence, les mecs à ses pieds et parfois des filles peuvent le témoigner. Perfectionniste, moqueuse, difficile, provocante, dominatrice, indépendante, elle peut devenir un vrai caméléon et se laisser emporter par l'influence des autres, notamment de sa sœur et de ses amis proches. Fidèle, avec le sens de l'honneur, les gens qu'elle ne "déteste pas" voit en elle une protectrice, parfois un peu lourde et trop inquiète.

“ Once upon a time : « Tu savais que la clope ça  jaunissait les dents ?  Mais qu'importe, malboro ou tout ce que tu voudras, c'est quand même bon ce machin. Je me rappelle mon premier baiser, comme un vieux film ou la bande annonce d'une histoire frivole entre deux adolescents. Humide, un peu trop, mais un contact doux et mentholé, j'ai vraiment appréciée cet instant. Ne me demande pas toute de suite pourquoi j'ai commencé de te raconter ce détail, si je l'explique bien tu comprendras indépendamment de mes explications. Je me suis souvent demandé pourquoi les gens chérissaient les premiers baisers, la meilleure solution me semblait l’expérience. Ce gars, je l'ai un peu forcé à m'embrasser mais il aurait pu dire non. La langue est venue plus tard. Je lui violais carrément les lèvres parce que j'en redemandais. Ce n'était pas une affaire d'hormones mais une idée qui me venait bêtement sur le coup: "Un bon baiser, ça fait grandir.Je suis devenue une femme. Enfin pas complètement." Alors, j'étais persuadée que je devais coucher avec lui pour accomplir et devenir finalement une vraie déesse.

« Est-ce qu'une fille devient une femme grâce à un homme ?»

C'était mon rêve que je protégeais et fantasmais en silence. Les enfants rêvaient de paradis, de monde où tout leur semblait merveilleux, moi je voulais devenir une femme adulte et adulée par les autres.  Alors j'ai poursuivi ce fantasme qui m'animait, aux côtés de ma sœur aînée, nous partagions la même pensée. Avec le temps, j'ai réfléchi en permanence et je me suis dit que Dévie et moi-même nous avions grandi trop vite. On avait à peine treize ans, un corps peu formé que nous désirons les plaisirs d'une femme. A vingt ans, c'est saisissant de remarquer un problème. Dieu nous avait-il puni ? Satan nous provoquait ? Et même si cette idée me parait saugrenue, j'ai encore envie de devenir une femme, celle au dessus des autres.» Morceau de papier trouvé entre deux bouteilles après une soirée un peu trop alcoolisée.