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I'm robocock feat Park Byeol
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I'm robocock feat Park Byeol | Jeu 5 Nov - 18:43 Citer EditerSupprimer
Aujourd'hui, ça va être une journée très mouvementée puisque mon lycée accueil un autre lycée pendant une semaine. Il y avait des épreuves sportives etc … Mais je n'avais qu'une envie, c'est de me casser. J'étais avec mes potes à glander et on parlait de tout et n'importe quoi. Enfin, disons qu'on discute des filles du lycée qu'on accueil actuellement, il y en avait des belles, mais, personnellement, je reste sur la personne qui me plait ici et qui est présente en ce moment dans l'établissement. C'est ma belle petite nympho de prof. Nous avons des aventures sexuelles et elle a ma parole, comme quoi, je ne raconterai pas à mes amis de ce qui se passe en dehors des cours avec elle. Il ne fallait pas que ça se sache. Elle pouvait perdre son travail à cause d'une aventure avec un élève, alors je me fais discret en racontant que j'ai réussi à me faire une fille de ma classe et évidemment, c'est le cas puisqu'elles sont, presque, toutes passées sur le billard. « Hey, Suwun ! Tu en penses quoi des filles de l'autre lycée ? Tu n'as rien dit, tu ne fais qu'écouter ! Dis-nous tes impressions. » Je fis mine de réfléchir et je regarde attentivement une bande de fille qui était en face de nous. Elles riaient pour tout et rien puis elles devaient parler de nous puisqu'elles ont le regard tourné vers nous. « Sincèrement, il n'y a pas mon style, alors, pour l'instant, je ne peux rien dire. » dis-je en faisant une petite moue. « Tu es plus compliqué qu'une gonzesse ! Personne ne te satisfait ! » me dit-il en me taquinant. S'il savait que celle qui me satisfait n'est autre que notre professeur, je crois qu'il arrêterait de m'emmerder pendant des années. Je sors de ma poche, mon téléphone portable qui venait de vibrer puisque j'ai reçu un message de la belle femme qui me sert de professeur qui me disait de la rejoindre dans la réserve qui était juste derrière sa salle de classe. Je me lève et je pars en courant en direction de la réserve. Une fois que j'arrive à direction, j'ouvre la porte de la réserve et je referme celle-ci sans aucune délicatesse pour montrer mon envie à ma partenaire. Nous faisions ce qu'on avait à faire, c'est à la fois tendre, passionnant donc je peux vous dire que c'est assez explosif sans me vanter. D'un coup, on a été coupé puisque la porte s'est ouverte d'un coup et la professeur se retira trop vite, alors, je peux vous dire que je suis en train de souffrir puisqu'elle a fracturée mon membre. Oui, oui, il est cassé. Je remets vite fait mon caleçon et mon pantalon tout en tenant ce que j'ai entre les jambes, je regarde la jeune lycéenne qui venait de rentrer dans la réserve. « Au lieu de me regarder comme ça, tu pourrais m'aider en appelant les pompiers s'il te plait ? » demandai-je en gémissant de douleur. « Qu'elle salope, elle n'assume pas qu'on couche ensemble, aish ! »
Aujourd'hui, ça va être une journée très mouvementée puisque mon lycée accueil un autre lycée pendant une semaine. Il y avait des épreuves sportives etc … Mais je n'avais qu'une envie, c'est de me casser. J'étais avec mes potes à glander et on parlait de tout et n'importe quoi. Enfin, disons qu'on discute des filles du lycée qu'on accueil actuellement, il y en avait des belles, mais, personnellement, je reste sur la personne qui me plait ici et qui est présente en ce moment dans l'établissement. C'est ma belle petite nympho de prof. Nous avons des aventures sexuelles et elle a ma parole, comme quoi, je ne raconterai pas à mes amis de ce qui se passe en dehors des cours avec elle. Il ne fallait pas que ça se sache. Elle pouvait perdre son travail à cause d'une aventure avec un élève, alors je me fais discret en racontant que j'ai réussi à me faire une fille de ma classe et évidemment, c'est le cas puisqu'elles sont, presque, toutes passées sur le billard. « Hey, Suwun ! Tu en penses quoi des filles de l'autre lycée ? Tu n'as rien dit, tu ne fais qu'écouter ! Dis-nous tes impressions. » Je fis mine de réfléchir et je regarde attentivement une bande de fille qui était en face de nous. Elles riaient pour tout et rien puis elles devaient parler de nous puisqu'elles ont le regard tourné vers nous. « Sincèrement, il n'y a pas mon style, alors, pour l'instant, je ne peux rien dire. » dis-je en faisant une petite moue. « Tu es plus compliqué qu'une gonzesse ! Personne ne te satisfait ! » me dit-il en me taquinant. S'il savait que celle qui me satisfait n'est autre que notre professeur, je crois qu'il arrêterait de m'emmerder pendant des années. Je sors de ma poche, mon téléphone portable qui venait de vibrer puisque j'ai reçu un message de la belle femme qui me sert de professeur qui me disait de la rejoindre dans la réserve qui était juste derrière sa salle de classe. Je me lève et je pars en courant en direction de la réserve. Une fois que j'arrive à direction, j'ouvre la porte de la réserve et je referme celle-ci sans aucune délicatesse pour montrer mon envie à ma partenaire. Nous faisions ce qu'on avait à faire, c'est à la fois tendre, passionnant donc je peux vous dire que c'est assez explosif sans me vanter. D'un coup, on a été coupé puisque la porte s'est ouverte d'un coup et la professeur se retira trop vite, alors, je peux vous dire que je suis en train de souffrir puisqu'elle a fracturée mon membre. Oui, oui, il est cassé. Je remets vite fait mon caleçon et mon pantalon tout en tenant ce que j'ai entre les jambes, je regarde la jeune lycéenne qui venait de rentrer dans la réserve. « Au lieu de me regarder comme ça, tu pourrais m'aider en appelant les pompiers s'il te plait ? » demandai-je en gémissant de douleur. « Qu'elle salope, elle n'assume pas qu'on couche ensemble, aish ! »
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Jeu 5 Nov - 19:46 Citer EditerSupprimer
C'est à se demander ce que tu fous là. Pour toi, les rencontres sportives sont une perte de temps. Tout ce qui est de l'ordre du collectif est une perte de temps. Tu préfères faire les trucs seule dans ton coin plutôt que de te retrouver dans un groupe avec tes "camarades". Et puis, de toute façon, personne ne veut travailler avec toi. Donc ça t'arrangeait dans un sens. T'avais la paix, c'était très bien comme ça. Et point barre.
Mais cette rencontre, elle n'enchante pas que toi. Le reste de ton école de petit bourgeois prétentieux dans laquelle Papa Maman ont beaucoup investis avec leurs pépettes, ne saute pas de joie. Comment osaient-ils vous mélanger à des gens aussi bas de gamme que ce lycée de quartier ? Honnêtement toi, tu t'en fous. Tu sais juste que tu n'auras pas cours et que ce sera facile pour toi de feindre une quelconque excuse. Ou bien de te faire la malle dans un coin du lycée et te la couler douce.
C'est dans cette optique que tu te retrouves à vadrouiller autour du lycée. Vaut mieux te cacher ou l'un de tes profs seraient capables de te faire rappliquer sur le terrain en deux deux. Que dalle ! Une porte attire ton attention et sans réfléchir, tu ouvres la porte d'un grand coup. Mais peut-être que tu aurais dû s'abstenir ...
Devant toi, une scène de batifolage. Entre une prof et un élève. Et bah. Tu restes bouche bée, choquée, tellement que tu prends même pas compte que la femme qui se sauve à la hâte, sa jupe encore relevée. C'est à peine si tu fais attention au garçon qui se relève difficilement, en poussant des cris de douleurs. Sans comprendre, tu fais ce qu'il te demande, les yeux rivés sur lui. Une voix au téléphone t'annonce que ton appel est pris et tu bredouilles quelque mot : « Euh oui. J'appelle pour euh ... un accident ? ... Pour quoi ? ». Tu te tournes vers le jeune homme : « Euh, t'as mal où ? ». Un regard vers son entre-jambe te fait comprendre que c'est de là que le problème vient. C'était possible de se casser ça ? « J-je crois que c'est pour une euh ... douleur au pénis ! », hurles-tu rouge de honte. C'est ça qu'il se passe d'habitude dans les lycées de banlieue?
C'est à se demander ce que tu fous là. Pour toi, les rencontres sportives sont une perte de temps. Tout ce qui est de l'ordre du collectif est une perte de temps. Tu préfères faire les trucs seule dans ton coin plutôt que de te retrouver dans un groupe avec tes "camarades". Et puis, de toute façon, personne ne veut travailler avec toi. Donc ça t'arrangeait dans un sens. T'avais la paix, c'était très bien comme ça. Et point barre.
Mais cette rencontre, elle n'enchante pas que toi. Le reste de ton école de petit bourgeois prétentieux dans laquelle Papa Maman ont beaucoup investis avec leurs pépettes, ne saute pas de joie. Comment osaient-ils vous mélanger à des gens aussi bas de gamme que ce lycée de quartier ? Honnêtement toi, tu t'en fous. Tu sais juste que tu n'auras pas cours et que ce sera facile pour toi de feindre une quelconque excuse. Ou bien de te faire la malle dans un coin du lycée et te la couler douce.
C'est dans cette optique que tu te retrouves à vadrouiller autour du lycée. Vaut mieux te cacher ou l'un de tes profs seraient capables de te faire rappliquer sur le terrain en deux deux. Que dalle ! Une porte attire ton attention et sans réfléchir, tu ouvres la porte d'un grand coup. Mais peut-être que tu aurais dû s'abstenir ...
Devant toi, une scène de batifolage. Entre une prof et un élève. Et bah. Tu restes bouche bée, choquée, tellement que tu prends même pas compte que la femme qui se sauve à la hâte, sa jupe encore relevée. C'est à peine si tu fais attention au garçon qui se relève difficilement, en poussant des cris de douleurs. Sans comprendre, tu fais ce qu'il te demande, les yeux rivés sur lui. Une voix au téléphone t'annonce que ton appel est pris et tu bredouilles quelque mot : « Euh oui. J'appelle pour euh ... un accident ? ... Pour quoi ? ». Tu te tournes vers le jeune homme : « Euh, t'as mal où ? ». Un regard vers son entre-jambe te fait comprendre que c'est de là que le problème vient. C'était possible de se casser ça ? « J-je crois que c'est pour une euh ... douleur au pénis ! », hurles-tu rouge de honte. C'est ça qu'il se passe d'habitude dans les lycées de banlieue?
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Ven 6 Nov - 20:50 Citer EditerSupprimer
Pour la première fois de ma vie, je crois que je regrette d'être partie voir la professeur pour coucher avec elle. Cette idiote est partie à toute vitesse quand la fille avait ouvert, brusquement, la porte. Je lui ai demandé d'appeler les pompiers, puisque, j'ai énormément mal au bas du ventre. Je crois que l'espèce de connasse qui me sert de plan cul vient de me casser mon membre, je vais avoir l'air con quand mon frère et ma petit-soeur vont savoir ça. Je m'attends à des moqueries, je soupire et je regarde la lycéenne qui était en face de moi. Elle doit faire partie du lycée qu'on accueil actuellement pour les rencontres sportives. « Ils arrivent dans combien de temps ? » demandai-je en serrant un peu plus mes bijoux de famille. Je voulais qu'ils arrivent le plus vite possible, je ne peux pas rester comme ça, je tente de faire bonne figure même j'ai très mal, mais à un moment donné, je vais m'allonger sur le sol et hurler à la mort pour m’apaiser un petit peu. Bon, j'avoue que ça ne va pas faire disparaître ma douleur donc il vaut mieux que je sois patient. « Je me demande bien pour quelles raisons, tu es venue dans cette pièce, tu as cru que c'était la base secrète de batman ? » demandai-je en essayant de faire de l'humour et surtout en essayant d'oublier la douleur que j'avais dans le pantalon. Je pense que tous les élèves n'auraient pas pensées à ouvrir cette porte puisqu'elle ne sert à rien, sauf à ranger certains matériels pour le cours. C'est sûr qu'elle n'est pas de ce lycée, je me demande si elle était en train de se marrer intérieurement et c'est si c'était le cas, je pouvais la comprendre, un mec qui couche avec sa professeur et que celle-ci lui pète le membre, c'est toujours drôle. On pourrait croire que ça vient du film, American Pie. « Il faut que je trouve une excuse pour les pompiers, je ne vais pas dire que je me suis cassé le pénis en me masturbant. » Je commence à réfléchir puis je regarde la jeune femme attentivement. « Au pire ! On dit qu'on a couché ensemble !? On s'emmerder et on est parti s'amuser un peu ! Tu peux faire ça pour moi ? » demandai-je en espérant qu'elle accepte ma demande.
Pour la première fois de ma vie, je crois que je regrette d'être partie voir la professeur pour coucher avec elle. Cette idiote est partie à toute vitesse quand la fille avait ouvert, brusquement, la porte. Je lui ai demandé d'appeler les pompiers, puisque, j'ai énormément mal au bas du ventre. Je crois que l'espèce de connasse qui me sert de plan cul vient de me casser mon membre, je vais avoir l'air con quand mon frère et ma petit-soeur vont savoir ça. Je m'attends à des moqueries, je soupire et je regarde la lycéenne qui était en face de moi. Elle doit faire partie du lycée qu'on accueil actuellement pour les rencontres sportives. « Ils arrivent dans combien de temps ? » demandai-je en serrant un peu plus mes bijoux de famille. Je voulais qu'ils arrivent le plus vite possible, je ne peux pas rester comme ça, je tente de faire bonne figure même j'ai très mal, mais à un moment donné, je vais m'allonger sur le sol et hurler à la mort pour m’apaiser un petit peu. Bon, j'avoue que ça ne va pas faire disparaître ma douleur donc il vaut mieux que je sois patient. « Je me demande bien pour quelles raisons, tu es venue dans cette pièce, tu as cru que c'était la base secrète de batman ? » demandai-je en essayant de faire de l'humour et surtout en essayant d'oublier la douleur que j'avais dans le pantalon. Je pense que tous les élèves n'auraient pas pensées à ouvrir cette porte puisqu'elle ne sert à rien, sauf à ranger certains matériels pour le cours. C'est sûr qu'elle n'est pas de ce lycée, je me demande si elle était en train de se marrer intérieurement et c'est si c'était le cas, je pouvais la comprendre, un mec qui couche avec sa professeur et que celle-ci lui pète le membre, c'est toujours drôle. On pourrait croire que ça vient du film, American Pie. « Il faut que je trouve une excuse pour les pompiers, je ne vais pas dire que je me suis cassé le pénis en me masturbant. » Je commence à réfléchir puis je regarde la jeune femme attentivement. « Au pire ! On dit qu'on a couché ensemble !? On s'emmerder et on est parti s'amuser un peu ! Tu peux faire ça pour moi ? » demandai-je en espérant qu'elle accepte ma demande.
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Lun 9 Nov - 20:57 Citer EditerSupprimer
Honnêtement, tu ne sais pas si tu devrais rire ou bien être consternée. Tu venais quand même de trouver une prof en train de fricoter avec un élève ! Enfin bon, après tout, c'était pas tes oignons, tu ne connaissais aucun des deux, alors à quoi bon taper un scandale ? En temps normal, tu t'en serais fait une joie, histoire de pimenter un peu ta journée. Mais tu es assez intelligente pour comprendre que dans le cas présent, le mieux, c'était de se la fermer. Tu pourrais toujours faire comme si tu n'avais rien vu et partir, dire que tu t'étais endormie dans un coin pour paraître tout aussi « choquée » que les autres par cette histoire.
Tu pourrais le laisser là, dans sa merde avec les parties génitales probablement en feu. C'est vrai quoi, tu le connais même pas, pourquoi tu irais te mouiller (façon de parler) pour un type comme lui ? Mais non, au lieu de ça, voilà qu'un rire, puis deux, puis plusieurs s'échappent de ta bouche alors que tu es toujours au téléphone avec les pompiers, mais surtout devant le pauvre garçon qui à l'air au bord du malaise. « Oui, d'accord, dans moins de 10 minutes alors », arrives-tu tout de même à articuler sérieusement. Une fois raccroché, il ne te faut pas plus d'un coup d’œil pour repartir dans un fou rire. « P-pardon vraiment, c'est méchant de rire, mais ... » et voilà que les rires redoublent à t'en faire mal au bide.
Tu finis tout de même par t'accroupir à côté de lui, tentant de redevenir au calme et répondre à ces questions qui, tu l'espères, le distrairont de cette situation unique. « Non, je m'ennuyais et j'avais envie de me faire choper par mon prof. J'étais venue pour me planquer, j'étais pas sensée savoir que tu t'envoyais en l'air avec ta prof. Pas cool qu'elle t'ait planté là d'ailleurs ». Quelle connasse. Bon en même temps, elle risquait de perdre son job. Enfin, elle aurait toujours pu inventer un bobard comme celui qu'il vient de te proposer. Autant dire que tu manques à moitié de d'étouffer avec ta propre salive. « Et pourquoi je ferais ça ? On se connaît même pas ! J'veux bien que tu veuilles pas la dénoncer, mais j'ai rien à faire dans cette histoire ! », lui dis-tu d'un air déterminé. Il te faudrait une bonne raison pour accepter.
Honnêtement, tu ne sais pas si tu devrais rire ou bien être consternée. Tu venais quand même de trouver une prof en train de fricoter avec un élève ! Enfin bon, après tout, c'était pas tes oignons, tu ne connaissais aucun des deux, alors à quoi bon taper un scandale ? En temps normal, tu t'en serais fait une joie, histoire de pimenter un peu ta journée. Mais tu es assez intelligente pour comprendre que dans le cas présent, le mieux, c'était de se la fermer. Tu pourrais toujours faire comme si tu n'avais rien vu et partir, dire que tu t'étais endormie dans un coin pour paraître tout aussi « choquée » que les autres par cette histoire.
Tu pourrais le laisser là, dans sa merde avec les parties génitales probablement en feu. C'est vrai quoi, tu le connais même pas, pourquoi tu irais te mouiller (façon de parler) pour un type comme lui ? Mais non, au lieu de ça, voilà qu'un rire, puis deux, puis plusieurs s'échappent de ta bouche alors que tu es toujours au téléphone avec les pompiers, mais surtout devant le pauvre garçon qui à l'air au bord du malaise. « Oui, d'accord, dans moins de 10 minutes alors », arrives-tu tout de même à articuler sérieusement. Une fois raccroché, il ne te faut pas plus d'un coup d’œil pour repartir dans un fou rire. « P-pardon vraiment, c'est méchant de rire, mais ... » et voilà que les rires redoublent à t'en faire mal au bide.
Tu finis tout de même par t'accroupir à côté de lui, tentant de redevenir au calme et répondre à ces questions qui, tu l'espères, le distrairont de cette situation unique. « Non, je m'ennuyais et j'avais envie de me faire choper par mon prof. J'étais venue pour me planquer, j'étais pas sensée savoir que tu t'envoyais en l'air avec ta prof. Pas cool qu'elle t'ait planté là d'ailleurs ». Quelle connasse. Bon en même temps, elle risquait de perdre son job. Enfin, elle aurait toujours pu inventer un bobard comme celui qu'il vient de te proposer. Autant dire que tu manques à moitié de d'étouffer avec ta propre salive. « Et pourquoi je ferais ça ? On se connaît même pas ! J'veux bien que tu veuilles pas la dénoncer, mais j'ai rien à faire dans cette histoire ! », lui dis-tu d'un air déterminé. Il te faudrait une bonne raison pour accepter.
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Jeu 12 Nov - 17:33 Citer EditerSupprimer
Je crois que je vais devoir couper les ponts avec cette professeur à la con. Elle m'abandonne, elle ne veut pas assumer la relation qu'elle venait d'avoir avec moi, et comme un con, je la protège en demandant à une fille que je ne connais pas de dire que c'est elle qui m'a explosée ma partie génitale. Les pompiers vont sûrement nous dire de ne pas coucher sans se connaître, mais bon, j'ai déjà eu des discours comme ça par mon grand-frère. Ouais, bon, les femmes pour l'instant, sont des plans culs et rien d'autre, je n'ai pas trouvé la perle rare, alors autant en profiter au maximum pour que je ne regrette pas une fois que je serais casé. Ma tête se relève lorsque j'entends la lycéenne éclater de rire. Je le prends mal évidemment, mais c'était certain qu'elle allait se foutre de ma tronche. Qui n'aurait pas rigolé dans une situation pareille ? Je pense que j'aurais moi-même rigolé, mais là, je n'avais pas envie de rire tellement, j'avais mal. Je veux tellement m'envoler ailleurs pendant un instant et ne plus entendre le rire de cette demoiselle. Ouais, j'avais honte, il est normal que je veuille m'exiler dans un pays. « L'Italie ? Non… Le Brésil ? Ouais, c'est bien le Brésil » dis-je avant de lui poser toutes ses questions. Je ferai une nouvelle vie là-bas, je pourrais ouvrir mon garage et réparer des poubelles etc…
Elle était venue ici pour échapper à son professeur, mais dans quel sens ? Le professeur veut se la taper ou il veut qu'elle fasse une épreuve ? Bref, si c'était pour se la taper, elle avait raison de se planquer. Il y a beaucoup de personnes qui essayent de ne pas être dans leurs champs de visions, alors ils font en sortent de fuir le plus vite possible, et évidemment, il s'agit souvent des ceux qui font n'importe quoi en cours. « Tu peux toquer avant de rentrer ! Tu ne nous aurais pas découvert et je n'aurais pas eu ma teub morte » dis-je en regardant celle-ci au bord des larmes. Bon, elle avait envie de se cacher, c'est normal qu'elle n'ai pas frappée à la porte ! Je parle toujours avant de réfléchir. Bon, elle a l'air de refuser la proposition que j'ai proposée tout à l'heure, mais il fallait qu'elle accepte parce que c'est la carrière de la nympho qui est en jeu ! Je ne veux pas qui lui arrive une couille même si j'ai une grosse couille en ce moment ! « Tu as déjà appelée les pompiers donc tu peux aller jusqu'au bout du truc ! Si tu le fais, je te paye un petit truc ! » lançai-je. Je suis en train de la supplier. Enfin, presque, je suis trop gentil avec cette professeur, il faut peut-être que j'arrête de penser à elle.
Je crois que je vais devoir couper les ponts avec cette professeur à la con. Elle m'abandonne, elle ne veut pas assumer la relation qu'elle venait d'avoir avec moi, et comme un con, je la protège en demandant à une fille que je ne connais pas de dire que c'est elle qui m'a explosée ma partie génitale. Les pompiers vont sûrement nous dire de ne pas coucher sans se connaître, mais bon, j'ai déjà eu des discours comme ça par mon grand-frère. Ouais, bon, les femmes pour l'instant, sont des plans culs et rien d'autre, je n'ai pas trouvé la perle rare, alors autant en profiter au maximum pour que je ne regrette pas une fois que je serais casé. Ma tête se relève lorsque j'entends la lycéenne éclater de rire. Je le prends mal évidemment, mais c'était certain qu'elle allait se foutre de ma tronche. Qui n'aurait pas rigolé dans une situation pareille ? Je pense que j'aurais moi-même rigolé, mais là, je n'avais pas envie de rire tellement, j'avais mal. Je veux tellement m'envoler ailleurs pendant un instant et ne plus entendre le rire de cette demoiselle. Ouais, j'avais honte, il est normal que je veuille m'exiler dans un pays. « L'Italie ? Non… Le Brésil ? Ouais, c'est bien le Brésil » dis-je avant de lui poser toutes ses questions. Je ferai une nouvelle vie là-bas, je pourrais ouvrir mon garage et réparer des poubelles etc…
Elle était venue ici pour échapper à son professeur, mais dans quel sens ? Le professeur veut se la taper ou il veut qu'elle fasse une épreuve ? Bref, si c'était pour se la taper, elle avait raison de se planquer. Il y a beaucoup de personnes qui essayent de ne pas être dans leurs champs de visions, alors ils font en sortent de fuir le plus vite possible, et évidemment, il s'agit souvent des ceux qui font n'importe quoi en cours. « Tu peux toquer avant de rentrer ! Tu ne nous aurais pas découvert et je n'aurais pas eu ma teub morte » dis-je en regardant celle-ci au bord des larmes. Bon, elle avait envie de se cacher, c'est normal qu'elle n'ai pas frappée à la porte ! Je parle toujours avant de réfléchir. Bon, elle a l'air de refuser la proposition que j'ai proposée tout à l'heure, mais il fallait qu'elle accepte parce que c'est la carrière de la nympho qui est en jeu ! Je ne veux pas qui lui arrive une couille même si j'ai une grosse couille en ce moment ! « Tu as déjà appelée les pompiers donc tu peux aller jusqu'au bout du truc ! Si tu le fais, je te paye un petit truc ! » lançai-je. Je suis en train de la supplier. Enfin, presque, je suis trop gentil avec cette professeur, il faut peut-être que j'arrête de penser à elle.
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Mar 22 Déc - 18:38 Citer EditerSupprimer
Le pauvre. Sa fierté, sa virilité vient de voler en éclat et toi, tu ne trouves rien de mieux que de se foutre de sa gueule. En même temps, faut avouer que c'est pas quelque chose qu'on voit tous les jours. Il aura au moins eu le mérite d'éclairer ta journée, même si, quand les minutes à venir, tu allais devoir régler un problème assez sérieux. Après tout, c'est pas comme si tes profs pouvaient te réprimander. Ils ne se risqueraient jamais à perdre la petite redevance que ton père leur verse pour leur école pourrie. C'est vrai que ça te saoule d'être traité avec des pincettes, que les profs n'osent rien te dire de peur de perdre leur petit bonus de fin de mois. Y en avait pas un pour rattraper l'autre. Mais à ce moment précis, tu te dis que pour une fois, c'est un avantage. Tu sais que tu pourras facilement soudoyer ton prof pour qu'il n'appelle pas tes parents. Non pas que tes parents te puniraient, ils ne sont pas assez présents à la maison pour ça, mais tu n'as pas envie qu'ils soient au courant. Parce qu'en fait, t'es bien décidé à l'aider ce pauvre gars.
« Vous aviez qu'à fermer la porte aussi ou faire ça ailleurs ! Je veux bien que les mecs de ton âge aient tous un besoin constant de se faire astiquer le manche, mais quand même ». Ah les mecs. Tu surveilles l'allée pour indiquer le lieu de l'accident, pour ne pas dire du meurtre de son pénis, aux pompiers. C'est qu'il serait presque mignon à te supplier comme ça. Et surtout à croire qu'il pourrait t'acheter avec de l'argent :
« Tu sais, si j'ai besoin d'un truc, j'ai qu'à claquer des doigts pour qu'il me tombe tout cuit dans la main. Qu'est-ce qui te fait croire que tu peux m'acheter ? T'as pas l'air d'avoir un rond sinon tu serais pas dans ce lycée », lui réponds-tu avec ce sourire hautain qui en énerve plus d'un. « Mais ça marche, je te sers d'alibi. Tu me le revaudras ».
Tu t'assois à côté de lui, évitant de te remettre à rire une fois de plus. « Tu t'appelles comment au fait ? Moi, c'est Byeol ».
Le pauvre. Sa fierté, sa virilité vient de voler en éclat et toi, tu ne trouves rien de mieux que de se foutre de sa gueule. En même temps, faut avouer que c'est pas quelque chose qu'on voit tous les jours. Il aura au moins eu le mérite d'éclairer ta journée, même si, quand les minutes à venir, tu allais devoir régler un problème assez sérieux. Après tout, c'est pas comme si tes profs pouvaient te réprimander. Ils ne se risqueraient jamais à perdre la petite redevance que ton père leur verse pour leur école pourrie. C'est vrai que ça te saoule d'être traité avec des pincettes, que les profs n'osent rien te dire de peur de perdre leur petit bonus de fin de mois. Y en avait pas un pour rattraper l'autre. Mais à ce moment précis, tu te dis que pour une fois, c'est un avantage. Tu sais que tu pourras facilement soudoyer ton prof pour qu'il n'appelle pas tes parents. Non pas que tes parents te puniraient, ils ne sont pas assez présents à la maison pour ça, mais tu n'as pas envie qu'ils soient au courant. Parce qu'en fait, t'es bien décidé à l'aider ce pauvre gars.
« Vous aviez qu'à fermer la porte aussi ou faire ça ailleurs ! Je veux bien que les mecs de ton âge aient tous un besoin constant de se faire astiquer le manche, mais quand même ». Ah les mecs. Tu surveilles l'allée pour indiquer le lieu de l'accident, pour ne pas dire du meurtre de son pénis, aux pompiers. C'est qu'il serait presque mignon à te supplier comme ça. Et surtout à croire qu'il pourrait t'acheter avec de l'argent :
« Tu sais, si j'ai besoin d'un truc, j'ai qu'à claquer des doigts pour qu'il me tombe tout cuit dans la main. Qu'est-ce qui te fait croire que tu peux m'acheter ? T'as pas l'air d'avoir un rond sinon tu serais pas dans ce lycée », lui réponds-tu avec ce sourire hautain qui en énerve plus d'un. « Mais ça marche, je te sers d'alibi. Tu me le revaudras ».
Tu t'assois à côté de lui, évitant de te remettre à rire une fois de plus. « Tu t'appelles comment au fait ? Moi, c'est Byeol ».
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Sam 9 Jan - 17:37 Citer EditerSupprimer
Elle n'avait pas tort. On aurait dû fermer la porte, mais je crois que la professeur n'avait pas pensée à ce genre de problème. Elle aurait pu prévoir qu'une meuf ou un mec allait faire tout pour fuir les événements. Cette pièce est assez bien pour se planquer si on veut éviter le directeur ou une autre personne de l'administration. « Astiquer le manche ? Ouais, sûrement qu'on aurait dû fermer la porte, mais tu pouvais toquer. Imagine tu serais tombée sur le directeur de mon lycée, tu aurais fait quoi ? » lançai-je froidement. Je n'aime pas le ton qu'elle prend. Je lui donne raison, mais j'ai quand même raison sur le fait qu'elle aurait dû frapper avant d'entrer.
Le pire dans tout ça, c'est que je n'espère pas que mes amis vont se foutre de ma gueule. Ils vont croire que je me suis tapé la meuf d'un autre lycée, au lieu de ma professeur. Je suis dans la merde. De plus, je risque de me faire renvoyer pour m'être tapé une fille d'un autre établissement et je pense qu'elle aussi. Normalement, on se fait virer si quelqu'un couche à l'intérieur d'une école et les pompiers risquent d'entrer pour venir me cherche parce que je ne pourrais pas marcher tellement la douleur est forte. « Tu sais, si j'ai besoin d'un truc, j'ai qu'à claquer des doigts pour qu'il me tombe tout cuit dans la main. Qu'est-ce qui te fait croire que tu peux m'acheter ? T'as pas l'air d'avoir un rond sinon tu serais pas dans ce lycée » Je regarde la jeune femme droit dans les yeux. Pour qui elle se prend cette nana ? C'est à cause de mon lycée complètement pourri qu'elle sous-entend de pauvre.. Mon dieu le cliché. « Et toi, tu dois faire partie d'une famille de vieux raciste et qui espère que l'extrême droite domine le monde, non ? Ça fait quoi d'entendre un cliché, mademoiselle ? » Non, je ne suis pas vexé. Je veux lui faire comprendre qu'il faut qu'elle tourne plusieurs fois sa langue dans sa bouche. Son air hautain m'a complètement énervé, mais je commence à oublier l'énervement pour être ravi lorsqu'elle me dit qu'elle accepte d'être mon alibi. Bon, je n'aurais pas l'air con comme ça. « Je t'en remercie. Si tu as besoin d'aide n'hésite pas. Visiblement, on est des délinquant qui peuvent venir à ta rescousse dans ce lycée. » dis-je avant qu'elle me demande mon prénom. Je vais devoir lui rendre un énorme service. Personne n'aurait eu le courage de me couvrir. « Moi, c'est Su Wun. » Au moins, les présentations sont faites !
Quelques minutes plus tard, les pompiers sont arrivés dans l'établissement et ils étaient en train de nous chercher. « Où êtes-vous bordel !? Si c'est une blague, nous allons prévenir la police de vos canulars téléphoniques ! » Ça devait être le chef des pompiers. Je fais un bruit en disant qu'on est dans cette pièce sombre, et ils arrivent à toute vitesse dans la pièce. Je suis assis sur une table en cachant mes parties et un pompier me demande de retirer ma main pour qu'il puisse regarder. J'obéis et je n'ai pas pu m'empêcher de rire en pensant que c'était complètement con ce qui vient de m'arriver. « S'il vous plaît, est-ce que vous pouvez nous emmener discrètement au camion ? Je ne tiens pas à me faire virer du lycée et je ne veux pas que Byeol soit exclu du siens. » Le pompier me regarde et me fait signe qu'il y avait pas de soucis. Il explique à certains de ses collègues qu'ils vont devoir dire que c'est un canular et lui, moi et Byeol pourront partir dans le camion tranquillement. « Pourquoi ils sont aussi long à s'expliquer ? » demandai-je à Byeol.
Le pire dans tout ça, c'est que je n'espère pas que mes amis vont se foutre de ma gueule. Ils vont croire que je me suis tapé la meuf d'un autre lycée, au lieu de ma professeur. Je suis dans la merde. De plus, je risque de me faire renvoyer pour m'être tapé une fille d'un autre établissement et je pense qu'elle aussi. Normalement, on se fait virer si quelqu'un couche à l'intérieur d'une école et les pompiers risquent d'entrer pour venir me cherche parce que je ne pourrais pas marcher tellement la douleur est forte. « Tu sais, si j'ai besoin d'un truc, j'ai qu'à claquer des doigts pour qu'il me tombe tout cuit dans la main. Qu'est-ce qui te fait croire que tu peux m'acheter ? T'as pas l'air d'avoir un rond sinon tu serais pas dans ce lycée » Je regarde la jeune femme droit dans les yeux. Pour qui elle se prend cette nana ? C'est à cause de mon lycée complètement pourri qu'elle sous-entend de pauvre.. Mon dieu le cliché. « Et toi, tu dois faire partie d'une famille de vieux raciste et qui espère que l'extrême droite domine le monde, non ? Ça fait quoi d'entendre un cliché, mademoiselle ? » Non, je ne suis pas vexé. Je veux lui faire comprendre qu'il faut qu'elle tourne plusieurs fois sa langue dans sa bouche. Son air hautain m'a complètement énervé, mais je commence à oublier l'énervement pour être ravi lorsqu'elle me dit qu'elle accepte d'être mon alibi. Bon, je n'aurais pas l'air con comme ça. « Je t'en remercie. Si tu as besoin d'aide n'hésite pas. Visiblement, on est des délinquant qui peuvent venir à ta rescousse dans ce lycée. » dis-je avant qu'elle me demande mon prénom. Je vais devoir lui rendre un énorme service. Personne n'aurait eu le courage de me couvrir. « Moi, c'est Su Wun. » Au moins, les présentations sont faites !
Quelques minutes plus tard, les pompiers sont arrivés dans l'établissement et ils étaient en train de nous chercher. « Où êtes-vous bordel !? Si c'est une blague, nous allons prévenir la police de vos canulars téléphoniques ! » Ça devait être le chef des pompiers. Je fais un bruit en disant qu'on est dans cette pièce sombre, et ils arrivent à toute vitesse dans la pièce. Je suis assis sur une table en cachant mes parties et un pompier me demande de retirer ma main pour qu'il puisse regarder. J'obéis et je n'ai pas pu m'empêcher de rire en pensant que c'était complètement con ce qui vient de m'arriver. « S'il vous plaît, est-ce que vous pouvez nous emmener discrètement au camion ? Je ne tiens pas à me faire virer du lycée et je ne veux pas que Byeol soit exclu du siens. » Le pompier me regarde et me fait signe qu'il y avait pas de soucis. Il explique à certains de ses collègues qu'ils vont devoir dire que c'est un canular et lui, moi et Byeol pourront partir dans le camion tranquillement. « Pourquoi ils sont aussi long à s'expliquer ? » demandai-je à Byeol.
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Ven 15 Jan - 19:47 Citer EditerSupprimer
Votre débat était plus un dialogue de sourds qu'une véritable conversation. Alors même si ce n'est pas dans ton habitude de lâcher l'os en premier, tu veux bien admettre que, par principe, tu aurais pu frapper. « Bon okay, j'aurais pu frapper. Mais vous auriez pu aussi fermer la porte ! Fin du débat ». Autant dire qu'il y a pour le moment des problèmes plus graves à gérer qu'une porte verrouillée ou non. Même si elle était le déclencheur de cette situation. Mais ça revenait à savoir qui était venu avant : la poule ou l'oeuf ? En tout cas, tu n'avais pas vraiment envie de te lancer plus loin dans la question. Et là, tu pouvais affirmer que ton compagnon de mésaventure ne le voulait pas non plus.
Tu regardes par l'ouverture de la porte si les pompiers approchent lorsqu'il te répond plutôt férocement à ton commentaire sur sa classe sociale. Un sourire se peint sur tes lèvres alors que tu l'écoutes, ravie de constater qu'il n'a pas perdu la faculté de se grogner avec sa futur incapacité à se reproduire. Tu ne renchéris pas, mais tu te contentes simplement d'accepter son marché. Tu ne manques pas le petit pique qu'il te lance entre deux « Je saurais m'en souvenir. Tu m'en dois une pour tout ce bordel là », lui dis-tu avant de te retourner quand une voix masculine et grave résonne au loin. L'espace d'un instant, tu paniques. Tu espères qu'il ne s'agit pas de ton prof ou d'un autre enseignant, mais quand tu t'aperçois qu'il s'agit d'un pompier, tu soupires de soulagement. Mais, ça ne dure qu'un court moment.
Alors pour que votre excuse bidon tienne la route, tu joues la fille un peu embarrassée par la situation, celle qui ne sait pas où se mettre après ce qu'elle venait de faire, dans le sein d'un école. Mais dès que l'homme en uniforme repart de nouveau pour nous couvrir auprès de ces collègues, tu quittes rapidement ce masque. « Aucune idée, sûrement pour disperser tout le monde ? Je pensais pas qu'il accepterait. Il doit avoir vu des trucs plus glauques que ça ».
Tu entends du bruit à l'extérieur qui te font reprendre ton rôle de fille gênée. Le chef des pompiers est revenu, suivi de deux de ses collègues et d'un civière. « C'est bon, on a tout arrangé. Je vais te demander un dernier effort mon gars », dit-il tout en indiquant le lit à roulettes. Tandis qu'ils aident Su Wun à monter dessus, tu penses soudainement à tes parents parce que oui, il faudra bien quelqu'un pour venir te chercher à l'hôpital et qu'étant mineure, ils ne te laisseront jamais sortir seule. Et ton prof que va-t-il dire en ne te voyant plus ? Et puis merde, tu te fiches du prof, il n'a rien à te dire de toute façon.
Une fois le jeune homme sécurisé, les pompiers l'emmènent hors de cette réserve. Le trajet jusqu'au camion n'est pas long, mais ça te laisse suffisamment de temps pour apercevoir les têtes familières de tes supposés camarades de classe te dévisager. Heureusement que leurs commentaires ne t'atteignent pas sinon, tu serais déjà morte de honte. Tu t'installes après que Su Wun ait été monté dans le camion pour t'y installer à ton tour. Tu le regardes un instant avant de déclarer : « Tu les sens toujours au fait ? ». Bah oui, fallait au moins que tu te montres concernée un minimum. Vu que c'était de ta faute en plus ...
Votre débat était plus un dialogue de sourds qu'une véritable conversation. Alors même si ce n'est pas dans ton habitude de lâcher l'os en premier, tu veux bien admettre que, par principe, tu aurais pu frapper. « Bon okay, j'aurais pu frapper. Mais vous auriez pu aussi fermer la porte ! Fin du débat ». Autant dire qu'il y a pour le moment des problèmes plus graves à gérer qu'une porte verrouillée ou non. Même si elle était le déclencheur de cette situation. Mais ça revenait à savoir qui était venu avant : la poule ou l'oeuf ? En tout cas, tu n'avais pas vraiment envie de te lancer plus loin dans la question. Et là, tu pouvais affirmer que ton compagnon de mésaventure ne le voulait pas non plus.
Tu regardes par l'ouverture de la porte si les pompiers approchent lorsqu'il te répond plutôt férocement à ton commentaire sur sa classe sociale. Un sourire se peint sur tes lèvres alors que tu l'écoutes, ravie de constater qu'il n'a pas perdu la faculté de se grogner avec sa futur incapacité à se reproduire. Tu ne renchéris pas, mais tu te contentes simplement d'accepter son marché. Tu ne manques pas le petit pique qu'il te lance entre deux « Je saurais m'en souvenir. Tu m'en dois une pour tout ce bordel là », lui dis-tu avant de te retourner quand une voix masculine et grave résonne au loin. L'espace d'un instant, tu paniques. Tu espères qu'il ne s'agit pas de ton prof ou d'un autre enseignant, mais quand tu t'aperçois qu'il s'agit d'un pompier, tu soupires de soulagement. Mais, ça ne dure qu'un court moment.
Alors pour que votre excuse bidon tienne la route, tu joues la fille un peu embarrassée par la situation, celle qui ne sait pas où se mettre après ce qu'elle venait de faire, dans le sein d'un école. Mais dès que l'homme en uniforme repart de nouveau pour nous couvrir auprès de ces collègues, tu quittes rapidement ce masque. « Aucune idée, sûrement pour disperser tout le monde ? Je pensais pas qu'il accepterait. Il doit avoir vu des trucs plus glauques que ça ».
Tu entends du bruit à l'extérieur qui te font reprendre ton rôle de fille gênée. Le chef des pompiers est revenu, suivi de deux de ses collègues et d'un civière. « C'est bon, on a tout arrangé. Je vais te demander un dernier effort mon gars », dit-il tout en indiquant le lit à roulettes. Tandis qu'ils aident Su Wun à monter dessus, tu penses soudainement à tes parents parce que oui, il faudra bien quelqu'un pour venir te chercher à l'hôpital et qu'étant mineure, ils ne te laisseront jamais sortir seule. Et ton prof que va-t-il dire en ne te voyant plus ? Et puis merde, tu te fiches du prof, il n'a rien à te dire de toute façon.
Une fois le jeune homme sécurisé, les pompiers l'emmènent hors de cette réserve. Le trajet jusqu'au camion n'est pas long, mais ça te laisse suffisamment de temps pour apercevoir les têtes familières de tes supposés camarades de classe te dévisager. Heureusement que leurs commentaires ne t'atteignent pas sinon, tu serais déjà morte de honte. Tu t'installes après que Su Wun ait été monté dans le camion pour t'y installer à ton tour. Tu le regardes un instant avant de déclarer : « Tu les sens toujours au fait ? ». Bah oui, fallait au moins que tu te montres concernée un minimum. Vu que c'était de ta faute en plus ...
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Jeu 18 Fév - 19:06 Citer EditerSupprimer
Aurai-je préféré être mort ou devenir invisible ? Je trouvais ça ridicule de m'être pété le membre. Cela arrivait rarement qu'un homme arrive à se le casser. Je savais que les pompiers avaient sûrement vu pire, mais je ne voulais pas qu'on se fiche de moi. Je suis donc monté dans le camion de pompier avec celle qui me l'avait soit disant cassé. Franchement, je n'avais jamais vu quelqu'un venir en aide sur un problème aussi... Débile, et gênant à la fois... Il n'y a pas grand mon monde qui aurait eu le courage d'affirmer à tout le monde que c'est elle qui l'a cassé. Je ne voulais pas que la professeur avec qui j'ai eu l'acte sexuel n'ai pas de problème. Elle n'en aura pas et tout cela grâce à Byeol. Je ne savais pas quoi lui donner pour lui dire merci en retour, mais je trouverais bien quelque chose. Le camion roulait depuis quelques minutes.. Je n'ai pas pu lancer un regard à la jeune femme lorsqu'elle me demanda si je sentais toujours mon bas. « Pour te dire la vérité, je souffre. J'ai mal, mais vu que je suis avec des professionnels, je n'ai pas besoin de hurler à la mort. » Tu parles, c'est ce que j'avais envie de faire. Je faisais des grimaces lorsque le pompier voulait regarder s'il n'y avait pas un autre problème. Il me demanda si j'avais des maladies et j'en passe. Je disais non de la tête pour qu'il puisse faire son boulot et prévenir les infirmiers et infirmières qu'ils peuvent travailler sans aucun soucis.
Nous étions arrivés à l'hôpital et j'ai tout de suite été pris en charge pour les infirmiers. Ils ont vu que c'était cassé, alors je suis parti au bloc opératoire. Évidemment, je n'ai pas eu une opération locale comme certaines personnes pourraient le croire. En attendant, j'étais en train de rêver de choses sympathiques, mais ça devenait vite en cauchemar quand les personnes commencent à avoir la voix des personnes qui sont en train de réparer mon membre. Ils devaient avoir fini ou alors j'étais sûrement un fantôme qui ne voyait rien et qui restait près de mon corps.
Une heure plus tard, j'étais enfin réveillé. J'étais dans ma chambre avec Byeol et le moins qu'on puisse dire, c'est que cette rencontre restera dans les anales. Je suis persuadé qu'il n'y a personne qui a fait ce genre de rencontre. Bon, il est vrai que c'est une tue l'amour, mais qui ne vous dit pas qu'on serait de bons potes après cet épisode à la con ? « Ils t'ont posé des questions pendant que je me faisais opérer ? » Demandai-je en regardant la jeune femme droit dans les yeux. « Me dit pas qu'ils ont téléphoné à mon frère, ma sœur et mon père... Ils vont se foutre de moi vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et je sens déjà le surnom qui va me saouler. » Il manquerait plus que mon membre soit en fer pour qu'on me surnomme la queue de fer -comme l'attaque de Pikachu- ...
Nous étions arrivés à l'hôpital et j'ai tout de suite été pris en charge pour les infirmiers. Ils ont vu que c'était cassé, alors je suis parti au bloc opératoire. Évidemment, je n'ai pas eu une opération locale comme certaines personnes pourraient le croire. En attendant, j'étais en train de rêver de choses sympathiques, mais ça devenait vite en cauchemar quand les personnes commencent à avoir la voix des personnes qui sont en train de réparer mon membre. Ils devaient avoir fini ou alors j'étais sûrement un fantôme qui ne voyait rien et qui restait près de mon corps.
Une heure plus tard, j'étais enfin réveillé. J'étais dans ma chambre avec Byeol et le moins qu'on puisse dire, c'est que cette rencontre restera dans les anales. Je suis persuadé qu'il n'y a personne qui a fait ce genre de rencontre. Bon, il est vrai que c'est une tue l'amour, mais qui ne vous dit pas qu'on serait de bons potes après cet épisode à la con ? « Ils t'ont posé des questions pendant que je me faisais opérer ? » Demandai-je en regardant la jeune femme droit dans les yeux. « Me dit pas qu'ils ont téléphoné à mon frère, ma sœur et mon père... Ils vont se foutre de moi vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et je sens déjà le surnom qui va me saouler. » Il manquerait plus que mon membre soit en fer pour qu'on me surnomme la queue de fer -comme l'attaque de Pikachu- ...
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Dim 21 Fév - 12:14 Citer EditerSupprimer
Clairement, c'est la situation la plus embarrassante que tu aies jamais vécu de toute ta courte vie d'adolescente de 15 ans. Tu n'avais jamais pensé, ni même imaginé que ce genre de chose t'arriverait : tomber sur un mec et sa prof en train de batifoler dans une réserve tandis que toi, tu ne cherchais qu'une chose, te cacher de ton prof de sport; encore moins être la cause de cet incident. Et puis, quelle était la probabilité pour que tu tombes sur eux en plein ébat ? Et surtout qu'il se casserait le membre et que sa prof, au lieu d'assumer, s'enfuirait comme une pestiférée. C'est pas comme si t'allais la dénoncer, t'avais mieux à faire que ruiner la carrière d'une prof. Dans un sens, tu pouvais comprendre que si elle était restée, c'était foutu pour elle. Adieu sa réputation, son boulot, sa vie. Mais de là à l'abandonner avec un pénis cassé et une douleur apparemment des plus insupportables et atroces.
Et toi, t'es là, à sauver la mise d'une femme que tu ne connais même pas, à prendre la place de celle qui lui a causé ça. Alors durant tout le trajet, dans ta tête, c'est l'usine. Tu réfléchis à tout ce que tu pourrais dire aux médecins, aux infirmières qui te demanderont ce qui c'est passé parce que tu sais qu'ils chercheront à savoir pour avoir une folle anecdote à raconter durant les pauses par exemple. Faut dire que c'est pas tous les jours qu'un « couple » d'ados débarque avec ce genre de petits soucis. « Courage, on est bientôt arrivés ! », lui dis-tu avec un regard compatissant, même si tu ne pouvais pas imaginé la douleur qu'il ressentait.
Arrivés à l'hôpital, il est directement emmené en salle d'opération tandis que pour toi, c'est l'interrogatoire qui commence. Pendant plus d'une heure, tu expliques ce qu'il s'est passé, comment, pourquoi, oui, non, je ne sais pas. Bref, l'horreur. Et bien sûr, n'étant pas majeure, l'appel aux parents est inévitable, pour lui comme pour toi. A son réveil, tu te retrouves à ses côtés et tu n'as même pas le temps de lui demander s'il va bien qu'il t'interroge le premier : « Un vrai interrogatoire. Je leur ai dit qu'on se connaissait pas d'avant, qu'on se faisait chier durant la rencontre sportive, donc on est parti s'amuser un peu et que c'est arrivé parce que j'ai cru entendre quelqu'un rentrer et j'ai pris peur et crac. Voilà. Rajoute les petites larmes de culpabilité et hop, crédibilité à 100% ».
Une grimace se forme sur ton visage quand il parle de sa famille. « Malheureusement oui. Ils ont aussi appelé les miens. On est dans la même merde jusqu'au bout ». Tu te cales dans le fond du siège, le regard fixé sur le mur en face de toi. " Si on m'avait dit qu'un truc pareil m'arriverait ... Ça c'est bien passé au fait ? Pas trop dans le gaz ? D'ailleurs, si tu pouvais faire semblant d'être encore sous les coups de l’anesthésie quand nos parents arrivent comme ça, t'auras pas à parler et on aura plus de chance d'être crédible. Puis on partira sûrement plus vite d'ici ».
Clairement, c'est la situation la plus embarrassante que tu aies jamais vécu de toute ta courte vie d'adolescente de 15 ans. Tu n'avais jamais pensé, ni même imaginé que ce genre de chose t'arriverait : tomber sur un mec et sa prof en train de batifoler dans une réserve tandis que toi, tu ne cherchais qu'une chose, te cacher de ton prof de sport; encore moins être la cause de cet incident. Et puis, quelle était la probabilité pour que tu tombes sur eux en plein ébat ? Et surtout qu'il se casserait le membre et que sa prof, au lieu d'assumer, s'enfuirait comme une pestiférée. C'est pas comme si t'allais la dénoncer, t'avais mieux à faire que ruiner la carrière d'une prof. Dans un sens, tu pouvais comprendre que si elle était restée, c'était foutu pour elle. Adieu sa réputation, son boulot, sa vie. Mais de là à l'abandonner avec un pénis cassé et une douleur apparemment des plus insupportables et atroces.
Et toi, t'es là, à sauver la mise d'une femme que tu ne connais même pas, à prendre la place de celle qui lui a causé ça. Alors durant tout le trajet, dans ta tête, c'est l'usine. Tu réfléchis à tout ce que tu pourrais dire aux médecins, aux infirmières qui te demanderont ce qui c'est passé parce que tu sais qu'ils chercheront à savoir pour avoir une folle anecdote à raconter durant les pauses par exemple. Faut dire que c'est pas tous les jours qu'un « couple » d'ados débarque avec ce genre de petits soucis. « Courage, on est bientôt arrivés ! », lui dis-tu avec un regard compatissant, même si tu ne pouvais pas imaginé la douleur qu'il ressentait.
Arrivés à l'hôpital, il est directement emmené en salle d'opération tandis que pour toi, c'est l'interrogatoire qui commence. Pendant plus d'une heure, tu expliques ce qu'il s'est passé, comment, pourquoi, oui, non, je ne sais pas. Bref, l'horreur. Et bien sûr, n'étant pas majeure, l'appel aux parents est inévitable, pour lui comme pour toi. A son réveil, tu te retrouves à ses côtés et tu n'as même pas le temps de lui demander s'il va bien qu'il t'interroge le premier : « Un vrai interrogatoire. Je leur ai dit qu'on se connaissait pas d'avant, qu'on se faisait chier durant la rencontre sportive, donc on est parti s'amuser un peu et que c'est arrivé parce que j'ai cru entendre quelqu'un rentrer et j'ai pris peur et crac. Voilà. Rajoute les petites larmes de culpabilité et hop, crédibilité à 100% ».
Une grimace se forme sur ton visage quand il parle de sa famille. « Malheureusement oui. Ils ont aussi appelé les miens. On est dans la même merde jusqu'au bout ». Tu te cales dans le fond du siège, le regard fixé sur le mur en face de toi. " Si on m'avait dit qu'un truc pareil m'arriverait ... Ça c'est bien passé au fait ? Pas trop dans le gaz ? D'ailleurs, si tu pouvais faire semblant d'être encore sous les coups de l’anesthésie quand nos parents arrivent comme ça, t'auras pas à parler et on aura plus de chance d'être crédible. Puis on partira sûrement plus vite d'ici ».
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