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1, 2I'm robocock feat Park Byeol
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Jeu 7 Avr - 16:31 
J'aurais bien voulu rester pendant un jour ou deux sous l'effet de l'anesthésie. Au moins, je ne serais pas obligé de parler à mon frère et à ma sœur. Le pire va être de parler à mon père, mais comme il ne viendra pas à l'hôpital, j'ai le temps de me préparer mentalement. J'écoutais attentivement Byeol. Elle voulait que je fasse semblant d'être encore dans le gaz pour pouvoir partir rapidement et comme ça, je ne serais pas obligé de parler. Ma conscience me dit de parler à ses parents en disant qu'on n'a rien fait. Je ne voulais pas qu'elle soit une déception pour eux, je ne voulais pas qu'elle ait des problèmes familiaux à cause de moi. Je connais les problèmes de ce genre. Ma mère n'est qu'une petite salope qui profite du fric de ses amants et j'en passe. « Tu ne veux pas que je parle ? Tu es sûre ? » Mon visage montre que je suis inquiet pour elle. On ne se connaît pas plus que ça, mais ma réaction est tout à fait normal. Elle n'y est pour rien dans l'histoire. Pour le coup, je suis coupable avec la professeur avec qui je ne faisais qu'un tout à l'heure.
Mon portable vibre sûrement quelqu'un proche de moi qui demande si c'est vrai ce qui venait de m'arriver. Je n'allais pas répondre, car je ne voulais pas savoir qui était la personne qui venait de me l'envoyer. Je préfère rester dans mon lit d'hôpital en regardant la jeune femme qui attend ses parents. Pourquoi je me fout tout le temps dans des situations gênantes ? J'ai l'impression d'être le gros imbécile de base. Je n'allais pas faire le calimero, car ce n'est pas mon style. Quelqu'un venait de frapper à la porte, et je ferme tout de suite mes yeux lorsque je vois mon grand-frère rentrer à l'intérieur de la chambre d'hôpital. « Alors c'est elle la nouvelle membre de la famille ? » Je ne voulais pas lui parler et il commençait à dire de la merde. Il ne fallait pas que les parents de la jeune femme viennent maintenant, car il va m'humilier jusqu'au bout. Pourquoi ai-je couché avec la professeur de mon école ? Sincèrement, je me demande si j'ai un cerveau. Bon, si je tiens de mon frère, il est clair et net que je n'ai rien dans le crâne, mais ce n'est que mon avis.
Les parents de Byeol entre dans la chambre, je fais semblant d'être dans le gaz. J'écoute attentivement tout le monde parlait. Ça criait un petit peu, ça me faisait de la peine pour la jeune femme qui n'avait rien avoir dans l'histoire. Je voulais leur dire qu'elle était innocente, qu'elle n'y était pour rien, mais j'ai dû me taire pour que l'institutrice n'est pas de problème. Je ne suis pas là pour foutre la carrière de quelqu'un en l'air. « S'il.. S'il vous plaît, vous pouvez faire un peu moins de bruit ? J'ai mal à la tête... » Évidemment, son père m'a dit clairement que si je n'avais pas fait l'acte, je ne serais pas dans ce lit. Il avait raison, j'avais juste à m'écraser et à écouter ce qu'ils avaient à dire. Mon frère en avait strictement rien à faire. Pour lui, c'est normal qu'au XXIème siècle, deux jeunes s'envoient en l'air.
Mon portable vibre sûrement quelqu'un proche de moi qui demande si c'est vrai ce qui venait de m'arriver. Je n'allais pas répondre, car je ne voulais pas savoir qui était la personne qui venait de me l'envoyer. Je préfère rester dans mon lit d'hôpital en regardant la jeune femme qui attend ses parents. Pourquoi je me fout tout le temps dans des situations gênantes ? J'ai l'impression d'être le gros imbécile de base. Je n'allais pas faire le calimero, car ce n'est pas mon style. Quelqu'un venait de frapper à la porte, et je ferme tout de suite mes yeux lorsque je vois mon grand-frère rentrer à l'intérieur de la chambre d'hôpital. « Alors c'est elle la nouvelle membre de la famille ? » Je ne voulais pas lui parler et il commençait à dire de la merde. Il ne fallait pas que les parents de la jeune femme viennent maintenant, car il va m'humilier jusqu'au bout. Pourquoi ai-je couché avec la professeur de mon école ? Sincèrement, je me demande si j'ai un cerveau. Bon, si je tiens de mon frère, il est clair et net que je n'ai rien dans le crâne, mais ce n'est que mon avis.
Les parents de Byeol entre dans la chambre, je fais semblant d'être dans le gaz. J'écoute attentivement tout le monde parlait. Ça criait un petit peu, ça me faisait de la peine pour la jeune femme qui n'avait rien avoir dans l'histoire. Je voulais leur dire qu'elle était innocente, qu'elle n'y était pour rien, mais j'ai dû me taire pour que l'institutrice n'est pas de problème. Je ne suis pas là pour foutre la carrière de quelqu'un en l'air. « S'il.. S'il vous plaît, vous pouvez faire un peu moins de bruit ? J'ai mal à la tête... » Évidemment, son père m'a dit clairement que si je n'avais pas fait l'acte, je ne serais pas dans ce lit. Il avait raison, j'avais juste à m'écraser et à écouter ce qu'ils avaient à dire. Mon frère en avait strictement rien à faire. Pour lui, c'est normal qu'au XXIème siècle, deux jeunes s'envoient en l'air.
© CHARNEY
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Dim 8 Mai - 9:01
Il faut dire que tu trouvais ça touchant de le voir s'inquiéter pour toi. Au final, votre rencontre était des plus particulières. En tout cas, t'en connais pas beaucoup des gens qui copinent dans ce genre de situation. A vrai dire, t'aurais pu te casser, le laisser dans son merdier, mais t'en avais tellement marre d'être là que t'avais pris la poudre d'escampette dès que tu avais pu. Bon et aussi, il te faisait un peu pitié. C'est vrai quoi, cette bonne femme aurait pu assumer ou alors, faire genre elle l'avait trouvé dans cet état. Bon okay, niveau crédibilité, ça risquait de coincer. Alors que toi, une fois arrivés à l'hosto, on t'avait juste questionner. On t'avait aussi fait la morale sur le fait qu'à ton âge, on couche pas et encore moins avec un gars plus âgé et que tu ne connais pas. Bref, c'était entré par une oreille et sorti par l'autre. Ça sera pareil pour tes parents, tu les écouterais te disputer quelques minutes avant de décider que c'était fini. « Non t'en fais pas. Je leur expliquerai plus tard. Là ils vont gueuler un coup, mais après, ils y prêteront plus attention ».
Mais à sa mine inquiète, tu te demandes vraiment s'il est préoccupé par la réaction de ta famille ou de la sienne ? Quand celui que tu devines être son frère débarque dans la chambre comme s'il rentrait dans un bar, tu devines que c'était plutôt la deuxième option. Tu te contentes de le dévisager, ne lui adressant pas un mot. Il le méritait pas et puis, tu devais économiser ta salive pour l'arrivée de tes parents. Et quand on parle du loup ! A peine un pied mis dans la chambre, ton père monte sur ses grands chevaux. Tu soupires en écoutant ton père rajouter une couche, tourner tout au drame. Ta mère reste plantée à côté et te regarde d'un air insistant, s'attendant peut-être à des explications. « Papa, c'est bon. T'es en retard, on nous a déjà fait la leçon. Et puis, tu changeras pas ce qu'il s'est passé alors, tais toi ». Quand tu entends Su Wun se plaindre d'un mal de crâne, tu décides de virer tout le monde. Puis surtout, t'as deux petits mots à lui dire. « Allez, tout le monde dehors ! ». Tu te lèves de ta chaise et pousse tout le monde vers la sortie. « On a besoin de parler cinq minutes, tranquille ».
Tu fermes la porte derrière toi et c'est en lâchant un juron que tu te rassois à côté de Su Wun : « Bon, ça aurait pu être pire », lui dis-tu dans un sourire. « Va falloir que j'y aille. Je vais t'épargner la présence de mes parents, t'as déjà assez à faire avec ton frangin ». Tu remarques son téléphone sur la table de chevet et tu décides de le prendre. « J'te laisse mon numéro ». Tu récupères le sien avant de lui déclarer : « T'as intérêt à répondre quand je prendrai de tes nouvelles, tu me dois bien ça ! ». Tu reposes le mobile et avant de te lever, tu lui prends la main dans un geste « Tiens le coup. Et puis, laisse tomber les vieilles. T'as vu ce que ça donne ». Un dernier sourire et tu te lèves. « A plus tard ! ».
Derrière la porte, la meute est là. « C'est bon, on y va. Salut », lâches-tu à son frère avant de prendre le chemin de la sortie. Une chose est sûre, tu n'es pas prête d'oublier cette journée. Parce qu'aussi étrange et surprenante qu'elle fut, tu penses qu'elle se termine pour le mieux. Et puis, qui sait ? Su Wun deviendra peut-être un bon ami !
Il faut dire que tu trouvais ça touchant de le voir s'inquiéter pour toi. Au final, votre rencontre était des plus particulières. En tout cas, t'en connais pas beaucoup des gens qui copinent dans ce genre de situation. A vrai dire, t'aurais pu te casser, le laisser dans son merdier, mais t'en avais tellement marre d'être là que t'avais pris la poudre d'escampette dès que tu avais pu. Bon et aussi, il te faisait un peu pitié. C'est vrai quoi, cette bonne femme aurait pu assumer ou alors, faire genre elle l'avait trouvé dans cet état. Bon okay, niveau crédibilité, ça risquait de coincer. Alors que toi, une fois arrivés à l'hosto, on t'avait juste questionner. On t'avait aussi fait la morale sur le fait qu'à ton âge, on couche pas et encore moins avec un gars plus âgé et que tu ne connais pas. Bref, c'était entré par une oreille et sorti par l'autre. Ça sera pareil pour tes parents, tu les écouterais te disputer quelques minutes avant de décider que c'était fini. « Non t'en fais pas. Je leur expliquerai plus tard. Là ils vont gueuler un coup, mais après, ils y prêteront plus attention ».Mais à sa mine inquiète, tu te demandes vraiment s'il est préoccupé par la réaction de ta famille ou de la sienne ? Quand celui que tu devines être son frère débarque dans la chambre comme s'il rentrait dans un bar, tu devines que c'était plutôt la deuxième option. Tu te contentes de le dévisager, ne lui adressant pas un mot. Il le méritait pas et puis, tu devais économiser ta salive pour l'arrivée de tes parents. Et quand on parle du loup ! A peine un pied mis dans la chambre, ton père monte sur ses grands chevaux. Tu soupires en écoutant ton père rajouter une couche, tourner tout au drame. Ta mère reste plantée à côté et te regarde d'un air insistant, s'attendant peut-être à des explications. « Papa, c'est bon. T'es en retard, on nous a déjà fait la leçon. Et puis, tu changeras pas ce qu'il s'est passé alors, tais toi ». Quand tu entends Su Wun se plaindre d'un mal de crâne, tu décides de virer tout le monde. Puis surtout, t'as deux petits mots à lui dire. « Allez, tout le monde dehors ! ». Tu te lèves de ta chaise et pousse tout le monde vers la sortie. « On a besoin de parler cinq minutes, tranquille ».
Tu fermes la porte derrière toi et c'est en lâchant un juron que tu te rassois à côté de Su Wun : « Bon, ça aurait pu être pire », lui dis-tu dans un sourire. « Va falloir que j'y aille. Je vais t'épargner la présence de mes parents, t'as déjà assez à faire avec ton frangin ». Tu remarques son téléphone sur la table de chevet et tu décides de le prendre. « J'te laisse mon numéro ». Tu récupères le sien avant de lui déclarer : « T'as intérêt à répondre quand je prendrai de tes nouvelles, tu me dois bien ça ! ». Tu reposes le mobile et avant de te lever, tu lui prends la main dans un geste « Tiens le coup. Et puis, laisse tomber les vieilles. T'as vu ce que ça donne ». Un dernier sourire et tu te lèves. « A plus tard ! ».
Derrière la porte, la meute est là. « C'est bon, on y va. Salut », lâches-tu à son frère avant de prendre le chemin de la sortie. Une chose est sûre, tu n'es pas prête d'oublier cette journée. Parce qu'aussi étrange et surprenante qu'elle fut, tu penses qu'elle se termine pour le mieux. Et puis, qui sait ? Su Wun deviendra peut-être un bon ami !
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Re: I'm robocock feat Park Byeol | Lun 4 Juil - 15:08
Je suis gêné de laisser la demoiselle se faire engueuler par ses parents, alors qu'elle n'a rien fait du tout. Je voulais dire que ce n'était pas elle, elle est arrivée au mauvais endroit au mauvais moment. Ce n'est pas du tout sa faute. J'ai l'impression que ça va me hanter toute ma vie. Je suis resté sur le cul en voyant Byeol dire à son père qu'on nous avait déjà fait la leçon et qu'il ne changera pas ce qu'il s'est passé. Je pouvais me mettre à la place de son père, car je ne voudrais pas que ma fille couche avec un garçon au lycée. Et je ne pense pas que je voudrais qu'elle couche avec un garçon. Je crois que les hommes sont assez protecteurs avec leur fille, alors que c'est totalement différent avec leur fils. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être qu'ils se disent qu'ils étaient à leur place et que les hormones travail. En tout cas, je ne pense pas que mon père risque d'être compréhensif. Il va me faire la leçon de vie, et me dire ce que j'ai fait est mal. Mon frère ne va pas s'empêcher de lui dire et de rigoler puisque j'ai réussi à casser mon membre pendant un acte sexuelle. Je ne sais pas si je suis le seul dans ce cas-là, mais je n'espère pas que je sois le seul dans ce problème. Je suis sûr que les médecins et les infirmiers ont rigolé pendant l'opération et je pouvais tout à fait les comprendre. Je serais le premier à rire d'une connerie comme celle-ci, et j'en rigolerai lorsque j'en parlerai à mes amis.
Je regarde la jeune femme virer tout le monde de la chambre. Elle avait un charisme lorsqu'elle se montrait autoritaire. Je soupire de soulagement, ils ne m'ont pas trop bombardé de question et ils ne m'ont pas trop saoulé, mais je suppose que cette histoire ne va pas s'arrêter ici. Si ça se trouve lorsque je serais sorti de l'hôpital son père viendra me trouver et me dire mes quatre vérités. Sauf que je lui ferai comprendre que sa fille n'a rien à voir avec ça. Elle a couvert une professeur et ça s'arrête là. Les personnes innocentes prennent toujours dans la gueule, alors qu'elles n'ont rien fait. Je n'aime pas l'injustice, alors si son père ou sa mère vienne me voir, je dirai la vérité. Quelques minutes plus tard, la demoiselle revient dans la chambre, et je lui fais un petit sourire assez gêné. Je suis mal à l'aise, et ça pouvait se comprendre. De ce qu'elle me raconte, elle s'en est pas mal tirée. Je soupire de soulagement et j'en profite de lui déposer mes lèvres sur sa joue. « Merci. » Je l'a regarde prendre mon téléphone, et elle me donne son numéro de téléphone puis elle prend le mien. « Tu auras des nouvelles et je suppose que plus tard nous rigolerons de cette scène. » Est-ce qu'on attrape des numéros de téléphone en se cassant le membre ? Je crois que je suis le premier à réussir à obtenir un numéro comme ça. Je lui fais un signe de la main pour lui dire au revoir. « A plus tard ! » Pfiou, je vais pouvoir me reposer sans me prendre la tête. Elle a géré, et j'étais soulagé qu'elle n'est rien.
Je regarde la jeune femme virer tout le monde de la chambre. Elle avait un charisme lorsqu'elle se montrait autoritaire. Je soupire de soulagement, ils ne m'ont pas trop bombardé de question et ils ne m'ont pas trop saoulé, mais je suppose que cette histoire ne va pas s'arrêter ici. Si ça se trouve lorsque je serais sorti de l'hôpital son père viendra me trouver et me dire mes quatre vérités. Sauf que je lui ferai comprendre que sa fille n'a rien à voir avec ça. Elle a couvert une professeur et ça s'arrête là. Les personnes innocentes prennent toujours dans la gueule, alors qu'elles n'ont rien fait. Je n'aime pas l'injustice, alors si son père ou sa mère vienne me voir, je dirai la vérité. Quelques minutes plus tard, la demoiselle revient dans la chambre, et je lui fais un petit sourire assez gêné. Je suis mal à l'aise, et ça pouvait se comprendre. De ce qu'elle me raconte, elle s'en est pas mal tirée. Je soupire de soulagement et j'en profite de lui déposer mes lèvres sur sa joue. « Merci. » Je l'a regarde prendre mon téléphone, et elle me donne son numéro de téléphone puis elle prend le mien. « Tu auras des nouvelles et je suppose que plus tard nous rigolerons de cette scène. » Est-ce qu'on attrape des numéros de téléphone en se cassant le membre ? Je crois que je suis le premier à réussir à obtenir un numéro comme ça. Je lui fais un signe de la main pour lui dire au revoir. « A plus tard ! » Pfiou, je vais pouvoir me reposer sans me prendre la tête. Elle a géré, et j'étais soulagé qu'elle n'est rien.
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