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[/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥
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[/! -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Mer 18 Nov - 17:35
PLAYBOY'S DIARY
Béni soit le monde moderne ! La technologie, peu de gens oseraient s'en passer tellement elle nous est salutaire dans le quotidien. Un bon pourcentage de ce que contient une habitation n'est qu'un produit de l'ingéniosité humaine. La télévision, l'ordinateur, le frigidaire, le lave-linges et j'en passe ! Personne, sauf sans doute quelques fous qui s'imaginent envahis par les robots de terminator, ne rejetterait toutes ces choses pour revenir à l'âge de pierre.
Mais pourquoi tout ce petit paragraphe pour saluer, maladroitement, le progrès ? Parce que je n'ai rien d'autre à dire. Je ne suis pas en train de jouer à la console de jeu puisque, actuellement, je suis en train réviser mes cours. C'est bien chiant d'être en pleine révision, le professeur avait décidé de nous donner une évaluation. Je suis assez doué en cours, mais qu'est-ce qu'il me faisait chier avec ça. Il nous a prévenu à la dernière minute que nous aurons une évaluation ! J'entends mon téléphone portable vibrer, je le regarde un instant puis je me lève pour le prendre pour pouvoir y répondre. La personne qui m'a envoyée le message n'est autre que Kee Young, ma noona d'amour. C'est une jeune femme que j'apprécie énormément, alors je lui réponds que je peux laisser deux minutes mes révisions pour pouvoir aller la voir. Je suis déjà bien habillé, alors je mets du parfum, j'enfile mes chaussures et je sors de chez moi. Il y a beaucoup de monde dans la rue, ce soir. Il doit y avoir un événement ou une fête foraine, alors peut-être que je vais amener la demoiselle là-bas pour qu'elle s'amuse un peu. Bon, je pense qu'elle va s'amuser en mangeant ce que j'ai pris avant de partir du dortoir des wonsungi, mais j'allais lui proposer d'aller voir ce qu'il se passe. Quelques minutes plus tard, j'arrive à la Contemporary Maze, le lieu de travail de Kee Young. J'entre à l'intérieur de la galerie, et j'attends avec impatience ma noona d'amour.
MADE BY ROLLER COASTER
Mais pourquoi tout ce petit paragraphe pour saluer, maladroitement, le progrès ? Parce que je n'ai rien d'autre à dire. Je ne suis pas en train de jouer à la console de jeu puisque, actuellement, je suis en train réviser mes cours. C'est bien chiant d'être en pleine révision, le professeur avait décidé de nous donner une évaluation. Je suis assez doué en cours, mais qu'est-ce qu'il me faisait chier avec ça. Il nous a prévenu à la dernière minute que nous aurons une évaluation ! J'entends mon téléphone portable vibrer, je le regarde un instant puis je me lève pour le prendre pour pouvoir y répondre. La personne qui m'a envoyée le message n'est autre que Kee Young, ma noona d'amour. C'est une jeune femme que j'apprécie énormément, alors je lui réponds que je peux laisser deux minutes mes révisions pour pouvoir aller la voir. Je suis déjà bien habillé, alors je mets du parfum, j'enfile mes chaussures et je sors de chez moi. Il y a beaucoup de monde dans la rue, ce soir. Il doit y avoir un événement ou une fête foraine, alors peut-être que je vais amener la demoiselle là-bas pour qu'elle s'amuse un peu. Bon, je pense qu'elle va s'amuser en mangeant ce que j'ai pris avant de partir du dortoir des wonsungi, mais j'allais lui proposer d'aller voir ce qu'il se passe. Quelques minutes plus tard, j'arrive à la Contemporary Maze, le lieu de travail de Kee Young. J'entre à l'intérieur de la galerie, et j'attends avec impatience ma noona d'amour.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Jeu 19 Nov - 1:42
KeeHwi
Autant la demoiselle adorait l'importance qu'elle avait au travail, autant aujourd'hui elle était agacée par tous les clients. Néanmoins sa bonne image lui demandait de rester parfaite, de sourire et de vendre. Professionnelle, il fallait qu'elle le soit. C'est pourquoi sa patronne lui avait demandé de s'occuper de ce couple bien habillé. Qui transpirait l'argent, comme elle. Armé de son sourire vendeur, elle s'était approchée, espérant qu'il s'agirait de ses derniers acheteurs. L'heure tournait et elle n'en voyait pas la fin. Il fallait croire que les plus chiants se réservaient les soirées, voilà une bonne vingtaine de minutes qu'elle débattait, vantait les particularités de son oeuvre, expliquant et ré-expliquant pourquoi ils devaient être les premiers à mettre la main dessus et si l'affaire semblait perdue d'avance, il ne fallait pas sous-estimer l'héritière des Shim. Après une bonne heure de négociation, de débat, de tentation, le jeune couple n'était pas reparti avec le tableau, mais avec trois toiles de l'artiste. Une victoire à ajouter à la liste de ses ventes.
Bien qu'elle n'était pas si méritante ; toutes personnes franchissant cette galerie venait pour acheter, simplement elles éprouvaient toutes le désir d'être chouchoutées. Qu'une consultante, ou plus généralement, une vendeuse leurs disent les mots qu'elles voulaient entendre. Ce q'avait fait la jeune femme.
Il était près des vingt heures lorsque sa supérieure toqua à son bureau, afin de lui signaler son départ et de lui passer une bonne soirée. D'un mouvement de tête, elle l'avait salué, même si elle avait dû se retenir d'ajouter que sa soirée se passerait à la galerie. Sheen aurait pu pleurer la montagne de travail qui était devant elle, mais Young était une travailleuse et cela ne la dérangeait pas. Bien que pour le moment, elle n'était pas concentrée, tant l'impatience de voir son petit doudou lui prenait les tripes. Comme une bonne envie de fraises. Ou de pâtes. Ou des pâtes à la fraise. Hm, quel délice. Elle devait pour autant se contenter de sa bouteille d'eau, puisqu'elle n'avait rien prévue pensant rentrer tôt. Il serait simple pour elle de commander, elle avait d'excellente adresse, pourtant elle préférait attendre Tae et son petit plat, parce qu'elle savait que tout ce qui viendrait de lui vaudrait tous les repas de la terre.
Elle bossait sur sa nouvelle exposition depuis un bon moment et les minutes défilaient, tant qu'elle commençait à désespérer, à quelle heure rentrerait-elle ? Sa tête reposa sur son bureau un instant, soupirant, elle avait toutes les idées dont elle avait besoin, mais elle était obligée de les mettre sur papier, afin de les envoyer dès le lendemain à l'artiste de la semaine prochaine. Pourtant, un tintement la fit sursauter et elle se leva d'un bond pour se diriger vers l'entrée. La petite tête brune lui fit naître le plus grand sourire de sa journée. « Tae Hwi ! » au diable les apparences ce soir, ils étaient seuls et elle était fatiguée. Elle alla à sa rencontre et en profita pour le prendre dans ses bras, embrasant volontairement le coin de ses lèvres, légèrement amusée. « Tu me sauves d'une avalanche de dossiers. » le relâchant, elle se recula de dos, afin de continuer à pouvoir le regarder. Depuis le temps qu'elle travaillait ici, elle connaissait les lieux par cœur et les expositions était sa plume ; elle savait où se trouvait chaque objet. « Suis-moi, j'ai encore quelques petites choses à faire. » attrapant sa main, elle le guida jusqu'à son bureau, au fond de la galerie. « Installe-toi, j'en ai pour une bonne dizaine de minutes... ça ne t'embête pas j'espère ? » partant s'asseoir derrière le meuble en verre, elle releva les yeux vers lui, un sourire taquin tandis qu'elle triait quelques documents. « Tes révisions ont bien avancées ? » elle, plus elle avançait, plus elle reculait dans son travail.
Bien qu'elle n'était pas si méritante ; toutes personnes franchissant cette galerie venait pour acheter, simplement elles éprouvaient toutes le désir d'être chouchoutées. Qu'une consultante, ou plus généralement, une vendeuse leurs disent les mots qu'elles voulaient entendre. Ce q'avait fait la jeune femme.
Il était près des vingt heures lorsque sa supérieure toqua à son bureau, afin de lui signaler son départ et de lui passer une bonne soirée. D'un mouvement de tête, elle l'avait salué, même si elle avait dû se retenir d'ajouter que sa soirée se passerait à la galerie. Sheen aurait pu pleurer la montagne de travail qui était devant elle, mais Young était une travailleuse et cela ne la dérangeait pas. Bien que pour le moment, elle n'était pas concentrée, tant l'impatience de voir son petit doudou lui prenait les tripes. Comme une bonne envie de fraises. Ou de pâtes. Ou des pâtes à la fraise. Hm, quel délice. Elle devait pour autant se contenter de sa bouteille d'eau, puisqu'elle n'avait rien prévue pensant rentrer tôt. Il serait simple pour elle de commander, elle avait d'excellente adresse, pourtant elle préférait attendre Tae et son petit plat, parce qu'elle savait que tout ce qui viendrait de lui vaudrait tous les repas de la terre.
Elle bossait sur sa nouvelle exposition depuis un bon moment et les minutes défilaient, tant qu'elle commençait à désespérer, à quelle heure rentrerait-elle ? Sa tête reposa sur son bureau un instant, soupirant, elle avait toutes les idées dont elle avait besoin, mais elle était obligée de les mettre sur papier, afin de les envoyer dès le lendemain à l'artiste de la semaine prochaine. Pourtant, un tintement la fit sursauter et elle se leva d'un bond pour se diriger vers l'entrée. La petite tête brune lui fit naître le plus grand sourire de sa journée. « Tae Hwi ! » au diable les apparences ce soir, ils étaient seuls et elle était fatiguée. Elle alla à sa rencontre et en profita pour le prendre dans ses bras, embrasant volontairement le coin de ses lèvres, légèrement amusée. « Tu me sauves d'une avalanche de dossiers. » le relâchant, elle se recula de dos, afin de continuer à pouvoir le regarder. Depuis le temps qu'elle travaillait ici, elle connaissait les lieux par cœur et les expositions était sa plume ; elle savait où se trouvait chaque objet. « Suis-moi, j'ai encore quelques petites choses à faire. » attrapant sa main, elle le guida jusqu'à son bureau, au fond de la galerie. « Installe-toi, j'en ai pour une bonne dizaine de minutes... ça ne t'embête pas j'espère ? » partant s'asseoir derrière le meuble en verre, elle releva les yeux vers lui, un sourire taquin tandis qu'elle triait quelques documents. « Tes révisions ont bien avancées ? » elle, plus elle avançait, plus elle reculait dans son travail.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Mer 2 Déc - 20:54
PLAYBOY'S DIARY
Il faut que je dise à mes potes d'éviter de dévaliser cette galerie. Pas seulement parce que la jeune femme y travaille, mais parce que je n'aime pas toucher les endroits où mes ami(e)s travaillent ou fréquentent. Certes, le chef me dit que je dois arrêter de penser comme ça, mais c'est ma mentalité qui est comme ça. Je ne me vois pas aider les motards à faire une casse, alors que mon ami est en train de travailler en même temps. Ils font souvent des braquages, c'est normal que je regrette si quelqu'un commence à pointer une arme sur lui. Je ne veux pas que ça m'affecte, alors si le chef veut que j'aide à les sortir du pétrin, il avait intérêt à accepter mes conditions même s'il n'aime pas du tout ça. Bon, j'avoue qu'il n'y a pas que ça comme condition, mais on s'en fiche un tout petit peu de ça.
Je ne me sens pas à ma place dans ce lieu, j'avais presque honte en voyant toutes ces personnes qui étaient en train de me regarder. Ils devaient se demander que ce n'est pas normal de voir un voyou parmi eux, que je devais sûrement en train de repérer les œuvres de luxe pour repartir avec un jour ou l'autre. J'avoue que ma demi soeur se serait foutu de ma tronche en me voyant ici, mais bon, je voulais être avec la gumiho, alors c'est normal d'attendre. Je suis en train de patienter, debout, dans l'entrée de l'établissement. La personne qui était derrière son bureau commence à se diriger vers moi. « Vous entrez ou vous êtes là pour rêvasser et faire peur à nos clients ? » me dit-il sur un ton sévère. Je commence à le regarder de travers, mais je fais en sorte de rester calme. Évitons que je m'énerve, car je n'ai pas envie d'avoir des problèmes en sortant d'ici. « Je m'excuse si je fais peur à vos clients, mais je suis en train d'attendre une de vos collègues : Shim Kee Young. » Je reste très poli, et je peux voir sur la gueule du mec qu'il est choqué de ma manière de parler. Il a cru que j'étais tous les jours vulgaire ou ça se passe comment ? Il retourne derrière son bureau et moi je lève ma tête en attendant ma noona.
Tout à coup, j'entends une voix familière qui exclame mon prénom, alors j'en profite pour baisser la tête en direction de cette voix. C'est Kee Young qui s'approchait de moi, alors j'en profite pour faire un sourire et pour m'exclamer aussi. « Noona ! » Je suis content de la voir, mais ça me gêne de venir la déranger alors qu'elle doit bosser comme une dingue. Je la câline tout en rougissant lorsque ses lèvres se posent sur les coins des miennes. Visiblement, je viens de la sauver, car elle avait plusieurs dossiers à faire. Je peux la comprendre parce que quand je bosse au cyber café, je dois m'occuper de plusieurs ordinateurs qui ont choppé un virus à cause d'un mec qui s'amuse à regarder des films pornographiques. Il faut être complètement cinglé pour regarder ce genre de truc en public. Quoique... Je l'aurais fait aussi.
Elle attrape ma main et m'attire dans son bureau qui est au fond de la galerie. Je crois que les personnes qui étaient inquiètes que je sois un voyou qui venait prendre des informations sur le lieu, sont rassurés que je sois venu voir un membre du personnel. Ils devaient penser que j'étais son petit frère ou une autre connerie de ce genre. Quoi qu'il en soit, je m'installe comme me l'a demandé la gumiho. « Ça ne me gêne pas d'attendre quelques minutes, je peux t'attendre toute ma vie » Je fais un sourire et j'en profite pour mettre le sac de nourriture que j'ai ramené pour elle sur son bureau en évitant de faire tomber les dossiers. « C'est pour toi, j'espère que tu vas aimer » dis-je en me grattant la nuque. J'ai pensé à elle, car beaucoup de personnes ne mangent pas lorsqu'ils sont en train de travailler. Je fais une tête assez drôle lorsqu'elle me demande si j'ai bien avancé dans mes révisions. A vrai dire, je n'ai pas besoin de réviser, mais je le fais quand même pour faire plaisir à mes professeurs. J'en ai marre que ce soit facile, je veux quelque chose qui puisse me compliquer la vie, mais je pense que j'en demande trop. Je soupire en pensant à mon stage à l'hôpital. Je soigne des gamins qui font des chutes ou des vieux alcooliques qui ne sont jamais contents. Je veux une opération avec du sang et j'en passe, mais je suis qu'en deuxième année, alors j'ai le temps. Bon, j'espère qu'ils viendront me prendre s'ils sont en manque d'effectif. « C'est trop simple, alors je me fais chier.. Je suis venu te voir en laissant mes révisions parce que t'es beaucoup plus intéressante. » Je me lève et je viens derrière elle pour lui faire un massage sur ses petites épaules. « Et toi le boulot, les études, les amours et tout, ça se passe comment ? » demandai-je en venant lui faire un bisou sur la joue.
MADE BY ROLLER COASTER
Je ne me sens pas à ma place dans ce lieu, j'avais presque honte en voyant toutes ces personnes qui étaient en train de me regarder. Ils devaient se demander que ce n'est pas normal de voir un voyou parmi eux, que je devais sûrement en train de repérer les œuvres de luxe pour repartir avec un jour ou l'autre. J'avoue que ma demi soeur se serait foutu de ma tronche en me voyant ici, mais bon, je voulais être avec la gumiho, alors c'est normal d'attendre. Je suis en train de patienter, debout, dans l'entrée de l'établissement. La personne qui était derrière son bureau commence à se diriger vers moi. « Vous entrez ou vous êtes là pour rêvasser et faire peur à nos clients ? » me dit-il sur un ton sévère. Je commence à le regarder de travers, mais je fais en sorte de rester calme. Évitons que je m'énerve, car je n'ai pas envie d'avoir des problèmes en sortant d'ici. « Je m'excuse si je fais peur à vos clients, mais je suis en train d'attendre une de vos collègues : Shim Kee Young. » Je reste très poli, et je peux voir sur la gueule du mec qu'il est choqué de ma manière de parler. Il a cru que j'étais tous les jours vulgaire ou ça se passe comment ? Il retourne derrière son bureau et moi je lève ma tête en attendant ma noona.
Tout à coup, j'entends une voix familière qui exclame mon prénom, alors j'en profite pour baisser la tête en direction de cette voix. C'est Kee Young qui s'approchait de moi, alors j'en profite pour faire un sourire et pour m'exclamer aussi. « Noona ! » Je suis content de la voir, mais ça me gêne de venir la déranger alors qu'elle doit bosser comme une dingue. Je la câline tout en rougissant lorsque ses lèvres se posent sur les coins des miennes. Visiblement, je viens de la sauver, car elle avait plusieurs dossiers à faire. Je peux la comprendre parce que quand je bosse au cyber café, je dois m'occuper de plusieurs ordinateurs qui ont choppé un virus à cause d'un mec qui s'amuse à regarder des films pornographiques. Il faut être complètement cinglé pour regarder ce genre de truc en public. Quoique... Je l'aurais fait aussi.
Elle attrape ma main et m'attire dans son bureau qui est au fond de la galerie. Je crois que les personnes qui étaient inquiètes que je sois un voyou qui venait prendre des informations sur le lieu, sont rassurés que je sois venu voir un membre du personnel. Ils devaient penser que j'étais son petit frère ou une autre connerie de ce genre. Quoi qu'il en soit, je m'installe comme me l'a demandé la gumiho. « Ça ne me gêne pas d'attendre quelques minutes, je peux t'attendre toute ma vie » Je fais un sourire et j'en profite pour mettre le sac de nourriture que j'ai ramené pour elle sur son bureau en évitant de faire tomber les dossiers. « C'est pour toi, j'espère que tu vas aimer » dis-je en me grattant la nuque. J'ai pensé à elle, car beaucoup de personnes ne mangent pas lorsqu'ils sont en train de travailler. Je fais une tête assez drôle lorsqu'elle me demande si j'ai bien avancé dans mes révisions. A vrai dire, je n'ai pas besoin de réviser, mais je le fais quand même pour faire plaisir à mes professeurs. J'en ai marre que ce soit facile, je veux quelque chose qui puisse me compliquer la vie, mais je pense que j'en demande trop. Je soupire en pensant à mon stage à l'hôpital. Je soigne des gamins qui font des chutes ou des vieux alcooliques qui ne sont jamais contents. Je veux une opération avec du sang et j'en passe, mais je suis qu'en deuxième année, alors j'ai le temps. Bon, j'espère qu'ils viendront me prendre s'ils sont en manque d'effectif. « C'est trop simple, alors je me fais chier.. Je suis venu te voir en laissant mes révisions parce que t'es beaucoup plus intéressante. » Je me lève et je viens derrière elle pour lui faire un massage sur ses petites épaules. « Et toi le boulot, les études, les amours et tout, ça se passe comment ? » demandai-je en venant lui faire un bisou sur la joue.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Ven 4 Déc - 2:37
KeeHwi
Tandis que les derniers clients partaient un par un, les deux jeunes s'enfonçaient plus loin dans la galerie, à l'abri des regards. Son bureau était néanmoins assez exposé vu qu'il était constitué de vitre. Uniquement des vitres, cela allait avec le design de la galerie et l'art consultante aimait le concept. De toute manière elle n'avait rien à cacher et il était toujours nickel, les seules fois où elle fermait les rideaux, c'était lorsque Jinki venait la voir. Pour une question d'image, ce qu'ils pouvaient parfois y faire était un problème. Fatiguée, les dossiers pesaient dans ses mains, pourtant les mots de son bébé avait pour effet de la faire sourire, comme une petite fille à qui on offrait sa première Barbie. « Ne dis pas de bêtise, je ne te ferais jamais attendre aussi longtemps. » la délicieuse odeur qui s'échappait du sac ravie la jeune femme qui avait une faim de loup. Sous la travail, elle avait sauté le repas de midi et ce n'est pas avec son thé du matin qu'elle pouvait garder un estomac rempli durant une journée complète. « Super, tu es un ange ! Qu'est-ce que tu m'as ramené de bon ? » posant les documents sur un coin de son bureau, la jeune femme attira le sac vers elle, en lui jetant un regard empli de malice. De nombreuse idée germant dans sa boite crânienne. « Je suis tellement à plat que je serais prête à faire mon enfant et te demander de me donner à manger. » d'un ton léger, la demoiselle se mit à rire, charmée par l'idée, pour autant elle ne se voyait pas, à vingt-et-un ans, faire aaah pour une ou deux cuillères.
« Je sais que tu as que tu as toujours eu un faible pour mes cours. » et quoi de plus normal quand il fallait choisir entre elle et des livres ? Elle n'était pas méchamment prétentieuse, pour autant on lui avait constamment répété cette vérité, ainsi elle le pensait de manière naturelle. Elle le suivit du regard quand il se leva et se détendit instantanément en sentant ses mains sur ses épaules. Un massage, c'est tout ce qu'elle voulait ! Comme si elle n'avait attendu que ça durant toute sa journée. Une récompense - en plus de celle de voir son doudou. « Là, concrètement, à part ton massage c'est le néant dans mon esprit. » et donc, elle était complètement incapable de lui répondre. Puisqu'elle voulait profiter du moment de détente. Elle ferma les yeux quand il embrassa sa joue et elle fit glisser sa main sur la joue de Taehwi, un sourire en coin, durant cinq bonnes minutes avant qu'elle n'ouvre à nouveau les yeux, s'étirant légèrement. « C'est la folie le boulot en ce moment, on accueille un grand artiste dans deux semaines, j'ai jamais vu un client aussi pointilleux. Pour pas dire autre chose. Après pour les études c'est comme d'habitude quoi, rien de bien intéressant. J'ai jamais eu de vraies difficultés de toute manière avec mon père sur le dos. » hésitante un instant, elle ne désirait pas parler des amours. Sa vie n'est pas si intéressante en apparence et ses fiançailles étaient un sujet qu'elle évitait à tout prix, puisqu'elle n'était pas sûre qu'elle pouvait voir ça comme un amour ; elle le refusait même complètement. « Que veux-tu que je te dise niveau amour, tu connais ma situation. Rien n'a changé. » mensonge, ses sentiments commençaient à évoluer, contre son gré. Les mains toujours sur ses épaules, elle regarda dans le vide, ses pensées dirigées vers son fiancé qui prenait de plus en plus de place dans sa vie - et dans son cœur. D'un soupir, elle s'adossa contre son siège, prenant garde à lui laisser la possibilité de continuer son massage. « Parlons d'autres choses s'il te plait, je n'ai pas envie de t'embêter avec ses histoires. Dis-moi plutôt, et toi alors ? » encore une fois, elle fuyait les sujets qui fâchent. Qui l'énervent elle surtout, puisqu'elle n'aimait pas la tournure que prenait sa vie.
Venant poser ses mains sur les siennes, elle caressa du bout des doigts ses paumes, distraite. « Je suis contente que tu sois là. » c'est un peu - beaucoup, ce qui illumine sa journée. La demoiselle adorait, aimait plus que tout le jeune homme et elle ne pouvait finir ce jour d'une meilleure façon. D'un coup, la pile de travail qui l'attendait n'avait plus la moindre importance.
« Je sais que tu as que tu as toujours eu un faible pour mes cours. » et quoi de plus normal quand il fallait choisir entre elle et des livres ? Elle n'était pas méchamment prétentieuse, pour autant on lui avait constamment répété cette vérité, ainsi elle le pensait de manière naturelle. Elle le suivit du regard quand il se leva et se détendit instantanément en sentant ses mains sur ses épaules. Un massage, c'est tout ce qu'elle voulait ! Comme si elle n'avait attendu que ça durant toute sa journée. Une récompense - en plus de celle de voir son doudou. « Là, concrètement, à part ton massage c'est le néant dans mon esprit. » et donc, elle était complètement incapable de lui répondre. Puisqu'elle voulait profiter du moment de détente. Elle ferma les yeux quand il embrassa sa joue et elle fit glisser sa main sur la joue de Taehwi, un sourire en coin, durant cinq bonnes minutes avant qu'elle n'ouvre à nouveau les yeux, s'étirant légèrement. « C'est la folie le boulot en ce moment, on accueille un grand artiste dans deux semaines, j'ai jamais vu un client aussi pointilleux. Pour pas dire autre chose. Après pour les études c'est comme d'habitude quoi, rien de bien intéressant. J'ai jamais eu de vraies difficultés de toute manière avec mon père sur le dos. » hésitante un instant, elle ne désirait pas parler des amours. Sa vie n'est pas si intéressante en apparence et ses fiançailles étaient un sujet qu'elle évitait à tout prix, puisqu'elle n'était pas sûre qu'elle pouvait voir ça comme un amour ; elle le refusait même complètement. « Que veux-tu que je te dise niveau amour, tu connais ma situation. Rien n'a changé. » mensonge, ses sentiments commençaient à évoluer, contre son gré. Les mains toujours sur ses épaules, elle regarda dans le vide, ses pensées dirigées vers son fiancé qui prenait de plus en plus de place dans sa vie - et dans son cœur. D'un soupir, elle s'adossa contre son siège, prenant garde à lui laisser la possibilité de continuer son massage. « Parlons d'autres choses s'il te plait, je n'ai pas envie de t'embêter avec ses histoires. Dis-moi plutôt, et toi alors ? » encore une fois, elle fuyait les sujets qui fâchent. Qui l'énervent elle surtout, puisqu'elle n'aimait pas la tournure que prenait sa vie.
Venant poser ses mains sur les siennes, elle caressa du bout des doigts ses paumes, distraite. « Je suis contente que tu sois là. » c'est un peu - beaucoup, ce qui illumine sa journée. La demoiselle adorait, aimait plus que tout le jeune homme et elle ne pouvait finir ce jour d'une meilleure façon. D'un coup, la pile de travail qui l'attendait n'avait plus la moindre importance.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Dim 10 Jan - 21:57
Je ne sais pas comment fait Kee Young pour travailler à des heures pareilles. Je pense qu'elle avait encore une pile de dossier à entamer. J'espère qu'ils traitent les employer correctement parce que je risque d'être très méchant avec eux si j'apprends que la gumiho est mal traitée. Ouais, je peux poster un article sur mon blog en disant des choses assez gênantes, et il perdrait des clients et je pense qu'ils ne feront plus à faire avec certains artistes. Je peux être vache en effet, mais il faut bien que quelqu'un répare les injustices. « Je ne peux pas te dire tout ce qu'il y a, vu la quantité. En tout cas, c'est de la bonne nourriture, alors tu n'as pas à t'en faire. » lançai-je en souriant avant d'éclater de rire lorsqu'elle dit qu'elle serait prête à faire un enfant pour que je lui donne à manger. Qu'est-ce qu'elle pouvait être drôle. « Je crois que je serais le père de cet enfant ! » On ne pouvait pas prendre cela au sérieux puisque j'avais pris une voix tellement innocente. Vous avez déjà vu est un enfant dire à l'amie d'une sœur qu'il veut se marier avec elle quand il sera grand ? Vous entendez cette voix ? C'est celle que j'ai prise pour dire cette blague à Kee Yong.
Je me suis levé pour lui faire un massage à la tête, car son cerveau devait en train de fumer. Elle bosse tellement dur. Je ne pense pas que je ferais un boulot comme elle. Elle doit avoir beaucoup de pression qui doit venir de la direction. La pression qui vient d'en haut et généralement impossible à contrôler. On ne sait pas où se donner de la tête après. Ils vont vous répéter qu'ils ont besoin de ce dossier le plus vite possible et deux minutes plus tard, ils vont vous répéter la même chose. Ils sont vraiment casse couille lorsqu'ils s'y mettent. « Un grand artiste ? Si ça se trouve, il veut un truc super simple et ton boulot veut une préparation de fifou ? Bon, tu me diras que s'il est pointilleux... Ce n'est pas un artiste, mais c'est une personne stupide. Et pour les études, t'es comme moi en gros. » Je me demande si cet artiste a prit la grosse tête. S'il est pointilleux comme elle me le dit, il doit vraiment être embêtant. Enfin bref... Je ne comprends pas comment elle fait pour n'avoir personne dans sa vie. Elle est belle, intelligente, adorable... Il faut vraiment qu'elle commence à rencontrer quelqu'un ou alors elle a déjà quelqu'un, mais elle ne veut pas me le dire ! Bon, je ne pense pas quand même. « Bah, moi... Je sors avec toi, c'est connu ! On est marié et tu as complètement oubliée, je suis triste ! » dis-je en faisant une petite moue. Évidemment, je devais faire en sorte de la taquiner pour qu'elle se repose un tout petit peu. Avoir un massage, c'est bien, mais se faire taquiner, c'est mieux ! Enfin, ça dépend pour qui.
Visiblement, elle est contente que je sois là. Je ferme les yeux en sentant ses doigts caresser mes paumes. Je suis heureux de pouvoir lui faire penser à autre chose. Je veux bien l'emmener quelque part après qu'elle mange ce que je lui avais ramené, mais elle sera probablement fatiguée pour aller quelque part et je ne voulais surtout pas qu'elle ait un malaise à cause de la fatigue. Je viens lui caresser ses joues. « Tu veux de l'aide pour ton travail ? » demandai-je en rapprochant mes lèvres des siennes. « Tu sais que je peux rester éveillé jusqu'à pas d'heure, alors pendant que tu dors, je peux m'occuper de tout ça. » Un jour, on me tuera pour ma gentillesse. Je ne pouvais pas être méchant avec les personnes que j'apprécie. Quand je dois aider une personne, je le fais sans aucune hésitation. Je ne suis pas ce genre de type qui vous laissera dans une merde. Non, je suis plutôt le spiderman des temps modernes !
Je me suis levé pour lui faire un massage à la tête, car son cerveau devait en train de fumer. Elle bosse tellement dur. Je ne pense pas que je ferais un boulot comme elle. Elle doit avoir beaucoup de pression qui doit venir de la direction. La pression qui vient d'en haut et généralement impossible à contrôler. On ne sait pas où se donner de la tête après. Ils vont vous répéter qu'ils ont besoin de ce dossier le plus vite possible et deux minutes plus tard, ils vont vous répéter la même chose. Ils sont vraiment casse couille lorsqu'ils s'y mettent. « Un grand artiste ? Si ça se trouve, il veut un truc super simple et ton boulot veut une préparation de fifou ? Bon, tu me diras que s'il est pointilleux... Ce n'est pas un artiste, mais c'est une personne stupide. Et pour les études, t'es comme moi en gros. » Je me demande si cet artiste a prit la grosse tête. S'il est pointilleux comme elle me le dit, il doit vraiment être embêtant. Enfin bref... Je ne comprends pas comment elle fait pour n'avoir personne dans sa vie. Elle est belle, intelligente, adorable... Il faut vraiment qu'elle commence à rencontrer quelqu'un ou alors elle a déjà quelqu'un, mais elle ne veut pas me le dire ! Bon, je ne pense pas quand même. « Bah, moi... Je sors avec toi, c'est connu ! On est marié et tu as complètement oubliée, je suis triste ! » dis-je en faisant une petite moue. Évidemment, je devais faire en sorte de la taquiner pour qu'elle se repose un tout petit peu. Avoir un massage, c'est bien, mais se faire taquiner, c'est mieux ! Enfin, ça dépend pour qui.
Visiblement, elle est contente que je sois là. Je ferme les yeux en sentant ses doigts caresser mes paumes. Je suis heureux de pouvoir lui faire penser à autre chose. Je veux bien l'emmener quelque part après qu'elle mange ce que je lui avais ramené, mais elle sera probablement fatiguée pour aller quelque part et je ne voulais surtout pas qu'elle ait un malaise à cause de la fatigue. Je viens lui caresser ses joues. « Tu veux de l'aide pour ton travail ? » demandai-je en rapprochant mes lèvres des siennes. « Tu sais que je peux rester éveillé jusqu'à pas d'heure, alors pendant que tu dors, je peux m'occuper de tout ça. » Un jour, on me tuera pour ma gentillesse. Je ne pouvais pas être méchant avec les personnes que j'apprécie. Quand je dois aider une personne, je le fais sans aucune hésitation. Je ne suis pas ce genre de type qui vous laissera dans une merde. Non, je suis plutôt le spiderman des temps modernes !
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Lun 25 Jan - 19:27
KeeHwi
une bonne odeur venait emplir ses narines, tandis qu'elle ouvrait lentement le sac. En effet, son petit bébé n'avait pas menti sur la quantité, il y avait tellement de chose qu'elle ne savait pas quoi choisir, pour autant son ventre criait presque famine, ainsi, elle n'était plus d'humeur à faire sa difficile ou à prendre son temps pour faire un choix. Attrapant la première chose qui lui venu sous la main, elle sortie également une bouteille d'eau pour se désaltérer. « Merci pour tout ça, tu veux quelque chose à boire ? Café, thé, jus, je peux demander à l'accueil de nous l'apporter. » après tout, un seul coup de fil suffisait à ce qu'elle ait ce qu'elle voulait. Faire du bon travail depuis trois ans avait un avantage considérable pour la demoiselle. Et là, dans son bureau, avec Tae Hwi elle n'était pas contre d'autres soirées de boulot comme celle-ci. C'était toujours plus agréable quand il était à côté d'elle. « Si tu continues à me toucher comme ça, je n'en doute pas un seul instant ! » elle était déjà faible face à lui, mais tant de tendresse la rendait bien moins résistance. Parce qu'elle aimait le regard qu'il posait sur elle.
Son massage avait quelque chose d'apaisant et la gumiho fermait les yeux pour profiter des caresses sur son crâne. « En soit, je comprend ce qu'il veut, mais j'ai besoin de beaucoup d'autorisations. Pas toutes acceptées, du coup, je dois me débrouiller autrement. » c'était le plus compliqué de ce dossier ; il fallait se battre avec des administrations plus casse nouille que jamais. Si bien que la rousse soupirait encore une fois, poser contre le dossier de sa chaise. « T'inquiètes, je suis la meilleure dans mon domaine, il va me demander pour le reste de ses expositions après celle que je lui organise ! » loin de la prétention, la renarde se savait forte dans sa catégorie, elle avait appris à être parfaite, pour éviter les coups de son père. Légèrement souriante, elle avait fini avec cette petite mine triste... car elle savait qu'ils ne pourraient pas être ensemble et le mot marié avec déclenché une vague de regret dans la totalité de son être. Mordillant sa lèvre, elle se tourna vers lui afin de caresser doucement sa joue, effleurant sa peau du bout de ses doigts. « Ne sois pas triste, je n'ai pas oublié, nous parlions même d'enfants juste avant ! » riant, elle savait pourtant qu'il était plus question d'un rêve que d'une future réalité. Et un jour, elle devrait arrêter. À cette pensée, son cœur se serra, un peu trop douloureusement à son goût.
En sentant ses mains sur sa joue, la bleue ferma à nouveau les yeux en s'appuyant sur celles-ci. Un élan de tendresse lui brûlait les doigts, une envie qu'elle contrôlait pourtant, avant qu'elle ne sente son souffle sur ses lèvres et rouvre les yeux pour découvrir leur proximité nouvelle. Avec un sourire doux, elle vient glisser une main dans ses cheveux. « Ne dis pas de bêtises. Je ne vais pas te refiler mon travail et dormir, ça me gêne Tae Hwi et ce n'est pas dans mes habitudes, mais merci pour la proposition. » un remerciement qu'elle accentua d'un léger baiser. Frêle, doux, furtif. Un goût de trop peu pour la belle, qui avait besoin de plus, qui voulait toujours plus. Se levant, elle alla à la porte de son bureau pour la fermer et baisser les volets, afin de recouvrir les baies vitrées. Et se retournant vers le brun, un grand sourire sur le visage, elle pencha la tête pour reprendre plus innocemment. « Néanmoins, je ne serais pas contre une petite pause... » suite à quoi, la jeune femme revenue vers lui, pour le prendre dans ses bras et poser sa tête au creux de son cou, un geste rassurant, dont elle profitait, avant de lui embrasser la peau de ce dernier, pour revenir déposer ses lèvres sur sa joue. « ça fait un moment que tu n'es pas venu me voir, espèce de vilain garçon ! » une petite remarque fausse, mais qui l'amusait, tandis que ses bras entouraient sa nuque alors que ses lèvres se posait sur les siennes. Délicatement. Comme toujours.
Son massage avait quelque chose d'apaisant et la gumiho fermait les yeux pour profiter des caresses sur son crâne. « En soit, je comprend ce qu'il veut, mais j'ai besoin de beaucoup d'autorisations. Pas toutes acceptées, du coup, je dois me débrouiller autrement. » c'était le plus compliqué de ce dossier ; il fallait se battre avec des administrations plus casse nouille que jamais. Si bien que la rousse soupirait encore une fois, poser contre le dossier de sa chaise. « T'inquiètes, je suis la meilleure dans mon domaine, il va me demander pour le reste de ses expositions après celle que je lui organise ! » loin de la prétention, la renarde se savait forte dans sa catégorie, elle avait appris à être parfaite, pour éviter les coups de son père. Légèrement souriante, elle avait fini avec cette petite mine triste... car elle savait qu'ils ne pourraient pas être ensemble et le mot marié avec déclenché une vague de regret dans la totalité de son être. Mordillant sa lèvre, elle se tourna vers lui afin de caresser doucement sa joue, effleurant sa peau du bout de ses doigts. « Ne sois pas triste, je n'ai pas oublié, nous parlions même d'enfants juste avant ! » riant, elle savait pourtant qu'il était plus question d'un rêve que d'une future réalité. Et un jour, elle devrait arrêter. À cette pensée, son cœur se serra, un peu trop douloureusement à son goût.
En sentant ses mains sur sa joue, la bleue ferma à nouveau les yeux en s'appuyant sur celles-ci. Un élan de tendresse lui brûlait les doigts, une envie qu'elle contrôlait pourtant, avant qu'elle ne sente son souffle sur ses lèvres et rouvre les yeux pour découvrir leur proximité nouvelle. Avec un sourire doux, elle vient glisser une main dans ses cheveux. « Ne dis pas de bêtises. Je ne vais pas te refiler mon travail et dormir, ça me gêne Tae Hwi et ce n'est pas dans mes habitudes, mais merci pour la proposition. » un remerciement qu'elle accentua d'un léger baiser. Frêle, doux, furtif. Un goût de trop peu pour la belle, qui avait besoin de plus, qui voulait toujours plus. Se levant, elle alla à la porte de son bureau pour la fermer et baisser les volets, afin de recouvrir les baies vitrées. Et se retournant vers le brun, un grand sourire sur le visage, elle pencha la tête pour reprendre plus innocemment. « Néanmoins, je ne serais pas contre une petite pause... » suite à quoi, la jeune femme revenue vers lui, pour le prendre dans ses bras et poser sa tête au creux de son cou, un geste rassurant, dont elle profitait, avant de lui embrasser la peau de ce dernier, pour revenir déposer ses lèvres sur sa joue. « ça fait un moment que tu n'es pas venu me voir, espèce de vilain garçon ! » une petite remarque fausse, mais qui l'amusait, tandis que ses bras entouraient sa nuque alors que ses lèvres se posait sur les siennes. Délicatement. Comme toujours.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Ven 15 Avr - 19:03
Kee Young est une personne que je protégeais énormément. Elle avait quelque chose d'important qui faisait que je l'aimais énormément. Elle ne pouvait pas être en concurrence avec ma demie sœur, mais parfois, je me disais que j'agissais comme un petit frère avec elle. Je faisais en sorte qu'elle passe avant moi, et aujourd'hui, je suis venu m'assurer que tout allait bien et qu'elle n'avait pas de soucis avec son travail. Elle me remercia d'avoir ramené tout ça. Pourquoi des remerciements ? Je fais cela uniquement pour qu'elle mange. Je sais qu'on ne mange plus beaucoup lorsqu'on travaille et si on a le malheur de manger, alors qu'un dossier n'est pas fini, le patron risquait de nous tomber dessus et de nous virer. Je suis assez jeune pour dire ça, mais le monde à changer. Il n'y a plus que l'argent qui compte, et je trouve ça bien dommage. Bon, j'avoue que j'y pense à l'argent, mais je ne pirate pas les comptes en banque des pauvres et des gens modestes. « Non, je ne veux rien boire, ne t'inquiète pas. » Elle est tout de même adorable.. Je me demande comment je fais pour ne pas craquer sur elle.
Je ne comprendrais jamais les artistes. Pourquoi ils sont aussi pointilleux sur leur boulot ? Aish, je ne suis pas fait pour être dans ce domaine. La médecine me va très bien. Je crois que sauver des vies me convient plus à mon cerveau. Je sais que je blesse des personnes en aidant mon club de motard, mais je ne fais jamais de mal physiquement. Je suis là que pour pirater les caméras et aider mes '' frères '' à rentrer à l'intérieur du bâtiment qu'ils ont décidés de prendre pour cible. Je sais que c'est contradictoire lorsque je dis que je suis fait pour sauver des vies, alors qu'au final, je blesse les personnes mentalement. De toute façon, si je suis à l'intérieur de cette organisation, c'est pour protéger ma demie sœur des malfaiteurs. Je n'ai aucune confiance pour le président de ce groupe, et je crois qu'il le sait. Je pense que c'est pour ça qu'il ne peut pas me blairer. Il est au courant que je ferais n'importe quoi pour aider Eun Ha si jamais elle était dans la galère, et je crois qu'il tente de me tester en me donnant des missions. De toute façon, je peux le trahir n'importe quand puisque le vice-président est de mon côté. « Je crois que je ne pourrais pas travailler ici. » Lançai-je à la gumiho. Je peux être très calme, mais si un artiste commence à me faire chier pour telle ou telle chose, je risque de lui coller mon poing à la figure.
Je lui ai proposé de l'aide pour son travail. Après tout, si je pouvais me rendre utile, autant que je le fasse maintenant. Il faut bien que quelqu'un l'aide avec toute cette tonne de dossier, mais la jeune femme ne voulait pas de mon aide. En guise de remerciement, elle me donna un petit baisé. Je me sentais gêné. Je ne savais pas où me mettre, j'étais à la fois content et à la fois timide. Mais je ne suis plus devenu timide lorsqu'elle décida de prendre une pause, j'étais très content. « Tu es sûre de faire une pause avec tout ce que tu as à faire ? » Demandai-je en m’inquiétant. Je voulais être aux petits soins pour elle, alors il n'y avait aucun problème si je devais prendre sa place. Mais lorsqu'elle revient vers moi, elle embrassa ma peau, ce qui me fit frissonner légèrement. Et elle m'accusa que ça faisait longtemps que je ne suis plus venu la voir avant de m'embrasser tendrement. « Désolé... J'ai beaucoup de boulot et à chaque fois la fatigue fait que je reste dans ma chambre à dormir. » Lançai-je en attrapant une nouvelle fois ses lèvres pour y mettre un peu plus de fougue. J'en profite pour la prendre par les jambes et de l'installer sur son bureau. J'ai l'impression que ça va partir en vrille pendant cette pause.... « Mais tu devrais savoir que je pense à toi, alors je ne dois pas te manquer souvent. » J'essaye de la rassurer comme je peux et je pouvais lui dire ça, car c'était la vérité.
Je ne comprendrais jamais les artistes. Pourquoi ils sont aussi pointilleux sur leur boulot ? Aish, je ne suis pas fait pour être dans ce domaine. La médecine me va très bien. Je crois que sauver des vies me convient plus à mon cerveau. Je sais que je blesse des personnes en aidant mon club de motard, mais je ne fais jamais de mal physiquement. Je suis là que pour pirater les caméras et aider mes '' frères '' à rentrer à l'intérieur du bâtiment qu'ils ont décidés de prendre pour cible. Je sais que c'est contradictoire lorsque je dis que je suis fait pour sauver des vies, alors qu'au final, je blesse les personnes mentalement. De toute façon, si je suis à l'intérieur de cette organisation, c'est pour protéger ma demie sœur des malfaiteurs. Je n'ai aucune confiance pour le président de ce groupe, et je crois qu'il le sait. Je pense que c'est pour ça qu'il ne peut pas me blairer. Il est au courant que je ferais n'importe quoi pour aider Eun Ha si jamais elle était dans la galère, et je crois qu'il tente de me tester en me donnant des missions. De toute façon, je peux le trahir n'importe quand puisque le vice-président est de mon côté. « Je crois que je ne pourrais pas travailler ici. » Lançai-je à la gumiho. Je peux être très calme, mais si un artiste commence à me faire chier pour telle ou telle chose, je risque de lui coller mon poing à la figure.
Je lui ai proposé de l'aide pour son travail. Après tout, si je pouvais me rendre utile, autant que je le fasse maintenant. Il faut bien que quelqu'un l'aide avec toute cette tonne de dossier, mais la jeune femme ne voulait pas de mon aide. En guise de remerciement, elle me donna un petit baisé. Je me sentais gêné. Je ne savais pas où me mettre, j'étais à la fois content et à la fois timide. Mais je ne suis plus devenu timide lorsqu'elle décida de prendre une pause, j'étais très content. « Tu es sûre de faire une pause avec tout ce que tu as à faire ? » Demandai-je en m’inquiétant. Je voulais être aux petits soins pour elle, alors il n'y avait aucun problème si je devais prendre sa place. Mais lorsqu'elle revient vers moi, elle embrassa ma peau, ce qui me fit frissonner légèrement. Et elle m'accusa que ça faisait longtemps que je ne suis plus venu la voir avant de m'embrasser tendrement. « Désolé... J'ai beaucoup de boulot et à chaque fois la fatigue fait que je reste dans ma chambre à dormir. » Lançai-je en attrapant une nouvelle fois ses lèvres pour y mettre un peu plus de fougue. J'en profite pour la prendre par les jambes et de l'installer sur son bureau. J'ai l'impression que ça va partir en vrille pendant cette pause.... « Mais tu devrais savoir que je pense à toi, alors je ne dois pas te manquer souvent. » J'essaye de la rassurer comme je peux et je pouvais lui dire ça, car c'était la vérité.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Ven 22 Avr - 17:09
KeeHwi
Si elle devait faire un top trois des personnes ayant une place particulière dans son cœur, Tae Hwi figurerait dans le haut du classement. Il possédait ce quelque chose qui lui avait donné l'envie de lui offrir sans crainte cette importance farouche et ce lien un peu particulier. C'était à la fois très simple et très compliqué. Parce qu'elle sentait cet amour débordant pour celui qu'elle considérait comme son bébé, et ce désir résistant à leur attachement. Il agissait avec elle comme un petit frère et elle avait se besoin d'être comme une sœur. De le préserver à ses côtés et de l'aimer. Ce qui rendait la relation sûrement malsaine ; nous n'avons pas idée de coucher avec un membre de sa famille. Il était déroutant, parfois, qu'ils aillent plus loin que cette idée d'être comme frère et sœur. Pourtant, elle prenait soin à ne pas couper les coups, s'enfonçant un peu plus dans l'envie de l'avoir contre elle. Parce qu'au final, il n'était pas son frère, et qu'elle avait beau le voir comme son amour de petite peluche, elle savait qu'il y avait un au delà. L'avait accepté depuis longtemps. Alors, si elle faisait preuve d'autant de gentillesse à son égard, si elle s'inquiétait, prenait de ses nouvelles ; c'était pour la même raison qu'elle lui souriait actuellement. « Très bien. N'hésite pas si jamais, tu es comme le roi ici. » un amour sans borne pour une personne plus importante que soi-même.
Reposant son regard sur ses papiers, elle se déconcentra un instant du jeune homme. Bien qu'il restait très présent dans sa tête ; dans la totalité de son être même. Tout était si long. Juste pour un jeu de lumière. Elle continuait de lire, écrire, jusqu'à ce qu'il parle. Elle relève les yeux, hausse un sourcil et rigole légèrement suite à sa réflexion. « Sans te vexer, je ne te vois pas travailler ici Tae Hwi ! » pars parce qu'elle ne l'en croyait pas capable, au contraire. Simplement parce que cela ne lui allait pas. Et que, de toute évidence, peu de personne avait la patiente nécessaire. Il ne fallait pas se mentir, il n'était pas le premier à lui dire qu'il ne pourrait pas faire ce qu'elle faisait. Hors, c'était très différent de son point de vue. « Et puis tu sais, ça sera différent quand j'en serais la directrice. Je botterais les fesses à ces artistes capricieux. » évidement, c'était une façon de parler, elle avait bien trop de respect pour ça. Mais son pouvoir serait plus conséquent une fois qu'elle aurait vraiment les rennes de la galerie et cela était prévu. Mais pas maintenant, elle ne pouvait pas encore se le permettre, avec son père. Néanmoins si elle tenait à son travail, c'était parce que ce domaine lui plaisait et qu'elle avait sa petite notoriété.
« J'aime les pauses, de temps en temps. » un sourire complice aux coins des lèvres, son regard pétillait de malice. Sachant très bien ce qu'elle voulait à l'heure actuelle. Elle adorait travailler, mais elle préférait davantage lui donner ses leçons d'anatomies. Ses lèvres embrassèrent son cou, mordillant légèrement la peau par moment, une main glissant à sa côte pour se faufiler doucement sous son haut. Pendant qu'il lui parlait, qu'il s'excusait et elle pardonnait complètement, il n'avait pas besoin de se justifier, elle plaisantait. Mais elle n'eut pas le temps de répondre qu'il plongeait sur ses lippes et débutait un baiser plus attrayant. Ses jambes s'enroulèrent naturellement autour de sa taille tandis qu'il l'asseyait sur son bureau. Une douce chaleur s'emparait de son bas-ventre. Signe avant coureur et très distinctif de ce qu'il éveillait en elle. « Tu me manques tout le temps. » elle avait beau le savoir qu'il pensait à elle, comme elle pensait à lui, cela ne suffisait pas à combler ce qu'elle éprouvait parfois. Mais là, contre lui, sa peau touchant la sienne, c'était tout ce dont elle avait cruellement besoin. Traçant des cercles sur son torse, elle fixait ses yeux, soufflant contre sa bouche. « À quoi tu penses, quand je suis dans ta tête ? » curieuse, elle déposait des baisers papillons sur sa mâchoire, sur ses paupières, avant de mettre les mains dans les poches arrière de son jean et d’approcher plus encore leurs bassins.
Reposant son regard sur ses papiers, elle se déconcentra un instant du jeune homme. Bien qu'il restait très présent dans sa tête ; dans la totalité de son être même. Tout était si long. Juste pour un jeu de lumière. Elle continuait de lire, écrire, jusqu'à ce qu'il parle. Elle relève les yeux, hausse un sourcil et rigole légèrement suite à sa réflexion. « Sans te vexer, je ne te vois pas travailler ici Tae Hwi ! » pars parce qu'elle ne l'en croyait pas capable, au contraire. Simplement parce que cela ne lui allait pas. Et que, de toute évidence, peu de personne avait la patiente nécessaire. Il ne fallait pas se mentir, il n'était pas le premier à lui dire qu'il ne pourrait pas faire ce qu'elle faisait. Hors, c'était très différent de son point de vue. « Et puis tu sais, ça sera différent quand j'en serais la directrice. Je botterais les fesses à ces artistes capricieux. » évidement, c'était une façon de parler, elle avait bien trop de respect pour ça. Mais son pouvoir serait plus conséquent une fois qu'elle aurait vraiment les rennes de la galerie et cela était prévu. Mais pas maintenant, elle ne pouvait pas encore se le permettre, avec son père. Néanmoins si elle tenait à son travail, c'était parce que ce domaine lui plaisait et qu'elle avait sa petite notoriété.
« J'aime les pauses, de temps en temps. » un sourire complice aux coins des lèvres, son regard pétillait de malice. Sachant très bien ce qu'elle voulait à l'heure actuelle. Elle adorait travailler, mais elle préférait davantage lui donner ses leçons d'anatomies. Ses lèvres embrassèrent son cou, mordillant légèrement la peau par moment, une main glissant à sa côte pour se faufiler doucement sous son haut. Pendant qu'il lui parlait, qu'il s'excusait et elle pardonnait complètement, il n'avait pas besoin de se justifier, elle plaisantait. Mais elle n'eut pas le temps de répondre qu'il plongeait sur ses lippes et débutait un baiser plus attrayant. Ses jambes s'enroulèrent naturellement autour de sa taille tandis qu'il l'asseyait sur son bureau. Une douce chaleur s'emparait de son bas-ventre. Signe avant coureur et très distinctif de ce qu'il éveillait en elle. « Tu me manques tout le temps. » elle avait beau le savoir qu'il pensait à elle, comme elle pensait à lui, cela ne suffisait pas à combler ce qu'elle éprouvait parfois. Mais là, contre lui, sa peau touchant la sienne, c'était tout ce dont elle avait cruellement besoin. Traçant des cercles sur son torse, elle fixait ses yeux, soufflant contre sa bouche. « À quoi tu penses, quand je suis dans ta tête ? » curieuse, elle déposait des baisers papillons sur sa mâchoire, sur ses paupières, avant de mettre les mains dans les poches arrière de son jean et d’approcher plus encore leurs bassins.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Dim 3 Juil - 23:52
J'étais tout à fait d'accord avec elle. Je ne suis pas fait pour travailler dans cet endroit, car il y aurait déjà des meurtres de fait. Je peux supporter quelques ordres, mais il ne faut pas que celui qui m'en donne abuse. L'artiste était pointilleux et elle savait que je l'aurais mis dans le droit chemin au bout de quelques secondes. Il a beau être Picasso ou Jackie Chan, je vous dis que je l'encule sur place. Je ne connais pas l'artiste, mais ça devait être le mec indécis qui veut telle ou telle chose. Il veut sûrement des personnes de hauts rangs du genre : Barack Obama, Beyonce ou je ne sais quoi. Mais il faut qu'il sache qu'ils n'y connaissent rien en art. Bon, je suis dans le même cas, mais au moins, je me connais le corps humain. Je pouvais soigner des personnes et j'espère devenir médecin à l'hôpital grâce à mes études. Au moins, j'aurais des patients gentils, chiants et j'en passe. C'est tellement meilleur de ressentir le contact humain. Il faut que Kee Young devienne directrice de cet endroit, elle sera un peu plus tranquille.
Il faut qu'elle se repose un minimum avec tous les dossiers qu'elle avait à traiter. Je ne sais pas comment elle fait pour travailler dans un endroit comme celui-ci. Bon, après si cela lui plaît tant mieux. Je l'avais installé sur le bureau, mon bassin se rapprochait de plus en plus du sien. J'en avais profité pour l'embrasser plusieurs fois avec envie. J'entretiens une relation assez particulière avec la demoiselle, mais c'est ce qui faisait la beauté de notre relation. Je ne pouvais que rougir lorsqu'elle me dit que je lui manquais tous les jours. C'est toujours agréable de ressentir '' l'amour '' que porte quelqu'un que j'apprécie. « Tout le temps ? Beaucoup ou pas beaucoup ? » Demandai-je en lui lançant mon plus beau sourire. Je me sentais bien avec elle, et c'était rare de ressortir cela avec quelqu'un d'autre. Je suis quelqu'un de très sociable, je peux sauter sur n'importe qui et faire des câlins. Mais... La chose que je ressentais avec Kee Young était autre chose. Je ne pense pas être amoureux, elle m'attire certes et je pense que ça restera dans ce point-là. Peut-être que je sortirais avec elle dans le temps, on ne sait jamais. De toute façon, je ne préfère pas y penser.
Tout ce que je voulais à l'heure actuelle, c'était lui faire des choses. Pas des bisous ou des câlins.. Des choses que les personnes adultes font dans les films pornographiques. Je ne vais pas vous faire un dessin. Je colle mon bassin contre le sien et j'en profite pour lui mordre doucement le cou. On a sûrement le temps de faire quelques choses avant qu'elle reprenne le boulot et que je reparte faire ma vie. A mon avis, je n'aurais pas envie d'aller mettre ma tête dans mes cahiers pour réviser. Ma main droite se glisse à l'intérieur dans son pantalon pour venir titiller sa partie intime. « Quand je pense à toi, je pense à des trucs comme ça... » Je fais un petit sourire provocateur avant de reprendre « Mais je ne pense pas qu'à ça. Je me demande si tu vas bien, si tu as envie de me voir etc... » J'en profite pour lui déposer mes lèvres sur les siennes et d'entamer un mouvement de la main pour l'entendre soupirer d'aise.
Il faut qu'elle se repose un minimum avec tous les dossiers qu'elle avait à traiter. Je ne sais pas comment elle fait pour travailler dans un endroit comme celui-ci. Bon, après si cela lui plaît tant mieux. Je l'avais installé sur le bureau, mon bassin se rapprochait de plus en plus du sien. J'en avais profité pour l'embrasser plusieurs fois avec envie. J'entretiens une relation assez particulière avec la demoiselle, mais c'est ce qui faisait la beauté de notre relation. Je ne pouvais que rougir lorsqu'elle me dit que je lui manquais tous les jours. C'est toujours agréable de ressentir '' l'amour '' que porte quelqu'un que j'apprécie. « Tout le temps ? Beaucoup ou pas beaucoup ? » Demandai-je en lui lançant mon plus beau sourire. Je me sentais bien avec elle, et c'était rare de ressortir cela avec quelqu'un d'autre. Je suis quelqu'un de très sociable, je peux sauter sur n'importe qui et faire des câlins. Mais... La chose que je ressentais avec Kee Young était autre chose. Je ne pense pas être amoureux, elle m'attire certes et je pense que ça restera dans ce point-là. Peut-être que je sortirais avec elle dans le temps, on ne sait jamais. De toute façon, je ne préfère pas y penser.
Tout ce que je voulais à l'heure actuelle, c'était lui faire des choses. Pas des bisous ou des câlins.. Des choses que les personnes adultes font dans les films pornographiques. Je ne vais pas vous faire un dessin. Je colle mon bassin contre le sien et j'en profite pour lui mordre doucement le cou. On a sûrement le temps de faire quelques choses avant qu'elle reprenne le boulot et que je reparte faire ma vie. A mon avis, je n'aurais pas envie d'aller mettre ma tête dans mes cahiers pour réviser. Ma main droite se glisse à l'intérieur dans son pantalon pour venir titiller sa partie intime. « Quand je pense à toi, je pense à des trucs comme ça... » Je fais un petit sourire provocateur avant de reprendre « Mais je ne pense pas qu'à ça. Je me demande si tu vas bien, si tu as envie de me voir etc... » J'en profite pour lui déposer mes lèvres sur les siennes et d'entamer un mouvement de la main pour l'entendre soupirer d'aise.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Mar 5 Juil - 1:37
KeeHwi
Les dossiers semblaient être une tâche qui ne figuraient plus dans son programme. Chaque centimètres gagnés contre le corps du brun, chaque baisers échangés lui conféraient cette envie d'aller plus loin. D'oublier, entre ses bras, le travail qui pesait sur les siens. Mettre de côté le lieu dans lequel ils se trouvaient et profiter de ce moment qu'elle adorait. Réclamait. Ses mains glissant de ses cheveux à ses joues, de ses joues à ses épaules, de ses épaules à ses côtes, elle retraçait doucement et du bout des doigts le corps qu'elle avait tant de fois parcouru, apprécié, voulu. Et chaque partie touchée la rendait désireuse d'une suite qu'elle avait attendu dès l'instant où les sms s'étaient échangés. Plus le temps s'écoulait, plus la nourriture n'avait plus la moindre importance, puisqu'il semblerait que le seul aliment dont a envie son corps soit celui du garçon. Il n'est plus question de pause, de repas, de dossiers, d'artistes chiants, juste de lui. Son champs de vision se refermant sur Tae Hwi. Elle sourit, mordille sa lèvre inférieure, capture son sourire enjôleur dans un nouveau baiser langoureux, désireux, envieux. Et son souffle se mélange en sien, comme sa langue le faisait juste avant. « Beaucoup. Tu envahis tout mon être. » et dans un sens ce n'est que la vérité. Il prenait une place qu'elle n'accordait pas, mais qu'il lui allait de manière si naturelle qu'elle en était fière. Rien que de le ressentir. Au creux de son cœur, ou de son bas ventre.
Son cœur battant un peu plus vite, elle regarde le garçon au travers ses cils. Ses cuisses s'écartent quand il vient se coller définitivement à elle, bassin contre bassin. Elle regrette aussitôt les vêtements présents sur eux, mais se contente simplement de refermer ses jambes autour de sa taille, faire coulisser ses mains sur ses fesses, plaçant ses paumes dans les poches de son jean, rejetant très légèrement la tête en arrière pour lui laisser libre accès à son cou, sentir son souffle sur sa peau chaude. Une légère plainte s'évadant d'entre ses lippes alors qu'il faufile sa main dans sa partie la plus intime. D'un coup de bassin, elle rapproche d'instinct cette zone la plus sensible, la pression exercée lui tira des frissons qu'elle accueillait avec malice, un sourire dissimulé dans les plaintes chuchotées que sa voix faisait résonner entre les brindilles ébènes du cadet. « Ça me plait, de savoir ce que je t'inspire... » elle aime. Qu'il lui dise l'effet qu'elle lui fait, ce qu'il veut réaliser avec elle quand il peut l'avoir à ses côtés. Enfant damnée par une situation non désirée, elle ne peut qu’idolâtrer les instants qu'elle convoite avec une impatience farouche. Elle voudrait croquer à nouveau ce sourire provocateur, marquer chaque morceau de son épiderme. Qu'il soit visible ou non, rien que pour ce semblent d'exclusivité qu'elle pourrait avoir le temps d'une soirée.
Elle réponds au baiser, en profite pour venir attraper les bords de son haut et le lui retirer lentement, se servant de l'éloignement subit pour le virer complètement et répondre avec une douceur et une affection pour le jeune homme qui lui est propre. « J'ai constamment envie de te voir Tae Hwi. » même si elle ne le peut pas, même si sa condition lui empêche bien des choses. Elle se mord la lèvre, à la fois peinée de cette constatation que frustrée de ne pouvoir y remédier. Puis elle retire son propre haut, lui laissant néanmoins le loisir de lui retirer son soutien-gorge, car elle a besoin de sentir ses mains partout sur son corps. Comme une caresse brûlante dont elle veut être la flamme consommée. Elle ne renoue pas de baiser et viens suçoter l'épiderme de son cou, déposant baisers papillons et petits suçons. Alors que ses mains viennent déboutonner son bas, jouer avec la bordure de son caleçon. Et si ses soupirs perdent de leur écho entre les peaux, elle s'affaire à lui rendre la monnaie de sa pièce, allant chercher l'objet de ses convoitises. Chaud et brûlant, comme l'envie présente au creux de son ventre. « Pourquoi tu ne viens pas me voir, quand tu penses à moi ? C'est plus sympa de pouvoir te toucher autrement que par la pensée... » une voix suave, deux mains expertes sur la peau fiévreuse qu'elle s'applique à bien traiter. Sa langue lèche sa clavicule et remonte à sa pomme d'Adam, à son menton, pour revenir prendre possession de sa jumelle.
Son cœur battant un peu plus vite, elle regarde le garçon au travers ses cils. Ses cuisses s'écartent quand il vient se coller définitivement à elle, bassin contre bassin. Elle regrette aussitôt les vêtements présents sur eux, mais se contente simplement de refermer ses jambes autour de sa taille, faire coulisser ses mains sur ses fesses, plaçant ses paumes dans les poches de son jean, rejetant très légèrement la tête en arrière pour lui laisser libre accès à son cou, sentir son souffle sur sa peau chaude. Une légère plainte s'évadant d'entre ses lippes alors qu'il faufile sa main dans sa partie la plus intime. D'un coup de bassin, elle rapproche d'instinct cette zone la plus sensible, la pression exercée lui tira des frissons qu'elle accueillait avec malice, un sourire dissimulé dans les plaintes chuchotées que sa voix faisait résonner entre les brindilles ébènes du cadet. « Ça me plait, de savoir ce que je t'inspire... » elle aime. Qu'il lui dise l'effet qu'elle lui fait, ce qu'il veut réaliser avec elle quand il peut l'avoir à ses côtés. Enfant damnée par une situation non désirée, elle ne peut qu’idolâtrer les instants qu'elle convoite avec une impatience farouche. Elle voudrait croquer à nouveau ce sourire provocateur, marquer chaque morceau de son épiderme. Qu'il soit visible ou non, rien que pour ce semblent d'exclusivité qu'elle pourrait avoir le temps d'une soirée.
Elle réponds au baiser, en profite pour venir attraper les bords de son haut et le lui retirer lentement, se servant de l'éloignement subit pour le virer complètement et répondre avec une douceur et une affection pour le jeune homme qui lui est propre. « J'ai constamment envie de te voir Tae Hwi. » même si elle ne le peut pas, même si sa condition lui empêche bien des choses. Elle se mord la lèvre, à la fois peinée de cette constatation que frustrée de ne pouvoir y remédier. Puis elle retire son propre haut, lui laissant néanmoins le loisir de lui retirer son soutien-gorge, car elle a besoin de sentir ses mains partout sur son corps. Comme une caresse brûlante dont elle veut être la flamme consommée. Elle ne renoue pas de baiser et viens suçoter l'épiderme de son cou, déposant baisers papillons et petits suçons. Alors que ses mains viennent déboutonner son bas, jouer avec la bordure de son caleçon. Et si ses soupirs perdent de leur écho entre les peaux, elle s'affaire à lui rendre la monnaie de sa pièce, allant chercher l'objet de ses convoitises. Chaud et brûlant, comme l'envie présente au creux de son ventre. « Pourquoi tu ne viens pas me voir, quand tu penses à moi ? C'est plus sympa de pouvoir te toucher autrement que par la pensée... » une voix suave, deux mains expertes sur la peau fiévreuse qu'elle s'applique à bien traiter. Sa langue lèche sa clavicule et remonte à sa pomme d'Adam, à son menton, pour revenir prendre possession de sa jumelle.
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