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1, 2[/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Ven 22 Juil - 13:30 
Quand elle me dit que j'envahis tout son être un soupire de soulagement s'échappe de mes lèvres. Cette fille représente beaucoup pour moi et si je lui manquais juste un peu, je le prendrais super mal. Qui aimerait entendre de la bouche de la personne que vous adorez que vous lui manquez juste un peu ? Personne. Bon, c'est mieux que rien, mais c'est différent pour Kee Young. Il y a un sentiment qu'il fait qu'elle n'avait pas le droit de me dire '' un peu ''. Certes, je n'ai pas à lui dire quoi faire, car je ne suis pas celui qui doit contrôler ses faits et gestes ainsi que ses dires. Je ne suis pas un dictateur et je ne devais pas me comporter comme tel. De toute façon, j'étais content de pouvoir sortir le travail qu'elle avait à faire de ses pensées. Je sais à quel point c'est compliqué de travailler dans un métier comme celui-ci. Elle avait un client casse bonbon et je respectais son sang-froid parce qu'il en faut. Je suppose qu'elle fera la même chose lorsque je serais médecin ou chirurgien. Elle viendra me voir lorsque je serais tranquille dans mon bureau en attendant que les heures défilent pour que je puisse m'occuper d'un patient.
Nous sommes là, tous les deux dans son bureau, sans intrus qui ne sont pas désirés à l'intérieur. Prenant le dessus à ma façon, je me demandais bien comment elle allait réagir ? Sans doute au quart de tour, à moins que ce soit moi qui me fasse des idées ? Une tension sexuelle est apparue comme ça de nulle part. Nos corps étaient très proches. Je souris en voyant qu'elle est satisfaite de savoir ce qu'elle m'inspire lorsque je pense à elle. Je suis en train de caresser sa partie intime, et je savais qu'elle allait être heureuse de savoir qu'elle me fait de l'effet. Je crois que beaucoup d'hommes pensent comme moi lorsqu'on a Kee Young dans notre tête. C'est une femme magnifique qui peut avoir tous les hommes à ses pieds. On ne va pas se le cacher, je suis sûr et certain qu'elle n'a pas eu que moi comme plan. Je ne dis pas que c'est une salope, moi-même j'ai eu des plans et je pense que c'est tout à fait normal qu'elle en ai eu. Après tout, elle peut avoir tout ce qu'elle veut. De toute façon, elle a tout ce qu'elle veut avec moi, je ne peux rien lui refuser. Nous ne sommes pas ensemble et je ne lui dirais pas non, si on devait avoir une relation amoureuse. « Ce n'est pas très chrétiens ce que tu m'inspires. » Je fais un petit sourire provocateur tout en continuant les caresses en dessous de la ceinture.
Qui aurait cru qu'une petite bouille comme moi a également besoin de se faire plaisir ? Kee Young est parfaite pour ce rôle. Elle savait l'effet qu'elle me faisait, elle en jouait et elle avait bien raison. Elle sait profiter des opportunités qui lui sont offertes. Je ne pouvais pas la blâmer puisque je me donne à elle comme une femme le ferait pour sa première fois, mais sauf que là ce n'était pas ma première fois. Dommage. Elle aurait pu l'être et cela aurait été un honneur de l'avoir. Elle pense sûrement la même chose que moi. « Parce que tu me touches par la pensée ? » Mon regard se pose sur elle. Je mords son légèrement son cou. Elle a une peau tellement douce que j'avais peur de la blesser, j'avais peur que mes dents pénètre sa chaire pour lui laisser des marques comme Dracula. Elle devient ma propriété si je lui laisse la marque de mes dents sur sa peau ? Ça serait bien. Je n'ai pas à la partager comme ça. Même si je pense qu'elle ne voit personne d'autre. Elle joue avec la bordure de mon caleçon. Elle est douce. C'est une chose dont je n'ai pas l'habitude avec mes expériences sm, mais je fais avec. La pièce pouvait ressentir que j'avais envie d'elle -même si elle ne me faisait rien- Mon membre grandit et grossis à force de penser à la suite. Je lui enlève son soutien-gorge, ma main gauche vient jouer avec ses seins et je m'approche de sa bouche pour lui mordre légèrement sa lèvre inférieure. « Si je te dis que je t'aime, je casse l'ambiance ? » Un peu d'humour pendant un acte dont ''dieu'' nous tuerai, ne fait pas de mal.. Ma main droite quant à elle, continue les caresses, mais je décide de lui mettre mes deux petits doigts à l'intérieur de son vagin afin de commencer des vas-et-viens.
Nous sommes là, tous les deux dans son bureau, sans intrus qui ne sont pas désirés à l'intérieur. Prenant le dessus à ma façon, je me demandais bien comment elle allait réagir ? Sans doute au quart de tour, à moins que ce soit moi qui me fasse des idées ? Une tension sexuelle est apparue comme ça de nulle part. Nos corps étaient très proches. Je souris en voyant qu'elle est satisfaite de savoir ce qu'elle m'inspire lorsque je pense à elle. Je suis en train de caresser sa partie intime, et je savais qu'elle allait être heureuse de savoir qu'elle me fait de l'effet. Je crois que beaucoup d'hommes pensent comme moi lorsqu'on a Kee Young dans notre tête. C'est une femme magnifique qui peut avoir tous les hommes à ses pieds. On ne va pas se le cacher, je suis sûr et certain qu'elle n'a pas eu que moi comme plan. Je ne dis pas que c'est une salope, moi-même j'ai eu des plans et je pense que c'est tout à fait normal qu'elle en ai eu. Après tout, elle peut avoir tout ce qu'elle veut. De toute façon, elle a tout ce qu'elle veut avec moi, je ne peux rien lui refuser. Nous ne sommes pas ensemble et je ne lui dirais pas non, si on devait avoir une relation amoureuse. « Ce n'est pas très chrétiens ce que tu m'inspires. » Je fais un petit sourire provocateur tout en continuant les caresses en dessous de la ceinture.
Qui aurait cru qu'une petite bouille comme moi a également besoin de se faire plaisir ? Kee Young est parfaite pour ce rôle. Elle savait l'effet qu'elle me faisait, elle en jouait et elle avait bien raison. Elle sait profiter des opportunités qui lui sont offertes. Je ne pouvais pas la blâmer puisque je me donne à elle comme une femme le ferait pour sa première fois, mais sauf que là ce n'était pas ma première fois. Dommage. Elle aurait pu l'être et cela aurait été un honneur de l'avoir. Elle pense sûrement la même chose que moi. « Parce que tu me touches par la pensée ? » Mon regard se pose sur elle. Je mords son légèrement son cou. Elle a une peau tellement douce que j'avais peur de la blesser, j'avais peur que mes dents pénètre sa chaire pour lui laisser des marques comme Dracula. Elle devient ma propriété si je lui laisse la marque de mes dents sur sa peau ? Ça serait bien. Je n'ai pas à la partager comme ça. Même si je pense qu'elle ne voit personne d'autre. Elle joue avec la bordure de mon caleçon. Elle est douce. C'est une chose dont je n'ai pas l'habitude avec mes expériences sm, mais je fais avec. La pièce pouvait ressentir que j'avais envie d'elle -même si elle ne me faisait rien- Mon membre grandit et grossis à force de penser à la suite. Je lui enlève son soutien-gorge, ma main gauche vient jouer avec ses seins et je m'approche de sa bouche pour lui mordre légèrement sa lèvre inférieure. « Si je te dis que je t'aime, je casse l'ambiance ? » Un peu d'humour pendant un acte dont ''dieu'' nous tuerai, ne fait pas de mal.. Ma main droite quant à elle, continue les caresses, mais je décide de lui mettre mes deux petits doigts à l'intérieur de son vagin afin de commencer des vas-et-viens.
© CHARNEY
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Mar 26 Juil - 15:53
Playboy's diary
FEAT. KEEHWI ♥
love you ღ s'il y a bien une chose que la gumiho refuse, c'est de mettre son travail sur pause. De se laisser aller à une friandise aussi tentante et savoureuse qu'un rapport avec un second individu. Hors, que peut-elle faire, si ce n'est succomber pour ce garçon qui lui ferait faire n'importe quoi à la simple condition qu'il le veuille. Shim Kee Young n'avait pas pour habitude d'être à ce point soumise, si ce n'est par son père, et pourtant, elle se savait capable d'accepter cette situation rien que pour le sourire enjôleur du blond. Parce qu'avec lui, c'était toujours plus facile, de s'en aller. Parfois, il suffit de peu pour parvenir à s'évader. Malgré tout, même en étant persuadé d'y arriver, il y a toujours cette petite partie bien ancrée sur la terre ferme. Généralement douloureuse. Celle qui laisse les plaies ouvertes et saignantes sans penser un instant à les apaiser. Seule il y a peu de moyen de faire en sorte que cette partie agressive s'endorme le temps d'un répit parfois amplement mérité. Oui, seule. Puisque Tae Hwi lui prouve qu'elle a simplement besoin de lui pour oublier. Que cette place qu'il prend, en lui faisant battre le cœur, la vidait de toutes douleurs. Tant qu'elle ne voyait plus que son visage, n'entendait que sa respiration, ne touchait que son corps, ne goûtait que ses lèvres et ne sentait que son odeur. Tous ses sens étaient occupés à suivre et vivre au rythme du jeune homme. Et elle avait beau chercher cette zone réaliste, elle ne voyait rien tant son esprit était embrumé par la présence de son amant. Qui accélérait la course de son sang.
Ses yeux dans les, elle tentait pour tous les moyens de lui faire comprendre que ce « un peu » n'avait pas sa place entre eux. Parce qu'ils possédaient bien plus que ça. Des mots plus forts ceux-là. Elle voulait qu'il sache, qu'il assimile bien les messages qui brillaient dans ses yeux. je suis contente que tu sois là, avec moi. Parce qu'elle avait besoin de sa présence pour vivre seulement de cet amour qu'il lui donnait, qu'elle lui offrait, sans regret. Tu es un tout. Mon tout. qu'il sache, ce qui se passait en elle quand il se tenait à ses côtés. Ce n'était pas purement sexuel ou physique. Il y a cette raison irrationnelle dans son cœur qui confirme qu'il n'est pas seulement présent entre ses cuisses, mais surtout à la surface de son organe vital. Et ça lui fait peur, de tenir autant à quelqu'un. Ne pouvant mettre de côté sa situation.
Et c'est affolant, d'en arriver là. Ainsi, la jeune femme ferme les yeux et se berce au son de sa voix. Rouvrant les pupilles d'un regard complice, taquin. Elle rit et le caresse un peu plus, afin de lui montrer qu'elle non plus n'est pas très chrétienne. « Qu'elle chance que je ne sois pas croyante, j'aurai une conscience un peu plus tranquille ainsi puisque tu m'inspires bien des choses toi aussi ; et aucune d'entres elles ne figurent dans la bible. » Elle embrasse son nez et se mord la lèvre, désireuse de garder ses gémissements discrets. Elle profite de sa main entre ses cuisses, les écartes davantage et rapproche son bassin alors même qu'ils semblent déjà collés à leur maximum. Quand il lui mord le cou, elle sent une nouvelle flamme s'allumer au creux de son ventre et une de ses mains revient agripper ses cheveux, tandis que ses lèvres se perdent dans les brindilles dorées. « Si je te racontais tout ce que je te fais, rien que mon récit te ferait jouir. » parce qu'il était là. Toujours. Sans cesse. Et elle ne pouvait rien y faire, c'était comme ça, simplement. Dans sa tête, Tae Hwi prenait toute la place, éclipsant même Jin Ki par moment. Sa main glisse sous sur son dos, trace sa colonne vertébrale, alors que la seconde entame un long va et viens sur son membre grandissant à chaque seconde. Une augmentation impressionnante qui lui réchauffe le ventre, la perd dans un océan de désir. Elle se plaint, suavement, de ses mains à lui, entrouvre les lèvres pour finalement lui faire entendre ce qu'elle éprouve. Et les mots sortent de ses lèvres et lui coupe la respiration, surprise, et peut-être perdue. De sa blague ou de la réalité de la chose. Aimer un mot qu'elle a dû mal à accepter. Qui semble pourtant les entourer. Elle ne sait que répondre, mais tandis qu'elle s'apprête à le faire, il lui insère ses deux doigts et elle ferme les yeux dans un gémissement plus rauque, suivit d'un mouvement des hanches. Sa main remonte et s'accroche à ses épaules, la seconde serre un peu plus son sexe. « Ah... tae... » ses lèvres s'étirent dans un sourire radieux, tant son corps accueille ce plaisir avec émerveillement. Et dans sa tête, son sang ne fait qu'un tour. Aimer dans sa vie, dans son quotidien, dans son dictionnaire, il est le seul qui s'en rapproche le plus et malgré la surprise elle sait à quel point elle s'est trouvée heureuse d'entendre cette phrase. Alors, elle relève la tête, l'embrasse, gémit contre sa bouche. Puis se décolle, mais laisse son front contre le sien. « Tu m'aimes ? » une lueur brille dans son regard. Une sorte d'espoir, et de peur aussi. Parce que s'il répond que oui, elle ne pourra pas se mentir et dire non à son tour, hors elle sait qu'elle ne peut rien lui promettre pour le moment. Et dans le cas où il répondrait non, elle n'est pas sûre de pouvoir garder le sourire. Au fond, elle veut plus que tout ça, corps comme cœur. Ses doigts ne suffissent pas, jamais. « Prends-moi. » Aime-moi semble-t-elle crier en réalité.
FEAT. KEEHWI ♥
love you ღ s'il y a bien une chose que la gumiho refuse, c'est de mettre son travail sur pause. De se laisser aller à une friandise aussi tentante et savoureuse qu'un rapport avec un second individu. Hors, que peut-elle faire, si ce n'est succomber pour ce garçon qui lui ferait faire n'importe quoi à la simple condition qu'il le veuille. Shim Kee Young n'avait pas pour habitude d'être à ce point soumise, si ce n'est par son père, et pourtant, elle se savait capable d'accepter cette situation rien que pour le sourire enjôleur du blond. Parce qu'avec lui, c'était toujours plus facile, de s'en aller. Parfois, il suffit de peu pour parvenir à s'évader. Malgré tout, même en étant persuadé d'y arriver, il y a toujours cette petite partie bien ancrée sur la terre ferme. Généralement douloureuse. Celle qui laisse les plaies ouvertes et saignantes sans penser un instant à les apaiser. Seule il y a peu de moyen de faire en sorte que cette partie agressive s'endorme le temps d'un répit parfois amplement mérité. Oui, seule. Puisque Tae Hwi lui prouve qu'elle a simplement besoin de lui pour oublier. Que cette place qu'il prend, en lui faisant battre le cœur, la vidait de toutes douleurs. Tant qu'elle ne voyait plus que son visage, n'entendait que sa respiration, ne touchait que son corps, ne goûtait que ses lèvres et ne sentait que son odeur. Tous ses sens étaient occupés à suivre et vivre au rythme du jeune homme. Et elle avait beau chercher cette zone réaliste, elle ne voyait rien tant son esprit était embrumé par la présence de son amant. Qui accélérait la course de son sang.
Ses yeux dans les, elle tentait pour tous les moyens de lui faire comprendre que ce « un peu » n'avait pas sa place entre eux. Parce qu'ils possédaient bien plus que ça. Des mots plus forts ceux-là. Elle voulait qu'il sache, qu'il assimile bien les messages qui brillaient dans ses yeux. je suis contente que tu sois là, avec moi. Parce qu'elle avait besoin de sa présence pour vivre seulement de cet amour qu'il lui donnait, qu'elle lui offrait, sans regret. Tu es un tout. Mon tout. qu'il sache, ce qui se passait en elle quand il se tenait à ses côtés. Ce n'était pas purement sexuel ou physique. Il y a cette raison irrationnelle dans son cœur qui confirme qu'il n'est pas seulement présent entre ses cuisses, mais surtout à la surface de son organe vital. Et ça lui fait peur, de tenir autant à quelqu'un. Ne pouvant mettre de côté sa situation.
Et c'est affolant, d'en arriver là. Ainsi, la jeune femme ferme les yeux et se berce au son de sa voix. Rouvrant les pupilles d'un regard complice, taquin. Elle rit et le caresse un peu plus, afin de lui montrer qu'elle non plus n'est pas très chrétienne. « Qu'elle chance que je ne sois pas croyante, j'aurai une conscience un peu plus tranquille ainsi puisque tu m'inspires bien des choses toi aussi ; et aucune d'entres elles ne figurent dans la bible. » Elle embrasse son nez et se mord la lèvre, désireuse de garder ses gémissements discrets. Elle profite de sa main entre ses cuisses, les écartes davantage et rapproche son bassin alors même qu'ils semblent déjà collés à leur maximum. Quand il lui mord le cou, elle sent une nouvelle flamme s'allumer au creux de son ventre et une de ses mains revient agripper ses cheveux, tandis que ses lèvres se perdent dans les brindilles dorées. « Si je te racontais tout ce que je te fais, rien que mon récit te ferait jouir. » parce qu'il était là. Toujours. Sans cesse. Et elle ne pouvait rien y faire, c'était comme ça, simplement. Dans sa tête, Tae Hwi prenait toute la place, éclipsant même Jin Ki par moment. Sa main glisse sous sur son dos, trace sa colonne vertébrale, alors que la seconde entame un long va et viens sur son membre grandissant à chaque seconde. Une augmentation impressionnante qui lui réchauffe le ventre, la perd dans un océan de désir. Elle se plaint, suavement, de ses mains à lui, entrouvre les lèvres pour finalement lui faire entendre ce qu'elle éprouve. Et les mots sortent de ses lèvres et lui coupe la respiration, surprise, et peut-être perdue. De sa blague ou de la réalité de la chose. Aimer un mot qu'elle a dû mal à accepter. Qui semble pourtant les entourer. Elle ne sait que répondre, mais tandis qu'elle s'apprête à le faire, il lui insère ses deux doigts et elle ferme les yeux dans un gémissement plus rauque, suivit d'un mouvement des hanches. Sa main remonte et s'accroche à ses épaules, la seconde serre un peu plus son sexe. « Ah... tae... » ses lèvres s'étirent dans un sourire radieux, tant son corps accueille ce plaisir avec émerveillement. Et dans sa tête, son sang ne fait qu'un tour. Aimer dans sa vie, dans son quotidien, dans son dictionnaire, il est le seul qui s'en rapproche le plus et malgré la surprise elle sait à quel point elle s'est trouvée heureuse d'entendre cette phrase. Alors, elle relève la tête, l'embrasse, gémit contre sa bouche. Puis se décolle, mais laisse son front contre le sien. « Tu m'aimes ? » une lueur brille dans son regard. Une sorte d'espoir, et de peur aussi. Parce que s'il répond que oui, elle ne pourra pas se mentir et dire non à son tour, hors elle sait qu'elle ne peut rien lui promettre pour le moment. Et dans le cas où il répondrait non, elle n'est pas sûre de pouvoir garder le sourire. Au fond, elle veut plus que tout ça, corps comme cœur. Ses doigts ne suffissent pas, jamais. « Prends-moi. » Aime-moi semble-t-elle crier en réalité.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Dim 2 Oct - 18:41
Pourquoi agir ainsi avec elle ? Pourquoi devais-je systématiquement tomber dans ses bras ? Suis-je envouté ? J'agissais comme cela avec elle et Park Rahel pour une raison que j'ignore. Il est vrai que je suis ami avec le sexe, mais pour pouvoir craquer aussi rapidement, ce n'est plus vraiment de l'amitié. Je suis devenu si facile à avoir ? Ce genre de mec minable que toutes les femmes pouvaient berner rien qu'avec le sexe. Dieu sait que ce n'est pas pour me déplaire, mais cette chaleur, ce désir s'installe constamment lorsque je suis avec la demoiselle. J'agis très certainement à cause des effets d'une potion d'amour que faisait les sorcières au Moyen-Âge, alors comment réussir à briser ce sort ? Si ça se trouve, je suis condamné à avoir une relation qui n'est pas saine avec la jeune femme. De plus, je ne sais ce qu'elle me trouve à un hackeur pervers à tête de bébé, nous ne sommes pas du même monde. Elle travaille pour un milieu de riche, alors que je travaille dans un cyber café pendant que j'aide un club de motard à produire un marcher illégale dans notre joli pays qu'est la Corée du Sud. Fait-elle un caprice de princesse parce que ses parents lui interdisaient telle ou telle chose ? Je ne sais plus où j'en suis, je suis complètement perdu.
Je suis simplement venu lui donner à manger, car je voulais faire une pause en révisant ce que je devais apprendre. Apprendre est un grand mot, je suis un génie, je suis capable de retenir les gestes d'une opération chirurgicale en regardant une vidéo. Avec mes doigts d'expert, je suis venu toucher la blonde pour lui donner du plaisir, je savais où toucher pour qu'elle puisse commencer à oublier la tonne de travail qui lui restait à faire, à oublier ses petits soucis du quotidien. Mes lèvres ne pouvaient plus quitter les siennes, elles lui appartenaient, je lui appartenais. Je viens retirer mes doigts de sa partie intime pour venir lui caresser le visage, elle m'ordonna de la prendre, un sourire satisfait s'afficha sur mes lèvres. Je voulais lui faire des choses avec ce que j'aimais faire, mais je n'avais pas mes outils de torture. Je n'avais pas les menottes ou le fameux fouet.. le seul soucis, c'est que je ne pouvais pas utiliser ça sur elle puisqu'elle n'aimait pas la violence. Du moins, c'est ce que j'en ai déduis. Je respecte son choix, je ne voulais pas qu'elle me fuit, qu'elle découvre l'homme qui aimait faire du sm avec ses partenaires sexuelles. Je ne suis pas comme Christian Grey, je me cache un minimum, je sais être respectable avec une femme qui n'aime pas ce genre d'activité.
« Tu m'aimes ? » Une question à laquelle je ne réponds pas. Je ne savais pas si c'est de l'amour où bien juste un désir. Il vaut mieux éviter de faire un sujet de philosophie à une heure comme celle-ci surtout pour mon cerveau, il risquerait d'exploser en morceau. Il est certain que je voulais la demoiselle sexuellement, je désirais celle-ci, mais je ne me suis jamais posé cette question. Certes, je suis attaché à elle, j'avais besoin de son affection qu'elle seule pouvait me donner. Je commence à retirer les vêtements qui lui restaient sur la peau, je voulais qu'elle soit nue pour qu'on commence les festivités. Je n'en pouvais plus d'attendre, et c'est à ce moment précis que j'ai introduit mon membre pour qu'on ne fasse plus qu'un. Je ne parlais pas, je restais muet, seul des soupires d'aises sortaient de ma bouche. J'aimais l'entendre gémir, prendre son pied, c'est ça qui m'excitait. Mes lèvres viennent à nouveau se connecter aux siennes, je voulais lui montrer, lui faire ressentir toutes l'affection que je lui porte.
Je suis simplement venu lui donner à manger, car je voulais faire une pause en révisant ce que je devais apprendre. Apprendre est un grand mot, je suis un génie, je suis capable de retenir les gestes d'une opération chirurgicale en regardant une vidéo. Avec mes doigts d'expert, je suis venu toucher la blonde pour lui donner du plaisir, je savais où toucher pour qu'elle puisse commencer à oublier la tonne de travail qui lui restait à faire, à oublier ses petits soucis du quotidien. Mes lèvres ne pouvaient plus quitter les siennes, elles lui appartenaient, je lui appartenais. Je viens retirer mes doigts de sa partie intime pour venir lui caresser le visage, elle m'ordonna de la prendre, un sourire satisfait s'afficha sur mes lèvres. Je voulais lui faire des choses avec ce que j'aimais faire, mais je n'avais pas mes outils de torture. Je n'avais pas les menottes ou le fameux fouet.. le seul soucis, c'est que je ne pouvais pas utiliser ça sur elle puisqu'elle n'aimait pas la violence. Du moins, c'est ce que j'en ai déduis. Je respecte son choix, je ne voulais pas qu'elle me fuit, qu'elle découvre l'homme qui aimait faire du sm avec ses partenaires sexuelles. Je ne suis pas comme Christian Grey, je me cache un minimum, je sais être respectable avec une femme qui n'aime pas ce genre d'activité.
« Tu m'aimes ? » Une question à laquelle je ne réponds pas. Je ne savais pas si c'est de l'amour où bien juste un désir. Il vaut mieux éviter de faire un sujet de philosophie à une heure comme celle-ci surtout pour mon cerveau, il risquerait d'exploser en morceau. Il est certain que je voulais la demoiselle sexuellement, je désirais celle-ci, mais je ne me suis jamais posé cette question. Certes, je suis attaché à elle, j'avais besoin de son affection qu'elle seule pouvait me donner. Je commence à retirer les vêtements qui lui restaient sur la peau, je voulais qu'elle soit nue pour qu'on commence les festivités. Je n'en pouvais plus d'attendre, et c'est à ce moment précis que j'ai introduit mon membre pour qu'on ne fasse plus qu'un. Je ne parlais pas, je restais muet, seul des soupires d'aises sortaient de ma bouche. J'aimais l'entendre gémir, prendre son pied, c'est ça qui m'excitait. Mes lèvres viennent à nouveau se connecter aux siennes, je voulais lui montrer, lui faire ressentir toutes l'affection que je lui porte.
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Re: [/!\ -18] playboy's diary ♦ keehwi ♥ | Lun 20 Fév - 2:02
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