NOM : Park. PRÉNOM : Jae Sun. ÂGE : 22 ans. ORIGINES : Coréen. NATIONALITÉ : Coréen. CLASSE SOCIALE : Riche, immensément riche. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. CURSUS UNIVERSITAIRE : Sciences et techniques des activités physiques et sportives MÉTIER : Barman à mi-temps. Code du règlement : code ok TU VEUX T'INVESTIR? : Pourquoi pas.  

“ Rumour has it : Il a failli mourir noyé en faisant un concours d’apnée. Depuis, il n'était jamais totalement à l'aise une fois dans l'eau. ✗ Jae a maintes fois menacé son jumeau de le faire interner lors de la dernière année du lycée lorsqu’il mettait sa vie en danger. Aujourd'hui, il lui arrive encore de penser que c'est une bonne idée. ✗ ll se cache derrière un masque de stupidité enfantine afin de pouvoir rendre barge n’importe qui et le pire, c'est que ça marche.✗ Du temps où il était encore très innocent et prude, il voulait devenir curé. Mais pourtant, loin d’être encore pur et chaste, il n’en reste pas moins un jeune Coréen très respectueux de la gente féminine. ✗ Il ne ment jamais, il oubli juste de dire la vérité + agit à l’instinct, il a pas toujours le temps de faire fonctionner le cerveau.✗ Juge vite. Trop vite. Si bien qu’il restera souvent sur une première impression, ne sachant pas toujours pourquoi il n’aime pas les gens. C'est parfois juste... physique.✗ Il a mit le feu à la gazinière la dernière fois qu'il s'est fait à manger...  Depuis, il est entièrement reconnaissant à celui ayant créer les plats prêt en deux minutes au micro-onde.✗ Quand il est était ados, fan de superman, spiderman et compagnie, il s'est fabriqué un costume improvisé et, durant une nuit, a voulu combattre le crime. Premier à ouvrir la bouche avec des slogans tel Great Saiyaman dans Dragon ball Z, il a vite décampé comme un lapin une fois le premier coup de poing prit. Après cette épisode, plus jamais il n'a reparlé de ça

“ Caractère : Bien que Jae Sun n'est jamais montrer un très grand intérêt à quelqu'un d'autre que son frère, il savait se montrer à l'écoute de ce dernier. Peu importe si la vie commençait à les séparer d'une manière ou d'une autre, Kwang Ho pourrait bien appeler son frère à n'importe quelle heure, celui ci débarquerait dans la seconde. Il ne réserve ce genre d'attention qu'aux gens auxquels il tient.

Derrière cet air idiot qu'il se donne parfois se cache un vrai cerveau. Avant même que la personne à qui il a à faire ne réalise sa supercherie, le véritable idiot ne se révèle plus être lui. Il faut croire qu'être manipulateur fait partie des gênes des Park.

S'il y a bien quelque chose qui le rend irritant, c'est son obsession pour que tout soit en ordre. Maniaque, il ne supporte d'ailleurs que très peu recevoir de la visite chez lui, car il a très souvent l'impression qu'on envahit son espace personnel, autrement dit le peu de chose sur lequel il a un contrôle parfait. Cependant, il n'a pas toujours été ainsi. Enfant, il était même plutôt connu pour être totalement bordélique.

La personne la mieux qualifier pour contenir les excès de Kwang Ho ? C'était bel et bien Jae Sun. Au cours de sa vie, il s'était certainement montré plus autoritaire avec son frère que ses parents ne l'avaient jamais été. C'était son devoir. Cette autorité, il avait fini par l'appliquer avec tout le monde. Même s'il n'avait pas son mot à dire à l'armée, en dehors, c'était tout autre chose.

Malgré le jeune homme qu'il est devenu, le petit garçon qu'il était réside encore en lui. Il a besoin d'attention, et ne supporte pas passer au second plan. Un vrai capricieux.  

“ Once upon a time :

Comment tout a commencé...
Un premier mai, une femme au nom de Park donna naissance à deux magnifiques bébés, des jumeaux. Malgré la dureté qu'avait été l'accouchement, il ne s'ensuivit aucune complication : tous les deux se révélaient être en très bonne santé. En plus de cela, ils ne causèrent pas de grands soucis à leur parent. Du moins, dans un premier temps. Comme chaque gosse, Kwang Ho et Jae Sun faisaient parfois des bêtises, parfois peut-être un peu trop. Heureusement que le plus jeune était là pour freiner les bêtises du plus grand des deux frères -oui, le plus jeune, Jae Sun. S'il y en avait bien un plus mature que l'autre, c'était bien le cadet. Toutefois, il ne l'était pas suffisamment pour refuser de participer à un concours d’apnée, jusqu'à se mettre en danger et frôler la noyade... En soit, les deux frères se ressemblaient énormément, ne se souciaent que très peu du monde qui les entourait, tant qu'ils étaient tous les deux. Ils s'étaient fait une promesse : ne jamais se quitter, quoi qu'il arrive. Jae Sun était prêt à faire semblant d'être celui qui avait besoin d'être protéger si cela permettait à Kwang Ho de rester toujours auprès de lui. Il était convaincu que les choses allaient toujours rester ainsi, qu'ils aillaient toujours vivre ensemble, qu'ils affronteraient tout ensemble. Le meilleur, comme le pire. Le pire...

Comment tout a dérapé...
Il y avait eu cet accident, alors qu'ils n'étaient qu'âgé de 12 ans. Aucun enfant de cet âge ne devrait avoir à vivre ça, voir ses parents... mourir. Pourtant, cela avait été le cas. Jae Sun n'avait pas été là, mais son frère si, et c'était comme s'il fût lui aussi dans la voiture. Comme s'il avait lui aussi griller le feu. Comme s'il avait vu ce piéton, ce motard avec l'esprit ailleurs. Comme s'il avait vécu ce brusque trou noir. Sauf que toutes les blessures que lui avait provoqué cet accident, elles, ne pouvaient être soigner. La seule force qui lui restait, il la dédiait à son frère, à son Kwang Ho, sur lequel il pleurait inlassablement tandis que les machines autour de lui le maintenait en vie. C'était ce qu'on lui avait dit : tant que ses machines seraient là, tout irait bien. Mais il n'était pas complètement stupide, plus les jours passaient, et plus il avait l'impression que quelque chose mourrait en lui. Plus il se sentait seul. [...] Les choses étaient finalement revenu à la normal. Du moins, en  apparence. Kwang Ho était sorti de l'hôpital, cela impliquait qu'il allait bien. Ce fut leur grand-père qui s'occupa d'eux. Ce grand-père dont ils ne savaient rien. Malgré son jeune âge, Jae Sun s'en méfiait. Il le trouvait louche, ayant la sensation qu'il créait un fossé entre lui et son frère. Ce n'était que des doutes, mais il ne pouvait s'empêcher d'avoir un très mauvais pressentiment. Son grand-père était à présent sa seule famille, alors pouvait-il se permettre de douter de ses réelles intentions ? Cette question lui trotta à l'esprit pendant des années. Restant sans réponse, son responsable légal avait fini par l'envoyer en France, auprès d'autres membres de la famille. Il s'était plié aux ordres, car il avait bien compris que c'était comme cela que les choses fonctionnaient avec son grand père. Leur famille n'avait plus rien de celle aimante qu'elle était autrefois. Papa et maman n'étaient plus là. Son frère n'allait pas, et lui non plus, il se sentait impuissant face à tout ce qui se passait, face à cet accident et tous les séquelles qu'il avait engendré.

Comment tout est parti en cacahuète...
Il ne lui restait plus que l'armée ; c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour se sentir "utile". N'était-ce pas une façon inconsciente de se laisser mourir ? Ou alors la culpabilité l'avait mené à s'engager après son service militaire ? Il l'ignorait. Tout ce qu'il savait, c'était que tout avait changé, et qu'il détestait ça. Lorsqu'il avait du temps, pendant ses permissions, il revenait au côté de son frère jumeau. Il avait tout d'abord penser que quelque chose avait changé, que les activités de son frère étaient malsaines et qu'il se devait de le raisonner. Mais peu importe s'il restait à la tête de ce gang ou non, Kwang Ho avait changé.
L'armée n'avait rapidement plus été suffisante. Il n'avait plus cette sensation d'agir pour le bien. Il ne voyait plus que les morts, l'horreur, la torture psychologique qu'offrait un champ de bataille. Une fois de plus, toutes les personnes autour de lui finissaient par mourir sans qu'il ne puisse rien y faire. Ce fut cette mission, en Syrie, qui lui fit ouvrir les yeux. Il était parti accompagné. Il était rentré seul.
Jae Sun avait fini par rejoindre son frère. Cette fois ci, définitivement. Il faisait à présent parti de ceux qu'on qualifiait de "déserteur" mais il s'en fichait. Sa place était ici, en Corée. Son frère avait besoin de lui, autant qu'il en avait besoin.