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u don't have to sell your body to the night ft. lin yao

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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Ven 20 Mai - 21:37
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u don't have to sell your body to the nightGabriel ne la connaissait pas tant que cela, mais pourtant il était persuadé du bon qu’il y a en elle. Il en était certain. Certaines choses trahissent les mauvaises personnes : des actes, des mimiques, cette lueur sombre dans le fond du regard. Elle n’a pas ça, elle. Derrière sa beauté on y distingue la tristesse, la détresse mais pas le mauvais. On y voit, on y ressent le bon. Elle semble si innocente, si douce et attachante et malgré ses actions et dépendance qui pourrait écarter ces pensées, elle l’est véritablement. Il n’y a qu’à voir les raisons de tous ces égards. L’amour. Elle se sacrifie par amour, pour un homme mauvais à son sens certes, mais pour le « bonheur » de quelqu’un. Gabriel ne peut pas comprendre, étant encore blanc dans ses sentiments amoureux, mais il essaye. C’est difficile de comprendre tous ces sacrifices, ce besoin de rester malgré tout le mal, juste pour un peu de joie, si peu de joie. Lin Yao lui a fait se rendre compte que l’amour est indéniablement lié à la folie. On devient fou d’amour. Fou lorsque l’on ne reçoit plus d’attention, fou puisque prêt à tout pour en recevoir, fou de jalousie ou fou de colère. Cette demoiselle n’est pas mauvaise, elle est juste folle, et c’est exactement à ce moment là que Gabriel a commencé à prier pour ne jamais l’être, ne jamais tomber amoureux.

Le jeune homme passe sa main dans ses cheveux instinctivement pour la réconforter. La réconforter de sa vie pour l’instant minable mais qui s’améliorera. Cela semble fonctionner, ou alors est-ce la drogue qu’elle a avalé qui fait finalement effet ? Quoi qu’il en soit elle semble aller un peu mieux émotionnellement, de manière éphémère sûrement, mais mieux. Alors il continue, tellement que ce contact finit par lui faire du bien, à l’apaiser, lui aussi. Il s’apprêtait à passer la soirée à répéter ce geste, jusqu’à ce qu’elle s’endorme voire bien plus encore mais la brune en décidait autrement. Sans qu’il s’y attende une seule seconde, elle passait ses jambes autour de lui, s’installant littéralement sur lui et attrapant son visage en coupe. Il fut très surpris. Aurait-elle oubliée qu’elle n’était pas obligée ? Ses paroles venaient alors le contredire. Mais pouvait-il, lui la rendre heureuse ? Elle avait vraisemblablement besoin d’affection, qu’on fasse attention à elle pour elle, et non pas pour celle pourrait rapporter directement ou indirectement. Gabriel déposait ses mains dans son dos et laissait ses doigts glisser doucement sur ses hanches. Il se sentait plutôt déstabilisé par ce qu’elle lui demandait, par ce regard rempli d’espoir qu’elle lui lançait et par la beauté brûlante qu’elle affichait. Il levait alors une main à son visage qu’il venait caresser, doucement mais sûrement, toujours physiquement confiant. « Qu’est ce qui pourrait te rendre le plus heureuse, là, maintenant, tout de suite. De quoi as-tu le plus envie? Dit le moi et je l’exaucerai. » Articulait-il doucement.
  
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Lun 6 Juin - 15:46
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u don't have to sell your body to the night Sans doute avais-je un peu de mal à redescendre avec ce que j’avais ingurgité juste avant de venir, sans avoir espère tomber sur Gaby. Si j’étais certaine que mon ange gardien serait là, je ne me serais pas donner tant de mal, je me serais contenter de passer la nuit à ses côtés et d’attendre le petit matin, comme nous l’avion toujours fait. On ne connaissait que très peu de choses de l’un l’autre au fond, on ne se voyait pas en dehors de cet établissement, et pourtant, je me sentais plus proche de lui, que je ne l’avais vraiment été de mon petit ami. Et sans vraiment savoir pourquoi, une confiance s’était installé entre nous, et je lui avais déballé mes plus grands secrets sans aucune honte. Je n’étais pourtant pas une pipelette plaintive, j’avais juste besoin de parler. Et il était ce qui se rapprochait du plus d’un ami, dans le moment présent. Je me sentais en sécurité entre ses bras, me laissant bercer par la main qu’il passait dans mes cheveux dans un geste réconfortant. Il m’apaisait d’une certaine manière, faisant s’envoler mes mauvais souvenirs le temps d’un instant. Il était le premier homme depuis longtemps à faire attention à moi sans rien demander en retour, c’était ce dont ma fierté de femme avait besoin. Je n’avais rien d’un objet, même si parfois l’homme de ma vie avait tendance à l’oublier. J’étais aussi une femme, et je manquais cruellement d’affection, ne serait-ce qu’un peu d’affection. Était-ce trop demandé ? Gabriel, lui, il avait l’air de l’avoir compris. Et même si c’était à sa façon, maladroit et brusque, c’était déjà beaucoup. Il avait piqué ma curiosité au vif, parlant de bonheur comme si il en connaissait la clef de la réussite. Et je voulais qu’il m’apprenne, qu’il me montre. Me faisant plus entreprenante et plus enthousiaste, je pris place sur ses genoux pour avoir toute son attention. Je frémis imperceptiblement en sentant ses mains descendre dans mon dos et suivre les courbes de mes hanches. Je posais ma joue dans sa main, fermant les yeux, profitant de sa chaleur enveloppante telle une couverture protectrice. Je rouvris les yeux à ses mots si plein d’espoir. « Vraiment ? » articulais-je un peu surpris, papillonnant des cils avant de reprendre. « Serais-tu mon génie sortit de la lampe magique pour exaucer mes souhaits le temps d’une nuit ? » je souris d’une manière un peu enfantine, une lueur malicieuse dans le regard. « Vraiment tout ? » Je me redressais, venant déposer un baiser sur sa joue, laissant une marque de rouge à lèvre, avant de venir murmurer à son oreille. « La toute de suite, j’aimerais un homme qui ne voit que moi avec le désir de me rendre heureuse pour moi, et non pour une chose que je lui devrais. » Oui, juste un homme qui puisse m’aimer pour qui je suis vraiment. Juste une fois.  © 2981 12289 0
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Dim 12 Juin - 21:49
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u don't have to sell your body to the nightGabriel haussait un sourcil surprise face à sa comparaison de génie sortit de la lampe à laquelle il avait été comparé. Vraiment ? Il était assimilé à ça, à ce moment là ? Mais ce détail bien surprenant l’importait peu puisqu’un sourire se dessinait sur ses lèvres très vite suivi d’un rire léger. Il ne lui connaissait pas cette facette enfantine et douce et à vrai dire, il n’en aurait jamais douté. C’était mignon. Il gardait son visage dans sa main avant de lui confirmer à nouveau ses propos. « Oui tout. Vraiment tout. » Il souriait à nouveau de toute ses dents alors qu’elle l’embrassait sur la joue. C’était sûrement l’un des seuls contact physique auquel il avait eu le droit jusqu’à présent. Cela était étrange et plaisant. Elle semblait lui faire confiance, plus que jamais, presque au point de le suivre au bout du monde tant à ce moment là ils semblaient liés.

Un long frisson le parcourut lorsqu’elle glissait ces mots à ses lèvres. Ses poils s’hérissaient sur le passage de son souffle chaud. Sa main glissait de sa joue sur tout le long de son bras en une caresse agréable. Gabriel comprenait ici qu’elle désirait un homme qui fasse attention à elle, qui ne la voit pas comme un objet quelconque ou d’une poupée gonflable avec laquelle il fait son affaire dans le but de son unique plaisir. Il comprenait qu’elle voulait être traitée comme une femme à part entière et être traitée comme sera traitée toutes celles accompagnées de quelqu’un de censée. L’australien comprenait qu’elle voulait être traitée différemment que comme le fait son petit ami et de la manière dont Gabriel lui parlait. Elle semblait vouloir une vie différente, pour le temps d’un instant. Ses yeux se levaient sur son visage qu’il venait à s’amuser à détailler. Elle était belle, des traits fins et distingués. Elle était surplombante par sa beauté innocente. «  Tu es magnifique. » Lâchait-il spontanément, sans se rendre compte une seule seconde que ses mots avaient fuie de ses lèvres. Il attrapait une de ses mains qu’il vint déposer de par lui-même derrière sa nuque afin qu’elle soit plus proche encore de son visage. Puis ses mains vinrent se loger à nouveau sur ses hanches frêles. Elle semblait si douce, si fragile, si précieuse qu’il en avait presque peur de la casser. Il craignait également de la brusquée, de lui faire peur et qu'elle prenne la fuite telle une cendrillon des temps modernes.

  
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Lun 18 Juil - 1:44
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Gabriel ne connaissait de moi que ce que j’avais bien voulu qu’il voie. Ce que tout le monde pouvait voir à vrai dire. La Lin qui avait pris le dessus pour savoir surmonter tout ce qu’on lui demandait. Celle qui encaissait avec le sourire sans broncher. Lin, la battante. Lin, la défoncée. Mais qui connaissait Lin, la douce et l’enfantine ? Personne. Elle restait caché, enfuit bien profondément, tremblant de peur face à la réalité trop dure pour elle. Et pourtant, quand l’occasion se présente, quand elle est en totalement confiance, elle pointe le bout de son nez, réclamant un peu de tendresse dont elle rêve tant. Et à cet instant, Gaby pouvait lui offrir. Il lui en faisant dont en étant son génie de la lampe pour un soir. Juste un soir. Juste une fois. Innocente. Comme retombé en adolescence qu’elle n’avait jamais eu comme les autres, elle papillonnait des yeux face à ce compliment qui paraissait si sincère, si franc. Un léger rouge vint peindre la peau de ses joues si délicate. Elle n’avait pas l’habitude. Le plus souvent, elle avait le droit à « T’es bonne, on bz ? », « Hey Bombasse, tu me suces ? » aucune Homme jusqu’à présent l’avait traité avec décence. Même sa première fois n’avait rien eu de magique. Un coup vite fait bien fait sur une banquette arrière d’une voiture à l’arrêt. Elle avait été déçu, elle qui s’attendait à un moment de pure extase d’après tout ce qu’on en racontait. Elle n’avait osé rien dire, se contentant de sourire timidement à ce jeune homme titubant de fierté. Quand mon ange plaçait mes mains autour de son propre cou, je le laissais faire, l’observant avec curiosité. Ses doigts sur mes hanches, j’étais plus proche de lui dans cette position que jamais. Nos lèvres se touchaient presque. Je sentais son souffle chaud se mêler au mien, et ca me donnait un frisson que parcouru tous mon corps. Je baissais les yeux vers sa bouche où l’envie de m’en saisir me tiraillait soudain le ventre. Je restais quelques secondes à la fixer, mordant ma lèvre inférieure. J’en avais envie, et pourtant, je n’osais y gouter. Et sans le regarder, sans quitter ses lèvres ses yeux, je murmurais. « Ce que j’aimerais, c’est pouvoir revivre ma première fois. Qu’elle soit magique, délicieuse et douce. Un moment comme dans les films où tout est tellement parfait qu’on a pas envie que ca s’arrête. »

 
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Ven 22 Juil - 23:05
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u don't have to sell your body to the nightLin est une poupée. Elle est belle, innocente et douce. Elle est une poupée tombée entre de mauvaises mains. Des mains maigries par la drogue, le désespoir et le noir d’une vie ratée. Elle ne sait pas où aller, ce qu’elle doit faire, ni comment agir. Alors elle fait n’importe quoi du moment qu’on lui que c’est bien, que la vie va ainsi, tel un pantin maladroitement animé. Elle lui donne le sentiment d’être perdue, sentiment que Gabriel a la chance de n’avoir jamais encore connu, vivant dans un environnement bien trop doré. Si il vient à se perdre, c’est dans des draps en soie tandis que les choses sont bien plus compliquées pour elle.

Lorsqu’il lui demande ce qu’elle veut, la jeune femme lui parle de sa première fois. Qu’elle voudrait la vivre, qu’elle soit merveilleuse, parfaite, et tout le champ lexical qui va avec. A ce moment là, Gabriel se demande si elle veut la revivre parce qu’elle a été un des moments merveilleux de sa vie ou alors parce qu’elle voudrait la revivre afin de gommer un moment plus désastreux. En réalité, Lin est remplie de tant de mystère qu’il lui faudrait bien plus d’une nuit pour venir à bout de toutes ces zones d’ombres. « Tu es sûre ? » Lui faire revivre sa première fois viendrait à coucher avec elle évidemment, choses qu’ils n’avaient jamais eu à faire jusqu’alors bien qu’il la paie pour cela. Il ne voulait pas qu’elle se sente forcée ou que ses paroles soient jetées ainsi sans qu’elle y réfléchisse. Mais lorsque Gabriel pose son regard dans le sien, elle semble le vouloir, tellement. Alors il s’avance légèrement et doucement, effaçant la faible distance qui séparait leurs lèvres. Celles-ci se frôlant, il eut un léger temps d’arrêt, comme pour s’assurer qu’elle le voulait réellement. Puis il venait à les embrasser doucement, tendrement, comme si il avait peur qu’elle ne se brise. Il attendit quelques secondes avant de recommencer, mais cette fois ci en la serrant un peu plus intensément contre lui. Ses mains venaient alors à monter dans son dos dans une caresse tendre. Il ne voulait pas la brusquer, il était plus doux qu’il ne l’était par habitude. Il ne voulait pas lui faire du mal. Il voulait réaliser tout ses désirs, son rêve.


  
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Dim 2 Oct - 20:34
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u don't have to sell your body to the night Ma vie n’était pas celle qu’elle aurait du être. J’étais destiné à une carrière de mannequin. Une vie emplie de luxure et d’envie. Mais j’avais choisi l’amour à mon avenir, scellant mon destin. Ca paraissait anodin. Un premier amour. L’amour en folie. Un amour destructeur et qui ravageait tout sur son passage. J’avais conscience que ce n’était pas normal, qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. L’amour rend aveugle. J’étais éperdument amoureuse de cet homme qui me rendait la vie difficile, et si belle à la fois. Je vivais pour ces petits moments de bonheur qu’il me donnait. Je me battais pour voir son cœur sourire.

Je souriais entre les bras de Gabriel, heureuse d’avoir l’attention d’un prince charmant que je n’avais jamais eu. Le temps d’une nuit, j’avais le droit de me prendre pour une princesse avant de retourner à ma vie de Cendrillon la boniche. Je hochais la tête, relevant mon regard désireux vers lui. « Oui, je suis certaine. » eu-je le temps de murmurer avant que ses lèvres frôlèrent les miennes, les capturant pour une danse effrénée me donnant des frissons me parcourant tout le corps avant de remonter le long de mon échine. C’était la première fois que je ressentais cette sensation, qu’on prenait le temps de découvrir la douceur de mes lèvres avec précision. Les baisers rapides et dévorants étaient mon quotidien, mais le jeune homme venait faire tout chambouler en me faisant découvrir de nouvelles sensations. Je fermais les yeux pour décupler ce qu’il m’offrait, pour en savourer chaque seconde. Mes doigts se refermèrent sur son haut, chiffonnant de plis le tissu. Je m’agrippais à lui comme à un ange que je ne voulais plus laisser partir juste après m’avoir fait découvrir un coin de paradis. Je le gardais égoïstement contre moi, écrasant ma poitrine sur son torse pour le gouter un peu plus. Quand nous nous séparèrent, j’avais le souffle court. Les yeux grands ouverts était voilé par le désir qu’il avait éveillé en moi. « C’était… grisant… » Murmurais-je, ne cessant de le fixer. Mes mains l’avaient lâché pour attraper les siennes que je guidais sur mon propre corps, comme une autorisation que je lui donnais de partir à la découverte de ces terres encore inconnues. Au niveau de ma taille, j’abandonnais ses mains pour me redresser et me relever face à lui. Sans le quitter des yeux, de manière sensuelles, je viens faire glisser la tirette qui retenait ma robe trop courte pour moi. Je la descendis jusqu’en dessous, et le bout de tissu tomba sur le sol, dévoila mes sous-vêtements en dentelles qui m’étaient mes formes à la peau nacré couvert de tatouages en valeur.
 
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Mer 12 Oct - 14:38
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u don't have to sell your body to the nightCe n’était pas un sacrifice de lui offrir ce qu’elle voulait, bien au contraire. Lin est particulièrement délicieuse, magnifique, sublime, tout à fait son genre. Et si jusqu’alors il n’avait osé la toucher, c’est pour la seule raison qu’elle ne faisait pas ce genre d’activité par « plaisir ». Il voulait lui éviter tout cela, la protéger, la laisser se reposer. Même si le fait de se prostituer n’a rien de péjoratif pour Gabriel qui a grandit dans ce milieu depuis toujours et qu’il voit cette activité plutôt comme un tremplin pour rebondir, il estime que personne n’a à se vendre contre son gré surtout une jeune femme de cet âge. Il n’a jamais voulu l’inciter à se forcer, sûrement à cause de leur âge quasi-similaire. Bien souvent pour ne pas dire à chaque fois, il tentait de la dissuader de revenir mais à chaque fois, elle pointait à nouveau le bout de son nez.

Ce soir était différent. Il ne saurait dire si ce désir soudain venait de sa propre personne ou des substances qu’elle eut assimilées mais elle semblait vouloir une autre tournure de cette entrevue. Il avait longtemps douté, lui avait demandé plusieurs fois si c’est ce qu’elle voulait réellement et sa réponse était sans appel. Que devait-il faire ? Il est si difficile de résister à une femme telle que Lin. Alors pour s’assurer de ses désirs, il l’avait embrassé doucement, d’abord un peu hésitant avant de faire preuve d’assurance, ce qu’il fait preuve par habitude, en comprenant qu’elle ne finirait pas par le repousser. Il sentait sa main s’agripper à son haut tandis que ses mains glissaient dans son dos. Au bout de quelques minutes ils se séparaient. Un léger sourire glissait sur ses lèvres à ses mots et face à son regard qui le fixait. Il la laissait guider ses mains sur son corps aisément, craignant encore un peu de devenir beaucoup trop entreprenant pour elle. Il la regardait se redresser doucement, féline, sensuelle pour laisser tomber doucement sa robe à ses pieds. Son regard glissait sur son corps à moitié dénudé absolument parfait. Elle était parfaite. Sans la quitter du regard il se levait à tour. Doucement, ses mains venaient se déposer sur ses hanches tandis que ses lèvres chutaient à nouveau sur les siennes. Il laissait ensuite glisser ses baisers jusque dans son cou, entre prenant à son tour de positionner les mains de la jeune femme sur son haut pour qu’elle puisse entreprendre de le lui ôter.


  
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Ven 14 Oct - 2:59
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u don't have to sell your body to the night Gabriel avait cette petite chose qui faisait qu’il pouvait transformer n’importe quel moment en un instant doux en tendresse mélangé à un brin de passion qui donnait une savoureuse fusion d’émotions. Sans doute ce qui m’avait poussée à me débarrasser de cette robe qui me gênait subitement. Je voulais qu’il me fasse découvrir cette chose dont on m’avait privé, si importante dans la vie d’une jeune femme. Un cadeau merveilleux emplis de plaisir et d’envie, mais aussi d’amour et de douceur. Je ne voulais pas d’un moment parfait. Je voulais juste qu’il soit spécial, inoubliable, avec ses travers et ses maladresses, mais juste un moment à nous. Ses baisers étaient telle une drogue enivrante vous portant jusqu’au firmament. Je lui répondais avec la même lenteur, la même passion. Je me sentais revivre entre ses bras, me sentais à nouveau femme contre ses lèvres. Je me pressais contre lui alors qu’il me maniait avec précaution comme une poupée de porcelaine qui pouvait se briser à n’importe quel moment. J’avais pris l’initiative de le guider, mais il prenait à présent ses propres aises, le laissant guider la danse. Je frémis sous ses caresses électrisantes. La drogue que j’avais ingurgitée avait encore quelque effet, mais plus assez. J’étais en quasi-totalité maitre de mes pensées et de mon corps. Et je ne regrettais pas une seule seconde la décision que je venais de prendre. Mes bras vinrent s’enrouler naturellement autour de son cou, mon pouce frôlant sa peau au rythme de nos cœurs battants. « Gabriel » murmurais-je alors que je venais embrasser ses pommettes, puis son nez, descendant vers son menton, le couvrant d’une multitude de petits baisers. « Fais-moi découvrir ce que je ne connais pas. » C’était certain, ce soir, un ange veillait sur moi.
 
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Ven 18 Nov - 1:10
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u don't have to sell your body to the nightBien qu’il lui ait longtemps reposé la question, le jeune homme ne se faisait pas prier. Seulement il voulait s’assurer qu’elle ne se forçait pas, n’étant pas encore sous l’emprise d’il ne sait qu’elle drogue ou qu’elle ne se sente nullement obligé. Cependant dès qu’il fut rassuré, il se décidait à passer à l’action. Pour le coup, Gabriel ne voulait pas s’avérer trop rentre dedans ou peut-être, trop passionnel au point d’en devenir brutal. Il voulait faire les choses bien comme pour que ce souvenir lui reste en tête et qu’elle l’associe à ce que c’est d’être vraiment aimé.

Ses mains parcourant son corps sans pour autant s’imposer dans les parties cruciales, ses baisers glissaient dans cou, papillonnant un peu doucement sur son épaule. Il relève la tête lorsqu’elle passe ses bras blancs autour de son cou. Recevant une symphonie de baiser sur son visage, il baissait les yeux vers elle en laissant un léger rictus se dessiner sur ses lèvres. « Tout ce que tu voudras. » Il la regarde peut-être une micro seconde avant de rattraper ses lèvres. Ses mains descendent doucement jusqu’à ses fesses où il s’arrêtait un instant. Puis il s’abaissait doucement afin d’atteindre ses cuisses qu’il tirait vers lui pour la porter. L’incitant à enroulant ses jambes autour de sa taille pour davantage de confort, une de ses mains libre glissait dans son doux pendant que ses baisers descendaient jusqu’à sa poitrine. A l’aveugle, il se dirigeait vers le lit sur lequel il venait la poser délicatement. Il enjambait à son tour le lit, doucement mais confiant. Il ne se présentait cependant pas à sa hauteur. Toujours avec la même douceur, il venait ôter son soutien-gorge en lui jetant un léger coup d’œil. Sa poitrine maintenant à nue, il venait l’embrasser.



  
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | Dim 25 Déc - 22:50
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u don't have to sell your body to the night Gabriel avait cette patience que je n’avais jamais connue chez un homme auparavant. Il prenait le temps de bien faire les choses, d’une main experte et avec minutie. Il savait ce qu’il devait faire pour que tout soit parfait. Je m’abandonnais au creux de ces bras, alors qu’il s’affairait à me faire revivre ma première fois pour qu’elle soit digne du statut qu’elle devait avoir, merveilleuse comme toutes les jeunes femmes qui devaient connaitre cette expérience pour la première fois. une chose qui m’avait été enlevé. Une chose dont on m’avait privé, et où je pensais que la violence avait sa place. Douceur et tendresse était ce que m’offrait Gabriel tel l’ange dont il portait le prénom. Un brin décontenancée, je ne savais si c’était normal ou non. Une nouvelle manière de faire l’amour, et non juste l’acte de baiser son partenaire entre deux envies de luxure. Je le laissais me porter jusqu’au lit, enroulant mes jambes autour de sa taille que je collais contre mon bassin pour sentir son entrejambe déjà bien grossi, preuve que je ne le laissai pas si indiffèrent. Je goutais encore ses lèvres sans vraiment oser en prendre pleinement possession, comme si elles ne m’appartenaient pas vraiment. Je me séparais de lui presque à contre cœur, mais le jeu en valait la chandelle. Je déposais mes bras délicatement le long de mon corps, allongé sur le lit, alors qu’il retirait le bout de tissus qui couvrait ma poitrine. Quand elle fut libérer, j’étais à sa totale merci, je l’observais un instant avant de gémir alors qu’il venait titiller mes deux trésors. Mes mains glissèrent à nouveau dans son dos que je venais caresser et griffer lentement, alors que je déposais un collier de baisers dans son cou. Apres cet échange intime, je le repoussais en arrière, juste de quoi me laisser la place pour me redresser en position assise face à lui, quelques centimètres à peine séparant nos bouches. Un sourire étira mes lèvres avant que mes doigts ne viennent jouer avec la dentelle de ma culotte et que je n’entreprenne de la retirer. Je la glissais lentement le long de mes cuisses, l’abandonnant sur mes chevilles. J’attrapais ensuite le visage du jeune homme que je découvrais à nouveau avec le sens du toucher avant d’embrasser d’une passion nouvelle. « Je suis toute à toi à présent. » comme si il devait encore ma permission pour faire de moi ce qu’il voulait le temps d’une nuit.
 
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Re: u don't have to sell your body to the night ft. lin yao | 
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