Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
no yoshi
Invité
Invité
no yoshi | Jeu 21 Jan - 15:55 Citer EditerSupprimer yoshi no
la bise de naples
cupidon stupide con t'as fait sauté mes plombs
#ERUDIT | #MANIPULATEUR | #INVULNERABLE | #EGOCENTRIQUE | #CONFIANT |
#CHARMANT | #MALHONNÊTE | #ANTIPATHIQUE | #NARCISSIQUE | #JOUEUR |
NOM : no, ses parents adoptifs ont tenu à lui faire porter le nom de la famille. PRÉNOM : yoshi, c'est bien la seule constante dans sa vie depuis sa naissance. de confession juive, il possède également un prénom lié : jakob. (les petits cons qui rigolent au fond de la salle, on va les en-cu-ler. faîtes gaffe à vos petites fesses.) ÂGE : vingt-six, bientôt vingt-sept le 17 avril. ORIGINES : coréenne. NATIONALITÉ : japonaise. CLASSE SOCIALE : askip faut toucher le bas pour pouvoir remonter, bah le bas il l'a déjà bien raclé, donc il ne peut que remonter. ORIENTATION SEXUELLE : a tout testé et préfère largement le minou au zob, mais comme on dit, il ne faut pas mourir stupide. CURSUS UNIVERSITAIRE : tss. MÉTIER : le psychiatre dérangé de l'école. Code du règlement : Code ok
“ Rumour has it : seules les filles mignonnes seraient acceptées dans son bureau + sa petite-amie serait une élève + aurait une collection infinie de petites culottes et de boxers d'élèves qu'il revendrait à très bon prix aux petits boloss de l'école + aurait eu son diplôme dans un paquet de céréales + aurait sauté pas mal de classes + aurait lâché sa larme devant la représentation du lac des cygnes + aurait été accusé de détournement de mineur, et pas qu'une fois + ses caté fav sur xhamster seraient bdsm & milf + ses ex-copines le catégorisent comme un sociopathe, d'autres comme un narcissique, m'enfin la limite est proche + aurait déjà frappé un élève
“ Rumour has it : seules les filles mignonnes seraient acceptées dans son bureau + sa petite-amie serait une élève + aurait une collection infinie de petites culottes et de boxers d'élèves qu'il revendrait à très bon prix aux petits boloss de l'école + aurait eu son diplôme dans un paquet de céréales + aurait sauté pas mal de classes + aurait lâché sa larme devant la représentation du lac des cygnes + aurait été accusé de détournement de mineur, et pas qu'une fois + ses caté fav sur xhamster seraient bdsm & milf + ses ex-copines le catégorisent comme un sociopathe, d'autres comme un narcissique, m'enfin la limite est proche + aurait déjà frappé un élève
“ Caractère : il est joueur, fantasque, né sous la bonne étoile. il a eu la vie plutôt facile, il a donc été une plaie pour ses parents, geignard, fainéant, casse-couille. Il écoutait la musique à cent de volume tous les matins, emmerdant son père, sa mère, ses voisins, les oiseaux et le putain de chien du bas. Ils lui obéissaient tous, au doigt, à l'oeil, au téton. fascinés par son intelligence, admiratif de ses connaissances, rêvant de sa beauté. Tous se surprenaient à haïr de ne pas être comme lui, de ne pas avoir sa confiance, son charme, son érudition. Il récitait shakespeare, apollinaire, sartre ; jouait tchaikovsky, bach et schubert ; peignait magritte, courbet, poussin. Il manipulait, il n'a par ailleurs jamais quémandé de sa vie, n'a jamais supplié de son regard, posé ses genoux tout mous sur le sol en insistant.
Yoshi est un alpha maintenant, il choisit, contrôle, gouverne, mène. Jamais il ne sera soumis, vulnérable ou même entraîné par quelqu'autre personne. Il est malsain, malhonnête, peut-être malheureux. Il est l'antéchrist dans sa plus grande splendeur. Antipathique, incapable de ressentir la moindre once de compassion. L'attention est feinte, l'amour est inexistant. La violence et la haine sont pourtant réelles. Il cogne, frappe, griffe, hurle s'il perd le contrôle, pourtant il le met constamment en jeu. Il apprécie le jeu, d'argent, de personne, de vent, celui où ta vie est en péril et celui qui te le sauve. Le danger lui file la mi-molle, ça l'excite, l'exalte, il ne peut plus tenir en place rien qu'à cette idée. Pourtant il n'est pas expressif, loin d'être renfermé ou secret, il choisit tout bonnement ce qu'il a à montrer et ce qui n'en vaut pas la peine pour sa conquête. Yoshi contrôle sa conquête, sa vie, son entourage ; charme la jeune demoiselle, la retraitée qui habite en face de chez lui, le serveur du yakuza bar et le directeur de son école. Son plaisir est crucial, son plaisir est admiré. Son entourage l'aime, mais il l'effraie. Lui il s'aime, il aime son talent, son habilité à les contrôler, son narcissisme, ses idées, sa haine. Il se surprend pourtant à rêver d'encore plus grand, d'encore plus puissant, beau, idéal. Il rêve d'un jardin d'Eden qui porterait son nom, d'une trilogie de Tolkien relatant ses histoires, d'une série dirigée par Kubrick à son effigie. Son arrogance est antipathique, sa jalousie se sait inexistante car orientée vers elle-même, sa défaite est une victoire dissimulée derrière un sourire. Yoshi s'aime plus que de raison.
Yoshi est un alpha maintenant, il choisit, contrôle, gouverne, mène. Jamais il ne sera soumis, vulnérable ou même entraîné par quelqu'autre personne. Il est malsain, malhonnête, peut-être malheureux. Il est l'antéchrist dans sa plus grande splendeur. Antipathique, incapable de ressentir la moindre once de compassion. L'attention est feinte, l'amour est inexistant. La violence et la haine sont pourtant réelles. Il cogne, frappe, griffe, hurle s'il perd le contrôle, pourtant il le met constamment en jeu. Il apprécie le jeu, d'argent, de personne, de vent, celui où ta vie est en péril et celui qui te le sauve. Le danger lui file la mi-molle, ça l'excite, l'exalte, il ne peut plus tenir en place rien qu'à cette idée. Pourtant il n'est pas expressif, loin d'être renfermé ou secret, il choisit tout bonnement ce qu'il a à montrer et ce qui n'en vaut pas la peine pour sa conquête. Yoshi contrôle sa conquête, sa vie, son entourage ; charme la jeune demoiselle, la retraitée qui habite en face de chez lui, le serveur du yakuza bar et le directeur de son école. Son plaisir est crucial, son plaisir est admiré. Son entourage l'aime, mais il l'effraie. Lui il s'aime, il aime son talent, son habilité à les contrôler, son narcissisme, ses idées, sa haine. Il se surprend pourtant à rêver d'encore plus grand, d'encore plus puissant, beau, idéal. Il rêve d'un jardin d'Eden qui porterait son nom, d'une trilogie de Tolkien relatant ses histoires, d'une série dirigée par Kubrick à son effigie. Son arrogance est antipathique, sa jalousie se sait inexistante car orientée vers elle-même, sa défaite est une victoire dissimulée derrière un sourire. Yoshi s'aime plus que de raison.
“ Once upon a time :
La lumière. « Eteignez-la lumière » murmura-t-il alors. « Baissez-là, putain ». Des sueurs froides accompagnèrent ses paroles, des tremblements qui le firent presque sursauter. Ses genoux se collèrent alors immédiatement à son torse. Il sentit un liquide chaud, une certaine moiteur contre celui-ci. Il ouvra alors les yeux et il pleura.
Aucun souvenir de son premier bobo. Du jour où on lui a enlevé ses petites roues arrières. De son premier jour d'école. Ou encore de sa première amoureuse de l'école primaire. Encore moins, du jour où il a atterri chez les No. Son enfance a été d'une banalité affligeante, d'un ennui mortel, elle ne vaut pas la peine d'être racontée ni même mentionnée tout bien réfléchi.
« La sexualité. » Douceur dans les oreilles encore pures du jeune homme. Ce cours l'émerveilla plus qu'un autre alors qu'il entra dans le secondaire deux années plus tôt que prévu. Il était alors enchanté devant la complexité humaine, de la différence de l'organe génital féminin et masculin et des pensées qui les accompagnaient supposément. Il ne s'est jamais senti plus homme que femme, féministe dans l'âme, il s'assiégeait face à sa pensée égalitaire. Le seul roi, le seul dominant, c'était lui. Et Tina.
Tina, sa dulcinée, sa douceur, sa sœur bien aimée. Naïvement, il a toujours cru que le plus cadeau que ses parents aient pu lui offrir était sa petite sœur. Un cadeau dont la valeur n'a d'égale que sa nocivité, sans doute. Elle était inespérée, un sincère et mélodieux cadeau du ciel. Dès lors qu'il pose les yeux sur elle, il l'aima, passionnément, incroyablement, effroyablement. C'en était presque obsessionnel, meurtrier, malsain.
Il a toujours été pédant, arrogant, suffisant face à tous ceux qui l'entouraient, sa famille comprise. Il les menait par le bout du doigt, savait se faire bien voir, mais les méprisait. Ils méprisaient ces petits cons qui se complaisaient dans leur médiocrité. Ils se prétendaient heureux, alors que leur situation ne méritait davantage d'égard que du mépris. Son oncle était le seul à avoir fait les choses correctement, il avait su vivre des années dans le secret le plus total aux côtés de deux femmes plus sublimes l'une que l'autre sans qu'elles ne le sachent. Il était bien le seul qu'il considérait, du moins jusqu'à ce qu'il laisse ses couilles à la maison, ne laissant aux deux femmes que leur désir ardent d'aimer ; leur famille, l'une l'autre, leur choix de vie. Méprisables. Tina les aimait, elle. Elle les adulait, les glorifiait sans cesse et les encourageait.
Tina. Si douce, si compréhensive, si innocente et pure. Elle était son opposé mathématique. Elle était la rose, il était l'ortie. Elle était belle, gracieuse, talentueuse. Le cours qui l'émerveilla le plus fut aussi celui de la sexualité, elle n'avait que onze ans et pourtant elle compris. Elle compris.
Leur promiscuité n'en fut jamais autant révélatrice. Elle était curieuse, perverse. L'un était le prédateur de l'autre. Leurs peaux respirant au même rythme chaque soir, non loin l'une de l'autre. Elles échangèrent finalement. Honteusement, ils consommèrent leur amour.
Quelques soirs passèrent alors, des journées entières d'étreintes, des nuits de caresses, des semaines de douceur.
Et puis ils furent. « Ôte toi d'elle, enflure ! » résonna alors comme un écho lointain. Ça ne pouvait. Ça ne pouvait être vrai. Il l'agrippa d'autant plus fort, hurla de toutes ses forces, enfonça ses ongles tellement profondément dans sa peau qu'elle en saigna. Elle était muette. Pourquoi était-elle muette ? « Explique-leur ! Vas-y Tina, vas-y ! Explique leur ! » Les sueurs froides et les tremblements qui l'accompagnaient parfois jusque tard dans la nuit refaisaient alors surface. Impuissant, il les laissa l'emmener. Il les laissa emmener la plus jolie fleur de son jardin d'Eden. Il était Adam et elle était Eve. Elle en paierait les conséquences toute sa vie, il s'en sortirait alors sans grandes égratignures.
Papa était furieux, oui. Maman en tomba. Elle en mourra de tristesse dans l'incompréhension la plus totale quelques jours plus tard. Tant pis.
Il ne lui donna jamais son oxycodone, elle porta alors plainte à la direction de Yonsei où il enseignait depuis un mois seulement. Ils ne se sont pourtant jamais risqués à le renvoyer, sachant son génie, sachant la chance unique qu'ils avaient. Il y travaille depuis maintenant une bonne année, le plus jeune psychiatre jamais embauché à la Yonsei, mais sûrement le plus talentueux de tous. Il avait beau avoir ses vices et ses malices, il savait se faire entendre, se faire aimer et savait d'autant plus les charmer.
Yoshi a toujours été si proche du nirvana, avait tout pour atteindre le bonheur, sauf peut-être la candeur nécessaire pour l'être.
Emotion.
« Il faut partir » lui murmure-t-on tendrement. « Secoue-toi, c'est maintenant ou jamais. On ne peut plus faire machine arrière. » Une main chaude et ferme se dépose sur son épaule. Elle se dépêche alors, empaquette toutes les babioles traînant autour du garçon. Elle avait raison, il ne savait pas pourquoi, mais elle avait raison de l'urger. Il fallait s'en aller, vite. Avant qu'on ne les retrouve, disait-elle. Avant qu'ils ne soit éloignés pour toujours, répétait-elle. Elle attrape alors sa main, son cœur s'accélère, il trébuche. La lumière. « Eteignez-la lumière » murmura-t-il alors. « Baissez-là, putain ». Des sueurs froides accompagnèrent ses paroles, des tremblements qui le firent presque sursauter. Ses genoux se collèrent alors immédiatement à son torse. Il sentit un liquide chaud, une certaine moiteur contre celui-ci. Il ouvra alors les yeux et il pleura.
Zero emotion.
Il y a comme un goût amer dans sa bouche quand on évoque l'enfance. Une amertume dû à la simplicité de celle-ci, fièrement il aurait aimé être l'un de ces enfants soldats envoyés au combat une arme pour adulte dans les mains dès son plus âge, il aurait pu au moins se vanter de quelque chose. Aucun souvenir de son premier bobo. Du jour où on lui a enlevé ses petites roues arrières. De son premier jour d'école. Ou encore de sa première amoureuse de l'école primaire. Encore moins, du jour où il a atterri chez les No. Son enfance a été d'une banalité affligeante, d'un ennui mortel, elle ne vaut pas la peine d'être racontée ni même mentionnée tout bien réfléchi.
« La sexualité. » Douceur dans les oreilles encore pures du jeune homme. Ce cours l'émerveilla plus qu'un autre alors qu'il entra dans le secondaire deux années plus tôt que prévu. Il était alors enchanté devant la complexité humaine, de la différence de l'organe génital féminin et masculin et des pensées qui les accompagnaient supposément. Il ne s'est jamais senti plus homme que femme, féministe dans l'âme, il s'assiégeait face à sa pensée égalitaire. Le seul roi, le seul dominant, c'était lui. Et Tina.
Tina, sa dulcinée, sa douceur, sa sœur bien aimée. Naïvement, il a toujours cru que le plus cadeau que ses parents aient pu lui offrir était sa petite sœur. Un cadeau dont la valeur n'a d'égale que sa nocivité, sans doute. Elle était inespérée, un sincère et mélodieux cadeau du ciel. Dès lors qu'il pose les yeux sur elle, il l'aima, passionnément, incroyablement, effroyablement. C'en était presque obsessionnel, meurtrier, malsain.
Muted emotion.
Une certaine nonchalance accompagnait tous ses voyages en corée du sud. Le paysage était toujours le même, lassant, ennuyant. Il visitait ses cousins, le pays, quelques boutiques et le tour guidé s'arrêtait là. Pourtant, il s'y révéla. Il a toujours été pédant, arrogant, suffisant face à tous ceux qui l'entouraient, sa famille comprise. Il les menait par le bout du doigt, savait se faire bien voir, mais les méprisait. Ils méprisaient ces petits cons qui se complaisaient dans leur médiocrité. Ils se prétendaient heureux, alors que leur situation ne méritait davantage d'égard que du mépris. Son oncle était le seul à avoir fait les choses correctement, il avait su vivre des années dans le secret le plus total aux côtés de deux femmes plus sublimes l'une que l'autre sans qu'elles ne le sachent. Il était bien le seul qu'il considérait, du moins jusqu'à ce qu'il laisse ses couilles à la maison, ne laissant aux deux femmes que leur désir ardent d'aimer ; leur famille, l'une l'autre, leur choix de vie. Méprisables. Tina les aimait, elle. Elle les adulait, les glorifiait sans cesse et les encourageait.
Tina. Si douce, si compréhensive, si innocente et pure. Elle était son opposé mathématique. Elle était la rose, il était l'ortie. Elle était belle, gracieuse, talentueuse. Le cours qui l'émerveilla le plus fut aussi celui de la sexualité, elle n'avait que onze ans et pourtant elle compris. Elle compris.
Pitch corrected.
Crocodile. Il était le crocodile de ses basses marrées. Il l'observait finement, l'aimait silencieusement, la charmait précieusement. Il n'émergeait que rarement. Ils mangeaient ensemble, jouaient ensemble, couchaient dans le même lit. Peu à peu, il émergea davantage et plus férocement. Au crépuscule de l'adolescence, il s'en alla, à séoul. Il l'invita alors. Il avait promis de subvenir à ses besoins, que son éducation serait prise en charge par le collège japonais, qu'elle serait d'autant plus heureuse avec lui qu'avec les deux bougres qu'étaient ses parents, bientôt séniles et coffrés. Leur promiscuité n'en fut jamais autant révélatrice. Elle était curieuse, perverse. L'un était le prédateur de l'autre. Leurs peaux respirant au même rythme chaque soir, non loin l'une de l'autre. Elles échangèrent finalement. Honteusement, ils consommèrent leur amour.
Quelques soirs passèrent alors, des journées entières d'étreintes, des nuits de caresses, des semaines de douceur.
Et puis ils furent. « Ôte toi d'elle, enflure ! » résonna alors comme un écho lointain. Ça ne pouvait. Ça ne pouvait être vrai. Il l'agrippa d'autant plus fort, hurla de toutes ses forces, enfonça ses ongles tellement profondément dans sa peau qu'elle en saigna. Elle était muette. Pourquoi était-elle muette ? « Explique-leur ! Vas-y Tina, vas-y ! Explique leur ! » Les sueurs froides et les tremblements qui l'accompagnaient parfois jusque tard dans la nuit refaisaient alors surface. Impuissant, il les laissa l'emmener. Il les laissa emmener la plus jolie fleur de son jardin d'Eden. Il était Adam et elle était Eve. Elle en paierait les conséquences toute sa vie, il s'en sortirait alors sans grandes égratignures.
Papa était furieux, oui. Maman en tomba. Elle en mourra de tristesse dans l'incompréhension la plus totale quelques jours plus tard. Tant pis.
Computed emotion.
« Narcisse, mon beau Narcisse. Dis moi qui est le plus beau. » Ricanement sourd, il se reluqua puis silence. Il effleura sa carte de crédit, d'un air dubitatif. « Devrais-je ? » Nouveau ricanement. Il aligna sa poudre sur le corps d'une pute trouvée au croisement de ses espoirs déchus. Gentiment, il malaxa la peau de la jeune femme avant d'y plonger sa tête. Encore un ricanement. Ces derniers rythmaient ses journées, plus ils étaient réguliers, plus il était heureux disait-il dans l'euphorie de l'instant. « Tina, cale-toi là. » dit-il, orientant son regard vers son entre-jambe. Le regard de la jeune femme s'y perdit alors, dubitative face à cette appellation particulière. « Vous me promettez l'oxy hein, Monsieur No ? » cracha t-elle entre deux « pop » de son chewing-gum à la fraise, appuyant sur sa cuisse pour se cambrer davantage. Il souleva alors les yeux au second éclat de sa bulle de sucre, sortit sa langue pour la rentrer tout aussi vite et gifla sa hanche pour la lever, plus violemment que de raison. Son regard se calquait sur celui de Tina, il était doux et mièvre, mais empli d'une perversion qui ne lui en déplaisait. Il ne lui donna jamais son oxycodone, elle porta alors plainte à la direction de Yonsei où il enseignait depuis un mois seulement. Ils ne se sont pourtant jamais risqués à le renvoyer, sachant son génie, sachant la chance unique qu'ils avaient. Il y travaille depuis maintenant une bonne année, le plus jeune psychiatre jamais embauché à la Yonsei, mais sûrement le plus talentueux de tous. Il avait beau avoir ses vices et ses malices, il savait se faire entendre, se faire aimer et savait d'autant plus les charmer.
Yoshi a toujours été si proche du nirvana, avait tout pour atteindre le bonheur, sauf peut-être la candeur nécessaire pour l'être.
la vie monte et descend comme la culotte d'une donzelle
slt j'ai 18 piges et mon emoticone préféré c'est ça :sex: même si j'avoue que :harhar: est plutôt pas mal
“ Help from my friend :
code pour célébrité prise :
▲▼KIM WON JOONG ✎ no yo shi
“ Help from my friend :
code pour célébrité prise :
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u679[b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>KIM WON JOONG</taken> ✎ no yo shi
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:22 Citer EditerSupprimer
ça promet moi j'vous l'dit
va falloir qu'on parle très sérieusement toé et moé, ça va barder pour les élèves bienvenuuuuuuuuue si t'as des questions hésite pas
va falloir qu'on parle très sérieusement toé et moé, ça va barder pour les élèves bienvenuuuuuuuuue si t'as des questions hésite pas
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:22 Citer EditerSupprimer
coucou cousin d'amour
bienvenue dans la famile No comme dit la belle Cami, ca promet une famille de barge, je vous le dis
bienvenue dans la famile No comme dit la belle Cami, ca promet une famille de barge, je vous le dis
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:23 Citer EditerSupprimer
Omo tes canon !!! Mais t'es un pv ? :o
J'hésite à poster en première xD
Bienvenue à toi ♡♡ et bon courage pour ta fiche j'aime tout ce que je vois jusqu'à présent en tout cas *_*
Édit : ah bah.
J'hésite à poster en première xD
Bienvenue à toi ♡♡ et bon courage pour ta fiche j'aime tout ce que je vois jusqu'à présent en tout cas *_*
Édit : ah bah.
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:47 Citer EditerSupprimer
cami + han ouais bordel, en plus t'as nana en avatar, autant dire que j'suis rentrée dans la famille la plus bonne de corée du sud, je me casse jamais :sunmi:
dambi + merci petite merveille des champs, nous allons faire des étincelles je te le promets babe :tentate:
bobae + noooon, mais le hasard a fait que j'ai le même nom de famille qu'elles, du coup je squatte mais t'es trop belle pour avoir patienté pour poster beauté, tu me fais fondre tu sais
aller, viens, on est bien :jihoon:
dambi + merci petite merveille des champs, nous allons faire des étincelles je te le promets babe :tentate:
bobae + noooon, mais le hasard a fait que j'ai le même nom de famille qu'elles, du coup je squatte mais t'es trop belle pour avoir patienté pour poster beauté, tu me fais fondre tu sais
aller, viens, on est bien :jihoon:
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:53 Citer EditerSupprimer
ah ptn j'suis fan. bienvenue et courage pour ta fiche.
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:54 Citer EditerSupprimer
jésus marie joseph bienvenue un psychiatre c'est cool ça. J'vais t'envoyer plein d'élèves
Bon courage pour la suite de ta fiche j'aime déjà beaucoup le début *_*
je sens que je vais te demander un lien hahaha ton perso m'intéresse pas mal gros
Bon courage pour la suite de ta fiche j'aime déjà beaucoup le début *_*
je sens que je vais te demander un lien hahaha ton perso m'intéresse pas mal gros
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 16:58 Citer EditerSupprimer
moi je dis, dans cette ecole, ils choisissent que les gens canons pour y travailler bienvenue cher collégue
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 17:01 Citer EditerSupprimer
omg j'adore ce début. XD
Yoshi en plus. J'en ai fais un en pâte à sucre pour un gâteau, pas plus tard que mardi. C'est le destin.
T'es beau.
Bienvenue.
Je t'aime.
:haha:
Invité
Invité
Re: no yoshi | Jeu 21 Jan - 17:09 Citer EditerSupprimer
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4