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NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent
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NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 3:09 Citer EditerSupprimer
nom : no. prénom : lei. âge : dix-neuf ans. date et lieu de naissance : née à hong kong un dix décembre 1996. origines : coréennes, japonaises et chinoises. nationalité : coréenne. cursus universitaire : commerce international. métier : pas besoin de travailler y'a les sous de 'papa'. orientation sexuelle : hétérosexuelle. classe sociale : $$$$ katching katching. code du règlement : OLAF?? tu veux t'investir ? bring it !
No Lei
on s'moque de tout tant que les heureux dansent
GENEREUSE (★★★★★) | SENSIBLE (★★★★✰) | OBSERVATRICE (★★★✰✰) | NAÏVE (★★★★✰) | ATTACHANTE (★★★★★) |
SUSCEPTIBLE (★★★✰✰) | SINCERE (★★★★★) | CRAINTIVE (★★✰✰✰) | ATTENTIVE (★★★✰✰) | FRAGILE (★★★✰✰) |
Rumour has it... Salut, j’m’appelle Sana, j’suis une bonne copine de Lei. I heard you were talking shit about my petite princesse, donc j’viens mettre les choses au clair. MILEY WHAT’S GOOD !? « Paraît qu’elle a eu recourt à la chirurgie esthétique pour avoir ce visage de poupée, franchement j’la trouve un peu trop jeune pour ça, mais après chacun sa vie hein. » Faux, sa beauté et son visage de porcelaine sont naturels, les jaloux vont maigrir. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Lei, c’est une poupée de porcelaine. Elle marche d’un pas incertain et baisse la tête quand on la regarde un peu trop longtemps. C’est une fleur trop belle qu’on n’ose pas toucher de peur d’en faner les pétales. La voix aussi douce que les gestes, le cœur trop grand pour un corps trop petit. Lei elle aime trop fort, ça fini par lui faire mal. Le cœur fragile, il est couvert de pansements et ceinturé de bandages (parce que Lei, elle aime trop fort, ça fini par lui faire mal). Lei elle adore les pâtes et les pizzas, Sana arrête pas de lui dire qu’elle doit être le fruit d’une adultère avec le facteur italien. Ca la rend un peu triste parce qu’elle connaît ça, l’adultère. Mais elle dit rien, c’est juste une blague. Lei elle a un style changeant. Elle aime les robes courtes et les chaussettes longues, les chaussures compensées et les jolies barrettes dans les cheveux. Elle aime aussi le jean usé, les baskets sales et le pull trop grand pour elle. Les cheveux ramenés en un chignon négligé. Ecrire dans son carnet en regardant la pluie tomber. Dire aux gens qu’elle les aime. Toujours, sans arrêt. Elle aime rire à ne plus pouvoir respirer. Le genre de rire qui te laisse silencieux pendant quelques secondes parce que tes poumons se vident d’air. Elle aime pleurer, aussi. Le sentiment d'être libérée d'un poids et goûter aux perles salées du bout de la langue. Elle aime la pluie et voir les nuages danser dans le ciel. Elle sort dehors et saute dans les flaques, tournoie sous le torrent et laisse son maquillage couler sur ses joues gelées. Aucun artifice. Les animaux, une tonne de lait dans son café (trop sucré), les bracelets colorés, les filles qui font du skateboard, tremper ses frites dans son milk-shake, les gouttes d’eau sur les toiles d’araignée, les gens qui sourient, et ce qui ne sourient pas. Les beaux vêtements de Cami, les blagues de Yuki, la voix de Nuo et les cheveux de Bambi. Lei, elle aime trop fort, et tant pis si ça lui fait du mal. |
This is my story
citation de ton choix
Je me souviens quand papa me portait sur ses épaules. « Comme ça, tu seras encore plus proche des étoiles ! » qu’il me disait. Je me souviens aussi quand il pinçait mes joues avant de les embrasser avidement et s’en décoller difficilement. Papa, il avait l’habitude de me faire tournoyer, vite, vite, vite, jusqu’à que le monde entier tourne avec moi. Et je riais, je riais. Je riais à gorge déployée, je riais à en crever.
Puis un jour, j’ai arrêté.
Y’avait plus que ma tête qui tournait.
Un jour, tout est parti en l’air. Papa voulait plus me porter sur ses épaules, il voulait plus m’embrasser, il voulait plus me faire virevolter. Puis maman, elle arrêtait pas de pleurer. Nuo me prenait par la main et me disait « t’inquiètes pas, ça va aller. » alors la nuit, je serrais ma peluche Neko contre moi en murmurant « t’inquiètes pas, ça va aller. » Mais plus rien n’allait. Nuo, pourquoi tu m’as menti ? Ca cri de tous les côtés. Ca tape les murs, ça casse les assiettes. Nuo, tu m’as dit de pas m’inquiéter, mais les cris de maman me prennent aux tripes. Nuo, qu’est-ce qu’ils racontent ? J’comprends pas, moi, c’est des trucs de grands. Des trucs secrets, des trucs que j’peux pas piger du haut de mes quatre ans.
Papa est devenu maman, et je me tiens dans une cour de justice à regarder deux femmes s'embrasser. Tout le monde est heureux, j’suis pas trop sûre pourquoi, mais moi aussi, j'le suis. Puis je sens mes jambes quitter le sol et Yuki me fait voler, comme le faisait papa. D'ailleurs, pourquoi il est triste, papa ?
Avant, c’était Nuo et moi. Maintenant, c'est nous. C'est moi. C'est Nuo. C'est Cami et Yuki.
Je les aime, je les aime, je les aime.
Je joue sur les genoux de mon frère pendant que mes mères se câlinent sur le canapé, et que Nuo et Cami se chamaillent pour la télécommande. Aujourd’hui, mes copines m’ont dit que ma famille était bizarre, parce que j’ai deux mamans et qu’elles s’embrassent sur la bouche. Je ne comprends pas trop ce qu'il y a de bizarre, moi. Mais en même temps, je n’ai que dix ans.
Elle est blonde et sauvage, je la regarde intimidée. Elle brille plus fort que le soleil mais y’a une petite part d’ombre indécelable qui se cache dans ses yeux, baissés par la gêne. Mes frères et sœurs la regardent de travers, ils l’évitent. C’est un animal de foire. Mais pour moi, Bambi, elle est trop belle. Puis c’est marrant, elle est pas comme nous. Elle a de grands yeux bleus et des traits prononcés, un nez en trompette qui me fait rêver. J'aimerais tellement lui ressembler. Je prends timidement sa main et me dirige d’un pas lent vers mon jardin secret. « Tu veux que je te montre ma chambre ? »
Bambi, c'est ma grande soeur, mais c'est comme ma petite soeur. Parce qu'elle est arrivée après moi, et que tout le monde voulait la protéger, un peu comme avec moi. Bambi, elle a peut-être pas le même sang que nous, mais ça s'ra toujours ma soeur.
J’ai quinze ans et je sais pas trop comment on fait les enfants. Yuki me cache les yeux quand deux personnes s’embrassent à la télé et mes mères veulent pas que je traine dehors après les cours. Ca m’rend triste, parce que mes copines vont faire les magasins, elles sortent boire des milk-shakes et faire du roller, pendant que moi, je regarde les photos qu’elles postent sur mon ordinateur, toute seule dans ma chambre. Puis Bambi, elle, elle a le droit de sortir le soir, des fois. Nuo, elle ramène parfois des garçons à la maison, et tout le monde la laisse tranquille.
Moi, j’ai le droit de faire venir Tasyr, des fois. Je l’aime, Tasyr, je l’aime vraiment fort. Il me fait rire, rire jusqu’aux larmes, mais à chaque fois que je glousse un peu trop fort, je vois la tête de ma mère passer à travers la porte. J'sais pas trop pourquoi. Tout le monde me dit de me méfier, parce que « Tasyr il est pas commode, il est un peu dérangé, et parfois, il me regarde un peu trop longtemps. » J’comprends pas. J’comprends pas parce que Tasyr, c’est mon meilleur ami, et j’ai l’impression qu’ils veulent me l’enlever. Il a besoin de moi, et moi je sais plus trop comment vivre sans lui.
« J’ai pas dit au revoir à Tasyr ! Cami, tu pourras lui dire pour moi, dis ? Tu pourras lui dire que je l’aime, et que je suis désolée de partir comme ça ? Puis tu lui donneras l’adresse de l’internat, hein ? Pour qu’il puisse m’envoyer des lettres ! » Ma sœur hoche de la tête et je suis tout de suite soulagée. J’ai jamais vraiment voulu aller là-bas, moi. Mais maman m’a dit que c’était pour mon bien. Qu’il fallait que je prenne mon envol, et que ce n’était pas possible si je restais à la maison. Alors j’ai accepté sans vraiment avoir eu le choix. Et je ne regrette pas.
J’ai dix-sept ans et j’éclate de rire au nez de ma naïveté. Je remercie mentalement Nuo d’avoir monté la tête à mes mères pour m’envoyer là-bas. J’étais conne. J’étais jeune, conne et naïve, et j’me rendais même pas compte de la bulle dans laquelle ils m’avaient enfermée. Les mamans, Cami, Yuki, Nuo, Bambi. Tous. Je ne leur en veux pas, au fond, ils voulaient seulement me protéger.
J’ai dix-sept ans et j’éclate de rire aux blagues de Sana. Sana, c’est mon bras droit, my partner in crime et mon parfait opposé. Elle est le feu et moi la glace, et c’est ça qui fait qu’au fond, on se complète parfaitement. Elle se met dans les pires situations possibles et imaginables, et moi, je l’aide à en sortir -sans moi, elle se serait déjà faîte virer au moins dix fois. Elle m’a directement prise sous son aile dès mon arrivée et m’a présentée à des personnes que je n’aurais jamais pensé fréquenter. Grace à elle, j’ai connu mon premier baisé, ma première cigarette, mon premier verre d’alcool, et aussi ma première fois. Elle m’a aidé à me découvrir, moi et le monde qui m’entoure, un monde qui m’avait été interdit trop longtemps, un monde dont j’ignorais l’existence. En deux ans, j’ai rattrapé les années perdues, les années que ma famille m’avait enlevée. Mais je ne leur en veux pas. Au fond, ils voulaient seulement me protéger.
J’ai dix-neuf ans et je clos un chapitre de ma vie. Un chapitre rempli de rires, de souvenirs, de rencontres et de découvertes. L’un des plus beaux de tout mon livre. J’ai les mains qui tremblent et le pied qui tape nerveusement sur la banquette arrière de la voiture. J’aperçois la maison au loin et mon cœur se serre. J’ai peur. J’ai peur qu’ils essayaient de m’enfermer une nouvelle fois, de me changer, de faire revenir la Lei que j’étais à mes quinze ans. Pure et innocente, trop candide pour être prise au sérieux.
J’ai peur de revoir Tasyr, j’imagine déjà son air désappointé alors que je me confonds en excuses. J’en ai aucune. Je suis lâche, j’ai laissé mon meilleur ami derrière moi sans aucune explication. Il avait besoin de moi, et moi, j’ai réussi à vivre sans lui.
La voiture s'arrête et mes mains sont moites.
J'ai dix-neuf ans et toute la vie qui m'attend.
Puis un jour, j’ai arrêté.
Y’avait plus que ma tête qui tournait.
Un jour, tout est parti en l’air. Papa voulait plus me porter sur ses épaules, il voulait plus m’embrasser, il voulait plus me faire virevolter. Puis maman, elle arrêtait pas de pleurer. Nuo me prenait par la main et me disait « t’inquiètes pas, ça va aller. » alors la nuit, je serrais ma peluche Neko contre moi en murmurant « t’inquiètes pas, ça va aller. » Mais plus rien n’allait. Nuo, pourquoi tu m’as menti ? Ca cri de tous les côtés. Ca tape les murs, ça casse les assiettes. Nuo, tu m’as dit de pas m’inquiéter, mais les cris de maman me prennent aux tripes. Nuo, qu’est-ce qu’ils racontent ? J’comprends pas, moi, c’est des trucs de grands. Des trucs secrets, des trucs que j’peux pas piger du haut de mes quatre ans.
Papa est devenu maman, et je me tiens dans une cour de justice à regarder deux femmes s'embrasser. Tout le monde est heureux, j’suis pas trop sûre pourquoi, mais moi aussi, j'le suis. Puis je sens mes jambes quitter le sol et Yuki me fait voler, comme le faisait papa. D'ailleurs, pourquoi il est triste, papa ?
Avant, c’était Nuo et moi. Maintenant, c'est nous. C'est moi. C'est Nuo. C'est Cami et Yuki.
Je les aime, je les aime, je les aime.
Je joue sur les genoux de mon frère pendant que mes mères se câlinent sur le canapé, et que Nuo et Cami se chamaillent pour la télécommande. Aujourd’hui, mes copines m’ont dit que ma famille était bizarre, parce que j’ai deux mamans et qu’elles s’embrassent sur la bouche. Je ne comprends pas trop ce qu'il y a de bizarre, moi. Mais en même temps, je n’ai que dix ans.
Elle est blonde et sauvage, je la regarde intimidée. Elle brille plus fort que le soleil mais y’a une petite part d’ombre indécelable qui se cache dans ses yeux, baissés par la gêne. Mes frères et sœurs la regardent de travers, ils l’évitent. C’est un animal de foire. Mais pour moi, Bambi, elle est trop belle. Puis c’est marrant, elle est pas comme nous. Elle a de grands yeux bleus et des traits prononcés, un nez en trompette qui me fait rêver. J'aimerais tellement lui ressembler. Je prends timidement sa main et me dirige d’un pas lent vers mon jardin secret. « Tu veux que je te montre ma chambre ? »
Bambi, c'est ma grande soeur, mais c'est comme ma petite soeur. Parce qu'elle est arrivée après moi, et que tout le monde voulait la protéger, un peu comme avec moi. Bambi, elle a peut-être pas le même sang que nous, mais ça s'ra toujours ma soeur.
J’ai quinze ans et je sais pas trop comment on fait les enfants. Yuki me cache les yeux quand deux personnes s’embrassent à la télé et mes mères veulent pas que je traine dehors après les cours. Ca m’rend triste, parce que mes copines vont faire les magasins, elles sortent boire des milk-shakes et faire du roller, pendant que moi, je regarde les photos qu’elles postent sur mon ordinateur, toute seule dans ma chambre. Puis Bambi, elle, elle a le droit de sortir le soir, des fois. Nuo, elle ramène parfois des garçons à la maison, et tout le monde la laisse tranquille.
Moi, j’ai le droit de faire venir Tasyr, des fois. Je l’aime, Tasyr, je l’aime vraiment fort. Il me fait rire, rire jusqu’aux larmes, mais à chaque fois que je glousse un peu trop fort, je vois la tête de ma mère passer à travers la porte. J'sais pas trop pourquoi. Tout le monde me dit de me méfier, parce que « Tasyr il est pas commode, il est un peu dérangé, et parfois, il me regarde un peu trop longtemps. » J’comprends pas. J’comprends pas parce que Tasyr, c’est mon meilleur ami, et j’ai l’impression qu’ils veulent me l’enlever. Il a besoin de moi, et moi je sais plus trop comment vivre sans lui.
« J’ai pas dit au revoir à Tasyr ! Cami, tu pourras lui dire pour moi, dis ? Tu pourras lui dire que je l’aime, et que je suis désolée de partir comme ça ? Puis tu lui donneras l’adresse de l’internat, hein ? Pour qu’il puisse m’envoyer des lettres ! » Ma sœur hoche de la tête et je suis tout de suite soulagée. J’ai jamais vraiment voulu aller là-bas, moi. Mais maman m’a dit que c’était pour mon bien. Qu’il fallait que je prenne mon envol, et que ce n’était pas possible si je restais à la maison. Alors j’ai accepté sans vraiment avoir eu le choix. Et je ne regrette pas.
J’ai dix-sept ans et j’éclate de rire au nez de ma naïveté. Je remercie mentalement Nuo d’avoir monté la tête à mes mères pour m’envoyer là-bas. J’étais conne. J’étais jeune, conne et naïve, et j’me rendais même pas compte de la bulle dans laquelle ils m’avaient enfermée. Les mamans, Cami, Yuki, Nuo, Bambi. Tous. Je ne leur en veux pas, au fond, ils voulaient seulement me protéger.
J’ai dix-sept ans et j’éclate de rire aux blagues de Sana. Sana, c’est mon bras droit, my partner in crime et mon parfait opposé. Elle est le feu et moi la glace, et c’est ça qui fait qu’au fond, on se complète parfaitement. Elle se met dans les pires situations possibles et imaginables, et moi, je l’aide à en sortir -sans moi, elle se serait déjà faîte virer au moins dix fois. Elle m’a directement prise sous son aile dès mon arrivée et m’a présentée à des personnes que je n’aurais jamais pensé fréquenter. Grace à elle, j’ai connu mon premier baisé, ma première cigarette, mon premier verre d’alcool, et aussi ma première fois. Elle m’a aidé à me découvrir, moi et le monde qui m’entoure, un monde qui m’avait été interdit trop longtemps, un monde dont j’ignorais l’existence. En deux ans, j’ai rattrapé les années perdues, les années que ma famille m’avait enlevée. Mais je ne leur en veux pas. Au fond, ils voulaient seulement me protéger.
J’ai dix-neuf ans et je clos un chapitre de ma vie. Un chapitre rempli de rires, de souvenirs, de rencontres et de découvertes. L’un des plus beaux de tout mon livre. J’ai les mains qui tremblent et le pied qui tape nerveusement sur la banquette arrière de la voiture. J’aperçois la maison au loin et mon cœur se serre. J’ai peur. J’ai peur qu’ils essayaient de m’enfermer une nouvelle fois, de me changer, de faire revenir la Lei que j’étais à mes quinze ans. Pure et innocente, trop candide pour être prise au sérieux.
J’ai peur de revoir Tasyr, j’imagine déjà son air désappointé alors que je me confonds en excuses. J’en ai aucune. Je suis lâche, j’ai laissé mon meilleur ami derrière moi sans aucune explication. Il avait besoin de moi, et moi, j’ai réussi à vivre sans lui.
La voiture s'arrête et mes mains sont moites.
J'ai dix-neuf ans et toute la vie qui m'attend.
About me
Je suis...
Ton Pseudo
Ok posez vous je vais vous raconter ma vie. Je m'appelle Célia, mais on m'appelle Cez, franchement j'sais pas du tout pourquoi. J'ai 19 ans, j'suis une vieille, dites vous que quand j'ai commencé à rp à l'âge de 11 ans, j'disais que j'en avais 14 parce que j'pensais que c'était vieux. :horny: Je sais pas comment j'ai connu le forum, j'ai sûrement dû survoler de partenariats en partenariats avant d'atterrir ici. Je stalkais le fofo à mort, genre j'rigole même pas. J'voulais vraiment m'inscrire, mais j'avais trop peur de pas réussir à m'intégrer vu à quel point j'suis une ksos. :thanks: Donc quand j'ai vu Lei, j'ai sauté dessus telle une sauvage devant une noix de coco. Je regrette pas, j'l'aime déjà. Sinon j'ai vraiment pas de vie, j'prends une année sabbatique donc mes journées se résument à dormir, bouffer, rp, et promener mon iench. J'aime bien grapher, animal crossing, collectionner des images marrantes puis les séries aussi. Bon, flemme de continuer en fait. J'garde une petite part de mystère (dit elle après avoir déballé toute sa vie). Ah et mon smiley préféré c'est PORNSTACH et qui me correspond assez bien 90% du temps.
Voilà, bisous, j'vous kiff déjà trop fort. :hug2:
Voilà, bisous, j'vous kiff déjà trop fort. :hug2:
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u707][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>BAEK SU MIN</taken> ✎ no lei
Supprimez le code inutile
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 3:27 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE
TU ES TRÈS JOLIE
TU ES TRÈS JOLIE
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 3:36 Citer EditerSupprimer
MON AMOUR, MON JOYAU, MON TOUT PETIT COEUR QUI A GRANDIT
je suis trop trop trop contente, encore une fois j'espère que tu vas te plaire ici, mais j'en doute pas trop j'avoue bon courage pour l'écriturage et... continue de m'harceler j'adore
ps : j'vivais ta vie l'année dernière, genre exactement la même, i feel u
je suis trop trop trop contente, encore une fois j'espère que tu vas te plaire ici, mais j'en doute pas trop j'avoue bon courage pour l'écriturage et... continue de m'harceler j'adore
ps : j'vivais ta vie l'année dernière, genre exactement la même, i feel u
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 3:46 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à toi ! Très bon choix d'avatar elle est magnifique j'ai toujours eu un faible pour baek sumin tu as prit un pv en plus
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 4:04 Citer EditerSupprimer
Bienvenue officiellement
Bon choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
Bon choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 10:48 Citer EditerSupprimer
J'feel tellement le "je stalkais à mort le forum" c'est l'histoire de ma vie un peu fufufu
Bienvenuuuuuuuuuue sur stw, tu verras tu vas pas regretter d'être venu
Bienvenuuuuuuuuuue sur stw, tu verras tu vas pas regretter d'être venu
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 10:54 Citer EditerSupprimer
En tant que meilleure amie de ta grande soeur, amie proche de Bambi et squatteuse de bureau de ton cousin, je vais te squatter toi aussi :D /Ivy squatteuse de No/
Bienvenue, courage pour ta fiche, super choix de PV et tu en fais des heureux !! ♥
Bienvenue, courage pour ta fiche, super choix de PV et tu en fais des heureux !! ♥
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 11:34 Citer EditerSupprimer
Bienvenue ! Fighting pour ta fiche et bon choix de pv baek su min est super mignonne
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 11:57 Citer EditerSupprimer
ton histoire est tellement parfaite, ptn.
cami si elle savait tout ça, (puis elle le saura un jour, tu m'as donné une idée de rp ptn) elle va tellement s'en vouloir mais elle t'aime tellement
la suite, la suite
cami si elle savait tout ça, (puis elle le saura un jour, tu m'as donné une idée de rp ptn) elle va tellement s'en vouloir mais elle t'aime tellement
la suite, la suite
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Re: NO LEI - on s'moque de tout tant que les heureux dansent | Sam 13 Fév - 16:03 Citer EditerSupprimer
*POUSSE TOUT LE MONDE ET SAUTE SUR LEI*
MA CHERIE D AMOUR DE MOI
je suis trop contente que tu l'ais choisie je vais bien prendre soin de toi ma soeur adorée
MA CHERIE D AMOUR DE MOI
je suis trop contente que tu l'ais choisie je vais bien prendre soin de toi ma soeur adorée
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