hideki nonomi (+) 名前のない怪物.
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hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 20:38 Citer EditerSupprimer
nom : hideki. prénom : nonomi. âge : vingt ans. date et lieu de naissance : seize aout '95 à tokyo. origines : japonaises. nationalité : toujours japonaise. cursus universitaire : en lettres, langues et art; section design. métier : bassiste dans un groupe & actuellement stagiaire dans un salon de tatouage. orientation sexuelle : bisexuelle, tant que quelqu'un se lave elle est opé, vraiment. classe sociale : pas à se plaindre. code du règlement : this? tu veux t'investir ? essayons, essayons.
Hideko Nonomi
now, trembling justice, embrace my unerasable scars and we’ll go together, nameless monster.
EXTRAVERTIE (★★★★★) | CYNIQUE (★★★★★) | EXCENTRIQUE (★★★★★) | BAVARDE (★★★✰✰) | SOURIANTE (★★★★✰) |
RUSTRE (★★★★✰) | DRÔLE (★★★✰✰) | CAPRICIEUSE (★★★★★) | DYNAMIQUE (★★★✰✰) | HAUTAINE (★★★★✰) |
Rumour has it... elle aurait été un homme, devenue désormais femme. (nan, mais elle aime bien prétendre que oui, des fois.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Nono-chan a toujours été appréciée de tout le monde, peu importe où elle allait. Probablement parce qu'au final les gens mettaient de côté leur impatience pour s focaliser sur le fait que la demoiselle est très sincèrement gentille et réellement altruiste. Difficile à supporter, mais aussi difficile à oublier. Une chose est sûre, 100% des anciens amis de la jeune femme constatent une nette baisse de leur ouïe après avoir passé trop de temps en sa compagnie. Elle crie, que voulez-vous. Tout le temps. Et elle parle avec un débit plus impressionnant que celui du fleuve jaune. Tous ses membres sont en éveil aussi, ils gesticulent dans tous les sens, et il n'est pas rare de marcher dans la rue aux côtés d'elle et avoir pour vis-à-vis ses pieds. Parce que l'embarras ? Très peu pour elle, c'est une rock star, entendez, elle se fiche de tout et de tout le monde, et croyez bien qu'elle balaiera d'un rire hautain tout ce qu'elle entendra dire sur elle. Même, elle donnera raison et exagérera le tout. C'est comme ça. Vivre le grand frisson, laisser les gens fantasmer à son sujet, c'est son dada. Pour beaucoup, la jeune japonaise était un mystère ambulant. Fascinante et sensiblement effrayante à la fois. Personne n'était capable de discerner sa simplicité, son laxisme latent et son jemenfoutisme. L'embarras ? La honte, la gène ? La peur ? Trop peu pour elle, tout n'était qu'amusement. Une vie acidulée pour une personne extra-colorée au cœur sur la main. Quoi qu'aux caprices multiples, mais elle n'a jamais tapé du pied ou craché dans l’œil de celui qui lui refusait quoi que ce soit. À vrai dire, tout en étant adorable, une large partie hautaine de son être fait qu'elle s'estime trop bien, trop rock pour s'arrêter sur des détails et sur les limites des autres. Elle relève la tête, et fait en sorte d'être si parfaite – si géniale, qu'on va regretter tout seul de ne pas lui avoir baisé les pieds quand elle l'a demandé. L'inconstante de Nonomi est une spirale interminable. Sociable et extravertie, elle est capable de se faire des amis et des connaissances en un temps record – et elle à ce petit côté, ce détail inexplicable, ce mysticisme, qui fait qu'on accroche à sa personne. On boit ses paroles, on admire son mode de pensée et on dit amen à tout ce qu'elle peut dire. Cela dit … Elle marche au sixième sens, à l'intuition – et vous aurez beau être tout aussi parfait qu'elle, si vous n'êtes pas spécial, si elle ne vous rencontre pas tout en ayant l'impression que la destinée y est pour quelque chose, alors vous passerez à la trappe. Sans remords ou états d'âmes. Elle réduit la communication, parce qu'elle s'est fait de nouvelles connaissances, qu'elle aime le renouveau. Et un jour vous vous réveillerez un matin en vous demandant depuis combien de mois vous n'avez pas parlé à Hideki Nonomi, ce qu'elle fait – ce qu'elle devient – et si elle pense à vous. Il ne faut rien espérer de la part de la jeune japonaise. Ce n'est pas par méchanceté, ou sadisme, mais une fois qu'elle a lâché la main de quelqu'un, c'est pour toujours. Elle n'oublie jamais personne, et déteste une quantité très faible de personnes. Elle passe juste à autre chose sans un mot, et si elle reste bienveillante à votre égard, elle ne reviendra pas saluer. C'est cela, en réalité, elle est insaisissable. |
This is my story
citation de ton choix
« Nan !!!! » S'égosilla-t-elle du haut de ses quatre ans. La scène se passa au ralenti, ses deux petites narines inhalèrent tout l'oxygène qu'elles purent, et la détentrice de ce fabuleux nez s'élança à corps perdu vers la cible de sa furie. Ainsi Hideki Nonomi détala à la vitesse de l'éclair, fonçant droit vers son frère aîné avant de le plaquer au sol telle la catcheuse à en devenir qu'elle était. Le choc fut rude et elle sentit bien deux trois trucs de son corps craquer, mais elle se releva finalement. Les yeux rougis par la tristesse, les lèvres pincées et son bout du nez cramoisi. Elle aurait bien laissé son visage s'exprimer : voire ses yeux s'amoindrirent sous les larmes, sa bouche se tordre en une moue disgracieuse, et son nez menacer d'échapper deux trois gouttes de substances immonde sous son frère en dessous d'elle, mais se retint finalement. Puis quand son corps fut de nouveau apte à parler, elle hurla de toutes ses forces. « KOUJI T'AS FAILLI ECRASER LA FLEUR. » Et sa petite main pointa du doigt la pâquerette abandonnée pas très loin, qui venait d'échapper à un sombre trépas.
Bien entendu qu'on le lui a répété. Une fois, dix fois ou peut-être mille. On arque un sourcil, en général, on prend une grande inspiration et puis on balance cette phrase fatale. Nomi, tu schlingues la bizarrerie. Et elle avait toujours l'habitude de répondre à ça par un léger hochement d'épaule, un frottement discret de sa main sur sa nuque tandis que ses joues se teintaient de rouge, pour balbutier un petit d-d-d-désolée je suis trop jeune pour pratiquer du sexe avec toi. Si cette réplique avait fait glousser son père la première fois qu'il l'avait entendue alors qu'elle n'avait même pas cinq ans, ce fut sa mère qui changea de couleur de peau avant de s'étendre le sol. Uniquement pour entendre sa fille lui dire à l'oreille ça se fait pas, maman, ne cours pas après la blancheur de peau quitte à détruire son corps, c'est très raciste. Parfois, Hideki Nonomi a des cas de conscience, et elle se demande si ce n'est pas à moitié sa faute, si sa mère a pété une durite et qu'elle a tout claqué. Et puis, d'autres fois, Hideki Nonomi se dit que sa mère est complètement timbrée et que c'est d'elle qu'elle tient son instabilité ahurissante.
« Et toi, Nonomi ? Tu veux faire quoi dans la vie ? » La question fut trop soudaine, trop abrupte, et Nonomi – qui était en train de jouer à son tamagotchi sous la table de cours – releva le visage, les yeux écarquillés. La maîtresse de classe la fixait avec un air sensiblement contrit puis soupira fortement. La jeune fille n'était déjà pas là souvent, mais le peu de fois où elle honorait ses camarades de sa présence, il fallait que sa concentration soit ailleurs. Probablement avec son père songea l'adulte, attendant encore une réponse qu'elle trouvait plus ou moins évidente désormais. Tout le monde avait constaté l'amour sans borne de Nomi pour la musique – et pour son père, au point de se demander si les autres membres de sa famille existaient. C'est à dire que c'était excitant, être en tournée, faire le tour du pays, admirer de jeunes femmes en chaleur jeter leurs sous-vêtements sur la scène en direction de son père ( ou d'autres objets plus sordides que son frère aîné s'empressait de cacher pour ne pas choquer l'innocence d'une enfant ) ce fut donc naturellement que la bonne femme s'attende à ce qu'elle déclare désirer faire rocker le pays tout entier, voire au delà. Et pourtant. « J'aimerai être une tueuse à gage, en fait ! » Si certains inclinèrent leur tête sur le côté en incompréhension, la seule adulte de la classe vira au blanc avant de se ressaisir. Elle ne devait pas savoir de quoi elle parlait … « As-tu seulement conscience de ce que tu viens de dire ? » La petite hocha la tête. « Bien sûr, bien sûr ! Attendez de me voir d'ici dix ans ! » Mima-t-elle en direction de sa poitrine plate, pinçant les lèvres, elle gesticula une très – très – forte poitrine et continua sa petite argumentation. « Tout ça dans du cuir, avec des longues jambes et des longs cheveux blonds ! J'aurais même pas besoin d'avoir d'armes, madame, le monde entier s'inclinera de bonne grâce sous mes atouts ! » Et elle termina par une crise de fou-rire, tapant de son petit poing sur la table alors qu'elle se balançait sur sa chaise dans le silence morbide de la classe. Démunie, la bonne femme ne parvint qu'à balbutier des onomatopées et ce fut le dérobement de la chaise sur le sol qui stoppa la jeune fille dans son hilarité, se tenant désormais l'arrière de la tête en couinant de douleur. Il fallut de longues secondes avant que quiconque ne bouge. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'Hideki Nonomi ouvrait la bouche, c'était comme si une dimension parallèle enveloppait le monde entier avant de s'évaporer plus rapidement qu'elle n'était venue.
Ainsi, sa mère arriva en courant, ses hauts talons claquant sur le sol carrelé de l'école jusqu'à ce qu'elle pousse la porte du bureau du directeur. Le souffle court et les joues rouges, la jeune mère contempla successivement sa fille – vêtue de son habituelle salopette vert pomme et de ses habituels bleus aux jambes et bras, une sucette enfoncée dans la bouche – puis le directeur – organisant des papiers avant de soupirer à la vue de la dame. Habituelle question rhétorique qu'a-t-elle encore fait? Le coup de la tueuse à gage lui avait déjà pratiquement valu son entrée au collège – absence et mauvais fond, avait-on dit – et maintenant qu'elle était à quelques années proches d'y entrer, il fallait que la jeune et délicate enfant qu'elle était passe son temps à distribuer des marrons à qui la regardait de travers. Une main enfoncée dans sa poche, et son nouveau jeu à la mode dans une main, elle ignora sa mère dont les yeux rougis ne l'attendrissait plus. Et pour cause : elle avait quitté son père. Ou pas – réellement, quitté. Mais ils ne vivaient plus ensemble et 'pour le bien' de Nonomi, il fallait un vie stable, un pied à terre, et une régularité à l'école afin qu'elle ai un bon avenir. Cela va sans dire, l'enfant n'avait pas été d'accord. Les études ? C'est pour les faibles, disait-elle. Le rock, le vrai, ça ! C'est la vie. Jeune insolente et inconsciente qu'elle était. De toutes façons, à quoi d'autre pouvait-on s'attendre ? Elle avait beau adorer sa mère, elle préférait l'inconstance, la vie de tournée, et son frère peut-être. Et du jour au lendemain, tout lui avait été arraché de force. Il fallait bien qu'elle exprime son désarroi, son mécontentement. Et si intérieurement, elle se savait injuste car elle était témoin des milles efforts de sa mère pour la combler, une autre partie d'elle estimait que c'était le strict minimum pour lui avoir retiré sa si grande quantité de bonheur.
Ses lunettes tombèrent sur son nez, dévoilant ses yeux vides de sentiments. Le temps se stoppa quelques secondes, puis sa mère eut le temps de plaquer ses paumes sur ses oreilles avant d'entendre le cri aiguë transcendant de l'adolescente. Elle jura avoir vu les fenêtres trembler, juste avant que l'enfant se lève et court dans tous les sens, les bras en l'air, montant sur la table basse, le canapé, et menaçant de gober l'écran plat de l'écran. Elle rejeta la tête en arrière et enfonça ses ongles sur son visage, tirant vers le bas en continuant sa crise d'hystérie que sa mère ne chercha même pas à stopper. Mère indigne ? Ou mère habituée, au choix. Ton frère est parti faire sa fac à Séoul et sans un au revoir ! L'enflure. Nonomi songea à y aller à la nage, la rage animant ses nerfs, puis abandonna en se rappelant qu'elle était capable de boire la tasse dans sa propre baignoire. Sa crise dura des heures, à crier, se rouler par terre, s'attacher aux jambes de sa mère voire à menacer d'avaler des légumes jusqu'à ce que mort s'ensuive – parce que les légumes sont un poison toxique déguisé en truc sympa, comme le cheval de troie. Cela dit rien n'y fit. Sa mère était inflexible. La nouvelle collégienne, dût s'asseoir sur le haut du canapé, fixant sa mère des heures sans bouger, à la recherche de la faiblesse qui la ferait céder – sans rien trouver. Puis elle commença une vendetta vaguement stupide, ajoutant sucre et sel en grosse quantité dans tous les plats à sa mère. Pour qu'elle grossisse. Remplaçant ses crèmes éclaircissante par de l'autobronzant. Son shampoing par de la décoloration. Impossible de la faire fléchir. Ainsi Hideki Nonomi changea de cible, attrapant un pigeon dans la rue, elle y attacha une première menace – en vain. Il l'ignorait en plus ? (Ou il ne l'avait pas reçue, à choisir) Vitesse supérieure. Elle entra dans une pièce secrète de la maison et extirpa les magazines érotiques qu'il avait caché. Collant à la place des demoiselles, son visage à lui, elle prit des photos et les envoya par mail cette fois-ci, menaçant de rendre ceci public dans toute sa fac pour qu'il finisse puceau et seul toute sa vie. Échec.
La nipponne était plus calme, plus posée. Sa tristesse l'avait rendue mélancolique, et sa mère se surprenait à la voir regarder le ciel parfois. Reposée. Si ses oreilles ne s'en plaignaient pas, son cœur était lourd à la vue de sa fille changée. Et ce fut probablement grâce au grand jeu d'actrice d'Hideki Nonomi, qui attendait que sa mère soit dans les parages pour jouer la dépressive, que lorsqu'elle demanda à entrer à la Yonsei à son tour, elle n'eut droit à aucune résistance.
Bien entendu qu'on le lui a répété. Une fois, dix fois ou peut-être mille. On arque un sourcil, en général, on prend une grande inspiration et puis on balance cette phrase fatale. Nomi, tu schlingues la bizarrerie. Et elle avait toujours l'habitude de répondre à ça par un léger hochement d'épaule, un frottement discret de sa main sur sa nuque tandis que ses joues se teintaient de rouge, pour balbutier un petit d-d-d-désolée je suis trop jeune pour pratiquer du sexe avec toi. Si cette réplique avait fait glousser son père la première fois qu'il l'avait entendue alors qu'elle n'avait même pas cinq ans, ce fut sa mère qui changea de couleur de peau avant de s'étendre le sol. Uniquement pour entendre sa fille lui dire à l'oreille ça se fait pas, maman, ne cours pas après la blancheur de peau quitte à détruire son corps, c'est très raciste. Parfois, Hideki Nonomi a des cas de conscience, et elle se demande si ce n'est pas à moitié sa faute, si sa mère a pété une durite et qu'elle a tout claqué. Et puis, d'autres fois, Hideki Nonomi se dit que sa mère est complètement timbrée et que c'est d'elle qu'elle tient son instabilité ahurissante.
« Et toi, Nonomi ? Tu veux faire quoi dans la vie ? » La question fut trop soudaine, trop abrupte, et Nonomi – qui était en train de jouer à son tamagotchi sous la table de cours – releva le visage, les yeux écarquillés. La maîtresse de classe la fixait avec un air sensiblement contrit puis soupira fortement. La jeune fille n'était déjà pas là souvent, mais le peu de fois où elle honorait ses camarades de sa présence, il fallait que sa concentration soit ailleurs. Probablement avec son père songea l'adulte, attendant encore une réponse qu'elle trouvait plus ou moins évidente désormais. Tout le monde avait constaté l'amour sans borne de Nomi pour la musique – et pour son père, au point de se demander si les autres membres de sa famille existaient. C'est à dire que c'était excitant, être en tournée, faire le tour du pays, admirer de jeunes femmes en chaleur jeter leurs sous-vêtements sur la scène en direction de son père ( ou d'autres objets plus sordides que son frère aîné s'empressait de cacher pour ne pas choquer l'innocence d'une enfant ) ce fut donc naturellement que la bonne femme s'attende à ce qu'elle déclare désirer faire rocker le pays tout entier, voire au delà. Et pourtant. « J'aimerai être une tueuse à gage, en fait ! » Si certains inclinèrent leur tête sur le côté en incompréhension, la seule adulte de la classe vira au blanc avant de se ressaisir. Elle ne devait pas savoir de quoi elle parlait … « As-tu seulement conscience de ce que tu viens de dire ? » La petite hocha la tête. « Bien sûr, bien sûr ! Attendez de me voir d'ici dix ans ! » Mima-t-elle en direction de sa poitrine plate, pinçant les lèvres, elle gesticula une très – très – forte poitrine et continua sa petite argumentation. « Tout ça dans du cuir, avec des longues jambes et des longs cheveux blonds ! J'aurais même pas besoin d'avoir d'armes, madame, le monde entier s'inclinera de bonne grâce sous mes atouts ! » Et elle termina par une crise de fou-rire, tapant de son petit poing sur la table alors qu'elle se balançait sur sa chaise dans le silence morbide de la classe. Démunie, la bonne femme ne parvint qu'à balbutier des onomatopées et ce fut le dérobement de la chaise sur le sol qui stoppa la jeune fille dans son hilarité, se tenant désormais l'arrière de la tête en couinant de douleur. Il fallut de longues secondes avant que quiconque ne bouge. C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'Hideki Nonomi ouvrait la bouche, c'était comme si une dimension parallèle enveloppait le monde entier avant de s'évaporer plus rapidement qu'elle n'était venue.
Ainsi, sa mère arriva en courant, ses hauts talons claquant sur le sol carrelé de l'école jusqu'à ce qu'elle pousse la porte du bureau du directeur. Le souffle court et les joues rouges, la jeune mère contempla successivement sa fille – vêtue de son habituelle salopette vert pomme et de ses habituels bleus aux jambes et bras, une sucette enfoncée dans la bouche – puis le directeur – organisant des papiers avant de soupirer à la vue de la dame. Habituelle question rhétorique qu'a-t-elle encore fait? Le coup de la tueuse à gage lui avait déjà pratiquement valu son entrée au collège – absence et mauvais fond, avait-on dit – et maintenant qu'elle était à quelques années proches d'y entrer, il fallait que la jeune et délicate enfant qu'elle était passe son temps à distribuer des marrons à qui la regardait de travers. Une main enfoncée dans sa poche, et son nouveau jeu à la mode dans une main, elle ignora sa mère dont les yeux rougis ne l'attendrissait plus. Et pour cause : elle avait quitté son père. Ou pas – réellement, quitté. Mais ils ne vivaient plus ensemble et 'pour le bien' de Nonomi, il fallait un vie stable, un pied à terre, et une régularité à l'école afin qu'elle ai un bon avenir. Cela va sans dire, l'enfant n'avait pas été d'accord. Les études ? C'est pour les faibles, disait-elle. Le rock, le vrai, ça ! C'est la vie. Jeune insolente et inconsciente qu'elle était. De toutes façons, à quoi d'autre pouvait-on s'attendre ? Elle avait beau adorer sa mère, elle préférait l'inconstance, la vie de tournée, et son frère peut-être. Et du jour au lendemain, tout lui avait été arraché de force. Il fallait bien qu'elle exprime son désarroi, son mécontentement. Et si intérieurement, elle se savait injuste car elle était témoin des milles efforts de sa mère pour la combler, une autre partie d'elle estimait que c'était le strict minimum pour lui avoir retiré sa si grande quantité de bonheur.
Ses lunettes tombèrent sur son nez, dévoilant ses yeux vides de sentiments. Le temps se stoppa quelques secondes, puis sa mère eut le temps de plaquer ses paumes sur ses oreilles avant d'entendre le cri aiguë transcendant de l'adolescente. Elle jura avoir vu les fenêtres trembler, juste avant que l'enfant se lève et court dans tous les sens, les bras en l'air, montant sur la table basse, le canapé, et menaçant de gober l'écran plat de l'écran. Elle rejeta la tête en arrière et enfonça ses ongles sur son visage, tirant vers le bas en continuant sa crise d'hystérie que sa mère ne chercha même pas à stopper. Mère indigne ? Ou mère habituée, au choix. Ton frère est parti faire sa fac à Séoul et sans un au revoir ! L'enflure. Nonomi songea à y aller à la nage, la rage animant ses nerfs, puis abandonna en se rappelant qu'elle était capable de boire la tasse dans sa propre baignoire. Sa crise dura des heures, à crier, se rouler par terre, s'attacher aux jambes de sa mère voire à menacer d'avaler des légumes jusqu'à ce que mort s'ensuive – parce que les légumes sont un poison toxique déguisé en truc sympa, comme le cheval de troie. Cela dit rien n'y fit. Sa mère était inflexible. La nouvelle collégienne, dût s'asseoir sur le haut du canapé, fixant sa mère des heures sans bouger, à la recherche de la faiblesse qui la ferait céder – sans rien trouver. Puis elle commença une vendetta vaguement stupide, ajoutant sucre et sel en grosse quantité dans tous les plats à sa mère. Pour qu'elle grossisse. Remplaçant ses crèmes éclaircissante par de l'autobronzant. Son shampoing par de la décoloration. Impossible de la faire fléchir. Ainsi Hideki Nonomi changea de cible, attrapant un pigeon dans la rue, elle y attacha une première menace – en vain. Il l'ignorait en plus ? (Ou il ne l'avait pas reçue, à choisir) Vitesse supérieure. Elle entra dans une pièce secrète de la maison et extirpa les magazines érotiques qu'il avait caché. Collant à la place des demoiselles, son visage à lui, elle prit des photos et les envoya par mail cette fois-ci, menaçant de rendre ceci public dans toute sa fac pour qu'il finisse puceau et seul toute sa vie. Échec.
La nipponne était plus calme, plus posée. Sa tristesse l'avait rendue mélancolique, et sa mère se surprenait à la voir regarder le ciel parfois. Reposée. Si ses oreilles ne s'en plaignaient pas, son cœur était lourd à la vue de sa fille changée. Et ce fut probablement grâce au grand jeu d'actrice d'Hideki Nonomi, qui attendait que sa mère soit dans les parages pour jouer la dépressive, que lorsqu'elle demanda à entrer à la Yonsei à son tour, elle n'eut droit à aucune résistance.
About me
Je suis...
yue.
dsl j'aimerai entretenir le mystère. :s (mais je suis un membre unique, donc c'est pas un membre qui essaie de voiler un dc/tc, juré. )
PV pris
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u716][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t4137-nakao-eriko-hideki-nonomi]▼[/url] <taken>SETO AYUMI</taken> ✎ hideko nonomi.
Supprimez le code inutile ♥
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 20:39 Citer EditerSupprimer ergkljelrkgjlekrjg
MON BEBE
comment tu me fait trop la joie dans mon coeur là, je suis trop content t'as refait ma soirée carrément comment j'y croyait trop pas, avoue t'es un super-ninja BIENVENUE SUR LE FORUM MA BEAUTE si t'a sla moindre question surtout harcèle moi omg omg omg omg ptn t'es belle avec ayumi aussi j'doit avouer, t'as des bon gouts comment j'ai envie de te squisher les joues, ma sale petite alien de soeur
MON BEBE
comment tu me fait trop la joie dans mon coeur là, je suis trop content t'as refait ma soirée carrément comment j'y croyait trop pas, avoue t'es un super-ninja BIENVENUE SUR LE FORUM MA BEAUTE si t'a sla moindre question surtout harcèle moi omg omg omg omg ptn t'es belle avec ayumi aussi j'doit avouer, t'as des bon gouts comment j'ai envie de te squisher les joues, ma sale petite alien de soeur
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 20:40 Citer EditerSupprimer
coucou frangine
bienvenue sur le forum
Cet avatar, ca va la changer de tete, j'aime bien
je suis contente que tu aies pris cet avatar
bienvenue sur le forum
Cet avatar, ca va la changer de tete, j'aime bien
je suis contente que tu aies pris cet avatar
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 20:56 Citer EditerSupprimer
- kouji; mais c'est MOI. MIYAVI. MIYAV-- *insert un smiley qui court partout et casse tout autour* get ready je vais refaire toutes les soirées de ta vie. :04: je suis pas un super nin- je traînais, comme ça, wandering lost soul; jme dis "oh tiens" puis "oh les pvs peut-être", j'vois que c'est trop cheaté parce qu'elle a été remise libre aujourd'hui mais I don't give a fuqetit fuq, je dirais bien que je pose mes gros seins sur la table mais j'pense que tu fais un plus gros bonnet que moi, donc. :alex:
méssétoa qui a mis ayumi, obv je me jette dessus tel une fourmis sur la miette de pain insolente qui a décidé qu'elle ne finirait pas dans ta gorge. voilà. sqouishe moi tout c'que tu veux :DD ou presque, faut pas déconner.
j'voulais dire "jtm" en allemand et j'ai capté que je parlais pas un broc d'allemand, alors je vais laisser de l'espace.
kazuya; salut toua, I hope u ready to go down
merci pour ma tête, j'suis passé ni vu ni connu chez la coiffeuse hybride chirurgienne pour avoir un peu plus de style
dankecheun ou un truc comme ça, je sais pas, merci en allemand en tout cas
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 21:08 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur le forum ma grande
Excellent choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
Excellent choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 21:27 Citer EditerSupprimer
hé ouais c'est ton frangin
on dit ich liebe dich en allemand, t'inquiètes viens t'asseoir à côté de moi je t'apprendrais :04: mais ouiii t'arrives comme ça comme une p'tite fée alors que je viens à peine de la remettre en jeu, franchement t'es parfaite. j'ai tellement hâte de voir ce que tu vas nous pondre comme fiche, t'as l'air rigolote tu match trop bien avec le perso j'trouve (c'est un compliment )
des bisous
on dit ich liebe dich en allemand, t'inquiètes viens t'asseoir à côté de moi je t'apprendrais :04: mais ouiii t'arrives comme ça comme une p'tite fée alors que je viens à peine de la remettre en jeu, franchement t'es parfaite. j'ai tellement hâte de voir ce que tu vas nous pondre comme fiche, t'as l'air rigolote tu match trop bien avec le perso j'trouve (c'est un compliment )
des bisous
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 22:15 Citer EditerSupprimer
- jihoon; j'ai toujours bon goût. *émoticone hautain*
mais merci ! c'gentil, j'voulais te trouver un surnom mais en fait on est pas assez proches encore, jle ferais si tu m'offres une sucette
kouji; je note dans un coin de ma tête et j'essaierai de le recaser un jour quand j'activerai la case de mon cerveau intitulée science infuse mais j'l'allume pas souvent
une f- une f- UNE FÉE. *w* clochette. tinkerbell. tink. tinky? tinky winky. non, restons sur la fée. j'aime les fées. j'ai une encyclopédie sur les fées, tu sais ? sur les créatures mystiques, et j'crois bien avoir vu ton prénom qqpart dedans entre cerbères et le kraken mais ils ont dû se planter
ahahahah ben j'espère que je vais pas te décevoir sur la fiche alors TT___TT
נשיקה (ça veut dire bisou en hébreu)
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 22:30 Citer EditerSupprimer
OHHHHHH NOTRE BASSISTE EXCENTRIQUE !!
L'excentricité, dans le bon sens du terme bien entendu Surtout avec ce vava, et ses cheveux de feu, j'aime beaucoup Comment le pv a vite été repris, woooaw... Elle a l'air géééénial hihi
Fiiighting pour la suite, ma belle
L'excentricité, dans le bon sens du terme bien entendu Surtout avec ce vava, et ses cheveux de feu, j'aime beaucoup Comment le pv a vite été repris, woooaw... Elle a l'air géééénial hihi
Fiiighting pour la suite, ma belle
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 23:24 Citer EditerSupprimer
Welcoooome ^^
Nous faudra un lien avec mon TC Ivy vu que ma soeur et ton frère ont copulé un moment hahaha 8D
Courage pour ta fiche :D
Nous faudra un lien avec mon TC Ivy vu que ma soeur et ton frère ont copulé un moment hahaha 8D
Courage pour ta fiche :D
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Re: hideki nonomi (+) 名前のない怪物. | Mer 17 Fév - 23:30 Citer EditerSupprimer
- inha; comme j'aime trop kim jonghyun, c'est abuzed. et dire que j'ignorais que tu étais dans mon groupe! enfin moi dans le tien, whatev, mêlons nous ensemble tel un scoubidou, je ferais la couleur rose et tu seras du jaune et on sera funky as fuq
merci lutin des marais ce fut agréable que vous m'honoriasse de votre présence ok
woori; lequel de mes frères ? le vrai de vrai ou celui en plastique ?
either way, bien sûr, je refuserai jamais un lien
merki pinkie pie
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