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shim aliyyah ❝look ahead, never look back
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shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 16:59 Citer EditerSupprimer
nom : shim. prénom : aliyyah. âge : 20 ans. date et lieu de naissance : vingt-trois décembre mille neuf cent quatre-vingt-quinze. damas, syrie. origines : syriennes et coréennes. nationalité : syrienne. cursus universitaire : troisième année de bio. métier : soigneuse animalière. orientation sexuelle : hétérosexuelle. classe sociale : moyenne, avec son boulot. code du règlement : olaf~ tu veux t'investir ? sango mais j'en connais une qui voulait reproba pour elle, je prends ça au pied de la lettre
Shim Aliyyah
stars can't shine without darkness
HONNÊTE (★★★✰✰) | MÉFIANTE (★★✰✰✰) | NATURELLE (★★★★✰) | IMPULSIVE (★★★★★) | AFFECTUEUSE (★★★✰✰) |
LUNATIQUE (★★★★✰) | ÉNERGIQUE (★✰✰✰✰) | VIOLENTE (★★★★✰) | SOURIANTE (★★★✰✰) | SAUVAGE (★★★★★) |
Rumour has it... Elle aurait disparu pendant deux mois. Disparu est un grand mot, elle est parti deux mois au Brésil, en ne prévenant que Jina, elle n’avait pas envie d’expliquer à tout le monde la raison de son départ. + Elle aurait très mal vécu sa rupture. Faut dire que ça ne s’est pas bien terminé, il l’a largué sans lui donné de raison et il l’a frappé mais ça personne ne le sait. + Elle aurait un don avec les animaux. Peut-être, en tout cas, ils l’adorent et elle les adore, ce qu’elle ose pas dire à voix haute, c’est qu’elle préfère les animaux aux humains. + Elle serait sortie avec un brésilien lors de son séjour. Elle n’est pas sortie avec, pour elle ça a toujours été clair : aucun sentiment dans leur relation, elle avait juste besoin d’oublier son ex. + Elle aurait refusé un job sur place. On lui a proposé de rester à la réserve pour y travailler entant que soigneuse un mois et demi après son arrivé, elle a failli accepter mais finalement, elle est rentrée. + Elle serait très vulgaire. Toujours, elle a pas changé de ce côté-là, sauf que maintenant elle hésite moins avant de trouver son vocabulaire. + Elle serait revenue pour quelqu’un en particulier. Ce n’est que pour lui qu’elle est rentrée mais même si c’est dur pour elle de l’avouer, il a été l’élément déclencheur de son retour. + Elle ne serait pas ravie de voir que Minsoo a pris sa place de vice-présidente. Il ne lui a pas pris, elle l’a laissé sa place puis elle est ravie de voir quelqu’un de solide aux côtés de Jina, c’est juste qu’elle aime bien le taquiner. + Si elle travaille aussi dur à côté de la fac, c’est parce qu’elle veut abandonner ses études. Au contraire, elle travaille dur entant que soigneuse parce qu’elle veut avoir un max d’expérience au moment d’avoir son diplôme pour devenir vétérinaire. + Elle passerait sa vie à la piscine. Depuis qu'elle est revenue, elle passe la plus part de son temps libre là-bas, quand elle nage, elle pense pas puis elle ne fait pas partie des requins pour rien. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Elle est ce soleil dans la vie des gens. Elle est souriante, joyeuse et rayonnante, une grande gamine. Et ce, malgré tous ses souvenirs noirs qu’elle avait rapporté de Syrie. Elle est dynamique, aimante et increvable. Elle a le rire facile et elle est capable de faire rire les gens. Par sa maladresse, par sa manière de partir au quart de tour pour tout et pour rien. Son côté violent amuse bien la galerie sauf quand c’est eux qui s’en prennent une. Parce que oui, elle est violente envers ceux qui le méritent, envers ceux qui vont trop loin. Aliyyah c’est aussi le genre de fille qui s’en fou de ce qu’on peut penser d’elle. Elle est ce qu’elle est et si ça ne plait pas aux autres tant qui pour eux. Elle aime bien qu’on soit honnête avec elle, même si derrière elle peut vous en vouloir un petit moment, parce qu’elle-même considère l’honnêteté comme l’une des qualités les plus importantes. Elle est combattante, elle n’abandonne jamais rien. Son cœur est rempli d’espoir. Parce qu’après tout ce qu’elle a vécu, elle se dit que rien de pire ne peut arriver. Parce que même si elle a vu trop tôt la cruelle réalité du monde, même si elle a su trop vite les horreurs dont étaient capables les hommes, elle garde son âme d’enfant. Celui qui lui fait espérer que la paix reviendra un jour dans le monde. Que le grand amour existe encore, malgré tout. Malgré le fait qu’elle soit incroyablement méfiante. Abandonnée, trahie, elle a trop donné de sa personne auparavant pour recommencer sans essayer de se protéger. Elle essaie de jamais s’attacher émotionnellement parlant, même si elle en est clairement incapable. Parce que pour ça, il faudrait qu’elle reste loin de toutes ces personnes magnifiques qu’elle a rencontré en arrivant en Corée et ça, c’est impossible. |
This is my story
let me reveal my tale
La guerre avait été un grand changement dans sa vie. Trop busque. Trop violent. Trop invraisemblable pour une gamine de quinze ans. Tout avait commencé avec le silence de sa mère, son inquiétude pour elle quand elle partait à l’école, avec l’isolement de son père. Puis les premiers bruits avaient couru entre les murs de l’école. Les premières traces d’inquiétude avaient envahi les visages. Les manifestations avaient commencé et les premiers morts avec. Les coups de feu avaient vite remplacé les rires qui rythmaient sa vie auparavant. La peur avait doucement pris le dessus sur toute autre émotion, bouffant la joie et le bonheur sur son passage. Et l’enfer s’était progressivement installé. La vie avait continué dans cet enfer, malgré les bombardements. Comme si c’était devenu une habitude. Comme les disparitions étaient devenues une habitude. Comme si… la guerre était normale. Elle avait perdu ses amies, sous les bombes et les coups de feu. Elle avait perdu sa mère, dans un attentat à la voiture piégée. Son père avait disparu avec une série de bombardements. Elle avait vu un enfant se vider de son sang dans ses bras. Elle avait détesté son pays. Elle avait haï le monde. Elle, l’orpheline de dix-huit ans, s’était retrouvée seule le cœur manquant d’exploser à chaque bruit, hantée par les fantômes de ceux qu’elle avait vu mourir. Et elle avait bravé les dangers de l’inconnue pour aller en corée, le pays de sa mère. Aussi longtemps et aussi dur que ça avait été, elle l’avait fait.
Ça avait été dur au départ. Tout avait été nouveau pour elle. Il lui avait fallu tout réapprendre. Une nouvelle culture. Une nouvelle langue. Il lui avait fallu apprendre à supporter l’attention qu’on lui portait. Elle la petite syrienne qui a vécu tous les malheurs possibles et qui avait continué à aller à l’université, réussissant même à gagner un an sur les autres. Une étrangère. Un ovni dans cette masse de coréens. Elle avait presque regretté de venir en corée. Puis elle avait intégré les sangos. Elle avait un peu moment à trouver sa place, elle n’avait jamais été très sociable ni très accessible. Mais elle avait trouvé chez eux une nouvelle famille. Ils avaient été là pour elle dans ses moments les plus durs. Jusqu’à qu’elle puisse leur rendre l’appareil en prenant le rôle de vice-président dans lequel elle s’était pleinement épanouie. Elle avait commencé à vivre à fond. Elle avait commencé à vraiment tourner la page. Elle avait repris le sport devenant manager du club de foot de sa fraternité et en se trouvant un talent pour la natation. Surtout, elle avait trouvé des amis, des gens généreux, parfois un peu râleur. Voire même rude. Mais des gens qui l’avaient soutenu et accompagné, et après toute la solitude qu’elle avait ressenti auparavant, ça lui avait fait le plus grand bien. Et elle avait trouvé l’amour. Le premier et elle s’était investi corps et âme dans leur relation. Elle lui avait donné tout son amour. Elle lui avait offert son corps. Et tout avait basculé du jour au lendemain.
C’est après un message anonyme disant que son petit ami l’avait trompé, qu’elle avait débarqué chez lui. Elle lui avait demandé la vérité et il lui avait donné. Elle avait voulu des explications qu’il n’était pas en mesure de lui donner à priori. Comment était-il seulement capable de lui faire ça à elle ? Lui qui avait été le premier et le seul à qui elle avait donné son cœur et son corps. Mais elle n’était pas du genre à abandonner, alors elle avait continué à insister en hurlant et en pleurant. Peut-être qu’elle aurait dû s’arrêter. Alors il ne serait pas énervé à son tour. Peut-être qu’alors il ne l’aurait pas frappé. Ils avaient été tous les deux aussi choqués l’un que l’autre de cet acte. Ce n’était pas son genre, pourtant il l’avait fait. La syrienne avait mis quelques minutes à s’en remettre puis elle avait pris toutes ses affaires, le surveillant du coin de l’œil, et elle était partie sans un mot. Il y a des femmes qui pardonnent tout par amour. Elle, elle était incapable de pardonner un homme qui disait l’aimer après avoir levé la main sur elle. Elle était rentrée au dortoir en courant encore en état de choc. Elle y avait retrouvé Jina et elle avait fini son chemin et sa soirée dans ses bras à pleurer. Une heure plus tard, avec l’accord de sa présidente, elle avait pris la décision d’accepter l’offre d’un de ses professeurs de l’accompagner dans une réserve du brésil pour un stage. Et une semaine plus tard, elle avait fait ses valises et elle avait quitté Jina à l’aéroport après lui avoir fait promettre de ne rien dire à personne. Elle était partie sans un au revoir, sans une explication.
Un mois au brésil, c’était ce qui était prévu. Elle y avait retrouvé une certaine sérénité qu’elle n’avait plus en corée. Cette éloignement lui avait fait le plus grand bien, et ce, dès son arrivée sur le sol brésilien. Un nouveau paysage. Un nouvel air. Des nouvelles têtes. Elle y avait rencontrée des gens aussi passionnés qu’elle et qui étaient prêts à tout pour aider les animaux. Un accueil fabuleux pour eux qui ne venaient les accompagner dans leur démarche qu’un petit mois. Quelqu’un pour lui faire oublier sa douleur, l’histoire de plusieurs nuits. Pas de sentiments, plus de sentiments. Elle s’y était sentie bien. À sa place. Et surtout, pour la première fois de sa vie, elle avait eu l’impression qu’avoir être utile. Si bien, que lorsque son professeur et les autres étaient rentrés au bout d’un mois, elle ne les avait pas suivis. Elle avait décidé de rester encore un peu et peut-être définitivement après qu’on lui ait proposé un poste fixe à la réserve. Elle avait longuement hésité, se laissant quelques semaines pour y réfléchir. Puis il y avait eu ce message de Hwanbaek. Celui qui l’avait perturbée pendant des jours. Celui auquel elle n’avait jamais répondu. Celui qui avait bien énervé son histoire de plusieurs soirs, bien qu’elle avait l’impression d’avoir été clair sur la nature de leur relation dès le début. Mais par-dessus tout, celui qui lui avait fait faire ses valises pour rentrer en corée. Et elle avait pris l’avion une semaine après pour rentrer. Juste le temps que l’administration lui trouve un vol et lui valide son stage de deux mois.
Elle n’était jamais descendue d’un avion aussi vite. Et malgré la fatigue qui lui pesait sur les épaules après ses longues heures de vol, elle avait presque couru pour récupérer sa valise. Et en sortir un pull, parce que la température était bien plus élevée au brésil. Elle était arrivé à grands pas à la zone des arrivés cherchant des yeux Jina et son nouveau vice-président. Jina avait voulu garder le mystère quand elle lui avait annoncé qu’elle viendrait la chercher à l’aéroport avec le nouveau vice-président des sangos. La seule qu’elle avait réussi à en tirer c’était que c’était un homme. Et elle avait du mal à trouver le sango qui avait pu la remplacer. C’était la raison pour laquelle elle était si pressée, elle avait hâte de voir la tête du son remplaçant. Et bien sûr, elle avait d’autant plus hâte de revoir sa chère présidente. Lorsqu’elle les avait enfin repérés, elle avait quelques secondes à reconnaître la personne de dos aux côtés de Jina. Minsoo. Ça l’avait fait rire sur le coup, parce que le duo Jina/Minsoo à la présidence, ça promettait de l’animation. Trente secondes après elle avait lâché sa valise au milieu du grand hall pour courir vers ses deux camarades. Elle avait profité de leur surprise pour sauter sur le nouveau président. Entourant sa taille de ses jambes et son cou de ses bras, histoire qu’il ne l’envoie pas voler au sol. Elle avait regardé Jina en rigolant. « Alors c’est lui ta nouvelle licorne ? Sympaaa. ». Puis elle les avait suivi jusqu’à la voiture en envoyant un message à Hwanbaek. Je suis rentrée. C'était bon de rentrer à la maison.
Ça avait été dur au départ. Tout avait été nouveau pour elle. Il lui avait fallu tout réapprendre. Une nouvelle culture. Une nouvelle langue. Il lui avait fallu apprendre à supporter l’attention qu’on lui portait. Elle la petite syrienne qui a vécu tous les malheurs possibles et qui avait continué à aller à l’université, réussissant même à gagner un an sur les autres. Une étrangère. Un ovni dans cette masse de coréens. Elle avait presque regretté de venir en corée. Puis elle avait intégré les sangos. Elle avait un peu moment à trouver sa place, elle n’avait jamais été très sociable ni très accessible. Mais elle avait trouvé chez eux une nouvelle famille. Ils avaient été là pour elle dans ses moments les plus durs. Jusqu’à qu’elle puisse leur rendre l’appareil en prenant le rôle de vice-président dans lequel elle s’était pleinement épanouie. Elle avait commencé à vivre à fond. Elle avait commencé à vraiment tourner la page. Elle avait repris le sport devenant manager du club de foot de sa fraternité et en se trouvant un talent pour la natation. Surtout, elle avait trouvé des amis, des gens généreux, parfois un peu râleur. Voire même rude. Mais des gens qui l’avaient soutenu et accompagné, et après toute la solitude qu’elle avait ressenti auparavant, ça lui avait fait le plus grand bien. Et elle avait trouvé l’amour. Le premier et elle s’était investi corps et âme dans leur relation. Elle lui avait donné tout son amour. Elle lui avait offert son corps. Et tout avait basculé du jour au lendemain.
C’est après un message anonyme disant que son petit ami l’avait trompé, qu’elle avait débarqué chez lui. Elle lui avait demandé la vérité et il lui avait donné. Elle avait voulu des explications qu’il n’était pas en mesure de lui donner à priori. Comment était-il seulement capable de lui faire ça à elle ? Lui qui avait été le premier et le seul à qui elle avait donné son cœur et son corps. Mais elle n’était pas du genre à abandonner, alors elle avait continué à insister en hurlant et en pleurant. Peut-être qu’elle aurait dû s’arrêter. Alors il ne serait pas énervé à son tour. Peut-être qu’alors il ne l’aurait pas frappé. Ils avaient été tous les deux aussi choqués l’un que l’autre de cet acte. Ce n’était pas son genre, pourtant il l’avait fait. La syrienne avait mis quelques minutes à s’en remettre puis elle avait pris toutes ses affaires, le surveillant du coin de l’œil, et elle était partie sans un mot. Il y a des femmes qui pardonnent tout par amour. Elle, elle était incapable de pardonner un homme qui disait l’aimer après avoir levé la main sur elle. Elle était rentrée au dortoir en courant encore en état de choc. Elle y avait retrouvé Jina et elle avait fini son chemin et sa soirée dans ses bras à pleurer. Une heure plus tard, avec l’accord de sa présidente, elle avait pris la décision d’accepter l’offre d’un de ses professeurs de l’accompagner dans une réserve du brésil pour un stage. Et une semaine plus tard, elle avait fait ses valises et elle avait quitté Jina à l’aéroport après lui avoir fait promettre de ne rien dire à personne. Elle était partie sans un au revoir, sans une explication.
Un mois au brésil, c’était ce qui était prévu. Elle y avait retrouvé une certaine sérénité qu’elle n’avait plus en corée. Cette éloignement lui avait fait le plus grand bien, et ce, dès son arrivée sur le sol brésilien. Un nouveau paysage. Un nouvel air. Des nouvelles têtes. Elle y avait rencontrée des gens aussi passionnés qu’elle et qui étaient prêts à tout pour aider les animaux. Un accueil fabuleux pour eux qui ne venaient les accompagner dans leur démarche qu’un petit mois. Quelqu’un pour lui faire oublier sa douleur, l’histoire de plusieurs nuits. Pas de sentiments, plus de sentiments. Elle s’y était sentie bien. À sa place. Et surtout, pour la première fois de sa vie, elle avait eu l’impression qu’avoir être utile. Si bien, que lorsque son professeur et les autres étaient rentrés au bout d’un mois, elle ne les avait pas suivis. Elle avait décidé de rester encore un peu et peut-être définitivement après qu’on lui ait proposé un poste fixe à la réserve. Elle avait longuement hésité, se laissant quelques semaines pour y réfléchir. Puis il y avait eu ce message de Hwanbaek. Celui qui l’avait perturbée pendant des jours. Celui auquel elle n’avait jamais répondu. Celui qui avait bien énervé son histoire de plusieurs soirs, bien qu’elle avait l’impression d’avoir été clair sur la nature de leur relation dès le début. Mais par-dessus tout, celui qui lui avait fait faire ses valises pour rentrer en corée. Et elle avait pris l’avion une semaine après pour rentrer. Juste le temps que l’administration lui trouve un vol et lui valide son stage de deux mois.
Elle n’était jamais descendue d’un avion aussi vite. Et malgré la fatigue qui lui pesait sur les épaules après ses longues heures de vol, elle avait presque couru pour récupérer sa valise. Et en sortir un pull, parce que la température était bien plus élevée au brésil. Elle était arrivé à grands pas à la zone des arrivés cherchant des yeux Jina et son nouveau vice-président. Jina avait voulu garder le mystère quand elle lui avait annoncé qu’elle viendrait la chercher à l’aéroport avec le nouveau vice-président des sangos. La seule qu’elle avait réussi à en tirer c’était que c’était un homme. Et elle avait du mal à trouver le sango qui avait pu la remplacer. C’était la raison pour laquelle elle était si pressée, elle avait hâte de voir la tête du son remplaçant. Et bien sûr, elle avait d’autant plus hâte de revoir sa chère présidente. Lorsqu’elle les avait enfin repérés, elle avait quelques secondes à reconnaître la personne de dos aux côtés de Jina. Minsoo. Ça l’avait fait rire sur le coup, parce que le duo Jina/Minsoo à la présidence, ça promettait de l’animation. Trente secondes après elle avait lâché sa valise au milieu du grand hall pour courir vers ses deux camarades. Elle avait profité de leur surprise pour sauter sur le nouveau président. Entourant sa taille de ses jambes et son cou de ses bras, histoire qu’il ne l’envoie pas voler au sol. Elle avait regardé Jina en rigolant. « Alors c’est lui ta nouvelle licorne ? Sympaaa. ». Puis elle les avait suivi jusqu’à la voiture en envoyant un message à Hwanbaek. Je suis rentrée. C'était bon de rentrer à la maison.
About me
Je suis...
illo
bon bah c'est moi je pense que certains s'en doutaient après ma demande de dc et ma réservation pour joy. mais voilà, après maintes réclamations (je crois qu'on sait maintenant que mon taux de résistance est proche de zéro ), ALIYYAH LE RETOUR :bago:
Célébrité prise
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[url=http://www.shaketheworld.net/u747][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>park soo young ( joy, red velvet)</taken> ✎ shim aliyyah
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 17:00 Citer EditerSupprimer
KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ♥♥♥♥
Oui c'est tout. ♥
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Hwang Bomi
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Crédits : moonaetics (avatar) ; drake (signature)
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 17:09 Citer EditerSupprimer
just take my hand and follow me
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something wrong with us
Imagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 18:18 Citer EditerSupprimer
cette fois promis, si tu veux bien de moi, on le vivra notre truc de ouf psk t'es ma bébé quand même
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 20:15 Citer EditerSupprimer
OMG MAIS ILLO T'ES UNE GIROUETTE WSH :bago:
Mais je suis content que tu reprennes Aliyyah, cette fois-ci on se trouvera un super lien ok ?
Je te fais des bisous
Mais je suis content que tu reprennes Aliyyah, cette fois-ci on se trouvera un super lien ok ?
Je te fais des bisous
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 20:34 Citer EditerSupprimer
re chez toi beauté coeur
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 20:36 Citer EditerSupprimer
rebienvenue a la maison
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Ven 18 Mar - 22:39 Citer EditerSupprimer
lena ; ça a l'air de te faire plaisir en tout cas, je suis contente que ce soit le cas
lolo ( ) ;
luan ; faudra qu'on papote de tout ça
tragie ; oui je sais :hansa: mais c'est parce que je suistrès bien entourée de trois vents très perturbateurs
je suis toute à toi pour un super lien
spleen ; merci
inu ; j'ai été rapide n'est-ce pas ? merci
lolo ( ) ;
luan ; faudra qu'on papote de tout ça
tragie ; oui je sais :hansa: mais c'est parce que je suis
je suis toute à toi pour un super lien
spleen ; merci
inu ; j'ai été rapide n'est-ce pas ? merci
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Re: shim aliyyah ❝look ahead, never look back | Sam 19 Mar - 1:28 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous ! courage pour ta fiche =)
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