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Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant
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Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 0:34
nom : Ito. prénom : Nobu âge : 28 ans. date et lieu de naissance : ici. origines : Mes ancetres viennent du Japon du côté du paternel. Ma mère est chinoise. Je suis né en Amérique. nationalité : Américaine. cursus universitaire : /. métier : ex-militaire dans les marines, déserteur orientation sexuelle : Les boobs l'ont trop manqué pendant son service militaire 
classe sociale : mmmmh ... Je dirais.... pauvre ? Deux ans que je suis sur les routes juste avec mon sac à dos comme seul compagnon. code du règlement : ici. tu veux t'investir ? citizen un jour, citiz toujours 
Obéissance. Justice. Courage. C’était dans cette optique qu’un jeune garçon du nom de Nobu avait grandi au milieu d’une famille où l’amour manquait parfois, où les règles étaient omniprésentes, où le patriotisme était de mise. Il n’était pas toujours évident pour un enfant de trouver ses marques, ses repères au milieu de parents tous deux avec une carrière militaire. Autant dire que sa vie était déjà toute tracée avant sa naissance. Il avait grandi au milieu des dessins animées représentant ses super héros préfères, reflétant ce à quoi il inspirait être plus tard. Un super héros qui sauveraient les justes, mais surtout son pays et sa patrie. Son père avait de grandes ambitions pour lui. Il voyait déjà son fils le suivre dans sa carrière. Il le voyait monter les échelons un à un. Il le voyait réussir. Il voulait ce qui avait de meilleur pour lui. Il voulait qu’il soit au-dessus de tous, que tous reconnaissance son mérite et sa bravoure. Une fierté purement paternelle. Il y avait sans doute un peu de cette sensation de vivre par procuration au travers de sa descendance aussi. Rien de bien méchant en théorie. Pourtant, il avait bien failli le briser à jamais à force de vouloir le pousser toujours plus loin alors qu’il n’était pas fait pour cela.
En parfait fils, Nobu grandit en accomplissant les ambitions de son père une à une. Etape par étape. Il commença tout en dessous de l’échelle pour grimper chaque échelon, voulant mériter ses titres par ses propres moyens et non pas par de quelconques pistons de son paternel, même si certains s’obstinaient à dire le contraire. Les débuts avaient été durs. Il s’était bien gardé de dire de qui il était l’enfant. Il ne voulait pas être craint parce qu’on le savait fils du général, mais il voulait être apprécié pour ses compétences. Lors des premiers combats, il se fit rétamer. Il était vu comme le plus frêle et le plus fragile. Et Nobu, ce n’était pas vraiment le genre à se laisser démonter si facilement. Il lui aura fallu presque un an pour gagner le respect de tous dans sa compagnie. Fini le petit nouveau appelé la crevette. Il avait pris du muscle. Il avait appris à se battre. Il s’était entraîné, encore et encore. Arts du combat. Maniement des armes blanches comme les armes à feu. Il était devenu un des meilleurs éléments. Et très vite, il était entré dans l’élite. La crème de la crème. Les marines.
Il avait réussi. Il était arrivé là où son père avait toujours voulu qu’il soit. Il était devenu haut gradé tout comme lui. Il était sa fierté. Sa réussite. Dans la foulée, il était devenu le modèle de son petit frère de dix ans son cadet. Lui aussi, il voulait devenir comme son héros malgré son corps d’enfant peu adapté au combat. Il prévoyait déjà d’entrer à l’armée à son tour, pour suivre les traces de ses ainés. Au contraire de Nobu, on lui avait laissé le choix. Il n’avait eu aucune obligation, car son grand frère les avait déjà prises pour lui. Il avait juste à tracer son propre chemin qui, d’après le concerné, était le même que Nobu.
La même année, il demanda en mariage sa petite amie avec qui il était depuis cinq ans. Il l’aimait comme un dingue et auprès d’elle, il pouvait être celui qu’il avait toujours été. Le Nobu franc et souriant, loin du général Nobu sans peur et sans reproche. Il avait tout pour être heureux. Une fiancée avec qui il allait se marier dans l’année. Une carrière militaire fleurissante. Des parents fiers de lui. Des amis à la hauteur de sa grandeur. Il ne manquait plus qu’une descendante. Pourtant, il y avait une ombre au tableau. Etre un Marines, ce n’était pas juste un titre pour faire joli. Ca impliquait d’être envoyé en mission ici et là pour divers choses. Parfois graves, parfois moins. A chaque fois, son équipe était revenue victorieuse d’une façon ou d’une autre. Sauf que cette fois, tout allait changer.
Il allait faire face à une situation à laquelle il restait démuni. Il avait été envoyé en Afghanistan pour délivrer un village pris sous la coupe du dictateur en place à l’époque. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était de se faire tirer dessus par un enfant, une arme à la main. Le regard vide de sens, le petit le fixait avec une rage qu’il n’aurait pas dû connaitre à son âge et l’avait mitraillé. Il s’était pris une balle dans l’épaule gauche, mais rien d’irréparable. Il avait eu beaucoup de chance au fond. Si l’arme en question n’avait pas été bien trop grande pour le corps qui l’utilisait et s’il avait été tenu par une personne plus expérimenté, sans doute serait-il mort aujourd’hui. Pourtant, il n’avait pu se résoudre à tirer. Il ne pouvait s’empêcher de penser que ca pourrait être son enfant à cette place si il en avait un. S’il en avait voulu un jour, c’était bel et bien terminé. Il n’arrivait toujours pas à croire, malgré toutes les horreurs qu’il avait déjà vu, que l’on pouvait envoyer un pauvre bambin à la boucherie sans aucun état d’âme. Il écarquillait les yeux quand celui-ci s’écroulait à terre, le regard vide, du sang coulant le long de son crâne. Il avait été touché d’une balle en pleine tête. Et il n’avait pas su bouger. Trop médusé par ce qu’il venait de voir. A cause de son hésitation, ca a couté la vie d’un de ses hommes qui le protégeait de son corps. Il se prit une balle pour lui. Il était mort sur le coup malgré les efforts de Nobu pour le faire revenir. Il était mort en héros pour sa patrie, pour son pays, pour un supérieur qui n’avait pas fait son boulot convenablement.
Nobu, il n’était pas fait pour voir les crimes de l’humanité. Il n’était pas fait pour voir la guerre et les horribles conséquences qui en découlaient. Il n’était pas préparé pour tuer. Ce n’était pas une machine de guerre, Nobu. C’était un jeune homme qui inspirait à sauver les justes et punir les méchants depuis qu’il était enfant. Les super héros étaient ses modèles. Il pensait que lui aussi sauverait son pays. Comme son père lui avait dit. Comme son grand-père l’avait fait. La vérité était bien autre. Bien plus cruelle. Il n’était pas prêt à ca. Il n’était pas fait pour ca. Un homme au cœur tendre, ca ne survit pas sur un champ de bataille. Sa meurt pour sa patrie. Ca crève en abandonnant ses idéaux face aux ordres donnés. Ca meurt l’âme meurtrit.
Ce jour-là, le Nobu qu’on avait toujours connu était mort. Jusque-là, il avait accepté de mettre des œillères et d’exécuter les ordres sans broncher, mais ca avait été la goutte de trop. Il avait pris conscience que sa vie entière avait été bercé d’illusion, lui montrer que le côté joli de la chose et non la vérité de la dure réalité. Il avait pris la décision que ca ne pouvait plus continuer. S’il continuait d’arpenter ce chemin qui n’était pas le sien, il allait y laisser bien plus que sa peau. Sa raison d’être deviendrait insignifiante et il ne se reconnaissait plus. Et la seule chose qui lui vint à l’esprit, claire comme de l’eau de roche, c’était de partir simplement. Il se laissait pour mort sur ce champ de bataille, désertant sa nation. Il partit sans se retourner. Son passé restant derrière lui. Il tournait une page de sa vie sans jamais revenir dessus…
Deux ans. Deux ans s’était écoulés depuis le massacre. Nobu avait retrouvé un peu de sa légèreté et de sa gaieté loin de toutes ces horreurs. Il avait arpenté l’Europe de long et en large passant par la France, la Belgique, L’Allemagne, L’Italie et j’en passais. Un simple sac à dos avec lui, juste le stricte nécessaire pour survivre, il déambulait de ville en ville. Il découvrait le monde, faisait des rencontres inoubliables. Il faisait du porte à porte pour trouver un logement, juste de quoi dormir une nuit. Il faisait de petits boulots pas ci par là pour gagner de quoi manger. Il vivait le jour, le jour. Il n’avait plus aucune attache. Il s’était trouvé. Il avait trouvé la place qui lui était destiné. Et puis, aujourd’hui, il avait décidé de mettre les pieds pour la première fois en Corée. Il voulait en savoir plus sur une de ses multiples origines. Il ne savait pas pour combien de temps il serait là, ni ce qu’il allait y faire, et encore moi qui il allait y rencontrer. Seul le futur le lui dirait …
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Ito Nobu
Quand l'humanité redeviendra ce qu'elle était, je redeviendrais moi-même.
PROTECTEUR (★★★✰✰) | COMBATTIF (★★★✰✰) | DOUX (★★★✰✰) | CURIEUX (★★★✰✰) | SEDUCTEUR (★★★✰✰) |
SOLITAIRE (★★★★✰) | REFELCHI (★★★✰✰) | MYSTERIEUX (★★★✰✰) | BIENVEILLANT (★★★✰✰) | BON VIVRE (★★★✰✰) |
Rumour has it... il avait une vie parfaite, celle que tous les américains revent d'avoir, mais il a tout plaqué. (V. Il a cru devenir fou suite à son envoi en Afghanistan lors d'une mission) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Nobu, comment pouvoir définir un tel homme ! Comme la plupart des Américains, il avait été élevé dans un sentiment de patriotisme profond. Sa patrie, son pays. Quoi de plus important ? La droitesse, la justice et le courage étaient ses mots d’ordre. Et il a toujours agit en conséquence. Il croyait en un monde meilleur, il était convaincu qu’il pourrait changer le monde, ou du moins, combattre pour sa patrie et sauver les justes. Il n’avait jamais délogé à une règle. Il était le parfait petit soldat, exécutant chaque mission qu’il lui était donné. Il avait aussi cette prestance qui faisait qu’on n’avait pas envie de discuter quand il avait décidé quelque chose. Il avait un certain charisme qui lui donnait le rôle de leader naturellement. Détermination et obstination faisait de lui un combattant redoutable. Il devenait difficile de l’arrêter quand il avait un but précis à atteindre ou pris une décision. Il allait toujours jusqu’au bout, quoi qu’il en coutait. Pourtant, Nobu, c’était un idéaliste. Rien avoir avec un tueur ou un psychopathe. Il avait une force de caractère incroyable, mais pas assez dur, pas assez froid, pas assez dénué de sentiment pour abattre de sang-froid. Oh, du sang froid, il en avait à revendre ! Il était patient, très patient. Il avait appris à faire face aux situations de stress intenses et à rester calmer. Pourtant, face à la cruauté dont il avait était témoin, il n’a pas tenu. Il a fléchi. Et il a sombré… Tout ce dont il avait cru jusqu’à aujourd’hui était en chute libre. Il avait trop bon cœur. Il voulait toujours faire de son mieux pour son prochain. Bienveillant et protecteur, il était du genre à défendre le pauvre et l’orphelin. C’était sa faiblesse. Ce qui lui faisait défaut pour une carrière militaire parfaite. Ce trait de caractère était à double tranchant, car c’était aussi ce qu’appréciait le plus son entourage. C’était quelqu’un de confiance sur qui on pouvait compter. Il aimait sans compter et sans rien attendre en retour. Il était sans prise de tete et facile à vivre. Il aimait les moments volés au quotidien et vivait comme si il pouvait mourir demain. Il croquait la vie à pleine dent. L’espoir d’un monde meilleur lui donnait des ailes. Il avait le sourire facile, Nobu. Un jeune homme des rêves plein la tête qui pensait pouvoir rendre le monde meilleur par des actes de bonté et de générosité. Il a vite déchanté. Et malgré tout, il croit toujours. Il croit toujours que l’humanité à quelque chose de bon en lui … |
This is my story
citation de ton choix
Obéissance. Justice. Courage. C’était dans cette optique qu’un jeune garçon du nom de Nobu avait grandi au milieu d’une famille où l’amour manquait parfois, où les règles étaient omniprésentes, où le patriotisme était de mise. Il n’était pas toujours évident pour un enfant de trouver ses marques, ses repères au milieu de parents tous deux avec une carrière militaire. Autant dire que sa vie était déjà toute tracée avant sa naissance. Il avait grandi au milieu des dessins animées représentant ses super héros préfères, reflétant ce à quoi il inspirait être plus tard. Un super héros qui sauveraient les justes, mais surtout son pays et sa patrie. Son père avait de grandes ambitions pour lui. Il voyait déjà son fils le suivre dans sa carrière. Il le voyait monter les échelons un à un. Il le voyait réussir. Il voulait ce qui avait de meilleur pour lui. Il voulait qu’il soit au-dessus de tous, que tous reconnaissance son mérite et sa bravoure. Une fierté purement paternelle. Il y avait sans doute un peu de cette sensation de vivre par procuration au travers de sa descendance aussi. Rien de bien méchant en théorie. Pourtant, il avait bien failli le briser à jamais à force de vouloir le pousser toujours plus loin alors qu’il n’était pas fait pour cela.
En parfait fils, Nobu grandit en accomplissant les ambitions de son père une à une. Etape par étape. Il commença tout en dessous de l’échelle pour grimper chaque échelon, voulant mériter ses titres par ses propres moyens et non pas par de quelconques pistons de son paternel, même si certains s’obstinaient à dire le contraire. Les débuts avaient été durs. Il s’était bien gardé de dire de qui il était l’enfant. Il ne voulait pas être craint parce qu’on le savait fils du général, mais il voulait être apprécié pour ses compétences. Lors des premiers combats, il se fit rétamer. Il était vu comme le plus frêle et le plus fragile. Et Nobu, ce n’était pas vraiment le genre à se laisser démonter si facilement. Il lui aura fallu presque un an pour gagner le respect de tous dans sa compagnie. Fini le petit nouveau appelé la crevette. Il avait pris du muscle. Il avait appris à se battre. Il s’était entraîné, encore et encore. Arts du combat. Maniement des armes blanches comme les armes à feu. Il était devenu un des meilleurs éléments. Et très vite, il était entré dans l’élite. La crème de la crème. Les marines.
Il avait réussi. Il était arrivé là où son père avait toujours voulu qu’il soit. Il était devenu haut gradé tout comme lui. Il était sa fierté. Sa réussite. Dans la foulée, il était devenu le modèle de son petit frère de dix ans son cadet. Lui aussi, il voulait devenir comme son héros malgré son corps d’enfant peu adapté au combat. Il prévoyait déjà d’entrer à l’armée à son tour, pour suivre les traces de ses ainés. Au contraire de Nobu, on lui avait laissé le choix. Il n’avait eu aucune obligation, car son grand frère les avait déjà prises pour lui. Il avait juste à tracer son propre chemin qui, d’après le concerné, était le même que Nobu.
La même année, il demanda en mariage sa petite amie avec qui il était depuis cinq ans. Il l’aimait comme un dingue et auprès d’elle, il pouvait être celui qu’il avait toujours été. Le Nobu franc et souriant, loin du général Nobu sans peur et sans reproche. Il avait tout pour être heureux. Une fiancée avec qui il allait se marier dans l’année. Une carrière militaire fleurissante. Des parents fiers de lui. Des amis à la hauteur de sa grandeur. Il ne manquait plus qu’une descendante. Pourtant, il y avait une ombre au tableau. Etre un Marines, ce n’était pas juste un titre pour faire joli. Ca impliquait d’être envoyé en mission ici et là pour divers choses. Parfois graves, parfois moins. A chaque fois, son équipe était revenue victorieuse d’une façon ou d’une autre. Sauf que cette fois, tout allait changer.
Il allait faire face à une situation à laquelle il restait démuni. Il avait été envoyé en Afghanistan pour délivrer un village pris sous la coupe du dictateur en place à l’époque. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était de se faire tirer dessus par un enfant, une arme à la main. Le regard vide de sens, le petit le fixait avec une rage qu’il n’aurait pas dû connaitre à son âge et l’avait mitraillé. Il s’était pris une balle dans l’épaule gauche, mais rien d’irréparable. Il avait eu beaucoup de chance au fond. Si l’arme en question n’avait pas été bien trop grande pour le corps qui l’utilisait et s’il avait été tenu par une personne plus expérimenté, sans doute serait-il mort aujourd’hui. Pourtant, il n’avait pu se résoudre à tirer. Il ne pouvait s’empêcher de penser que ca pourrait être son enfant à cette place si il en avait un. S’il en avait voulu un jour, c’était bel et bien terminé. Il n’arrivait toujours pas à croire, malgré toutes les horreurs qu’il avait déjà vu, que l’on pouvait envoyer un pauvre bambin à la boucherie sans aucun état d’âme. Il écarquillait les yeux quand celui-ci s’écroulait à terre, le regard vide, du sang coulant le long de son crâne. Il avait été touché d’une balle en pleine tête. Et il n’avait pas su bouger. Trop médusé par ce qu’il venait de voir. A cause de son hésitation, ca a couté la vie d’un de ses hommes qui le protégeait de son corps. Il se prit une balle pour lui. Il était mort sur le coup malgré les efforts de Nobu pour le faire revenir. Il était mort en héros pour sa patrie, pour son pays, pour un supérieur qui n’avait pas fait son boulot convenablement.
Nobu, il n’était pas fait pour voir les crimes de l’humanité. Il n’était pas fait pour voir la guerre et les horribles conséquences qui en découlaient. Il n’était pas préparé pour tuer. Ce n’était pas une machine de guerre, Nobu. C’était un jeune homme qui inspirait à sauver les justes et punir les méchants depuis qu’il était enfant. Les super héros étaient ses modèles. Il pensait que lui aussi sauverait son pays. Comme son père lui avait dit. Comme son grand-père l’avait fait. La vérité était bien autre. Bien plus cruelle. Il n’était pas prêt à ca. Il n’était pas fait pour ca. Un homme au cœur tendre, ca ne survit pas sur un champ de bataille. Sa meurt pour sa patrie. Ca crève en abandonnant ses idéaux face aux ordres donnés. Ca meurt l’âme meurtrit.
Ce jour-là, le Nobu qu’on avait toujours connu était mort. Jusque-là, il avait accepté de mettre des œillères et d’exécuter les ordres sans broncher, mais ca avait été la goutte de trop. Il avait pris conscience que sa vie entière avait été bercé d’illusion, lui montrer que le côté joli de la chose et non la vérité de la dure réalité. Il avait pris la décision que ca ne pouvait plus continuer. S’il continuait d’arpenter ce chemin qui n’était pas le sien, il allait y laisser bien plus que sa peau. Sa raison d’être deviendrait insignifiante et il ne se reconnaissait plus. Et la seule chose qui lui vint à l’esprit, claire comme de l’eau de roche, c’était de partir simplement. Il se laissait pour mort sur ce champ de bataille, désertant sa nation. Il partit sans se retourner. Son passé restant derrière lui. Il tournait une page de sa vie sans jamais revenir dessus…
Deux ans. Deux ans s’était écoulés depuis le massacre. Nobu avait retrouvé un peu de sa légèreté et de sa gaieté loin de toutes ces horreurs. Il avait arpenté l’Europe de long et en large passant par la France, la Belgique, L’Allemagne, L’Italie et j’en passais. Un simple sac à dos avec lui, juste le stricte nécessaire pour survivre, il déambulait de ville en ville. Il découvrait le monde, faisait des rencontres inoubliables. Il faisait du porte à porte pour trouver un logement, juste de quoi dormir une nuit. Il faisait de petits boulots pas ci par là pour gagner de quoi manger. Il vivait le jour, le jour. Il n’avait plus aucune attache. Il s’était trouvé. Il avait trouvé la place qui lui était destiné. Et puis, aujourd’hui, il avait décidé de mettre les pieds pour la première fois en Corée. Il voulait en savoir plus sur une de ses multiples origines. Il ne savait pas pour combien de temps il serait là, ni ce qu’il allait y faire, et encore moi qui il allait y rencontrer. Seul le futur le lui dirait …
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 0:37
Putains. T'es trop canon. J'ai tout mon corps qui frétille. Ça fait mouillez ma culotte :(
Rebienvenu encoooooooore
Tu es magnifique
Amuse-toi bien avec ce nouveau compte
Rebienvenu encoooooooore
Tu es magnifique
Amuse-toi bien avec ce nouveau compte
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 0:50 
Ok j'arrête avec ça
bref, dieu est parmi nous.
re-cou-cou
Ok j'arrête avec ça
bref, dieu est parmi nous.
re-cou-cou
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 1:03
Graouh tant de virilité ça me plait
Recoucou dans le coin inu de moi
Bon courage pour cette nouvelle fiche
Recoucou dans le coin inu de moi
Bon courage pour cette nouvelle fiche
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 2:22
bb : j'aime quand je te fais mouiller dans ta culotte, baby 
Jinette : tu
quand tu veux, cherie
tragie : content que ma virilité te plaise tragie de moi
Nana : croques donc ma beauté, et goutes moi cette douceur
Jinette : tu
quand tu veux, cherie tragie : content que ma virilité te plaise tragie de moi
Nana : croques donc ma beauté, et goutes moi cette douceur
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 8:41
re la grande folle 
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 11:14
reeeeeeee inu
après des heures et des heures d'indécisions avataresque te voilà enfin
hâte de voir ce nobu
après des heures et des heures d'indécisions avataresque te voilà enfin
hâte de voir ce nobu
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Re: Ito Nobu - un sourire sur un visage d'enfant | Dim 10 Avr 2016 - 22:33
REBIENVENUE MA INU D'AMOUR JE T'AIME ET OMG TU SAIS QUE GAO IL A UN SALE EFFET SUR MON SYSTEME REPRODUCTIF ALORS LA SERIEUX JPP IL EST TROP BEAU :hansa: 
Amuse toi bien avec ton nouveau compte tout neuf, j'ai hâte de lire la suite de ta fiche et de faire des cochonneries avec toi PARCE QUE OUI IL Y AURA COCHONNERIE C'EST OBLIGEY 
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