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Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde
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Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 0:28 Citer EditerSupprimer
nom : Aley Lee. Aley de naissance, Lee d'adoption, il a repris son vrai nom lorsqu'il s'est fait émanciper prénom : Moon Kyu, moncul pour les intimes âge : 20 ans date et lieu de naissance : le 18 octobre 1995 en Tasmanie origines : Australo-coréen nationalité : Australien cursus universitaire : 2ième année de médecine, il vient de redoubler métier : Serveur au Ladies Paradies. orientation sexuelle : Il n'aime personne. classe sociale : Pauvre. code du règlement : It's like a baby unicorn. tu veux t'investir ? graou
Aley Lee Moon Kyu
The world is ours
SOLITAIRE (★★★★✰) | NAÏF (★★✰✰✰) | TÊTU (★★★★✰) | VIOLENT (★★★★✰) | GAMIN (★★★✰✰) |
TACTILE (★★★✰✰) | COLÉRIQUE (★★★★✰) | SÉRIEUX (★★★✰✰) | VULNÉRABLE (★★★★★) | SUSCEPTIBLE (★★★✰✰) |
Rumour has it... Il serait narcoleptique (Vrai, la maladie a été diagnostiquée à ses 11 ans) + Sa mère l'a envoyé en Australie quand elle l'a appris (Faux, elle l'a fait dès sa naissance en l'envoyant chez sa soeur) + Ses poings réagissent toujours avant sa tête (Vrai, il est très impulsif et accro à la violence) + Il ferait de l'anorexie (C'était faux jusqu'à peu, mais maintenant c'est bien vrai) + Kyu serait gay (Vrai et faux, c'est compliqué) + Il aurait vendu son corps en arrivant en Corée (Vrai, à des clients en tout genres) + Il passerait son temps à se droguer (Faux, il n'y a même jamais touché) + Sa maladie l'empêcherait de passer le permis (Vrai, il est considéré comme invalide) + Parfois, il se réveillerait en plein milieu de la nuit en hurlant (Vrai, sa maladie provoque des hallucinations visuelles et auditives) + Il aurait fait un coma éthylique et se serait réveillé avec un tatouage licorne (Vrai, et ici) + Il aurait peur du noir (Vrai, il ne dort jamais dans l'obscurité totale) + Il aurait fait de la prison pour cambriolage (Vrai également, mais il était innocent) +. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Y'a ceux qui veulent s'en sortir, ceux qui veulent sombrer. Et quelque part entre les deux, y'a Moon Kyu. Et même Son petit corps frêle et ses traits juvéniles ne font pas le poids face à la noirceur de son regard. Un noir à la fois rempli de mépris et pourtant si vide, comme s'il n'était qu'une coquille creuse, parfois habitée par quelques démons de passage. Il est sans cesse partagé entre cette rage qui lui tord le ventre, et cette indifférence glaciale. Moon kyu ne sourit pas, parle peu, il déteste tout. Les gens, cette ville, cette vie, ce monde. Il se déteste lui-même. Premier tic. Canines plantées dans sa lèvre inférieure. Le gamin réfléchit sans cesse, les mains moites, le coeur qui cogne contre sa cage thoracique prêt à la fracasser, la gorge nouée. Dans sa petite tête se livre chaque jour un combat sans fin, sans gagnant. Mais avec cependant un perdant. Lui. Certains le clament masochiste. Moon Kyu se fait souffrir, par tous les moyens possibles. Ses poignets sont traversés par quelques lignes, prémices de celles bien plus nombreuses sur ses cuisses pâles. Là au moins personne ne les voit, personne ne dit rien. Ses mains écorchées savent ouvrir rapidement sa petite boîte remplie de « cachets à sourires ». Elles frottent souvent ses yeux rougis par la fatigue, essuient parfois son front humide d'adrénaline devenue peur. Second tic. Grognement animal. Ses fines jambes ne manquent jamais de l'entraîner loin, très loin dans les ruelles. Destination l'enfer. Route de la provocation. Moon Kyu a besoin de se battre pour se sentir vivant. Il a besoin de frôler la mort pour approcher la vie. Babines retroussées, colère infondée, poings en avant. Il frappe pour évacuer tout ce qui le dévore de l'intérieur, il cogne tout ce qui est à sa portée car il n'a d'autres façons de s'exprimer. Et il encaisse les coups. Il assume ses actes. Chaque hématome déposé sur son épiderme livide lui rappelle qu'il est en vie, chaque os brisé lui confirme qu'il n'est pas creux. Chaque souffle coupé lui prouve que son coeur bat encore. Troisième tic. Clignement rapide des paupières. Parfois, la tornade s'apaise. Son corps se penche, ses iris se déplacent horizontalement sur les pages de son bouquin. Obsession. Sa maladie ne quitte jamais ses pensées, elle le ronge de l'intérieur et bientôt, il ne restera plus rien de lui. Et là, au milieu de toutes ces formules, de tous ces manuels de médecine, il veut trouver un remède. Naïvement, il espère qu'un jour il mettra au point une cure pour ce mal qui le bouffe et le tuera plus rapidement qu'il n'ose le penser. Moon Kyu déteste devoir suivre des règles. La narcolepsie lui en impose bien trop. Il rêve d'être normal, d'être comme les autres. Quatrième tic. Poings crispés. Il veut aimer. Il veut être aimé. Oser parler, dire les choses. Pouvoir exprimer ses sentiments, mettre des mots sur ce qu'il ressent. Parce que son unique moyen de communication est la violence. Il veut sourire, au moins autant qu'il est conscient qu'il ne le mérite pas. Il crève d'envie d'être heureux. Il crève tout court. Mais quelque part, au fond de sa carcasse, il y a encore cette petite voix, celle qui lui répond « Et pourquoi pas ? » lorsqu'il demande pourquoi. Y'a encore quelque chose qui brûle en lui. Y'a ce désir un peu fou, insensé, irréel. Y'a cette dualité entre abandon total, et envie de se relever. Enfant méprisable, enfant méprisé. Repoussant, effrayant, pas assez bien, pas assez sage, incontrôlable, malade, sans espoir. Inutile, bon à rien, fou, faible. Gamin qui n'aime presque personne, mais lorsqu'il le fait c'est maladif. Possessif, jaloux, complexé, violent. Trop froid, pas assez ouvert, trop silencieux, insuffisant. |
This is my story
I'm doing everything to bring this body back to life
❝ No matter how hard I try, I don't think I'll make it through the night ×
Les mains dans les poches de mon pull trop grand, je traîne mon corps abîmé dans les rues sombres, oubliées. La capuche posée sur mes cheveux blonds n'est là que pour me protéger de la tempête qui s'annonce dans ma tête. Je hais ce monde, je hais ces gens, mais c'est surtout moi que je déteste le plus souvent. J'suis pas fort et je l'ai jamais été, ça doit être pour ça qu'on dit que j'ressemble plus à un mort qu'à un type en bonne santé. Dépression qu'ils disent, anxiété, manque d'affection, de confiance en soi, s'ils savaient à quel point j'les méprise. J'en ai rien à foutre de leurs discours, rien à branler de leurs avis, moi j'suis pas de ceux qui croient en l'amour, encore moins d'ceux qui en ont envie. Le bonheur c'est pour les gens biens, ceux qui sont nés sous une bonne étoile et rêvent de demain. C'est pas pour moi, je ne le mérite pas. C'est pas juste mais rien ne l'est, rien n'est normal ou ne va droit. Je suis de ceux qui ont toujours fait les mauvais choix, ceux à qui la chance n'a jamais sourit. Fatigué, je m'arrête et me laisse glisser contre un mur. Je pense à ma vie, je réfléchis à mon futur. Mais les gens de mon espèce n'ont aucun avenir, aucune seconde de répit. Moi, j'ai grandi en Tasmanie. J'y ai vécu pendant dix-huit ans, là bas où les saisons sont inversées, là bas où j'ai tout abandonné. Les dix premières années de ma vie étaient normales, sans souci, jusqu'à l'arrivée de la narcolepsie, cette foutue maladie. Accès de sommeil involontaire, hallucinations, perte du tonus musculaire. Ce simple gène défaillant a fait de ma vie un enfer et a rendu ce monde effrayant.
C'était pas si mal avant, mes soucis étaient mineurs, j'avais mon frère, j'avais papa et maman. Quand j'y repense, on vivait bien, on était une famille normale, tout allait si bien. Puis la maladie est arrivée. C'est là que tout a changé. Ma bulle me protégeait du monde extérieur or le problème était interne, là où seule la douleur gouverne. J'étais juste faible et perdu je le jure, un pauvre gamin couvert d'égratignures. J'ai commencé à devenir accro, je ne me sentais exister qu'au travers de la violence, je sais c'est idiot. Je détestais être vu comme un faible, faire pitié et là au moins à aucun moment je n'étais épargné. Ils s'en foutaient du fait que je sois gringalet et malade et me tabassaient à la moindre bousculade. À l'époque j'avais quinze ou seize ans. Ou peut-être un peu moins, j'sais plus vraiment. Je détestais le monde entier alors que maintenant c'est seulement sur moi-même que ma haine est concentrée. Et encore, j'avais toujours une part d'humanité, un côté gamin pour ne pas dire un con inavoué. J'étais pas seul, j'avais ma mère mais on se disputait souvent, il ne se passait pas un jour sans qu'on gueule. J'avais Liam mon petit frère, j'avais Jayden qui couvrait mes arrières. Parfois j'me demande s'il se souvient de moi, j'me demande comment aurait été ma vie, notre vie, si j'avais pas fait ça. C'était mon soleil, c'était ma lumière, j'l'ai aimé et pourtant j'l'ai laissé derrière. J'suis parti sans prévenir, j'me suis enfui sans avoir eu le courage de le lui dire.
Je me souviens, quand j'étais encore en Australie, mon nom de famille était Lee mais je ne pouvais pas le garder, c'était pas moi, pas la vérité. Et celle-ci s'est manifestée au milieu des cris et des insultes un soir à la maison. Celle qui m'avait élevée m'a avouée qu'elle n'était que ma tante et que ma mère m'avait abandonné comme ça, sans même demander pardon. Je les déteste toutes les deux et si on doit blâmer quelqu'un c'est elles, c'est de leur faute si je ne suis qu'un merdeux. Et Liam voulait s'en aller, parce qu'entre temps on a appris qu'on avait un autre frère en Corée, il s'appelle Aidan. Enfin c'est son frère pas le mien, pour moi il n'est qu'un cousin. Mais je l'ai suivi j'ai pas hésité, je voulais fuir cet endroit et cette famille mal branlée. Au début c'était pas si terrible, je repartais de zéro, je pensais que la rédemption était possible. Mais je me suis trompé, en fait c'est lorsque je suis arrivé ici que j'ai réellement sombré. J'avais plus de famille, plus de soleil autour de qui graviter. J'étais influençable, manipulable et je n'avais pas d'argent. J'ai franchi les limites de l'effrayant, vendu mon innocence, vendu mon corps et mes restes de conscience.
Je secoue la tête et ferme les yeux. Non, je ne veux plus penser à ça, parce que les hommes me font peur et qu'ils sont monstrueux. Un rire amer franchit la barrière de mes lippes. C'est stupide, parce que je vais à l'encontre de mes principes. Je me mord la lèvre et finis par me redresser pour m'observer face à une vitrine. Je déteste mon reflet et l'impression qu'il dégage. Trop petit, trop enfantin et pourtant pas si sage. Il n'y a plus rien qui brille dans mes yeux, pas même de la rage, seuls mes démons habitent mes pupilles. Car si jusque là je pensais avoir touché le fond, ce n'était qu'une illusion. À présent je suis encore plus faible et je peine à me sortir de l'auto-destruction. Aidan et Liam sont tout ce qu'il me reste, mes seuls espoirs, tout le reste je le déteste, sans eux je broie du noir. Dépendant d'un frère, d'un ami, sans amant, enfant méprisable et méprisant. Un mafieux, petit merdeux, un gamin qui va crever mais c'était écrit, destiné, gravé dans mes veines, scarifié sur ma peau. Rien n'est vrai, rien n'est faux. Tout est songe et mensonge, illusion du coeur qu'un vain espoir prolonge
Les mains dans les poches de mon pull trop grand, je traîne mon corps abîmé dans les rues sombres, oubliées. La capuche posée sur mes cheveux blonds n'est là que pour me protéger de la tempête qui s'annonce dans ma tête. Je hais ce monde, je hais ces gens, mais c'est surtout moi que je déteste le plus souvent. J'suis pas fort et je l'ai jamais été, ça doit être pour ça qu'on dit que j'ressemble plus à un mort qu'à un type en bonne santé. Dépression qu'ils disent, anxiété, manque d'affection, de confiance en soi, s'ils savaient à quel point j'les méprise. J'en ai rien à foutre de leurs discours, rien à branler de leurs avis, moi j'suis pas de ceux qui croient en l'amour, encore moins d'ceux qui en ont envie. Le bonheur c'est pour les gens biens, ceux qui sont nés sous une bonne étoile et rêvent de demain. C'est pas pour moi, je ne le mérite pas. C'est pas juste mais rien ne l'est, rien n'est normal ou ne va droit. Je suis de ceux qui ont toujours fait les mauvais choix, ceux à qui la chance n'a jamais sourit. Fatigué, je m'arrête et me laisse glisser contre un mur. Je pense à ma vie, je réfléchis à mon futur. Mais les gens de mon espèce n'ont aucun avenir, aucune seconde de répit. Moi, j'ai grandi en Tasmanie. J'y ai vécu pendant dix-huit ans, là bas où les saisons sont inversées, là bas où j'ai tout abandonné. Les dix premières années de ma vie étaient normales, sans souci, jusqu'à l'arrivée de la narcolepsie, cette foutue maladie. Accès de sommeil involontaire, hallucinations, perte du tonus musculaire. Ce simple gène défaillant a fait de ma vie un enfer et a rendu ce monde effrayant.
C'était pas si mal avant, mes soucis étaient mineurs, j'avais mon frère, j'avais papa et maman. Quand j'y repense, on vivait bien, on était une famille normale, tout allait si bien. Puis la maladie est arrivée. C'est là que tout a changé. Ma bulle me protégeait du monde extérieur or le problème était interne, là où seule la douleur gouverne. J'étais juste faible et perdu je le jure, un pauvre gamin couvert d'égratignures. J'ai commencé à devenir accro, je ne me sentais exister qu'au travers de la violence, je sais c'est idiot. Je détestais être vu comme un faible, faire pitié et là au moins à aucun moment je n'étais épargné. Ils s'en foutaient du fait que je sois gringalet et malade et me tabassaient à la moindre bousculade. À l'époque j'avais quinze ou seize ans. Ou peut-être un peu moins, j'sais plus vraiment. Je détestais le monde entier alors que maintenant c'est seulement sur moi-même que ma haine est concentrée. Et encore, j'avais toujours une part d'humanité, un côté gamin pour ne pas dire un con inavoué. J'étais pas seul, j'avais ma mère mais on se disputait souvent, il ne se passait pas un jour sans qu'on gueule. J'avais Liam mon petit frère, j'avais Jayden qui couvrait mes arrières. Parfois j'me demande s'il se souvient de moi, j'me demande comment aurait été ma vie, notre vie, si j'avais pas fait ça. C'était mon soleil, c'était ma lumière, j'l'ai aimé et pourtant j'l'ai laissé derrière. J'suis parti sans prévenir, j'me suis enfui sans avoir eu le courage de le lui dire.
Je me souviens, quand j'étais encore en Australie, mon nom de famille était Lee mais je ne pouvais pas le garder, c'était pas moi, pas la vérité. Et celle-ci s'est manifestée au milieu des cris et des insultes un soir à la maison. Celle qui m'avait élevée m'a avouée qu'elle n'était que ma tante et que ma mère m'avait abandonné comme ça, sans même demander pardon. Je les déteste toutes les deux et si on doit blâmer quelqu'un c'est elles, c'est de leur faute si je ne suis qu'un merdeux. Et Liam voulait s'en aller, parce qu'entre temps on a appris qu'on avait un autre frère en Corée, il s'appelle Aidan. Enfin c'est son frère pas le mien, pour moi il n'est qu'un cousin. Mais je l'ai suivi j'ai pas hésité, je voulais fuir cet endroit et cette famille mal branlée. Au début c'était pas si terrible, je repartais de zéro, je pensais que la rédemption était possible. Mais je me suis trompé, en fait c'est lorsque je suis arrivé ici que j'ai réellement sombré. J'avais plus de famille, plus de soleil autour de qui graviter. J'étais influençable, manipulable et je n'avais pas d'argent. J'ai franchi les limites de l'effrayant, vendu mon innocence, vendu mon corps et mes restes de conscience.
Je secoue la tête et ferme les yeux. Non, je ne veux plus penser à ça, parce que les hommes me font peur et qu'ils sont monstrueux. Un rire amer franchit la barrière de mes lippes. C'est stupide, parce que je vais à l'encontre de mes principes. Je me mord la lèvre et finis par me redresser pour m'observer face à une vitrine. Je déteste mon reflet et l'impression qu'il dégage. Trop petit, trop enfantin et pourtant pas si sage. Il n'y a plus rien qui brille dans mes yeux, pas même de la rage, seuls mes démons habitent mes pupilles. Car si jusque là je pensais avoir touché le fond, ce n'était qu'une illusion. À présent je suis encore plus faible et je peine à me sortir de l'auto-destruction. Aidan et Liam sont tout ce qu'il me reste, mes seuls espoirs, tout le reste je le déteste, sans eux je broie du noir. Dépendant d'un frère, d'un ami, sans amant, enfant méprisable et méprisant. Un mafieux, petit merdeux, un gamin qui va crever mais c'était écrit, destiné, gravé dans mes veines, scarifié sur ma peau. Rien n'est vrai, rien n'est faux. Tout est songe et mensonge, illusion du coeur qu'un vain espoir prolonge
About me
Je suis...
Soo
Encore moi, et encore avec moncul parce que je sais qu'au fond, vous l'aimez
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u322][b]▲[/b][/url]▼ <taken>Lee Byung Hun (L.Joe, Teen Top)</taken> ✎ Aley Moon Kyu
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Re: Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 0:29 Citer EditerSupprimer
saches que, j'ai une connexion de merde, j'ai actualisé comme une folle enragée pour que la fiche apparaisse MAIS J'AI VAINCUE bcz, i'm the best et basta.
mon amour de ma vie #lapersonnedemavie mon coeur en sucre, mon petit bébé des bois, je t'aime tu sais à quel point je suis sexité à l'idée que tu reboot, c'est le début d'une grande histoire, ça sens la vie le nouveau le egrifkzrefioz toi et moi on se sait et c'est le principal
tu sais comme j'aime moncul et encore plus comme j'aime le lien qu'il a avec mon cochon, toi et moi ensemble main dans la main jte le jure devant mon livre de musso, on va faire de grandes choses, alavi alamor
je tente le pavé mais à cette heure c'est fou comme je ne suis pas inspirée, en vrai j'ai jamais été inspirée mais ouais, j'suis vraiment iegrjigoekr et j'te le répéterai tous les jours pendant au moins une semaine
termines vite cette fiche qu'on commence à s'amuser un peu je t'aime mon bébé de moi, mais bouge ton boule sinon c'est fessé cul nu devant un public de pervers en délire
que du love et des bisous et des bonbons banane aussi (tu te souviens ) j'ai hâte de découvrir ta fiche une nouvelle fois >/blockquote>JE T'AIME
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Re: Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 0:56 Citer EditerSupprimer
Dewei, bouge de là.
merci.
merci.
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Re: Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 0:57 Citer EditerSupprimer
parles bien espèces de dindon et aime moi seulement #jayden
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Re: Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 2:01 Citer EditerSupprimer
Lol bitach, pourquoi tu mens ?
FAIS UN JOLI COMEBACK, QUE MÊME LE JESUS IL SOIT JALOUX DE TA MAGNIFICENCE EUKAY ? :bago:
Jtem.
Vite fait
...
Anusmousseux a écrit: orientation sexuelle : Il n'aime personne.
Lol bitach, pourquoi tu mens ?
FAIS UN JOLI COMEBACK, QUE MÊME LE JESUS IL SOIT JALOUX DE TA MAGNIFICENCE EUKAY ? :bago:
Jtem.
Vite fait
...
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Re: Aley Moon Kyu ♚ À nous le monde | Dim 17 Avr - 2:59 Citer EditerSupprimer
MON BRO DE MOI QUE J'AIME BON COURAGE POUR CE REBOOT T'ES TROP LA MEILLEURE CE MONCUL IL SERA ENCORE MEILLEUR ENCORE PLUS MIEUX ENCORE PLUSBPAIBZFPOBAEOB DESOLEE J'AI JOUIS SUR LE CLAVIER ET IL A ECRIS DES CHOSES QUI VEULENT RIEN DIRE JE T'AIME
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