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no nuo (+) blood is thicker than water
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no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:50 Citer EditerSupprimer
nom : no. son petit trésor. une famille recomposée, certes, mais pas n'importe quelle famille. la sienne. prénom : nuo. un peu court à son goût, comme s'il n'était qu'une moitié de quelque chose. âge : vingt et un ans. date et lieu de naissance : née à hong kong, un 21 juillet (cancer). origines : sa mère est chinoise, son père est coréen. mélange détonnant auquel s'ajoute du sang japonais. nationalité : coréenne. cursus universitaire : arts du spectacle. métier : elle n'en a pas encore, parce qu'elle n'en a financièrement pas besoin. mais elle pense de plus en plus à en trouver un, pour voir si ça pourrait contribuer à une vie moins décousue. orientation sexuelle : purement hétérosexuelle. elle reste très ouverte, sa mère s'étant remariée avec une femme, mais elle reste aussi celle qui se fait le moins facilement aux changements. classe sociale : aisée, bien qu'elle ne soit pas du genre capricieuse qui dépense sans compter, plutôt du style à avoir la tête sur les épaules. code du règlement : je l'auto valide, si si. tu veux t'investir ? jeongal
No Nuo
We dress like princesses to go out and kill kings.
DÉTERMINÉE (★★★★★) | BRUTALE (★★★✰✰) | PROTECTRICE (★★★★★) | VEXANTE (★★★✰✰) | RÉFLÉCHIE (★★★★✰) |
MÉFIANTE (★★★★★) | LOYALE (★★★★★) | SECRÈTE (★★★✰✰) | RIEUSE (★★★✰✰) | TÉMÉRAIRE (★★★★✰) |
Rumour has it... on dit que je suis très ordonnée, à la limite de la maniaquerie, pleine de tocs (vrai : chaque chose a une place et doit y revenir) Survole l'avatar, petit coquin. | My character j’suis une boule d’émotions, y’en a trop et elles se battent entre elles, je sais pas quoi faire de tout ça. j’aime pas ressentir trop de trucs à la fois, j’ai pas que ça à faire et puis c’est fatiguant, mais j’ai pas vraiment le choix. j’essaye de m’en sortir comme je peux, je fais genre rien ne m’atteint, rien ne me touche, pour aller m’enfermer dans les toilettes la seconde d’après et pleurer à en vomir. j’ai développé un genre de technique pour que personne ne remarque mes yeux mouillés, un truc qui permet de se sentir mal en silence. je suis le roc de la famille, il parait, un peu, je tente. j’ai envie de porter lei sur mes épaules toute ma vie, de la protéger toute l’éternité, puis j’me rappelle que c’est surement compromis, et je fais ce que je peux pour qu’elle soit blindée. lei c’est ma lumière, et puis yuki aussi. et puis cami. et même dambi. la famille, c’est essentiel, c’est le point central, le point d’ancrage, le début et la fin de tout. après tout, comme on dit, le sang est plus épais que l’eau ; les liens de sang, y’a que ça de vrai, surement. mais je sais juste pas leur dire, moi, je sais pas trop quoi faire, je suis pas franchement douée pour le montrer. les bons mots, les bons gestes, je les ai mais je les ai à peine esquissés que déjà ils s'en vont. je sais pas pourquoi je suis bloquée comme ça, mais je sais que j’ai que de la gueule, que je réfléchis bien plus qu’on pourrait le croire. t’es une penseuse, m’a dit cami un jour, et je l’ai regardée avec des grands yeux parce je me suis demandée comment elle avait compris. penseuse, ouais surement, mais du genre abandonnée, du genre qui cherche son chemin au milieu des falaises et qui se heurte un peu trop au vide et aux tracés qui mènent à rien. pourtant j’essaye, encore et encore, je continue inlassablement, moi j’suis une acharnée, une déterminée. quand je veux quelque chose, je l’obtiens, sauf un truc, ça a un nom, ça s’appelle un père. c’est dommage, quand même. alors j’me reprends en main avant de couler, j’me construis comme je peux. je sais pas si les fondations sont solides mais de l’extérieur, elles en ont surement l’air. elle est en béton armé, nuo, que les gens disent. elle pourra aller loin, cette petite. quand je sens que je défaille, je me rappelle que j’dois être une bête sauvage, pour m’en sortir, j’ai tendance à rugir. c’est pas mauvais, c’est pas méchant, je tire aucun plaisir dans la douleur et le malheur, c’est juste pour dire aux autres de reculer, de me laisser de l’air, beaucoup, parce que j’en manque, constamment. je sais pas respirer, j’ai du mal. eux, en réponse, ils me trouvent un peu vexante, un peu vulgaire. pourtant, mon père, il m’appelait rayon de soleil. j’aimais bien être un rayon de soleil. alors j’y repense, et je me dis que je dois sourire. en famille, souvent, je me laisse aller, je me détends, je sais pas trop comment. entre amis aussi, parfois. je me chamaille et je rigole en couvrant ma bouche parce que j’en ai un peu honte et je m’appuie sur les épaules des autres. je pique le sel à table chaque fois que quelqu’un le veut, je mets du jus d’orange dans mon café quand je suis pas réveillée, j’ai cette manie étrange mais attachante de ranger les chaussures de tout le monde par couleur, et je pique la couette à lei quand je dors avec elle pour m’enrouler en burrito. il y a des sourires quelque part, des éclats de bonheur, je veux pas les perdre. mais j’ai tellement peur. tellement peur. |
It just takes a second
for my world to come crumbling down. Oh I'm sure, in the distance, you can hear that awful sound.
J'ai encore des souvenirs plein la tête, tellement que parfois elle menace d'éclater. Il y avait ce livre idiot, que mon père me lisait, un truc débile sur deux lapins qui doivent deviner combien ils s'aiment. Des souvenirs d'enfance un peu cons, en vrac, que je sais pas trop comment noyer. Le jour ou Lei a reçu Neko, la meilleure peluche du monde. Une fois, mon père s'était mis en tête de laver Neko, et l'avait étendu par les oreilles, et moi j'avais dit qu'il allait souffrir, comme ça, alors il l'avait étendu autrement pour me faire plaisir. Je crois vraiment que c'était un bon père. Pour moi comme pour les autres. Pas le monstre décrit par les médias. Enfin, pas totalement. Pourtant, quand j'ai appris ce qu'il avait fait, quand j'ai découvert cette histoire de double vie, de deuxième famille, je me suis empressée de le pousser vers la sortie.
J'aime bien pousser les gens vers la sortie. Mon père, et puis Lei, ensuite, pour qu'elle aille en internat et qu'elle grandisse un peu. Ça me donne l'impression de gérer. Et puis comme ça, c'est pas moi qui me fait jeter.
Le procès, la procédure, c'était interminable. Invivable. Qu'il soit ministre, c'était déjà pas facile à vivre tous les jours. Qu'il soit un connard, publiquement, à la vue de tous, c'était pire. Et puis il y avait eux, et eux, sans trop les connaitre, je les détestais déjà. Ce Yuki, cette Cami, ces enfants d'un autre, d'un homme que je ne connaissais pas assez bien et qui était pourtant mon père aussi. Cette seconde famille - qu'est-ce qu'ils avaient de mieux, qu'est-ce qu'ils avaient de plus beau que Lei et moi, pour que mon père les préfère, ressente le besoin d'aller voir ailleurs, de construire quelque chose avec eux ? (Et pas nous ?). Pourtant, quand je me suis retrouvée face à eux, j'ai pas réussi à les rejeter. Comme si on était tous dans le même bateau. Tous ensemble. Qu'il fallait qu'on se serre les coudes et qu'on s'entraide parce que sinon, ça n'irait pas, ça ne fonctionnerait pas. Et puis il y avait Lei. Lei, je crois qu'elle voulait les aimer, les chérir, les considérer comme ses vrais frères et soeurs.
Comme si je lui suffisais pas, avait soufflé une voix à l'intérieur de moi. Après tout, pourquoi pas ? Peut-être que je lui suffisais vraiment pas.
C'est à ce moment-là, alors que je commençais à me faire à la situation, que ma mère m'a prise à part dans la cuisine pour me parler de femme à femme, comme elle disait. Ça, c'est un truc qu'elle dit pour me prévenir que la conversation va être importante, et que je dois réagir en adulte, même si j'ai pas vraiment l'impression d'en être une. Alors je me suis cramponnée au plan de travail en marbre, je me suis emmitouflée dans la vieille chemise verte à carreaux qui me sert de pyjama, et j'ai écouté. Je suis amoureuse, qu'elle m'a dit. Je suis amoureuse. C'est super bizarre à entendre. Encore plus à assimiler. Voilà, c'était ça, elle allait refaire sa vie et moi, moi j'allais pas en faire partie. Pas totalement. Pas entièrement.
Putain, Nuo, pourquoi tu te fais jamais aux changements ?
De qui ? j'ai demandé, innocemment, d'un air faussement dégagé. Du genre, il ressemble pas à papa, j'espère ? Elle a dit non. Non, elle n'a rien de commun avec ton père. Elle. J'ai avalé ma salive, puis demandé si Lei était au courant. Parce que ça me semblait important, qu'elle sache, quand même. Qu'elle sache qu'à peine adaptée à quelque chose, dans la vie, un boulet de canon viendrait immédiatement tout réduire à néant. Tant d'efforts pour ça, voilà. Pour se sentir laissée sur le bord de la route. À nouveau. Yuki et Cami ont emménagé avec nous, leur mère aussi. Une part de moi était super contente, de voir maman sourire de nouveau, embrasser quelqu'un, partager un petit bout d'elle avec une femme qui avait tout autant besoin de se reconstruire que nous tous. L'autre part, elle savait pas trop. Elle attendait que je me réveille de ce rêve étrange et que les choses reprennent leur cours précédent. Elle attendait que mon père revienne, que je puisse le frapper d'abord, et le prendre dans mes bras ensuite.
Mais il est jamais revenu. (Même pas une carte pour mon anniversaire, même pas une carte).
A la place, j'ai eu Dambi. Avec ses grands yeux bleus beaucoup trop beaux qui essayaient de me sonder l'âme. Dambi, j'aurai probablement pu l'adorer, dans d'autres circonstances, dans une autre vie. Si elle n'avait pas été adoptée parce qu'on devait "construire quelque chose ensemble, si elle n'avait pas été un changement de plus. Je suis pas très douée pour m'adapter. Si elle n'avait pas eu autant de répondant, si elle avait accepté de baisser le regard devant moi. Sans compter que quand elle est arrivée, elle m'a volé Yuki. Yuki, je commençais à en faire mon tout, ma nouvelle chance. Le seul homme de la famille, qui était à deux doigts de me prouver qu'ils étaient pas tous pareils. Le frère que j'avais jamais eu, que j'avais toujours voulu avoir et que j'avais soudainement.
Tant pis. On se refera ailleurs, que je me suis dit.
(Ou on se refera pas.)
J'aime bien pousser les gens vers la sortie. Mon père, et puis Lei, ensuite, pour qu'elle aille en internat et qu'elle grandisse un peu. Ça me donne l'impression de gérer. Et puis comme ça, c'est pas moi qui me fait jeter.
Le procès, la procédure, c'était interminable. Invivable. Qu'il soit ministre, c'était déjà pas facile à vivre tous les jours. Qu'il soit un connard, publiquement, à la vue de tous, c'était pire. Et puis il y avait eux, et eux, sans trop les connaitre, je les détestais déjà. Ce Yuki, cette Cami, ces enfants d'un autre, d'un homme que je ne connaissais pas assez bien et qui était pourtant mon père aussi. Cette seconde famille - qu'est-ce qu'ils avaient de mieux, qu'est-ce qu'ils avaient de plus beau que Lei et moi, pour que mon père les préfère, ressente le besoin d'aller voir ailleurs, de construire quelque chose avec eux ? (Et pas nous ?). Pourtant, quand je me suis retrouvée face à eux, j'ai pas réussi à les rejeter. Comme si on était tous dans le même bateau. Tous ensemble. Qu'il fallait qu'on se serre les coudes et qu'on s'entraide parce que sinon, ça n'irait pas, ça ne fonctionnerait pas. Et puis il y avait Lei. Lei, je crois qu'elle voulait les aimer, les chérir, les considérer comme ses vrais frères et soeurs.
Comme si je lui suffisais pas, avait soufflé une voix à l'intérieur de moi. Après tout, pourquoi pas ? Peut-être que je lui suffisais vraiment pas.
C'est à ce moment-là, alors que je commençais à me faire à la situation, que ma mère m'a prise à part dans la cuisine pour me parler de femme à femme, comme elle disait. Ça, c'est un truc qu'elle dit pour me prévenir que la conversation va être importante, et que je dois réagir en adulte, même si j'ai pas vraiment l'impression d'en être une. Alors je me suis cramponnée au plan de travail en marbre, je me suis emmitouflée dans la vieille chemise verte à carreaux qui me sert de pyjama, et j'ai écouté. Je suis amoureuse, qu'elle m'a dit. Je suis amoureuse. C'est super bizarre à entendre. Encore plus à assimiler. Voilà, c'était ça, elle allait refaire sa vie et moi, moi j'allais pas en faire partie. Pas totalement. Pas entièrement.
Putain, Nuo, pourquoi tu te fais jamais aux changements ?
De qui ? j'ai demandé, innocemment, d'un air faussement dégagé. Du genre, il ressemble pas à papa, j'espère ? Elle a dit non. Non, elle n'a rien de commun avec ton père. Elle. J'ai avalé ma salive, puis demandé si Lei était au courant. Parce que ça me semblait important, qu'elle sache, quand même. Qu'elle sache qu'à peine adaptée à quelque chose, dans la vie, un boulet de canon viendrait immédiatement tout réduire à néant. Tant d'efforts pour ça, voilà. Pour se sentir laissée sur le bord de la route. À nouveau. Yuki et Cami ont emménagé avec nous, leur mère aussi. Une part de moi était super contente, de voir maman sourire de nouveau, embrasser quelqu'un, partager un petit bout d'elle avec une femme qui avait tout autant besoin de se reconstruire que nous tous. L'autre part, elle savait pas trop. Elle attendait que je me réveille de ce rêve étrange et que les choses reprennent leur cours précédent. Elle attendait que mon père revienne, que je puisse le frapper d'abord, et le prendre dans mes bras ensuite.
Mais il est jamais revenu. (Même pas une carte pour mon anniversaire, même pas une carte).
A la place, j'ai eu Dambi. Avec ses grands yeux bleus beaucoup trop beaux qui essayaient de me sonder l'âme. Dambi, j'aurai probablement pu l'adorer, dans d'autres circonstances, dans une autre vie. Si elle n'avait pas été adoptée parce qu'on devait "construire quelque chose ensemble, si elle n'avait pas été un changement de plus. Je suis pas très douée pour m'adapter. Si elle n'avait pas eu autant de répondant, si elle avait accepté de baisser le regard devant moi. Sans compter que quand elle est arrivée, elle m'a volé Yuki. Yuki, je commençais à en faire mon tout, ma nouvelle chance. Le seul homme de la famille, qui était à deux doigts de me prouver qu'ils étaient pas tous pareils. Le frère que j'avais jamais eu, que j'avais toujours voulu avoir et que j'avais soudainement.
Tant pis. On se refera ailleurs, que je me suis dit.
(Ou on se refera pas.)
About me
Je suis...
neir.
ouais ce gif est trop pas réaliste mais il est trop badass alors j'avais besoin de le mettre moi c'est toujours neir, j'ai toujours dix neuf ans, et j'habite toujours dans la région de paname je sais pas comment faire pour ne pas répéter ce que tout le monde a déjà lu dans les présentations du staff :hansa: je rp encore plus lentement qu'une tortue, parce que je remets toujours tout au lendemain, faites pas genre vous faites pas pareil :04: je suis pas trop quoi dire d'autre, si ce n'est que j'adore les mps, même les plus inutiles (même si là aussi je suis une tortue pour répondre ). sinon, bah, voilà, nuo a capturé mon coeur je deviens même poète pour elle, si c'est pas beau ça j'espère que je ne vais pas totalement me louper, et qu'elle vous conviendra
PV pris
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u806][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t7403-mannami-yuka-no-nuo#269031]▼[/url] <taken><upper>HIRAÏ MOMO (TWICE)</upper></taken> ✎ <lower>no nuo</lower>
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:50 Citer EditerSupprimer
OMG NUO ICI ET EN + AVEC NEIR, JE SUIS COMBLEE PUTAIN TOUS LES TRUCS DE OUF QU'ON VA POUVOIR FAIRE TOUS LES DEUX, GENRE FAIRE CHIER CAMI SISI OMG OMG J'AI TROP HÂTE
JE T'AIME PLUS GRAND QUE L'OCEAN
JE T'AIME PLUS FORT QUE LE ROQUEFORT
JE T'AIME MIEUX QUE.. LES PRÊTRES AIMENT DIEU
JE T'AIME SINCEREMENT, COMME J'AIME LE PIMENT
:nabilla:
JE T'AIME PLUS GRAND QUE L'OCEAN
JE T'AIME PLUS FORT QUE LE ROQUEFORT
JE T'AIME MIEUX QUE.. LES PRÊTRES AIMENT DIEU
JE T'AIME SINCEREMENT, COMME J'AIME LE PIMENT
:nabilla:
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:52 Citer EditerSupprimer
PTN TAZ T'ES TROP RAPIDE :bago: :bago: :bago: :bago: ( )
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:53 Citer EditerSupprimer
t'es pas belle.
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:53 Citer EditerSupprimer
fragine d'amouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur je t'ai deja dis a quel point j'étais contente que tu l'ais pris, mais je te le redis, voila
amuse toi bien avec nuo et puis la famille est au complet avec toi courage pour ta fiche
EDIT : t'es sexy avec tes flingues
et jayden soit gentil avec nuo
amuse toi bien avec nuo et puis la famille est au complet avec toi courage pour ta fiche
EDIT : t'es sexy avec tes flingues
et jayden soit gentil avec nuo
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:54 Citer EditerSupprimer
jayden + toi non plus.
:nabilla: :nabilla: :nabilla:
dambi +
:nabilla: :nabilla: :nabilla:
dambi +
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 12:56 Citer EditerSupprimer
pourquoi t'es méchante comme ça avec moi :nabilla:
dambi défends-moi :nabilla:
dambi défends-moi :nabilla:
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 13:04 Citer EditerSupprimer
vous battez pas :(
je fais un bisou a chacun si vous etes sages *bisounours*
je fais un bisou a chacun si vous etes sages *bisounours*
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 13:05 Citer EditerSupprimer
j'ai édité lol ^^ :)
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Re: no nuo (+) blood is thicker than water | Lun 25 Avr - 13:07 Citer EditerSupprimer
ptn momo ... tu sais que je t'aime encore plus qu'avant neir **
re et courage pour ta fiche qui va être énorme
re et courage pour ta fiche qui va être énorme
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