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    :: Défouloir :: 2017

[+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha]

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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Ven 4 Nov - 17:47
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ft. In Ha & Mo Yeon

   
It may be a coincidence

   
   

Et si je ne l'avais pas vu ce soir ? Et si je n'avais pas remarqué que c'était lui ? Et s'il ne m'avait pas arrêté à ce moment là ? Et si je m'étais décidée à rentrer plus tôt que prévu ? Et si . . .  avec des si, il n'est, malheureusement, pas possible de refaire le monde, et pourtant, ces pensées traversent souvent nos esprits perturbés. Et si je n'avais pas fait ça, que se serait-il passé ? Où aurais-je été ? Comment cela se serait terminé ? Des questions qui restent sans réponses puisque de toute manière ce qui est fait, est fait. Il est trop tard désormais pour faire demi-tour, j'ai signé le pacte avec le vice, le diable. Je veux goûter au fruit défendu, je veux succomber dans les bras de In Ha. Juste pour ce soir, rien que ce soir, je veux bien m'entourer des draps de In Ha. Je veux bien de lui et de sa peau si douce et si exquise. Je veux me laisser tenter, même si c'est mal. Je n'ai rien à craindre, rien à perdre. Cela n'engage rien. C'est juste l'histoire d'une nuit. Une nuit ensorcelante, délicieuse. Je me laisse aller. Parce qu'il me semble plus difficile de résister que de succomber. Plus je résiste et plus je suis tentée. Un cercle vicieux qui ne semble pas avoir d'issue, sauf celle-ci. Ce soir, juste pour ce soir, la lune va se cacher, quelques heures, pour mieux nous laisser, seuls, profiter de cette nuit étoilée.

Je me mords nerveusement les lèvres alors que je touche du bout de mes doigts ses lèvres légèrement rougies, me donnant terriblement envie de les prendre entre les miennes. J'esquisse un sourire, celui-ci s'allongeant progressivement, lorsque In Ha me demande si je n'ai pas lu dans ses pensées. Je vois que je ne suis pas la seule à avoir eu de telles pensées qui ont été, de toute manière, induites par lui, il faut l'avouer. Je me sens transportée, une certaine fusion naissant entre lui et moi. Mes yeux recherchent sa compagnie tandis que mon corps n'a qu'une envie : le posséder, entièrement. Je n'attends pas plus, bien trop frustrée pour continuer à jouer à ce jeu dangereux de séduction, sans jamais y céder totalement, mais désormais, je peux enlever toutes les barrières qui m'entourent, pour mieux me laisser aller. Je frisonne de plaisir alors que mes lèvres rencontrent les siennes, dans un baiser intense, réveillant mes envies les plus secrètes. Je le suis sans un mot, telle une enfant perdue mais qui sait où elle va, ce qui l'attend juste après. Mes yeux s'illuminent en voyant le torse de mon partenaire, passant ma langue contre mes lèvres, envieuse de toucher ce torse si parfait. Je me perds dans les abysses du vice alors qu'il vient recapturer mes lèvres, disparaissant progressivement sous ce désir ardent. Mon corps est en feu, brûlant, et je sens des pulsions dévastatrices me prendre tout le corps, perdant le contrôle de moi-même. Je le veux, c'est certain. Je m'éloigne ensuite de lui, mon regard se posant sur sa silhouette, souriant légèrement en entendant son ordre, « tu me donnes des ordres maintenant ». Je ne peux m'empêcher d'apprécier ce jeu auquel nous jouons tous les deux, claquant ma langue contre mon palais, alors qu'il s'en va jusqu'à la salle de bain, pour préparer, certainement, le bain. Je l'observe plusieurs minutes, au loin, admirant sa silhouette si parfaite, ses bras musclés, son dos si bien dessiné. Au moins, je ne peux pas dire que je prends n'importe qui. J'enlève rapidement mon haut et m'approche de lui, passant mes bras autour de sa taille, pour le retourner progressivement, qu'il me fasse face. Je me colle à lui, amusée par tout ça. Mes lèvres viennent prendre les siennes, doucement, puis sauvagement, pour descendre jusqu'à son cou, y laissant quelques traces de mon passage. Je dégrafe en même temps mon soutien gorge, me retrouvant seins nus, ne gardant que mes vêtements du bas, mais plus pour très longtemps. Ma respiration est haletante, le désir étant totalement présent. Je ne peux plus faire demi-tour, pas maintenant. Il est déjà trop tard. Mes mains viennent caresser lentement mais sûrement son torse, dessinant chaque trait, chaque courbe, tandis que mes lèvres viennent récupérer leur partenaire. Je m'amuse, au début, et finis par descendre jusqu'à son jean que je déboutonne peu à peu tandis que mon corps recherche le contact, devenant de plus en plus pressant. Je finis par totalement le déshabiller, la tension me montant de plus en plus à la tête. Je mordille légèrement ses lèvres et m'éloigne quelques secondes de lui pour reprendre ma respiration. Mon regard s'ancre alors dans le sien, un sourire coquin se dessinant sur mes lèvres. Mes yeux semblent lui dire de faire de moi sa partenaire du soir, juste pour ce soir.
L'alcool a vraiment le don d'ouvrir quelques portes généralement fermées, il en a de la chance.

   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Mar 8 Nov - 19:26
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It may be a coincidence
Mo Yeon & In Ha




TENUE & MUSIC | Il y avait des choses qu'on ne prévoyait pas, des rencontres, des personnes, des destins, des.. situations. Mais elles arrivaient, sans que l'on s'y attende, et si elles n'étaient pas déplaisantes, pourquoi s'empêcher de les suivre ? Il n'y avait rien de mal, bien au contraire, cette soirée devenait de plus en plus intéressante au fur et à mesure qu'elle avançait. Les masques se fissuraient, et finissaient par tomber, dévoilant les vrais désirs, les vraies envies, les vices sauvages, débridés. Je n'avais plus vraiment envie de me retenir, si la personne en fasse en faisait de même, faisant en premier le premier pas, pourquoi reculer devant une telle.. invitation ? Non, je n'en avais pas l'envie, pas la force de vraiment réfléchir et de lutter. Je laissais mon corps guider ma tête, et non l'inverse, à lui de prendre un peu le contrôle de mes sentiments. L'alcool accentuait un peu tout ça. Mon corps devenait plus tactile, plus avenant, plus aventureux, celui de la jeune femme aussi, et cela avait plutôt du charme. Un peu de retenue pour les préliminaires, pour le jeu, pour tester l'autre, et puis, elle finit par disparaître, et les corps se relâchent et explosent, ensemble. C'est ce qu'on appelle, le corps à corps. J'ai envie de faire du corps à corps avec cette femme...

J'adorais quand c'était brûlant, presque brûlant, ce moment où tu te demandes comment ton corps peut supporter une telle température, sans rougir de douleur. Rien que d'y tremper ma main, me donner l'envie d'y entrer entièrement. Une légère vapeur en ressortait, m'envahissant, la mousse grandissait peu à peu. Avais-je foutu les bonnes proportions ? Aucune idée, j'en avais pris pleins, sur le coup, je n'avais pas pris le temps de vérifier. Je voulais que le bain prenne vite, pour y entraîner Mo Yeon, de peur qu'elle ne change d'avis entre temps. Je me redressais, éteignant le robinet, avant de sentir les mains de la sango enlacer ma taille, m'incitant à lui faire face. « C'est brûlant. » Et il n'y avait pas que le bain qui était brûlant, pensais-je, mon regard descendant sur sa poitrine, joliment soulignée par son soutien gorge, que je voulais déjà voir disparaître. Mais elle ne me laissa pas vraiment le temps d'en admirer davantage, se collant contre moi, ce qui était loin d'être déplaisant, mon sourire en coin s'étirant lentement, alors qu'elle s'approchait pour m'embrasser à nouveau. Petite bouche pulpeuse, une petite gourmandise bien entreprenante. Une fois qu'on y goûtait, on avait envie d'y croquer encore et encore... J'intensifiais un peu plus le baiser, creusant ses reins, l'une de mes mains glissant sans gêne jusqu'à ses fesses, la plaquant davantage contre moi. Ce frottement entre nous deux.. Je laissais échapper un soupir grave, un frisson dans mon cou, ma main jouant à plonger dans la poche arrière de son pantalon, avant de la laisser retirer la dernière chose qui recouvrait encore sa nudité du haut de son corps. J'entrouvris ma bouche, mon autre main caressant son dos sans être gênée par la moindre chose désormais. Les siennes sont chaudes, se baladant sur mon torse, elle s'éloignait un peu, soudainement intéressée par ma ceinture, avant de dégrafer sans peine mon jean. J'esquissais un petit rire en réaction à son empressement, je ralentissais son travail en agrippant ses fesses avec désir pour garder son bassin contre le mien. « Où comptes-tu aller.. ? » Ohh pas bien loin. En moins de deux, mon jean était au sol et le reste avec, me faisant pencher la tête en arrière, dégageant ma gorge, un large sourire amusé. « Je n'ai jamais été déshabillé aussi vite ! » Cette fille était incroyable, elle me faisait marrer ! J'étais là, à poil devant elle, mais je n'en perdais pas ma confiance pour autant, même si j'étais sacrément étonné ! Arrogant, j'attrapais le devant de son pantalon, le tirant d'un coup sec, sans violence, pour qu'elle approche, l'entrouvrant brusquement, la fermeture ne démontrant que peu de résistance. « A ton tour.. » lui susurrais-je, contre ses lèvres, avant de descendre, quelques baisers papillons longeant sa mâchoire, picorant le creux de sa poitrine, luttant pour ne pas trop m'y aventurer pour le moment, son ventre dessiné, son pantalon tombant au fur et à mesure jusqu'au sol. Accroupi devant elle, la laissant me dominer un instant, je déposais des baisers sur ses cuisses élancées, les écartant légèrement, embrassant l'intérieur de celles-ci. Bien douces, chair tendre. Cela donnait envie d'y croquer. Je m'amusais à frôler la délimitation de sa fine culotte échancrée, sans m'aventurer vraiment vers la zone sensible encore cachée, mon regard se relevant vers elle pour voir ses expressions, mon sourire en coin, attentif à mes gestes contrôlés. Je me rapprochais davantage, elle pouvait sentir mon souffle chaud contre son bas ventre, mes mains fermement posées sur ses hanches, alors que je léchais du bout de la langue sa peau crémeuse, longeant la bordure de son sous-vêtement, que je crochetais lentement entre mes doigts, lui ôtant pour la dénuder entièrement. Je restais quelques secondes comme cela, avant de me redresser, lui faisant face en la fixant d'un sourire en coin, plein de désirs. J'étais patient, même avec de l'alcool dans le sang, dinnnngue ! Je lui tournais le dos pour entrer dans l'eau, m'allongeant littéralement dedans en lâchant des petits soupirs graves d'aise. Putin que l'eau était bonne ! Une fois installé, je plongeais entièrement dans le bain, avant de ressortir, plaquant mes cheveux colorés en arrière. Je reportais mon attention sur Mo Yeon, mon regard plongé dans le sien, un sourire taquin aux lèvres. « Rejoins-moi.. » lui lançais-je, soudainement. Contrairement à mes habitudes, cela ressemblait plus à un ordre, un désir que je voulais assouvir, plutôt qu'à une simple demande, une simple question sans être sûr que la réponse soit positive. Je voulais qu'elle soit positive, qu'elle vienne. Viens, pensais-je, ma main mouillée caressant l’arrière de l'une de ses cuisses, remontant un peu plus haut, jusqu'à épouser sa fesse sans la moindre hésitation. Mon regard en disait long..       
 

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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Mer 9 Nov - 17:52
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ft. In Ha & Mo Yeon

   
It may be a coincidence

   
   

Ai-je le droit de désirer un homme que je connais à peine ? Ai-je le droit de succomber aux désirs que mon corps veut voir assouvir en cet instant précis ? Mais que puis-je faire lorsque mon corps répond avant moi, lorsqu'il saisit cette occasion, cette faille, pour profiter des joies du corps d'un autre, celui de In Ha. Il ne peut résister plus longtemps, m’affaiblissant de seconde en seconde. Sous les doigts de In Ha je sais que je saurai trouver satisfaction à mon désir, inassouvi depuis si longtemps. Je n'aurai su trouver meilleur partenaire d'une nuit. Il a ce charme envoûtant et unique, qui fait chavirer, certainement, plus d'une, ce côté séducteur qui lui colle parfaitement bien à la peau et dont on ne se douterait pas, pas avant de voir ce visage si différent. Mais c'est ce qui est justement attirant, ce changement de comportement, ce regard de braise qui transperce, cette douceur exquise qui fait tant faiblir. Malgré qu'il soit, et je n'en doute plus, un séducteur hors pair, ce n'est pas déplaisant et lourd, comme le sont la plupart de ces hommes-là. Lui, il est différent. Différent dans ses mots, dans ses actes, dans son touché, dans tout. Et moi, je ne suis qu'une pauvre âme, égarée dans les bras de In Ha, perdue dans un désir profond et destructeur. Qu'importe si mon âme est damnée, si c'est pour être dans ses bras, juste le temps d'un soir.

Mes lèvres s'étirent et mes pupilles s'élargissent, mon corps s'embrasant sous les rayons du désir. « Il n'y a pas que le bain qui est brûlant » dis-je d'une voix douce, dans un murmure presque inaudible. Me vient alors une certaine frénésie, de me jeter sur lui, telle une lionne en chasse, assoiffée de sang frais, un désir furieux de l'étreindre dans mes bras et d'embrasser sa bouche si bien dessinée. Je ne me fais pas prier et n'attends pas que cette agitation m'emprisonne, pour baiser sa bouche, que je goûte, de nouveau, avec avidité et ferveur. Je frisonne d'extase face à tant de partage, et de proximité, mon corps en demandant toujours plus, brûlant de mille manières. Je suis tellement fiévreuse que je ne peux attendre plus longtemps de le retrouver nu devant moi, et moi avec. Mais In Ha ralentit mon geste, amusé par tant d'empressement, me demandant où je vais. Je déplace mes cheveux venus m'aveugler et lui lance un regard espiègle, « oh, pas bien loin, ne t'en fais pas, juste là » dis-je en baissant mon regard jusqu'à son jean, pointant du regard ce que je recherche. Je ne m'attarde pas plus pour lui arracher le reste de ses vêtements, m'amusant à mordre, de temps en temps, ses lèvres rougies par mes dents. Je regarde rapidement cette silhouette dénudée, face à moi, sentant mon corps être projeté vers l'avant, soumis à tant de pression pulsionnelle. Je frisonne d'extase lorsque ses baisers me laissent à désirer son corps tout entier. Je laisse échapper un hoquet lorsque après avoir retiré mon pantalon, il s'en va explorer mes cuisses, faisant naître en moi une sensation des plus étranges. Je suis surprise, mais agréablement surprise. Je me sens enivrer par cette chaleur nouvelle qui transperce mon corps entier, abîmant mon corps et mon âme, me sentant soudainement faible, perdant le contrôle de mon corps. Les gestes de In Ha sont si doux, si apaisants, que j'oublie pendant quelques secondes les méfaits de l'alcool mais aussi où je me trouve, m'enfermant dans une bulle avec comme seule présence, celle de In Ha. Sans même m'en rendre compte, je finis telle une pétale prête à être cueillie, attendant que son précieux jardinier vienne la chercher. Mes yeux en viennent à être embués, aveuglés par le désir et le fantasme de faire de lui le mien, le temps d'un soir.

In Ha s'éloigne alors de moi, laissant mon corps se refroidir par ce manque de contact, frustré de voir son partenaire être si loin de lui. Ensuite, alors qu'il est déjà installé dans le bain, ma main s'approche immanquablement de la sienne, l'enlevant délicatement de là où elle se trouve, pour mieux la serrer entre mes doigts, caressant sa peau mouillée. Mon regard se pose sur lui, parcourant sans aucune gêne sa silhouette jusqu'à remonter sur ses épaules musclées, pour finir jusqu'à ses lèvres. Ma bouche vient prendre sa main entre mes lèvres, y glissant ses doigts à l'intérieur, les mouillant encore plus, avec cet air légèrement coquin. Je finis par le lâcher, décidant enfin à me glisser à ses côtés, « j'arrive, sois patient ! ». Intérieurement je rigole, parce que c'est moi qui parle de patience alors que depuis le début, je ne parviens pas à l'être.  Lorsque mon corps rentre entièrement dans le bain chaud, je pousse un soupir d'aise, me sentant revivre. Avec l'alcool, je me sens apaisée, dans un cocon sécurisant. Je mets face à lui, au début, et viens caresser ses jambes avec mes pieds, le visage recouvert de mousse, pour cacher mes joues rougies. J'avoue n'avoir jamais été dans une situation pareille et je me sens comme une gamine qui redécouvre le corps humain, qui redécouvre la saveur du corps humain, honteuse d'y toucher, progressivement. Le parfum du bain m'enivre mais plus encore, c'est le parfum du désir qui me rend si étourdie. Je change de position en m'approchant de In Ha, la mousse encore présente sur mon corps. Mon visage se retrouve face au sien, un sourire amusé sur les lèvres. Mes doigts caressent ses lèvres tandis que mes yeux s’imprègnent de son regard. Mon cœur s'arrête de battre quelques secondes, ma chair appelant sa peau, mes lèvres avides se gonflant de désir. Elles s'en vont alors jusqu'au cou de mon partenaire, glissant sur sa peau mouillée, laissant quelques notes de leur passage.  Ma main gauche s'enfonce dans les profondeurs de l'eau, allant caresser sa peau, dessinant  chaque contour, tirant légèrement sur ses tétons, d'un air malicieux. Et tandis que ma main gauche s'amuse sur son corps, mon autre main, quant à elle, attrape son cou pour mieux approcher son visage du mien, mes lèvres recherchant le contact des siennes. Contact devenant de plus en plus effréné. La passion jaillit de mon corps, oubliant mon monde, mais me sentant vivre à ses côtés. J'ai envie de vivre, mais surtout de jouir.  Mes lèvres se séparent malgré elles de leur partenaire, les laissant murmurer au creux de l'oreille de In Ha, « Offre moi ce doux privilège d'être tienne, juste pour ce soir ». Elles s'empressent de baiser ses clavicules, la mousse arrivant jusqu'à mon menton, me faisant soudainement rire, d'un rire cristallin. C'est amusant quand même mais pas déplaisant, au contraire, cela ne fait que raviver mon envie, mais alimente aussi ma bonne humeur. Ma main glisse plus bas, dessinant quelques cercles sur sa peau, et doucement, elle se pose sur ses globes de chairs.

   
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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Mar 22 Nov - 18:26
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It may be a coincidence
Mo Yeon & In Ha




TENUE & MUSIC | Si j'avais un tant soit peu la possibilité de clairement réfléchir, je me souviendrais que la femme qui était avec moi en ce moment, était la même que je rencontrais quelques jeudi par mois, le long de la rivière Han. La femme dont je ne connaissais pas à l'identité à ce moment-là, avec qui je ne faisais que parler de tout et de rien, autour d'un peu de poulet commandé toujours dans le même restaurant. C'était une sorte de rendez-vous qui nous plaisait de tenir, devenu une habitude, loin d'être une corvée, bien au contraire. On était un homme et une femme, pourtant, aucun geste avant coureur dans nos rencontres. Parler, juste parler, car avec des inconnus, on peut tout dire, tout lâcher, on s'en fiche, la personne ne nous connaît pas, elle ne peut pas nous dénoncer, parler de nous à quelqu'un d'autre et mettre un nom sur notre tête. Notre statut avait changé avec un destin étrange de nous faire rencontrer dans ce club, ce destin qui l'a fait me percuter, qui m'a poussé à la rattraper, et qui, malgré la surprise, et le trouble, nous a fait finalement rester ensemble toute la soirée. Oui, si j'avais un tant soit peu la possibilité de clairement réfléchir, je me souviendrais que je ne la connaissais pas tant que ça, et pourtant, il y avait eu quelque chose, et on ne pouvait pas lutter contre ce quelque chose, surtout quand l'alcool ne nous aidait pas à éclaircir nos pensées. Elle avait ce.. mystère, ce côté bad girl qui semblait dur à conquérir, mais qui dégageait une telle sensualité, une telle animalité, qu'elle ne pouvait que m’intéresser. J'avais envie de la deviner, qu'elle baisse un peu le voile, m'agrippant à son sourire qui se montrait de plus en plus au fur et à mesure de la soirée.. Autre visage, autre personnalité, voilà donc ce qu'elle cachait si mystérieusement ? Je savais que derrière ce visage qui semblait si fermé au premier regard, se cachait une certaine douceur qui se dévoilait peu à peu.

Elle avait lu dans mes pensées, elle prononçait la même phrase qui passait silencieusement dans mes pensées. C'était elle qui était brûlante et elle semblait s'enflammer un peu plus sous mes caresses. Je voulais la détendre, comme en début de soirée où elle se méfiait encore de moi, la sentir faiblir entre mes bras et se laisser aller, entièrement.. Je m'installais dans la baignoire, la chaleur était délicieuse, un cocon dans lequel je voulais qu'on s'enferme tous les deux. Je la caressais pour qu'elle me rejoigne, mon regard plongé dans le sien, insistant, impatient. J'avais l'impression qu'elle n'était plus assez près, bien trop loin, et les secondes semblaient bien longues, avant qu'elle n'attrape ma main, négligemment posée sur sa fesse. J’arquais un sourcil, me préparant à la soutenir pour qu'elle entre dans la baignoire, mais elle en fît autre chose, une chose à laquelle je ne m'étais absolument pas attendu. Un frisson. J'entrouvris la bouche, alors qu'elle mettait mes doigts dans la sienne, les suçotant avec une lenteur qui me fît perdre pied ! Je sentais ma virilité se durcir sous ce simple contact, la mousse cachant soigneusement l'effet qu'elle venait de me prodiguer. Je venais d'imaginer autre chose entre ses jolies lèvres pulpeuses.. alors que je souriais d'un air amusé à sa réponse, la regardant enfin entrer dans la baignoire. Je suivais du regard son ascension, détaillant la courbe élancée de son dos s'enfouir dans le parfum vanillé. Envie, désir, un grognement inaudible m'échappant en la voyant bien trop loin à mon goût. Je fermais les yeux quelques secondes, le bout des pieds effleurant mes jambes, un soupir de bien être, écoutant le son de l'eau, les petits clapotis contre les parois qui s'accentuaient au fur et à mesure que Mo Yeon approchait. Un fin sourire sur mes lèvres, patient, j'avais réouvert les yeux au moment où elle se retrouvait face à moi, nos regards se rencontrant dans une tension sexuelle palpable. Elle avait les joues un peu rouges, je trouvais cela étonnamment sexy.

Je glissais lentement ma main au creux de ses reins sans la quitter des yeux, avant qu'elle ne s'aventure sur ma peau. J'entrouvris ma bouche, un soupir sous l'effet de ses petites attentions, qui se faisaient de plus en plus empressées, ma main dessinant les traits de son dos, se perdant à l'esquisse de ses fesses. Un rire à son pincement de téton, piquante la jolie rose noire. Je sentais son souffle qui s'emballait, je l'aspirais quand il se mélangeait à nouveau au mien dans un besoin inexplicable de contact immédiat, passionné, brûlant. Je laissais ma langue rejoindre sa jumelle dans une danse endiablée, mes mains cherchant le contact de sa peau, glissant sur elle dans un toucher plus que sensuel. Son murmure à mon oreille me fît rater un battement, avant de le faire s'emballer dans un concert de hard rock épique. Oh jolie batterie, l'inspiration que tu as entre les doigts te plaît hein ? Batterie du cœur, désir d'homme plus qu’intéressé. Je la voulais. Je me redressais tout à coup, ôtant mon dos qui était calé contre la baignoire, agrippant fermement ses hanches et son dos pour venir me lover contre elle. Nous étions désormais installés au milieu de la large baignoire, étendant sans gêne nos jambes, nos hanches étroitement enlacées, mais pas encore en parfaite harmonie. Ma virilité ainsi titillée par la proximité de la jeune femme, commençait à me faire de plus en plus souffrir, et étonnamment, j'arrivais encore à passer outre, mes lèvres venant sceller les siennes d'un nouveau baiser difficile à interrompre. Difficile de ne pas en vouloir plus. Quelle idée. Fiévreux, j'entrepris de m'attaquer à mon tour à sa peau, baisant ses clavicules, délimitant sa poitrine de mon toucher papillon, avant de la faire basculer avec douceur en arrière, afin de pouvoir atteindre ses rondeurs féminines. J'ôtais dans une lenteur calculée le peu de mousse qui les recouvrait, les détaillant avec un regard admiratif, d'artiste. Fine et bien faite, quelle femme. Je léchais du bout de la langue ses petits bouts de chair pointant de désir, m'appelant frénétiquement, réagissant à la moindre attention, un peu plus rougies par mes soins, les mordillant, les caressant l'un après l'autre, soucieux de ne pas en délaisser un seul. J'écoutais ses soupirs, dieu sait que cela m'excitait davantage. Ses hanches remuaient légèrement contre les miennes, naturellement pour garder ce contact entre nous, de peur de le perdre mais ce simple geste jouait avec ma patience d'homme, ma virilité collée contre elle. Je me retenais de ne pas m'insinuer en elle d'un coup de rein.. Mais le lieu n'était pas idéal, je devais bien le reconnaître. Je ne pensais pas m'emballer aussi vite... Mais biensûr In Ha, que croyais-tu ? Tu ne pouvais te donner plus de 5 minutes avec Mo Yeon près de toi, réfléchis. C'était impossible. Mes baisers remontaient jusqu'à son cou, l'une de mes mains la redressant avec sensualité contre moi, l'autre frôlant doucement son ventre, avant de descendre plus bas, jouant à venir titiller sous l'eau son intimité. « .. Si c'est juste pour ce soir, alors je vais devoir te satisfaire pleinement pour ne pas te décevoir.. Mais je doute que tu n'en redemandes pas encore.. » lui sussurais-je près de son oreille, l'arrogance de mon alter ego me possédant entièrement. J'esquissais un nouveau sourire en coin avant de mordre légèrement le creux de son cou, alors que j'insérais l'un de mes doigts entre ses cuisses, lui arrachant un soupir plus intense, ses jambes se crispant autour de mes hanches... Je léchais sa peau rougie, ma main droite occupée dans un lent vas et vient, attentif aux réactions de la jeune femme, le bruit de l'eau s'intensifiant un peu plus au rythme qui accélérait au creux de son plaisir...        
 

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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Jeu 1 Déc - 18:49
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Si une personne m'avait prédit que j'allais me retrouver, en une belle soirée, dans la baignoire d'un homme, nue, prête à agiter mon corps contre les secousses de l'eau, j'aurai sûrement rigolé ou ironisé, en précisant que je n'agis jamais dans un tel lieu et que je ne suis pas non plus ce type de femme qui couche tout le temps et partout. Je ne dis pas que je ne profite pas des joies du corps, ça serait mentir, mais pas tout le temps, pas avec n'importe quoi. Je sélectionne mes proies avant de les attaquer, surtout lorsque je suis soumise aux effets de l'alcool ou de la drogue. J'ai tendance à être plus ouverte à certaines propositions. Je ne dis pas l'être pour toutes, ma conscience restant un minimum conservée. Je reste une femme avec des envies. C'est tout. Je ne regrette pas d'être présente ici, chez cet homme, que je ne connais pas tant que ça. Je n'ai pas non plus envie de faire demi-tour, pas en ce instant en tout cas. De toute manière, il est trop tard pour le faire. Cet homme sait manier l'art du toucher, et il est facile de succomber sous ses baisers. J'ai succombé et je ne me considère pas pour autant comme faible. En tout cas, pas aujourd'hui. Peut-être que demain, lorsque mon esprit sera plus clairsemé, je vais, en effet, regretter, avoir des remords, culpabiliser, et ne plus avoir le désir de le croiser. C'est une possibilité mais pour le moment, à l'heure actuelle, je veux profiter de ce que ses bras peuvent m'offrir, de ce que je peux ressentir en sa compagnie, ressentir des frissons de jouissance, de désir. Qui aurait pensé qu'un simple partenaire de viande et de bière pouvait autant se transformer et devenir un être désirable. Mais je me laisse entraîner ans ce tourbillon d'émotions, de sensations, perdant progressivement le fil. D'étranger il passe à un homme attirant, un amant, avec qui je risque de passer une nuit intense, mais douce. Un homme qui risque de connaître les détails de mon corps.

Je me sens enjouée, perdue dans le tumulte des émotions. Mon corps est chaud tout comme mon souffle. Je suis vidée de toutes les pensées qui peuvent venir parasiter cet instant, mon esprit étant uniquement focaliser sur ce moment si délicat. Je réagis assez rapidement à ses caresses qui me plaisent, mon corps le désirant de plus en plus, touchant presque le summum de l'envie. Je le veux mais à la fois, j'ai peur de l'avoir, car dès que le désir sera assouvi il n'y aura plus rien, plus cette sensation envoûtante, plus ce feu ardent qui me brûle le corps. Certes je souhaite m'en débarrasser, que mon désir soit étanché mais tout de même, j'apprécie cette sensation de perte du contrôle de soi, ce désir ardent de vouloir s'unir à un autre. Pourtant, je ne suis pas ce type de fille qui apprécie les attaches aux autres, qui n'aime pas la proximité, mais aujourd'hui, c'est différent. Et puis, au fond, j'ai beau nié la vérité, je sais pertinemment que je reste humaine et que je sollicite toujours, indirectement, autrui.  Le fait de m'attacher, juste pour cette nuit, à In Ha, ne me dérange pas tant que ça, au contraire, je veux me lier à lui, juste pour ce soir. Juste pour cette nuit. Je ne me rends même pas compte du côté inconfortable de la baignoire, bien trop à l'aise dans ses bras. Je jubile lorsque je sens sa chair contre la mienne, ses parties entre mes doigts, désireuse d'avoir plus, que je lui appartienne, entièrement. C'est difficile d'attendre, de souffrir face à ce désir de plus en plus ardent, mais je résiste. Je parviens à contrôler tout de même un minimum mes pulsions même si mon seul désir est de le dévorer. In Ha vient alors jouer avec mon corps, me titillant, et me rendant de plus en plus désireuse. Je me mords nerveusement les lèvres lorsqu'il vient mordre mes petits bouts de chairs. Ce n'est pas douloureux, absolument pas, c'est enivrant. Avoir mal dans ce type de contexte est différent d'avoir mal dans un autre contexte, c'est plus palpitant, délicieux. Une caresse dans une douleur. Je n'aspire plus à rien d'autre que d'être dans ses bras, que de m'unir à lui en cette si belle soirée. Ma patience a des limites et je ne sais jusqu'à quand je vais pouvoir tenir cette tension si frustrante mais si délectable. J'esquisse un sourire lorsqu'il affirme vouloir me satisfaire pleinement. Je ne risque pas d'être déçue avec lui. « J'ai hâte de voir ça », ai-je le temps de prononcer, entre deux souffles chauds. A peine ai-je prononcé ces mots que je sens une douceur au niveau de mon bassin qui m'arrache un hoquet de surprise, mais de plaisir aussi. Mon corps et mon âme palpitent dans un même chant, tandis que mon désir caracole. Mon esprit se détache totalement, mon corps ne pouvant s'empêcher de répondre à un tel geste. Je sens un élan impérieux m'envahir d'une douce fièvre. Ma langue s'enroule autour de lui tandis que je le laisse explorer de ses doigts de fée l'intérieur de mon corps. Je me cambre, sous ses ravageuses poussées. Ma langue se niche dans son cou, goûtant à à sa chair. Mon désir ne cesse de s'amplifier. Mes doigts viennent prendre sa virilité entre mes doigts, frustrée de ne pas pouvoir en faire plus à cause de la situation. Mon antre appelle à la vie, mon ventre est en effusion, et le réclame. Je veux qu'il me réchauffe, entièrement. Je laisse mon corps se frotter à lui, y laissant quelques étincelles. Je me place un peu plus en califourchon, laissant nos deux corps se frôler sans jamais être dans un véritable contact. C'est particulièrement frustrant de ne pas avoir de contact direct mais en même temps plaisant. Mes doigts continuent de faire quelques vas et viens, tendres, mais rapides aussi, sans aller trop loin, pour ne pas trop désiré, mais être trop frustré non plus. Même si c'est difficile. Ma langue vient mordiller son cou, « tu veux qu'on se déplace ? ». On ne sait jamais. Je ne l'ai jamais fait dans une baignoire et je sais donc pas si c'est faisable ou pas, enfin confortable autant pour lui que pour moi. Il est possible de le faire partout, mais il faut que cela soit un instant plaisant pour tous les deux.

   
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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Mar 6 Déc - 21:41
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Mo Yeon & In Ha




TENUE & MUSIC | Laissons- nous porter par nos sentiments du moment, et oublions les peurs et les regrets. Il n'y avait même pas besoin de culpabiliser, pas de mon côté du moins. Je n'étais pas en couple, je faisais ce que je voulais, le désir était partagé et je n'allais pas m'éloigner d'elle du reste de la nuit tant qu'elle ne me repoussait pas. Pourquoi faire compliquer, quand l'on pouvait faire simple ? Notre époque avait moins d'éthiques à tenir. On laissait de côté les mœurs bien trop codées, restreintes, pour laisser nos corps parler, sans la moindre honte. J'avais envie d'elle, à quoi bon le nier ? Et elle avait clairement montré qu'elle partageait mon sentiment, alors cher cerveau, éteins-toi. Je n'avais pas envie de réfléchir, je n'avais pas envie de discuter sur le bien et le mal, alors que je m'accrochais à ses soupirs qui me clamaient que tout ceci ne serait que délicieux. Luxure du corps, luxure du plaisir. Que pouvions-nous faire contre les corps d'Adam et Eve, si joliment harmonieux ensemble ? Destin des formes qui s'épousent avec sensualité. Ses hanches contre les miennes, à mon goût, ne semblaient jamais assez proches. Et à la fois, bien trop. Je sentais son bassin onduler légèrement contre mes caresses, mes doigts agiles au creux de ses cuisses. Ce que j'aimais avoir ce contrôle, et admirer, satisfaire Mo Yeon, du moins, la titiller d'un simple préliminaire qui me donnait encore plus envie de passer à quelque chose de plus intense. Très rapidement.  

Je passais ma main dans son dos, sculptant la cambrure qu'il prenait, suite à mes attentions bien placées. Sourire en coin, dominant, accélérant la cadence de l'agile index, m'imaginant déjà en elle avec bien autre chose. Mes pensées se faisaient de plus en plus désireuses, gonflant un peu plus ma virilité. Un soupir grave surpris, ses longs doigts fins se refermant soudainement sur ce qui faisait de moi un homme, et ses vas et vient me firent doucement perdre la tête, dans une brume épaisse, la chaleur environnante m’enivrant. Sa langue sur ma peau, ma main se perdant contre ses reins, puis sur ses hanches, je la sentais venir se coller un peu plus contre moi, m'arrachant un immense frisson parcourant mon corps du bas vers le haut en un instant. Ma patience avait ses limites, ma tête se penchant en arrière, son intimité effleurant ma virilité dans une lenteur qui n'arrivait pas à me satisfaire pleinement, même si ses charmants doigts de pianiste démontraient quant à eux un talent exemplaire. J'en voulais plus, je voulais qu'ils s'arrêtent et en même temps, qu'ils ne s'arrêtent jamais. Est-ce qu'elle aussi, elle jurait intérieurement contre ma main entre ses cuisses ? Tout ce que je voulais, c'est que ça lui plaise, et que l'envie d'avoir plus avec moi la dévore entièrement, à chaque petite pique électrique que je provoquais sur sa perle si sensible en contrebas. Sa voix contre mon cou, et leur signification éclaira mon esprit en un instant, comme si je me réveillais d'un doux rêve. Un doux rêve que je ne voulais plus lâcher. Pour réponse à sa demande, je me relevais brusquement de la baignoire, soulevant sans grande difficulté la jeune femme avec moi, calant ses hanches contre les miennes. Le bruit de l'eau se fît plus bruyante, une légère vague, alors que j'incitais Mo Yeon à lier ses jambes autour moi. Ses bras accrochés à mon cou, je pouvais sentir son souffle contre moi, alors que je sortais de l'eau, faisant attention où je mettais les pieds. Mais je ne regardais pas où je marchais, je faisais seulement attention au corps chaud, humide contre le mien. Elle glissait légèrement, n'ayant aucune prise avec nos peaux mouillées. J'agrippais soudainement ses fesses de mes deux mains, sans gêne, la soulevant pour mieux la tenir entre mes bras. Audace du geste. Ses cheveux roses retombaient le long de mon visage, je lâchais un petit rire contre ses lèvres pulpeuses que j’effleurais d'un nouveau sourire, passant rapidement de la passerelle de l'étage à une autre pièce. Les gouttes d'eau délaissées par nos corps nus empressés, traçaient un chemin jusqu'à ma chambre...

On se laissa tous les deux tomber sur le lit, sans jamais laisser une once de froid se frayer un passage entre nous. Peau contre peau, je surplombais Mo Yeon, mes bras de part et d'autres d'elle, nos visages à quelques centimètres, lèvres entrouvertes, nos souffles encore légers mais le cœur battant, qui se faisaient écho. Le silence de la pièce, lumières de la ville à moitié endormie jouant à dessiner les ombres, les contours de nos membres entrelacés. Je pouvais voir ses yeux de chat me fixer, alors que je m'approchais pour venir l'embrasser, d'un baiser affamé. Dominé par la luxure, mes lèvres entreprirent de longer son cou, ses fines clavicules, suçotant à nouveau l'un de ses seins, suivre quelques gouttes qui descendaient sur son ventre alors qu'elle se cambrait en un soupir. Descendant plus bas, toujours plus bas, mes mains suivant les courbes mouillées de sa taille, de ses hanches, épousant ses cuisses, si lisses au toucher, ma langue se glissant entre ses cuisses, envieux de ne lui laisser aucun repos, de tendre son corps à l'extrême, jusqu'à ce que nous ne puissions plus résister à l'union charnelle tant désirée. Fiévreux, je remontais jusqu'à sa bouche qui m'appelait, avant de me caler entre ses cuisses pour venir la pénétrer, un soupir rauque contre ses lèvres. C'était chaud, agréable... Je déposais des baisers au creux de son cou, léchant du bout de la langue les gouttes d'eau qui s'y trouvaient, alors que j'effectuais un lent vas et vient entre nos deux corps, danse sensuelle qui accélérait ses pas, son rythme, sans jamais lâcher l'autre et le laisser s'échapper...         
 

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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Mer 7 Déc - 19:32
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La tornade se rapproche. Je la sens venir à moi, douce et brusque, envahissante et amusante. Je l'attends, de pieds fermes. Désireuse de goûter à ses quelques sensations. Mon corps frisonne, d'extase, de passion, brûlant de seconde en seconde, réclamant son dû. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir, je ne sais pas jusqu'où je peux me contenir, face à tant de frustration. Je veux me libérer de ce désir grandissant, mais à la fois, je veux continuer à le ressentir. Ce désir. Fougueux. Je veux, aussi, le partager, aux côtés de mon amant du soir. Que nos désirs se joignent, dans un artifice de couleurs. Que nos deux âmes se joignent, s'unissant dans le vice, pendant un laps de temps. Et je sais que ce soir, c'est le soir de toutes les possibilités. Il est tant d'agir, oubliant la frustration de ne pas pouvoir encore accéder au souhait commun. Je mords légèrement ma lèvre lorsque In Ha me soulève, en guise de réponse, m’entraînant hors de l'eau, hors de ce cocon si chaleureux, pour me faire découvrir un autre nid, tout aussi douillet. Je m'accroche à lui, malgré mon corps mouillé, mes jambes se collant à lui, mes mains enlaçant son cou, caressant sa peau douce et déposant parfois quelques baisers sur sa peau mouillée, mais au parfum exquis. Je laisse échapper un fin soupire alors que ses mains attrapent fermement mes fesses, pour mieux me tenir, au risque de glisser. En quelques secondes, même pas, je me retrouve sur une surface plus dure, différente de la précédente. Le corps de In Ha m'échappe quelques secondes, mais ne me laisse pas le temps de ressentir déjà un manque. Manque de contact. Manque de chaleur. Car très vite, il me rejoint, me faisant tressaillir de bonheur.

La musique de son souffle tambourine sur ma peau, laissant un éclair transpercé la galaxie lointaine. Ses lèvres humides s'entrouvrent comme un calice, sur ma peau embuée. Nos deux corps s'en vont vers quelques mouvements lascifs, en caresses secrètes. Je fléchis, comme jamais auparavant. Je sens au travers de mon corps, sous le tissu tendu du drap, le désir qui prend de l'ampleur, arrivant au summum du possible. Je ne peux plus tenir. Je le veux. Je veux unir nos deux corps, les sentir entrer dans une symbiose extrême. Une destruction massive. Je lâche le frein de mes ardeurs tandis que mes sens s'affolent, prête à l'accueillir pour cette imminente union. Ma langue, autour de lui, s'enroule. Puis, je me laisse emporter, les yeux fermés, le laissant puiser au cœur de ma gamme une note, une âme. Subtilement, il s'introduit en moi, Sous la fougue de ses assauts, je ne peux retenir un cri, surprise par cette soudaine extase. La foudre m'a touché. Je me cambre, gémis, sous ses ravageuses poussées, différant cet instant béni. Une brise me saisit et je livre mon corps tout entier, sans interdit, sans non-dit. J'ai le sentiment d'être un volcan, en ébullition, mon corps est brûlant mais mon âme aussi. Je sens son membre de vie en moi, qui me brûle le ventre, mais qui me fait aussi vibrer. Je suis une boule de flammes, qui crépite en étoile, qui palpite, jusqu'à l'infini. Le rythme est au début lent et j'en profite pour baiser ses lèvres, fougueusement, tandis que mes doigts s’imprègnent de sa chair. Mes mains s'en vont ensuite explorer son corps si bien dessiné, tandis que mes lèvres explorent chaque partie de ses lèvres, s'éloignant par la suite de celles-ci, pour se loger au creux de son cou. Un désir, presque furieux, me prend de nouveau le corps. J'égare les rennes, je perds le Nord. Mon corps en demande plus, mon bassin s'animant soudainement, faisant quelques mouvements brusques. « Plus vite », mes mots sont brûlants, et mes yeux pétillent d'envie. Mon souffle s'accorde, progressivement, au rythme devenu plus cadencé, qui s'accélère sans cesse. Mes doigts cherchent les siennes, pour les lier, comme le sont nos deux corps entrelacés. Je me consume.

Dans un mouvement soudain, tout en gardant nos deux corps liés, je le repousse légèrement, et le bascule sur le côté, pour prendre la position de dominante. J'arque un sourcil, un sourire amusé et espiègle sur les lèvres, « c'est à moi de prendre les rennes ». Mes lèvres s'empressent de prendre les siennes, tandis que mon corps se mouve au grès de mon envie, ressentant un intense plaisir.  

   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Dim 22 Jan - 16:44
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TENUE & MUSIC | Le désir a enfin eu raison de nous, nous consumant à petit feu, jusqu'à finir par être complètement dévoré. J'étais dominé par une seule et même chose, la faim. La faim du corps, la faim de l'union charnelle, la faim du plaisir enfin assouvi. Nos deux corps mouillés l'un contre l'autre, mouvant en des caresses lascives, lentes, puis peu à peu effrénées par ce contact tant attendu, tant désiré. Jolie luxure qui chatouille le creux du ventre, qui enflamme nos veines, nous rend fou et nous fait perdre la tête. Mo Yeon, ensemble, perdons nos esprits, partageons la débauche de nos âmes  brûlantes, et faisons les taire sous la poussée de nos cris à l'unisson. Mais le désir était mon partenaire, adorant jouer avec lui, et le faire languir, encore et toujours. Je n'étais pas pressé, je voulais l'avoir, et en même temps, je ne voulais pas que cela finisse trop vite. Je prenais mon temps, je partais à la découverte à l'aveugle, les lumières de la ville jouant avec les stores de la baie vitrée, leurs ombres dessinant nos corps sensuellement enlacés sur les draps. Je suivais cette goutte d'eau glisser sur elle, sa poitrine se soulevant quand mon souffle caressa la pointe de ses seins tendus. Elle se cambrait, je rêvais de la forme que devaient prendre ses reins à cet instant, la rendant d'autant plus attractive.. J'écoutais, mes yeux s'acclimataient à la faible lumière de la pièce, mon ouïe ne semblait se focaliser que sur nos respirations irrégulières, notre toucher étant certainement le plus intense de tous nos sens à chaque seconde qui passait. Rondeurs de femme, chant aiguë de soprano dont l'une des plus hautes notes se dévoila enfin, quand le désir avait atteint un nouveau palier. Explosion. L'intérieur prenait feu, tout semblait devenir d'une sensibilité extrême, la moindre caresse devenait une flamme inextinguible , inarrêtable. Nos langues, nos lèvres, nos soupirs s'entremêlant dans ce va et vient de vie, qui titillait toujours notre appétit. Notre appétit de la chair.

« Plus vite.. » Son bassin frappait contre le mien, un appel brusque, un ordre d'arrêter de la faire encore attendre, geste qui m'arrachait un sourire provoquant sous ses paroles voraces. Je m'avançais pour l'embrasser dans une énième tentation pour sa bouche pulpeuse, enfonçant mon membre d'un nouveau coup de bassin plus brut, mes lèvres s'étirant sous nos corps tendus par l'extase qui ne faisait que monter, alors que le rythme prenait une cadence infernale qui n'allait pas s'atténuer de si tôt... Les draps se froissaient, alors que nos mains se liaient avec passion, l'une des miennes agrippant l'une de ses cuisses pour la caler contre ma hanche, m'agrippant à celle-ci pour rendre mes attaques plus ravageuses. Mais la jeune femme n'avait pas dit son dernier mot, et dieu sait que j'aime ce genre de contre-attaque, surtout menée par une femme. La voilà qui s'échappe de mon étreinte en me poussant sur le côté, et je la suivais, comme si je craignais qu'elle se détache de moi, alors que je ne souhaitais pas en finir aussi vite. Je la laissais s'installer au-dessus de moi, sans montrer aucune résistance, bien au contraire. « C'est à moi de prendre les rennes.. » lâcha t-elle d'un murmure brûlant en se penchant de sa position dominante, qui était loin de me déplaire. « Je t'en prie.. Fais-en bon usage.. » enchaînais-je en capturant sa nuque, glissant ma main dans ses cheveux pour un baiser ardent. Je l'observais se redresser de toute sa hauteur, prenant mon pied à détailler chacun de ses gestes des plus sensuels.. Elle n'avait pas idée à quel point elle était d'une sensualité envoûtante, et je pouvais la lui décrire en des milliers de mots, sur des dizaines de pages blanches. Je la fixais intensément de mes prunelles brunes, les lumières jaunâtres de la ville dessinant la jouissance de son corps sur toutes ses coutures. J'agrippais ses hanches d'une finesse exquise, sentant ce rythme qu'elle m'imposait, tambouriner contre mon bassin. Elle s'appuyait sur moi pour y trouver de la force, du soutien dans sa folle danse. Je parcourais sa taille du bout des doigts, avant de les laisser glisser sur son ventre jusqu'à ses seins, les caressant avec une lente douceur, alors que ma bouche s'entrouvrait, parcourus de longs soupirs rauques.. Je ne ratais pas une seule seconde de son expression sauvage, sa tête partant en arrière, les ombres soulignant le cambrage érotique que venait de prendre son dos sous l'extase de ses accoups.. Ma main prenant place contre ses reins, je me redressais brusquement contre elle, resserrant nos deux bassins dans une étreinte toujours plus collée. Je la laissais reprendre à nouveau sa course, alors que je la penchais un peu en arrière, suçant ses petits bouts de chair rosées, la gardant possessivement contre moi. Je reprenais mon souffle entre les baisers que je déposais sur sa peau, léchant son cou, y lâchant des gémissements toujours aussi graves, avant de regagner ses lèvres offertes qui criaient à plus d'oxygène. Nos corps étaient envahis d'une chaleur insoutenable, moites, glissant si bien l'un sur l'autre.. Non, aucun de nous deux ne pensait à s'éloigner de l'autre pour respirer un peu d'air frais. Pas avant d'avoir assouvi toute la luxure  qui nous avait tant torturé durant des heures.. Je capturais ses fesses de mes deux mains, l'incitant à m'accueillir entièrement en elle, son intérieur se contractant violemment sous la poussée déchaînée au creux de ses cuisses. Je n'étais toujours pas entièrement rassasié.. J'en voulais encore.. Elle me poussait toujours à en vouloir plus, qu'elle était donc son pouvoir ? « .. Je te veux encore.. » lui susurrais-je, tirant sur sa lèvre inférieure, avant de le faire basculer sur le lit, la gardant toujours près de moi, gardant toujours cette chaleur intense, lui glissant à l'oreille de se tourner. Tout deux en cuillère, je collais mon torse contre son dos, mon souffle irrégulier dans son cou. Elle semblait si petite contre moi, me lovant contre elle, tout en immisçant une nouvelle fois ma virilité au creux de son ventre, là où cela n'avait pas été assez mouillé à mon goût. Je dégageais ses cheveux rosées de sa nuque, la bécotant jusqu'à son épaule, alors que le va et vient doucement s'emballait.. J'adorais sentir ses fesses contre moi, quand elle se cambrait en s'appuyant en arrière, sa peau pâle rougie par mes petites morsures. Ça me rendait fou... Et je voulais aussi la rendre folle. Je m'amusais à peindre les contours de ses seins, les caressant sans jamais en délaisser un seul, pendant que ma seconde main se nichait vers son intimité, titillant doublement celle-ci avec dextérité, sachant parfaitement quoi faire pour lui faire atteindre l'orgasme plus vite, et lui faire perdre toute notion rationnelle.. Le temps n'était plus, la raison n'était plus, la jouissance étant déclarée vainqueur.             
 

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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | Ven 3 Fév - 20:29
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La passion dévore la moindre parcelle de ma peau, suffoquant d'extase et d'impatience. Je m'enivre de son parfum, de son corps, de cette chaleur qui émane de lui, je m'enivre de tout, et surtout, de son nectar dont je me nourris. Nos deux corps tendrement enlacés ne cessent de se chercher, débordant d'ardeurs fusionnelles. Je ne parviens plus à m'arrêter, succombant inlassablement au désir charnel. Je ne veux pas m'arrêter non plus. Je veux continuer à profiter de cette jouissance qui me rend toute étourdie, fébrile, et sauvage. J'ai l'impression de perdre possession de moi-même, d'être une toute autre femme dans les bras de In Ha. Mon corps a besoin de lui, de ses doigts, de ses baisers, de cet être qui sommeille en lui et qui se réveille en moi. Mes doigts deviennent exploratrices et tentatrices tandis que mon bassin s'acharne sur nos deux corps pour pouvoir goûter au vice le plus profond. C'est un tourbillon de désir dans une contrée nommée plaisir. Moi qui m'y aventure si peu, je m'embrase. Mon corps est pris d'un feu dévorant, destructeur, mais apaisant, plaisant. Je comprends mieux pourquoi Eve a succombé à la pomme, pourquoi son désir l'a rendu si faible et si assoiffée. Il est difficile d'y résister et lorsqu'on y goûte, il est impossible de s'en éloigner. Telle une drogue. Je grimace alors quand il se redresse contre moi, sentant le désir qui s’imprègne dans mon corps et réalisant que je ne suis plus en capacité de maîtriser quoique ce soit de ma soif. J'en ai presque honte, ressentant une once de culpabilité, mais très vite la honte et la culpabilité s'oublient, comme un mirage, laissant de nouveau place à la joie de la luxure. Je ne peux plus lutter contre la fièvre. Surtout pas devant ce regard rempli de désir, y reflétant mon propre désir. Et encore moins en sentant ses caresses divines qui m'émoustillent.  De ses mains de virtuoses, notre danse se compose.  Je couine légèrement lorsqu'il capture mes fesses, désireux de ressentir cette symbiose au plus profond de nos êtres. Ma lèvre prend cher mais ce n'est pas pour me déplaire. Je me retrouve alors dos contre son torse, me laissant une traînée de frissons en sentant son souffle chaud contre ma peau. In Ha reprend alors possession de moi, me laissant échapper un léger cri de jouissance. L'air se raréfie en quelques secondes, l'atmosphère devenant bien trop torride. Je sens que je perds pieds et plus encore, je perds le contrôle de mon corps, de moi-même, de tout. J'ai envie d'injurier ce monde qui me soumet à tant de tentation, de détester In Ha pour me faire subir autant de plaisirs, si enivrants, mais je n'y arrive pas, je profite juste de chaque seconde contre ses bras, contre lui. Perdant totalement la maîtrise de mon corps, perdant même mes pensées. Je me mords violemment la lèvre lorsque tout en continuant ses vas et viens incessants, ses doigts viennent me titiller les parties érogènes. Oh . ..  quelle injustice ! Quelle ivresse ? Je n'en peux plus. Je jouis d'un bonheur intense, d'un plaisir touchant le summum du possible. Comment parvient-il à procurer autant de plaisir dans un tel corps ? Comment parvient-il à me faire jouir, véritablement, sans jamais me forcer ? Qu'à t-il entre les doigts pour autant le faire flancher ? Je suis vouée à être damnée, à subir l'enfer. Mais qu'importe si l'enfer ressemble à ça.

Et puis . . . en une fraction de seconde mon désir est à son acmé et ma souffrance a atteint son apogée. Je pousse un cri strident mon corps se cambrant, me mordant la lèvre inférieure, ressentant une profonde allégresse.

Je m'éloigne doucement de In Ha, à bout de souffle, le corps transpirant et ayant cette étrange sensation d'avoir déjà un manque en moi. Un sourire aux lèvres, je l'embrasse fougueusement, actant cet échange inoubliable. « Et bien, j'avoue n'éprouver aucun regret. C'était . . . unique, pour ne pas dire sensationnel. On sent le loup en toi » dis-je avec un petit rire cristallin. Je caresse délicatement sa peau, gardant ce sourire mesquin et joueur, les yeux toujours embués de ce moment. Je me pince nerveusement les lèvres et finis par dire, sincèrement, « ce soir je dors dans tes draps ». Je ne sais pas d'où me vient cette énergie mais j'ai envie de rester encore. Profitant encore de la chaleur de nos corps,de ses caresses, de ses bras. Je veux encore ressentir ce sentiment étrange et envoûtant, presque sécurisant. Cette sensation de plaire, véritablement, à un homme. Je veux encore conserver ces traces. Alors oui ce soir je dors aux côtés de In Ha, quitte à le regretter demain.  Parce que dans ses bras, je souhaite être encore . .
   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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Re: [+18] It may be a coincidence [Feat. In Ha] | 
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